Plage animée
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Plage animée
Plage animéeJe ne sais pas si vous vous souvenez de ce moment de retrouvailles amicales après que nombreuses années. Cela m'a permis à de nombreuses reprises de retrouver Jean-Jacques et son compagnon de vie GillesAprès cette première invitation, je fus convié à les revoir de temps en temps pour manger avec eux et passer comme je vous l'avais décrit d'agréables moments où Gilles est pour ainsi dire le centre de nos ébats amicaux à trois.
Puis, les mois de juin et juillet approchaient, c'est lors d'un dîner qu'ils m'annonçaient qu'ils avaient loué une splendide villa pour la saison estivale dans le sud de la France. Ils me proposent si je le souhaite de les rejoindre pour une ou deux semaines. Je ne me suis pas fait prier pour partager quelques de vacances avec eux. Cela promettrait des moments amicaux et sexuels agréables pour de profiter de Gilles réceptif à certains attouchements et caresses.
Fin juin, je descends pour les rejoindre dans le Var dans un des magnifiques villages de ce golfe si réputé. Ils séjournaient dans une grande et luxueuse propriété très typique par son architecture que son jardin-parc à la végétation luxuriante. La propriété était close de murs végétaux très fournis ce qui permettait à Gilles de se balader et mouvoir dès le matin dans le plus simple appareil. Il aimait se mettre dans un transat, ce qui lui permettait de ne rien faire mais seulement nous faire exhiber son fessier les jambes écartées. Il avait accentué son bronzage intégral. Un matin après une soirée et nuit assez agitées tous les trois par nos ébats, Jean-Jacques propose que nous allions dès le matin à la plage, au bas de ce beau village. Après avoir garé notre véhicule, nous accédons à cette splendide plage décrite Nous marchons un bon moment sur la grève, alors qu'il n'y avait que deux ou trois personnes.
Moi : Mais pourquoi tant marcher, il y a de la place ici J.J. : Nous avons notre coin avec Gilles et c'est très tranquille Moi : Ici il y a personneJ.J. : Oui, mais là-bas c'est naturiste c'est plus sympa, tu verras !
Je les suis, vers le lieu qui m'ont décrit cela m'inquiète un peu n'ayant jamais fait de naturisme. Je suppose que dans ces lieux, c'est à celui qui va montrer plus longue, la plus grosse, la plus vigoureuse. Je sais que je ne peux pas concourir pour un casting porno. Arrivés sur place dans un cadre idyllique au magnifique paysage, nous déposons nos affaires et notamment nos grandes serviettes. Celle de Gilles à peine déposée que le voilà déjà déshabillé et donc nu. Pour lui ce n'est pas difficile un short sans sous-vêtement, une chemise et le voilà à plat ventre. Je vois que Jean-Jacques a garder son mini slip de bain mettant en valeur un joli paquet bien bombé. De coup je fais de même nous verrons pour tout enlever après.
Après quelques instants de position lézard, je vais me baigner malgré mon maillot de bain, Il est vrai que je fais seulement partie que des cinq pour cent avec un maillot. Après cette agréable baignade dans une eau transparente aux reflets d'un bleu légendaire, je reviens vers mes amis. Gilles a quitté sa serviette et marche faisant des aller retour pour se faire voir. Même parfois se penche en avant pour scruter le sol, ce qui met en évidence son cul qu'il tourne systématiquement vers les personnes sur la plage. Je ne dis rien mais à un momentJ.J. : Regarde Gérard! la posture de Gilles. Il se baisse pour qu'on admire son trou que je lui ai épilé ce matin.
Je trouvais tout de m^me cela assez particulier. Après plus de trente minutes de ce manège Gilles revient s'allonger à côté de Jean-JacquesJ.J. : Alors, tu es content mon "chou", tu as montré ce que tu voulais ?
Gilles : Ah ! Fou-moi la paix. Il faut bien qu'ils l'admirent, je ne fais rien de mal, je me suis simplement baissé.
Pendant que nous étions allongés, du coin de l'œil j'observe Jean-Jacques qui commence à caresser Gilles en remontant sa main à l'intérieur de ses cuisses pour amorcer le massage de son orifice. Puis d'un seul coup, son corps ondule en émettant de petits miaulements de plaisir. Pendant ce temps de détente par le massage, l'intensité des baigneurs et promeneurs avec l'heure c'est intensifié. Passage de personnes peu habillées et d'autres entièrement nus avec des sexes plus ou moins tendus et gonflés. Certains se retournaient en voyant les doigts de Jean-Jacques manœuvrer avec des va-et-vient dans l'intimité de Gilles.
