LOMI LOMI A QUATRE MAINS POUR LA VILAINE REINE

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
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Récit libertin : LOMI LOMI A QUATRE MAINS POUR LA VILAINE REINE Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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LOMI LOMI A QUATRE MAINS POUR LA VILAINE REINE
Ma décision était prise, j’allais tout avouer à Richard, mon adultère, ma faute, mais également ma trahison à la promesse que je lui avais faite de rester honnête et transparente avec lui. Confortablement installée dans ma chambre d’hôtel, je lui écrivais un long mail, dans lequel j’expliquais dans le détail mon aventure avec Thierry, mes mensonges, le plaisir que j’y avais pris, cherchant à expliquer mon attitude, et étant aussi consciente que cet aveu risquait de nous pousser vers une séparation irrémédiable.



« Mon Cher Amour,


Depuis plus de 25 ans, nous partageons nos vies avec des réussites, des joies, des peines, quelques drames, mais tellement de bonheur. Je me dois aujourd’hui d’être honnête avec toi, et avouer mes fautes, par respect pour notre amour commun, mais aussi pour être fidèle à la promesse faite que je n’ai pas respectée. Depuis 2 mois, je vis une aventure avec un homme. Il s’agit d’un ancien amant que j‘avais fréquenté avant de te rencontrer et que j’ai retrouvé sur Internet, il y a quelques mois. Nous nous sommes rencontrés à plusieurs reprises, ou je me suis offerte entièrement et passionnément…
……
……
……
À mon retour, je n’ai pas eu le courage de te parler. Tu étais inquiet pour moi, alors que je venais de te tromper. Tu as dépensé une fortune pour ce séjour qui me permet aujourd’hui de trouver la force d’avouer ma faute. Je me rends compte que la profonde dépression dans laquelle j’ai sombré, n’était pas dû à cette séparation qui m’a bien évidemment bouleversé, mais a aussi révélé l’aspect médiocre de cette aventure. Je sais maintenant que mon attitude inacceptable à ton égard a déclenché cet état. Je savais aussi depuis le début que je devrais un jour t’avouer ma faute et affronter ta réaction. Alors voilà, tu sais tout maintenant. Quelle que soit ta décision, je m’y plierais, mais sache que je t’aime toujours comme au premier jour, et que si tu le veux, je t’attends ici, pour continuer à être ta femme pleinement et sans retenue.



Patricia, ta femme qui t’aime »


Il était 2 H du matin, j’envoyais mon mail avec soulagement, mais beaucoup d’appréhension, ne sachant pas quelle réaction mon aveu susciterait de la part de mon mari. Je m’endormais toutefois sereine. À mon réveil, je repris mes activités quotidiennes avec au planning de l’après-midi une balade de 4 km, qui me permit de découvrir la magie de l’environnement naturel qui entourait l’hôtel. Accompagnés par un guide, nous étions un petit groupe de 4 à profiter de cette balade. « Sensationnel » était la désignation la plus appropriée pour cet itinéraire qui, au cœur de la Suisse centrale, nous permettait de profiter d’une vue dominant le pittoresque lac des Quatre-Cantons, mais aussi d'une vue imprenable sur le sommet des Alpes. Nous étions partis du funiculaire pour arriver au sommet du Bürgenstock, avec un panorama impressionnant de l’ensemble de la région. Le parcours suivait un chemin confortable passant au travers de la région montagneuse pittoresque, des bois, longeant des rochers ou des prairies pentues aux fleurs sauvages. Arrivé à notre destination, je profitais de ce moment unique avec un panorama renversant et après avoir repris des forces et m’être repu les yeux, j’empruntais pour le retour le même parcours.



De retour à l’hôtel, je retournais dans ma chambre pour constater que Richard ne m’avait pas répondu. Mon appréhension se transformait en angoisse, craignant sa colère et sa réaction, mais n’osant pas l’appeler directement préférant attendre sa réponse par mail. Alors que j’allais me coucher, une notification me signala le mail de réponse de Richard tant attendu… J’ouvris avec angoisse.



