TORRIDE COMPLICITE !!
Récit érotique écrit par Rosenoire02 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TORRIDE COMPLICITE !!
Coucou mes chers lecteurs ! Cela fait un moment que je n’ai pas publié une nouvelle histoire. Je vais donc remédier à cela.
Pour ce nouveau récit, un nouveau partenaire m’accompagne. Et oui, comme vous le savez, j’aime le changement dans ma vie sexuelle.
Avec Firas, et oui joli prénom, cela fait quasiment 5 ans que l’on se connaît, on a fait connaissance sur internet, qui aurait pu imaginer que je me serais dirigée vers le net pour faire de nouvelles rencontres.
Firas est un homme brun, ténébreux, musclé comme il faut sans excès, il a 37 ans et il est très sexy. Et surtout il est comme moi, il est très accro au sexe, pour cela que l’on s’entend si bien lui et moi.
5 ans de discussions intenses. Avec Firas, ce que j’aime c’est que l’on peut parler de tout, il est assez ouvert d’esprit, mais ce que l’on aime le plus tous 2, c’est parler de sexe bien évidemment.
Après autant d’années à se parler en virtuel, et surtout avec toutes nos conversations torrides, il était temps de se rencontrer en réel, surtout que l’on mourait d’envie de se voir et de pouvoir mettre en pratique nos conversations et voir si la complicité était vraiment réelle entre nous.
Le souci est que Monsieur Firas vit loin de moi. En effet, il habite à Paris, mais depuis quelque temps, il est encore plus loin de moi, il est parti vivre à Los Angeles pour son boulot où il travaille dans un laboratoire pharmaceutique.
Comme nous avions de plus en plus envie de se voir et d’arrêter le virtuel, depuis le temps, nous avons décidé de sauter le pas et d’arrêter de se chauffer sexuellement à distance.
Comme nous avions des congés en même temps, c’était pour nous la meilleure occasion pour enfin se rencontrer. On s’est mis d’accord pour passer une semaine ensemble. Certes, cela faisait beaucoup pour une première, mais on avait tellement envie de se rencontrer et de passer du temps ensemble. Mais sans vous mentir, on angoissait quand même, car après tant d’années à se parler par internet, on ne s’était jamais vu, mis à part en photo.
On s’est mis d’accord pour les vacances de février. Et double angoisse pour moi, première fois que je devais prendre l’avion, car oui, en effet, on s’est mis d’accord pour se rencontrer à Los Angeles. En fait, c’est moi qui ai proposé cette solution pour se trouver et passer notre semaine ensemble.
Tout organisé !! Je décolle de Paris, un dimanche vers 10h20, angoissée, avec la peur de l’inconnu. Un voyage de presque 12h m’attend. Avec Firas, on reste en contact comme on peut pendant ce voyage jusqu’à mon arrivée. Pour se retrouver à l’aéroport de Los Angeles, nous avons décidé de se vêtir avec un signe distinctif que nous seul pourrions reconnaître.
Je quitte Paris sous le froid, je suis habillée chaudement : manteau, bottes, écharpe,… Il fait à peine 3° C . On s’était mis d’accord : ce jour-là je portais un leggings noir, un pull vert, un manteau noir à capuche, des bottes noires mais surtout une rose blanche fixée à mon manteau (notre signe distinctif). Firas, devait me rejoindre à l’aéroport vêtu d’en jean, d’une chemise noire, d’une veste noire coordonnée avec notre fameuse rose blanche accrochée à la poche de la veste.
Atterrissage à l’aéroport international de Los Angeles, le vol s’est très bien passé, il est 12h50. Merci au décalage horaire de quasi 8h que je ressens immédiatement. Je récupère ma valise. J’ai la boule au ventre. Tout à coup, je vois un homme brun avec une rose blanche accrochée à une une jolie chemise noire cintrée et une pancarte avec mon prénom, mais sans prêter attention à la pancarte, j’ai repéré notre signe et je crois bien que Firas l’avait remarqué aussi en me voyant.
Mon cœur battait la chamade, j’ai ôté mon manteau sous l’angoisse de la situation mais surtout de la température de Los Angeles, il devait faire dans les 19° C.
Nous avons avancé l’un vers l’autre, à travers les autres voyageurs, comme si l’on se connaissait depuis toujours.
- Mallaury ?
- Firas ?
Immédiatement, nous étions de nouveau connectés mais cette fois-ci en réel, en face à face, une véritable complicité. Firas s’était avancé vers moi pour me faire la bise. Quand sa peau toucha la mienne, je ressentis un frisson qui me parcouru tout le corps, j’étais tétanisée, et je sentais le rouge me montait aux joues.
- Mallaury, te voilà enfin devant moi, cela fait si longtemps que je rêve de ce moment.
- Et oui, j’en suis surprise moi-même Firas. Je respire enfin, j’étais sur pause depuis le décollage.
- Moi aussi, j’ai angoissé jusqu’à te voir avec la rose.
- Cette rose était une excellente idée.
- Laisse-moi prendre ta valise, complice !
- Toujours aussi prévenant, complice !
(Complice étant le petit surnom que l’on se donne depuis notre rencontre sur internet).
Nous avons pris un taxi, et je ne sais pas pourquoi, mais j’avais l’impression de retrouver un être cher, perdu de vue depuis longtemps. Nous avons circulé un moment dans les rues bondées de L.A. Visiblement, à cette heure de la journée, la ville est en pleine effervescence.
Tout à coup, pendant le trajet, Firas posa sa main sur ma cuisse, et là, waouh ! Je ressentis une telle excitation, je serrais les cuisses sur la banquette comme par gêne.
- Mallaury, tu vas bien ?
Je me suis mise à bafouiller, toute gênée :
- Euh, euh oui désolée, je vais bien, ta main m’a surprise.
- Désolé, je ne voulais pas te surprendre ainsi.
- Au contraire, complice, ne sois pas désolé, c’est une belle surprise.
- Je voulais être amical, chaleureux, accueillant avec toi, je te sens angoissée ?
