LA COCOTTE DU NEGRESCO

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
  • • 98 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de Patou bcbg mature pulpeuse ont reçu un total de 1 073 873 visites.
Récit libertin : LA COCOTTE DU NEGRESCO Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 491 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.6 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
LA COCOTTE DU NEGRESCO
Je me préparais pour la soirée de gala avec une robe de soirée manches extra-longues qui trainaient par terre, scintillantes de couleur bleu marine, très glamour et moulante avec un col rond et une taille haute. J’étais éblouissante et époustouflante. Enfin prête, je gagnais le salon Masséna dans lequel nous avions prévu le cocktail apéritif avant le repas dans le salon royal. Cette soirée de gala se devait digne des plus grands films, avec dans un premier temps un cocktail apéritif au champagne, accompagné par un quatuor discret et une célébration, ou l’équipe de management, remettait des prix aux collaborateurs les plus méritants. Je naviguais de groupe en groupe, discutant et échangeant des mondanités, essayant autant que faire ce peu, d’éviter Daniel le président du club de Basket. Après cet apéritif, nous regagnâmes le salon royal pour le dîner. Les invités pouvaient déguster un menu composé de 3 plats spécialement préparé par le Chef, et pouvaient même esquisser quelques pas de danse au rythme de l’orchestre. Un décor exceptionnel pour une réception exceptionnelle. Je dansais plusieurs fois, poliment invité par des collaborateurs et notamment Patrick notre directeur commercial.
- Patricia, vous êtes époustouflante de beauté et de charme, une fois de plus.
- Merci Patrick, mais j’espère que vous allez savoir vous tenir.
- Ne vous inquiétez pas Patronne, vous m’avez déjà tant donné que je saurais être sage. Vous resterez dans tous les cas mon plus beau fantasme...
,Je souriais tendrement, et bien qu’il ait profité de moi dans plusieurs circonstances, je savais qu’il était toujours amoureux et que je pouvais compter sur lui comme un chevalier servant. La soirée se poursuivait, gaie, et festive, et tout le monde profitait du repas raffiné. Après le dîner, un premier groupe se dirigea vers le bar, alors que d’autres profitaient encore de l’orchestre. Je me rendais au bar, accompagnée par Patrick et quelques autres managers. Le bar du Negresco, avec ses boiseries authentiques en noyer et son exceptionnelle tapisserie, était un lieu de dégustation feutré. Le soir venu, il vivait au rythme des accords de jazz, pop et soûl avec une ambiance éclectique et cosmopolite ce qui en faisait un lieu très French Riviera. Installée au bar et dégustant une coupe de champagne, Daniel accompagné d’Antoine et Quentin se joignirent à nous. Le président prit place à ma droite, alors que les deux jeunes sportifs étaient en face de moi. Ce petit groupe, insolite, rassemblé un grand nombre de mes ex amants, et j’imaginais, avec plaisir, au combien ils devaient me trouver désirable, dans ma tenue de soirée, dont la robe était comme une seconde peau. La conversation s’orienta très naturellement sur les performances sportives du club et la saison à venir, ce qui permettait à Daniel de briller en expliquant sa stratégie, alors qu'Antoine et Quentin me dévoraient des yeux. Au bout d’un petit quart d’heure, Richard nous interrompit afin de proposer à Daniel de participer à la partie de poker, ce qu’il ne put refuser. Je remerciais secrètement mon mari de me débarrasser de cet homme que je n’appréciais guère.
- Messieurs, je vous confie ma femme pour la soirée. Ne m’attends pas ma chérie...
Après une bise pleine de tendresse, mon mari disparu avec Daniel, me laissant seule avec mes courtisans. J’étais entourée de tous ces hommes, telle une bourgeoise mondaine dont la connotation luxueuse donnait un côté érotique à cette ambiance, pleine de fantasme et de promesse. Nous débattions sur le caractère illustre des lieux, et je décrivais notamment à mes jeunes ex-amants, la beauté des étages avec ces galeries d'art permanentes.
- Et si vous nous faisiez visiter ces endroits magiques ?
- Avec plaisir Quentin, prenons quelques minutes pour admirer ces œuvres magnifiques.
