La femme du garagiste
Récit érotique écrit par descollages [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La femme du garagiste
Dans un garage miteux, certains clients viennent plutôt pour rencontrer la secrétaire qui possède des talents de fellatrice avertie. Monsieur Jean, un vieux cochon de 75 ans, ne pourra pas dire le contraire.
À Bouloire, au fin fond de la campagne sarthoise, il était presque midi. Un fourgon blanc tout cabossé, surgit du garage Precisdium en marche arrière, crachant une fumée noire. La porte grand ouverte, les clés toujours sur le contact, Christian Ferchoux sort comme un fou, d'une démarche très énergique.
– Chérie ne m'attends pas pour manger, je vais chercher mes pièces à la casse de Mortagne-au-Perche. dit-il s'adressant à sa femme secrétaire, plantée derrière le comptoir rivée à son téléphone.
– Ok, sois prudent mon Cricri ! répondit-t-elle, masquant la partie basse du combiné de sa main gauche.
Sans attendre, le voilà déjà reparti, faisant crisser les pneus, évitant de peu d'emboutir le poteau électrique sur la chaussée humide. Le temps maussade n’arrangeait rien au moral de cet homme survolté, patron d'un petit garage au bord de la faillite.
Au moment de fermer boutique, Marlène aperçut Monsieur Jean, qui traversait péniblement la route dans les passages cloutés. Prise de pitié, elle n'eut pas l'audace d'actionner la clé pour abaisser le lourd rideau de fer.
– Alors Monsieur Jean, on a oublié les horaires ? lança-t-elle avec un sourire commercial des plus hypocrites.
– Oh, vous êtes bien aimable de m'attendre ! J'ai encore ma super 5 qui a un problème au niveau du carburateur... Bon Dieu de mécanique ! rouspéta le vieillard de 75 printemps.
Passant le seuil de la porte, Jean Grucier, fit une bise machinale à Madame Ferchoux.
– Eh bien, vous allez au bal disco habillée comme ça, ? dit-il, détaillant la tenue ultra sexy de la quarantenaire encore bien conservée.
Elle portait un boléro léopard révélant une superbe poitrine provocatrice. A vrai dire, on pouvait voir pratiquement la totalité de son soutien-gorge volontairement trop serré. Sa mini-jupe ras "la moule", montrait le haut de ses collants jarretelles noirs, invitant à tous les vices.
– J'ai envie de rester jeune et désirable, le temps passe tellement vite, vous savez ! Et puis parfois, j'aime bien exciter mes clients c'est bon pour le commerce paraît-il, s'exclama-t-elle tout en se dandinant la poitrine bien penchée en avant.
Sans aucune pudeur, le vieux vicieux commença à lui peloter la marchandises par des effleurements étudiés, au niveau des tétons qui commencèrent à se dresser sous les petites cajoleries.
– Hum, et bien vous n'avez pas perdu la main, caressez-moi le cul tant que vous y êtes gros cochon ! dit-elle, avec un large sourire.
Sans attendre, Monsieur Jean, souleva la mini-jupe pour découvrir la culotte en dentelle. Son majeur massa le clitoris déjà bombé. Une simple petite pression, et voilà Madame la secrétaire qui commençait déjà à gémir. La voyant se laisser faire, il introduisit son majeur dans sa chatte et goûta le jus tiède qui commençait à perler.
C'était sa façon particulière de dire bonjour à sa petite "princesse", comme il l'appelait fréquemment.
– Eh, bien on dirait que vous êtes en chaleur comme ma chienne Rita ! Baissez votre rideau, j'ai envie de vous tenir un peu compagnie. Ça vous avait bien plu la dernière fois, non ? souffla-t-il péniblement, excité comme un jeune puceau devant une pute.
En tortillant son joli cul, elle s'avança vers le commutateur, puis ils furent plongés dans la semi-obscurité. Le siège de bureau roula d'un quart de tour, Marlène s'écroula tout au fond écartant bien les cuisses.