- Oui je le suis. Je suis dans une ville étrangère et inconnue, dans un taxi en plein Los Angeles avec mon complice de virtualité, un homme que je connais qu’à distance.
- Détends-toi Mallaury. Je veux que ton bien, que tu profites de ton séjour le plus possible et surtout que tu n’ai aucun regret de me rencontrer enfin.
- Ne t’inquiètes pas Firas, je ne regrette pas du tout d’être venu à Los Angeles et surtout je ne regrette pas de te rencontrer enfin, je l’ai voulu autant que toi complice !
Après un petit quart d’heure environ a rouler dans les rues de L.A., le taxi nous déposa devant une immense tour de verre. Je me sentais toute petite face à cette grandeur.
Firas régla le taxi, pendant ce temps, je sortis ma valise du coffre. J’étais subjuguée par la foule, la taille des immeubles et surtout j’étais à Los Angeles, mais surtout j’étais enfin avec « mon complice » depuis tout ce temps.
Soudain, m’ôtant de ma rêverie, Firas passa son bras autour de ma taille, j’eus un sursaut et je remarquai le regard très aguicheur du beau mâle qui me tenait fort contre lui. Je me sentais protégée et à ma place bizarrement.
On entra dans la grande tour qui était un immeuble résidentiel fait de lofts modernes. Je n’en revenais pas !
- Viens Mallaury, j’habite au 6ème. Suis-moi dans mon « home sweet home » (doux foyer).
Firas avait une voix enivrante, chaude, douce avec un accent des plus sexy, je frissonnais à chacun des mots qu’il prononçait, mais surtout je n’arrivais pas à détacher mes yeux des ses lèvres, j’avais une terrible envie de les mordre, de les goûter.
On prit donc l’ascenseur, j’étais dans un état mêlant fatigue, excitation, angoisse et envie. Firas me tenait encore par la taille, on était si proches, il sentait tellement bon, un parfum naturel, légèrement sucré, très viril. Hummm quelle sublime odeur !
Un « dong » nous indiqua que nous étions arrivés au bon étage. Firas s’avança dans un long couloir en portant ma valise. Quelle galanterie ! Je le suivais tout en observant sa démarche, et oui, j’aime regarder les belles choses, et devant moi, une jolie paire de fesses bien galbée dans un jean, déambulait dans ce long couloir, quelle merveilleuse vue pour mes yeux !
Soudain Firas s’arrêta devant un porte, au numéro 4. Comme le hasard faisait bien les choses, le 4 étant mon chiffre porte-bonheur. Il sortit son trousseau de clés, ouvrit la porte et me dit :
- Mallaury, chère complice, si tu veux bien entrer ?
- Merci, cher complice, avec plaisir !
A ce moment, je sentais une tension sexuelle très intense entre nous. Et Firas devait la ressentir également car à l’instant où je franchissais le seuil de la porte, je sentis sa main me donnait la fessée. Hummm, quel délice !
Une décharge électrique me parcouru le corps et j’entendis Firas gémir et murmurer :
- Hummm, cette paire de fesses, j’en ai tellement rêvé !
- Hummm, tu sais que j’aime ça, cher complice !
Entrés dans le loft et là, waouh, sublime. Un loft lumineux, assez grand avec une baie vitrée qui montrait une vue splendide de Los Angeles. J’enlevai mes bottes et accrocha mon manteau derrière la porte d’entrée et Firas me dit :
- Princesse, veux-tu que je te fasse faire le tour du propriétaire ?
- Avec plaisir bébé !
Il n’y avait plus aucune gêne entre nous. Au contraire, on était si proches, on rigolait aux blagues de l’autre, nos regards se croisaient et se fixaient. On était « complices » et même encore plus qu’en virtuel.
Firas m’emmena vers la cuisine, qui était toute équipée avec de l’électroménager dernier cri, très high-tech, avec de jolis meublés laqués en bordeaux et noir, juste sublime. Dans cette cuisine, se trouvait également un plan de travail à mi hauteur en îlot central.
Tout à coup, je fus prise d’une terrible envie, une pulsion même. Je poussa Firas vers le plan de travail et je le retourna très rapidement pour qu’il se retrouve face à moi ; j’ai avancé à hauteur de sa bouche sensuelle qui me faisait envie depuis mon arrivée à l’aéroport. J’étais plus petite que lui, mais les talons aidant, j’étais finalement pile à la hauteur de sa bouche.
Je l’embrassa sauvagement et Firas répondit immédiatement à mon baiser. Un baiser sensuel et langoureux, Firas me plaqua sauvagement contre lui , ma poitrine vint s’écraser contre son torse musclé qui se dessinait sous sa chemise. Il me murmura au creux de l’oreille :
- Aaah, tu me rends dingue !
- Toi aussi bébé, je n’en pouvais plus, il fallait que je te montre que j’étais bien venue pour toi et je mourais d’envie de goûter à ta bouche.
- Hmmm princesse, tu me mets dans un tel état, encore plus qu’en virtuel.
- Pour votre plaisir monsieur !
Après ce fougueux baiser, on se dirigea vers sa chambre où je découvris un lit à baldaquin très sensuel avec de somptueux draps rouges en soie.
- Je les ai acheté rien que pour toi princesse.
- Ils sont magnifiques, tu sais bien recevoir tes invitées.
- Surtout toi princesse ! Pour votre plaisir madame.
- Hmmm j’adore, hâte de les inaugurer.
A ces mots, mon tendre complice m’attira vers le lit et à la vue de son regard de braise, j’ai tout de suite su qu’il avait envie de moi, tout comme moi j’avais terriblement envie de lui.
- J’ai envie de te baiser princesse, j’ai envie de me glisser dans tous tes orifices.
- Aaah, Firas tu me rends dingue aussi, et j’ai très envie que tu me baises.
Les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. Firas m’a agrippé les hanches et a commencé par me caresser les fesses.
- J’adore tes fesses ma belle, elles sont bien rebondies et tiennent bien en main.
Je frissonnais sous ses caresses, hmmm, il était si habiles de ses mains.
- Tu me fais frissonner, complice.
- J’ai envie de faire plus que ça, je veux t’amener au-delà de l’orgasme princesse !
