mon coup de foudre - histoire érotique

Cette histoire est tirée de mon expérience personnelle. Cela se passe il y a maintenant presque 5 ans je sais cela date mais les souvenirs sont toujours gravés dans ma mémoire. Alors à cette époque j’étais au lycée en terminale. Dans ma classe il y avait une fille avec qui j’étais copine, elle a voulu me présenter un de ses copains garçons. Elle voulait que l’on sorte ensemble.
A cette époque, on se trouvait en plein hiver, on était en plein mois de novembre. Ils sont venus me voir dans mon village le dimanche 20 novembre. Pour tout vous dire, au départ je n’étais pas trop d’accord pour rencontrer ce garçon, j’avais peur de ne pas lui plaire mais ce fut tout le contraire, quand je l’ai vu descendre de sa voiture, j’ai eu le coup de foudre, j’étais totalement sous le charme.
Je suis sortie avec lui en fin de journée, c’est la première fois que je ressentais de tels sentiments, j’avais le sentiment d’avoir trouvé mon idéal masculin. Mais en fait je vais plutôt vous raconter notre premier rapport sexuel qui a été plutôt mouvementé si je peux dire.
Pour notre première fois, cela s’est passé le soir lors d’une soirée organisée prés de chez lui. Au beau milieu de la soirée, on avait tellement envie l’un de l’autre, que nous avons quitté nos amis respectifs. Nous sommes partis en voiture, nous avons remarqué un chemin en bordure de champ. On s’est garés dans le chemin, en fait le champ était un champ de betteraves pour l’anecdote.
Cela faisait qu’une semaine que l’on était en couple mais la passion et l’envie était déjà bien présente. On s’est posé à l’arrière de sa voiture. On a commencé à se caresser, à s’embrasser, on s’est déshabiller et on s’est vite retrouvé complètement nus sur la banquette arrière.
J’ai commencé à le sucer tendrement pendant que lui me caressait le dos, j’adorais, c’était une des rares fois que je faisais l’amour avec un garçon que j’aimais. Par la suite on a décidé de se mettre dans la position du 69. C’était la première que je pratiquais la position du 69, j’adorais la sensation que me procurais le cunni pendant que je le suçais.
On est resté pas mal de temps dans cette position, c’était la première fois que je tenais aussi longtemps dans une telle position. Ensuite, il s’est installé assis confortablement sur la banquette, je l’ai chevauché face contre face pour pouvoir s’embrasser et se caresser. Cette position était très excitante, nos caresses étaient tendres et à la fois sauvages.
Ensuite, j’ai changé de sens, je lui tournais le dos mais cette position était encore plus excitante car je me voyais dans le rétroviseur intérieur de la voiture, j’avais une vue plongeante de notre relation sexuelle.
Tout à coup, on a du s’interrompre car mon aimé a eu une envie pressante, il est sorti dehors, il était complètement nu et il est sorti dehors alors qu’il faisait froid, il y avait même de la neige dehors. Moi j’étais dans la voiture en train de me remettre de mes nouvelles émotions. Quand il est rentré dans la voiture, j’ai voulu le réchauffer à ma façon, je lui ai fais une nouvelle pipe.
Ensuite, nous avons repris notre chevauchée fantastique, si je peux dire. J’étais tellement bien dans ses bras, j’avais l’impression que le temps s’était arrêté rien que pour nous. J’étais dans les bras de mon homme que j’aimais passionnément. Ensuite après cette seconde fellation, je me suis allongée sur la banquette et mon amant m’a pénétrait en missionnaire. Au début, il était doux et il prenait son temps, mais je lui ai demandé de me pénétrer plus vite et plus intensément. Ses va-et-vient étaient terriblement torrides, malgré la température du dehors, on transpirait et les vitres de la voiture étaient remplies de buée tellement on était excité.
On s’est calmé le temps de faire une pause cigarette, je n’en pouvais plus physiquement mais mon cerveau en redemander encore. Pendant notre pause, on était enlacé, j’étais si bien, je ne pensais à rien d’autre.

Quand nous avons recommencé à faire l’amour, nous avons cette fois pratiqué la levrette, une position que j’adore particulièrement. Je me déhanchais sous les coups intenses de sa queue. J’avais l’impression de planer tellement mon excitation était puissante. J’aurais pu rester dans cette position des heures entières.
Nous avons fait l’amour pas mal de temps dans sa voiture, on était seul au monde, et à ce moment là on pouvait exprimer notre amour sans limite et sans être dérangé. Nous avons enchaîné les positions, je faisais des positions que je n’avais jamais faites auparavant comme le 69, sur lui face à face sur la banquette.
Un moment j’étais assise sur lui face à face, nous étions tendrement enlacés, j’avais l’impression d’être sur un nuage, j’étais en train de vivre une expérience exceptionnelle. Je me suis repositionnée en levrette, je m’entends encore lui dire :
- Prends-moi plus fort j’aime ça.
Il m’a sourit et m’a répondu :
- Comme tu veux mais ne viens pas te plaindre après.
Sous l’effet de ses mouvements intenses, je jouissais tellement fort, je ne pensais qu’à mon plaisir, je ne me souviens plus trop combien de fois j’ai pu jouir mais une chose est sûre c’est que j’ai pris mon pied à plusieurs reprises. Au moment où il allait jouir, il m’a posé une question qui me fait encore sourire aujourd’hui, il m’a demandé :
- Au fait, je peux cracher en toi ou ailleurs ?
Je lui ai répondu :
- Non crache moi dans la bouche car je ne prends pas la pilule.
Je me suis alors retournée à genoux sur la banquette face à sa queue dressée devant moi, il s’est branlé quelques instants et il m’a dit :
- Approche ta langue je vais te donner tout mon sperme.
J’ai alors pris sa queue gonflée dans ma bouche et j’ai senti plusieurs jets descendre au fond de ma gorge, j’ai adoré cette sensation.
Après on s’est posé tranquillement sur la banquette et nous avons repris nos esprits en fumant une cigarette. On était même pas rhabillés, on était tellement bien dans les bras l’un de l’autre, je ne voulais pas repartir à la soirée voir nos amis. Avec nous deux, sa pauvre voiture en a vu de toutes les couleurs, même le capot a subi nos ébats torrides.



A plus tard pour ma prochaine aventure torride.