– Les femmes en manque comme vous, je les connais bien ! Il faut s'en occuper au plus vite, sinon elles deviennent complètement hystériques. Maintenant enlevez vite votre petite culotte, que j'explore un peu votre petite chatte.
La fausse-blonde fit glisser son string en dentelle le long de ses chevilles fuselées pour la poser délicatement du bout des doigts sur le bureau, près de son clavier d'ordinateur. Autant dire que le téléphone à cet instant précis, était en total dérangement.
– Broutez-moi la chatte vieux cochon ! j'ai mouillé comme une folle toute la matinée... murmura-t-elle tout en appuyant sur la tête de Monsieur Jean déjà parti à farfouiller la cicatrice poilue toute moite et odorante.
L'expérience du vieil homme était un pur délice. Au lieu de s'acharner sur le clitoris bien sorti de sa cachette, sa langue s'amusait sur les grosses lèvres puis les petites en formant des "S" majestueux. Avec la patience d'un ange, il venait de l'allumer tel un feu incandescent, rendant de plus en plus fluide ce sexe béant de plaisir.
Prise de frissons voluptueux, elle dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses énormes seins en forme de poire, puis les pris avec la paume des mains pour les soupeser. Titillant légèrement les bourgeons bruns, Marlène s'abandonna, laissant retomber sa tête en arrière les yeux mi-clos.
Puis Monsieur Jean humecta son majeur quelques secondes pour introduire celui-ci dans le petit trou rosé à la base des fesses. Il savait que ce geste allait provoquer chez elle une montée en puissance de frissons savoureux. La petite masturbation anale l'a fit gémir instantanément.
– Oh oui... Baisez mon cul avec votre doigt, c'est booon ! Ouuuuui ! Allez mon salaud ! Vous me faites tellement de biiiiien ! susurra-t-elle, caressant les cheveux gris en broussaille.
– Slurp, Slurp, Han ! Han ! souffla l'autre, comme un assoiffé. C'est tellement bon de goûter à votre chatte de salope ! dit-il, entre deux fines aspirations baveuses.
– Montrez voir votre jolie bouche poisseuse ! lança-t-elle ravie de voir que les lèvres du lécheur luisaient admirablement. Maintenant que je suis chaude et trempée, j'aimerais que vous vous dépêchiez un peu plus avec vos léchouilles, d'accord mon biquet !
– Je ferais n'importe quoi pour vous faire mouiller, vous le savez bien ! souffla-t-il, les yeux levés vers le ciel.
Marlène leva une jambe sur l'accoudoir du fauteuil de bureau. Totalement détendue et offerte à ce vieux vicieux, son corps tout entier s'abandonna oubliant tout le reste. Monsieur Jean se régalait comme un animal. Il était loin le temps où il pouvait encore toucher son épouse Paulette, aujourd'hui victime de sécheresses vaginales irréversibles.
Voyant que la secrétaire commençait sérieusement à gémir bruyamment, il plaqua ses deux mains légèrement crochues pour tenir en respect les cuisses de la blonde nymphomane.
– Si vous continuez de bouger ainsi, je ne vais pas pouvoir vous lécher comme il faut ! grogna-t-il replongeant avec délice dans la fente abondamment lubrifiée.
Désormais son nez titillait le clitoris retourné à l'abri sous son capuchon de chair protectrice. Tournant la tête de droite à gauche à une vitesse phénoménale, sa langue en arc de cercle, lapait hardiment cette vulve savoureuse.
– Encore, Encore ! Ouuuui ! J'aime vos léchouilles de gros porc ! Faites-moi jouir ! Ouuui ! Oh, mon dieu Ouuuuuui ! Hurla-t-elle, se trémoussant ravagée par un orgasme foudroyant.
Satisfait de sa petite performance buccale, il savait qu'il fallait ralentir la cadence pendant la phase de récupération. Son front perlait de sueur, lui, qui n'avait pas quitter sa veste de costume en tweed.
Apaisée d'avoir pris son pied, Marlène le tira par la cravate pour l'obliger à se lever.