A un moment j'avais remarqué que de loin un homme plus jeune que nous s'était arrêté pour observer cette scène insolite. Quelques minutes après Jean-Jacques embrasse dans le cou de Gilles. L'homme se tenait toujours à l'écart en épiant. Sans rien dire à mes deux amis, je me lève l'air de rien pour me diriger vers cet inconnu. Je passe devant lui et lui sourit.
Moi : Vous êtes intrigué par nous trois.
L'inconnu : Oui et particulièrement par votre ami allongé sur le ventre, il a l'air de bien se laisser faireMoi : Oui il est assez passif et affectionne l'exhibition son cul, et il est assez gourmand de caresses profondes.
L'inconnu : C'est bien ce que j'avais imaginéD'un seul coup je me remémore ce que Jean-Jacques m'avait confié que parfois Gilles lui avait dit qu'il aimerait se faire admirer par un inconnu.
Moi : il vous intéresse, celui qui est à plat ventre ?
L'inconnu : Oui assezMoi : Ecoutez, je vais leur en causer, donner-moi votre numéro et je vous appelle le plus rapidement possible dans la journée;L'inconnu : Super, c'est très sympa merci.
Ce bel homme, souriant avec de magnifiques yeux s'appelle Franck. Une stature d'un mètre quatre-vingt dix. A peu près soixante quinze, quatre-vingt kilos maxi. La peau d'un métis très clair. Tout le torse glabre, pubis rasé (ou épilé) car très lisse mais surtout bien fait pour le reste? Je le quitte pour retourner vers mes amis. De retour à la maison chacun s'affère pour le déjeuner, j'en profite pour glisser deux mots à Jean-Jacques sur ma rencontre et de son projet. Jean-Jacques est tout à fait d'accord et semble très intrigué et pourrions dire excité par cette aventure inattendue. J'appelle donc Franck. Je lui donne tous les renseignements pour trouver la propriété et l'heure de sa venue, en lui demandant de trouver un prétexte pour se pointer d'une telle manière. Vers dix-huit heures, alors que nous étions tous les trois dans un coin du jardin, la sonnette de la porte retentit. Jean-Jacques se lève, regarde au vidéo-phone, puis se dirige vers le grand portail pour accueillir le visiteur. Evidemment, c'est Franck ! Tous les deux arrivent vers la tonnelle où nous étions. Cette fois-ci il est vêtu d'un splendide pantalon soulignant certaines de ses formes, d'une chemisette d'une très grande grille mettant tout son corps d'une couleur alléchante en valeur.
Moi : Bonjour, je vois que Jean-Jacques vous a fait entrer, je crois que nous nous sommes aperçus ce matin.
Franck : Oui, c'est tout à fait cela. Depuis quelques jours, par quartiers je fais de la prospection venant depuis peu de m'installer dans la région.
Jean-Jacques : Pour quoi ? Mais que faites-vous ?
Franck : A l'approche de la saison, je n'arrive pas à trouver de local. Soit je dépose ma carte, soit j'arrive à me présenter aux gens. Je suis coiffeur-visagiste et m^me esthéticien tout cela à domicile pour le moment. Cela peut éventuellement vous intéresser durant votre séjour Jean-Jacques : Oui, ici, le domicile devrait bien fonctionner. Vous devriez Vous faire rapidement une clientèle. Peut-être voulez vous Prendre quelque chose ?
Franck : Ce n'est pas refusJean-Jacques se lève et s'éclipse et moi je continue la conversation avec Franck qui a braqué sur Gilles qui porte une sorte de boxer très large sans sous vêtement. Jean-Jacques revient avec quelques boissons et continuons à bâton rompu notre conversation qui se dirige progressivement vers la coiffure et surtout l'esthétisme.
Jean-Jacques : Vous dites que vous êtes esthéticien, pour femmes ? Pour hommes ?
Franck : Plutôt de la clientèle masculine.
Moi : L'esthétique, soins du visage? du corps? les épilations?.
Franck : oui, oui, c'est çà.
Moi : C'est bien.
Jean-Jacques : Tu vois Gilles, cela m'évitera tout ce travail.
Gilles : Arrête, s'il te plaît !
Jean-Jacques : Vous voyez comme il est !
Franck : Ce n'est pas grave ! monsieur Gilles ne vous en faites pas. Mais ce matin je crois vous avoir aperçu allongé sur le ventre, laissant faire par monsieur Jean-Jacques.
