La confession (2)

- Par l'auteur HDS Eudes -
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La confession (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La confession (2)
Quelques jours plus tard, le Père Bertrand, me demandait si mon planning me permettait de venir le voir chez lui, étant encore seul au presbytère. Bien qu'il ait au second étage un petit appartement. Son curé est très curieux sur ses visites.
• Merci si tu peux venir, je sais que ce n'est pas bien, mais j'ai tellement envie de revivre les sensations de la dernière fois. Surtout tu ne dis rien dans ta paroisse, ce serait trop humiliant pour moi.
• Ne vous en faites pas Père Bertrand, le principal soit que vous soyez honnête avec vous-même.
• Merci tu es gentil, et si compréhensif. Une des fois précédentes, tu me parlais de mes poils pubiens, pourquoi ?
• Eh ! eh ! avec votre physique vous seriez encore plus désirable si cette zone était lisse.
• Tu crois?
• Oui. Mais je ne vous force pas. vous pouvez aussi le faire seul.
Après un moment d'hésitation, il ajouta très gentiment • Oh, non ! Je pense que cela sera mieux fait si tu me le fais. Tu viens quand ?
• Mercredi si cela vous convient. J'apporterai le rasoir et les crèmes.
• Comme tu le souhaites. Merci et à mercredi.
Les quelques jours s'écoulèrent, et je pensais à cette séance de rasage et profiterai encore une fois de son si joli sexe et pouvoir encore apporter du plaisir au Père Bertrand.
Le mercredi comme convenu, je sonne à la porte du presbytère. La porte s'ouvre sur un immense hall, me dirige vers le monumental escalier pour monter au deuxième étage. Il est sur le palier pour m'accueillir.
• Entre. Je suis seul. Il (le curé) est encore pour quelques jours en déplacement.
Il me fait entrer dans son appartement. De l'entrée, nous pénétrons dans une pièce qui est son bureau qui s'ouvre sur une très grande pièce qui est son salon. Je constate comme pour ses tenues vestimentaires, les deux pièces sont meublées d'un très grand goût en mariant de splendides meubles anciens et d'autres contemporains très raffinés.
• Enlève ton manteau. Tu veux boire quelque chose ? Ou nous prenons le pot après?
Au fond de moi-même je pensais qu'il avait très envie que nous passions à cette séance de rasage, mais il faut dire que moi aussi.
• Comme vous le souhaitez, mais, je pense après serait bien, cela nous permettra de décompresser ou reprendre des forces.
• Où allons-nous pour cette séance afin que cela soit plus pratique. Je suppose qu'allonger sera plus confortable pour nous deux.
• Oui, oui, je pense. Mais il me faudrait tout de même un gant de toilette mouillé et un récipient style petite cuvette.
• Je vais te chercher cela. Et une serviette ?
• Non, non, j en ai prévu deux avec le matériel.
• Je vais aller chercher cela et ensuite nous irons dans ma chambre, je m'allongerai sur mon lit. Cela te convient • Oh ! Oui. Bien sûr!.
Pendant qu'il partit vers sa salle de bains, je regardais autour de moi et vis une pile d'hebdomadaires et mensuels. Je fus très tenté d'en soulever quelques-uns s'il y avait une revue "un peu spécial" – gay ou porno" je n'ai rien vu.. Il réapparut avec cuvette, gant et même une serviette.
• Allons-y. Suit- moi, nous allons dans ma chambre.
Cette pièce était tout aussi bien aménagée et meublée que les précédentes avec ce mélange subtil de style.
Il déposa ce qu'il avait en mains sur une jolie table qu'il avait recouvert de la serviette.
• Tu peux mettre ton matériel aussi ici, • Oui, merci. Il y a une prise de courant pas trop loin ?
J'avais apporté en plus du rasoir et gel moussant, des ciseaux, une crème dépilatoire mais aussi la petite cuve spéciale pour la cire.
Comme cela j'avais les différentes techniques de rasage. Mais en tête, lui faire un rasage impeccable à la cire, (mais il fallait qu'il le supportât). Pendant ce temps il ouvrit une armoire style renaissance et en sortit un drap pour recouvrir un large lit (une place).