– Hum, petit coquin, venez m'embrassez vous l'avez bien mérité ! murmura-t-elle, les yeux brumeux.
Elle voulait à tour pris goûter sa propre mouille restée sur les lèvres de son bienfaiteur. Leurs langues jouèrent ensemble pour savourer la cyprine tiède mélangée au nectar féminin.
Mais juste au moment où les deux langues finirent par se séparer enfin, la porte du fond s'ouvrit brutalement. C'était Tony le chef d'atelier qui arrivait tenant dans sa main graisseuse, un devis à moitié plié.
Voyant ces deux-là, il ne tarda pas à comprendre ce qui venait de se passer.
La secrétaire à moitié débraillée, était encore la chatte ouverte, le visage empourpré de honte. Monsieur Jean, aurait voulu prendre la fuite, mais le store était à demi fermé. Pris sur le fait comme deux coupables ils restèrent figés quelques secondes.
– Alors pépère, on s'est bien amusé ! Je doute que tu aies réussi à lui grimper dessus à ton âge ! ricana-t-il, se rapprochant un peu.
Le mécano fixa Marlène un instant. Elle lui sourit lubriquement sachant pertinemment que son petit cunnilingus, n'était qu'une petite mise en bouche pour une suite beaucoup plus agitée. Son vagin palpitait déjà à l'avance, pressé de faire la conversation à un membre viril.
– Suis-moi grosse cochonne, on n'a pas beaucoup de temps devant nous ! Et toi aussi papy, j'aime bien quand quelqu'un nous mate, surtout un vicelard comme toi ! Siffla-t-il agrippant par le poignet la fausse-blonde entraînée sans résistance.
Les voilà dans le garage au milieu voitures en réparation. L'odeur du cambouis et des pneumatiques avait depuis toujours excité Marlène. C'était le temple des mâles en rut. Parfois les relents de sueur mélangés à la crasse, la faisait chavirer de désir.
– Eh, Benjamin, regarde qui j'amène ! Tu vas m'aider à la baiser ! Plus on est de fous ! lança-t-il, au jeune mécano de 20 ans, qui se cogna maladroitement la tête dans le capot à la vue de la secrétaire attifée comme une véritable pute.
Ce grand blond avait eut si souvent envie d'elle. Les femmes mûres c'était son truc. Plus d'expérience, et surtout elles étaient comme des chaudières, les meilleures baiseuses selon lui. Et voilà qu’aujourd’hui il allait réaliser son plus beau fantasme. Autant dire que sous le bleu de travail, sa queue s'agitait déjà contre son boxer trop serré.
– J'arrive tout de suite ! répondit-t-il, prenant le temps d'essuyer ses mains dans un chiffon loin d'être propre.
A peine étonné de voir Monsieur Jean, à qui il serra la pince fermement, il suivit le trio qui serpentait vers le fond du local. Un ancien pick-up caché par des piles de pneus n'avait pas eu la chance d'être réparé. L'endroit semblait tout indiqué. Un vieux matelas occupait le fond du très large plateau métallique, et la ridelle était abaissée : un véritable petit nid d'amour miteux les attendait.
– Monte là-dedans ma belle ! dit Tony, profitant de plaquer sa main sur son cul rebondi, pour l'aider grimper.
Rapidement elle se mit à poil, prenant bien soin de mettre ses vêtements en bouchon dans un coin, pour ne pas les salir. Puis elle s'allongea sur le dos, caressant ses jolis seins, sensibles à ses propres attouchements.
– C'est ça commence à te caresser, on va bien s'occuper de toi mon amour ! dit-Tony, empêtré dans les bretelles de sa salopette.
Le métis atteignit finalement sa braguette pour faire prendre l'air son énorme queue toute gonflée. Elle était longue, très longue : un véritable serpent bronzé. Terminée par une joli champignon rosé, qu'il baptisait souvent "sa tête chercheuse".
Un peu moins fier, Benjamin, exhiba à son tour sa bite beaucoup plus courte. Très poilue, et large on eût dit une banane fripée. En revanche son gland était bizarrement disproportionné. Cette particularité intrigua la secrétaire qui commençait écarter les jambes : comme l'ultime signe d'une invitation.
