Retrouvailles
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Eudes ont reçu un total de 162 503 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 458 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Retrouvailles
Retrouvailles :
Parfois il y a des hasards dans la vie qui raniment d'anciens souvenirs pour ensuite nous font vivre d'agréables moments.
Tout commence au moment de ma réinstallation à Paris après plusieurs belles années passées dans la plus pittoresque et intellectuelle ville de l'Est de la France. A peine arrivé, je n'avais qu'une envie profiter de la programmation de l'opéra-Bastille. Et c'est lors de cette première soirée que cette histoire commence.
C'est lors du premier spectacle de la saison musicale au moment où je fais la queue au guichet de retrait à l'Opéra-Bastille pour mon billet, que l'on me tape sur l'épaule. Je me retourne. Je vois un homme de mon âge, une petite quarantaine d'années, grand à peu près un mètre-quatre-vingts, bien et harmonieusement bâti, les cheveux légèrement grisonnants magnifiquement peignés avec un catogan style Karl Lagerfeld, vêtu de manière élégante, recherchée et artistique.
J.J. : Tu ne me reconnais pas ?
Je le regarde un peu étonné et très surprisMoi : Non, non, je ne vois pas, Monsieur. Vous devez vous tromperJ.J.: je suis Jean-Jacques du lycée des taillandiers !
Je reste toujours perplexe et sans parole. J'étais bien allé dans ce lycée, mais cela remontait à plus de vingt-cinq ans.
Moi : Oh là là ! Cela est bien loin. Je ne me souviens absolument pas de vous.
J.J. Tu es bien Jean-Eudes ?
Moi : OuiIl avait beau essayé de m'expliquer, mais moi, je ne me souvenais vraiment plus de lui; même en agitant fort ma mémoire. La sonnerie retentit pour que nous rentrions dans la salle.
J.J.: Bon spectacle, et nous nous retrouvons à l'entracte.
Pendant ce magnifique opéra, j'écoute cette sublime musique, admire la mise en scène pour une fois correcte, sans parler de l'interprétation avec toutes ces voix parfaites, je m'arrête pas de me ressasser ce dialogue impromptu avec cet inconnu : Jean-Jacques. Après le premier acte, nous nous retrouvons dans l'immense foyer pour continuer notre conversation. Il me remémore des anecdotes et certains noms de professeurs. Je revois un grand nombre de ses descriptions, mais pour sa personne c'est le vague complet. Parfois involontairement les années effacent certains détails. Lui a une grande aisance à me tutoyer par rapport à moi qui continue à le vouvoyer.
J.J. Après le spectacle, je dois rentrer, je ne peux pas rester avec toi.
Moi : Pas de souci, mais si vous le souhaitez, nous pourrons peut-être se revoir et évoquer toutes ces années.
J.J. : Mais, bien sûr, tu viendras à la maison et je te présenterai Gilles, L'homme avec qui je vis depuis plus de quinze ans.
Nous devons interrompre notre conversation pour assister à la suite du spectacle, il me donne très rapidement, sur un morceau de page de son programme, son numéro de téléphone pour fixer une date (à cette époque, il n'y a pas encore les téléphones portables)Absorbé par mes responsabilités professionnelles, je l'appelle que quelques semaines après. Il est content que l'on puisse se revoir et m'invite à dîner.
A la date fixée, j'arrive, je suis accueilli par Jean-Jacques dans un immense appartement, somptueusement et magnifiquement décoré dans les moindres détails. Il me prévient que Gilles va arriver plus tard étant en rendez-vous professionnel.