« Ma Chérie,


Tout d’abord merci pour ta franchise, et bien que cela soit une énorme déception pour moi, j’apprécie ton honnêteté. À mon tour d’être honnête avec toi. J’étais au courant de cette relation, depuis votre première rencontre. Ne te voyant pas rentrer, j’avais contacté tes parents, et donc compris que ce n’était qu’un alibi. Savoir qui était ton amant n’avait pas été très compliqué, avec tous les messages sur ton téléphone. Quand tu es rentrée de votre dernière rencontre, il m’a juste fallu questionner Jérôme pour lui faire confirmer ce que je savais déjà. Nous avons toujours été un couple très libre, et je connais ton besoin de séduction avec toutes les conséquences, que j’accepte. À mon tour d’être honnête avec toi, si tu le souhaites, car je n’ai pas toujours été exemplaire non plus. Ma vie avec toi, notre histoire, nos enfants, notre réussite et notre amour se doit maintenant d’être plus fort que tout, et si tu es d’accord, j’aimerais beaucoup que l’on se retrouve tous les deux pour un week-end magique et amoureux…


Richard qui t’aime plus que tout »


L’homme de ma vie était un homme extraordinaire. Il me pardonnait, voulait encore de moi, et même me désirait encore plus. Il savait tout depuis le début et pourtant m’avait accompagné dans cette épreuve sans aucun reproche. Tellement heureuse, j’occultais volontairement la partie obscure de son mail, qui laissait entendre quelques écarts, et me concentrait sur l’amour qu’il me portait, et que j’allais lui rendre au plus vite. Je répondis tout de suite avec un message court « Merci mon amour, je t’attends ici au plus vite, je suis à toi pour la vie… »


Ma nuit fut merveilleuse de repos, rêvant d’étreintes fantasmatiques avec mon mari, ou il me prenait me faisant l’amour jusqu’à la perte de mes sens. Je repris au matin mes activités avec entretien, cours de yoga, piscine et massage prévu à 15 H. Richard devant arriver tard ce vendredi soir, j’avais toute la journée et la soirée devant moi. Le temps étant au beau fixe, la séance de yoga se déroula avec Nic à l’extérieur avec un petit groupe réduit de 3 personnes. Au terme de la séance, Nic me prit à part.

- Bravo Patricia, vous avez fait des progrès extraordinaires, votre sérénité est exemplaire
- Merci Nic, mais c’est en grande partie grâce à vous.

- Vous êtes adorable. D’ailleurs pour cet après-midi, je vous ai préparé une séance différente. Il s’agit d’une adaptation du Lomi Lomi à quatre mains
- À quatre mains ?

- Oui, c’est une pratique exerçait par deux masseurs en symbiose, nos mouvements seront parfois simultanés, parfois asymétriques… Notre massage à quatre-mains intensifiera votre lâcher-prise et vous permettra de profiter pleinement des bienfaits et de la puissance de ce massage Lomi Lomi. Une expérience, un voyage que vous n'oublierez pas!



Déjà séduite par le massage classique, j’acceptais avec joie ce changement de programme, et me présentais à l’heure au Spa privé ou Nic m’attendait accompagné par Louis un autre masseur. Après de courtes présentations, je m’installais sur la table nue, juste recouverte par une serviette sur les hanches.

- Vous allez voir Patricia, la relaxation est d’ores et déjà profonde avec le Lomi Lomi, et devient extrême à l’issue d’un massage à quatre mains. C’est un véritable appel au « lâcher-prise », qui entraîne finalement un sentiment de plénitude totale.



