La déchéance d'Horty Partie 3/4

Récit érotique écrit par MrLouis [→ Accès à sa fiche auteur]
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La déchéance d'Horty Partie 3/4
La déchéance d'Horty partie 3/4
par MonsieurLouis
Préambule :
Le texte suivant est une fanfiction pornographique mettant en scène la youtubeuse/streameuse Horty aka HortyUnderscore. Ce récit de 100 pages est strictement réservé aux adultes avertis, il contient des scènes très crues et pornographiques. Ce texte est libre et partageable (tant que vous modifiez pas le contenu) , et a été partiellement rédigé par une IA (30 % du récit).
- Je recherche des traducteurs bénévoles pour le traduire en anglais et dans toutes les langues possibles.
- Je recherche aussi des illustrateurs bénévoles.
Cette fanfiction ne contient pas de scènes pédopornographies, ni zoophiles, ni scatologiques. Tous les personnes décrit dans ce texte sont majeurs. C’est une fiction, loin de la réalité.
14eme chapitre : Horty fistée
Le soleil tape sur la peau encore sensible d’Horty, les tatouages luisants de baume frais. Ce matin, le tatoueur étant parti, elle étire ses jambes allongée sur le transat, avec une lenteur voluptueuse, faisant cliqueter les anneaux de ses grandes lèvres contre le métal chaud.
Louis passe une main possessive sur les lettres "ESCLAVE" encore rougies sur sa fesse droite. Il est très satisfait des tatouages et des piercings d'horty. Il la complimente sur son look et sur son docilité.
"Tu es parfaite, j’aime quand tu m’obéis " murmure-t-il, pinçant un téton percé jusqu’à la faire gémir. "Un vrai tableau."
Horty sourit, les lèvres humides, et se cambre pour lui offrir sa poitrine. "Je suis ta chose, ton esclave, tu peux tout exiger de moi." dit-elle fière et heureuse.
Louis éclate d’un rire rauque, attrapant une poignée de ses cheveux. "Bah, justement cet après-midi, j’ai envie de te détruire le cul."
Elle frissonne, sentant déjà la brûlure promise entre ses cuisses. "Comme il vous plaira, Maître Louis."
D’un geste, il la fait se lever. Il sort de sa poche un buttplug de taille moyenne.
"Penche toi. Montre-moi comment tu accueilles ton nouveau maître."
Horty obéit, le souffle court, présentant ses fesses marquées. La première poussée déchire un cri rauque de sa gorge, la douleur et la soumission coulent dans ses veines comme une drogue. Il rentre le plug moyen avec facilité.
Ils marchent vers le donjon, ses pas traînant volontairement pour que les plugs dans ses lèvres et le plug anal frottent à chaque mouvement. La porte en acier se referme dans un claquement sourd.
Toujours avec le sextoy dans le cul, elle monte sur le fauteuil gynécologique. En relevant une jambe, le plug sort de son cul et tombe par terre. Horty rougit et s’excuse.
Louis rigole : "Ton trou de balle est tellement dilaté, qu’il ne retiens plus rien", "on va passer aux choses sérieuses". Louis l'attache fermement au fauteuil.
Louis approche le gros seau de lubrifiant. Il se saisit du plus large spéculum, de quelques gros buttplugs, et d'un dizaine de godes énormes.
Horty claque des dents quand Louis écarte ses fesses à deux mains, le spéculum froid frôlant son trou béant. "Regarde ça," ricane-t-il en forçant l'outil métallique entre ses fesses. Les mâchoires s'écartent avec un « click» sinistre, exposant ses dessins tatouées en pleine lumière crue.
Elle sent le lubrifiant glacé couler en ruisseaux épais sur son rectum distendu, préparant le terrain. Louis desserre le spéculum, puis le retire, un pet discret se fait entendre.
Le premier plug,aussi large qu'une poing, s'enfonce sans résistance. Louis grotte de satisfaction en le poussant du bout des doigts jusqu'à ce qu'il disparaisse jusqu’à la base. "T'es faite pour ça, ma chienne. Un vrai trou à merde."
Le deuxième plug suit, plus gros, strié de nervures. Horty hurle quand il écartèle ses muscles, ses doigts s'accrochant aux sangles en cuir. Le plug moyen gît toujours par terre, inutile maintenant que son cul avale tout sans effort.
Louis attrape le troisième jouet, un godemichet noir veiné, épais comme une bouteille. "On va voir jusqu'où ça rentre," murmure-t-il en alignant la pointe lubrifiée. La première pression fait jaillir des larmes.
Le godemichet noir s’enfonce avec une lenteur sadique, chaque centimètre écartant davantage son rectum déjà distendu. Horty gémit, le silicone du gode écartèle ses parois internes tandis que Louis pousse sans pitié.
"Respire, salope," grogne-t-il en lui donnant une claque sur la hanche. "T’es à moitié pleine, là."
Un nouveau flot de lube coule sur la base du gode, facilitant son entrée brutale. Horty sent ses muscles se déchirer presque, la douleur aiguë se mêlant à une jouissance perverse. Ses doigts tremblent sur les sangles, les jointures blanchissant sous l’effort.
Louis enfonce enfin le dernier centimètre, le godemichet disparaissant totalement en elle. "Putain, regarde-moi ça," souffle-t-il, émerveillé, en tapotant le gode pour faire le vibrer. "On pourrait presque y fourrer une bouteille entière."
Lâchant le gode, aidé par le flot de lubrifiant, le sextoy ressort tout seul. Louis saisit un plug encore plus large, cette fois cannelé et surmonté d’un bulbe épais.
"Allez, encore un petit effort…" murmure-t-il en l’alignant contre l’ouverture béante. Horty serre les dents, anticipant l’étirement insensé
Le plug cannelé arrache un cri rauque à Horty quand il éclate en elle, le bulbe distendant son anneau anal à l’extrême. Louis pousse de tout son poids pour le faire rentrer et forcer le passage, jusqu’à ce que la base s’encastre avec un bruyant « clac ».
Horty gémit quand la base du plug est atteint. Louis fait une pause, il va chercher 2 godes énormes, l'un en forme de queue d’âne et l'autre de cheval. Horty blêmit en voyant la largeur et surtout la longueur extrême des jouets.
"C’est rien, ça," ricane-t-il en brandissant les deux monstres en caoutchouc. La queue d’âne , épaisse comme une bouteille de vin, pend lourdement entre ses mains. "On va te remplir pour de bon."
Louis retire doucement le buttplug qui fait un bruit obscène de "POP". Hortense halète en sentant le plug géant être arraché d’un coup sec. Son cul claque béant, vidé, l’air frais mordant ses muqueuses à vif.
La pointe de la queue d’âne, déjà ruisselante de lube, se presse contre son orifice enflé. Louis pousse sans préambule. Les veines du jouet s’engouffrent une à une, déchirant davantage le muscle déjà martyrisé. Horty se cambre, les sangles craquant sous l’effort, ses seins artificiels ruisselant de sueur.
"Attends… attends," dit l’ex streameuse.
Il n’écoute pas. Il pousse le gode d’âne, de plus en plus loin, il fait des allers retours rapides pour assouplir le cul dilaté. Faisant pression sur la base, les 35 centimètres du gode disparaît enfin dans les entrailles d’Horty, déclenchant chez elle une vague de plaisirs anales insoupçonnées.
Louis dit « Pousse maintenant pour éjecter la bite en caoutchouc, pousse comme pour chier ». Sous sa pression, le gode sort de son cul et tombe par terre. Un vague de lubrifiant sort de son anus béant.
Le sphincter, rougi par la grosse dilatation, ressemble à une bouche ouverte, le bordure de son anus est boursouflé. Il palpite mais reste béant, prêt pour la suite.
Louis se saisi du gode de cheval avec ses lourdes couilles en caoutchouc, il promet des profondeurs inexplorées. Horty hurle quand la pointe épaisse lui transperce les entrailles, chaque pouce de la queue de cheval enfoncé avec une brutalité calculée.
Vicieux et sadique, Louis enfonce les 20 premiers centimètres dans le cul ravagé d’horty. Puis ressort et re-rentre plusieurs fois en poussant fermement le gode; les 20 derniers centimètres arrachent des hurlements de douleur et de plaisir à Horty.
Le poids des couilles en caoutchouc claque contre ses fesses, les faisant osciller sous l'impact. Louis grogne, arc-bouté sur elle, utilisant son coude pour forcer les derniers centimètres.
"C’est ça, prends-la toute…" Sa voix est rauque, tendue par l’effort. La veine saillante sur son front trahit son excitation sadique.
Les nœuds du jouet s’enfoncent un par un, distendant son rectum au-delà du possible. Un filet de lube et de fluide anal coule le long de ses cuisses tremblantes. Horty sent son ventre se soulever, déformé par l’énormité du gode.
Louis attrape la base, commence à tirer, lentement, pour que chaque relief gratte ses parois enflammées. "Tu vas sentir celui-là pendant une semaine."
Il laisse échapper un rire bas quand elle se met à pleurer.
Louis fait des va et vient avec la queue de cheval, le poussant à fond avant de la sortir complètement. Le sphincter d'horty ne résiste plus, au petit prolapsus rouge apparaît, son cul est béant, le pourtour de l'anus est rouge et ourlé.
Louis : "connais tu la phase suivante en montrant sa main lubrifié".
Horty : "Oui Maître, FISTE MOI !!"
Louis n’a pas besoin qu’on le lui dise deux fois. Il repose la queue de cheval, laissant Horty tremblante, son anus évasé palpitant, rouge vif et béant. La cyprine coule de sa chatte en filets épais sur ses cuisses.
Il aligne ses doigts, serrés en forme de cône, et appuie contre l’orifice distendu. La résistance est minime, son poing enfonce les premiers centimètres avec une facilité obscène. Horty grince des dents, ses ongles labourant le cuir des sangles.
"Souffle," grogne-t-il en forçant davantage, les jointures écartant les chairs à vif. L’anus humide, pleine de lubrifiant, l’engloutit jusqu’au poignet.
Elle hurle quand il tourne sa main, étirant encore plus son intestin. Les veines de son cou saillent, ses seins en silicone frémissent à chaque saccade. Louis sent les spasmes autour de son avant-bras, le muscle déchiré essayant désespérément de se refermer.
"Regarde-moi ça," il râle, enfonçant son poing jusqu’à ce que ses os pressent contre la paroi abdominale. Le ventre de Horty se soulève, distendu par la masse.
Il commence à pomper, lentement d’abord, puis plus sauvage, son poing labourant ses entrailles avec une précision brutale.
"Tu es faite pour ça."
Des larmes coulent sur ses joues, mais ses hanches se soulèvent, avides, quand il retire complètement sa main, laissant son cul béant, ouvert comme une plaie humide. Horty jouit bruyamment, secouée par de spasmes incontrôlés.
Horty pensait que la séance était terminé, mais Louis regardait son chef d’œuvre.
Horty halète, épuisée, son corps couvert d'une fine pellicule de sueur. Mais Louis ne la lâche pas. Sa main sortant de son cul, le laissant béant et tremblant, Louis commence à glisser ses doigts entre ses lèvres gonflées.
Sa chatte est trempée, mais peu serrée, ses jointures s’enfoncent lentement, étirant sa fente au-delà de sa capacité naturelle. Elle crispe les doigts de pieds, un gémissement rauque lui échappant quand il enfonce les dernières phalanges.
"Tu te crois encore à l’abri ?" Sa voix est un grondement sadique.
Sa première main s’enfonce dans le vagin d’Horty jusqu’au poignet, en bougeant ses doigts à l’intérieur afin de la faire gémir d’avantage.
De son autre main, ses doigts titillent l’anus ouvert de sa soumise. Rapidement le poing s’enfonce dans le rectum, frottant contre le premier à travers la paroi fine qui les sépare.
L’anus de sa soumise résiste un peu surtout gêné par la présence de l'autre main dans son vagin. Horty se cambre, les veines de son cou saillantes, ses implants mammaires soulevés par la tension.
Louis tourne ses poings en sens opposé, broyant ses entrailles avec une jouissance palpable. Le bruit humide de chair distendue résonne dans la pièce.
"T’es encore trop étroite."
Il accélère le rythme, ses avant-bras couverts de fluides mêlés, labourant ses trous avec une brutalité méthodique.
Louis alterne les fists vaginales et anales, en tournant de façon sadique ces mains dans les orifices d'horty. Entrant et sortant dans ses orifices, Louis continue implacablement son double fist. Horty tremble de tout son corps, Elle jouit, et crie son bonheur.
Sentant que Horty jouit, Louis retire violemment ses mains des trous d'horty. Horty suffoque, blêmit,tourne des yeux, Elle éjacule, tout le lubrifiant et sa mouille partent en plusieurs jets.
Horty se convulse, son corps secoué par des vagues de plaisir brutales. Ses cris s'étranglent quand Louis re-enfonce ses poings jusqu'aux poignets, les veines de ses avant-bras saillant contre ses parois internes.
"Dé, Défon, ce -Moi" Sa voix se brise en un sanglot rauque.
Les doigts de Louis s'agitent dans ses entrailles, cherchant chaque centimètre de chair sensible. Un dernier spasme la traverse quand il arrache ses mains d'un coup sec, son ventre palpite, son cul et sa chatte béants se contractant violemment dans le vide.
