Soins pour du plaisir
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soins pour du plaisir
Soins pour plaisir
Comme je vous l'avais raconté, il y a quelque temps, j'étais descendu sur la Côte chez d'anciens amis parisiens. Lors de ces quelques jours de repos j'avais découvert que ceux-ci étaient devenus plus libres depuis leur installation dans cette région.
Pour mon séjour, ils avaient organisé en plus de moments de relaxation sur le bord de leur piscine ou de certains endroits de plage qu'ils fréquentaient pour se divertir, je me suis permis des créneaux pour des visites ou moments culturels. Lors d'un concert d'exception au sein d'un splendide cloître, j'ai eu la joie de croiser un ami que je n'avais pas vu depuis une dizaine d'année. C'est avec grand plaisir que nous avons partagé un repas post-concert ce qui nous a permis d'échanger et de retracer certains moments.
Il était dans la région pour quelques concours dans le domaine de la haute coiffure et faire des démonstrations de son talent de créateur chez certains coiffeurs réputés de la région.
Je lui expliquais que j'étais chez d'anciens amis parisiens pour me ressourcer moralement. Et au cours de notre conversation involontairement, je lui ai raconté ce qui s'était passé dans le salon avec Pierre-Gilles. Il a bien rigolé. Je lui ai parlé de l'attitude de Pierre-Gilles avec toutes ses exhibitions, et que cela serait sympathique que ses zones exposées soient complètement démunies de poils ou de duvet. Il me répliqua que tout cela était de son domaine d'esthéticien et qu'il pouvait me rendre ce service gratuitement. Cela me convient, mais il faut que j'en cause avec mes amis et particulièrement à Jean-Alexandre afin qu'il l'invite à partager un moment et même que nous prenions un repas ensemble.
Nous nous quittâmes en lui promettant que je le tiendrai rapidement au courant si cette rencontre peut s'effectuer. De retour, le lendemain matin au petit-déjeuner, je fais part à Jean-Alexandre de ma rencontre imprévue avec mon ami coiffeur-esthéticien. Ce projet enjoue pleinement Jean-Alexandre, qui me donne le feu vert pour inviter Augustin.
En quelques mots, je décris à Jean-Alexandre qui est Augustin. Je l'ai connu lorsqu'il était en apprentissage chez un Maître-Coiffeur Parisien il y a quelques années dont j'étais client. Maintenant Augustin exerce en free-land. Il a une petite quarantaine d'années. Il est grand et paraît très très grand vu sa morphologie. Un mètre quatre-vingt seize pour à peine quatre-vingt kilos. Avec un corps magnifiquement sculpté par une légère musculation joliment dessinée. Sa grand-mère a du fauter, car ce bel homme est légèrement basané, comme halé, ce qui le rend encore plus beau. Il est toujours souriant et d'une gentillesse infinie jamais égalée.
Jean-Alexandre me fait part qu'il se charge d'en parler à son compagnon pour le préparer un peu sans tout lui dévoiler vu son caractère parfois imprévisible.
Je préviens Augustin et l'invite au nom de mes amis pour venir trois jours plus tard. Le jour J arrive et vers dix sept heures dans son splendide cabriolet, il stationne devant la propriété et sonne. Je vais l'accueillir et le présente à Jean-Alexandre. Pierre-Gilles, lui termine la préparation des plats à la cuisine. Nous nous installons sur la vaste terrasse au magnifique panorama. Nous échangeons et bavardons tranquillement à bâtons rompus avec un verre à la main. L'ambiance est très chaleureuse et sympathique. Le courant est tout à fait passé entre Augustin et Jean-Alexandre. Au bout d'un moment arrive Pierre-Gilles et salue Augustin. Il a amené un plat de ses fameuses tapas qu'il sait si bien cuisiner. Il nous les présente comme à son habitude de façon très conventionnelle, courtoise et stylée. Comme à son habitude il a revêtu un splendide et magnifique griffé dans une somptueuse et précieuse matière fluide. Et voilà qu'il nous refait son cinéma en se baladant sur la terrasse pour se faire dirons-nous admirer. Il se baisse pour ramasser au sol quelques miettes tombées. Il se rebaisse le plus possible en relevant en même temps son bassin. Au début, c'était un peu éloigné de nous mais au troisième passage de son plat, il se rapproche. Et comme la dernière fois, il nous dévoile son fessier et très adroitement d'une de ses mains écarte un des lobes fessiers. Evidement cette posture met en vue ses fesses mais aussi son petit trou. A ce moment là, Jean-Alexandre nous dit, il est content de nous faire admirer son petit orifice. Il aime cela qu'on le regarde et l'admire. Pour moi, je reste silencieux, ce genre d'exhibition me laisse complètement insensible. Augustin fit immédiatement remarquer que le corps était assez sympathique malgré un petit ventre naissant, mais il est indécent de se faire admirer avec ce duvet et tous ces poils alentour de ce joli anus. Il demanda à Pierre-Gilles de s'approcher et de relever davantage son t'shirt. Et lorsqu'il aperçu le sexe, Augustin lui dit que ce n'est pas possible de se faire admirer avec des poils sur le pubis et même sur la verge c'est laid et complètement indécent. Augustin proposa de le rendre plus désirable, et surtout en s'adressant à Jean-Alexandre plus agréable à lécher sans aucun de ces obstacles.