Je quittais le bar, prenant les escaliers pour déambuler dans les étages accompagnée par mes deux chevaliers servants. Il était 1 heure du matin, et l’hôtel était calme nous permettant d‘apprécier les toiles, mais aussi les meubles divers. Se balader dans les couloirs et salons du Negresco, c’était parcourir un joyeux mélange d’époques et de styles. Avec des œuvres dédiés à Louis XVI ou à Napoléon III, pendant plus de quarante ans, la propriétaire avait habillé les murs de son hôtel. Arrivés au 3e étage, nous nous arrêtions devant une toile représentant Louis XIV suspendu dans le couloir à proximité de l’ascenseur. Alors que j’expliquais le concept de l’hôtel, je sentis la présence de Quentin qui s’était collé dans mon dos, me prenant par les hanches me tenant serré contre lui.
- La seule véritable œuvre d’art de cet hôtel, c’est toi, belle Patricia.
- Ohhh Quentin, merci, mais ce n’est pas approprié.
- Ton mari, nous a demandé de s’occuper de toi, et c’est ce que nous allons faire, emmène nous dans ta chambre.
- Non, laissez-moi tranquille nous devons rejoindre les autres qui nous attendent en bas.
- Tu ne bougeras pas d’ici avant de nous emmener dans ta chambre.
- Ohhhhh, Non mais que faites vous !!!!!
Antoine, c’était également rapproché de moi, et m’avait attrapé par les cheveux, ruinant mon brushing bourgeois, avant de m’attirer vers lui pour m’embrasser de force. Je sentais sa langue forcer l’entrée de mes lèvres, alors que Quentin toujours derrière moi me tenait les bras qu’il dirigeait dans mon dos.
- Attache-lui les bras avec les manches longues de sa robe, on dirait que c’est fait pour ça.
Mes poignets furent liés entre eux en utilisant le tissu de mes manches longues, restreignant mes bras dans le dos, alors qu’Antoine m’embrassait avec fougue et gourmandise. Quentin derrière moi, avait posé ses mains sur ma grosse poitrine, qu’il pétrissait tel un boulanger, alors que je sentais la main d’Antoine descendre sur mon ventre en direction de mon entre-jambe. J’étais à leur merci, et je savais d’expérience qu’ils allaient m’utiliser me prendre, me partager, me violer jusqu’à ma jouissance ultime. Je ne pouvais m’échapper, j’étais leur prisonnière et j’adorais cela. Ils continuaient à me demander mon numéro de chambre, que je refusais de partager avec eux, alors que je sentis Quentin derrière moi ouvrir son pantalon, libérant son sexe, en plein milieu de ce couloir du Negresco. Il coinça son membre entre mes mains attachées, me forçant à le branler alors que son comparse continuait à jouer de ma bouche me bâillonnant par la même occasion.
- Si tu ne veux pas qu’on te baise dans ta chambre, alors on va jouer avec toi ici, et tant pis pour ta réputation si quelqu’un arrive.
- Peut-être qu’on peut appeler son collègue, le directeur commercial, vu comme il la regarde, il doit bander pour elle.
- Hummmmmmm, Hummmmmmmm, Non laissez-moi...
- Ton numéro de chambre !!! Non jamais !!!!!
- Alors branle moi salope...
Je sentais son sexe bien dur dans ma main, alors qu’Antoine, non-content de m’embrasser comme un pervers me caressait mes gros seins au travers de ma robe mondaine. Je savais qu’ils allaient me baiser, et me faire caresser et violenter dans le couloir de cet endroit d’exception, m’excitais au plus haut-point, et je souhaitais que cette situation se prolonge. Au bout de quelques minutes, Quentin s’impatienta et m’entraîna vers un canapé d’empire juste installé devant le portrait de Louis XIV. Assis tous les deux, toujours avec les bras attachés, il m’attrapa par les cheveux et me dirigea vers son sexe libre et bien dressé.
- Bien, tu ne veux pas ta chambre, alors tu vas nous sucer dans le couloir, Antoine monte la garde pendant qu’elle me bouffe la bitte. Allez ma pute mets toi à l’ouvrage.
Il poussa son énorme sexe entre mes lèvres me forçant à le sucer, alors que son ami, vérifiait que personne ne nous dérange. Il me tenait fermement par les cheveux, m’obligeant à avaler son sexe monstrueux...
- Oui, vas-y continue... Suce-moi bien, t’es la meilleure des butineuses ma salope, finalement pas besoin de ta chambre, on va te baiser ici.