Un jet épais gicle de ses trous distendus, suivi de deux autres, projetant un mélange de lubrifiant et de fluides sur le sol. Ses yeux roulent avant de se fermer, son corps s'affaissant comme une poupée de chiffon.
Horty s’évanouit.
Louis observe, impassible, ses mains luisantes. Il passe un doigt sur son poignet, ramassant une traînée translucide et dit : "Pas mal."
15eme chapitre : Horty lesbienne
Le lendemain, La porte de l’appartement de Louis s’ouvre sur le docteur Beshine et sa femme Eva, silhouettes imposantes dans l’encadrement. Horty, assise sur le canapé, tortille nerveusement ses doigts. Son corset laisse à peine passer sa respiration, ses faux seins tendant le tissu à craquer.
"Bienvenue, docteur," dit Louis, un sourire dominateur aux lèvres. "Il est tard. L’injection attendra demain."
Eva ne perd pas de temps. Elle s’approche d’Horty, pose une main sur sa joue, et l’embrasse à pleine bouche. Leurs langues s’entrechoquent, baveuses, bruyantes. Horty gémit, ses joues rougissent.
Horty frémit sous les doigts avides d’Eva, son corps encore sensible des excès de la veille. La ceinture métallique lui cisaille les hanches, les godes géants enfoncés en elle pulsant à chaque mouvement.
Tout en en malaxant la poitrine d’horty, Eva dit : « encore trop petits ses nibards, il lui faudrait des gros nichons de pute. »
"Je peux la baiser ?" demande Eva, tournée vers Louis, ses doigts déjà sur la fermeture éclair du corset.
"Pas de problème. Le docteur et moi, on va regarder."
Eva déshabille Horty avec une efficacité brutale. La robe tombe, révélant une peau marquée de tatouages obscènes et de piercings qui scintillent sous la lumière. La ceinture de chasteté en métal, verrouillée à sa taille, maintient deux énormes godes vibrants en place. Eva sifflote d’admiration devant le spectacle.
"Putain, t’es prête à te faire dilater, toi," murmure-t-elle en enfonçant un doigt dans l’anneau de la ceinture, faisant claquer le métal contre le ventre d’Horty. La streameuse halète, déjà tremblante.
Louis et le docteur s’installent sur le canapé, prêts pour le spectacle.
"Tu les sens bien, tes jouets ?" murmure Eva en faisant glisser ses ongles sur le corset, laissant des marques rouges. Elle attrape un sein implanté, le malaxe avec brutalité. "Beshine va te les faire exploser demain."
Le chirurgien observe, impassible, ajustant ses lunettes tandis que Louis allume un cigare. "2000cc minimum," commente-t-il.
Eva défait le corset d’un geste vif. Louis donne la clé à Eva pour qu’elle ouvre la ceinture. Les godes vibrent violemment quand ils glissent sur le sol, révélant une chair rougie, dilatée.
Elle plaque Horty contre le mur, collant leurs bouches en un baiser baveux. "Je vais te refaire les trous moi-même," halète-t-elle entre deux léchages sadiques.
Louis sourit, soufflant une bouffée de fumée. "Faut juste pas qu’elle saigne sur le tapis."
Eva gifla Horty d’un revers de main sec, laissant une marque rouge sur sa joue. Un crachat atterrit sur son front avant qu’Eva ne l’attrape par les cheveux, tirant brutalement jusqu’à ce qu’Horty s’effondre à genoux dans un gémissement.
"Je vais te détruire ce soir," grogna Eva en la traînant au centre du salon, devant le canapé où Louis et le docteur observaient, impassibles. "J’vais éclater tes trous. Tu vas souffrir."
Horty leva des yeux tremblants vers Louis, mais ne trouva qu’un sourire approbateur.
"Maître Louis," lança Eva d’une voix rauque, "amenez-moi vos plus gros godes. Et le lubrifiant."
Elle se pencha, saisissant le menton d’Horty. "J’ai ramené des godes-ceintures énormes… rien que pour toi." Ses doigts pinçaient un mamelon percé, faisant jaillir un cri.
Louis revint avec un sac noir, l’ouvrant pour révéler des godemichets monstrueux et un pot de lubrifiant épais. Eva saisit un jouet, le faisant claquer contre sa paume avec un sourire sadique. « On commence par celui-là. »
Eva ne laissa pas à Horty le temps de réagir. Elle oblige Horty à s’allonger sur la table basse, elle lui écarta violemment les jambes d’un coup de genou, puis versa une généreuse quantité de lubrifiant sur le godemiché et sur sa chatte, faisant couler l’excès entre les cuisses tremblantes de la streameuse.
"T’as intérêt à pousser, salope," murmura-t-elle avant d’enfoncer la pointe du jouet contre l’orifice dilaté d’Horty. Un cri de plaisir s’échappa de ses lèvres tandis que le silicone énorme commençait à s’élargir en elle, distendant ses muscles tendus de son vagin.
Sur le canapé, Louis glissa une main dans son pantalon, les yeux rivés sur le spectacle. Le docteur Beshine croisa les bras, fasciné par la façon dont le ventre d’Horty se soulevait déjà sous la pression.
Eva poussa plus fort, forçant chaque centimètre avec une lenteur cruelle. "Regarde comme tu prends ça... comme une vraie chienne.". Horty suffoquait, ses doigts s’agrippant au tapis, son corps secoué de spasmes incontrôlables.
Eva retira le godemiché d’un mouvement sec, laissant échapper un rire rauque en voyant les lèvres gonflées d’Horty trembler, béantes.
"Ça rentre comme dans du beurre," ricana-t-elle en tapotant le jouet contre la cuisse ruisselante de lubrifiant de la streameuse. "Trop petit. Maître Louis, donne-moi le suivant."
Le suivant était plus large, une bête de silicone veinée dont la seule vue fit hoqueter Horty. Eva n’attendit pas. Elle l’enfonça d’un coup net, coupant le gémissement de la jeune femme en pliée en deux.
Les hanches d’Horty se soulevèrent instinctivement, son ventre se courbant sous la pression. Eva fixa, fascinée, le spectacle de son vagin absorbant la masse sans presque résister.
"Putain, t’es une vraie gourde, ta chatte est un gouffre" souffla-t-elle en enfonçant plus profond, sentant les muscles chauds se resserrer puis céder autour de la grosseur.
Louis s’était rapproché, son pantalon maintenant ouvert, une main crispée sur son érection.
"Elle t’avait prévenue," murmura-t-il à l’oreille d’Eva. "Regarde, son ventre se déforme."
En effet, sous la peau tendue d’Horty, l’ombre du godemiché se devinait, distendant son petit corps. Eva accéléra les coups, chaque poussée faisant claquer leurs peaux, les gémissements devenant des cris rauques.
"Tu vas prendre plus," promit Eva, les doigts agrippés aux hanches d’Horty pour l’empêcher de fuir. "Beaucoup plus."
Eva retira brutalement le godemiché, laissant le vide brûlant dans le ventre d'Horty se contracter avant de l'emplir à nouveau d'un coup sec. La streameuse hurla, ses ongles labourant le tapis, son ventre palpitant sous la masse qui le déformait.
"Regarde-toi," gronda Eva en enfonçant une main dans les cheveux d'Horty pour forcer son regard vers son propre torse. Entre ses cuisses écartées, son orifice distendu suintait de lubrifiant, frémissant autour de la base du jouet.
Louis s'accroupit derrière Horty, une paume moite glissant sous son décolleté pour y agripper un sein gonflé de silicone. "Elle peut encore prendre plus," dit-t-il en mordant l'oreille de sa soumise, son autre main pressant son ventre tendu.
Le godemiché suivit la pression, s'enfonçant plus profond, jusqu'à ce que le renflement soit visible juste sous les côtes. Horty vomit un mélange de sanglots et de jurons, ses muscles se contractant en vagues désespérées autour de l'intrusion.
Eva tourna la tête vers Beshine, un rictus sauvage aux lèvres.
"Docteur, vous avez un avis professionnel ?"
Ce dernier ajusta ses lunettes, impassible. "La dilatation est remarquable. Mais la cavité pelvienne suggère des possibilités... plus ambitieuses."
Eva éclata de rire, retire le jouet et attrapa un godemiché encore plus large sur la table.
Eva fit tourner le nouveau godemiché entre ses doigts, son regard féroce fixé sur le ventre palpitant d’Horty. "Tu vas sentir celui-ci," murmura-t-elle avant d’enfoncer la pointe du jouet contre l’orifice déjà distendu.
Horty hoqueta, ses doigts s’accrochant au tapis alors que le silicone épais forçait son chemin, écartant ses muscles au-delà de leur limite. Eva poussa en avant sans pitié, le godemiché s’engloutissant lentement tandis que le ventre d’Horty se bombait davantage, la peau étirée jusqu’à la transparence.
Louis grogna derrière Horty, sa main quittant son sein pour glisser sur ses épaules, afin d’empêcher l’ex streameuse de reculer. "Regarde comment tu te dilate," murmura-t-il, haletant.
Un gargouillis mouillé s’échappa du vagin d’Horty alors que le godemiché atteignait sa base, son orifice béant claquant contre le silicone. Son corps entier tremblait, des perles de sueur coulant le long de ses côtes saillantes.
Eva claqua des doigts devant son visage en larmes. "Tu n’as pas fini."
Eva retira d’un coup sec le jouet, laissant le vagin béant d’Horty palpiter, dilaté, luisant de lubrifiant. Elle cracha dans sa paume, mélangeant la salive au liquide qui ruisselait entre les cuisses de la streameuse.
"Opérations manuelles," annonça-t-elle avant de lubrifier sa main et d’enfoncer sans préambule quatre doigts jusqu’aux jointures. Horty gronda, sa tête tombant en arrière, mais Eva ricana. "Incroyable. Aucune résistance.". Sa main rentra sans difficulté dans son vagin.
Elle poussa plus loin, son avant-bras disparaissant à mi-longueur dans le conduit distendu, les muscles d’Horty se contractant mollement autour de sa peau comme une étreinte fatiguée. Un frisson silencieux parcourut le corps de la jeune femme, ses orteils se recroquevillant dans un orgasme étouffé.
Eva retira sa main d’un mouvement fluide, puis serra son poing, le lubrifiant d’un geste obscène. "On passe au niveau supérieur."
Le poing s’enfonça d’un coup, entrant sans effort, les jointures défonçant le vagin détruit. Horty émit un gargouillis rauque, son ventre se soulevant sous la déformation. Eva commença à boxer sa chatte, entrant et sortant à un rythme brutal, chaque coup faisant claquer leurs peaux, les lèvres tuméfiées giclant de fluide.
Louis, debout derrière, se masturbait à coups saccadés. « DEFONCEZ LA » hurla-t-il.
Eva accéléra, son poing labourant l’intérieur dilaté, les doigts d’Horty s’agrippant à la table basse comme pour fuir l’assaut.
Eva cambra son torse, ajustant l'angle de son poing pour frapper plus profond. Le bras entier disparaissait maintenant jusqu'au coude, le mouvement de va-et-vient rapide étirant Horty au-delà du possible, chaque poussée soulevait son bassin du sol, son ventre ondulant sous la forme évidente des jointures qui la ravageaient. Un filet de salive coulait de sa bouche entrouverte, ses yeux révulsés ne voyant plus rien.
Louis lâcha un juron rauque, sa main sur sa bite accélérant en synchronisation avec les coups. "Regarde comme son trou te dilate," grogna-t-il, hypnotisé par l’orifice béant qui épousait chaque mouvement d’Eva, les lèvres gonflées et violacées maintenant incapables de se refermer.
Eva percuta une dernière fois, enfonçant son poing à fond, et Horty hurla enfinun son rauque, déchiré,avant que son corps ne se mette à convulser. Des spasmes violents firent claquer ses cuisses contre les hanches d’Eva, des jets de fluide jaillissant en pulsations désordonnées.
"T’es bonne qu’à ça," murmura Eva en retirant lentement son bras, laissant le vagin ouvert d’Horty se contracter en vain autour du vide.
Eva pivota légèrement, changeant de main d’un geste expert, son poing gauche remplaçant le droit dans un mouvement fluide. Horty gémit, ses jambes tremblantes, mais Eva ne ralentit pas, elle martelait l’intérieur distendu, alternant les poings comme un piston mécanique, chaque entrée plus violente que la précédente.
"T’en veux encore, salope ?" cracha Eva, les jointures de sa main droite labourant les paroi avant de céder la place à la gauche. Le vagin d’Horty ne formait plus qu’un gouffre humide, palpitant, sa résistance presque nulle.
Puis Eva joignit ses mains, serrant les doigts en un seul poing monstrueux, les jointures saillantes sous la pression.
"On va voir ta limite."
Elle appuya des 2 mains, poussant la masse contre l’entrée béante. Un cri déchirant jaillit d’Horty ;"Non, non, arrête, je peux p..", mais Eva écrasa la protestation d’une poussée brutale. Le double poing coinça, les lèvres étirées à l’extrême, blanches sous la tension.
Un dernier coup de hanche, un bruit de chair déchirée, et les poings disparurent à l’intérieur dans un « plop » sourd. Horty hurla, son ventre distendu par la forme grotesque des mains jointes, ses pleurs se transformant en hoquets saccadés. Eva ricana, sentant les spasmes désespérés autour de ses poings.
"Fini de jouer."