– Venez mes chéris, j'ai besoin de vous sentir contre moi ! dit-elle, faisant un petit geste de la main.
De son côté, Monsieur Jean excité par ce spectacle très intéressant prit un petit escabeau qu'il plaqua contre la carrosserie. Le malheureux, n'eut pas le privilège de grimper dans le lit de fortune. Il fallait bien trouver une autre solution.
– Baisez-la bien ! A votre place je l'aurais déjà bourré comme la dernière des salopes ! gronda le vieux vicieux, relégué au rang de spectateur oisif.
– T'inquiètes pas pépère, tu vas en prendre plein la vue, tu peux me croire ! apostropha Tony, qui pelotait fermement les globes légèrement hâlés de la fausse-blonde.
Pendant ce temps, Marlène gémissait sous les baisers fougueux de Benjamin, manquant de l'étouffer. La langue du jeune homme fouillait sa bouche avec ardeur prenant à peine le temps de respirer.
Puis voilà notre belle secrétaire tenant dans chaque main les membres virils brûlants et orgueilleux. Elle les branlait lentement au même tempo, décalottant leurs bourgeons qui leurs faisait mal à présent.
Soudain, le ventre de Marlène fit un gargouillement sonore peu discret.
– Eh, bien on dirait que tu as faim ? Je connais un truc infaillible pour te rassasier en protéines... ricana Tony, obligeant la secrétaire à stopper net la petite fête masturbatoire.
– Oh, ouais ! Ma belle tu vas nous sucer à tour de rôle, tu vas pouvoir tromper ta faim avec notre foutre salope ! dit Benjamin, les yeux animés par le vice.
Les deux mécanos se mirent à genoux de chaque côté, et caressèrent d'abord les joues rosés de la secrétaire avec leur pénis raidi, avant de faire coulisser de manière horizontale leurs membres tendus d'excitation, sur les lèvres humides de la bouche entrouverte.
– C'est ça lèche les deux en même temps, oui ! C'est très bien ! Voilà, encore ! encouragea Tony.
Les deux bites n'étaient désormais séparées que par cette langue gourmande, qui titillait les bulbes turgescents. Cet hommage personnel des plus flatteur commencèrent à faire gémir les deux ouvriers en pleine extase.
N'en perdant pas une miette, le vieux continuait de les reluquer du haut de son petit escabeau. De sa main droite, il ne pu d'empêcher de chercher au fond de son slip puant la pisse, son sexe d'une érection ridicule.
– Allez ma princesse branle-les ! Ils vont tellement exploser dans ta bouche que tu n'aurais plus besoin de manger ta petite salade du midi ! grogna-t-il, tout en se paluchant lamentablement.
– Ferme ta grande gueule, espèce de pervers à deux balles, nous on prend un pied d'enfer, laisse-la continuer comme elle a envie ! ronchonna Tony, lançant un regard furibard vers le vieux chnoque qui trépignait sur ses jambes.
N'écoutant que ses pulsions lubriques, Marlène lécha de plus en plus lentement les deux bonbon devenus hyper-sensibles. En bonne fellatrice, elle aimait vicieusement retarder l'éjaculation, allumant "la rage des couilles" comme elle disait souvent.
Voyant un de ses partenaires se crisper, elle comprit tout de suite qu'il allait venir dans les brèves secondes qui suivirent.
– Vas-y mon lapin, lâche-toi dans ma bouche à présent ! lança-t-elle à Benjamin, pris de contorsions, le regard fixe.
Elle se tourna vers la droite pour accueillir sa queue boursouflée. Le petit gland rosé cracha instantanément sa petite purée blanchâtre. Recueillie sur la langue, liqueur épaisse n'eût aucune difficulté à trouver le chemin de la gorge de Marlène, qui avala la totalité en déglutissant à plusieurs reprises.
– Oh oui c'est ça, petite salope prends tout ! Ouais ! gémit le jeune, comblé de la voir se rassasier de son foutre chaud.
