WEEKEND A NICE - SEMINAIRE AU NEGRESCO

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : WEEKEND A NICE - SEMINAIRE AU NEGRESCO Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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WEEKEND A NICE - SEMINAIRE AU NEGRESCO
Alors que je venais de finaliser notre stratégie de développement commerciale et marketing sur la région Ouest, Richard continuait de travailler sur notre Business Plan qu’il voulait présenter lors d’une assemblée générale pour le mois d’octobre. Il m’avait demandé d’organiser un séminaire d’administrateur exceptionnel, pour d’une part, communiquer les excellents résultats de sortie de crise, mais aussi la nouvelle trajectoire qu’il voulait donner à la société. Naturellement, j’avais sélectionné plusieurs destinations à la hauteur de son ambition, et il avait retenu, comme une heureuse surprise, Le Negresco qui avait écrit jour après jour la légende de Nice et de la Côte d’Azur depuis plus d’un siècle. En plus des administrateurs, et du directoire, il avait souhaité inviter également quelqu'un de nos partenaires emblématiques. Nous avions convenu de profiter de l’occasion pour une première soirée entre amoureux afin d’apprécier un des seuls palaces qui était resté à l’identique, fidèle à son histoire, telle une légende unique et intemporelle. Nous avions donc réservé une suite de luxe, avec vue sur mer pour arriver avant le début du séminaire, ce qui nous laissait tout l'après-midi afin de finaliser les préparatifs. Habillée d'une robe moulante qui m’arrivait au genou, côtelée, grise pâle, manche longue et col montant élégant, je voyageais dans un style chic automnal, attirant, sexy et ajusté, qui me moulait le corps.

Arrivés à Nice après 1H de vol Eaysyjet, un taxi nous déposa à l'hôtel, devant ce parvis mythique de la promenade des Anglais. Séjourner au Negresco c’était se plonger dans un joyeux mélange d’époques et de styles composés d’artistes contemporains, de tableaux de maître, et de sculptures monumentales. Cette identité forte, avec une importante collection d’œuvres d’art et de mobiliers, des espaces Louis XVI ou Napoléon III, des chambres vénitiennes ou «street art», rendait l’endroit éblouissant. Une fois dans le hall principal, et pendant que mon mari réglait les formalités, je déambulais dans ce grand hall elliptique de style Louis XVI, avec sa rotonde lumineuse, ses verrières et ses lustres de Baccarat. J’allais de surprises en découvertes en parcourant une sélection unique d’œuvres d’art, de meubles Art déco, avec des escaliers monumentaux et son ascenseur historique. Cela reflétait une époque de vie mondaine et soirées chics, dans laquelle le peintre Dali, et tant d’autres s’étaient croisés, profitant d’une halte estivale discrète dans ce monument de la Promenade des Anglais ou pour un moment, je me sentais comme la Princesse Grace de Monaco.

Un chasseur, revêtus de l'uniforme des laquais de l’époque de la Cour de Versailles, s’occupa de nos bagages. Le réceptionniste nous accompagnait à notre chambre, tout en nous faisant une visite guidée d’une partie de la collection de cet hôtel centenaire qui était présentée le long des arcades d'un grand salon central surmonté d'une coupole art déco et je restais fascinée devant la Nana Jaune de Niki de Saint-Phalle. Après cette courte visite, on prit le grand ascenseur capitonné de velours rouge à l'image du berceau du roi de Rome, avec en guise de décoration le levier qui devait être actionné ou maintenu par le liftier pour accéder à l'étage désiré. Arrivés au 5e étage, nous découvrions notre suite ‘Junior impériale’ avec tout le luxe du premier Empire. La gloire impériale était partout dans cette suite que dominaient des majestueux aigles de bronze avec un authentique lit à col-de-cygne, une méridienne en velours rouge et la mer à perte de vue. C’était une suite élégante au goût très français, avec un mobilier en loupe d’acajou, qui donnait également sur le parc Masséna. Une fois seule dans la suite, j’admirais la vue sur la promenade alors que Richard, débouchait la bouteille de champagne afin de me servir une coupe, qu’il me tendit.
- À notre succès, ma chérie, tout cela est en partie grâce à toi.