Ce n'est pas gagné avec le foutu caractère de Pierre-Gilles, mais avec tout le savoir faire, la gentillesse et la courtoisie d'Augustin Pierre-Gilles au bout d'une demi-heure de négociations accepte le professionnalisme de ce magnifique quadragénaire. Pour des raisons de facilité, Augustin demande si une table est disponible pour y installer Pierre-Gilles. C'est la grande table de la véranda qui est choisie. Très précautionneux, Jean-Alexandre dépose un immense drap de bain et Pierre-Gilles monte sur la table et Augustin le fait allonger sur le dos. Puis pendant ce temps d'installation, notre esthéticien est allé dans son véhicule chercher son matériel.
De retour, il demande à notre ami d'enlever son t-shirt. Maintenant Pierre-Gille est complètement nu et allongé. Jean-Alexandre et moi-même sommes autour de la table pour regarder Augustin œuvrer pour rendre notre ami sans aspérités. Il saisit la verge de Pierre-Gilles et avec deux de ses longs doigts tient le membre par le prépuce et regarde. C'est très rare de voir des poils tout au long d'une bite. Augustin ouvre sa mallette professionnelle. Il nous dit, sur cette jolie queue, je ne vais pas mettre de crème dépilatoire car après cela risque de piquer tant pour lui que pour ses partenaires lorsqu'ils le suceront. Ni mettre de la cire à cet endroit, la peau de sa verge est tellement fine et délicate qu'il risque d'être brûlé et avoir mal pour s'en servir. A ces mots, Pierre-Gilles lève légèrement sa tête pour interroger le professionnel. Et dans un tutoiement inattendu Pierre-Gilles lui lance : alors que vas-tu faire ? Allonges-toi. Et nous voyons Augustin sortir une petite pince et s'approche du membre. Je ne m'y attendais pas, il commence à épiler poil par poil. A chaque saisie Pierre-Gilles sursaute ou pousse de petites plaintes aïe aïe. A un moment Augustin me fait signe de le remplacer pour tenir la queue de notre ami. J'en profite pour faire un petit va et vient ce qui déclenche un début d'érection. Ah, c'est très bien nous dit Augustin, cela va être encore plus pratique en continuant l'effeuillage de cette queue devenue bien rigide et droite. Pierre-Gilles nous a développé ses dix-sept centimètres. Il y a même un peu de liquide pré-séminal qui suinte de son méat. Pendant qu'Augustin officie du creux de ma main je masse le gland avec cette mouille ce qui fait gémir Pierre-Gilles en deux cris d'arrachage pileux. Maintenant Pierre-Gilles s'agace en disant çà suffit, çà suffit, vous êtes tous des malades, c'est désagréable et çà fait mal. C'est terminé, il en reste encore deux. Augustin d'un geste précis extrait ces deux longs poils.
Ah c'est nettement plus beau maintenant. Tu vas voir comme ta queue a embelli avec ce soin de beauté. Pierre-gilles n'a pas le temps de répondre, que je me penche sur le membre raide pour l'engloutir dans ma bouche et commencer une fellation très coulissante avec beaucoup de ma salive. En même temps le fait bien coulisser sa peau complètement glabre ce qui déclenche des ondulations du corps de notre ami exhibitionniste. Je suis conscient que je ne vais pas le mener maintenant à l'orgasme, mais seulement bien le chauffer. Jean-Alexandre a les yeux tout pétillant en me regardant donner du plaisir à son compagnon. Mais il faut que je cesse ce moment de diversion pour qu'Augustin continue d'embellir notre Pierre-Gilles afin qu'il soit parfaitement consommable.