• Maintenant comment faisons-nous ?
• Si vous voulez, mettez vous nu ou en sous-vêtement, mais il faudra tout de même ensuite l'enlever. Où est la prise de courant ?
• Là-bas. Pourquoi ?
• J'ai quelque chose à brancher pour chauffer la cire.
• De la cire ??
• Oui de la cire dépilatoire, bien évidemment pas de la cire de vos cierges.
Il s'approcha de son lit, enleva ses pantoufles en cuir, dégrafa et fit descendre son pantalon. Il s'allongea sur le dos sur le lit en slip. Je pouvais deviner une jolie bosse.
• J'enlève mon slip ?
• Eh oui, si vous voulez que nous fassions cette opération de rasage ;Le sous-vêtement enlevé sa bite était droite, mais que de poils, que de poils.
• Eh ben ! il va, il y avoir du travail avec tout ce que vois. Nous commençons?
• Comme tu le veux.
Il fallait que je me détente tout de même, j'étais inconsciemment ému de m'occuper de si prêt d'un ecclésiastique de cette façon pour une première fois vu mes convictions.
• Avec ce que je vois, je ne peux pas raser tout de suite, mon Père. Il va falloir que je coupe dans cette forêt surabondante de poils Je saisis mes ciseaux qui étaient sur la petite table de bois de rose. D'une main je pris une première touffe de poils et je fis crisser les ciseaux dans cette abondante toison; Je fus obligé de répéter ce geste à de plus de dix reprises. Sans toucher sa queue. Je voyais que cela devait l'exciter car au fur et à mesure son beau sexe se raidissait de plus en plus. Il bougeait par soubresauts A un certain moment le Père Bertrand dirigea sa main vers celui-ci. Il semblait assez excité par mes gestes. Mais ce n'était que le début.
• Non, non, père Bertrand, soyez patient, ne vous touchez pas. Je n'ai pas fini.
• Mais, Mais, comme tu vois je suis très tendu et j'ai envie • Il va falloir patienter encore un peu. Apparemment vous n'avez jamais rien fait comme entretien, et il y a du travail si vous voulez être beau.
Pour le faire patienter et augmenter son excitation, je lui demande d'enlever son t'shirt.
• Père Bertrand enlevez votre t-shirt. Vous serez mieux.
Il ne rétorqua pas et enleva son t'shirt. Son torse était sans poils, seulement un ou deux autour que chaque sein. Mais par-contre des poils sous les aisselles de ses bras.
• Il faudra aussi enlever ceux-ci, c'est vraiment disgracieux père Bertrand.
Pour le faire encore languir, je luis propose de raser ses dessous de bras.
• Nous allons pour commencer raser sous les bras • Tu crois vraiment? Un homme a toujours des poils sous les bras !
• Oui, mais de plus en plus ils se rasent. Laissez-vous faire. Levez vos brasIl leva ses bras. Avec le gant de toilette j'humidifiai cette zone et déposa du gel à raser, puis je fis glisser le rasoir doucement. Les poils s'accrochaient au rasoir ou tombaient sur le drap.
• Eh bien, il y en avait. J'ai bientôt terminé Père BertrandPendant que je m'étais occupé de ses aisselles, d'une main il se caressait un peu son sexe et passait sa main sur les poils qui avaient été coupés Je fis glisser mes doigts sur cette nouvelle partie glabre, ce qui le chatouilla un peu et je saupoudre de talc ses aisselles. Je pris un petit miroir, afin qu'il puisse vérifier le travail.
• Regarder, c'est bien mieux comme cela. Et vous constaterez plus confortable.
• Ah ! Cà fait drôle. Tu crois que l'on ne me dévisagera pas à la piscine ? Cà ne fait pas trop. .. . trop . . . . comment dire chechette, trop homo • Et alors ! Maintenant passons aux choses sérieuses. Je pense que le rasoir ne sera pas tout à fait suffisant. Avec la cire sera plus radical et plus joli. Vous serez plus doux à cet endroit et surtout pas de soucis de petites démangeaisons. Je vais déposer avec le tâtonné la cire liquéfiée. Ne soyez pas étonné, c'est légèrement chaud On y va ? ?