Nous nous installons dans un des vastes et confortables canapés pour boire une coupe. Nous évoquons certaines grandes phases de notre vie. Et c'est au cours d'une phrase qu'il m'annonce qu'il avait été marié et père d'un fils quand il a été séduit par son compagnons Gilles qui lui aussi avait été marié et papa de deux enfants j'écoute un peu surpris. Chacun avait divorcé pour se mettre ensemble et couler des jours épanouis. Jean –Jacques est un homme de goût, grand créateur de mode pour une clientèle politiques, artistiques et de la grande bourgeoisie. Au fil de la conversation, j'ai compris qu'il était très amoureux de Gilles. Le temps d'attente nous a semblé assez court avec toutes ces informations, lorsque Gilles arrive. Lui est plus petit, blond, très souriant.
Lui par-contre est vêtu de manière dirons-nous plus sophistiquée avec des accessoires visibles : montres, bagues, bracelets etc… Gilles est précieux avec des gestes maniérés ce qui lui donne un certain charme. Avec cette beauté, je flache sur ce personnage au regard presque envoûtant de ses yeux bleus. Nous continuons à partager cet apéritif, lorsque Jean-Jacques me lance en plein milieu de nos conversations :J.J. : Hein, il est beau mon Gilles.
Je n'ose pas répondre, ils sont beaux tous les deux avec un charme impressionnant, mais Gilles a quelques chose de plus. Quoi ? je ne sais pas, mais cela ne me laisse pas insensible.
Jusqu'à ce moment nous n'avons pas vraiment parlé sexe. Je ne sais pas comment ils s'étaient connus et évolués, après des années de séparation avec leurs épouses. Ils vivaient ensemble et semblent épanouis et heureux.
Jean-Jacques se lève et se dirige vers Gilles pour l'embrasser gentiment.
J.J. : Montre à Gérard comme tu es bien foutu, allez, tu aimes te montrer.
Gilles : Cà ne va pas ! Tu es malade! Je ne le connais pas ce type, il n'est pas là pour çà. Tu l'invites sans rien me dire, il vient dîner c'est tout Fout-moi la paix. ! !
De mon côté, je m'étais mis dans le fond du canapé, sans rien dire pour laisser passer l'orage. Jean-Jacques ne cesse pas sa requête, et, va juste à me demander que je veux voir Gilles d'une autre façon. Je suis gêné, mais ne réponds pas vraiment.
Moi : Jean-Jacques ! Laissez-le un peu. Ne l'obligez tout de même pas !
Ce n'est pas important. Gilles vous n'êtes tout de même pas obligé de faire ce qu'il veut. (pour ménager la chèvre et le chou, je rajoute) nous verrons un autre jour.
Je n'étais vraiment pas à l'aise. Gilles ronchonne, lorsque Jean-Jacques ajoute à ma grande surpriseJ.J. : Pourtant il aime le montrer son cul! Tu verrais comme il est beau.
Agacé par toutes les interjections de Jean-Jacques, Gilles se lève d'un bon et se dirige vers une autre pièce de l'appartement. Une vingtaine de minutes se passent lorsque du fond d'une pièce :Gilles : Alors ? Qu'est-ce vous attendez ? Vous venez ?
Moi, toujours blotti dans le fond du canapé, Jean-Jacques me fait signe de venir et de le suivre dans la traversée des différentes pièces. Nous pénétrons dans une immense pièce baignant dans une lumière du jour tamisée par des rideaux en soie magnifiquement drapés. C'est la chambre, elle est digne des décorations de certaines grandes revues réputées. Et là, je suis interloqué et osant à peine entrer car je vois au milieu d'un lit king-size, Gilles allongé de tout son long à plat-ventre. Il a les jambes un peu écartées. C'est très surprenant, mais aussi assez beau esthétiquement. Gilles par sa position a un corps d'une plastique académique. Sa peau est dorée comme un petit pain et de plus avec un bronzage sans démarcation. C'est très beau. Je dirais même excitant.
Jean-Jacques se met en sous-vêtement et s'approche de son compagnons pour le caresser. Il m'invite à faire pareil et me mettre dans la même tenue; Je suis excité, mais n'ose pas trop pour cette première visite chez eux. Mais enfin je me décide pour me trouver également avec mon slip qui a bien gonflé.