Ils démarrent la séance chacun installé d’un côté de la table. Le massage était très intuitif, mais avec une chorégraphie réglée à l’avance, suivant un programme établit, mais aussi une partition fondée sur leurs intuitions. Ils étaient à l’écoute de mon corps et de mes sensations. Leurs mains formaient une danse, où les gestes s’accordaient en symbiose me transportant dans un monde de sensations, de plénitude et d’évasion. Mon cerveau ne parvenait plus à se concentrer de façon précise sur les gestes et lâchait prise totalement. J’étais plongée dans un état de sérénité absolue et mon corps était complètement détendu. C’était un moment d’extase, ou mon corps était modelé par quatre mains. J’étais manipulé par ces deux masseurs en fonction de techniques harmonieuse des mouvements parfaite. Répartis de part et d’autre de la table, les deux professionnels exécutaient des gestes précis aussi bien au niveau de la méthode qu’au niveau de l’intensité s’attachant à ce que la partie gauche comme la partie droite de mon corps soient toutes les deux soumises au même rythme pour ne pas déséquilibrer le résultat final. La puissance accrue des manipulations favorisait ma détente et ma relaxation, apaisant mes tensions musculaires et dissipant mes tracas. Ils enchaînaient frictions, palper-rouler et effleurements, avec des mouvements de plus en plus ciblés et plus vigoureux. Ils se repositionnèrent autour de moi. Nic était au-dessus de mon visage et s’attaquait à ma poitrine, alors que Louis toujours sur le côté s’occupait de mes cuisses et de mon entre-jambe. Les yeux fermés, je subissais ces palpations comme des caresses interminables sur mon corps et décuplées par leurs quatre mains travaillant dans une synchronisation parfaite. Je m’abandonnais à nouveau à une excitation et désir amplifié, laissant les deux masseurs utiliser mon corps en duo avec maintenant un seul objectif, me donner du plaisir. Alors que les mains de Nic jouaient avec mes gros seins, les palpant et titillant mes tétons durcis, je sentais les mains de Louis écarter mes cuisses légèrement afin de pouvoir accéder librement à mon entre-jambe délaissé, mais en feu. Je sentis d’emblée l’effet de ses doigts sur le pourtour de mes grandes lèvres qu’il avait commencé à caresser d’une main alors que son autre main me malaxait l’aine. Mon corps réagissait promptement à ces caresses multiples sentant poindre une jouissance orgasmique violente. L’effet que me procurait ce massage était indescriptible. J’étais le jouet de ces deux professionnels qui prenait autant de plaisir que moi à me manipuler de cette façon. Alors que mon orgasme était imminent, ils s’interrompirent quelques minutes, me laissant sur la table les yeux fermés. Ils reprirent tout de suite leur massage, ayant alterné leur position quand je sentis un membre bien chaud et bien dur se poser sur mon visage. Ils étaient nus et j’avais le membre tendu de Louis sur mon visage qui penchait sur moi me malaxait et me palpait ma voluptueuse poitrine. Surprise, et ne sachant comment réagir, je laissais faire attendant de voir la suite des événements. Nic, se déchaînait sur mes cuisses et sur mon entre-jambe, me poussant à nouveau dans un état d’excitation qui frôlait la folie. Je n’en pouvais plus, et ne souhaitais qu’une chose, qu’il me baise à l’instant, tous les deux comme deux animaux. J’étais en feu et eux seuls pouvaient éteindre l’incendie. Ayant toujours le sexe de Louis contre ma joue, j’écartais les lèvres et enfilais son membre dans ma bouche entièrement. Je sentis à la contraction de ses mains sur mes gros seins qu’il appréciait l’initiative. Alors que je commençais à le sucer, Nic repoussa Louis qui, docilement, sorti son sexe de ma bouche.

- Les instructions sont claires, pas de rapport sexuel avec Patricia.

- Baisez-moi maintenant tous les deux, je veux vos sexes en moi.