Maintenant Augustin demande à Pierre-Gilles de se retourner pour continuer de travailler en le faisant mettre à quatre pattes. Je pense que cette position lui convient tout à fait, car il met en évidence son fessier et ses deux splendides lobes, que déjà Jean-Alexandre écarte délicatement. Il nous interpelle par un regardez les mais comme sa rosette est régulièrement plissée ! Regardez elle va s'ouvrir dans quelques instants. Il s'approche, sort sa langue et commence à lécher ce petit trou rose. Après quelques minutes il se recule un peu et nous observons la rosette se déplisser lentement et doucement pour s'ouvrir. Jean-Alexandre a l'air heureux. Mais Augustin lui lance, et vous léchez ce trou avec tout ce duvet, et regardez tous ces poils, je ne comprends pas, vous qui êtes si méticuleux et soigné Jean-Alexandre que vous acceptiez lui donner du plaisir quand votre langue se heurte à cette broussaille et ce tapis de duvet. Je vais le rendre plus désirable et vous trouverez encore plus de plaisir à lui offrir après mes soins.
S'adressant à Jean-Alexandre, Augustin lui demande de maintenir les lobes fessiers écartés afin de pouvoir travailler correctement. La rosette est toujours en train de s'épanouir comme si elle était en attente de quelque chose. Là, Augustin est assez étonné par ce spectacle. Et commence les soins. Il dépose une pâte jaunâtre qui doit être de la cire. Il l'étale en appuyant pour qu'elle adhère correctement. Puis avec une petite spatule soulève un coin de cette pâte. Ensuite il tire une bande d'un coup sec. Les poils sont pris au piège par cette substance. A ce moment-là Pierre-Gilles poussa un cri de douleur. Pour le calmer immédiatement Jean-Alexandre se rapproche et dépose quelques baisers. Augustin repositionne de la pâte et réitère la même technique. Ce qui fait encore crier de douleur Pierre-Gilles. C'est un peu de comédie nous rassure Augustin. Effectivement çà tire un peu, mais pas au point de hurler de la sorte. Puis il ajoute, j'ai un confrère que me fait ces soins dans les m^mes zones toutes les trois semaines et je ne dis rien alors que ma pilosité est plus épaisse et dure. Je vous ferai voir tout à l'heure. Pas ému par la situation, Augustin continue scrupuleusement ce nettoyage pileux. Effectivement au fur et à mesure nous nous apercevons que les zones deviennent nettes et impeccables sans comparaison avec avant. Augustin ne fléchit pas et continue de tirer sèchement les bandes plus ou moins larges; Il va même à extraire les derniers petits poils à la pince à épiler, ce qui fait se tortiller le douillet Pierre-Gilles. Pour le calmer, je caresse la joue de Pierre-Gilles en lui disant quelques mots amicaux en lui disant que c'est bientôt terminé. Ce qui fut le cas, car pour calmer les zones fragilisées par la cire Jean-Alexandre dépose des baisers alentours de la rosette. Il mouille son majeur et le rentre doucement dans le petit trou qui vient de s'ouvrir pour faire quelques allers-retours. Ce petit manège fait couiner Pierre-Gilles. Le bermuda de Jean-Alexandre est maintenant bien déformé sur le devant. J'aperçois une belle barre oblique, faisant deviner l'érection de sa belle queue. Pendant ce temps Augustin range tout son matériel et revient vers la table. Il enlève son polo qui a été tâché par la cire? Je peux observer un torse complètement glabre et lisse. Une peau légèrement luisante mettant en valeur sa fine et régulière musculation. Je suis pétrifié par une telle beauté. Il observe Jean-Alexandre qui a mis trois doigts pour dilater davantage cette belle rosette animée. Pierre-Gilles gémit en poussant des ouiii ! ouiii!! C'est bon, c'est bon ! ! Jean-Alexandre n'a pas remouillé ses doigts, alors qu'ils sont complètement visqueux et mouillés. En voyant cela Augustin lance : Et bien ! !votre compagnon est une sacrée salope pour mouiller du cul de la sorte. Si vous me le permettez Jean-Alexandre, je peux le contenter davantage.