Jean-Jacques embrasse le fessier de Gilles, lui écarte ensuite les deux globes fessiers.
J.J. : Regarde, Jean-Eudes, comme il est beau son trou que j'écarte. Admire ! !
Alors que nous n'avons encore strictement rien fait, son orifice est déjà légèrement ouvert. Sa rosette est joliment plissée, laissant son cœur un peu élargi.
J.J. : C'est dommage, il y a des poils, cela ne te gêne pas ?
Moi : Quand c'est net, sans obstacle, c'est encore plus beau.
J.J. : si tu veux, nous allons les enlever.
Jean-Jacques se lève et revient quelques instants après avec du matériel sur un petit plateau en argent. De mon côté je ne suis pas très attiré par cette zone, mais l'ambiance étant assez érotique, je me laisse aller à ce jeu. Avec tout ce matériel le choix de l'épilation pouvait être fait de plusieurs manières. J'ai bien observé que Jean-Jacques préfère le rasage à la cire.
L'opération va commencer, Jean-Jacques me tends le gel de rasage et le rasoir. Il faut bien que je m'exécute. A sa grande joie, Jean-Jacques écarte les fesses de Gilles en me commentant cette partie sensible. Avant de commencer, il lui masse du plat de son doigt l'entrée de l'anus, ce qui fait réagir immédiatement Gilles par de petits gloussements. Quelques minutes après je dépose du gel et masse doucement ce qui le fait plus couiner. Jean-Jacques écarte encore plus ce qui ouvre en même temps carrément le petit trou. Je fais glisser lentement, délicatement le rasoir. Maintenant Gilles ronronne comme un gros chat. Tout ce minuscule endroit devient de plus en plus lisse, mais surtout net et rose. Gilles a l'air d'apprécier les caresses et les attouchements de cette délicate zone. Du coup inconsciemment le petit trou en demande presque davantage car il s'ouvre et se ferme tout seul. C'est surprenant de voir cette dilatation subtile.
Je laisse Jean-Jacques la suite de l'opération pour le rinçage, le séchage et l'essuyage, qu'il exécute avec une joie non dissimulée. Lorsqu'il passe ses doigts à différentes reprises, les gloussements deviennent des gémissements de plaisir car Jean-Jacques vient de lui rentrer progressivement deux de ses doigts sans aucune difficulté faisant accroître le plaisir interne de Gilles. Bien que sur le ventre celui-ci ondule de tout son corps. Gilles prend même l'oreiller pour le mordre au fil du plaisir s'amplifiant.
Ce tableau est très beau à observer. J'ose glisser ma main entre les jambes écartées de Gilles, pour trouver au bout de mes doigts, le gland gonflé, que je caresse et masse. Quelques gouttes de liquide séminal sortent du méat légèrement écrasé.
Je ne voulais pas trop précipiter les choses, mais ce gland me fait envie pour le masser, je ne veux pas interrompre Jean-Jacques au plaisir qu'il sait donner à son compagnon en pénétrant davantage ses doigts en les agitant tant en temps par des mouvements de va-et-vient ou des mouvements circulaires. Des gémissements de plus intenses résonnent pour en arriver presque à des cris successifsGilles : Ouiii, ouiiii, c'est bon, c'est bon, continueeee enfonce pour que je jouisseMoi : Pas tout de suite, patientez, vous êtes trop beau Gilles dans cette exhibition d'extase. Retournez-vous que je vous donne d'autres plaisirs.