- Désolé chère Madame, il va falloir se contenter du Lomi Lomi


Ils reprirent leur jeu de massage torride, continuant à me manipuler, me malaxer, m’exciter. Je jouissais à plusieurs reprises, accompagnant mes orgasmes de gémissements bruyants, cambrant mon corps avant de retomber sur la table, et de me faire reprendre par leurs mains de sorciers. Sans aucune pénétration, la séance dura plus d’une heure, de palpation et massages les plus torrides les uns que les autres, et au terme duquel mon corps ne m’appartenait plus. Ils me relevèrent et sans attendre m’entraînèrent vers le jacuzzi, ou nous installions tous les trois. Moi au milieu, avec mes deux masseurs de chaque côté, ils reprirent leur jeu de façon encore plus intense. Louis s’occupait de mes seins de sa main droite et de mon aine de sa main gauche, alors que Nic me massait la nuque. Une fois de plus, mon corps m’abandonnait, alors que les doigts de Louis pénétrèrent mon vagin. Je sentis sa main plonger en moi et me doigter avec vigueur. Nic quant à lui détournait ma concentration par un massage sulfureux de la nuque et de mon crâne. Je jouissais à nouveau sous les doigts de mes compagnons. Ils alternèrent les zones, laissant Nic s’occupait de mon vagin et Louis de mes gros seins. Manipulée, malaxée, palpée, mon corps répondait de façon désordonnée à ses quatre mains qui avait pris possession de mes formes plantureuses. Je décidais de reprendre un peu d’initiative et glissais ma main entre les cuisses de Louis à la recherche de son membre. Je le pris en main, et me mis à le masturber discrètement prenant garde à ne pas éveiller l’attention de Nic qui continuait à me doigter le vagin. Louis se laissait faire tout en palpant encore plus fort mes gros seins, reconnaissant de cette caresse interdite. J’accélérais cette masturbation, souhaitant le faire jouir au plus vite alors que Nic, qui avait poussé ses trois doigts en moi, faisait coulisser sa main avec vigueur déclenchant de vifs gémissements et cambrure de mon corps. La combinaison du pistonnage que je subissais, de la palpation mammaire, mais aussi de Louis qui venait de gicler dans ma main, déclencha un ultime orgasme, sonnant la fin de ce massage inédit. Mes deux beaux masseurs sortirent du bain, dans le jacuzzi, me laissant, après tant d’orgasmes intenses, apprécier ce moment intime dans la chaleur de ce bain.



Je regagnais ma chambre, pour un moment de repos, ayant prévu de dîner vers 20 H, j’avais quelques heures devant moi pour me relaxer avec un bon livre, installée sur cette banquette devant la baie vitrée qui me livrait cette vue exceptionnelle dont je ne me lassais pas. Richard m’avait informé de son arrivée aux alentours de 23 H après sa dernière réunion et les 3 H de route, j’allais donc dîner seule ou en compagnie de mes amis italiens. Je décidais pour la soirée de faire un effort de toilette avec une belle robe portefeuille noir qui m’arrivait aux genoux avec un col en V dévoilant un magnifique décolleté, masqué par un foulard en soie noir avec des petites taches blanches et une ceinture en cuir. J’avais retrouvé l’envie de me faire désirable. L’arrivée de mon mari, et le traitement subit par mes deux masseurs avait réveillé ma libido malmenée et endormie. J’avais envie d'être à nouveau désirée, et attendais avec impatience la venue de Richard qui allait sans aucun doute me prendre comme une bête. Je pris un dernier verre avec mes amis, apercevant Louis mon beau masseur en pleine discussion avec un couple de clients. Il me souriait de loin, sûrement reconnaissant de mon initiative de l’après-midi. Je quittais le bar afin de regagner ma chambre, quand, arrivée à l’ascenseur, je fus rejoins par Louis, qui me prit par la main, m’entrainant avec lui vers la zone des spas.

- Venez avec moi belle Patricia, j’ai la charge de vous faire faire une séance supplémentaire
- Louis, voyons, ou m’emmenez-vous mon mari va arriver d’un instant à l’autre.

- Ne vous inquiétez pas on a tout le temps.



Il me fit pénétrer dans un spa privé, alluma une lumière tamisée, et me poussa couchée sur la table de massage toute habillée. Sa main plongea directement sous ma robe pour se saisir de mes gros seins protégés par un magnifique soutien gorge rouge et noir, alors qu’il libérait son sexe impatient.

- Je n’ai pas le droit de baiser mes clientes, mais rien ne m’empêche de recevoir un pourboire belle dame ?