- Merci mon amour, mais c’est surtout ton travail et ton talent.
- Tu sais que chaque artiste à besoin de sa muse pour créer les conditions du succès. Donc c’est forcément grâce à toi.
- Tu es trop mignon, mais elle commence à être un peu fanée ta muse...
- Moi, je ne trouve pas au vu de l’effet qu’elle me fait en ce moment...
- Ohhhh Richard...
Collé contre moi, il m’avait bloqué contre la baie vitrée, qui donnait sur la promenade et je pouvais sentir son excitation, au travers le tissu de ma robe. Je savais ce que cela voulait dire... De sa main droite, il m’invita à boire ma coupe de champagne, qu’il dirigeât vers mes lèvres, alors que sa main gauche se posait sur ma grosse poitrine, serrée dans ma robe côtelée grise. Je sentais la force de sa caresse s’abattre sur mes formes voluptueuses, alors que le liquide pétillant fournissait un stimulus sensoriel et que l’effervescence des bulles exaltait mes sens. Je percevais son désir monter à la puissance de son membre qu’il frottait contre ma robe.
- J’ai une envie folle de défoncer ton gros cul d’impératrice...
- Ohhhh Richard, pas devant la fenêtre, on va nous voir de la promenade...
- C’est parfait, les touristes vont pouvoir apprécier le charme à la française...
- Ohhhhh, mon amour, tu es fou...
- Fou de ton gros cul ma salope...
Il posa ma coupe de champagne sur le bureau en marqueterie juste derrière nous et se repositionna derrière moi. Alors que sa main droite me pelotait, mes gros seins avec gourmandise, sa main gauche relevait le bas de ma robe, libérant le haut de mes porte-jarretelles noir. Il attrapa mon string qu'il baissa à mi-cuisses, et me plaqua sa main contre les fesses, faisant résonner au travers de la suite impériale cette première claque qui me fit rougir le cul. Alors qu'il continuait à me tripoter mes gros seins au travers de ma robe en laine, sa main droite s'amusait à me caresser les fesses, alternant cette palpation animale avec des claques fortes qui me faisait sursauter. Je savais qu'il allait me baiser en levrette coincée contre cette fenêtre, sous le regard des passants qui se promenaient en bord de plage en plein après-midi. Je sentis enfin son sexe gluant libéré se frotter entre mes fesses. Il se plaqua contre moi, se tenant de ses deux mains à mes gros seins qu'il pétrissait avec force tout en branlant son sexe bien dur entre mes fesses libres et offertes.
- C'est comme ça que je t'aime ma salope offerte et soumise, dis moi que tu as envie de te faire défoncer- Ohhhhhhhhh- oui, c'est bien remue moi ton gros cul ça m'excite.
- Hummmmmm- Penche-toi maintenant que je te pénètre.
J’obtempérais, et offrais ma croupe, me penchant en avant mes mains appuyées sur la baie vitrée faisant face à ce magnifique spectacle de cette promenade des Anglais, en ce mois d’octobre ensoleillé, alors que je sentais son sexe s’enfoncer en moi, me pénétrant profondément. Il me transporta immédiatement dans un sentiment d’extase. Troussée comme une vulgaire catin, dans ce lieu féerique, ou tant de grands de ce monde avait séjourné, et dans ma tenue de bourgeoise, je jouissais au simple contact de sa pénétration bestiale. Il me tenait les poignets, afin de mieux m’immobiliser, et de me labourer les fesses tel le prédateur sexuel qu’il était. Il me pilonna rapidement et violemment ne cherchant qu’à se libérer et à se vider sur mon corps qui lui appartenait. Ses grognements et ses insultes, raisonnaient dans la pièce, en cœur avec mes gémissements de désir. Mes cuisses entravées par mon string baissé, aux genoux, je ne pouvais écarter mes jambes, et par conséquence enserrer son sexe dans mon vagin, ce qui accentuait encore plus plaisir. Il se vida en moi, après un ultime coup de rein, laissant son sperme dégouliner sur mes cuisses et sur mes bas, et utilisant juste la lanière de mon string pour nettoyer son liquide crémeux. Il frotta enfin son sexe baveux sur ma robe côtelé afin de s’essuyer.