Cette phrase a complètement interloqué Gilles, le vissage de celui-ci s'est fermé et a commencé à rougir.
Jean-Jacques ; Tu vois, et Franck aimerai bien te voir nu et admirer ton Cul si bien bronzé;Moi : Allez Gilles, tu verras Franck saura y faire !
Après quelques phrases, Gilles qui est torse nu, se lève et fait descendre son large boxer. Il pose ses mains pour prendre appui sur la table et se penche en avant en remontant son postérieur pour le faire admirer. Jean-Jacques s'approche et écarte les deux lobes du fessier;Franck : Ah oui, c'est pas mal çà. Il y a tout de même encore quelques poils, mais son petit trou est très accueillant.
Pendant ces paroles Jean-Jacques a commencé de masser cette petit rosette. Franck paraît excité par ce que fait voir son pantalon.
Moi : Franck, vous pouvez toucher, il va aimer.
Pendant que je prononçais ces quelques mots, Franck a déjà dégrafé son magnifique pantalon et se trouve en string, je dirai même mini string. Puis ôte rapidement ces quelques millimètres d'étoffe d'où sort une queue molle. Mais en suis immédiatement sidéré de voir cet organe. Le pubis est complètement lisse avec aucune ombre de racine de poils, mais son engin fait au bas mot plus de vingt et un centimètres. Très intrigué je me permets d'approcher ma main. Franck me faire signe de la tête qu'il est d'accord. Ah ! quel beau morceau. Ma main glisse sous ses testicules qui, eux aussi sont doux et lisses sans aucune aspérité. C'est vraiment agréable; Je suis très attiré par cette verge et inconsciemment je me mets à genoux, ouvre ma bouche et ne peux en rentrer qu'une partie de ce membre. Je commence une calme fellation en faisant tourner ma langue autour de la couronne de son gland. Jean-Jacques me sourit tout en continuant à caresser l'anus de Gilles qui se laisse faire comme d'habitude. Comme à chaque fois, il joue les vierges effarouchées, mais au bout d'un moment se laisse faire. Au bout de trois ou quatre aller-retour de ma fellation sa verge se développe progressivement et suis obligé de la sortir de ma bouche. Je me relève et constate l'extension de cet organe génital des îles prendre certaines proportions que l'on a rarement sous la main. En constatant cette évolution physique, Jean-Jacques ne peut se retenir:Jean-Jacques : Regarde Gilles, regarde, retourne-toi pour admirer le corps Nu de Franck !
Toujours dans sa position pour être admiré, Gilles se retourne et semble avoir un mouvement de sursaut.
Gilles : Grand dieu, quel engin, quel morceau.
Franck : C'est pour toi ! J'ai vu ce matin Jean-Jacques avec quelques de ses doigts en toi, elle n'est pas plus importante.
Il est bien gentil de dire cela. Après vérification son bazooka avec cette érection fait vingt-cinq centimètres, mais, surtout presque irréel de sept centimètres de diamètre. Son tuyau est d'une dureté déconcertante. Ce morceau de viande ne pliera sous aucun obstacle.
Jean-Jacques : Ton cul va être content, mon "chou". Tu va pouvoir l'offrir à Franck même s'il a constaté comme il l'a dit quelques poils.
Franck : En prospection je n'ai pas mon matériel d'épilationMoi : Quel est-il ?
Franck : Pour lui, la cire sera le mieux, çà embellira son orifice.
Jean-Jacques : Allez Gilles, va prendre une douche et nous te rejoignons dans la chambre, cela sera plus confortable pour toi.
Gilles : Non, non, pas questionJean-Jacques : Tu n'avais pas dit que tu voulais te montrer à quelqu'un que tu ne connaissais pas, et en réalité quand tu dis montrer, c'est qu'il amuse ton trou.
Comme d'habitude Gilles bougonne mais comme par hasard Gilles ne se fait pas prier et se dirige sans plus rien dire vers la maison. Nous trois finissons tranquillement notre boisson pour nous aussi rentrer à la maison et retrouver Gilles allongé sur le dos. Je constate la mine réjouie de Jean-Jacques Jean-Jacques : Franck, je vous permets. Allez-y.
Pour mieux profiter de l'acte qui va se dérouler, nous demandons à Gilles de rester sur le dos, nous pourrons tous constater ses rictus de plaisir et peut-être de quelques brèves douleurs avec cet important chibre. Jean-Jacques et moi prenons chacun une jambe pour les relever et bien dégager son anus. Et là que voyons-nous que déjà sa rosette s'ouvre et se ferme sans aucun attouchement. Je m'interroge sur cette toute proche intronisation d'une verge aussi large dans ce trou. En imaginant cela je me mets à bander dur. Celle de Jean-Jacques a aussi pris une belle érection.