Jean-Jacques retire et enlève doucement ses trois doigts du fondement de Gilles qui vient de se retourner. Sa queue qui ne fera pas du porno par ses dimensions est en pleine érection. Je lui fais remonter ses jambes afin que de nouveau il offre son trou bien ouvert aux doigts de Jean-Jacques. Il arrive maintenant a lui introduire un quatrième ce qui occasionne un long et profond gémissement de satisfaction. Pendant ce temps je décalotte complètement la queue de Gilles pour bien dégager le gland et sa couronne. Je dépose de ma salive sur son gland et en mets ensuite dans le creux de ma main pour commencer des mouvements rotatifs sur le gland tout en effleurant avec le bout d'un doigt le frein. Je crache encore un peu de salive pour bien lubrifier sa bite. Je continue toujours avec mes caresses rotatives en alternance avec des arrêts pour lui faire monter son excitation. Son plaisir est devenu presque insoutenable tellement il est fort et intense. Gilles veut que j'arrête ce supplice comme il le crie. Il veut que je le masturbe pour terminer cette pseudo torture.
Je ralentis seulement, pour mettre une bonne dose de salive et recommencer mon massage rotatif. Jean-Jacques de son côté amplifie ses va-et-vient anaux. Gilles ondule de satisfaction, les cris de Oui, oui se multiplient aux sonorités plus intenses. Son corps vibre. Sa queue se gonfle et se raidit sentant qu'il va éjaculer, je continue mon massage et un fort et puissant jet abondant de sa suprême semence gicle violemment. A ce moment d'éjaculation, pendant plus de quatre minutes (et je peux vous dire que ce fut long) une interminable suite de hurlements s'échappent de sa bouche à ce moment et son corps est pris d'une multitude de convulsions le faisant lever du matelas avec tout son corps tremblant. Je n'avais jamais vu un orgasme faisant autant d'effets. Gilles avait du sperme surtout le corps; Je n'ai pas pu le caresser ou l'essuyer son corps n'acceptait pas d'être touché. Il a fallu attendre presque quarante-cinq minutes pour que toute cette sensibilité s'estompe.
Cette première rencontre fut très agréable et m'a dévoilée la sensibilité exacerbée de Gilles. Depuis j'adore lui faire subir des caresses et massages aux plaisirs intenses et surtout insoutenables sous les yeux excités de Jean-Jacques.
Parfois il y a des hasards dans la vie qui raniment d'anciens souvenirs pour ensuite nous font vivre d'agréables moments.
Tout commence au moment de ma réinstallation à Paris après plusieurs belles années passées dans la plus pittoresque et intellectuelle ville de l'Est de la France. A peine arrivé, je n'avais qu'une envie profiter de la programmation de l'opéra-Bastille. Et c'est lors de cette première soirée que cette histoire commence.
C'est lors du premier spectacle de la saison musicale au moment où je fais la queue au guichet de retrait à l'Opéra-Bastille pour mon billet, que l'on me tape sur l'épaule. Je me retourne. Je vois un homme de mon âge, une petite quarantaine d'années, grand à peu près un mètre-quatre-vingts, bien et harmonieusement bâti, les cheveux légèrement grisonnants magnifiquement peignés avec un catogan style Karl Lagerfeld, vêtu de manière élégante, recherchée et artistique.
J.J. : Tu ne me reconnais pas ?
Je le regarde un peu étonné et très surprisMoi : Non, non, je ne vois pas, Monsieur. Vous devez vous tromperJ.J.: je suis Jean-Jacques du lycée des taillandiers !
Je reste toujours perplexe et sans parole. J'étais bien allé dans ce lycée, mais cela remontait à plus de vingt-cinq ans.
Moi : Oh là là ! Cela est bien loin. Je ne me souviens absolument pas de vous.
J.J. Tu es bien Jean-Eudes ?
Moi : OuiIl avait beau essayé de m'expliquer, mais moi, je ne me souvenais vraiment plus de lui; même en agitant fort ma mémoire. La sonnerie retentit pour que nous rentrions dans la salle.
J.J.: Bon spectacle, et nous nous retrouvons à l'entracte.