Ah ! vous croyez ? Il arrive à jouir avec mes doigts ! ! A la fin de cette phrase Augustin descend son pantalon de lin sous lequel il ne porte aucun sous-vêtement. Ce geste libère un phallus bien raide au-dessus de couilles complètement lisses. Augustin est complètement nu et comme il nous l'avait dit son corps est lisse sans ombres de racines de poils. Il tient sa queue en main. Jean-Alexandre lui caresse avec un air très étonné. Augustin à l'air d'être en pleine érection et heureusement car je l'ai mesuré après, sa bite fait vingt-quatre centimètres et demi mais mais surtout six centimètres de diamètre. Plus belle que certaines statues de gladiateurs grecs. Que c'est beau de pouvoir observer un tel instrument génital et même de pouvoir le caresser. Je suis littéralement ébahi par une telle anatomie. Comme moi, Jean-Alexandre a les yeux écarquillés en observant cette matraque humaine. En s'adressant à Augustin, tu ne vas pas lui mettre et le défoncer avec ce chibre invraisemblable ? ? Il lui répond, je vais me mettre devant la table et lui faire voir, je suis persuadé qu'il ne va rien dire. Augustin fait le tour de la table, en maintenant sa queue en main. Regarde Pierre-Gilles, je suis sûr que tu vas accepter que ma bite t'honore ? Je suis persuadé qu'elle va te plaire et de donner beaucoup de plaisir.
Pierre-Gilles lui répond avec une douce voix, elle est grosse, vas doucement je t'en supplie. Augustin revient de l'autre côté et met seulement que quelques gouttes de salive sur le bord de son gland en forme de champignon de Paris. Jean-Alexandre est assez anxieux, il faut lui mettre du lubrifiant. Cà ne va pas, il mouille tellement de son cul de salope elle va rentrer sans difficultés.
Augustin se positionne, tient fermement son membre pour le diriger vers la rosette palpitante. Il ajuste son gland et pousse délicatement et doucement pour entrer progressivement. Pierre-Gilles pousse des Humm ! Hum !!
Et la longueur de cette magistrale queue pénètre centimètre par centimètre, ce qui fait hurler de vrai plaisir notre ami et se met à crier comme certaines femelles en pleine chaleur et devenues hystériques par la jouissance. Il en est de même pour Pierre-Gilles. Sa rosette ruisselle d'une substance abondante qui annonce un orgasme très proche. Pour que la jouissance soit complète, je me suis mis plus ou moins dessous Pierre-Gilles pour recommencer cette fois-ci une fellation complète sur cette queue en pleine érection et baveuse. J'accélère les mouvements de ma bouche avec des temps de succions assez profonds. Mes mouvements sont amples, pour que le plaisir soit tout au long de la verge de Pierre-Gilles. Augustin maintenant le pilonne à grand coups de butoir, ce qui nous fait entendre le choc de ses couilles comme des mandarines sur le fessier de notre ami. En observant cette situation Jean-Alexandre a pris sa queue pour branler sa verge gonflée et faire ressortir une large veine bleue. N'en pouvant plus et ôte son short et se dirige derrière Augustin. Il met du gel sur sa bite, la rentre sans difficulté dans le fondement de l'esthéticien qui ne s'y attendait pas. Du coup c'est Jean-Alexandre qui impose le rythme en enculant notre Apollon, qui lui même s'enfonce en Pierre-Gilles à la même cadence. Là Pierre-Gilles est au bord le son orgasme, car son corps vient de se mettre à trembler de tous ses membres. Tout s'agite en poussant des cris, des onomatopées de plaisir. Augustin est complètement en sueur, et de mon côté, je sens la verge de Pierre-Gilles se gonfler dans ma bouche en se durcissant davantage et je reçois une importante giclée de cette substance pleine de vitamines que contient le sperme de Pierre-Gilles. A peine la dernière goutte évacuée qu'il hurle, crie, vocifère en sentant les jets de sperme inondant tout son intérieur, mais surtout avec une importante et spectaculaire jouissance anale physique et orale incroyable. Jean-Alexandre vient de déculer en lançant son éjaculat sur le visage de Pierre-Gilles complètement épuisé par la surabondance du plaisir qu'il a obtenu.
Après ce moment de plaisir partagé, nous avons dîné en dégustant et appréciant la cuisine de Pierre-Gilles. Mes amis ont bien sympathisé avec Augustin, qui vient les voir régulièrement pour leurs couper les cheveux, mais aussi l'entretien des zones sensibles de Pierre-Gilles, ce que Jean-Alexandre apprécie bien maintenant.