Franck approche le corps de Gilles au bord du lit qui est bien à la hauteur de mandrin de Franck. Celui-ci dépose un peu de salive seulement sur son énorme gland, puis de sa main gauche le positionne sur la rosette vibrante de Gilles. En moi-même je pense que vue la différence entre le diamètre du trou et le diamètre de l'organe sexuel cela ne rentrera jamais.
Le gland est bien positionné sur l'entrée. Il remet quelques goutte de salive seulement et je constate que le corps de Franck se cambre pour essayer de faire rentrer cette imposante lance à sperme. Gilles grimace, fronce les yeux. Ses mains enserrent le drap fermement lorsque Franck essaie de se frayer un passage dans ce tunnel voué au plaisir. Mais alors qu'il n'y a que deux ou trois centimètres de rentrés, Gilles se met à hurler sa douleur. Jean-Jacques se penche pour l'embrasser et lui dire que bientôt il va aimer. De mon côté ma queue mouille de liquide séminal tellement je suis ébahi d'excitation. De ma seconde main je caresse la bite de Gilles pour lui faire oublier cette sodomie exceptionnelle.
Jean-Jacques : Mon chou, tu vas être inscrit dans le livre des records quand ton cul aura accepté toute la longueur de la queue de Franck.
Gilles : (entre deux cris et supplications) Non, non, ce n'est pas la longueur, mais t'as vu sa grosseur, vous êtes tous dinguesJean-Jacques : Tu voulais qu'exhiber à un inconnu, et bien tu l'as maintenant, et tu l'ouvrir ton cul qui ne demande que celaEntre deux plaintes Franck gentiment donne un petit coup de rein. Sa bite vient de rentrer quelques centimètres supplémentaires. Pour le moment il n'y a qu'un tiers d'introduit. Pour faciliter les choses, Franck fait des petits va-et-vient succéssifs pour entrer progressivement sa matraque. Je pense que pour la longueur, il n'y a pas de soucis, mais le diamètre est tellement large qu'il faut que Gilles s'ouvre davantage. Et comme par enchantement Gilles cesse de se plaindre pour pousser de petits gloussements, puis des gémissements de plaisir apparemment. Plus que trois centimètres à faire rentrer. La queue de Gilles est également en érection, et je commence à le branler afin qu'il se sente bien. Là, toute la verge de Franck est logée dans les boyaux de Gilles. Avec cette longueur en lui sa prostate doit être massée par le volume de rouleau de chair, car Gilles vient de pousser Oui oui ! Oui ! je la sens, c'est bon. Plus fort plus fort. Ce qui fait un peu accélérer les mouvements de Franck, ne voulant pas blesser et déchirer notre ami Gilles. le corps commence à onduler. Jean-Jacques et moi déposons les jambes de Gilles sur les épaules de Franck, ce qui nous permettait de nous caresser et même de nous masturber. Les ondulations de Gilles étaient de plus en plus amples et rapprochées. Le corps de Franck était tout luisant de sueur, comme s'il était huilé et le rendait sculptural. Les coups de reins étaient plus intenses pour faire buter à chaque fois son pubis contre les fesses de Gilles ce qui occasionnait des claquements secs. Les bruits qu'émettait Gilles sont devenus des gloussements de plaisir. Les ondulations s'enchaînent avec tout un corps pris de tremblements comme s'il était entièrement électrisé avec des Oui,Oui, oui je jouis du cul, je joui du cul, ce qui déchaîne le beau Franck de ses coups de butoir au plus profond de Gilles dont son fondement a accepté ce monstre d'organe. Après un coup de rein magistral Frank pour un hurlement rauque de plaisir. Il éjacule dans le tunnel de Gilles et après me semble t-il plusieurs éjaculations à l'intérieur, il ressort sa lance qui projette encore quatre énormes jets de sperme épais sur le torse et en éclabousse aussi la figure de Gilles. Jean-Jacques, lui avait déjà joui. En voyant ce tableau j'ai accéléré ma branle pour tout lancer volontairement dans le cou de Gilles. Gilles tremblait toujours avec des cris d'extase d'un fort orgasme et c'est là que Franck repris d'un élan de vigueur, renfile sans qu'il s'en rende compte Gilles pour lui appliquer une bonne vingtaine de coups de reins bien précis et saccadés pour lui administrer après quelques rugissements une nouvelle forte éjaculation externe d'encore six jets le couvrant d'un sperme.