Pendant ce magnifique opéra, j'écoute cette sublime musique, admire la mise en scène pour une fois correcte, sans parler de l'interprétation avec toutes ces voix parfaites, je m'arrête pas de me ressasser ce dialogue impromptu avec cet inconnu : Jean-Jacques. Après le premier acte, nous nous retrouvons dans l'immense foyer pour continuer notre conversation. Il me remémore des anecdotes et certains noms de professeurs. Je revois un grand nombre de ses descriptions, mais pour sa personne c'est le vague complet. Parfois involontairement les années effacent certains détails. Lui a une grande aisance à me tutoyer par rapport à moi qui continue à le vouvoyer.
J.J. Après le spectacle, je dois rentrer, je ne peux pas rester avec toi.
Moi : Pas de souci, mais si vous le souhaitez, nous pourrons peut-être se revoir et évoquer toutes ces années.
J.J. : Mais, bien sûr, tu viendras à la maison et je te présenterai Gilles, L'homme avec qui je vis depuis plus de quinze ans.
Nous devons interrompre notre conversation pour assister à la suite du spectacle, il me donne très rapidement, sur un morceau de page de son programme, son numéro de téléphone pour fixer une date (à cette époque, il n'y a pas encore les téléphones portables)Absorbé par mes responsabilités professionnelles, je l'appelle que quelques semaines après. Il est content que l'on puisse se revoir et m'invite à dîner.
A la date fixée, j'arrive, je suis accueilli par Jean-Jacques dans un immense appartement, somptueusement et magnifiquement décoré dans les moindres détails. Il me prévient que Gilles va arriver plus tard étant en rendez-vous professionnel.
Nous nous installons dans un des vastes et confortables canapés pour boire une coupe. Nous évoquons certaines grandes phases de notre vie. Et c'est au cours d'une phrase qu'il m'annonce qu'il avait été marié et père d'un fils quand il a été séduit par son compagnons Gilles qui lui aussi avait été marié et papa de deux enfants j'écoute un peu surpris. Chacun avait divorcé pour se mettre ensemble et couler des jours épanouis. Jean –Jacques est un homme de goût, grand créateur de mode pour une clientèle politiques, artistiques et de la grande bourgeoisie. Au fil de la conversation, j'ai compris qu'il était très amoureux de Gilles. Le temps d'attente nous a semblé assez court avec toutes ces informations, lorsque Gilles arrive. Lui est plus petit, blond, très souriant.
Lui par-contre est vêtu de manière dirons-nous plus sophistiquée avec des accessoires visibles : montres, bagues, bracelets etc… Gilles est précieux avec des gestes maniérés ce qui lui donne un certain charme. Avec cette beauté, je flache sur ce personnage au regard presque envoûtant de ses yeux bleus. Nous continuons à partager cet apéritif, lorsque Jean-Jacques me lance en plein milieu de nos conversations :J.J. : Hein, il est beau mon Gilles.
Je n'ose pas répondre, ils sont beaux tous les deux avec un charme impressionnant, mais Gilles a quelques chose de plus. Quoi ? je ne sais pas, mais cela ne me laisse pas insensible.
Jusqu'à ce moment nous n'avons pas vraiment parlé sexe. Je ne sais pas comment ils s'étaient connus et évolués, après des années de séparation avec leurs épouses. Ils vivaient ensemble et semblent épanouis et heureux.
Jean-Jacques se lève et se dirige vers Gilles pour l'embrasser gentiment.
J.J. : Montre à Gérard comme tu es bien foutu, allez, tu aimes te montrer.
Gilles : Cà ne va pas ! Tu es malade! Je ne le connais pas ce type, il n'est pas là pour çà. Tu l'invites sans rien me dire, il vient dîner c'est tout Fout-moi la paix. ! !
De mon côté, je m'étais mis dans le fond du canapé, sans rien dire pour laisser passer l'orage. Jean-Jacques ne cesse pas sa requête, et, va juste à me demander que je veux voir Gilles d'une autre façon. Je suis gêné, mais ne réponds pas vraiment.