Sensible à cette palpation mammaire et reconnaissante du travail accomplie, je décidais de lui faire plaisir alors que son sexe bien tendu se présentait devant ma bouche de manière transversale et que ses mains jouaient avec mes gros seins. Il plaça son sexe devant mes lèvres jointes très légèrement entrouvertes, appuyant doucement, avec une certaine résistance, prenant son membre en étau. Je commençais par le bas de son sexe faisant coulisser son membre entre mes lèvres presque closes jusqu’à son gland en faisant courir ma langue le long de son bâton de chair. Je le fis coulisser plusieurs fois, alors qu’il me tenait fermement par la nuque, appuyant et poussant ma tête avec force. Après plusieurs minutes de ce traitement, il poussa son gland devant mes lèvres et poussa son sexe à l’intérieur de ma bouche avec un grognement de rage. Son bras droit tendu, s’activer à remonter le bas de ma robe découvrant des portes jarretelles rouge et noir assortis à mon soutien-gorge. Il plongea sa main sous ma culotte, reprenant les caresses de l’après-midi. Alors que je sentais ses doigts se glisser en moi, son sexe coulissait entre mes lèvres bourgeoises. Il le faisait entrer et sortir, en rythme avec sa main qui me dévastait le vagin, alors que je le titillais de ma langue tournant autour de son gland avec gourmandise. Il écarta le décolleté de ma robe laissant apparaître mes seins magnifiques, et se positionna au-dessus de moi, toujours allongée sur cette table de massage. Il plaqua son sexe entre mes gros seins, en dessous de ma dentelle, les pressant pour se masturber entre mes belles mamelles.

- Hummmmm, j’adore tes gros seins, Patricia, quel dommage que je ne puisse te baiser, mais je te promets de m’occuper de ta belle chatte.



Il alterna plusieurs fois entre fellation gourmande et cravate de notaire, m’imposant à intervalle régulier ses doigts dans ma chatte trempée, afin de ne pas me laisser frustrée. Son sexe coulissait avec vigueur entre mes lèvres, quand je sentis enfin son liquide se répandre dans ma bouche, dégoulinant sur ma poitrine et sur mon soutien-gorge. Il était 22 h 30 et je venais de sucer mon masseur, et devais regagner ma chambre avant l’arrivée de mon mari. Je regagnais rapidement ma chambre, me débarrassais de mes vêtements et me changais. Je voulais être irrésistible pour l’arrivée de mon mari.



J’avais donc choisi une chemise de nuit longue en soie au décolleté époustouflant de couleur nacre. Composée de broderie et de tulle donnant aussi un aspect de transparence. Ultra sensuel, j’espérais qu’il ne résisterait pas à cette délicate attention. Il arriva vers 23 h 30, garant sa voiture et prenant le funiculaire pour toquer à ma porte quelques minutes plus tard. Nous étions face à face, sur le pas de la porte, silencieux, je le regardais avec des yeux coupables. Il posa sa main sur ma joue, appliquant une caresse remplie de tendresse, mais aussi d’amour avant de rentrer dans la chambre et fermer la porte. Une fois à l’intérieur, terriblement coupable, je me blottis dans ses bras, posant ma tête au creux de son épaule, et me mis à sangloter. Il me regardait avec tendresse, et alors que j’allais me justifier, me posa un doigt sur la bouche comme pour acter le fait qu’aucune explication n’était nécessaire à ce stade. J’avais les yeux remplis de larmes. On s’installa sur la banquette face au point de vue extraordinaire, silencieux, moi blottis contre lui qui me caressait les cheveux. Nous restions ainsi tous les deux, retrouvant en silence notre complicité et tendresse l’un pour l’autre. Quand bien même notre vie sexuelle était différente des couples traditionnels, nous savions l’un et l’autre que rien ne pourrait nous séparer. J’aimais et avais épousé un homme extraordinaire, qui non seulement était le père de mes enfants, mais en plus resterait mon ultime amant et amour pour le restant de ma vie.