Louis s’installa sur le canapé, les yeux brillants de cruauté, tandis qu’Eva retirait ses poings d’un mouvement lent et humide. La chair d’Horty se refermait par saccades, son orifice encore frémissant, luisant de fluides.
"À quatre pattes, maintenant," ordonna Eva, claquant la cuisse d’Horty pour la faire pivoter. La femme obéit en tremblant, ses avant-bras pliant sous son poids.
Eva boucla autour de ses hanches un gode-ceinture mince, son dard noir et lisse dépassant avec une longueur obscène de 50 centimètres. Horty craint le pire. Elle se planta devant le visage d’Horty, saisissant sa mâchoire d’une main. "Ouvre. Et avale."
Horty inspira un coup, mais l’habitude prit le dessus,sa bouche s’ouvrit, ses lèvres se refermant autour des 20 premiers centimètres. Elle descendit sans effort jusqu’à la moitié, ses muscles de gorge agissant par réflexe.
"Bien," murmura Eva, caressant ses cheveux d’une fausse douceur. Puis, d’un coup sec, elle enfonça les trente centimètres restants. Le godemiché disparut jusqu’à la base, le menton d’Horty touchant presque le pubis d’Eva.
Un gargouillis étouffé, des yeux qui s’écarquillaientmais Eva ne laissa pas de répit. Elle commença à pistonner, rapide et profonde, chaque mouvement déplaçant l’air dans les poumons d’horty.
Eva fis quelques aller-retours dans la gorge d'horty puis ressorti complètement. Horty respire, les yeux mouillés , son mascara et son eyeliner coulent.
Laissant Horty haleter, les lèvres tremblantes et luisantes, Eva glissa deux doigts entre ses dents avec un claquement mouillé.
"Cette pute a une bouche incroyable, un vrai gouffre à bites," ricana-t-elle en dirigeant un regard torride vers Louis.
"Mets tous les doigts," ordonna-t-il, les yeux rivés sur les lèvres étirées d’Horty.
Eva regroupa ses doigts en cône et les enfonça brutalement dans la bouche, mais la mâchoire résista. Sans hésiter, elle gifla Horty deux fois, la tête claquant sur les côtés.
"Ouvre ta gueule de salope !" cracha-t-elle avant de réessayer.
Eva remets ses doigts dans la bouche d'horty et pousse. Horty ouvre en grand sa mâchoire et la main rentre.
Horty gémit mais obéit, ouvrant grand sous la douleur. La main d’Eva s’enfonça d’un coup, les jointures raclant les dents, les doigts atteignant le fond de la gorge. Les joues d’Horty se creusèrent, ses paupières battant furieusement alors que ses réflexes de vomissement se déclenchaient, trop lentement.
Eva tourna sa main, écartant les doigts pour distendre encore plus la bouche. Un filet de bave dégoulina sur le menton d’Horty. Ses lèvres entourent maintenant le poignet d’Eva.
"Regarde-moi ça," grogna Eva à Louis, "elle va tout prendre." Il se pencha, attrapant les cheveux d’Horty pour l’empêcher de reculer, pendant qu’Eva commençait à labourer sa gorge en va-et-vient saccadés.
Le Dr. Beshine passa derrière Horty, caressant négligemment la courbe de ses fesses rougies.
"Voyons voir si son maître l’a aussi bien dressée par-derrière," murmura-t-il, écartant ses joues d’un geste expert.
Eva obéit et retire sa main. Elle se place derrière Horty (toujours à 4 pattes), et observe le cul d'horty en sifflant de surprise. Habitué au fist et port permanent de gros buttplugs, son anus est déjà ouvert.
L’anus d’Horty, déjà béant et luisant de préparation, palpitait légèrement sous l’inspection. Eva siffla entre ses dents, traçant un doigt le long du bord distendu.
"T’as pas menti, Doc," ricana-t-elle avant de saisir le godemiché extra-long.
La pointe glissa sans résistance, le cul d’Horty l’avalant jusqu’à la base en un seul mouvement fluide. Eva grogna, déçue. "Trop facile."
Elle déboucla le gode ceinture d’un geste vif, la remplaçant par le modèle à boules. Les six boules noires, chacune plus grosse que la précédente, luisaient sous la lumière. Eva pressa la première contre l’entrée, appuyant jusqu’à ce que le sphincter cède avec un pop humide.
Horty se cambra, un hoquet étranglé s’échappant de sa gorge encore remplie par Louis. La deuxième boule força son chemin, écartant davantage les muscles tendus. Par le troisième nœud, des spasmes secouaient ses cuisses, mais Eva ne ralentit pas, elle se retira d’un coup sec, envoyant les trois dernières perles d’un seul mouvement brutal.
Le ventre d’Horty se souleva, son anus étiré à blanc autour du gode. "Maintenant, on joue," chuchota Eva en saisissant la base, commençant à tirer lentement, chaque boule arrachée un à un déclenchant des gargouillis obscènes.
Le Dr. Beshine se pencha, observant les contractions désordonnées du cul d'Horty alors qu'Eva tirait les boules une par une.
"Regardez ce réflexe," murmura-t-il, enfonçant deux doigts dans l'espace entre les boules et le muscle brûlant. Il les écartait en V, exposant le rouge profond de l'intérieur distendu.
Horty hurla, son corps secoué par des frissons violents. La quatrième boule émergea avec un bruit de succion gras, laissant son trou momentanément béant, palpitant, avant que la cinquième ne le force à se refermer partiellement.
Eva rit, ralentissant exprès pour la dernière, la plus grosse. Elle la fit sortir à moitié, le sphincter d'Horty luttant vainement pour ne pas la relâcher, ses muscles rougis tremblant de tension.
"T’es pas à ton maximum, poupée," cracha-t-elle en enfonçant d’un coup sec trois doigts à côté de la dernière boule encore logée.
L’anus d’Horty se dilata violemment, avalant les doigts et la perle simultanément dans un gargouillis mouillé. Le Dr. Beshine siffla d’approbation, écartant les fesses plus largement.
"On peut aller plus loin," dit-il en enroulant sa main autour du poignet d’Eva, l’encourageant à pousser plus profond.
Horty se cambra, un son rauque déchirant sa gorge alors qu’Eva ajoutait un quatrième doigt, tordant sa main pour ouvrir le passage. Le frottement brutal des jointures contre ses parois internes fit jaillir un jet de fluide entre ses cuisses, son trou maintenant un anneau parfaitement distendu, haletant autour de la masse enfoncée.
"J’veux voir sa main entière dans ton cul avant la fin," grogna Louis en lui pétrissant les seins à pleines mains, ses doigts enfonçant les tétons gonflés. Eva répondit par un rictus sauvage, commençant à travailler son poing en cercles lents, chaque rotation écartant davantage les limites d’Horty.
Eva retira le godemiché d’un coup sec, laissant le trou béant d’Horty palpiter dans l’air, son sphincter réduit à un anneau lâche et tremblant.
"Regarde ton cul," ricana-t-elle en écartant ses fesses, révélant le prolapsus rouge vif qui s’étirait hors d’elle, cinq centimètres de chair interne luisante, pulsant faiblement.
"Maintenant, testons la profondeur," dit Louis, les yeux noirs de plaisir sadique.
Eva enduisit son avant-bras de lubrifiant épais jusqu’au coude, laissant le liquide couler en filets sur le prolapsus d’Horty. Elle posa son poing contre l’ouverture, poussant lentement.
Les jointures forcèrent le passage, écartant le rectum déjà ruiné. Horty se débattit, ses cris étouffés par la main de Louis tandis qu’Eva enfonçait son bras centimètre par centimètre, les muscles intestinaux d’Horty se contractant en vagues désespérées autour de l’intrus.
À mi-avant-bras, Eva sentit le point de résistance,le sphincter interne et y appuya sans pitié. "Ouvre-toi," grogna-t-elle en forçant son poing, déchirant l’obstacle dans un craquement humide.
Horty se cambra comme électrocutée, son ventre distendu par la masse qui s’enfonçait. Eva ne s’arrêta pas jusqu’à ce que son coude disparaisse. Eva remets du lubrifiant sur son biceps et continue de pousser sous les hurlements d’Hortense, son bras disparaissant presque dans le corps d’Horty bloqué uniquement par la largueur de son biceps.
Le Dr. Beshine siffla, palpant la forme visible sous la peau du ventre.
"Magnifique," murmura-t-il pendant qu’Eva, les dents serrées, commençait à remuer lentement son bras, étirant les limites d’Horty au-delà de l’imaginable.
16eme chapitre : Horty totalement soumise
Le lendemain matin, Horty se présenta dans le salon, elle porta une couche pour adulte car ces orifices sont encore trop dilatés, elle a des fuites.
Le docteur avait préparé son matériel, Horty s’allongea sur la table basse, sur le dos.
Le Dr. Beshine ajusta la pompe, vérifiant la tension des implants sous la peau luisante d'Horty. "On passe à 2000cc" annonça-t-il en tapotant le sein gauche, qui oscillait avec un mouvement gélatineux. "Les canaux galactophoriques sont déjà préparés pour la prochaine expansion."
Beshine activa la pompe hydraulique pour mettre sous pression les 2000cc de silicone. Il piqua les seins avec une longue aiguille. Il injecta 1000cc dans chaque implant expanders.
Surprise par la douceur de la procédure, Horty se redressa avec peine, ses nouveaux seins lourds et gonflés tirant son torse vers l'avant. La couche crissait entre ses cuisses, humide de fuites incontrôlables.
"T'as l'air d'une vache laitière en chaleur," ricana Eva en lui pinçant un mamelon durci.
Horty porta les mains sous sa poitrine, sentant la chaleur des poches de silicone presser contre ses côtes. Un jet soudain de fluide urinal coula le long de sa cuisse, trempant davantage la couche. Louis éclata de rire et écarta les bords élastiques pour observer le désastre. Son trou du cul aussi fuyait.
Eva se moque d'elle, la traitant de vielle prostitué délabré.
"Faut lui mettre un plug anal de maintien," grogna-t-il en enfonçant deux doigts dans son trou béant, facilement jusqu'à la paume.
Eva attrapa un plug en acier de la taille d'un poing, le lubrifia à gros traits et l'enfonça d'un coup sec. Horty gémit, son ventre se soulevant sous la pression, tandis que le métal froid scellait ses intestins ouverts.
"Comme ça, tu couleras que par devant," dit Eva en lui claquant le cul, faisant trembler les implants sursaturés.
Le Dr. Beshine sourit en rangeant ses seringues, satisfait de son travail.
Louis dit : "Repose-toi. Ce soir, on va admirer tes grosses mamelles de vache"
Louis et Eva préparaient Horty pour le show du soir. Talons aiguilles, plug anal et vaginal, ceinture de chasteté, le corset mettait en valeur les 2 énormes obus mammaires d'horty.
Le souffle d'Horty s'accéléra tandis qu'Eva resserrait la dernière sangle de sa ceinture de chasteté, le métal froid pressant contre sa chatte gonflée. Le plug anal, déjà profondément enfoui, bougeait en elle à chaque pas. Ses seins se tendaient contre le corset, la courbe de chaque sein gonflé de silicone accentuée par les baleines, les tétons raidis sous le tissu transparent de son haut.
Eva maquilla Horty de façon outrancière, Horty a ressemblait une strip-teaseuse de Las Vegas.
Eva recula, un sourire narquois, admirant son travail. « Parfait », ronronna-t-elle en passant un ongle sur le sternum d'Horty, traçant la vallée entre ses seins. « Maintenant, bouge comme la salope que tu es».
Horty arriva au bord de la piscine et les invités étaient assis sur les transats. La musique disco-funk démarra, Horty se trémoussait et dansait sans réfléchir, heureuse d’être la vedette du soir.
La musique pulsait tandis qu'Horty se balançait vers le bord de la piscine, les yeux rivés sur elle. Les basses vibraient à travers ses talons, ses hanches ondulaient en ondulations exagérées, le plug en elle frottant juste à chaque mouvement.
Elle cambra le dos, laissant ses seins rebondir librement une seconde avant que le corset ne les ramène, suffisamment pour l'exciter, pas assez pour soulager la pression. La sueur perlait entre les seins, une odeur d'excitation intense l'entourait.
Puis elle les vit.
Deux silhouettes massives se tenaient derrière les chaises longues, les bras croisés, les muscles tendus sous des t-shirts noirs serrés. Leurs regards la brûlaient, sans ciller. Horty ralentit le mouvement des hanches, se mordant la lèvre tandis que l'un d'eux, le plus grand, laissait son regard parcourir son corps, s'attardant sur la façon dont ses fesses se serraient autour du plug.
L'autre esquissa un sourire narquois, murmura quelque chose d'une voix basse et riche. Horty ne comprenait pas les mots, mais la faim qui les traversait était indéniable.
Elle ne réalisa qu'elle avait arrêté de danser que lorsque la main d'Eva se referma sur ses fesses, ses ongles s'y enfonçant. « Continue », siffla Eva. « Tu n'as pas fini. »
Horty obéit, mais son rythme était différent maintenant, plus lent, plus mesuré. Chaque mouvement de hanches n'était plus réservé à la foule. C'était une invitation.
Et les gardes observaient. Ce sont les nouveaux gardiens de la villa, 2 togolais grands et musclés.