Ce fut une belle rencontre, et je sais que Gilles et Jean-Jacques ont été les premiers clients fidèles pour Franck alliant la profession et parfois le plaisir.
Puis, les mois de juin et juillet approchaient, c'est lors d'un dîner qu'ils m'annonçaient qu'ils avaient loué une splendide villa pour la saison estivale dans le sud de la France. Ils me proposent si je le souhaite de les rejoindre pour une ou deux semaines. Je ne me suis pas fait prier pour partager quelques de vacances avec eux. Cela promettrait des moments amicaux et sexuels agréables pour de profiter de Gilles réceptif à certains attouchements et caresses.
Fin juin, je descends pour les rejoindre dans le Var dans un des magnifiques villages de ce golfe si réputé. Ils séjournaient dans une grande et luxueuse propriété très typique par son architecture que son jardin-parc à la végétation luxuriante. La propriété était close de murs végétaux très fournis ce qui permettait à Gilles de se balader et mouvoir dès le matin dans le plus simple appareil. Il aimait se mettre dans un transat, ce qui lui permettait de ne rien faire mais seulement nous faire exhiber son fessier les jambes écartées. Il avait accentué son bronzage intégral. Un matin après une soirée et nuit assez agitées tous les trois par nos ébats, Jean-Jacques propose que nous allions dès le matin à la plage, au bas de ce beau village. Après avoir garé notre véhicule, nous accédons à cette splendide plage décrite Nous marchons un bon moment sur la grève, alors qu'il n'y avait que deux ou trois personnes.
Moi : Mais pourquoi tant marcher, il y a de la place ici J.J. : Nous avons notre coin avec Gilles et c'est très tranquille Moi : Ici il y a personneJ.J. : Oui, mais là-bas c'est naturiste c'est plus sympa, tu verras !
Je les suis, vers le lieu qui m'ont décrit cela m'inquiète un peu n'ayant jamais fait de naturisme. Je suppose que dans ces lieux, c'est à celui qui va montrer plus longue, la plus grosse, la plus vigoureuse. Je sais que je ne peux pas concourir pour un casting porno. Arrivés sur place dans un cadre idyllique au magnifique paysage, nous déposons nos affaires et notamment nos grandes serviettes. Celle de Gilles à peine déposée que le voilà déjà déshabillé et donc nu. Pour lui ce n'est pas difficile un short sans sous-vêtement, une chemise et le voilà à plat ventre. Je vois que Jean-Jacques a garder son mini slip de bain mettant en valeur un joli paquet bien bombé. De coup je fais de même nous verrons pour tout enlever après.
Après quelques instants de position lézard, je vais me baigner malgré mon maillot de bain, Il est vrai que je fais seulement partie que des cinq pour cent avec un maillot. Après cette agréable baignade dans une eau transparente aux reflets d'un bleu légendaire, je reviens vers mes amis. Gilles a quitté sa serviette et marche faisant des aller retour pour se faire voir. Même parfois se penche en avant pour scruter le sol, ce qui met en évidence son cul qu'il tourne systématiquement vers les personnes sur la plage. Je ne dis rien mais à un momentJ.J. : Regarde Gérard! la posture de Gilles. Il se baisse pour qu'on admire son trou que je lui ai épilé ce matin.
Je trouvais tout de m^me cela assez particulier. Après plus de trente minutes de ce manège Gilles revient s'allonger à côté de Jean-JacquesJ.J. : Alors, tu es content mon "chou", tu as montré ce que tu voulais ?
Gilles : Ah ! Fou-moi la paix. Il faut bien qu'ils l'admirent, je ne fais rien de mal, je me suis simplement baissé.
Pendant que nous étions allongés, du coin de l'œil j'observe Jean-Jacques qui commence à caresser Gilles en remontant sa main à l'intérieur de ses cuisses pour amorcer le massage de son orifice. Puis d'un seul coup, son corps ondule en émettant de petits miaulements de plaisir. Pendant ce temps de détente par le massage, l'intensité des baigneurs et promeneurs avec l'heure c'est intensifié. Passage de personnes peu habillées et d'autres entièrement nus avec des sexes plus ou moins tendus et gonflés. Certains se retournaient en voyant les doigts de Jean-Jacques manœuvrer avec des va-et-vient dans l'intimité de Gilles.