Tout à coup, une pulsion est montée en moi. Je me suis accroupie devant Firas qui me dominait de sa taille. Je lui ai lançais un regard très aguicheur pour qu’il comprenne ce que j’allais faire. Je posa mes mains sur sa taille et je commençais à retirer la fermeture éclair de son jean, mes mains étaient tremblantes, mon coeur battait la chamade. J’ôtais son bouton et je commençais à descendre son jean, pour apercevoir un boxer rouge très sexy, qui mettait parfaitement ses jolies fesses rebondies en valeur.
Il passa chacune de ses jambes pour retirer son jean, il était en boxer à la hauteur de ma bouche. Hmmm, quelle vue magnifique ! Une légère bosse déformait le tissu serré. Firas respirait vite et fort, il me regardait avec un regard brûlant de désir.
Je me releva pour lui ôter sa chemise, je voulais voir, toucher, goûter son torse. Je posa mes mains sur ses épaules par dessus sa chemise, je sentais son cœur battre à tout rompre. Il ne me lâchait pas du regard.
- Tu me rends dingue princesse !
- J’ai envie de faire bien plus pour toi bébé !
J’ôtai un à un les boutons de sa chemise et à chaque bouton enlevé, je déposais un léger baiser sur sa peau brûlante. A chaque baiser, je sentais Firas qui se contractait en gémissant.
- Hmmm, c’est trop bon de sentir tes lèvres sur ma peau, tu es si douce.
Je retirais sa chemise de ses épaules, chemise qui glissa sur le sol. Firas était en boxer, torse nu devant moi, je scrutais son corps dans le moindre détail en passant ma langue sur mes lèvres et en jetant des regards brûlants à mon complice.
- Tu me rends folle bébé, tu me donnes très envie !
A ces mots, j’ai vu le regard de Firas changer et devenir ardent de désir.
- Moi aussi, j’ai très envie de toi !
Firas attrapa le bas de mon pull, le remonta et le passa par dessus ma tête, il descendit ses mains sur ma taille et attrapa l’élastique de mon leggings et le fit descendre. Je passa chacune de mes jambes pour me libérer de mon pantalon.
A mon tour, je me retrouvais face à Firas en lingerie. Et pour ce jour spécial de notre rencontre, j’avais choisi ma plus belle lingerie et comme je connaissais les goûts de Firas, je n’avais pas hésité longtemps devant ma garde-robe.
Je portais une lingerie entièrement noire et en dentelle. J’avais revêtu un soutien-gorge corbeille qui relevait parfaitement ma poitrine, avec un string coordonné (le pêcher mignon de Firas, je le cite : « cela met bien tes jolies fesses en valeur »), un porte-jarretelles également noir par dessous mon string (pour la pratique) et une paire de bas en petite résille noire.
Quand Firas eut fini de me déshabiller, il me regardait de haut en bas, en admirant ma lingerie en passant sa langue sur ses lèvres. Et cette lingerie eut l’effet que j’espérais sur mon amant.
- Très bon choix de lingerie, ma belle. Tu sais te mettre en valeur dans de magnifiques vêtements, j’adore !
Je voyais sa queue qui devenait de plus en plus gonflée dans son boxer, elle était même trop à l’étroit. Pour éviter qu’il continue de souffrir de cette situation, j’approchai ma main de son boxer, je le fit glisser pour libérer son sexe qui était légèrement dressé devant moi.
- Quelle belle queue, cher complice, comme dans mes rêves les plus fous et mes souvenirs de tes photos très torrides.
- Ravie qu’elle te plaise, elle est entièrement à toi, complice !
- J’ai très envie de la prendre en bouche !
- Hmmm, fais-toi plaisir princesse, ce n’est pas moi qui vais t’en empêcher.
J’ai donc glissé à genoux sur la moquette de la chambre, devant la queue presque tendue de Firas. Elle avait déjà une belle grosseur. Je saisi la hampe d’une main. Firas eut un sursaut et laissa échapper un gémissement. Je déposa un baiser sur son gland gonflé. Ma langue glissa sur la longueur d’un côté puis de l’autre.
Je remontais et passais ma langue sur le tour de son gland. J’entendais Firas gémir, sa respiration était plus rapide, plus sourde, presque animale, hmmm quel délice de l’entendre ainsi gémir.
Avec mon autre main, je caressais ses couilles, belles et gonflées par l’excitation. Il se crispait à chaque fois que je passais ma langue brûlante sur son gland devenu très sensible. Soudain, je glissais sa queue dans ma bouche presque jusqu’à la garde, je voulais qu’il continue de grossir.
Sa queue était délicieuse, légèrement veinée, hmmm j’adorais l’avoir en bouche et la sentir sous ma langue, mais comme je ne voulais pas qu’il jouisse tout de suite, je sortis sa queue de ma bouche. Je sentais que Firas en voulait plus, je le voyais dans son regard de braise.
- J’ai adoré ta fellation princesse, j’ai aimé être au chaud dans ta bouche, tu sais t’y prendre pour me rendre dingue !!
- Ravie que cela t’ai plu. Et je vois que tu en veux plus ?
- Oui, je te veux toi, toute entière, rien qu’à moi.
- Je suis à toi bébé. J’ai tellement envie de te donner du plaisir et que tu m’en donnes en retour.
D’un seul coup, Firas me releva, m’embrassa sauvagement et me poussa sur le lit. L’effet froid des draps me fit frissonner. J’étais allongée dans ce grand lit et Firas me scrutait, me frôlait du regard. Hmmm, j’adorais cette sensation de lui appartenir.
Il avança vers le lit avec une démarche animale, très sensuelle. Il approcha ses mains de mon corps fiévreux, il attrapa mon string et le fit glisser. Je soulevais le bassin pour l’aider à faire descendre mon string. Il remonta ses mains sur ma poitrine, mon buste était redressé, j’avais pris appui sur mes avant bras, il caressa mes seins gonflés par l’excitation.