Comme je vous l'avais raconté, il y a quelque temps, j'étais descendu sur la Côte chez d'anciens amis parisiens. Lors de ces quelques jours de repos j'avais découvert que ceux-ci étaient devenus plus libres depuis leur installation dans cette région.
Pour mon séjour, ils avaient organisé en plus de moments de relaxation sur le bord de leur piscine ou de certains endroits de plage qu'ils fréquentaient pour se divertir, je me suis permis des créneaux pour des visites ou moments culturels. Lors d'un concert d'exception au sein d'un splendide cloître, j'ai eu la joie de croiser un ami que je n'avais pas vu depuis une dizaine d'année. C'est avec grand plaisir que nous avons partagé un repas post-concert ce qui nous a permis d'échanger et de retracer certains moments.
Il était dans la région pour quelques concours dans le domaine de la haute coiffure et faire des démonstrations de son talent de créateur chez certains coiffeurs réputés de la région.
Je lui expliquais que j'étais chez d'anciens amis parisiens pour me ressourcer moralement. Et au cours de notre conversation involontairement, je lui ai raconté ce qui s'était passé dans le salon avec Pierre-Gilles. Il a bien rigolé. Je lui ai parlé de l'attitude de Pierre-Gilles avec toutes ses exhibitions, et que cela serait sympathique que ses zones exposées soient complètement démunies de poils ou de duvet. Il me répliqua que tout cela était de son domaine d'esthéticien et qu'il pouvait me rendre ce service gratuitement. Cela me convient, mais il faut que j'en cause avec mes amis et particulièrement à Jean-Alexandre afin qu'il l'invite à partager un moment et même que nous prenions un repas ensemble.
Nous nous quittâmes en lui promettant que je le tiendrai rapidement au courant si cette rencontre peut s'effectuer. De retour, le lendemain matin au petit-déjeuner, je fais part à Jean-Alexandre de ma rencontre imprévue avec mon ami coiffeur-esthéticien. Ce projet enjoue pleinement Jean-Alexandre, qui me donne le feu vert pour inviter Augustin.
En quelques mots, je décris à Jean-Alexandre qui est Augustin. Je l'ai connu lorsqu'il était en apprentissage chez un Maître-Coiffeur Parisien il y a quelques années dont j'étais client. Maintenant Augustin exerce en free-land. Il a une petite quarantaine d'années. Il est grand et paraît très très grand vu sa morphologie. Un mètre quatre-vingt seize pour à peine quatre-vingt kilos. Avec un corps magnifiquement sculpté par une légère musculation joliment dessinée. Sa grand-mère a du fauter, car ce bel homme est légèrement basané, comme halé, ce qui le rend encore plus beau. Il est toujours souriant et d'une gentillesse infinie jamais égalée.
Jean-Alexandre me fait part qu'il se charge d'en parler à son compagnon pour le préparer un peu sans tout lui dévoiler vu son caractère parfois imprévisible.
Je préviens Augustin et l'invite au nom de mes amis pour venir trois jours plus tard. Le jour J arrive et vers dix sept heures dans son splendide cabriolet, il stationne devant la propriété et sonne. Je vais l'accueillir et le présente à Jean-Alexandre. Pierre-Gilles, lui termine la préparation des plats à la cuisine. Nous nous installons sur la vaste terrasse au magnifique panorama. Nous échangeons et bavardons tranquillement à bâtons rompus avec un verre à la main. L'ambiance est très chaleureuse et sympathique. Le courant est tout à fait passé entre Augustin et Jean-Alexandre. Au bout d'un moment arrive Pierre-Gilles et salue Augustin. Il a amené un plat de ses fameuses tapas qu'il sait si bien cuisiner. Il nous les présente comme à son habitude de façon très conventionnelle, courtoise et stylée. Comme à son habitude il a revêtu un splendide et magnifique griffé dans une somptueuse et précieuse matière fluide. Et voilà qu'il nous refait son cinéma en se baladant sur la terrasse pour se faire dirons-nous admirer. Il se baisse pour ramasser au sol quelques miettes tombées. Il se rebaisse le plus possible en relevant en même temps son bassin. Au début, c'était un peu éloigné de nous mais au troisième passage de son plat, il se rapproche. Et comme la dernière fois, il nous dévoile son fessier et très adroitement d'une de ses mains écarte un des lobes fessiers. Evidement cette posture met en vue ses fesses mais aussi son petit trou. A ce moment là, Jean-Alexandre nous dit, il est content de nous faire admirer son petit orifice. Il aime cela qu'on le regarde et l'admire. Pour moi, je reste silencieux, ce genre d'exhibition me laisse complètement insensible. Augustin fit immédiatement remarquer que le corps était assez sympathique malgré un petit ventre naissant, mais il est indécent de se faire admirer avec ce duvet et tous ces poils alentour de ce joli anus. Il demanda à Pierre-Gilles de s'approcher et de relever davantage son t'shirt. Et lorsqu'il aperçu le sexe, Augustin lui dit que ce n'est pas possible de se faire admirer avec des poils sur le pubis et même sur la verge c'est laid et complètement indécent. Augustin proposa de le rendre plus désirable, et surtout en s'adressant à Jean-Alexandre plus agréable à lécher sans aucun de ces obstacles.