- Reste comme ça cet après-midi, je veux te sentir puer le sperme et contempler les belles traces sur ta robe.
L’après-midi se poursuivit avec la préparation du séminaire du lendemain. Nous avions réservé le salon Masséna pour la journée pour les présentations diverses et qui devait être réaménagé le soir pour le cocktail. Avec une capacité de 80 personnes et agrémenté de ses somptueuses étoffes solennellement drapées, le salon Masséna, dans son décor typiquement Empire, était l’ancienne salle de bal du Negresco. Décoré avec des portraits des généraux impériaux, des portes habillées d’abeilles impériales, c’était l’endroit idéal pour notre réunion. Pour notre dernière soirée seul, nous dînions au restaurant Chantecler qui avec ses 2 étoiles au guide Michelin était une référence gastronomique, et cela, bien au-delà du cadre magnifique de l'endroit. Le chef avait revisité habilement les codes de la grande gastronomie en leur accordant légèreté et sincérité, avec un hommage aux produits de la région et un service à table réputé et discret. Dans la grande tradition des bonnes tables et dans un cadre somptueux, le Chantecler offrait un habile mariage entre décor délicat et fastueux et dîner d’exception.

Notre séminaire démarra le lendemain à 10 h 30. Je m’etais préparée avec un look chic et business, composé d’une jupe Bleu indigo qui m’arrivait aux genoux, asymétrique et torsadé, de type crayon, et d’un chemisier de couleur identique manche longue en mousseline avec des volants sur le devant. Le séminaire démarra, avec une introduction brillante de mon mari devant un parterre de 80 personnes, qui présentait nos objectifs et les résultats post crise sanitaire. Nous avions prévu toute une série d’intervenant, avec un déjeuner rapide à la rotonde, avant de reprendre pour l’après-midi. Dans des tons or et blanc, La Rotonde était l’expression même de la Riviera, version chic et décontractée. Cette grande brasserie était une véritable institution avec une ambiance chaleureuse et glamour. Pour terminer la réunion, Richard avait demandé au président du club de basket, dont nous étions les sponsors principaux, de venir parler du sport de haut niveau avec des témoignages, dont deux joueurs avec qui j’avais eu plusieurs aventures. Le président, Daniel, développa sa vision qui lui avait permis de mener son équipe au plus haut niveau, créant une méthode de management à part entière qui mettait en avant la compréhension de l’autre, le savoir faire, et la capacité à composer avec des personnalités différentes qui ont chacun leurs objectifs… Une histoire de management inspirante que j’avais du mal à relier avec sa personnalité sexuelle perverse qu’il m’avait démontré à plusieurs reprises. Cette intervention, toutefois largement appréciée de l’audience, clôturait la journée, pour enchaîner avec un break d'une heure avant la soirée de gala prévue dans le salon royal. Je remontais dans ma chambre afin de me reposer et de me préparer pour la soirée.

Une fois dans ma chambre, je reçus un texto d’Olivier : « Alors, belle ma belle ménagère, tu as aimé mon show ? Tu ne veux pas me rejoindre pour boire un verre ». Je ne répondis pas, me doutant qu’il allait forcément insister. Richard, entra à cet instant dans la chambre, un air de satisfaction sur le visage, quant au déroulement de cette journée.
- Bravo ma chérie, cette journée est une vraie réussite, nos administrateurs principaux sont ravis, je n’ai eu que des compliments...
- Merci, mon amour, mais le mérite revient à ton travail et à ta stratégie. Je suis tellement heureuse du résultat...
- Tu es une merveille ma beauté, d’ailleurs, tu mérites une petite récompense. Viens ici ma belle impératrice...
Installée sur le lit, il m’attrapa par la main et m’entraîna vers la méridienne. Assise face à lui, il déboutonna son pantalon, sortant son sexe encore flasque qu’il dirigea vers ma bouche.
- Ouvre bien ta bouche de butineuse et fais-moi une belle pipe ma salope...
- Ohhhh Richard, attend ce soir après le gala.
- Non pas possible, j’ai promis une partie de poker, et en plus tu m’excites trop dans tes fringues de bourge, allez prends moi dans ta bouche...