Le laissant savourer son orgasme, la secrétaire ne suça pas tout de suite le bourgeon rouge vif. Le jeune mécano se retira de lui-même, laissant davantage de place au sexe proéminent de son chef d'atelier qui bandait furieusement à côté.
– A mon tour, ma chérie ! Murmura-t-il, jouant à enfoncer délicatement sa bite dans la bouche légèrement souillée.
En queutard d'expérience, il pouvait retenir d'éjaculer sur commande. Cette technique lui avait demander des années de pratique, pour le plus grand bonheur de ses partenaires insatiables.
Voyant qu'il jouait a ce petit jeu, elle prit les choses en mains dans tous les sens du terme.
Le branlant du bout des doigts, la secrétaire affamée prit la hampe virile tout au fond de sa bouche malgré la taille impressionnante.
– Elle te plaît ma grosse saucisse ? bouffe-la, ouais, allez Marlène, tu resteras ma petite pute ! rugit-il, enculant sa bouche, butant jusqu'au fond.
– Honhon, ! Slurp ! Mooonh ! Haaaah ! souffla-t-elle, tout en reprenant sa respiration. Elle est tellement bonne ta queue ! Je me régale comme la dernière des salopes ! Quand-est-ce que tu me fais goûter ton sperme, j'ai envie de le comparer à ton collègue ! dit-elle fixant dans les yeux, le chef d'atelier.
– Un peu de patience ma jolie, ça se mérite tu sais ! lança-t-il, sachant pertinemment qu'elle allait le faire cracher d'une seconde à l'autre.
Un dernier coup de rein, suivi d'une tension significative au niveau des cuisses et... Hum oui, voilà le soulagement liquide s'évacuant par de violentes salves, tenant toutes ses promesses en termes de quantité.
Un peu plus sucré que le nectar précédent, Marlène ne se fit pas prier pour l'avaler presque d'un trait cette fois. Le fond de sa gorge gourmande, comblé par cette source masculine, semblait même en redemander.
– C'est ce que j'appelle "mon petit dessert" ! dit-elle, tout en lustrant savamment le membre vidé mais resté encore très dur malgré l'orgasme fulgurant.
– T'es vraiment une cochonne toi ! le patron a de la chance d'être marié avec toi... si j'étais à sa place tu prendrais cher jour à nuit ! lança le métis, à peine soulagé.
A cet instant, Monsieur Jean, complètement hystérique, enjamba péniblement la remorque du pick-up. Pantalon à moitié baissé, le voilà écartant les jambes, tenant sa petite bite serrée entre le pouce et l'index, soumis à une branlette frénétique.
– Petite chienne, regarde ce que tu vas prendre sur tes nichons ! cria-t-il, arqué en arrière.
Médusés, les deux mécanos s'esclaffèrent, fixant le vieux cochon, dont la libido, semblait-il, n'avait pas diminué malgré son âge avancé.
– Monsieur Jean, et votre cœur alors ! ricana Marlène, le regardant lubriquement se débattre avec son sexe ridicule.
– Han ! Han ! Ouh ! Han ! Oooooh ! gémit-il, au bord de l'évanouissement. Bande de salauds, quand j'avais votre âge, croyez-moi.
– On sait pépère, alors tu viens quand, c'est long ! se moqua Benjamin, plié en deux.
– Allez Monsieur Jean, vous allez jouir j'en suis certaine ! Elle vous plaît ma petite chatte dites-moi ? Après me l'avoir dévoré, j'aimerais bien votre petite purée sur mes poils ! miaula-t-elle d'une voix suave.
Le visage rouge, rempli de sueur, il secoua une dernière fois les hanches pour atteindre le grand frisson final.
Étrangement le petit pénis rabougri, ne manqua pas de surprendre tout le monde. Un jet exceptionnel finit par gicler énergiquement jusqu'à la poitrine généreuse de la secrétaire, malgré la distance. Sûrement dû à la trop forte frustration accumulée, le foutre chaud venait de battre un petit record notable. Les deux mâles restèrent bouche-bée.