Ce n'est pas gagné avec le foutu caractère de Pierre-Gilles, mais avec tout le savoir faire, la gentillesse et la courtoisie d'Augustin Pierre-Gilles au bout d'une demi-heure de négociations accepte le professionnalisme de ce magnifique quadragénaire. Pour des raisons de facilité, Augustin demande si une table est disponible pour y installer Pierre-Gilles. C'est la grande table de la véranda qui est choisie. Très précautionneux, Jean-Alexandre dépose un immense drap de bain et Pierre-Gilles monte sur la table et Augustin le fait allonger sur le dos. Puis pendant ce temps d'installation, notre esthéticien est allé dans son véhicule chercher son matériel.
De retour, il demande à notre ami d'enlever son t-shirt. Maintenant Pierre-Gille est complètement nu et allongé. Jean-Alexandre et moi-même sommes autour de la table pour regarder Augustin œuvrer pour rendre notre ami sans aspérités. Il saisit la verge de Pierre-Gilles et avec deux de ses longs doigts tient le membre par le prépuce et regarde. C'est très rare de voir des poils tout au long d'une bite. Augustin ouvre sa mallette professionnelle. Il nous dit, sur cette jolie queue, je ne vais pas mettre de crème dépilatoire car après cela risque de piquer tant pour lui que pour ses partenaires lorsqu'ils le suceront. Ni mettre de la cire à cet endroit, la peau de sa verge est tellement fine et délicate qu'il risque d'être brûlé et avoir mal pour s'en servir. A ces mots, Pierre-Gilles lève légèrement sa tête pour interroger le professionnel. Et dans un tutoiement inattendu Pierre-Gilles lui lance : alors que vas-tu faire ? Allonges-toi. Et nous voyons Augustin sortir une petite pince et s'approche du membre. Je ne m'y attendais pas, il commence à épiler poil par poil. A chaque saisie Pierre-Gilles sursaute ou pousse de petites plaintes aïe aïe. A un moment Augustin me fait signe de le remplacer pour tenir la queue de notre ami. J'en profite pour faire un petit va et vient ce qui déclenche un début d'érection. Ah, c'est très bien nous dit Augustin, cela va être encore plus pratique en continuant l'effeuillage de cette queue devenue bien rigide et droite. Pierre-Gilles nous a développé ses dix-sept centimètres. Il y a même un peu de liquide pré-séminal qui suinte de son méat. Pendant qu'Augustin officie du creux de ma main je masse le gland avec cette mouille ce qui fait gémir Pierre-Gilles en deux cris d'arrachage pileux. Maintenant Pierre-Gilles s'agace en disant çà suffit, çà suffit, vous êtes tous des malades, c'est désagréable et çà fait mal. C'est terminé, il en reste encore deux. Augustin d'un geste précis extrait ces deux longs poils.
Ah c'est nettement plus beau maintenant. Tu vas voir comme ta queue a embelli avec ce soin de beauté. Pierre-gilles n'a pas le temps de répondre, que je me penche sur le membre raide pour l'engloutir dans ma bouche et commencer une fellation très coulissante avec beaucoup de ma salive. En même temps le fait bien coulisser sa peau complètement glabre ce qui déclenche des ondulations du corps de notre ami exhibitionniste. Je suis conscient que je ne vais pas le mener maintenant à l'orgasme, mais seulement bien le chauffer. Jean-Alexandre a les yeux tout pétillant en me regardant donner du plaisir à son compagnon. Mais il faut que je cesse ce moment de diversion pour qu'Augustin continue d'embellir notre Pierre-Gilles afin qu'il soit parfaitement consommable.