- Hummmmmmmmm, Hummmmmmmmmm, Hummmmmmmm- Quoi je comprends pas quand tu parles la bouche pleine, tu dis quoi...
- Hummmmmmm, 521......, Hummmmmmmm- À ben voilà, tu vois quand tu veux, tu es une gentille fille.
- Appelle l’ascenseur Antoine on va au 5e.
Il me releva, me tenant par le bras, me poussa vers l’ascenseur d’époque. Tous les trois coincés dans cet espace exigu, ils me sautèrent à nouveau dessus, tenant la porte légèrement entrouverte afin de bloquer les appels. Quentin me plaqua une main sur la bouche afin de m’empêcher de crier, alors que tous les deux me caressaient chaque partie de mon corps... Mes gros seins, mes fesses, mon entre-jambe, cette scène qui ne dura que quelques minutes était d’une intensité incroyable. J’étais à leur merci, et ils continuaient à m’utiliser et à explorer mes formes comme bon leur semblaient. Ils me détachèrent les poignets, pour me relever mes mains derrière la nuque et les attacher à nouveau, tout en utilisant le reste de ma manche extra-longue scintillante afin de me bâillonner la bouche et m’entourant le visage. L’autre manche fut utilisée afin de m’attacher au levier ancestral de l’ascenseur, apportant la touche finale à mon immobilisation et ma soumission. J’étais, une fois de plus à leur merci, coincée, restreinte et tellement appétissante avec ma robe du soir qu’ils avaient utilisés afin de me restreindre et de me soumettre à leurs caresses dans cet endroit cloisonné. Leurs mains jouaient sur mon corps, parcourant mes formes plantureuses, s’attardant sur ma poitrine volumineuse mise en valeur par cette robe moulante scintillante qui me couvrait comme une seconde peau. Antoine me palpait, tel un prédateur féroce et impatient, alors que Quentin prenait garde à ce que personne ne nous surprenne en ouvrant la porte de cet endroit exigu et rempli d’histoire.
- Tu vois, comme tu es bien docile, ma beauté, on va bien s’amuser tous les trois, après tout ton mari t’as confié à nous pour reprendre son expression.
- Hummmm, Hummmm, Hummmmm- T’es quand même sacrement gaulé la bourgeoise, tu as fait bander tous les mecs ce soir...
- Filme-la pendant que je la tripote, on va envoyer cela à Daniel et à son mari, ça devrait leur plaire.
- Oui, chose promise chose due... Ton mari va raffoler de cette petite vidéo ma belle...
Tout était donc manigancé par Richard, qui m’avait offert à ces deux brutes, dans l’espoir que je me laisse faire, et qu’il puisse me regarder me faire baiser. Quentin me filmait, alors qu'Antoine continuait à me caresser comme un animal. Mes yeux hagards, allaient de l’un vers l’autre, j’étais résignée, et apeurée alors que je continuais à subir les commentaires les plus salaces imaginables.
- Alors, ça te plaît de jouer les courtisanes dans les endroits chics.
- Tu sais que le mot de courtisane est employé comme un euphémisme pour désigner une prostituée de luxe ?
- Hummmmm, Hummmm, Hummmmm- T’es une courtisane ou une cocotte qui va se faire défoncer ?
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm- En fait malgré la connotation luxueuse de la courtisane, t’es quand même une belle pute...
- Une grosse salope, ça te plaît que je tripote tes grosses mamelles ma cocotte ?