• Je me laisse faire.
Il était un peu anxieux, et inconsciemment sa bite avait un peu débandée. Je m'approchaiset après avoir trempé la spatule dans la cire, je commence à l'étaler sur une petite zone pubienne ce produit pour en dessiner une petite bande. Je tapote sur cette petite bande. A une extrémité j'appuie et de l'autre essaie de décoller l'angle, pour tirer d'un coup vif et sec. Et comme je m'y attendais, le père Bertrand poussa un cri.
• Aie ! aie ! oh non - oh non - salaud ! c'est une horreur. Tu ne vas pas faire tout çà de cette façon.
• Si bien sûr ! On refait une bande !
• Non, non, arrêtes je t'en supplie. Cà fait trop mal.
• Vous allez-vous habituer. Nous faisons encore une bande et l'on verra si nous changeons de méthode !
Si lui avait presque complètement débandé, avec une verge couchée sur le côté d'une de ses cuisses, moi je commençais vraiment à bander. Et de façon perverse, je pensais, - c'est bien fait pour toi - tu as péché - et bien maintenant c'est ta pénitence. De nouveau je trempe le bâton, et en symétrie dépose la bande de cire, en ayant pris soin de pousser délicatement sa queue.
• Lorsqu'elle est droite, c'est plus facile.
• C'est à cause de toi, c'est à cause de la douleur que tu m'as procurée • Enlevez votre main, je puisse continuer.
De nouveau je tapote, j'appuie, je soulève et . . . d'un coup sec, arrache la bande.
• Salaud, salaud, sale traite, tu es un vrai bourreau. Je t'interdis de continuer avec la cire. Je t'ai fait confiance et cédé pour me faire raser et toi tu te venges après m'avoir donné autant de plaisir l'autre jour. Je te déteste.
• Père Bertrand, calmez-vous. Lorsque vous serez tout lisse et encore plus beau, vous aurez votre récompense après. C'est promis.
• Utilise une autre méthode, c'est trop douloureux. Tu as probablement une autre méthode • Allez soyez raisonnable, montrez-vous fort, nous allons faire encore une bande de chaque coté de votre bite et je vous promets de mettre de la crème dépilatoire pour terminer • Non – non - tout de suite - s'il te plaît !!
• Vous êtes entre mes mains, je vous fais ce que j'ai dit. Encore les deux bandes ! Et vous aurez droit à une récompense tout le travail fini.
Malgré encore certaines de ses supplications, je ne bronche pas et ne chance pas d'avis. Je plonge la petite langue de bois dans la cuve et tire sur la cire et l'enroule autour. Suivant toujours mon idée. J'étale la cire sur une zone où il y a beaucoup de souche de poils. Bien plus que les deux fois précédentes. La zone était bien noire. J'étale une belle couche. Tapote, appuie et attends pour bien laisser sécher. J'imagine les minutes suivantes . . . . .
Je maintiens une extrémité et soulève l'autre.
• On y va ! je tire !
• Oui, salaud je sais !
Et là ! Entre mes deux doigts, je soulève et tire d'un coup rapide et sec la cire. Ce qui devait arriver se produit. Il hurla, poussa un grand cri comme si l'on égorgeait un cochon. Il avait quelques larmes sur les yeux. Sa queue n'ait plus un beau chibre, mais quelque chose de ramollit, rabougrit, rétrécit. Avant qu'il réagisse et revienne un peu à lui,, j'en profite pour étaler en symétrie la dernière bande, sur une zone aussi noire. Sa réaction fut semblable et même nettement plus intense. I bougeait ses jambes, et se tordait sous les douleurs que je lui avais procurées.
Pour le calmer, je dépose de la crème pour soulager les zones devenus complètement lisses et glabres. Et étalant la crème tout était devenu très doux. Pour le récompenser, je caressais doucement cette zone ainsi que quelques caresses éparses sur sa que, son gland et son frein.