Ses caresses étaient douces, je sentais à peine ses doigts qui effleuraient le tissu, il glissa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine, tout en déposant de tendres baisers dans le creux de mon cou, sur ma clavicule. Aaah, quelle sensation divine et intense. Ses baisers étaient légers mais ils électrisaient tout mon corps. Je gémissais et me cambrais pour que mes seins viennent toucher son torse.
Il descendit sa bouche vers ma poitrine et commença à embrasser un sein puis l’autre, il jouait avec mes tétons déjà tendus par ses baisers. Firas savait s’y prendre aussi pour me donner du plaisir. Il suçotait, mordillait, léchait mes tétons, il soufflait dessus pour qu’ils continuent de pointer et de durcir.
- Aaah, Firas tu me rends dingue.
- Pour ton plaisir princesse, j’aime tout de toi, tout ton corps est offert au plaisir.
Sa bouche descendit sur mon ventre où il déposait de légers baisers. Je me tortillais sous les chatouilles que Firas me procurait.
- Tu es si réceptive à mes caresses ma belle !
- C’est l’effet que tu me procures bébé ! Mon plaisir est à toi.
Firas continua de descendre sur mon corps, il caressait mon ventre, mes cuisses, mes jambes par dessus mes bas résille.Je gémissais et me cambrais pour mieux recevoir ses caresses. Il approcha sa bouche de mon pubis où il déposait de légers et chauds baisers.
Il écarta mes lèvres avec ses doigts. J’étais déjà bien humide. Il fit glisser ses doigts habiles entre mes lèvres et remonta sur mon clito.
- Aaah, c’est trop bon !
- Hmmm, princesse, je veux te goûter !
Tout à coup , il goba mon clito devenu très sensible tout en enfonçant ses doigts entre mes lèvres.
- Hmmm, princesse, ton clito est délicieux et ta petite chatte humide est très accueillante.
- Aaah, bébé !
Je gémissais de plus en plus sous son divin cunni, sa langue sur mon clito brûlant me rendait dingue, je sentais l’excitation qui montait en moi. Firas léchait mon clito avec sa langue experte, il aspirait de plus en plus fort. Je sentais que je coulais sur sa langue, je me cambrais plus fort sous ses assauts de plus en plus pénétrants.
- Aaah, bébé, fais-moi jouir.
- Non ma belle, pas encore.
Cette sensation était à la fois exquise et douloureuse, mon clito était engourdi par l’excitation, ma chatte était de plus en plus trempée. Firas jouait de ses doigts en moi, il accélérait ses mouvements puis ralentissait en me laissant au bord de la jouissance. Il faisait pareil avec mon clito, il le dévorait sauvagement puis il s’arrêtait.
Ma respiration était rapide mais étouffée par mes gémissements. La jouissance montait de plus en plus fort en moi.
- Aaah bébé, je n’en peux plus je veux que tu me baises fort.
- Ok ma belle, je vais te baiser fort.
A ces mots, Firas me retourna, me plaça en levrette sur les draps de soie, il me poussa plus sur le lit pour pouvoir s’installer derrière moi et soudain il me pénétra violemment de toute sa longueur. Cette pénétration m’arracha un cri :
- Aaaah putain, c’est trop bon, défonces-moi bébé !
Firas s’agrippa à mes hanches et me pénétra plus fort plus profond. Je l’entendais gémir à chaque coup de reins. Je me cambrais plus, pour le recevoir plus fort en moi. Ses mains tenaient sauvagement, fermement mes hanches. Je sentais ma jouissance qui coulait le long de mes cuisses, je respirais par saccades et je hurlais de plus en plus fort, c’était quasiment animal.
Firas me pénétrait sauvagement, intensément en s’enfonçant profondément dans ma chatte ruisselante.
- Hmmm ma belle, tu vas me faire jouir, tu es trop bandante !
- Baises-moi plus fort bébé, fais-moi jouir !
- Aaah, tu en veux encore- Oui bébé, défonces-moi, jouis pour moi.
On gémissait presque synchro, nos respirations étaient rapides et sifflantes. J’ hurlais plus fort à chaque coup de queue au fond de ma chatte. Firas faisait claquer ses couilles sous mes fesses à chaque pénétrations de plus en plus intenses.
Je n’en pouvais plus, tout mon corps était en feu, mes hanches, mes reins, ma chatte réclamaient le corps ardent de Firas. Il m’agrippa une dernière fois plus fort et il gicla en moi, en gémissant fort. Je jouissais quasiment en même temps dans un long râle essoufflé, je le sentais coulait au fond de ma chatte brûlante.
- Aaahh bébé, c’était bon et intense (tout en gémissant de plaisir)- Aaahh princesse, tu m’as fais jouir.
- Toi aussi complice, j’ai adoré.
On s’écroula sur les draps tous les 2 en transe. Cette baise fut intense, une de nos plus torrides. Nos 2 corps tremblaient l’un contre l’autre, on avait du mal à reprendre notre souffle. Je sentais Firas se blottir contre moi, et respirer sauvagement dans le creux de mon oreille. A travers ma respiration, je glissais quelques mots à Firas :
- Bébé, tu m’as rendue encore plus dingue qu’en virtuel.
- Merci ma belle. Je te retourne le compliment, j’ai adoré te baiser sauvagement. Tu es si bandante, tout ton corps est fait pour le plaisir de la chair.
- Ohhh bébé, et ce n’est que le premier jour de notre séjour ensemble.
- Oh oui, princesse ! Et j’ai hâte de recommencer et très envie aussi de glisser ma queue dans ton joli cul rebondi.
- Justement à ce sujet, j’ai un petit cadeau pour toi dans ma valise !
- Ne me dis pas que tu as acheté un rosebud ? (petit jouet sexuel pour le sexe anal en acier)- Non pas 1 mais 3, de 3 tailles différentes, bébé.
- Hmmm, j’adore que tu sois entreprenante comme ça princesse.
- Pour votre plaisir monsieur.
Après toutes ces émotions, nous avons filé à la salle de bains, où se trouvaient une grande douche à l’italienne et une baignoire d’angle, nous avons pris une douche ensemble bien entendu, on s’est habillés et nous sommes sortis boire un verre entre complices.