A un moment j'avais remarqué que de loin un homme plus jeune que nous s'était arrêté pour observer cette scène insolite. Quelques minutes après Jean-Jacques embrasse dans le cou de Gilles. L'homme se tenait toujours à l'écart en épiant. Sans rien dire à mes deux amis, je me lève l'air de rien pour me diriger vers cet inconnu. Je passe devant lui et lui sourit.
Moi : Vous êtes intrigué par nous trois.
L'inconnu : Oui et particulièrement par votre ami allongé sur le ventre, il a l'air de bien se laisser faireMoi : Oui il est assez passif et affectionne l'exhibition son cul, et il est assez gourmand de caresses profondes.
L'inconnu : C'est bien ce que j'avais imaginéD'un seul coup je me remémore ce que Jean-Jacques m'avait confié que parfois Gilles lui avait dit qu'il aimerait se faire admirer par un inconnu.
Moi : il vous intéresse, celui qui est à plat ventre ?
L'inconnu : Oui assezMoi : Ecoutez, je vais leur en causer, donner-moi votre numéro et je vous appelle le plus rapidement possible dans la journée;L'inconnu : Super, c'est très sympa merci.
Ce bel homme, souriant avec de magnifiques yeux s'appelle Franck. Une stature d'un mètre quatre-vingt dix. A peu près soixante quinze, quatre-vingt kilos maxi. La peau d'un métis très clair. Tout le torse glabre, pubis rasé (ou épilé) car très lisse mais surtout bien fait pour le reste? Je le quitte pour retourner vers mes amis. De retour à la maison chacun s'affère pour le déjeuner, j'en profite pour glisser deux mots à Jean-Jacques sur ma rencontre et de son projet. Jean-Jacques est tout à fait d'accord et semble très intrigué et pourrions dire excité par cette aventure inattendue. J'appelle donc Franck. Je lui donne tous les renseignements pour trouver la propriété et l'heure de sa venue, en lui demandant de trouver un prétexte pour se pointer d'une telle manière. Vers dix-huit heures, alors que nous étions tous les trois dans un coin du jardin, la sonnette de la porte retentit. Jean-Jacques se lève, regarde au vidéo-phone, puis se dirige vers le grand portail pour accueillir le visiteur. Evidemment, c'est Franck ! Tous les deux arrivent vers la tonnelle où nous étions. Cette fois-ci il est vêtu d'un splendide pantalon soulignant certaines de ses formes, d'une chemisette d'une très grande grille mettant tout son corps d'une couleur alléchante en valeur.
Moi : Bonjour, je vois que Jean-Jacques vous a fait entrer, je crois que nous nous sommes aperçus ce matin.
Franck : Oui, c'est tout à fait cela. Depuis quelques jours, par quartiers je fais de la prospection venant depuis peu de m'installer dans la région.
Jean-Jacques : Pour quoi ? Mais que faites-vous ?
Franck : A l'approche de la saison, je n'arrive pas à trouver de local. Soit je dépose ma carte, soit j'arrive à me présenter aux gens. Je suis coiffeur-visagiste et m^me esthéticien tout cela à domicile pour le moment. Cela peut éventuellement vous intéresser durant votre séjour Jean-Jacques : Oui, ici, le domicile devrait bien fonctionner. Vous devriez Vous faire rapidement une clientèle. Peut-être voulez vous Prendre quelque chose ?
Franck : Ce n'est pas refusJean-Jacques se lève et s'éclipse et moi je continue la conversation avec Franck qui a braqué sur Gilles qui porte une sorte de boxer très large sans sous vêtement. Jean-Jacques revient avec quelques boissons et continuons à bâton rompu notre conversation qui se dirige progressivement vers la coiffure et surtout l'esthétisme.
Jean-Jacques : Vous dites que vous êtes esthéticien, pour femmes ? Pour hommes ?
Franck : Plutôt de la clientèle masculine.
Moi : L'esthétique, soins du visage? du corps? les épilations?.
Franck : oui, oui, c'est çà.
Moi : C'est bien.
Jean-Jacques : Tu vois Gilles, cela m'évitera tout ce travail.
Gilles : Arrête, s'il te plaît !
Jean-Jacques : Vous voyez comme il est !
Franck : Ce n'est pas grave ! monsieur Gilles ne vous en faites pas. Mais ce matin je crois vous avoir aperçu allongé sur le ventre, laissant faire par monsieur Jean-Jacques.
Cette phrase a complètement interloqué Gilles, le vissage de celui-ci s'est fermé et a commencé à rougir.
Jean-Jacques ; Tu vois, et Franck aimerai bien te voir nu et admirer ton Cul si bien bronzé;Moi : Allez Gilles, tu verras Franck saura y faire !