Horty pivota face aux deux hommes, ses seins rebondissant lourdement sous le corset tandis que ses talons aiguilles enfonçaient dans le béton chaud de la piscine. Les gardes ne sourcillèrent pas, leurs yeux sombres traçant une ligne lente entre son décolleté distendu et le plug métallique qui luisait entre ses cuisses.
« T’as remarqué comme elle les regarde ? » murmura Eva à Louis, un sourire vicieux aux lèvres. Elle tira sur la chaîne de la ceinture de chasteté, forçant Horty à avancer d’un pas traînant vers les Togolais.
L’un d’eux cracha par Horty avant de l’attraper par la taille, ses doigts s’enfonçant dans la chair molle de ses hanches.
"Elle danse comme une pouliche saoule," grommela-t-il en poussant son bassin contre le sien, tapotant le plug anal contre son abdomen. L’autre garde se leva, débouclant son ceinturon d’un geste lent tandis que les invités raillaient, excités.
Horty sentit le cuir glisser le long de ses cuisses avant que la bouche chaude du second homme n’engloutisse son téton, aspirant brutalement à travers le corset. Elle cria quand ses dents serrèrent le tissu, tirant le sein gonflé vers le haut jusqu’à ce que les coutures gémissent.
Eva éclata de rire en réglant la musique plus fort. "Montre-leur comment une vraie salope garde son public."
Le dos d'Horty se cambra tandis que la langue du Togolais s'abattait sur son téton gonflé, le tissu humide du corset frottant contre sa chair hypersensible. L'autre garde lui tira les hanches contre les siennes, le plug d'acier se déplaçant en elle tandis qu'il pressait sa bite durcie contre son cul.
« Putain, elle dégouline à travers la ceinture de chasteté », grogna Eva en se baissant pour effleurer le métal trempé entre ses cuisses. Un nouveau jet de liquide jaillit de l'urètre d'Horty, coulant en filets le long du pantalon du garde tandis qu'il se frottait contre elle.
Le deuxième garde libéra finalement son téton d'un slurp obscène, laissant le tissu tendu et luisant. Sans prévenir, il saisit ses deux seins, les serrant doucement.
« Il faut la traire », grogna-t-il, ses pouces appuyant cruellement sur ses aréoles.
Derrière eux, Eva dégrafa le corset d'Horty avec un claquement sec. Ses seins se détachèrent, claquant contre son ventre avec une force telle qu'elle en haleta.
« C'est l'heure du spectacle », dit Eva en lançant une bouteille d'huile à l'invité le plus proche. « Qui veut tester ses nouvelles capacités ? »
Louis ordonne à Horty de se mettre a genoux et de sucer les gardiens africains. Soumise et curieuse, Horty sort avec stupéfaction les 2 monstrueux membres, encore plus épaisses et longues que la queue de son maître. Leurs couilles gonflées sont aussi énormes.
Eva dit à louis : « incroyable, regarde ces bites encore plus grosses et longes que toi Louis »
Louis répondit : "oui , c'est pour ca que je viens de les recruter"
Les deux Noirs grognent en synchronie, leurs mains agrippant les cheveux d’Horty pour pomper plus profond. Elle s’étouffe, sa bouche étirée autour d’une bite longue comme son avant-bras, tandis que l’autre queue glisse entre ses seins siliconés, lubrifiée par sa salive.
"Allez, salope, montre-nous tes talents de videuse !" rugit Louis en se masturbant frénétiquement, son gland luisant de pré-éjaculat.
Horty obéit, alternant bouche et poitrine avec une précision obscène. Les Togolais halètent, leurs testicules gonflées cognant son menton à chaque coup de reins.
Soudain, Eva hurle : "Maintenant, déchargez !"
Les premiers jets frappent le front d’Horty en claquant comme des fouets. Le second garde vise ses cils, la semence chaude giclant jusqu’à ses lobes d’oreilles. La force des jets des noirs est surprenante, ils aspergent tout le visage et les cheveux. La quantité de jute est phénoménale. Ils éjaculent une dizaine de jets sur le pauvre visage de la streameuse.
Son front est recouvert de sperme qui glisse sur ces sourcils,Horty ferme les yeux ses paupières sont inondés de sperme. De longs filets de sperme glissent le long de son nez.
Louis et le docteur achèvent le tableau, leur sperme épais s’écrase sur ses joues, dégoulinant en filaments gluants sur son cou et sur ses seins.
Eva s’agenouille devant son visage souillé, étale tout le sperme sur le visage d’horty, ses mains sont pleines de sperme et se mets à masser les gros seins avec le jus des 4 hommes et murmure : "T’as mérité ta place ici, poupée."
17eme chapitre : Horty pute au foyer
Horty se réveille ce matin, elle est contente c'est son jour d'anniversaire. Louis lui dit : Pas de gym ce matin, mets un petit plug anal, pas de corset, ni de ceinture. mets une robe simple. Dans la salon, Horty découvre plein de boites cadeaux et des sacs de toutes les couleurs.
Louis : « Surprise, mon cœur !! »
Horty ouvre ses cadeaux et découvre stupéfaite des robes sublimes de grands créateur, des parfums de luxe, de la lingerie sublime, des bijoux magnifiques. Elle tremble d’excitation et pleure de joie.
Horty essuie ses larmes d’émotion, ses doigts tremblants effleurant la soie d’une robe Dior.
Louis : « Bonne anniversaire Hortense, tu le mérites largement, tu es extraordinaire, je te fait souffrir souvent, mais tu compte beaucoup pour moi ».
"Louis, je... je savais pas que tu..." Sa voix se brise, submergée par la gratitude.
Louis éclate de rire en sortant de la cuisine, un plateau de champagne à la main. "Faut pas t’habituer, Hortense. Demain, c’est retour aux ceintures de chasteté et aux fessées."
Il décapsule une bouteille de Dom Pérignon, le bruit sec faisant sursauter Horty.
Louis attrape un écrin noir, l’ouvre devant elle. Un collier en diamants, bien plus qu’un bijou. Puis il ouvre une petite boite noir, une gourmette gravée "Property of Louis" brille sous la lumière.
"Pour te rappeler qui est ton maître, même quand je te gâte." Il le clipse autour de son poignet, le métal froid contre sa peau.
Horty porte une main à sa gorge, sentant le plug anal bouger légèrement sous sa robe simple. "Merci Maître" murmure-t-elle, ivre de bonheur et de soumission.
Louis lui tend une coupe : "À ta santé, poupée. Vive Nous."
Après avoir mangé, Louis s’allonge dans le canapé, un verre de whisky à la main, tandis que Horty s’agenouille docilement à ses pieds. Sa poitrine hypertrophiée, gonflée à 2000cc de silicone, repose lourdement sur ses cuisses, ses mamelons percés dépassant à peine de sa robe trop serré. Elle le regarde avec des yeux pleins d’adoration, sa bouche légèrement entrouverte.
« Pour fêté ton anniversaire, j'ai engagé pour l’après-midi une coiffeuse, une manucure et esthéticienne. Elles vont te relooké ». Surprise, Horty est à la fois inquiète, stressée et folle de joie.
Louis continue : « Par contre, la coiffure et le maquillage, je pense qu'il faut oublier l'ancienne Horty gothique, mascara épais et eyeliner vulgaire, ainsi que les cheveux noirs avec tes mèches rouges.
« Alors, ma petite idiote, tu es contente ? » murmure-t-il en saisissant une poignée de ses cheveux noirs aux mèches rouges répandues, tirant juste assez pour qu’elle frissonne. « Tu vas enfin ressembler à ce que tu es vraiment : une putain de bimbo. Blonde. Et encore plus bonne à baiser. »
Horty rougit, son cœur battant si fort qu’il fait trembler ses implants. « Oui, Maître… Tout ce que vous voudrez. » Sa voix est douce, émerveillée, comme si Louis lui offrait le monde.
Il sourit, glissant une main sous son corset pour pincer un mamelon durci. « Tu sais que tu ne pourras pas toucher à cette chatte pendant qu’elles te transformeront. Et si tu mouilles trop, je te punirai. »
Elle gémit, sentant déjà son corps lui désobéir. « J’essaierai, Maître… »
« Bien. Maintenant, attends comme une bonne chienne. Elles arrivent. »
La sonnette retentit, et Louis se lève avant de donner une petite tape sur la joue de Horty.
« Reste là. »
Les trois femmes entrent, valises et sacs professionnels à la main, et s’arrêtent net en apercevant Horty agenouillée sur le tapis, sa poitrine démesurée écrasée contre ses cuisses. La coiffeuse, une brune aux lèvres charnues, éclate de rire. « Putain, mais c’est quoi ce délire ? On dirait une poupée gonflable moche ! »
L’esthéticienne, une rousse au regard acéré, s’approche et tire sur le corset, le faisant claquer contre la peau de Horty. « T’as vu la taille de ces nichons ? T’as peur qu’on te les loupe, ma chérie ? »
Horty baisse les yeux, rouge de honte, mais ne dit rien.
La manucure, une blonde aux ongles violets, attrape sa main et éclate de rire devant ses faux ongles noirs écaillés. « Ah ouais, c’est le style gothique cheap. On va te refaire ça en rouge vif, poupée. Du vernis qui brille comme une star du porno. »
Louis sourit, sirotant son whisky. « Allez-y, mesdames. Transformez-moi cette chose en une vraie salope. »
Horty serre les dents quand la coiffeuse applique la décoloration. Son cuir chevelu brûlent, mais elle reste immobile. Une bonne chienne ne pleure pas.
La coiffeuse agrippe les cheveux d'Horty, lui tirant la tête en arrière tandis qu'elle applique le décolorant sur ses racines foncées. La brûlure la fait gémir, mais elle n'ose pas se dégager. L'esthéticienne se penche, lui épilant les sourcils en arcs hauts et moqueurs tout en claquant de la langue.
« T’as des pores larges comme des cratères, ma belle. Ça va prendre du travail. » Elle étale un masque épais sur le visage d'Horty, l'odeur acide lui faisant pleurer les yeux.
La manucure écarte les doigts et lime ses ongles à coups brusques. « Regarde-moi ces mains de traînée. On va te donner une vraie classe de pute de luxe. » Le vernis qu'elle applique est rouge pompier, brillant comme du sang frais.
Horty tremble pendant qu'elles travaillent, son corset s'enfonçant davantage à chaque respiration. La blonde rit en la prenant en photo avec son téléphone. "Avant-après, chérie. Tu vas adorer être stupide."
Louis regarde, amusé, faire tourner son verre. "Faites-la souffrir un peu. Elle aime ça."
Les cuisses d’Horty se serrent l’une contre l’autre, elle est mouillée, honteuse et obéissante. Exactement comme il la veut.
La coiffeuse attrape le menton d'Horty et lui tourne le visage d'un côté à l'autre pendant que le décolorant agit. « T'es moche à pleurer, mais on va te rendre tellement conne que les mecs vont t'adorer. » Elle esquisse un sourire narquois, arrachant une mèche rebelle du front d'Horty d'un coup sec.
L'esthéticienne retire le masque d'un geste sadique, révélant une peau rouge et hypersensible. « Voilà, une vraie escorte de luxe maintenant. » Elle gifle légèrement la joue d'Horty , légèrement, juste pour la voir tressaillir.
La manucure écarte largement les orteils d'Horty, peignant chaque ongle du même rouge brillant, « Comme ça, même tes pieds diront que t'es une salope. »
La coiffeuse resserre les mèches imbibées de javel. « T'inquiète, chérie. Bientôt, t'auras plus que ton cul pour réfléchir. »
Le corset craque sous les seins d'Horty qui se crispent, ses tétons raidis sous la dentelle. Les femmes rient, l'encerclant comme des vautours.
Louis se penche et lui mordille le lobe de l'oreille. « T'es parfaite. »
Elle le croit.
Après plusieurs heures de travail, Louis et les 3 femmes admirent le résultat. Horty ressemble à une escorte de luxe pour milliardaires russes.
Les trois femmes ramassent leurs affaires en gloussant, lançant des regards méprisants à Horty. "Bon courage pour te faire baiser avec cette tête, poupée," ricane la coiffeuse en claquant la porte derrière elle.
Le silence retombe, l’odeur flotte lourd de vernis et de décolorants. Louis passe une main dans les cheveux blonds peroxydés de Horty, encore chauds du fer à lisser. "Regarde-toi," murmure-t-il en la tournant vers le miroir.
Le reflet est étonnant : lèvres légèrement pulpeuses rose bonbon, cils en éventail, courbes artificielles moulées dans un bustier en PVC noir. Ses seins, gonflés à l’extrême, débordent de chaque côté comme deux ballons prêts à éclater.
Louis la rassure et la prends dans ses bras, dit : " Voila la Hortense de mes rêves, tu es mon phantasme maintenant, Tu rends ton maître fier de toi, tu es sublime"
Horty cligne des yeux, étrangère à elle-même.
Louis presse sa paume contre son ventre, sentant le corset creuser sa taille sous la pression. "Tu es exactement ce que je voulais," grogne-t-il à son oreille. "Une salope en plastique. Ma salope."
Elle frissonne quand il trace un doigt sur son décolleté brillant, là où la transpiration perle entre ses faux seins.
"Merci, maître," bredouille-t-elle.
Il attrape une poignée de ses cheveux, tirant assez pour faire arquer son cou. "Prête à montrer ça au monde ?"
Ses ongles rouges se plantent dans ses propres cuisses. "Oui, Maître."