Mes chers coquins, je vous laisse imaginer la suite de la semaine entre Firas et moi.
A la prochaine pour de nouvelles aventures torrides et intenses.
Pour ce nouveau récit, un nouveau partenaire m’accompagne. Et oui, comme vous le savez, j’aime le changement dans ma vie sexuelle.
Avec Firas, et oui joli prénom, cela fait quasiment 5 ans que l’on se connaît, on a fait connaissance sur internet, qui aurait pu imaginer que je me serais dirigée vers le net pour faire de nouvelles rencontres.
Firas est un homme brun, ténébreux, musclé comme il faut sans excès, il a 37 ans et il est très sexy. Et surtout il est comme moi, il est très accro au sexe, pour cela que l’on s’entend si bien lui et moi.
5 ans de discussions intenses. Avec Firas, ce que j’aime c’est que l’on peut parler de tout, il est assez ouvert d’esprit, mais ce que l’on aime le plus tous 2, c’est parler de sexe bien évidemment.
Après autant d’années à se parler en virtuel, et surtout avec toutes nos conversations torrides, il était temps de se rencontrer en réel, surtout que l’on mourait d’envie de se voir et de pouvoir mettre en pratique nos conversations et voir si la complicité était vraiment réelle entre nous.
Le souci est que Monsieur Firas vit loin de moi. En effet, il habite à Paris, mais depuis quelque temps, il est encore plus loin de moi, il est parti vivre à Los Angeles pour son boulot où il travaille dans un laboratoire pharmaceutique.
Comme nous avions de plus en plus envie de se voir et d’arrêter le virtuel, depuis le temps, nous avons décidé de sauter le pas et d’arrêter de se chauffer sexuellement à distance.
Comme nous avions des congés en même temps, c’était pour nous la meilleure occasion pour enfin se rencontrer. On s’est mis d’accord pour passer une semaine ensemble. Certes, cela faisait beaucoup pour une première, mais on avait tellement envie de se rencontrer et de passer du temps ensemble. Mais sans vous mentir, on angoissait quand même, car après tant d’années à se parler par internet, on ne s’était jamais vu, mis à part en photo.
On s’est mis d’accord pour les vacances de février. Et double angoisse pour moi, première fois que je devais prendre l’avion, car oui, en effet, on s’est mis d’accord pour se rencontrer à Los Angeles. En fait, c’est moi qui ai proposé cette solution pour se trouver et passer notre semaine ensemble.
Tout organisé !! Je décolle de Paris, un dimanche vers 10h20, angoissée, avec la peur de l’inconnu. Un voyage de presque 12h m’attend. Avec Firas, on reste en contact comme on peut pendant ce voyage jusqu’à mon arrivée. Pour se retrouver à l’aéroport de Los Angeles, nous avons décidé de se vêtir avec un signe distinctif que nous seul pourrions reconnaître.
Je quitte Paris sous le froid, je suis habillée chaudement : manteau, bottes, écharpe,… Il fait à peine 3° C . On s’était mis d’accord : ce jour-là je portais un leggings noir, un pull vert, un manteau noir à capuche, des bottes noires mais surtout une rose blanche fixée à mon manteau (notre signe distinctif). Firas, devait me rejoindre à l’aéroport vêtu d’en jean, d’une chemise noire, d’une veste noire coordonnée avec notre fameuse rose blanche accrochée à la poche de la veste.
Atterrissage à l’aéroport international de Los Angeles, le vol s’est très bien passé, il est 12h50. Merci au décalage horaire de quasi 8h que je ressens immédiatement. Je récupère ma valise. J’ai la boule au ventre. Tout à coup, je vois un homme brun avec une rose blanche accrochée à une une jolie chemise noire cintrée et une pancarte avec mon prénom, mais sans prêter attention à la pancarte, j’ai repéré notre signe et je crois bien que Firas l’avait remarqué aussi en me voyant.
Mon cœur battait la chamade, j’ai ôté mon manteau sous l’angoisse de la situation mais surtout de la température de Los Angeles, il devait faire dans les 19° C.
Nous avons avancé l’un vers l’autre, à travers les autres voyageurs, comme si l’on se connaissait depuis toujours.
- Mallaury ?
- Firas ?
Immédiatement, nous étions de nouveau connectés mais cette fois-ci en réel, en face à face, une véritable complicité. Firas s’était avancé vers moi pour me faire la bise. Quand sa peau toucha la mienne, je ressentis un frisson qui me parcouru tout le corps, j’étais tétanisée, et je sentais le rouge me montait aux joues.
- Mallaury, te voilà enfin devant moi, cela fait si longtemps que je rêve de ce moment.
- Et oui, j’en suis surprise moi-même Firas. Je respire enfin, j’étais sur pause depuis le décollage.
- Moi aussi, j’ai angoissé jusqu’à te voir avec la rose.
- Cette rose était une excellente idée.
- Laisse-moi prendre ta valise, complice !
- Toujours aussi prévenant, complice !
(Complice étant le petit surnom que l’on se donne depuis notre rencontre sur internet).
Nous avons pris un taxi, et je ne sais pas pourquoi, mais j’avais l’impression de retrouver un être cher, perdu de vue depuis longtemps. Nous avons circulé un moment dans les rues bondées de L.A. Visiblement, à cette heure de la journée, la ville est en pleine effervescence.
Tout à coup, pendant le trajet, Firas posa sa main sur ma cuisse, et là, waouh ! Je ressentis une telle excitation, je serrais les cuisses sur la banquette comme par gêne.
- Mallaury, tu vas bien ?
Je me suis mise à bafouiller, toute gênée :
- Euh, euh oui désolée, je vais bien, ta main m’a surprise.
- Désolé, je ne voulais pas te surprendre ainsi.
- Au contraire, complice, ne sois pas désolé, c’est une belle surprise.
- Je voulais être amical, chaleureux, accueillant avec toi, je te sens angoissée ?
- Oui je le suis. Je suis dans une ville étrangère et inconnue, dans un taxi en plein Los Angeles avec mon complice de virtualité, un homme que je connais qu’à distance.