– Eh ben mon vieux ! Il a encore du jus dans le poireau ! Allez Marlène, suce-le, il l'a bien mérité ! suggéra Tony, sur un ton compatissant.
La secrétaire bienveillante se releva lentement pour saisir le pénis déjà mou. Elle le raviva de sa langue soyeuse, en émettant des bruits de succions accentués. Le gland flétri retrouva de légers signes de vigueur.
– Alors Monsieur Jean, on dirait que Popol semble aimer les câlins ? dit-elle sur un ton rieur.
Le pervers ainsi satisfait, ferma les yeux, pendant que la langue joueuse continuait de s'enrouler inlassablement sur le bourgeon décalotté, prodiguant des cajoleries digne d'une pute expérimentée. De son côté, la main manucurée, caressait les couilles plates et poilues, entraînant des décharges électriques voluptueuses, qui firent gémirent de plaisir le vieux cochon ébahi.
– Mon Dieu, vous êtes vraiment faite pour la pipe, c'est incontestable ! murmura-t-il, les yeux dans le vague.
Fini la bagatelle pour certains. Regardant subitement la pendule au fond du local, les deux mécanos s'habillèrent à toute vitesse. Il était déjà 13 h 45, autant dire qu'ils n'avaient plus qu'un petit quart d'heure pour reprendre des forces avant de retourner bosser.
– Tu ne perds rien pour attendre Marlène chérie, la prochaine fois on te prend par les deux trous en même temps, crois-moi qu'on va te défoncer ! ronchonna Tony, pointant du doigt l'horloge.
Restant sourde à ces derniers propos, la secrétaire était trop occupée à pomper le dard de Monsieur Jean. Il n'allait pas partir s'en cracher une dernière fois. C'était prendre un bien grand risque. Mais Marlène aimait la bite, surtout quand l'une d'elle se trouvait entre ses lèvres chaudes.
Agitant sa tête d'avant en arrière, secouant sa jolie nuque, voilà notre fellatrice repartie de plus belle dans son exercice favori. Avec une véritable aisance, elle goba la totalité du membre viril devenu très dur. Elle était capable du plus beau des miracles, pour peu que son partenaire aie un peu de patience.
– Préparez-vous, à une petite branlette ! lança-t-elle, tout en ouvrant grand la bouche, sortant sa langue rose au maximum.
Sans serrer trop fort le petit pénis, elle fit des va-et-vient de bas en hauts, élégants, mais très rapides. La vision de l'appendice lingual ainsi sorti à l'extrême, n'avait d'autre but que d'exciter Monsieur Jean. Qui aurait pu résister, dites-le moi ? Hum oui, cette bouche avait toujours faim ou soif...
– C'est ça, respirez à fond, détendez-vous ! Je sens que vous allez venir... oh la la, lâchez prise, vous êtes trop stressé, ne pensez plus à rien ! "Qui c'est le gros cochon qui va cracher rien que pour moi !" dit-elle d'une voix faussement amoureuse et lubrique.
– Rhhah ! Haah ! Vous allez me faire crever petite garce, je n'ai plus l'habitude de... Oooooh ! Haah ! souffla-t-il comme un bœuf, s'essuyant le front avec son mouchoir.
– Regardez-moi ! C'est ça ! Faites-moi plaisir... ! murmura-t-elle, prenant son air insolent.
Brutalement, elle gifla le gland sans le prévenir. Passant d'une tendresse presque enfantine, à une violence déconcertante. Le gland sous un succinct enchaînement de claques très précises, devint cramoisi en quelques secondes. La douleur éblouissante fouettait le sang, pour redonner une vigueur juvénile.
– Je sens que je bande, c'est terriblement bon ! Continuez de me torturer de cette façon, j'ai l'impression de retrouver ma prime jeunesse ! souffla Monsieur Jean, le visage un peu crispé.
– Comme il vous plaira ! dit la secrétaire, complètement déchaînée.