Après quelques phrases, Gilles qui est torse nu, se lève et fait descendre son large boxer. Il pose ses mains pour prendre appui sur la table et se penche en avant en remontant son postérieur pour le faire admirer. Jean-Jacques s'approche et écarte les deux lobes du fessier;Franck : Ah oui, c'est pas mal çà. Il y a tout de même encore quelques poils, mais son petit trou est très accueillant.
Pendant ces paroles Jean-Jacques a commencé de masser cette petit rosette. Franck paraît excité par ce que fait voir son pantalon.
Moi : Franck, vous pouvez toucher, il va aimer.
Pendant que je prononçais ces quelques mots, Franck a déjà dégrafé son magnifique pantalon et se trouve en string, je dirai même mini string. Puis ôte rapidement ces quelques millimètres d'étoffe d'où sort une queue molle. Mais en suis immédiatement sidéré de voir cet organe. Le pubis est complètement lisse avec aucune ombre de racine de poils, mais son engin fait au bas mot plus de vingt et un centimètres. Très intrigué je me permets d'approcher ma main. Franck me faire signe de la tête qu'il est d'accord. Ah ! quel beau morceau. Ma main glisse sous ses testicules qui, eux aussi sont doux et lisses sans aucune aspérité. C'est vraiment agréable; Je suis très attiré par cette verge et inconsciemment je me mets à genoux, ouvre ma bouche et ne peux en rentrer qu'une partie de ce membre. Je commence une calme fellation en faisant tourner ma langue autour de la couronne de son gland. Jean-Jacques me sourit tout en continuant à caresser l'anus de Gilles qui se laisse faire comme d'habitude. Comme à chaque fois, il joue les vierges effarouchées, mais au bout d'un moment se laisse faire. Au bout de trois ou quatre aller-retour de ma fellation sa verge se développe progressivement et suis obligé de la sortir de ma bouche. Je me relève et constate l'extension de cet organe génital des îles prendre certaines proportions que l'on a rarement sous la main. En constatant cette évolution physique, Jean-Jacques ne peut se retenir:Jean-Jacques : Regarde Gilles, regarde, retourne-toi pour admirer le corps Nu de Franck !
Toujours dans sa position pour être admiré, Gilles se retourne et semble avoir un mouvement de sursaut.
Gilles : Grand dieu, quel engin, quel morceau.
Franck : C'est pour toi ! J'ai vu ce matin Jean-Jacques avec quelques de ses doigts en toi, elle n'est pas plus importante.
Il est bien gentil de dire cela. Après vérification son bazooka avec cette érection fait vingt-cinq centimètres, mais, surtout presque irréel de sept centimètres de diamètre. Son tuyau est d'une dureté déconcertante. Ce morceau de viande ne pliera sous aucun obstacle.
Jean-Jacques : Ton cul va être content, mon "chou". Tu va pouvoir l'offrir à Franck même s'il a constaté comme il l'a dit quelques poils.
Franck : En prospection je n'ai pas mon matériel d'épilationMoi : Quel est-il ?
Franck : Pour lui, la cire sera le mieux, çà embellira son orifice.
Jean-Jacques : Allez Gilles, va prendre une douche et nous te rejoignons dans la chambre, cela sera plus confortable pour toi.
Gilles : Non, non, pas questionJean-Jacques : Tu n'avais pas dit que tu voulais te montrer à quelqu'un que tu ne connaissais pas, et en réalité quand tu dis montrer, c'est qu'il amuse ton trou.
Comme d'habitude Gilles bougonne mais comme par hasard Gilles ne se fait pas prier et se dirige sans plus rien dire vers la maison. Nous trois finissons tranquillement notre boisson pour nous aussi rentrer à la maison et retrouver Gilles allongé sur le dos. Je constate la mine réjouie de Jean-Jacques Jean-Jacques : Franck, je vous permets. Allez-y.
Pour mieux profiter de l'acte qui va se dérouler, nous demandons à Gilles de rester sur le dos, nous pourrons tous constater ses rictus de plaisir et peut-être de quelques brèves douleurs avec cet important chibre. Jean-Jacques et moi prenons chacun une jambe pour les relever et bien dégager son anus. Et là que voyons-nous que déjà sa rosette s'ouvre et se ferme sans aucun attouchement. Je m'interroge sur cette toute proche intronisation d'une verge aussi large dans ce trou. En imaginant cela je me mets à bander dur. Celle de Jean-Jacques a aussi pris une belle érection.