- Détends-toi Mallaury. Je veux que ton bien, que tu profites de ton séjour le plus possible et surtout que tu n’ai aucun regret de me rencontrer enfin.
- Ne t’inquiètes pas Firas, je ne regrette pas du tout d’être venu à Los Angeles et surtout je ne regrette pas de te rencontrer enfin, je l’ai voulu autant que toi complice !
Après un petit quart d’heure environ a rouler dans les rues de L.A., le taxi nous déposa devant une immense tour de verre. Je me sentais toute petite face à cette grandeur.
Firas régla le taxi, pendant ce temps, je sortis ma valise du coffre. J’étais subjuguée par la foule, la taille des immeubles et surtout j’étais à Los Angeles, mais surtout j’étais enfin avec « mon complice » depuis tout ce temps.
Soudain, m’ôtant de ma rêverie, Firas passa son bras autour de ma taille, j’eus un sursaut et je remarquai le regard très aguicheur du beau mâle qui me tenait fort contre lui. Je me sentais protégée et à ma place bizarrement.
On entra dans la grande tour qui était un immeuble résidentiel fait de lofts modernes. Je n’en revenais pas !
- Viens Mallaury, j’habite au 6ème. Suis-moi dans mon « home sweet home » (doux foyer).
Firas avait une voix enivrante, chaude, douce avec un accent des plus sexy, je frissonnais à chacun des mots qu’il prononçait, mais surtout je n’arrivais pas à détacher mes yeux des ses lèvres, j’avais une terrible envie de les mordre, de les goûter.
On prit donc l’ascenseur, j’étais dans un état mêlant fatigue, excitation, angoisse et envie. Firas me tenait encore par la taille, on était si proches, il sentait tellement bon, un parfum naturel, légèrement sucré, très viril. Hummm quelle sublime odeur !
Un « dong » nous indiqua que nous étions arrivés au bon étage. Firas s’avança dans un long couloir en portant ma valise. Quelle galanterie ! Je le suivais tout en observant sa démarche, et oui, j’aime regarder les belles choses, et devant moi, une jolie paire de fesses bien galbée dans un jean, déambulait dans ce long couloir, quelle merveilleuse vue pour mes yeux !
Soudain Firas s’arrêta devant un porte, au numéro 4. Comme le hasard faisait bien les choses, le 4 étant mon chiffre porte-bonheur. Il sortit son trousseau de clés, ouvrit la porte et me dit :
- Mallaury, chère complice, si tu veux bien entrer ?
- Merci, cher complice, avec plaisir !
A ce moment, je sentais une tension sexuelle très intense entre nous. Et Firas devait la ressentir également car à l’instant où je franchissais le seuil de la porte, je sentis sa main me donnait la fessée. Hummm, quel délice !
Une décharge électrique me parcouru le corps et j’entendis Firas gémir et murmurer :
- Hummm, cette paire de fesses, j’en ai tellement rêvé !
- Hummm, tu sais que j’aime ça, cher complice !
Entrés dans le loft et là, waouh, sublime. Un loft lumineux, assez grand avec une baie vitrée qui montrait une vue splendide de Los Angeles. J’enlevai mes bottes et accrocha mon manteau derrière la porte d’entrée et Firas me dit :
- Princesse, veux-tu que je te fasse faire le tour du propriétaire ?
- Avec plaisir bébé !
Il n’y avait plus aucune gêne entre nous. Au contraire, on était si proches, on rigolait aux blagues de l’autre, nos regards se croisaient et se fixaient. On était « complices » et même encore plus qu’en virtuel.
Firas m’emmena vers la cuisine, qui était toute équipée avec de l’électroménager dernier cri, très high-tech, avec de jolis meublés laqués en bordeaux et noir, juste sublime. Dans cette cuisine, se trouvait également un plan de travail à mi hauteur en îlot central.
Tout à coup, je fus prise d’une terrible envie, une pulsion même. Je poussa Firas vers le plan de travail et je le retourna très rapidement pour qu’il se retrouve face à moi ; j’ai avancé à hauteur de sa bouche sensuelle qui me faisait envie depuis mon arrivée à l’aéroport. J’étais plus petite que lui, mais les talons aidant, j’étais finalement pile à la hauteur de sa bouche.
Je l’embrassa sauvagement et Firas répondit immédiatement à mon baiser. Un baiser sensuel et langoureux, Firas me plaqua sauvagement contre lui , ma poitrine vint s’écraser contre son torse musclé qui se dessinait sous sa chemise. Il me murmura au creux de l’oreille :
- Aaah, tu me rends dingue !
- Toi aussi bébé, je n’en pouvais plus, il fallait que je te montre que j’étais bien venue pour toi et je mourais d’envie de goûter à ta bouche.
- Hmmm princesse, tu me mets dans un tel état, encore plus qu’en virtuel.
- Pour votre plaisir monsieur !
Après ce fougueux baiser, on se dirigea vers sa chambre où je découvris un lit à baldaquin très sensuel avec de somptueux draps rouges en soie.
- Je les ai acheté rien que pour toi princesse.
- Ils sont magnifiques, tu sais bien recevoir tes invitées.
- Surtout toi princesse ! Pour votre plaisir madame.
- Hmmm j’adore, hâte de les inaugurer.
A ces mots, mon tendre complice m’attira vers le lit et à la vue de son regard de braise, j’ai tout de suite su qu’il avait envie de moi, tout comme moi j’avais terriblement envie de lui.
- J’ai envie de te baiser princesse, j’ai envie de me glisser dans tous tes orifices.
- Aaah, Firas tu me rends dingue aussi, et j’ai très envie que tu me baises.
Les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. Firas m’a agrippé les hanches et a commencé par me caresser les fesses.
- J’adore tes fesses ma belle, elles sont bien rebondies et tiennent bien en main.
Je frissonnais sous ses caresses, hmmm, il était si habiles de ses mains.
- Tu me fais frissonner, complice.
- J’ai envie de faire plus que ça, je veux t’amener au-delà de l’orgasme princesse !