- Hummmm, HummmmIls abusèrent de mes formes pendant une bonne dizaine de minutes, mais craignant de se faire surprendre, et après avoir envoyé la vidéo à Daniel, appuyèrent enfin sur le bouton du 5e étage afin de m’entraîner dans ma suite. Ils détachèrent ma manche du levier, et tout en me gardant les bras relevés, attachés derrière la nuque et bâillonnée, me poussèrent dans ma chambre, refermant aussitôt la porte, me laissant seule avec eux encore une fois à leur merci. Sans attendre, Quentin me poussa contre le mur de la chambre, enleva le morceau de robe de ma bouche et m’embrassa goulûment. Sa langue plongeait en moi, envahissant mes lèvres tournoyant comme un reptile salace et vicieux, alors que sa main droite me pétrissait mes gros seins, au travers de ma robe bleue scintillant... Il me détacha enfin les poignets m’appuyant sur la tête afin de me mettre à genoux face à eux. Une fois accroupie devant eux, chacun me prit un bras, afin de le redresser à la verticale, me tenant fermement par les poignets. J’étais dans cette position soumise et humiliante, quand ils libèrent leurs gros sexes bien tendus afin de les pousser entre mes lèvres. Antoine fut le premier à me pénétrer les lèvres, me baisant la bouche avec férocité alors que Quentin non content de me tenir le bras m’avait attrapé par les cheveux afin de m’aider à amplifier cette fellation forcée... Je gémissais sous les bruits de succion, et m’appliquais à sucer Antoine avec dextérité. Je pensais pouvoir le faire jouir entre mes lèvres avant qu’il ne décide de passer à l’étape suivante et de me violer dans cette chambre... Ils alternèrent régulièrement, ne me laissant que peu de chance de les amener à une libération rapide. Coincée entre ces deux hommes, la bouche remplie de leurs sexes baveux et surexcités, je m’appliquais à sucer leurs membres pendant de longues minutes quand j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Daniel, qui avait abandonné sa partie de poker, entra avec une bouteille de champagne à la main dans un sceau à glace et s’installa sur la méridienne afin d’observer la scene.
- Salut ma belle, je n’ai pas pu resister,J’étais définitivement livrée aux désirs de ses trois hommes, avec le consentement de mon mari. Ils me redressèrent, pour m’entraîner vers le milieu de la suite, et alors que Quentin jouait avec mes gros seins, Antoine relevait le bas de ma robe afin de pouvoir accéder à mon entre-jambe. Mes longues jambes, gainées de nylon, apparaissaient, laissant dépasser les jarretelles de ma guêpière. La main d’Antoine plongea sous mon string, envahissant mon vagin de ses doigts longs, alors que de son autre main, il jouait avec la ficelle de mon string qui me séparait les fesses tout en me doigtant avec férocité, déclenchant une suite de gémissements de ma part de plus en plus vocaux...
- Regarde-moi ce beau gros cul... Il est encore plus gros avec juste la petite ficelle de ton string... T’aimes ça de te faire doigter...
- Ohhhhhh, s’il vous plaît... Prenez-moi sur le lit maintenant...
- Non, on va continuer à te faire jouir debout, je veux t’entendre gémir ma belle cocotte...
Alors qu'Antoine me faisait jouir de sa main experte, Quentin me fouillait le corps sous ma robe, devinant ma guêpière, s’extasiant devant mes formes offertes, avec sa main qui continuait à me pétrir les seins avec délectation.
- Ohhhh, ses belles mamelles, je pourrais jouer avec toute la nuit...
- Regarde-la se tortiller sous mes doigts, elle est en train de jouir cette salope....
- Et si on lui faisait une petite doublette vaginale- Oui, une grande idée, enlève lui son string...
Il me retira mon string, qu’il jeta vers Daniel sur la méridienne, où se trouvaient mes vêtements du jour. Quelque chose attira l’attention de Daniel qui prit ma jupe qu’il regardait avec curiosité...
- Non, mais je rêve, sa jupe est pleine de sperme... Je vois que Madame a eu droit à un apéritif... Et puis il n'y a pas que la jupe, regardez-moi l’état de cette robe, mais tu t’es fait défoncé plusieurs fois, à en croire par toutes ces taches...
Pendant que Daniel scrutait avec intérêt mes vêtements, Antoine, m’avait soulevé la cuisse droite qu’il coinçait sous son bras et me pénétra avec force. Il fit coulisser son membre en moi, debout pendant quelques instants, avant que je sente la présence de Quentin derrière moi qui me pénétra de la même façon, poussant ce second sexe dans ma chatte, déjà envahie par son compagnon. Ils me soulevèrent tous les deux, me portant de leur bras fort, et me baisèrent dans cette position pendant de longues minutes. Ils étaient infatigables, et me faisaient jouir comme une folle. J’étais suspendue, entre mes deux amants dont les sexes étaient profondément ancrés dans mon vagin, coulissant alternativement, déclenchant des orgasmes à répétitions. Quentin, continuait à utiliser la manche de ma robe, qu’il m’avait passée autour du visage, afin de me bâillonner, tout en la gardant en main comme la bride d’une jument. Ils me défoncèrent comme deux brutes et ce ne fut qu’après un premier orgasme qu’ils m’emmenèrent sur le lit afin de me pénétrer de plus belle.