Franck approche le corps de Gilles au bord du lit qui est bien à la hauteur de mandrin de Franck. Celui-ci dépose un peu de salive seulement sur son énorme gland, puis de sa main gauche le positionne sur la rosette vibrante de Gilles. En moi-même je pense que vue la différence entre le diamètre du trou et le diamètre de l'organe sexuel cela ne rentrera jamais.
Le gland est bien positionné sur l'entrée. Il remet quelques goutte de salive seulement et je constate que le corps de Franck se cambre pour essayer de faire rentrer cette imposante lance à sperme. Gilles grimace, fronce les yeux. Ses mains enserrent le drap fermement lorsque Franck essaie de se frayer un passage dans ce tunnel voué au plaisir. Mais alors qu'il n'y a que deux ou trois centimètres de rentrés, Gilles se met à hurler sa douleur. Jean-Jacques se penche pour l'embrasser et lui dire que bientôt il va aimer. De mon côté ma queue mouille de liquide séminal tellement je suis ébahi d'excitation. De ma seconde main je caresse la bite de Gilles pour lui faire oublier cette sodomie exceptionnelle.
Jean-Jacques : Mon chou, tu vas être inscrit dans le livre des records quand ton cul aura accepté toute la longueur de la queue de Franck.
Gilles : (entre deux cris et supplications) Non, non, ce n'est pas la longueur, mais t'as vu sa grosseur, vous êtes tous dinguesJean-Jacques : Tu voulais qu'exhiber à un inconnu, et bien tu l'as maintenant, et tu l'ouvrir ton cul qui ne demande que celaEntre deux plaintes Franck gentiment donne un petit coup de rein. Sa bite vient de rentrer quelques centimètres supplémentaires. Pour le moment il n'y a qu'un tiers d'introduit. Pour faciliter les choses, Franck fait des petits va-et-vient succéssifs pour entrer progressivement sa matraque. Je pense que pour la longueur, il n'y a pas de soucis, mais le diamètre est tellement large qu'il faut que Gilles s'ouvre davantage. Et comme par enchantement Gilles cesse de se plaindre pour pousser de petits gloussements, puis des gémissements de plaisir apparemment. Plus que trois centimètres à faire rentrer. La queue de Gilles est également en érection, et je commence à le branler afin qu'il se sente bien. Là, toute la verge de Franck est logée dans les boyaux de Gilles. Avec cette longueur en lui sa prostate doit être massée par le volume de rouleau de chair, car Gilles vient de pousser Oui oui ! Oui ! je la sens, c'est bon. Plus fort plus fort. Ce qui fait un peu accélérer les mouvements de Franck, ne voulant pas blesser et déchirer notre ami Gilles. le corps commence à onduler. Jean-Jacques et moi déposons les jambes de Gilles sur les épaules de Franck, ce qui nous permettait de nous caresser et même de nous masturber. Les ondulations de Gilles étaient de plus en plus amples et rapprochées. Le corps de Franck était tout luisant de sueur, comme s'il était huilé et le rendait sculptural. Les coups de reins étaient plus intenses pour faire buter à chaque fois son pubis contre les fesses de Gilles ce qui occasionnait des claquements secs. Les bruits qu'émettait Gilles sont devenus des gloussements de plaisir. Les ondulations s'enchaînent avec tout un corps pris de tremblements comme s'il était entièrement électrisé avec des Oui,Oui, oui je jouis du cul, je joui du cul, ce qui déchaîne le beau Franck de ses coups de butoir au plus profond de Gilles dont son fondement a accepté ce monstre d'organe. Après un coup de rein magistral Frank pour un hurlement rauque de plaisir. Il éjacule dans le tunnel de Gilles et après me semble t-il plusieurs éjaculations à l'intérieur, il ressort sa lance qui projette encore quatre énormes jets de sperme épais sur le torse et en éclabousse aussi la figure de Gilles. Jean-Jacques, lui avait déjà joui. En voyant ce tableau j'ai accéléré ma branle pour tout lancer volontairement dans le cou de Gilles. Gilles tremblait toujours avec des cris d'extase d'un fort orgasme et c'est là que Franck repris d'un élan de vigueur, renfile sans qu'il s'en rende compte Gilles pour lui appliquer une bonne vingtaine de coups de reins bien précis et saccadés pour lui administrer après quelques rugissements une nouvelle forte éjaculation externe d'encore six jets le couvrant d'un sperme.
Ce fut une belle rencontre, et je sais que Gilles et Jean-Jacques ont été les premiers clients fidèles pour Franck alliant la profession et parfois le plaisir.
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