Tout à coup, une pulsion est montée en moi. Je me suis accroupie devant Firas qui me dominait de sa taille. Je lui ai lançais un regard très aguicheur pour qu’il comprenne ce que j’allais faire. Je posa mes mains sur sa taille et je commençais à retirer la fermeture éclair de son jean, mes mains étaient tremblantes, mon coeur battait la chamade. J’ôtais son bouton et je commençais à descendre son jean, pour apercevoir un boxer rouge très sexy, qui mettait parfaitement ses jolies fesses rebondies en valeur.
Il passa chacune de ses jambes pour retirer son jean, il était en boxer à la hauteur de ma bouche. Hmmm, quelle vue magnifique ! Une légère bosse déformait le tissu serré. Firas respirait vite et fort, il me regardait avec un regard brûlant de désir.
Je me releva pour lui ôter sa chemise, je voulais voir, toucher, goûter son torse. Je posa mes mains sur ses épaules par dessus sa chemise, je sentais son cœur battre à tout rompre. Il ne me lâchait pas du regard.
- Tu me rends dingue princesse !
- J’ai envie de faire bien plus pour toi bébé !
J’ôtai un à un les boutons de sa chemise et à chaque bouton enlevé, je déposais un léger baiser sur sa peau brûlante. A chaque baiser, je sentais Firas qui se contractait en gémissant.
- Hmmm, c’est trop bon de sentir tes lèvres sur ma peau, tu es si douce.
Je retirais sa chemise de ses épaules, chemise qui glissa sur le sol. Firas était en boxer, torse nu devant moi, je scrutais son corps dans le moindre détail en passant ma langue sur mes lèvres et en jetant des regards brûlants à mon complice.
- Tu me rends folle bébé, tu me donnes très envie !
A ces mots, j’ai vu le regard de Firas changer et devenir ardent de désir.
- Moi aussi, j’ai très envie de toi !
Firas attrapa le bas de mon pull, le remonta et le passa par dessus ma tête, il descendit ses mains sur ma taille et attrapa l’élastique de mon leggings et le fit descendre. Je passa chacune de mes jambes pour me libérer de mon pantalon.
A mon tour, je me retrouvais face à Firas en lingerie. Et pour ce jour spécial de notre rencontre, j’avais choisi ma plus belle lingerie et comme je connaissais les goûts de Firas, je n’avais pas hésité longtemps devant ma garde-robe.
Je portais une lingerie entièrement noire et en dentelle. J’avais revêtu un soutien-gorge corbeille qui relevait parfaitement ma poitrine, avec un string coordonné (le pêcher mignon de Firas, je le cite : « cela met bien tes jolies fesses en valeur »), un porte-jarretelles également noir par dessous mon string (pour la pratique) et une paire de bas en petite résille noire.
Quand Firas eut fini de me déshabiller, il me regardait de haut en bas, en admirant ma lingerie en passant sa langue sur ses lèvres. Et cette lingerie eut l’effet que j’espérais sur mon amant.
- Très bon choix de lingerie, ma belle. Tu sais te mettre en valeur dans de magnifiques vêtements, j’adore !
Je voyais sa queue qui devenait de plus en plus gonflée dans son boxer, elle était même trop à l’étroit. Pour éviter qu’il continue de souffrir de cette situation, j’approchai ma main de son boxer, je le fit glisser pour libérer son sexe qui était légèrement dressé devant moi.
- Quelle belle queue, cher complice, comme dans mes rêves les plus fous et mes souvenirs de tes photos très torrides.
- Ravie qu’elle te plaise, elle est entièrement à toi, complice !
- J’ai très envie de la prendre en bouche !
- Hmmm, fais-toi plaisir princesse, ce n’est pas moi qui vais t’en empêcher.
J’ai donc glissé à genoux sur la moquette de la chambre, devant la queue presque tendue de Firas. Elle avait déjà une belle grosseur. Je saisi la hampe d’une main. Firas eut un sursaut et laissa échapper un gémissement. Je déposa un baiser sur son gland gonflé. Ma langue glissa sur la longueur d’un côté puis de l’autre.
Je remontais et passais ma langue sur le tour de son gland. J’entendais Firas gémir, sa respiration était plus rapide, plus sourde, presque animale, hmmm quel délice de l’entendre ainsi gémir.
Avec mon autre main, je caressais ses couilles, belles et gonflées par l’excitation. Il se crispait à chaque fois que je passais ma langue brûlante sur son gland devenu très sensible. Soudain, je glissais sa queue dans ma bouche presque jusqu’à la garde, je voulais qu’il continue de grossir.
Sa queue était délicieuse, légèrement veinée, hmmm j’adorais l’avoir en bouche et la sentir sous ma langue, mais comme je ne voulais pas qu’il jouisse tout de suite, je sortis sa queue de ma bouche. Je sentais que Firas en voulait plus, je le voyais dans son regard de braise.
- J’ai adoré ta fellation princesse, j’ai aimé être au chaud dans ta bouche, tu sais t’y prendre pour me rendre dingue !!
- Ravie que cela t’ai plu. Et je vois que tu en veux plus ?
- Oui, je te veux toi, toute entière, rien qu’à moi.
- Je suis à toi bébé. J’ai tellement envie de te donner du plaisir et que tu m’en donnes en retour.
D’un seul coup, Firas me releva, m’embrassa sauvagement et me poussa sur le lit. L’effet froid des draps me fit frissonner. J’étais allongée dans ce grand lit et Firas me scrutait, me frôlait du regard. Hmmm, j’adorais cette sensation de lui appartenir.
Il avança vers le lit avec une démarche animale, très sensuelle. Il approcha ses mains de mon corps fiévreux, il attrapa mon string et le fit glisser. Je soulevais le bassin pour l’aider à faire descendre mon string. Il remonta ses mains sur ma poitrine, mon buste était redressé, j’avais pris appui sur mes avant bras, il caressa mes seins gonflés par l’excitation.
Ses caresses étaient douces, je sentais à peine ses doigts qui effleuraient le tissu, il glissa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine, tout en déposant de tendres baisers dans le creux de mon cou, sur ma clavicule. Aaah, quelle sensation divine et intense. Ses baisers étaient légers mais ils électrisaient tout mon corps. Je gémissais et me cambrais pour que mes seins viennent toucher son torse.