Fort de ce moment de tendresse, assise et blottis devant lui, je sentais un désir monter en moi. Le besoin de me donner à mon homme, ne souhaitant maintenant qu’une seule chose, qu’il me prenne comme un animal, comme une soumise, comme une pécheresse qu’on doit punir. Alors que sa main était posée tendrement sur mon corps, je posais un baiser délicatement sur sa paume, comme un appel, une proposition indécente. Sa main bougea délicatement et se posa sur la dentelle de ma chemise de nuit.

- C’est pour moi que tu t’es fait belle et désirable, je vois que ces quelques jours t’ont fait le plus grand bien.

- Oui, j’ai pensé aussi que c’était une belle manière pour t’amadouer et me faire pardonner.

- Je vois que Madame est machiavélique dans son costume de reine.

- Et si tu t’occupais de ta reine maintenant, peut-être qu’on pourra garder nos confidences pour demain ?

- Tu es incorrigible, mais tu as raison sur un point, ma reine mérite une bonne punition…
- Fais de moi ce que tu veux, je suis entièrement à toi.

- Hummmmm, je retrouve enfin ma femme, comme je l’aime soumise, mais gourmande. Je vais m’occuper de tes belles formes généreuses et de ta belle chemise de nuit.



Il me saisit par les cheveux afin de me ramener la tête en arrière, et m’embrassa avec passion. Sa langue plongea en moi, explorant toutes les parties de ma bouche comme au premier jour de notre rencontre. Alors qu’il me roulait une belle pelle bien baveuse, sa main s’était glissée en dessous du décolleté de ma chemise de nuit, s’emparant de mes gros seins laiteux. Il me malaxait ma grosse poitrine tout en continuant à m’embrasser.

- Je vais m’occuper de tes belles grosses mamelles, ma génisse, regarde tes tétons sont déjà tout dur.

- Ohhhhhh, Richard, prends-moi, je suis à toi…
- Ne t’inquiète pas ma grosse pute, je vais te prendre, je vais te baiser comme la salope que tu es… Après tout, c’est bien ce que tu es, une grosse pute n’est-ce pas ?

- Oui mon amour, je suis ta grosse pute qui a été très vilaine
- Mets-toi sur mes genoux, je vais te mettre une belle fessée. Je vais faire rougir ce beau gros cul de pute.



Je m’installais sur ses genoux, mes fesses en l’air, soumise et relevais le bas de ma chemise de nuit pour faire apparaître un string blanc en dentelle qu’il arracha immédiatement. Une première claque s’abattit sur ma croupe, dont le bruit raisonna dans toute la chambre. Habituée à être fessée par Richard, je notais toutefois que cette première attaque était plus vive et forte qu’à son habitude, ce qu’il confirma avec la seconde et les suivantes. Il me claqua mes grosses fesses avec ferveur et force… Clac… Clac…Clac…Clac…Clac.

- Prends ça grosse pute, tu mérites une bonne correction, tiens, une, et encore une et encore une, tu aimes te faire fesser ton gros derche…
- Ohhhhhh, oui fesse moi, punis-moi, je le mérite, je suis une grosse pute qui mérite sa punition…


Il continua à me corriger la croupe pendant plusieurs minutes, quand satisfait de la couleur de mes fesses, il remplaça les claques par des caresses animales sur mon rougi.

- Hummmm, tu ne sais pas combien il m’a manqué ce gros cul… Regarde comme il est beau bien rouge, comme je l’aime…


Il passait sa main sur mes fesses, me gardant dans cette position de soumission punitive, palpant et malaxant la chair de mes fesses, avant de me plonger un doigt dans ma chatte en feu… Il me doigta, pendant quelques minutes, alors que j’avais toujours le cul en l’air, alternant de temps en temps avec une stimulation de mon anus, avec lequel il s’amusait à tournoyer autour, comme un préliminaire à une sodomie profonde….

- Prends-moi comme une bête, mon amour, je veux que tu défonces ma croupe de salope…
- D’abord, tu vas me sucer ma grosse pute, ouvre-moi ta belle bouche.