Après m’avoir retiré ma robe, me laissant dans ma guêpière violette, Quentin s’allongea sur le dos, m’attirant vers lui pour me prendre en levrette, alors qu’Antoine positionnait face à moi, me pénétrait également. J’avais à nouveau le sexe de ces deux hommes en moi, qui m’écartelait le vagin, tout en me tripotant mes gros seins qui remuaient sous leurs yeux, répondant au rythme des coups de reins que ces deux monstres m’infligeaient. Je jouissais, envahie par les sexes de ces deux hommes, je m’abandonnais à ces deux amants infatigables, sans me rendre compte que Daniel venait de s’approcher, me regardant me faire baiser, par ces deux jeunes sportifs.
- Bravo ma cocotte, tu vois qu’ils s’occupent bien de toi, ton mari t’avait promis une belle soirée. Tu aimes te faire prendre en double vaginal ?
- Ohhhhhh, j’en peux plus, ils me font jouir, je deviens folle !!!!!!!
- Qu’est-ce qu’elle est bonne, j’avais vu une bourgeoise avec autant d’appétit et aussi bien gaulée. Ça doit coûter une petite fortune à entretenir, une mature comme celle-là ?
- Tu n’imagines même pas. Mais le budget le plus important, doit rester celui de ses culottes qu’elle se fait déchirer en permanence. Hein ma belle... Et si tu me suçais pendant qu’ils te défoncent la chatte.
Je pris le sexe de Daniel dans la bouche, que je m’appliquais à sucer, alors que mes deux jeunes amants me fourraient comme une oie. Je jouissais, encore et encore, prisonnière et défaite, juste soumise aux désirs de ces trois prédateurs. Ils m’utilisèrent pendant de longs instants, souillant mon corps de leurs caresses bestiales, avant de se relever me laissant allongée sur ce grand lit, entourée par ces bêtes en rûts.
- On va te préparer ma belle pour la suite...
Quentin attrapa mes bras qu’il tenait solidement au lit bien droit au-dessus de ma tête, alors que la main d’Antoine se plaquait sur ma bouche afin d’atténuer le bruit de mes gémissements. Daniel à genoux devant moi, me prit par les cuisses, qu’il tenait fermement de son bras gauche, alors que sa main droite plongeait dans mon petit trou. Il me doigta et me dilata l’anus pendant quelques minutes, alternant avec ses autres doigts qui plongeaient dans mon vagin, m’arrachant des cris atténués par la main d’Antoine. Ils échangèrent de place, et alors qu’Antoine à son tour enfonçait son doigt dans mon anus, Daniel me plaqua la main sur la bouche, tout en plongeant son index entre mes lèvres, comme une tétine d’enfant qu’il me forçait à sucer.
- Suce-moi le doigt ma belle, tu reconnais l’odeur ? Allez devine, c’est un blind test, c’est ta chatte ou ton cul, dis-le-moi salope... Continue à lui prendre son gros cul. On va bien t’écarter, je veux voir leurs deux bites dans ton anus !!!!
- Hummmmmmmmm, Hummmmmmmmm, Hummmmmmmm...
Je ne pouvais protester, car ma bouche obstruée par la main et remplie son index était entièrement bâillonnée. Daniel se délectait de cette situation dégradante, faisant coulisser dans ma bouche son index, tout en me palpant mes gros seins, alors que je sentais le doigt d’Antoine entrer doucement dans mon anus alternant avec ma chatte en feu et jouant avec mes deux orifices tel un diable. Quentin prit ensuite la place d’Antoine, qui remplaça Daniel, pour me mettre lui aussi son doigt dans la bouche tout en me baîllonnant. J’avais compris qu’ils allaient jouer de mon corps chacun leur tour, et me faire goûter de mes entrailles avec leurs doigts respectifs.
- Alors tu aimes le goût. Tu reconnais ton gros cul ou ta chatte baveuse salope. !!!!
- Tu sais que tu vas prendre nos grosses bites dans ton cul maintenant.
- Oui, allez-y, elle est suffisamment dilatée. Prenez-la en double.