• Cà suffit - çà suffit – même si ce n'est pas fini, je m'en fous, mais arrête – arrête ! !
• Oui, j'arrête. Vous avez été très courageux. Je vais terminer cet ensemble avec de la crème dépilatoire, et vous serez très beau; - Touchez là – Constatez – • C'est tout doux - Mais c'est incroyable - ce que tu m'as dit est bien vrai. Allez continue si tu veux • Nous allons terminer avec la crème, il n'y aura plus de poils, mais vous verrez cela sera moins doux; vous sentirez de très très petits picots, la racine de vos poils.
Un jour nous ferons le tout avec la cire • Ce n'est pas pour demain ! Pas tout de suite, c'est trop insupportable c'est terrible !
Pendant qu'il terminait sa phase je commençais à étaler la crème en évitant les zones qui avaient été faites à la cire pour ne pas le brûler. Une fois la pâte étalée, j'attendais tout de même un peu, car la souche de ses poils était très épaisse et intense. Pendant ce temps de pause, je caressais la zone lisse en frôlant son sexe pour l'exciter un peu. Le père Bertrand se laissait bien faire et fermait par moment ses yeux et laissait échapper des petits soupirs de plaisir. Son sexe reprenait progressivement une belle forme. J'ai arrêté les caresses pour enlever délicatement la crème et passer doucement le gant de toilette pour ôter les traces de cette crème. C'était une peau de bébé. Je pris mon petit flacon rempli d'huile (dite sèche) aux essences essentielles. J'ai versé de l'huile pour apaiser les petites brûles de la peau. J'ai repris un massage de tout son pubis et de ses couilles.
• Cà fait du bien me dit le père Bertrand, c'est très agréable • Passez votre main maintenant, vous pourrez constater le rasage malgré les petits désagréments.
• Oui, c'est tout lisse.
Je me suis déplacé pour prendre sur la petite table une glace et lui faire admirer son nouveau pubis.
• Regardez, comme cela change • Oh là là : plus rien. Il va falloir que je m'habitue • Vous verrez comme c'est agréable.
Pendant ce court échange sa tige s'était assez bien redressée en prenant aussi du volume faisant apparaître son gland légèrement luisant.
Il pensait peut-être que j'allais déjà remettre en bouche son membre. Mais, non : j'ai remis de l'huile sur cette belle zone mais aussi sur sa bite et son gland. Et j'ai commencé surtout à masser son gland et le frein. Là ce fut magique. Il se tortillait sur le lit et voulait mettre sa main. Un peu autoritairement, je lui ai enlevée, pour continuer de mettre son gland dans le creux de ma main pour lui faire subir cette délicieuse caresse. Une de ses jambes a tressailli tout en poussant des • Oh ! Oh! Oooh ! C'est bon, c'est bon !
Puis ma main descendit vers le bas de sa belle hampe, pour remonter tout doucement et redescendre de la même manière en ayant pris soin de repasser délicatement sur le gland et le frein, et cela très lentement à plusieurs reprises.
• Que c'est bon ! que c'est bon ! c'est incroyable ! ce n'est pas possible ! C'est terrible, j'ai des frissons dans tout le corps. Je ne savais pas que l'on pouvait avoir autant de plaisir. Pour une fois je m'abandonne, c'est top excitant.
De constater son excitation me plaisir beaucoup. Cette caresse à certains moments peut être presque une torture agréable. Pour que cela soit plus intense, lorsque je constatais que sa queue se gonflait près de l'éjaculation j'arrêtais et enlevais ma main. Mais il était impatient • Continue, continue, ne t'arrête pas. C'est bon : c'est trop bon, je veux jouir, je vous jouir.