Maintenant Augustin demande à Pierre-Gilles de se retourner pour continuer de travailler en le faisant mettre à quatre pattes. Je pense que cette position lui convient tout à fait, car il met en évidence son fessier et ses deux splendides lobes, que déjà Jean-Alexandre écarte délicatement. Il nous interpelle par un regardez les mais comme sa rosette est régulièrement plissée ! Regardez elle va s'ouvrir dans quelques instants. Il s'approche, sort sa langue et commence à lécher ce petit trou rose. Après quelques minutes il se recule un peu et nous observons la rosette se déplisser lentement et doucement pour s'ouvrir. Jean-Alexandre a l'air heureux. Mais Augustin lui lance, et vous léchez ce trou avec tout ce duvet, et regardez tous ces poils, je ne comprends pas, vous qui êtes si méticuleux et soigné Jean-Alexandre que vous acceptiez lui donner du plaisir quand votre langue se heurte à cette broussaille et ce tapis de duvet. Je vais le rendre plus désirable et vous trouverez encore plus de plaisir à lui offrir après mes soins.
S'adressant à Jean-Alexandre, Augustin lui demande de maintenir les lobes fessiers écartés afin de pouvoir travailler correctement. La rosette est toujours en train de s'épanouir comme si elle était en attente de quelque chose. Là, Augustin est assez étonné par ce spectacle. Et commence les soins. Il dépose une pâte jaunâtre qui doit être de la cire. Il l'étale en appuyant pour qu'elle adhère correctement. Puis avec une petite spatule soulève un coin de cette pâte. Ensuite il tire une bande d'un coup sec. Les poils sont pris au piège par cette substance. A ce moment-là Pierre-Gilles poussa un cri de douleur. Pour le calmer immédiatement Jean-Alexandre se rapproche et dépose quelques baisers. Augustin repositionne de la pâte et réitère la même technique. Ce qui fait encore crier de douleur Pierre-Gilles. C'est un peu de comédie nous rassure Augustin. Effectivement çà tire un peu, mais pas au point de hurler de la sorte. Puis il ajoute, j'ai un confrère que me fait ces soins dans les m^mes zones toutes les trois semaines et je ne dis rien alors que ma pilosité est plus épaisse et dure. Je vous ferai voir tout à l'heure. Pas ému par la situation, Augustin continue scrupuleusement ce nettoyage pileux. Effectivement au fur et à mesure nous nous apercevons que les zones deviennent nettes et impeccables sans comparaison avec avant. Augustin ne fléchit pas et continue de tirer sèchement les bandes plus ou moins larges; Il va même à extraire les derniers petits poils à la pince à épiler, ce qui fait se tortiller le douillet Pierre-Gilles. Pour le calmer, je caresse la joue de Pierre-Gilles en lui disant quelques mots amicaux en lui disant que c'est bientôt terminé. Ce qui fut le cas, car pour calmer les zones fragilisées par la cire Jean-Alexandre dépose des baisers alentours de la rosette. Il mouille son majeur et le rentre doucement dans le petit trou qui vient de s'ouvrir pour faire quelques allers-retours. Ce petit manège fait couiner Pierre-Gilles. Le bermuda de Jean-Alexandre est maintenant bien déformé sur le devant. J'aperçois une belle barre oblique, faisant deviner l'érection de sa belle queue. Pendant ce temps Augustin range tout son matériel et revient vers la table. Il enlève son polo qui a été tâché par la cire? Je peux observer un torse complètement glabre et lisse. Une peau légèrement luisante mettant en valeur sa fine et régulière musculation. Je suis pétrifié par une telle beauté. Il observe Jean-Alexandre qui a mis trois doigts pour dilater davantage cette belle rosette animée. Pierre-Gilles gémit en poussant des ouiii ! ouiii!! C'est bon, c'est bon ! ! Jean-Alexandre n'a pas remouillé ses doigts, alors qu'ils sont complètement visqueux et mouillés. En voyant cela Augustin lance : Et bien ! !votre compagnon est une sacrée salope pour mouiller du cul de la sorte. Si vous me le permettez Jean-Alexandre, je peux le contenter davantage.