Je m’accroupis devant lui, qui venait de libérer son sexe bien dur, quand il m’attrapa par les cheveux pour me pousser vers son membre tendu. J’eus juste le temps d’écarter mes lèvres et de l’enfourner dans ma bouche. Il me tenait par les cheveux à deux mains, s’amusant à faire aller et venir ma tête entre ses cuisses comme une chambre à piston, avec son membre qui coulissait entre mes lèvres. Je me laissais faire, passive et toujours soumise, payant aussi le prix de ma faute et étant prête à tout pour lui donner un plaisir incomparable et obtenir son pardon. Il pouvait me faire ce qu’il voulait, m’utiliser comme il le souhaitait, j’étais redevenue son jouet, sa poupée de chair, et cette situation m’excitait au plus haut point. Mes gros seins débordant de ma chemise de nuit ballottaient au rythme de cette pipe endiablée, subissant également la rage sexuelle de mon mari, qui les malaxait avec force. Il me tirait sur les tétons et appliquait de grandes gifles sur mes mamelles de sa main droite, alors que sa main gauche me tirait par les cheveux vers son sexe afin que l’engloutisse entièrement….

- La voilà ma grosse pute fais-moi une belle gorge profonde, je suis sûr que tu t’es exercée avec l’autre… Montre-moi comme tu as bien progressé salope…
- Hummmmmmmm, Hummmmmmmm, Hummmmmmmm
- Oui continue, c’est bien, t’inquiète, je vais bientôt te baiser comme une bonne chienne en chaleur que tu es ….



Après plusieurs minutes de ce châtiment, il me poussa sur le sofa sur le dos, remonta ma chemise de nuit, écarta mes jambes qu’il tenait en l’air et me pénétra d’une traite. Il me baisa dans cette position pendant de longues minutes, me tenant de sa main droite les jambes à la verticale, alors que sa main gauche me tenait par les cheveux lui permettant de maintenir ma tête relevée. Sa bitte coulissait en moi rapidement avec violence, déclenchant rapidement une série de mini-orgasmes qui n’était que le préambule de ce qui m’attendait.

- Oui comme ça, bouge bien sous l’homme ma salope, tu aimes ça ma grosse pute, hein dis le moi.

- Ohhhhhhh, Oui Richard, bourre-moi, défonce-moi, je ne suis qu’une grosse pute…
- Oui, c’est bien, il ne te baisait pas comme ça l’autre…
- - Ohhhhhhhh Ouiiiiii, tu me fais jouir, il n’y a que toi pour me baiser comme ça, ouiiiii continue…


Il continuait à faire référence à mon ex-amant, l’appelant « l’autre » comme pour éviter de prononcer son nom, tout en me baisant de toutes ses forces. Jamais encore, il n’avait manifesté autant de vigueur et de violence dans nos rapports, qui pourtant avaient toujours été très rude. Il avait toujours été un amant exceptionnel, mais ce déferlement de rage sur mon corps réveillé au désir après ces quelques jours de cure était merveilleux. Il se releva, toujours me tenant par les cheveux et m’entrainant vers le lit, stoppant en plein milieu de la pièce.

- Arrête-toi ici ma salope, que je te montre ce que je fais aux vilaines filles.

- Oui, mon amour, je suis une vilaine fille, ta vilaine reine qui doit être punie…


Me tenant fermement par les cheveux d’une main, l’autre s’abattit à nouveau sur mes fesses qui claquèrent au travers de la soie de ma chemise de nuit. Debout au milieu de cette chambre de luxe, je me faisais fesser à nouveau, comme un vulgaire animal que l’on punit pour son mauvais comportement. Il continuait à partager à voix haute ses commentaires obscènes, sur mon comportement, mes formes plantureuses, mon look de bourgeoise, mon appétit sexuel, la reine des putes, tout y passait. J’étais surexcitée, non seulement par le traitement de soumise que je subissais, mais aussi par l’acharnement qu’il y mettait comme une marque de son amour et de mon appartenance. Après quelques minutes de cette seconde fessée, il me poussa sur le grand lit à quatre pattes, se positionnant derrière moi. Un grand bruit de soie raisonna dans la pièce, marquant l’écartèlement de ma chemise de nuit au niveau de mes fesses, qu’il venait de déchirer offrant un libre accès à mon gros cul ouvert. Il me pénétra à nouveau en levrette, me pilonnant les fesses avec rage tout en tenant le reste de ma chemise de nuit détruite d’une main, et mes cheveux de l’autre comme pour maintenir sa jument docile par la crinière. De grandes claques continuaient à s’écraser sur ma croupe, finissant de rougir ma chair déjà écarlate.