Moi : Jean-Jacques ! Laissez-le un peu. Ne l'obligez tout de même pas !
Ce n'est pas important. Gilles vous n'êtes tout de même pas obligé de faire ce qu'il veut. (pour ménager la chèvre et le chou, je rajoute) nous verrons un autre jour.
Je n'étais vraiment pas à l'aise. Gilles ronchonne, lorsque Jean-Jacques ajoute à ma grande surpriseJ.J. : Pourtant il aime le montrer son cul! Tu verrais comme il est beau.
Agacé par toutes les interjections de Jean-Jacques, Gilles se lève d'un bon et se dirige vers une autre pièce de l'appartement. Une vingtaine de minutes se passent lorsque du fond d'une pièce :Gilles : Alors ? Qu'est-ce vous attendez ? Vous venez ?
Moi, toujours blotti dans le fond du canapé, Jean-Jacques me fait signe de venir et de le suivre dans la traversée des différentes pièces. Nous pénétrons dans une immense pièce baignant dans une lumière du jour tamisée par des rideaux en soie magnifiquement drapés. C'est la chambre, elle est digne des décorations de certaines grandes revues réputées. Et là, je suis interloqué et osant à peine entrer car je vois au milieu d'un lit king-size, Gilles allongé de tout son long à plat-ventre. Il a les jambes un peu écartées. C'est très surprenant, mais aussi assez beau esthétiquement. Gilles par sa position a un corps d'une plastique académique. Sa peau est dorée comme un petit pain et de plus avec un bronzage sans démarcation. C'est très beau. Je dirais même excitant.
Jean-Jacques se met en sous-vêtement et s'approche de son compagnons pour le caresser. Il m'invite à faire pareil et me mettre dans la même tenue; Je suis excité, mais n'ose pas trop pour cette première visite chez eux. Mais enfin je me décide pour me trouver également avec mon slip qui a bien gonflé.
Jean-Jacques embrasse le fessier de Gilles, lui écarte ensuite les deux globes fessiers.
J.J. : Regarde, Jean-Eudes, comme il est beau son trou que j'écarte. Admire ! !
Alors que nous n'avons encore strictement rien fait, son orifice est déjà légèrement ouvert. Sa rosette est joliment plissée, laissant son cœur un peu élargi.
J.J. : C'est dommage, il y a des poils, cela ne te gêne pas ?
Moi : Quand c'est net, sans obstacle, c'est encore plus beau.
J.J. : si tu veux, nous allons les enlever.
Jean-Jacques se lève et revient quelques instants après avec du matériel sur un petit plateau en argent. De mon côté je ne suis pas très attiré par cette zone, mais l'ambiance étant assez érotique, je me laisse aller à ce jeu. Avec tout ce matériel le choix de l'épilation pouvait être fait de plusieurs manières. J'ai bien observé que Jean-Jacques préfère le rasage à la cire.
L'opération va commencer, Jean-Jacques me tends le gel de rasage et le rasoir. Il faut bien que je m'exécute. A sa grande joie, Jean-Jacques écarte les fesses de Gilles en me commentant cette partie sensible. Avant de commencer, il lui masse du plat de son doigt l'entrée de l'anus, ce qui fait réagir immédiatement Gilles par de petits gloussements. Quelques minutes après je dépose du gel et masse doucement ce qui le fait plus couiner. Jean-Jacques écarte encore plus ce qui ouvre en même temps carrément le petit trou. Je fais glisser lentement, délicatement le rasoir. Maintenant Gilles ronronne comme un gros chat. Tout ce minuscule endroit devient de plus en plus lisse, mais surtout net et rose. Gilles a l'air d'apprécier les caresses et les attouchements de cette délicate zone. Du coup inconsciemment le petit trou en demande presque davantage car il s'ouvre et se ferme tout seul. C'est surprenant de voir cette dilatation subtile.