Il descendit sa bouche vers ma poitrine et commença à embrasser un sein puis l’autre, il jouait avec mes tétons déjà tendus par ses baisers. Firas savait s’y prendre aussi pour me donner du plaisir. Il suçotait, mordillait, léchait mes tétons, il soufflait dessus pour qu’ils continuent de pointer et de durcir.
- Aaah, Firas tu me rends dingue.
- Pour ton plaisir princesse, j’aime tout de toi, tout ton corps est offert au plaisir.
Sa bouche descendit sur mon ventre où il déposait de légers baisers. Je me tortillais sous les chatouilles que Firas me procurait.
- Tu es si réceptive à mes caresses ma belle !
- C’est l’effet que tu me procures bébé ! Mon plaisir est à toi.
Firas continua de descendre sur mon corps, il caressait mon ventre, mes cuisses, mes jambes par dessus mes bas résille.Je gémissais et me cambrais pour mieux recevoir ses caresses. Il approcha sa bouche de mon pubis où il déposait de légers et chauds baisers.
Il écarta mes lèvres avec ses doigts. J’étais déjà bien humide. Il fit glisser ses doigts habiles entre mes lèvres et remonta sur mon clito.
- Aaah, c’est trop bon !
- Hmmm, princesse, je veux te goûter !
Tout à coup , il goba mon clito devenu très sensible tout en enfonçant ses doigts entre mes lèvres.
- Hmmm, princesse, ton clito est délicieux et ta petite chatte humide est très accueillante.
- Aaah, bébé !
Je gémissais de plus en plus sous son divin cunni, sa langue sur mon clito brûlant me rendait dingue, je sentais l’excitation qui montait en moi. Firas léchait mon clito avec sa langue experte, il aspirait de plus en plus fort. Je sentais que je coulais sur sa langue, je me cambrais plus fort sous ses assauts de plus en plus pénétrants.
- Aaah, bébé, fais-moi jouir.
- Non ma belle, pas encore.
Cette sensation était à la fois exquise et douloureuse, mon clito était engourdi par l’excitation, ma chatte était de plus en plus trempée. Firas jouait de ses doigts en moi, il accélérait ses mouvements puis ralentissait en me laissant au bord de la jouissance. Il faisait pareil avec mon clito, il le dévorait sauvagement puis il s’arrêtait.
Ma respiration était rapide mais étouffée par mes gémissements. La jouissance montait de plus en plus fort en moi.
- Aaah bébé, je n’en peux plus je veux que tu me baises fort.
- Ok ma belle, je vais te baiser fort.
A ces mots, Firas me retourna, me plaça en levrette sur les draps de soie, il me poussa plus sur le lit pour pouvoir s’installer derrière moi et soudain il me pénétra violemment de toute sa longueur. Cette pénétration m’arracha un cri :
- Aaaah putain, c’est trop bon, défonces-moi bébé !
Firas s’agrippa à mes hanches et me pénétra plus fort plus profond. Je l’entendais gémir à chaque coup de reins. Je me cambrais plus, pour le recevoir plus fort en moi. Ses mains tenaient sauvagement, fermement mes hanches. Je sentais ma jouissance qui coulait le long de mes cuisses, je respirais par saccades et je hurlais de plus en plus fort, c’était quasiment animal.
Firas me pénétrait sauvagement, intensément en s’enfonçant profondément dans ma chatte ruisselante.
- Hmmm ma belle, tu vas me faire jouir, tu es trop bandante !
- Baises-moi plus fort bébé, fais-moi jouir !
- Aaah, tu en veux encore- Oui bébé, défonces-moi, jouis pour moi.
On gémissait presque synchro, nos respirations étaient rapides et sifflantes. J’ hurlais plus fort à chaque coup de queue au fond de ma chatte. Firas faisait claquer ses couilles sous mes fesses à chaque pénétrations de plus en plus intenses.
Je n’en pouvais plus, tout mon corps était en feu, mes hanches, mes reins, ma chatte réclamaient le corps ardent de Firas. Il m’agrippa une dernière fois plus fort et il gicla en moi, en gémissant fort. Je jouissais quasiment en même temps dans un long râle essoufflé, je le sentais coulait au fond de ma chatte brûlante.
- Aaahh bébé, c’était bon et intense (tout en gémissant de plaisir)- Aaahh princesse, tu m’as fais jouir.
- Toi aussi complice, j’ai adoré.
On s’écroula sur les draps tous les 2 en transe. Cette baise fut intense, une de nos plus torrides. Nos 2 corps tremblaient l’un contre l’autre, on avait du mal à reprendre notre souffle. Je sentais Firas se blottir contre moi, et respirer sauvagement dans le creux de mon oreille. A travers ma respiration, je glissais quelques mots à Firas :
- Bébé, tu m’as rendue encore plus dingue qu’en virtuel.
- Merci ma belle. Je te retourne le compliment, j’ai adoré te baiser sauvagement. Tu es si bandante, tout ton corps est fait pour le plaisir de la chair.
- Ohhh bébé, et ce n’est que le premier jour de notre séjour ensemble.
- Oh oui, princesse ! Et j’ai hâte de recommencer et très envie aussi de glisser ma queue dans ton joli cul rebondi.
- Justement à ce sujet, j’ai un petit cadeau pour toi dans ma valise !
- Ne me dis pas que tu as acheté un rosebud ? (petit jouet sexuel pour le sexe anal en acier)- Non pas 1 mais 3, de 3 tailles différentes, bébé.
- Hmmm, j’adore que tu sois entreprenante comme ça princesse.
- Pour votre plaisir monsieur.
Après toutes ces émotions, nous avons filé à la salle de bains, où se trouvaient une grande douche à l’italienne et une baignoire d’angle, nous avons pris une douche ensemble bien entendu, on s’est habillés et nous sommes sortis boire un verre entre complices.
Mes chers coquins, je vous laisse imaginer la suite de la semaine entre Firas et moi.
A la prochaine pour de nouvelles aventures torrides et intenses.
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