- Ohhhhhhhh, Richard !!!!! Tu me fais jouir !!!!

- Oui continue ma cochonne, montre que tu es une bonne baiseuse…
- Ohhhhhhh oui baise moi bien, comme une vilaine reine !!!!



Il était comme un fauve, un prédateur ravageant sa proie, se déchaînant sur mes formes de bourgeoise plantureuse, alors que je jouissais comme une folle, tellement heureuse d’avoir retrouvé mon mari qui me pardonnait au travers de cette baise violente et animale. Je sentis enfin son doigt à l’entrée de mon anus, qu’il poussa à l’intérieur de mon petit trou. Je savais que cela marquait le début du dernier acte de ma punition et qu’il allait maintenant me sodomiser. Après avoir dilaté mon anus avec son doigt, son sexe s’enfonça dans mon cul, progressivement et entièrement. Il était bien ancré à mes hanches et commençait ses mouvements de bassin, augmentant son sentiment de domination. Il était le roi, qui enculait sa reine pécheresse punie de ses fautes multiples… Et j’adorais ça. Je sentais son gros sexe me cassait le cul, me fendre en deux, me dominer, me soumettre, marteler par les grandes claques qu’il continuait à m’appliquer.

- Allez ma pouliche, hue, plus vite montre-moi que tu es une bonne jument. Je veux t’entendre hennir…


Clac, Clac, Clac, Hue, Hue… Faute de hennir, je gémissais de bonheur. Je m’étais écroulée sur le lit, le visage coincé sur la couette, fesses en l’air, offerte et possédée. Je jouissais, priant pour que ce traitement continue encore longtemps, alors que mon corps m’avait entièrement abandonné… Pourquoi avoir besoin d’autres hommes en moi, alors que le mien me baisait toujours profondément ? Mon besoin de séduction, sans aucun doute, mais quand bien même je savais que je continuerais à tromper mon mari, je ne pouvais vivre sans lui, son amour et surtout son appétit sans limite pour mon corps de bourgeoise plantureuse et mature. Il jouit enfin sous un grognement ultime, se vidant dans mon anus et sur mon gros cul tout rouge et je pouvais sentir son liquide se rependre en quantité sur mon corps. J’étais défaite et dans un autre monde quand il s’écroula sur moi pour me prendre entre ses bras forts.

- Merci mon chéri, je t’aime du plus profond de mon corps.

- Je t’aime aussi ma reine…
- Je regrette tellement la peine et la déception que tu as eue.

- Je sais ma chérie, mais tu sais moi aussi, j’ai mes torts et mes faiblesses, alors disons que c’est notre façon de vivre, soyons juste honnête l’un envers l’autre.

- Je te promets, mais même si cela doit se reproduire, je n’aime pas l’idée de partager cela ouvertement, comme un fait anodin, car en vérité cela ne le sera jamais.



On passa notre nuit dans les bras l’un de l’autre, ainsi que le week-end dans cet hôtel de luxe, profitant de notre intimité et du cadre exceptionnel. Je ne le questionnais pas sur ses écarts et lui évitais de me parler de mon adultère. Nous savions tous les deux que cela pouvait se reproduire à nouveau et acceptions tacitement cette réalité. Heureuse et enfin réconfortée, je repris la route avec lui le dimanche soir pour rentrer à la maison, avec une pensée émue pour mes deux beaux masseurs qui avec leurs mains magiques avaient réveillé la femme sensuelle et gourmande que j’étais.

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