Ah ! vous croyez ? Il arrive à jouir avec mes doigts ! ! A la fin de cette phrase Augustin descend son pantalon de lin sous lequel il ne porte aucun sous-vêtement. Ce geste libère un phallus bien raide au-dessus de couilles complètement lisses. Augustin est complètement nu et comme il nous l'avait dit son corps est lisse sans ombres de racines de poils. Il tient sa queue en main. Jean-Alexandre lui caresse avec un air très étonné. Augustin à l'air d'être en pleine érection et heureusement car je l'ai mesuré après, sa bite fait vingt-quatre centimètres et demi mais mais surtout six centimètres de diamètre. Plus belle que certaines statues de gladiateurs grecs. Que c'est beau de pouvoir observer un tel instrument génital et même de pouvoir le caresser. Je suis littéralement ébahi par une telle anatomie. Comme moi, Jean-Alexandre a les yeux écarquillés en observant cette matraque humaine. En s'adressant à Augustin, tu ne vas pas lui mettre et le défoncer avec ce chibre invraisemblable ? ? Il lui répond, je vais me mettre devant la table et lui faire voir, je suis persuadé qu'il ne va rien dire. Augustin fait le tour de la table, en maintenant sa queue en main. Regarde Pierre-Gilles, je suis sûr que tu vas accepter que ma bite t'honore ? Je suis persuadé qu'elle va te plaire et de donner beaucoup de plaisir.
Pierre-Gilles lui répond avec une douce voix, elle est grosse, vas doucement je t'en supplie. Augustin revient de l'autre côté et met seulement que quelques gouttes de salive sur le bord de son gland en forme de champignon de Paris. Jean-Alexandre est assez anxieux, il faut lui mettre du lubrifiant. Cà ne va pas, il mouille tellement de son cul de salope elle va rentrer sans difficultés.
Augustin se positionne, tient fermement son membre pour le diriger vers la rosette palpitante. Il ajuste son gland et pousse délicatement et doucement pour entrer progressivement. Pierre-Gilles pousse des Humm ! Hum !!
Et la longueur de cette magistrale queue pénètre centimètre par centimètre, ce qui fait hurler de vrai plaisir notre ami et se met à crier comme certaines femelles en pleine chaleur et devenues hystériques par la jouissance. Il en est de même pour Pierre-Gilles. Sa rosette ruisselle d'une substance abondante qui annonce un orgasme très proche. Pour que la jouissance soit complète, je me suis mis plus ou moins dessous Pierre-Gilles pour recommencer cette fois-ci une fellation complète sur cette queue en pleine érection et baveuse. J'accélère les mouvements de ma bouche avec des temps de succions assez profonds. Mes mouvements sont amples, pour que le plaisir soit tout au long de la verge de Pierre-Gilles. Augustin maintenant le pilonne à grand coups de butoir, ce qui nous fait entendre le choc de ses couilles comme des mandarines sur le fessier de notre ami. En observant cette situation Jean-Alexandre a pris sa queue pour branler sa verge gonflée et faire ressortir une large veine bleue. N'en pouvant plus et ôte son short et se dirige derrière Augustin. Il met du gel sur sa bite, la rentre sans difficulté dans le fondement de l'esthéticien qui ne s'y attendait pas. Du coup c'est Jean-Alexandre qui impose le rythme en enculant notre Apollon, qui lui même s'enfonce en Pierre-Gilles à la même cadence. Là Pierre-Gilles est au bord le son orgasme, car son corps vient de se mettre à trembler de tous ses membres. Tout s'agite en poussant des cris, des onomatopées de plaisir. Augustin est complètement en sueur, et de mon côté, je sens la verge de Pierre-Gilles se gonfler dans ma bouche en se durcissant davantage et je reçois une importante giclée de cette substance pleine de vitamines que contient le sperme de Pierre-Gilles. A peine la dernière goutte évacuée qu'il hurle, crie, vocifère en sentant les jets de sperme inondant tout son intérieur, mais surtout avec une importante et spectaculaire jouissance anale physique et orale incroyable. Jean-Alexandre vient de déculer en lançant son éjaculat sur le visage de Pierre-Gilles complètement épuisé par la surabondance du plaisir qu'il a obtenu.
Après ce moment de plaisir partagé, nous avons dîné en dégustant et appréciant la cuisine de Pierre-Gilles. Mes amis ont bien sympathisé avec Augustin, qui vient les voir régulièrement pour leurs couper les cheveux, mais aussi l'entretien des zones sensibles de Pierre-Gilles, ce que Jean-Alexandre apprécie bien maintenant.
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