Quentin me pénétra doucement me laissant m’habituer à la grosseur de son sexe dans mon cul dilaté, alors qu'Antoine, poussa son gros dard également dans mon anus. Il entra en moi doucement également, afin de ne pas me faire mal, ou de me blesser, jusqu’à ce qu’après quelques minutes les deux m’aient envahi le cul. Après un double vaginal, j’avais droit à un double anal... Ils me défoncèrent de leurs gros membres, grognant tels des animaux, alors que Daniel s’occupait de ma bouche.
- Tu aimes te faire enculer par ces deux beaux mâles ma pute, oui ça se voit que tu aimes ça...
- Ohhhhhh qu’elle est bonne !!!!!!
- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmmmm- Regardez la jouir cette salope... Vas-y la belle cocotte, montre nous que tu aimes nos belles bites...
- Hummmmmmm, Hummmmmm, HummmmmmIls me défonçaient, je n’en pouvais plus, épuisée, prise offerte, défaite, violer de tous les côtés, partagée par mon mari, je jouissais telle une hystérique, une nymphomane, affamée de sexe et de bite. J’allais m’évanouir d’extase, quand mon mari rentra dans la pièce.
- Et mais que faites-vous avec ma pauvre épouse. Ils te font jouir ma beauté ?
- Hummmmmm, Hummmmm, Hummmmmmm- Oui, on l'a fait jouir comme tu nous l’as demandé. Mais c’est vrai qu’elle doit avoir soif la belle bourgeoise.
Daniel, alla chercher le seau à champagne, qu’il remplit, et posa par terre en plein milieu de la pièce. Ils me relevèrent, afin de me placer à quatre pattes, devant le sceau rempli, et alors que Daniel trempait son sexe dans le champagne, les deux jeunes me pénétrèrent en double à nouveau dans mon gros cul. Ils étaient l’un derrière l’autre au-dessus de mes grosses fesses et s’enfoncèrent à nouveau en moi alors que Daniel me faisait sucer son sexe au goût de champagne en tenant par les cheveux. Ils s’acharnèrent sur mon corps pendant de longues minutes, alternant les positions, usant de toutes les parties de mon corps que mon mari leur offrait, me faisant jouir comme une folle, et alors qu’après un ultime orgasme, je m’écroulais sur le lit, épuisée les yeux révulsés, je sentis enfin leur délivrance arriver. Ils giclèrent tous les deux, dans le seau à champagne, remplissant de sperme qui se mélangeait à ce nectar que je vénérais.
- Relevez-la, et attachez-la avec les bas qui sont sur la méridienne. Ficelez-moi cette grosse vache comme une dinde, je vais la prendre devant son mari...
Ils m’attachèrent les chevilles, les genoux et les bras dans le dos, avec mes bas, me relevant afin de m’entraîner debout dans la chambre face à mon mari, qui me regardait en souriant. Afin de m’empêcher de protester, mon string, déchiré fut poussé dans ma bouche, me bâillonnant entièrement.
- Faites-lui boire votre sperme, et après, je veux que tu sodomises ma femme devant moi.
Daniel avait rempli une coupe de champagne avec tout le sperme de mes deux amants, qu’il me força à boire, avant de replacer ma culotte dans ma bouche. Les garçons me tenaient debout par les bras, profitant au passage pour me malaxer chacun mes gros seins, alors que je pouvais sentir la présence de Daniel derrière moi qui allait me sodomiser. Son sexe entra d’un coup dans mon anus totalement dilaté par mes deux amants, m’arrachant un gémissement, atténué par ma culotte.
- Allez patron, défonce lui le cul à notre belle cocotte.
- Tu aimes qu’on te pelote tes grosses miches pendant que tu te fais enculer, hein belle cocotte ?
- Hummmmm, elle est vraiment trop bonne ta femme, en plus elle adore se faire soumettre, dis à ton homme que tu aimes ma grosse bitte dans ton derche ?
- Hummmmmm, Hummmmmm, HummmmmmIl m’encula, debout face à mon mari, qui se masturbait tout en me regardant me faire démonter. Je jouissais, les yeux révulsés d’autant d’orgasmes, et heureusement maintenus par mes deux jeunes amants qui me portaient tout en me tripotant mes belles grosses mamelles qui se balançaient suivant le rythme des coups de reins de Daniel, qui coulissait dans mon anus. J’aurais pu m’écrouler 10 fois, avant que Daniel gicle de son sperme sur mes grosses fesses et sur ma guêpière détruite... Richard lui laissa quelques minutes pour se soulager, avant de leur demander de sortir. Ils se rhabillèrent ensuite discrètement avant de quitter la chambre me laissant seule avec mon mari...