La pauvre extrémité pénienne accepta à nouveau la série de claques. Le bourgeon était en train de connaître une véritable résurrection morphologique.
Ensuite, Marlène en profita pour à nouveau pomper cette queue en pleine forme. Sa technique efficace, évitait toute commande de pilules bleues en vente libre à la pharmacie, même pour le dernier des grabataires en rut.
A force de s'amuser avec le sexe ragaillardi, ce dernier se mit à pleurer ses quelques larmes épaisses. Ravie d'avoir réussi ce petit exploit, elle aspira bien à fond la bite de Monsieur Jean sur le point de s'évanouir de bonheur.
– Vous voyez ! En faisant un gros effort, vous m'avez fait à nouveau un petit cadeau dans ma bouche ! N'en parlez surtout à personne, on ne vous croirait pas ! murmura-t-elle, tout léchant activement le gland du bout de la langue.
La gâterie enfin accomplie, Marlène se releva pour se rhabiller, aidant Monsieur Jean à enjamber la ridelle du pick-up. Titubant dans le garage, le vieil homme affichait un sourire radieux.
– Déjà 14 h 00, Cricri ne va pas tarder... dit-elle, regagnant son bureau un peu en panique.
Elle raccrocha le combiné téléphonique, puis son mari déboula à la minute sur le parking de devant. Une chance, les mécanos avaient relevé le rideau de fer. Le gros bourru, sortit de sa voiture. Marlène eût juste le temps de cacher sa petite culotte dans son sac à main, et se recoiffa à la hâte.
Voyant la salade encore posée sur le comptoir même pas entamée, il comprit que sa femme n'avait même pas pris le temps de déjeuner, sûrement débordée de boulot.
– Oh ma chérie, tu bosses trop, comme tu as les yeux cernés ! Promis on se fait un petit resto ce soir ! dit-il en l'embrassant sur le front.
Puis il tapa amicalement sur l'épaule de Monsieur Jean pour le diriger vers l'atelier. Échangeant quelques mots courtois, Il savait pertinemment que son client revenait pour la dixième fois pour son problème de carburateur.
Cet imbécile de cocu, toisa ses employés, le nez plongé dans le moteur.
– Les gars, je ne vous paye pas à rien foutre, bande de molasses ! grogna-t-il.
Les deux autres restèrent muets, affichant un sourire narquois, repensant à sa salope de femme qui les avait sucé mieux qu'une pute.
Descollages
À Bouloire, au fin fond de la campagne sarthoise, il était presque midi. Un fourgon blanc tout cabossé, surgit du garage Precisdium en marche arrière, crachant une fumée noire. La porte grand ouverte, les clés toujours sur le contact, Christian Ferchoux sort comme un fou, d'une démarche très énergique.
– Chérie ne m'attends pas pour manger, je vais chercher mes pièces à la casse de Mortagne-au-Perche. dit-il s'adressant à sa femme secrétaire, plantée derrière le comptoir rivée à son téléphone.
– Ok, sois prudent mon Cricri ! répondit-t-elle, masquant la partie basse du combiné de sa main gauche.
Sans attendre, le voilà déjà reparti, faisant crisser les pneus, évitant de peu d'emboutir le poteau électrique sur la chaussée humide. Le temps maussade n’arrangeait rien au moral de cet homme survolté, patron d'un petit garage au bord de la faillite.
Au moment de fermer boutique, Marlène aperçut Monsieur Jean, qui traversait péniblement la route dans les passages cloutés. Prise de pitié, elle n'eut pas l'audace d'actionner la clé pour abaisser le lourd rideau de fer.
– Alors Monsieur Jean, on a oublié les horaires ? lança-t-elle avec un sourire commercial des plus hypocrites.
– Oh, vous êtes bien aimable de m'attendre ! J'ai encore ma super 5 qui a un problème au niveau du carburateur... Bon Dieu de mécanique ! rouspéta le vieillard de 75 printemps.
Passant le seuil de la porte, Jean Grucier, fit une bise machinale à Madame Ferchoux.