Le sourire de Louis est vicieux telle une promesse sale. "On va tellement t’utiliser."
par MonsieurLouis
Préambule :
Le texte suivant est une fanfiction pornographique mettant en scène la youtubeuse/streameuse Horty aka HortyUnderscore. Ce récit de 100 pages est strictement réservé aux adultes avertis, il contient des scènes très crues et pornographiques. Ce texte est libre et partageable (tant que vous modifiez pas le contenu) , et a été partiellement rédigé par une IA (30 % du récit).
- Je recherche des traducteurs bénévoles pour le traduire en anglais et dans toutes les langues possibles.
- Je recherche aussi des illustrateurs bénévoles.
Cette fanfiction ne contient pas de scènes pédopornographies, ni zoophiles, ni scatologiques. Tous les personnes décrit dans ce texte sont majeurs. C’est une fiction, loin de la réalité.
14eme chapitre : Horty fistée
Le soleil tape sur la peau encore sensible d’Horty, les tatouages luisants de baume frais. Ce matin, le tatoueur étant parti, elle étire ses jambes allongée sur le transat, avec une lenteur voluptueuse, faisant cliqueter les anneaux de ses grandes lèvres contre le métal chaud.
Louis passe une main possessive sur les lettres "ESCLAVE" encore rougies sur sa fesse droite. Il est très satisfait des tatouages et des piercings d'horty. Il la complimente sur son look et sur son docilité.
"Tu es parfaite, j’aime quand tu m’obéis " murmure-t-il, pinçant un téton percé jusqu’à la faire gémir. "Un vrai tableau."
Horty sourit, les lèvres humides, et se cambre pour lui offrir sa poitrine. "Je suis ta chose, ton esclave, tu peux tout exiger de moi." dit-elle fière et heureuse.
Louis éclate d’un rire rauque, attrapant une poignée de ses cheveux. "Bah, justement cet après-midi, j’ai envie de te détruire le cul."
Elle frissonne, sentant déjà la brûlure promise entre ses cuisses. "Comme il vous plaira, Maître Louis."
D’un geste, il la fait se lever. Il sort de sa poche un buttplug de taille moyenne.
"Penche toi. Montre-moi comment tu accueilles ton nouveau maître."
Horty obéit, le souffle court, présentant ses fesses marquées. La première poussée déchire un cri rauque de sa gorge, la douleur et la soumission coulent dans ses veines comme une drogue. Il rentre le plug moyen avec facilité.
Ils marchent vers le donjon, ses pas traînant volontairement pour que les plugs dans ses lèvres et le plug anal frottent à chaque mouvement. La porte en acier se referme dans un claquement sourd.
Toujours avec le sextoy dans le cul, elle monte sur le fauteuil gynécologique. En relevant une jambe, le plug sort de son cul et tombe par terre. Horty rougit et s’excuse.
Louis rigole : "Ton trou de balle est tellement dilaté, qu’il ne retiens plus rien", "on va passer aux choses sérieuses". Louis l'attache fermement au fauteuil.
Louis approche le gros seau de lubrifiant. Il se saisit du plus large spéculum, de quelques gros buttplugs, et d'un dizaine de godes énormes.
Horty claque des dents quand Louis écarte ses fesses à deux mains, le spéculum froid frôlant son trou béant. "Regarde ça," ricane-t-il en forçant l'outil métallique entre ses fesses. Les mâchoires s'écartent avec un « click» sinistre, exposant ses dessins tatouées en pleine lumière crue.
Elle sent le lubrifiant glacé couler en ruisseaux épais sur son rectum distendu, préparant le terrain. Louis desserre le spéculum, puis le retire, un pet discret se fait entendre.
Le premier plug,aussi large qu'une poing, s'enfonce sans résistance. Louis grotte de satisfaction en le poussant du bout des doigts jusqu'à ce qu'il disparaisse jusqu’à la base. "T'es faite pour ça, ma chienne. Un vrai trou à merde."
Le deuxième plug suit, plus gros, strié de nervures. Horty hurle quand il écartèle ses muscles, ses doigts s'accrochant aux sangles en cuir. Le plug moyen gît toujours par terre, inutile maintenant que son cul avale tout sans effort.
Louis attrape le troisième jouet, un godemichet noir veiné, épais comme une bouteille. "On va voir jusqu'où ça rentre," murmure-t-il en alignant la pointe lubrifiée. La première pression fait jaillir des larmes.
Le godemichet noir s’enfonce avec une lenteur sadique, chaque centimètre écartant davantage son rectum déjà distendu. Horty gémit, le silicone du gode écartèle ses parois internes tandis que Louis pousse sans pitié.
"Respire, salope," grogne-t-il en lui donnant une claque sur la hanche. "T’es à moitié pleine, là."
Un nouveau flot de lube coule sur la base du gode, facilitant son entrée brutale. Horty sent ses muscles se déchirer presque, la douleur aiguë se mêlant à une jouissance perverse. Ses doigts tremblent sur les sangles, les jointures blanchissant sous l’effort.
Louis enfonce enfin le dernier centimètre, le godemichet disparaissant totalement en elle. "Putain, regarde-moi ça," souffle-t-il, émerveillé, en tapotant le gode pour faire le vibrer. "On pourrait presque y fourrer une bouteille entière."
Lâchant le gode, aidé par le flot de lubrifiant, le sextoy ressort tout seul. Louis saisit un plug encore plus large, cette fois cannelé et surmonté d’un bulbe épais.
"Allez, encore un petit effort…" murmure-t-il en l’alignant contre l’ouverture béante. Horty serre les dents, anticipant l’étirement insensé
Le plug cannelé arrache un cri rauque à Horty quand il éclate en elle, le bulbe distendant son anneau anal à l’extrême. Louis pousse de tout son poids pour le faire rentrer et forcer le passage, jusqu’à ce que la base s’encastre avec un bruyant « clac ».
Horty gémit quand la base du plug est atteint. Louis fait une pause, il va chercher 2 godes énormes, l'un en forme de queue d’âne et l'autre de cheval. Horty blêmit en voyant la largeur et surtout la longueur extrême des jouets.
"C’est rien, ça," ricane-t-il en brandissant les deux monstres en caoutchouc. La queue d’âne , épaisse comme une bouteille de vin, pend lourdement entre ses mains. "On va te remplir pour de bon."
Louis retire doucement le buttplug qui fait un bruit obscène de "POP". Hortense halète en sentant le plug géant être arraché d’un coup sec. Son cul claque béant, vidé, l’air frais mordant ses muqueuses à vif.
La pointe de la queue d’âne, déjà ruisselante de lube, se presse contre son orifice enflé. Louis pousse sans préambule. Les veines du jouet s’engouffrent une à une, déchirant davantage le muscle déjà martyrisé. Horty se cambre, les sangles craquant sous l’effort, ses seins artificiels ruisselant de sueur.
"Attends… attends," dit l’ex streameuse.
Il n’écoute pas. Il pousse le gode d’âne, de plus en plus loin, il fait des allers retours rapides pour assouplir le cul dilaté. Faisant pression sur la base, les 35 centimètres du gode disparaît enfin dans les entrailles d’Horty, déclenchant chez elle une vague de plaisirs anales insoupçonnées.
Louis dit « Pousse maintenant pour éjecter la bite en caoutchouc, pousse comme pour chier ». Sous sa pression, le gode sort de son cul et tombe par terre. Un vague de lubrifiant sort de son anus béant.
Le sphincter, rougi par la grosse dilatation, ressemble à une bouche ouverte, le bordure de son anus est boursouflé. Il palpite mais reste béant, prêt pour la suite.
Louis se saisi du gode de cheval avec ses lourdes couilles en caoutchouc, il promet des profondeurs inexplorées. Horty hurle quand la pointe épaisse lui transperce les entrailles, chaque pouce de la queue de cheval enfoncé avec une brutalité calculée.
Vicieux et sadique, Louis enfonce les 20 premiers centimètres dans le cul ravagé d’horty. Puis ressort et re-rentre plusieurs fois en poussant fermement le gode; les 20 derniers centimètres arrachent des hurlements de douleur et de plaisir à Horty.
Le poids des couilles en caoutchouc claque contre ses fesses, les faisant osciller sous l'impact. Louis grogne, arc-bouté sur elle, utilisant son coude pour forcer les derniers centimètres.
"C’est ça, prends-la toute…" Sa voix est rauque, tendue par l’effort. La veine saillante sur son front trahit son excitation sadique.
Les nœuds du jouet s’enfoncent un par un, distendant son rectum au-delà du possible. Un filet de lube et de fluide anal coule le long de ses cuisses tremblantes. Horty sent son ventre se soulever, déformé par l’énormité du gode.
Louis attrape la base, commence à tirer, lentement, pour que chaque relief gratte ses parois enflammées. "Tu vas sentir celui-là pendant une semaine."
Il laisse échapper un rire bas quand elle se met à pleurer.
Louis fait des va et vient avec la queue de cheval, le poussant à fond avant de la sortir complètement. Le sphincter d'horty ne résiste plus, au petit prolapsus rouge apparaît, son cul est béant, le pourtour de l'anus est rouge et ourlé.
Louis : "connais tu la phase suivante en montrant sa main lubrifié".
Horty : "Oui Maître, FISTE MOI !!"
Louis n’a pas besoin qu’on le lui dise deux fois. Il repose la queue de cheval, laissant Horty tremblante, son anus évasé palpitant, rouge vif et béant. La cyprine coule de sa chatte en filets épais sur ses cuisses.
Il aligne ses doigts, serrés en forme de cône, et appuie contre l’orifice distendu. La résistance est minime, son poing enfonce les premiers centimètres avec une facilité obscène. Horty grince des dents, ses ongles labourant le cuir des sangles.
"Souffle," grogne-t-il en forçant davantage, les jointures écartant les chairs à vif. L’anus humide, pleine de lubrifiant, l’engloutit jusqu’au poignet.
Elle hurle quand il tourne sa main, étirant encore plus son intestin. Les veines de son cou saillent, ses seins en silicone frémissent à chaque saccade. Louis sent les spasmes autour de son avant-bras, le muscle déchiré essayant désespérément de se refermer.
"Regarde-moi ça," il râle, enfonçant son poing jusqu’à ce que ses os pressent contre la paroi abdominale. Le ventre de Horty se soulève, distendu par la masse.
Il commence à pomper, lentement d’abord, puis plus sauvage, son poing labourant ses entrailles avec une précision brutale.
"Tu es faite pour ça."
Des larmes coulent sur ses joues, mais ses hanches se soulèvent, avides, quand il retire complètement sa main, laissant son cul béant, ouvert comme une plaie humide. Horty jouit bruyamment, secouée par de spasmes incontrôlés.
Horty pensait que la séance était terminé, mais Louis regardait son chef d’œuvre.
Horty halète, épuisée, son corps couvert d'une fine pellicule de sueur. Mais Louis ne la lâche pas. Sa main sortant de son cul, le laissant béant et tremblant, Louis commence à glisser ses doigts entre ses lèvres gonflées.
Sa chatte est trempée, mais peu serrée, ses jointures s’enfoncent lentement, étirant sa fente au-delà de sa capacité naturelle. Elle crispe les doigts de pieds, un gémissement rauque lui échappant quand il enfonce les dernières phalanges.
"Tu te crois encore à l’abri ?" Sa voix est un grondement sadique.
Sa première main s’enfonce dans le vagin d’Horty jusqu’au poignet, en bougeant ses doigts à l’intérieur afin de la faire gémir d’avantage.
De son autre main, ses doigts titillent l’anus ouvert de sa soumise. Rapidement le poing s’enfonce dans le rectum, frottant contre le premier à travers la paroi fine qui les sépare.
L’anus de sa soumise résiste un peu surtout gêné par la présence de l'autre main dans son vagin. Horty se cambre, les veines de son cou saillantes, ses implants mammaires soulevés par la tension.
Louis tourne ses poings en sens opposé, broyant ses entrailles avec une jouissance palpable. Le bruit humide de chair distendue résonne dans la pièce.
"T’es encore trop étroite."
Il accélère le rythme, ses avant-bras couverts de fluides mêlés, labourant ses trous avec une brutalité méthodique.
Louis alterne les fists vaginales et anales, en tournant de façon sadique ces mains dans les orifices d'horty. Entrant et sortant dans ses orifices, Louis continue implacablement son double fist. Horty tremble de tout son corps, Elle jouit, et crie son bonheur.
Sentant que Horty jouit, Louis retire violemment ses mains des trous d'horty. Horty suffoque, blêmit,tourne des yeux, Elle éjacule, tout le lubrifiant et sa mouille partent en plusieurs jets.
Horty se convulse, son corps secoué par des vagues de plaisir brutales. Ses cris s'étranglent quand Louis re-enfonce ses poings jusqu'aux poignets, les veines de ses avant-bras saillant contre ses parois internes.
"Dé, Défon, ce -Moi" Sa voix se brise en un sanglot rauque.
Les doigts de Louis s'agitent dans ses entrailles, cherchant chaque centimètre de chair sensible. Un dernier spasme la traverse quand il arrache ses mains d'un coup sec, son ventre palpite, son cul et sa chatte béants se contractant violemment dans le vide.
Un jet épais gicle de ses trous distendus, suivi de deux autres, projetant un mélange de lubrifiant et de fluides sur le sol. Ses yeux roulent avant de se fermer, son corps s'affaissant comme une poupée de chiffon.