Enfin seuls, Richard s’allongea à mes côtés. J’étais totalement défaite, épuisée et venais de jouir comme rarement. Ces doubles pénétrations à répétitions, m’avaient anéanti l’anus. Il me caressa, sans rien dire, pendant de longues minutes. Il était tard et j’étais épuisée, mais je savais que cette séance avait réveillé son désir, et qu’il allait vouloir me posséder à nouveau, comme un point final à notre week-end. Sa main se posa entre mes cuisses, me caressant avec douceur ma chatte en feu, alors que je sentais son doigt rentrer en moi. Il me doigta avec douceur, comme pour rallumer mon excitation et alors que je commençais à remuer mes hanches, il me releva et me poussa à nouveau contre la fenêtre.
- Laisse-moi te baiser une derrière fois, comme ça, tu vas profiter de la vue.
- Ohhhhh Richard éteint la lumière sinon on va nous voir.
- Chuttttt, Laisse toi faire.
- OhhhhhhhhhhhIl me pénétra en levrette, rapidement, attrapant ma guêpière sur laquelle il tira avec violence déchirant les restes de soie et de dentelles. Il m’arracha mes dessous me laissant nue, face à cette fenêtre alors que son sexe me pilonnait ma croupe, me baisant ainsi pendant de longues minutes.
- Tu aimes ça ma belle. Regarde-toi ma salope, tu es couverte de sperme. Tu t’es bien fait baiser.
- Ohhhhh, Richard...
- Raconte-moi ce qu’ils t’ont fait ma pute, je veux tout savoir...
- Ohhhh Richard, Nonnnnn- Allez Raconte !!!!!
- Ohhhh, Ils m’ont forcé à les sucer dans le couloir...
- Oui continue...
- Après, ils m’ont attaché et caressé dans l’ascenseur.
- Ohhhhhh quelle pute, tu as aimé ????
- Ohhhhh, Ouiiiii, continue à me baiser... Ils m’ont emmené dans la chambre pour que je les suce...
- Hummmmm, grosse vache...
- Ils m’ont ensuite prise debout en sandwich alors que Daniel regardait !!!!!
Je continuais de lui raconter comment ces trois hommes avaient abusé de moi, alors qu’il continuait à me prendre en levrette debout contre la fenêtre... Il me poussa enfin nue sur le lit pour me finir. Son sexe entra délicatement dans mon anus et il m’encula, dans un ultime assaut. Il me défonça les fesses, bien accroché à mes hanches avec son sexe qui allait et venait dans mon anus, fortement dilaté. De plus en plus rapide et après un dernier coup de rein, il gicla au fond de mon cul, me laissant totalement exténuée sur le lit.
- Voilà ma belle cocotte, j’espère que tu te souviendras de notre séjour au Negresco pour longtemps- Richard, je suis épuisée, tu m’as fait trop jouir cette nuit.
- Repose-toi demain matin, on va rester une nuit de plus...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : LA COCOTTE DU NEGRESCO
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Patou bcbg mature pulpeuse

LA COCOTTE DU NEGRESCO - Récit érotique publié le 30-11-2021
WEEKEND A NICE - SEMINAIRE AU NEGRESCO - Récit érotique publié le 22-11-2021
LE FEU D'ARTIFICE DU PROF DE PENNIS - Récit érotique publié le 10-09-2021
LA MADONE DE SODOME ET GOMORRHE - Récit érotique publié le 17-08-2021
LOMI LOMI A QUATRE MAINS POUR LA VILAINE REINE - Récit érotique publié le 27-07-2021
CURE A LUZERN - Récit érotique publié le 24-07-2021
LA 'MAUVAISE' SURPRISE - Récit érotique publié le 11-07-2021
LA CONFRERIE DES VIGNERONS - Récit érotique publié le 04-07-2021
LA CHAPELLE DES DEGUSTATIONS - Récit érotique publié le 24-06-2021
L’OPERA - Récit érotique publié le 20-06-2021