Il enfonça son sexe dans ma bouche que j’avalais entièrement, alors que ses mains entrouvraient mon chemisier, déboutonnant mes boutons afin de libérer ma magnifique poitrine protégée par un magnifique soutien gorge blanc Lise Charmel. Son gland entre mes lèvres coulissait dans ma bouche et je faisais en sorte qu’il n’ait aucun autre contact que celui de mes lèvres et de ma langue. J’allais aussi loin que possible sans avoir de haut-le-cœur, en faisant des aller-retour sortant son sexe de ma bouche, et faisant tourner ma langue autour, en finissant ainsi par titiller son gland. Il m’appuyait sur la tête, appréciant ce geste, sans doute un peu influencé par son penchant pour la soumission et l’image très dominatrice que cela renvoyait. Cette entrave à ma liberté de mouvement et de rythme m’étouffait, et j‘essayais avec douceur d’enlever ses mains, mais il continuait avec le rythme et la même perversité, acharnée. Alors que je continuais à le sucer avec passion, il me releva ma jupe pour me faire baisser mon string blanc sur mes mollets, libérant ma chatte ouverte, alors que de sa main gauche, il me poussait coucher sur la méridienne, toujours me tenant par les cheveux avec force.
- Oui continue à me bouffer la bitte ma cochonne, avant que je prenne ton gros cul de bourgeoise- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm- Oui, t’es une bonne butineuse, continue...
Après plusieurs minutes de cette fellation intense, il sortit son sexe de mes lèvres et se coucha à mes côtés sur la méridienne poussant son sexe entre mes cuisses afin de me prendre en levrette. Couchée sur le côté avec mon mari derrière moi, j’attendais cette pénétration avec soumission, alors qu’il avait libéré mes gros seins de mon soutien-gorge blanc. Il s’enfonça en moi, d’une traite, estimant que j’étais suffisamment lubrifiée. Il me pilonna comme un fou, une bête, un animal, un prédateur, me baisant avec férocité et gourmandise. J’étais sa poupée, désarticulée, dont les gémissements l’excitaient encore plus. Une baise intense, profonde, perverse et animale qui était aux antipodes de l’endroit chic et majestueux qu’était le Negresco.
- Oui, c’est ça grosse pute, bouge moi ton gros derche... Dis-moi que tu aimes ça !!!!
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiiii, tu me rends folle...
- Oui t’es trop bonne, tu sais ce que je vais te faire maintenant, tu vas me donner ton petit trou... Dis-moi que tu veux que je t’encule ?
- Ohhhhhhh, Nonnnnnnn, Richard...
- Oui, je sais que tu en as envie.
Le moment de la pénétration de mon anus était venu avec le plus difficile, c’est-à-dire le passage, de son pénis, au travers de mon sphincter anal. Il prit son temps et progressivement, me sodomisa, évitant de rentrer son sexe d’un seul coup. Le début de sa pénétration était un moment d’écoute et de complicité. Il marqua un temps d’arrêt me permettant de m’habituer à la présence de son sexe dans mon anus et de me décontracter. Une fois son sexe bien rentré, il commença de très lents mouvements de va-et-vient, pour petit à petit augmenter l’intensité de sa pénétration. Au bout de quelques minutes, il accéléra, et me défonça le cul avec force, m’arrachant des soupirs et des gémissements de plus en plus fort.
- T’aime ça te faire défoncer ton gros cul ma salope, dis le moi...
- Hummmmmmm ; Ohhhhhhhhh- Je vais t’organiser un petit cadeau pour ce soir, tu veux cela ma belle.
- Ohhhhh, Nonnnnnnn, Je ne veuuuuuuxxx que toiiiiii....
- Une bonne vidéo de ma bourgeoise qui se fait prendre par deux bellâtres, voilà ce que je veux...
- OhhhhhhhhhhhhhIl continua pendant plusieurs minutes à m’enculer, couchée sur cette méridienne, mes gros seins se balançant au rythme de ses coups de reins, m’amenant à un orgasme anal violent... Il jouit enfin sur mon gros cul, et sur ma jupe, libérant son liquide blanc sur mon corps souillé et épuisé... Je savais que la soirée ne faisait que commencer.

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