Horty s’évanouit.
Louis observe, impassible, ses mains luisantes. Il passe un doigt sur son poignet, ramassant une traînée translucide et dit : "Pas mal."
15eme chapitre : Horty lesbienne
Le lendemain, La porte de l’appartement de Louis s’ouvre sur le docteur Beshine et sa femme Eva, silhouettes imposantes dans l’encadrement. Horty, assise sur le canapé, tortille nerveusement ses doigts. Son corset laisse à peine passer sa respiration, ses faux seins tendant le tissu à craquer.
"Bienvenue, docteur," dit Louis, un sourire dominateur aux lèvres. "Il est tard. L’injection attendra demain."
Eva ne perd pas de temps. Elle s’approche d’Horty, pose une main sur sa joue, et l’embrasse à pleine bouche. Leurs langues s’entrechoquent, baveuses, bruyantes. Horty gémit, ses joues rougissent.
Horty frémit sous les doigts avides d’Eva, son corps encore sensible des excès de la veille. La ceinture métallique lui cisaille les hanches, les godes géants enfoncés en elle pulsant à chaque mouvement.
Tout en en malaxant la poitrine d’horty, Eva dit : « encore trop petits ses nibards, il lui faudrait des gros nichons de pute. »
"Je peux la baiser ?" demande Eva, tournée vers Louis, ses doigts déjà sur la fermeture éclair du corset.
"Pas de problème. Le docteur et moi, on va regarder."
Eva déshabille Horty avec une efficacité brutale. La robe tombe, révélant une peau marquée de tatouages obscènes et de piercings qui scintillent sous la lumière. La ceinture de chasteté en métal, verrouillée à sa taille, maintient deux énormes godes vibrants en place. Eva sifflote d’admiration devant le spectacle.
"Putain, t’es prête à te faire dilater, toi," murmure-t-elle en enfonçant un doigt dans l’anneau de la ceinture, faisant claquer le métal contre le ventre d’Horty. La streameuse halète, déjà tremblante.
Louis et le docteur s’installent sur le canapé, prêts pour le spectacle.
"Tu les sens bien, tes jouets ?" murmure Eva en faisant glisser ses ongles sur le corset, laissant des marques rouges. Elle attrape un sein implanté, le malaxe avec brutalité. "Beshine va te les faire exploser demain."
Le chirurgien observe, impassible, ajustant ses lunettes tandis que Louis allume un cigare. "2000cc minimum," commente-t-il.
Eva défait le corset d’un geste vif. Louis donne la clé à Eva pour qu’elle ouvre la ceinture. Les godes vibrent violemment quand ils glissent sur le sol, révélant une chair rougie, dilatée.
Elle plaque Horty contre le mur, collant leurs bouches en un baiser baveux. "Je vais te refaire les trous moi-même," halète-t-elle entre deux léchages sadiques.
Louis sourit, soufflant une bouffée de fumée. "Faut juste pas qu’elle saigne sur le tapis."
Eva gifla Horty d’un revers de main sec, laissant une marque rouge sur sa joue. Un crachat atterrit sur son front avant qu’Eva ne l’attrape par les cheveux, tirant brutalement jusqu’à ce qu’Horty s’effondre à genoux dans un gémissement.
"Je vais te détruire ce soir," grogna Eva en la traînant au centre du salon, devant le canapé où Louis et le docteur observaient, impassibles. "J’vais éclater tes trous. Tu vas souffrir."
Horty leva des yeux tremblants vers Louis, mais ne trouva qu’un sourire approbateur.
"Maître Louis," lança Eva d’une voix rauque, "amenez-moi vos plus gros godes. Et le lubrifiant."
Elle se pencha, saisissant le menton d’Horty. "J’ai ramené des godes-ceintures énormes… rien que pour toi." Ses doigts pinçaient un mamelon percé, faisant jaillir un cri.
Louis revint avec un sac noir, l’ouvrant pour révéler des godemichets monstrueux et un pot de lubrifiant épais. Eva saisit un jouet, le faisant claquer contre sa paume avec un sourire sadique. « On commence par celui-là. »
Eva ne laissa pas à Horty le temps de réagir. Elle oblige Horty à s’allonger sur la table basse, elle lui écarta violemment les jambes d’un coup de genou, puis versa une généreuse quantité de lubrifiant sur le godemiché et sur sa chatte, faisant couler l’excès entre les cuisses tremblantes de la streameuse.
"T’as intérêt à pousser, salope," murmura-t-elle avant d’enfoncer la pointe du jouet contre l’orifice dilaté d’Horty. Un cri de plaisir s’échappa de ses lèvres tandis que le silicone énorme commençait à s’élargir en elle, distendant ses muscles tendus de son vagin.
Sur le canapé, Louis glissa une main dans son pantalon, les yeux rivés sur le spectacle. Le docteur Beshine croisa les bras, fasciné par la façon dont le ventre d’Horty se soulevait déjà sous la pression.
Eva poussa plus fort, forçant chaque centimètre avec une lenteur cruelle. "Regarde comme tu prends ça... comme une vraie chienne.". Horty suffoquait, ses doigts s’agrippant au tapis, son corps secoué de spasmes incontrôlables.
Eva retira le godemiché d’un mouvement sec, laissant échapper un rire rauque en voyant les lèvres gonflées d’Horty trembler, béantes.
"Ça rentre comme dans du beurre," ricana-t-elle en tapotant le jouet contre la cuisse ruisselante de lubrifiant de la streameuse. "Trop petit. Maître Louis, donne-moi le suivant."
Le suivant était plus large, une bête de silicone veinée dont la seule vue fit hoqueter Horty. Eva n’attendit pas. Elle l’enfonça d’un coup net, coupant le gémissement de la jeune femme en pliée en deux.
Les hanches d’Horty se soulevèrent instinctivement, son ventre se courbant sous la pression. Eva fixa, fascinée, le spectacle de son vagin absorbant la masse sans presque résister.
"Putain, t’es une vraie gourde, ta chatte est un gouffre" souffla-t-elle en enfonçant plus profond, sentant les muscles chauds se resserrer puis céder autour de la grosseur.
Louis s’était rapproché, son pantalon maintenant ouvert, une main crispée sur son érection.
"Elle t’avait prévenue," murmura-t-il à l’oreille d’Eva. "Regarde, son ventre se déforme."
En effet, sous la peau tendue d’Horty, l’ombre du godemiché se devinait, distendant son petit corps. Eva accéléra les coups, chaque poussée faisant claquer leurs peaux, les gémissements devenant des cris rauques.
"Tu vas prendre plus," promit Eva, les doigts agrippés aux hanches d’Horty pour l’empêcher de fuir. "Beaucoup plus."
Eva retira brutalement le godemiché, laissant le vide brûlant dans le ventre d'Horty se contracter avant de l'emplir à nouveau d'un coup sec. La streameuse hurla, ses ongles labourant le tapis, son ventre palpitant sous la masse qui le déformait.
"Regarde-toi," gronda Eva en enfonçant une main dans les cheveux d'Horty pour forcer son regard vers son propre torse. Entre ses cuisses écartées, son orifice distendu suintait de lubrifiant, frémissant autour de la base du jouet.
Louis s'accroupit derrière Horty, une paume moite glissant sous son décolleté pour y agripper un sein gonflé de silicone. "Elle peut encore prendre plus," dit-t-il en mordant l'oreille de sa soumise, son autre main pressant son ventre tendu.
Le godemiché suivit la pression, s'enfonçant plus profond, jusqu'à ce que le renflement soit visible juste sous les côtes. Horty vomit un mélange de sanglots et de jurons, ses muscles se contractant en vagues désespérées autour de l'intrusion.
Eva tourna la tête vers Beshine, un rictus sauvage aux lèvres.
"Docteur, vous avez un avis professionnel ?"
Ce dernier ajusta ses lunettes, impassible. "La dilatation est remarquable. Mais la cavité pelvienne suggère des possibilités... plus ambitieuses."
Eva éclata de rire, retire le jouet et attrapa un godemiché encore plus large sur la table.
Eva fit tourner le nouveau godemiché entre ses doigts, son regard féroce fixé sur le ventre palpitant d’Horty. "Tu vas sentir celui-ci," murmura-t-elle avant d’enfoncer la pointe du jouet contre l’orifice déjà distendu.
Horty hoqueta, ses doigts s’accrochant au tapis alors que le silicone épais forçait son chemin, écartant ses muscles au-delà de leur limite. Eva poussa en avant sans pitié, le godemiché s’engloutissant lentement tandis que le ventre d’Horty se bombait davantage, la peau étirée jusqu’à la transparence.
Louis grogna derrière Horty, sa main quittant son sein pour glisser sur ses épaules, afin d’empêcher l’ex streameuse de reculer. "Regarde comment tu te dilate," murmura-t-il, haletant.
Un gargouillis mouillé s’échappa du vagin d’Horty alors que le godemiché atteignait sa base, son orifice béant claquant contre le silicone. Son corps entier tremblait, des perles de sueur coulant le long de ses côtes saillantes.
Eva claqua des doigts devant son visage en larmes. "Tu n’as pas fini."
Eva retira d’un coup sec le jouet, laissant le vagin béant d’Horty palpiter, dilaté, luisant de lubrifiant. Elle cracha dans sa paume, mélangeant la salive au liquide qui ruisselait entre les cuisses de la streameuse.
"Opérations manuelles," annonça-t-elle avant de lubrifier sa main et d’enfoncer sans préambule quatre doigts jusqu’aux jointures. Horty gronda, sa tête tombant en arrière, mais Eva ricana. "Incroyable. Aucune résistance.". Sa main rentra sans difficulté dans son vagin.
Elle poussa plus loin, son avant-bras disparaissant à mi-longueur dans le conduit distendu, les muscles d’Horty se contractant mollement autour de sa peau comme une étreinte fatiguée. Un frisson silencieux parcourut le corps de la jeune femme, ses orteils se recroquevillant dans un orgasme étouffé.
Eva retira sa main d’un mouvement fluide, puis serra son poing, le lubrifiant d’un geste obscène. "On passe au niveau supérieur."
Le poing s’enfonça d’un coup, entrant sans effort, les jointures défonçant le vagin détruit. Horty émit un gargouillis rauque, son ventre se soulevant sous la déformation. Eva commença à boxer sa chatte, entrant et sortant à un rythme brutal, chaque coup faisant claquer leurs peaux, les lèvres tuméfiées giclant de fluide.
Louis, debout derrière, se masturbait à coups saccadés. « DEFONCEZ LA » hurla-t-il.
Eva accéléra, son poing labourant l’intérieur dilaté, les doigts d’Horty s’agrippant à la table basse comme pour fuir l’assaut.
Eva cambra son torse, ajustant l'angle de son poing pour frapper plus profond. Le bras entier disparaissait maintenant jusqu'au coude, le mouvement de va-et-vient rapide étirant Horty au-delà du possible, chaque poussée soulevait son bassin du sol, son ventre ondulant sous la forme évidente des jointures qui la ravageaient. Un filet de salive coulait de sa bouche entrouverte, ses yeux révulsés ne voyant plus rien.
Louis lâcha un juron rauque, sa main sur sa bite accélérant en synchronisation avec les coups. "Regarde comme son trou te dilate," grogna-t-il, hypnotisé par l’orifice béant qui épousait chaque mouvement d’Eva, les lèvres gonflées et violacées maintenant incapables de se refermer.
Eva percuta une dernière fois, enfonçant son poing à fond, et Horty hurla enfinun son rauque, déchiré,avant que son corps ne se mette à convulser. Des spasmes violents firent claquer ses cuisses contre les hanches d’Eva, des jets de fluide jaillissant en pulsations désordonnées.
"T’es bonne qu’à ça," murmura Eva en retirant lentement son bras, laissant le vagin ouvert d’Horty se contracter en vain autour du vide.
Eva pivota légèrement, changeant de main d’un geste expert, son poing gauche remplaçant le droit dans un mouvement fluide. Horty gémit, ses jambes tremblantes, mais Eva ne ralentit pas, elle martelait l’intérieur distendu, alternant les poings comme un piston mécanique, chaque entrée plus violente que la précédente.
"T’en veux encore, salope ?" cracha Eva, les jointures de sa main droite labourant les paroi avant de céder la place à la gauche. Le vagin d’Horty ne formait plus qu’un gouffre humide, palpitant, sa résistance presque nulle.
Puis Eva joignit ses mains, serrant les doigts en un seul poing monstrueux, les jointures saillantes sous la pression.
"On va voir ta limite."
Elle appuya des 2 mains, poussant la masse contre l’entrée béante. Un cri déchirant jaillit d’Horty ;"Non, non, arrête, je peux p..", mais Eva écrasa la protestation d’une poussée brutale. Le double poing coinça, les lèvres étirées à l’extrême, blanches sous la tension.
Un dernier coup de hanche, un bruit de chair déchirée, et les poings disparurent à l’intérieur dans un « plop » sourd. Horty hurla, son ventre distendu par la forme grotesque des mains jointes, ses pleurs se transformant en hoquets saccadés. Eva ricana, sentant les spasmes désespérés autour de ses poings.
"Fini de jouer."
Louis s’installa sur le canapé, les yeux brillants de cruauté, tandis qu’Eva retirait ses poings d’un mouvement lent et humide. La chair d’Horty se refermait par saccades, son orifice encore frémissant, luisant de fluides.