Je laisse Jean-Jacques la suite de l'opération pour le rinçage, le séchage et l'essuyage, qu'il exécute avec une joie non dissimulée. Lorsqu'il passe ses doigts à différentes reprises, les gloussements deviennent des gémissements de plaisir car Jean-Jacques vient de lui rentrer progressivement deux de ses doigts sans aucune difficulté faisant accroître le plaisir interne de Gilles. Bien que sur le ventre celui-ci ondule de tout son corps. Gilles prend même l'oreiller pour le mordre au fil du plaisir s'amplifiant.
Ce tableau est très beau à observer. J'ose glisser ma main entre les jambes écartées de Gilles, pour trouver au bout de mes doigts, le gland gonflé, que je caresse et masse. Quelques gouttes de liquide séminal sortent du méat légèrement écrasé.
Je ne voulais pas trop précipiter les choses, mais ce gland me fait envie pour le masser, je ne veux pas interrompre Jean-Jacques au plaisir qu'il sait donner à son compagnon en pénétrant davantage ses doigts en les agitant tant en temps par des mouvements de va-et-vient ou des mouvements circulaires. Des gémissements de plus intenses résonnent pour en arriver presque à des cris successifsGilles : Ouiii, ouiiii, c'est bon, c'est bon, continueeee enfonce pour que je jouisseMoi : Pas tout de suite, patientez, vous êtes trop beau Gilles dans cette exhibition d'extase. Retournez-vous que je vous donne d'autres plaisirs.
Jean-Jacques retire et enlève doucement ses trois doigts du fondement de Gilles qui vient de se retourner. Sa queue qui ne fera pas du porno par ses dimensions est en pleine érection. Je lui fais remonter ses jambes afin que de nouveau il offre son trou bien ouvert aux doigts de Jean-Jacques. Il arrive maintenant a lui introduire un quatrième ce qui occasionne un long et profond gémissement de satisfaction. Pendant ce temps je décalotte complètement la queue de Gilles pour bien dégager le gland et sa couronne. Je dépose de ma salive sur son gland et en mets ensuite dans le creux de ma main pour commencer des mouvements rotatifs sur le gland tout en effleurant avec le bout d'un doigt le frein. Je crache encore un peu de salive pour bien lubrifier sa bite. Je continue toujours avec mes caresses rotatives en alternance avec des arrêts pour lui faire monter son excitation. Son plaisir est devenu presque insoutenable tellement il est fort et intense. Gilles veut que j'arrête ce supplice comme il le crie. Il veut que je le masturbe pour terminer cette pseudo torture.
Je ralentis seulement, pour mettre une bonne dose de salive et recommencer mon massage rotatif. Jean-Jacques de son côté amplifie ses va-et-vient anaux. Gilles ondule de satisfaction, les cris de Oui, oui se multiplient aux sonorités plus intenses. Son corps vibre. Sa queue se gonfle et se raidit sentant qu'il va éjaculer, je continue mon massage et un fort et puissant jet abondant de sa suprême semence gicle violemment. A ce moment d'éjaculation, pendant plus de quatre minutes (et je peux vous dire que ce fut long) une interminable suite de hurlements s'échappent de sa bouche à ce moment et son corps est pris d'une multitude de convulsions le faisant lever du matelas avec tout son corps tremblant. Je n'avais jamais vu un orgasme faisant autant d'effets. Gilles avait du sperme surtout le corps; Je n'ai pas pu le caresser ou l'essuyer son corps n'acceptait pas d'être touché. Il a fallu attendre presque quarante-cinq minutes pour que toute cette sensibilité s'estompe.
Cette première rencontre fut très agréable et m'a dévoilée la sensibilité exacerbée de Gilles. Depuis j'adore lui faire subir des caresses et massages aux plaisirs intenses et surtout insoutenables sous les yeux excités de Jean-Jacques.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Eudes
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...