• Non, non, vous allez patienter encore. C'est votre punitionJ'attendais de courtes minutes pour recommencer ce supplice et apprécier son beau corps imberbe et lisse onduler. Ses mains se fermaient et s'ouvraient tout en se tordant et certaines ondulations de son long corps. J'ai pu à ma grande joie lui faire subir ce jeu pendant une bonne dizaine de minutes. Il suppliait de plus en plus fort avec de nombreuses onomatopées,Et même parfois des cris. Je savais m'arrêter pour qu'il ne jute pas. Son corps avait à certains endroits des traces de sueur. Son front luisait. J'ai cessé ce petit manège, là, il m'implora et me supplia de continuer pour que je le finisse. Je n'ai pas craqué , mais par contre après quelques longues secondes et ayant constaté que tout l'huile était bien pénétrée, j'ai approché ma bouche pour lui faire une fellation comme la première fois lorsque nous nous sommes rencontrés. J'ai commencé mes va-et-vient en roulant bine mes lèvres autour de sa colonne et faisant différents mouvements pendant ce temps avec ma langue autour de la couronne de son gland. Ses mains se crispaient aux draps, sa tête de tournait à gauche à droite, et il poussait des gémissements entrecoupés de oui ! oui ! Il osa même d'une de ses mains presser sur ma tête pour que je descende le maximum. A un certain moment je me suis bien détendu, et au moment où je descendais calmement le long de sa belle colonne de chair afin de lui faire une gorge profonde à plusieurs reprises. Heureusement que son curé n'était pas là, car il aurait ameuté tout le bâtiment du presbytère tellement les soupirs et gémissements étaient devenus des cris d'extase. Ma bouche et ma main sentirent que tout se raidissait en lui. Et pour profiter pleinement du spectacle dont je n'avais pas profité la dernière fois, j'ai retiré ma bouche au tout dernier moment pour le faire languir vicieusement et que ces instants lui deviennent insupportables. J'ai ouvert ma bouche pour sortir son membre tout luisant de salive et le maintenait pour le diriger vers son ventre afin que la parie raser soit baptisé de son foutre. Et ce fut cinq importantes giclées que s'échappèrent de son méat. La semence perdue était bien blanche et même pour certaines comme des grumeaux épais. Après un grand cri, son corps s'est détendu d'un seul coup, tout s'est relâché, il reprit son souffle, mais sa queue était encore assez raide, avec tout son foutre sur le ventre. Alors comme je l'avais toujours en main, je me suis mis à masturber le père Bertrand en resserrant légèrement ma main.
• Non, non, arrête je suis crevé, tu m'as complètement vidé.
• Laissez-vous faire, vous allez encore avoir une seconde éjaculation, je suis sûr.
• Non, non, tu m'as trop travailléPendant ces quelques phrases, je continuais la masturbation avec des mouvements plus amples et serrant davantage ma main. Sa bite reprenait sa forme d'homme en pleine érection. J'accélérais progressivement les va-et-vient, le corps du père Bertrand se cambrait de plus en plus, il haletait de plus en plus vite avec des oh oui, oh oui ouiii ! Son corps se souleva du matelas, il était complètement arquebouté, sa verge était comme du béton et dans cri sourd et rauque il lâcha une rasade importante de sperme légèrement plus liquide et il s'affala sur le lit. Je croyais que tout était terminé quand au bout de quelques secondes un immense cri et comme une mitraillette de très nombreux petits grumeaux s'échappèrent en deux rafales. Et lorsqu'il évacua ces deux rafales, ce fut très impressionnant de voir tout son beau corps pris d'importantes convulsions.
Il devenait tout apaisé, il était beau le père Bertrand. Il lui a fallu plusieurs minutes afin qu'il revienne réellement à lui. Il me tendit la main pour doucement la serrer.
• Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Pourquoi me suis-laisser tant aller ? Mon Dieu, mon Dieu ! Heureusement que Jean (son curé) n'était pas là. Il ne faut pas qu'il le sache. Ce que tu m'as fait subir est encore meilleur que ma première fellation. Mais il ne faut pas que je recommence. . . . . Mais c'est trop bon ce que tu m'as fait découvrir si gentiment. Mes très rares branlettes n'ont rien à voir. Il faut que nous puissions nous revoir.
Malgré son cas de conscience, je lui fis remarquer qu'un ecclésiastique est avant tout un homme de chair et . . . nous nous sommes revus
Jean-Eudes

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