"À quatre pattes, maintenant," ordonna Eva, claquant la cuisse d’Horty pour la faire pivoter. La femme obéit en tremblant, ses avant-bras pliant sous son poids.
Eva boucla autour de ses hanches un gode-ceinture mince, son dard noir et lisse dépassant avec une longueur obscène de 50 centimètres. Horty craint le pire. Elle se planta devant le visage d’Horty, saisissant sa mâchoire d’une main. "Ouvre. Et avale."
Horty inspira un coup, mais l’habitude prit le dessus,sa bouche s’ouvrit, ses lèvres se refermant autour des 20 premiers centimètres. Elle descendit sans effort jusqu’à la moitié, ses muscles de gorge agissant par réflexe.
"Bien," murmura Eva, caressant ses cheveux d’une fausse douceur. Puis, d’un coup sec, elle enfonça les trente centimètres restants. Le godemiché disparut jusqu’à la base, le menton d’Horty touchant presque le pubis d’Eva.
Un gargouillis étouffé, des yeux qui s’écarquillaientmais Eva ne laissa pas de répit. Elle commença à pistonner, rapide et profonde, chaque mouvement déplaçant l’air dans les poumons d’horty.
Eva fis quelques aller-retours dans la gorge d'horty puis ressorti complètement. Horty respire, les yeux mouillés , son mascara et son eyeliner coulent.
Laissant Horty haleter, les lèvres tremblantes et luisantes, Eva glissa deux doigts entre ses dents avec un claquement mouillé.
"Cette pute a une bouche incroyable, un vrai gouffre à bites," ricana-t-elle en dirigeant un regard torride vers Louis.
"Mets tous les doigts," ordonna-t-il, les yeux rivés sur les lèvres étirées d’Horty.
Eva regroupa ses doigts en cône et les enfonça brutalement dans la bouche, mais la mâchoire résista. Sans hésiter, elle gifla Horty deux fois, la tête claquant sur les côtés.
"Ouvre ta gueule de salope !" cracha-t-elle avant de réessayer.
Eva remets ses doigts dans la bouche d'horty et pousse. Horty ouvre en grand sa mâchoire et la main rentre.
Horty gémit mais obéit, ouvrant grand sous la douleur. La main d’Eva s’enfonça d’un coup, les jointures raclant les dents, les doigts atteignant le fond de la gorge. Les joues d’Horty se creusèrent, ses paupières battant furieusement alors que ses réflexes de vomissement se déclenchaient, trop lentement.
Eva tourna sa main, écartant les doigts pour distendre encore plus la bouche. Un filet de bave dégoulina sur le menton d’Horty. Ses lèvres entourent maintenant le poignet d’Eva.
"Regarde-moi ça," grogna Eva à Louis, "elle va tout prendre." Il se pencha, attrapant les cheveux d’Horty pour l’empêcher de reculer, pendant qu’Eva commençait à labourer sa gorge en va-et-vient saccadés.
Le Dr. Beshine passa derrière Horty, caressant négligemment la courbe de ses fesses rougies.
"Voyons voir si son maître l’a aussi bien dressée par-derrière," murmura-t-il, écartant ses joues d’un geste expert.
Eva obéit et retire sa main. Elle se place derrière Horty (toujours à 4 pattes), et observe le cul d'horty en sifflant de surprise. Habitué au fist et port permanent de gros buttplugs, son anus est déjà ouvert.
L’anus d’Horty, déjà béant et luisant de préparation, palpitait légèrement sous l’inspection. Eva siffla entre ses dents, traçant un doigt le long du bord distendu.
"T’as pas menti, Doc," ricana-t-elle avant de saisir le godemiché extra-long.
La pointe glissa sans résistance, le cul d’Horty l’avalant jusqu’à la base en un seul mouvement fluide. Eva grogna, déçue. "Trop facile."
Elle déboucla le gode ceinture d’un geste vif, la remplaçant par le modèle à boules. Les six boules noires, chacune plus grosse que la précédente, luisaient sous la lumière. Eva pressa la première contre l’entrée, appuyant jusqu’à ce que le sphincter cède avec un pop humide.
Horty se cambra, un hoquet étranglé s’échappant de sa gorge encore remplie par Louis. La deuxième boule força son chemin, écartant davantage les muscles tendus. Par le troisième nœud, des spasmes secouaient ses cuisses, mais Eva ne ralentit pas, elle se retira d’un coup sec, envoyant les trois dernières perles d’un seul mouvement brutal.
Le ventre d’Horty se souleva, son anus étiré à blanc autour du gode. "Maintenant, on joue," chuchota Eva en saisissant la base, commençant à tirer lentement, chaque boule arrachée un à un déclenchant des gargouillis obscènes.
Le Dr. Beshine se pencha, observant les contractions désordonnées du cul d'Horty alors qu'Eva tirait les boules une par une.
"Regardez ce réflexe," murmura-t-il, enfonçant deux doigts dans l'espace entre les boules et le muscle brûlant. Il les écartait en V, exposant le rouge profond de l'intérieur distendu.
Horty hurla, son corps secoué par des frissons violents. La quatrième boule émergea avec un bruit de succion gras, laissant son trou momentanément béant, palpitant, avant que la cinquième ne le force à se refermer partiellement.
Eva rit, ralentissant exprès pour la dernière, la plus grosse. Elle la fit sortir à moitié, le sphincter d'Horty luttant vainement pour ne pas la relâcher, ses muscles rougis tremblant de tension.
"T’es pas à ton maximum, poupée," cracha-t-elle en enfonçant d’un coup sec trois doigts à côté de la dernière boule encore logée.
L’anus d’Horty se dilata violemment, avalant les doigts et la perle simultanément dans un gargouillis mouillé. Le Dr. Beshine siffla d’approbation, écartant les fesses plus largement.
"On peut aller plus loin," dit-il en enroulant sa main autour du poignet d’Eva, l’encourageant à pousser plus profond.
Horty se cambra, un son rauque déchirant sa gorge alors qu’Eva ajoutait un quatrième doigt, tordant sa main pour ouvrir le passage. Le frottement brutal des jointures contre ses parois internes fit jaillir un jet de fluide entre ses cuisses, son trou maintenant un anneau parfaitement distendu, haletant autour de la masse enfoncée.
"J’veux voir sa main entière dans ton cul avant la fin," grogna Louis en lui pétrissant les seins à pleines mains, ses doigts enfonçant les tétons gonflés. Eva répondit par un rictus sauvage, commençant à travailler son poing en cercles lents, chaque rotation écartant davantage les limites d’Horty.
Eva retira le godemiché d’un coup sec, laissant le trou béant d’Horty palpiter dans l’air, son sphincter réduit à un anneau lâche et tremblant.
"Regarde ton cul," ricana-t-elle en écartant ses fesses, révélant le prolapsus rouge vif qui s’étirait hors d’elle, cinq centimètres de chair interne luisante, pulsant faiblement.
"Maintenant, testons la profondeur," dit Louis, les yeux noirs de plaisir sadique.
Eva enduisit son avant-bras de lubrifiant épais jusqu’au coude, laissant le liquide couler en filets sur le prolapsus d’Horty. Elle posa son poing contre l’ouverture, poussant lentement.
Les jointures forcèrent le passage, écartant le rectum déjà ruiné. Horty se débattit, ses cris étouffés par la main de Louis tandis qu’Eva enfonçait son bras centimètre par centimètre, les muscles intestinaux d’Horty se contractant en vagues désespérées autour de l’intrus.
À mi-avant-bras, Eva sentit le point de résistance,le sphincter interne et y appuya sans pitié. "Ouvre-toi," grogna-t-elle en forçant son poing, déchirant l’obstacle dans un craquement humide.
Horty se cambra comme électrocutée, son ventre distendu par la masse qui s’enfonçait. Eva ne s’arrêta pas jusqu’à ce que son coude disparaisse. Eva remets du lubrifiant sur son biceps et continue de pousser sous les hurlements d’Hortense, son bras disparaissant presque dans le corps d’Horty bloqué uniquement par la largueur de son biceps.
Le Dr. Beshine siffla, palpant la forme visible sous la peau du ventre.
"Magnifique," murmura-t-il pendant qu’Eva, les dents serrées, commençait à remuer lentement son bras, étirant les limites d’Horty au-delà de l’imaginable.
16eme chapitre : Horty totalement soumise
Le lendemain matin, Horty se présenta dans le salon, elle porta une couche pour adulte car ces orifices sont encore trop dilatés, elle a des fuites.
Le docteur avait préparé son matériel, Horty s’allongea sur la table basse, sur le dos.
Le Dr. Beshine ajusta la pompe, vérifiant la tension des implants sous la peau luisante d'Horty. "On passe à 2000cc" annonça-t-il en tapotant le sein gauche, qui oscillait avec un mouvement gélatineux. "Les canaux galactophoriques sont déjà préparés pour la prochaine expansion."
Beshine activa la pompe hydraulique pour mettre sous pression les 2000cc de silicone. Il piqua les seins avec une longue aiguille. Il injecta 1000cc dans chaque implant expanders.
Surprise par la douceur de la procédure, Horty se redressa avec peine, ses nouveaux seins lourds et gonflés tirant son torse vers l'avant. La couche crissait entre ses cuisses, humide de fuites incontrôlables.
"T'as l'air d'une vache laitière en chaleur," ricana Eva en lui pinçant un mamelon durci.
Horty porta les mains sous sa poitrine, sentant la chaleur des poches de silicone presser contre ses côtes. Un jet soudain de fluide urinal coula le long de sa cuisse, trempant davantage la couche. Louis éclata de rire et écarta les bords élastiques pour observer le désastre. Son trou du cul aussi fuyait.
Eva se moque d'elle, la traitant de vielle prostitué délabré.
"Faut lui mettre un plug anal de maintien," grogna-t-il en enfonçant deux doigts dans son trou béant, facilement jusqu'à la paume.
Eva attrapa un plug en acier de la taille d'un poing, le lubrifia à gros traits et l'enfonça d'un coup sec. Horty gémit, son ventre se soulevant sous la pression, tandis que le métal froid scellait ses intestins ouverts.
"Comme ça, tu couleras que par devant," dit Eva en lui claquant le cul, faisant trembler les implants sursaturés.
Le Dr. Beshine sourit en rangeant ses seringues, satisfait de son travail.
Louis dit : "Repose-toi. Ce soir, on va admirer tes grosses mamelles de vache"
Louis et Eva préparaient Horty pour le show du soir. Talons aiguilles, plug anal et vaginal, ceinture de chasteté, le corset mettait en valeur les 2 énormes obus mammaires d'horty.
Le souffle d'Horty s'accéléra tandis qu'Eva resserrait la dernière sangle de sa ceinture de chasteté, le métal froid pressant contre sa chatte gonflée. Le plug anal, déjà profondément enfoui, bougeait en elle à chaque pas. Ses seins se tendaient contre le corset, la courbe de chaque sein gonflé de silicone accentuée par les baleines, les tétons raidis sous le tissu transparent de son haut.
Eva maquilla Horty de façon outrancière, Horty a ressemblait une strip-teaseuse de Las Vegas.
Eva recula, un sourire narquois, admirant son travail. « Parfait », ronronna-t-elle en passant un ongle sur le sternum d'Horty, traçant la vallée entre ses seins. « Maintenant, bouge comme la salope que tu es».
Horty arriva au bord de la piscine et les invités étaient assis sur les transats. La musique disco-funk démarra, Horty se trémoussait et dansait sans réfléchir, heureuse d’être la vedette du soir.
La musique pulsait tandis qu'Horty se balançait vers le bord de la piscine, les yeux rivés sur elle. Les basses vibraient à travers ses talons, ses hanches ondulaient en ondulations exagérées, le plug en elle frottant juste à chaque mouvement.
Elle cambra le dos, laissant ses seins rebondir librement une seconde avant que le corset ne les ramène, suffisamment pour l'exciter, pas assez pour soulager la pression. La sueur perlait entre les seins, une odeur d'excitation intense l'entourait.
Puis elle les vit.
Deux silhouettes massives se tenaient derrière les chaises longues, les bras croisés, les muscles tendus sous des t-shirts noirs serrés. Leurs regards la brûlaient, sans ciller. Horty ralentit le mouvement des hanches, se mordant la lèvre tandis que l'un d'eux, le plus grand, laissait son regard parcourir son corps, s'attardant sur la façon dont ses fesses se serraient autour du plug.
L'autre esquissa un sourire narquois, murmura quelque chose d'une voix basse et riche. Horty ne comprenait pas les mots, mais la faim qui les traversait était indéniable.
Elle ne réalisa qu'elle avait arrêté de danser que lorsque la main d'Eva se referma sur ses fesses, ses ongles s'y enfonçant. « Continue », siffla Eva. « Tu n'as pas fini. »
Horty obéit, mais son rythme était différent maintenant, plus lent, plus mesuré. Chaque mouvement de hanches n'était plus réservé à la foule. C'était une invitation.
Et les gardes observaient. Ce sont les nouveaux gardiens de la villa, 2 togolais grands et musclés.
Horty pivota face aux deux hommes, ses seins rebondissant lourdement sous le corset tandis que ses talons aiguilles enfonçaient dans le béton chaud de la piscine. Les gardes ne sourcillèrent pas, leurs yeux sombres traçant une ligne lente entre son décolleté distendu et le plug métallique qui luisait entre ses cuisses.
« T’as remarqué comme elle les regarde ? » murmura Eva à Louis, un sourire vicieux aux lèvres. Elle tira sur la chaîne de la ceinture de chasteté, forçant Horty à avancer d’un pas traînant vers les Togolais.
L’un d’eux cracha par Horty avant de l’attraper par la taille, ses doigts s’enfonçant dans la chair molle de ses hanches.
"Elle danse comme une pouliche saoule," grommela-t-il en poussant son bassin contre le sien, tapotant le plug anal contre son abdomen. L’autre garde se leva, débouclant son ceinturon d’un geste lent tandis que les invités raillaient, excités.
Horty sentit le cuir glisser le long de ses cuisses avant que la bouche chaude du second homme n’engloutisse son téton, aspirant brutalement à travers le corset. Elle cria quand ses dents serrèrent le tissu, tirant le sein gonflé vers le haut jusqu’à ce que les coutures gémissent.
Eva éclata de rire en réglant la musique plus fort. "Montre-leur comment une vraie salope garde son public."
Le dos d'Horty se cambra tandis que la langue du Togolais s'abattait sur son téton gonflé, le tissu humide du corset frottant contre sa chair hypersensible. L'autre garde lui tira les hanches contre les siennes, le plug d'acier se déplaçant en elle tandis qu'il pressait sa bite durcie contre son cul.
« Putain, elle dégouline à travers la ceinture de chasteté », grogna Eva en se baissant pour effleurer le métal trempé entre ses cuisses. Un nouveau jet de liquide jaillit de l'urètre d'Horty, coulant en filets le long du pantalon du garde tandis qu'il se frottait contre elle.
Le deuxième garde libéra finalement son téton d'un slurp obscène, laissant le tissu tendu et luisant. Sans prévenir, il saisit ses deux seins, les serrant doucement.
« Il faut la traire », grogna-t-il, ses pouces appuyant cruellement sur ses aréoles.
Derrière eux, Eva dégrafa le corset d'Horty avec un claquement sec. Ses seins se détachèrent, claquant contre son ventre avec une force telle qu'elle en haleta.
« C'est l'heure du spectacle », dit Eva en lançant une bouteille d'huile à l'invité le plus proche. « Qui veut tester ses nouvelles capacités ? »
Louis ordonne à Horty de se mettre a genoux et de sucer les gardiens africains. Soumise et curieuse, Horty sort avec stupéfaction les 2 monstrueux membres, encore plus épaisses et longues que la queue de son maître. Leurs couilles gonflées sont aussi énormes.
Eva dit à louis : « incroyable, regarde ces bites encore plus grosses et longes que toi Louis »
Louis répondit : "oui , c'est pour ca que je viens de les recruter"
Les deux Noirs grognent en synchronie, leurs mains agrippant les cheveux d’Horty pour pomper plus profond. Elle s’étouffe, sa bouche étirée autour d’une bite longue comme son avant-bras, tandis que l’autre queue glisse entre ses seins siliconés, lubrifiée par sa salive.
"Allez, salope, montre-nous tes talents de videuse !" rugit Louis en se masturbant frénétiquement, son gland luisant de pré-éjaculat.
Horty obéit, alternant bouche et poitrine avec une précision obscène. Les Togolais halètent, leurs testicules gonflées cognant son menton à chaque coup de reins.
Soudain, Eva hurle : "Maintenant, déchargez !"
Les premiers jets frappent le front d’Horty en claquant comme des fouets. Le second garde vise ses cils, la semence chaude giclant jusqu’à ses lobes d’oreilles. La force des jets des noirs est surprenante, ils aspergent tout le visage et les cheveux. La quantité de jute est phénoménale. Ils éjaculent une dizaine de jets sur le pauvre visage de la streameuse.
Son front est recouvert de sperme qui glisse sur ces sourcils,Horty ferme les yeux ses paupières sont inondés de sperme. De longs filets de sperme glissent le long de son nez.
Louis et le docteur achèvent le tableau, leur sperme épais s’écrase sur ses joues, dégoulinant en filaments gluants sur son cou et sur ses seins.
Eva s’agenouille devant son visage souillé, étale tout le sperme sur le visage d’horty, ses mains sont pleines de sperme et se mets à masser les gros seins avec le jus des 4 hommes et murmure : "T’as mérité ta place ici, poupée."
17eme chapitre : Horty pute au foyer
Horty se réveille ce matin, elle est contente c'est son jour d'anniversaire. Louis lui dit : Pas de gym ce matin, mets un petit plug anal, pas de corset, ni de ceinture. mets une robe simple. Dans la salon, Horty découvre plein de boites cadeaux et des sacs de toutes les couleurs.
Louis : « Surprise, mon cœur !! »
Horty ouvre ses cadeaux et découvre stupéfaite des robes sublimes de grands créateur, des parfums de luxe, de la lingerie sublime, des bijoux magnifiques. Elle tremble d’excitation et pleure de joie.
Horty essuie ses larmes d’émotion, ses doigts tremblants effleurant la soie d’une robe Dior.
Louis : « Bonne anniversaire Hortense, tu le mérites largement, tu es extraordinaire, je te fait souffrir souvent, mais tu compte beaucoup pour moi ».
"Louis, je... je savais pas que tu..." Sa voix se brise, submergée par la gratitude.
Louis éclate de rire en sortant de la cuisine, un plateau de champagne à la main. "Faut pas t’habituer, Hortense. Demain, c’est retour aux ceintures de chasteté et aux fessées."
Il décapsule une bouteille de Dom Pérignon, le bruit sec faisant sursauter Horty.
Louis attrape un écrin noir, l’ouvre devant elle. Un collier en diamants, bien plus qu’un bijou. Puis il ouvre une petite boite noir, une gourmette gravée "Property of Louis" brille sous la lumière.
"Pour te rappeler qui est ton maître, même quand je te gâte." Il le clipse autour de son poignet, le métal froid contre sa peau.
Horty porte une main à sa gorge, sentant le plug anal bouger légèrement sous sa robe simple. "Merci Maître" murmure-t-elle, ivre de bonheur et de soumission.
Louis lui tend une coupe : "À ta santé, poupée. Vive Nous."
Après avoir mangé, Louis s’allonge dans le canapé, un verre de whisky à la main, tandis que Horty s’agenouille docilement à ses pieds. Sa poitrine hypertrophiée, gonflée à 2000cc de silicone, repose lourdement sur ses cuisses, ses mamelons percés dépassant à peine de sa robe trop serré. Elle le regarde avec des yeux pleins d’adoration, sa bouche légèrement entrouverte.
« Pour fêté ton anniversaire, j'ai engagé pour l’après-midi une coiffeuse, une manucure et esthéticienne. Elles vont te relooké ». Surprise, Horty est à la fois inquiète, stressée et folle de joie.
Louis continue : « Par contre, la coiffure et le maquillage, je pense qu'il faut oublier l'ancienne Horty gothique, mascara épais et eyeliner vulgaire, ainsi que les cheveux noirs avec tes mèches rouges.
« Alors, ma petite idiote, tu es contente ? » murmure-t-il en saisissant une poignée de ses cheveux noirs aux mèches rouges répandues, tirant juste assez pour qu’elle frissonne. « Tu vas enfin ressembler à ce que tu es vraiment : une putain de bimbo. Blonde. Et encore plus bonne à baiser. »
Horty rougit, son cœur battant si fort qu’il fait trembler ses implants. « Oui, Maître… Tout ce que vous voudrez. » Sa voix est douce, émerveillée, comme si Louis lui offrait le monde.
Il sourit, glissant une main sous son corset pour pincer un mamelon durci. « Tu sais que tu ne pourras pas toucher à cette chatte pendant qu’elles te transformeront. Et si tu mouilles trop, je te punirai. »
Elle gémit, sentant déjà son corps lui désobéir. « J’essaierai, Maître… »
« Bien. Maintenant, attends comme une bonne chienne. Elles arrivent. »
La sonnette retentit, et Louis se lève avant de donner une petite tape sur la joue de Horty.
« Reste là. »
Les trois femmes entrent, valises et sacs professionnels à la main, et s’arrêtent net en apercevant Horty agenouillée sur le tapis, sa poitrine démesurée écrasée contre ses cuisses. La coiffeuse, une brune aux lèvres charnues, éclate de rire. « Putain, mais c’est quoi ce délire ? On dirait une poupée gonflable moche ! »
L’esthéticienne, une rousse au regard acéré, s’approche et tire sur le corset, le faisant claquer contre la peau de Horty. « T’as vu la taille de ces nichons ? T’as peur qu’on te les loupe, ma chérie ? »
Horty baisse les yeux, rouge de honte, mais ne dit rien.
La manucure, une blonde aux ongles violets, attrape sa main et éclate de rire devant ses faux ongles noirs écaillés. « Ah ouais, c’est le style gothique cheap. On va te refaire ça en rouge vif, poupée. Du vernis qui brille comme une star du porno. »
Louis sourit, sirotant son whisky. « Allez-y, mesdames. Transformez-moi cette chose en une vraie salope. »
Horty serre les dents quand la coiffeuse applique la décoloration. Son cuir chevelu brûlent, mais elle reste immobile. Une bonne chienne ne pleure pas.
La coiffeuse agrippe les cheveux d'Horty, lui tirant la tête en arrière tandis qu'elle applique le décolorant sur ses racines foncées. La brûlure la fait gémir, mais elle n'ose pas se dégager. L'esthéticienne se penche, lui épilant les sourcils en arcs hauts et moqueurs tout en claquant de la langue.
« T’as des pores larges comme des cratères, ma belle. Ça va prendre du travail. » Elle étale un masque épais sur le visage d'Horty, l'odeur acide lui faisant pleurer les yeux.
La manucure écarte les doigts et lime ses ongles à coups brusques. « Regarde-moi ces mains de traînée. On va te donner une vraie classe de pute de luxe. » Le vernis qu'elle applique est rouge pompier, brillant comme du sang frais.
Horty tremble pendant qu'elles travaillent, son corset s'enfonçant davantage à chaque respiration. La blonde rit en la prenant en photo avec son téléphone. "Avant-après, chérie. Tu vas adorer être stupide."
Louis regarde, amusé, faire tourner son verre. "Faites-la souffrir un peu. Elle aime ça."
Les cuisses d’Horty se serrent l’une contre l’autre, elle est mouillée, honteuse et obéissante. Exactement comme il la veut.
La coiffeuse attrape le menton d'Horty et lui tourne le visage d'un côté à l'autre pendant que le décolorant agit. « T'es moche à pleurer, mais on va te rendre tellement conne que les mecs vont t'adorer. » Elle esquisse un sourire narquois, arrachant une mèche rebelle du front d'Horty d'un coup sec.
L'esthéticienne retire le masque d'un geste sadique, révélant une peau rouge et hypersensible. « Voilà, une vraie escorte de luxe maintenant. » Elle gifle légèrement la joue d'Horty , légèrement, juste pour la voir tressaillir.
La manucure écarte largement les orteils d'Horty, peignant chaque ongle du même rouge brillant, « Comme ça, même tes pieds diront que t'es une salope. »
La coiffeuse resserre les mèches imbibées de javel. « T'inquiète, chérie. Bientôt, t'auras plus que ton cul pour réfléchir. »
Le corset craque sous les seins d'Horty qui se crispent, ses tétons raidis sous la dentelle. Les femmes rient, l'encerclant comme des vautours.
Louis se penche et lui mordille le lobe de l'oreille. « T'es parfaite. »
Elle le croit.
Après plusieurs heures de travail, Louis et les 3 femmes admirent le résultat. Horty ressemble à une escorte de luxe pour milliardaires russes.
Les trois femmes ramassent leurs affaires en gloussant, lançant des regards méprisants à Horty. "Bon courage pour te faire baiser avec cette tête, poupée," ricane la coiffeuse en claquant la porte derrière elle.
Le silence retombe, l’odeur flotte lourd de vernis et de décolorants. Louis passe une main dans les cheveux blonds peroxydés de Horty, encore chauds du fer à lisser. "Regarde-toi," murmure-t-il en la tournant vers le miroir.
Le reflet est étonnant : lèvres légèrement pulpeuses rose bonbon, cils en éventail, courbes artificielles moulées dans un bustier en PVC noir. Ses seins, gonflés à l’extrême, débordent de chaque côté comme deux ballons prêts à éclater.
Louis la rassure et la prends dans ses bras, dit : " Voila la Hortense de mes rêves, tu es mon phantasme maintenant, Tu rends ton maître fier de toi, tu es sublime"
Horty cligne des yeux, étrangère à elle-même.
Louis presse sa paume contre son ventre, sentant le corset creuser sa taille sous la pression. "Tu es exactement ce que je voulais," grogne-t-il à son oreille. "Une salope en plastique. Ma salope."
Elle frissonne quand il trace un doigt sur son décolleté brillant, là où la transpiration perle entre ses faux seins.
"Merci, maître," bredouille-t-elle.
Il attrape une poignée de ses cheveux, tirant assez pour faire arquer son cou. "Prête à montrer ça au monde ?"
Ses ongles rouges se plantent dans ses propres cuisses. "Oui, Maître."
Le sourire de Louis est vicieux telle une promesse sale. "On va tellement t’utiliser."
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