– Eh bien, vous allez au bal disco habillée comme ça, ? dit-il, détaillant la tenue ultra sexy de la quarantenaire encore bien conservée.
Elle portait un boléro léopard révélant une superbe poitrine provocatrice. A vrai dire, on pouvait voir pratiquement la totalité de son soutien-gorge volontairement trop serré. Sa mini-jupe ras "la moule", montrait le haut de ses collants jarretelles noirs, invitant à tous les vices.
– J'ai envie de rester jeune et désirable, le temps passe tellement vite, vous savez ! Et puis parfois, j'aime bien exciter mes clients c'est bon pour le commerce paraît-il, s'exclama-t-elle tout en se dandinant la poitrine bien penchée en avant.
Sans aucune pudeur, le vieux vicieux commença à lui peloter la marchandises par des effleurements étudiés, au niveau des tétons qui commencèrent à se dresser sous les petites cajoleries.
– Hum, et bien vous n'avez pas perdu la main, caressez-moi le cul tant que vous y êtes gros cochon ! dit-elle, avec un large sourire.
Sans attendre, Monsieur Jean, souleva la mini-jupe pour découvrir la culotte en dentelle. Son majeur massa le clitoris déjà bombé. Une simple petite pression, et voilà Madame la secrétaire qui commençait déjà à gémir. La voyant se laisser faire, il introduisit son majeur dans sa chatte et goûta le jus tiède qui commençait à perler.
C'était sa façon particulière de dire bonjour à sa petite "princesse", comme il l'appelait fréquemment.
– Eh, bien on dirait que vous êtes en chaleur comme ma chienne Rita ! Baissez votre rideau, j'ai envie de vous tenir un peu compagnie. Ça vous avait bien plu la dernière fois, non ? souffla-t-il péniblement, excité comme un jeune puceau devant une pute.
En tortillant son joli cul, elle s'avança vers le commutateur, puis ils furent plongés dans la semi-obscurité. Le siège de bureau roula d'un quart de tour, Marlène s'écroula tout au fond écartant bien les cuisses.
– Les femmes en manque comme vous, je les connais bien ! Il faut s'en occuper au plus vite, sinon elles deviennent complètement hystériques. Maintenant enlevez vite votre petite culotte, que j'explore un peu votre petite chatte.
La fausse-blonde fit glisser son string en dentelle le long de ses chevilles fuselées pour la poser délicatement du bout des doigts sur le bureau, près de son clavier d'ordinateur. Autant dire que le téléphone à cet instant précis, était en total dérangement.
– Broutez-moi la chatte vieux cochon ! j'ai mouillé comme une folle toute la matinée... murmura-t-elle tout en appuyant sur la tête de Monsieur Jean déjà parti à farfouiller la cicatrice poilue toute moite et odorante.
L'expérience du vieil homme était un pur délice. Au lieu de s'acharner sur le clitoris bien sorti de sa cachette, sa langue s'amusait sur les grosses lèvres puis les petites en formant des "S" majestueux. Avec la patience d'un ange, il venait de l'allumer tel un feu incandescent, rendant de plus en plus fluide ce sexe béant de plaisir.
Prise de frissons voluptueux, elle dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses énormes seins en forme de poire, puis les pris avec la paume des mains pour les soupeser. Titillant légèrement les bourgeons bruns, Marlène s'abandonna, laissant retomber sa tête en arrière les yeux mi-clos.
Puis Monsieur Jean humecta son majeur quelques secondes pour introduire celui-ci dans le petit trou rosé à la base des fesses. Il savait que ce geste allait provoquer chez elle une montée en puissance de frissons savoureux. La petite masturbation anale l'a fit gémir instantanément.
– Oh oui... Baisez mon cul avec votre doigt, c'est booon ! Ouuuuui ! Allez mon salaud ! Vous me faites tellement de biiiiien ! susurra-t-elle, caressant les cheveux gris en broussaille.
– Slurp, Slurp, Han ! Han ! souffla l'autre, comme un assoiffé. C'est tellement bon de goûter à votre chatte de salope ! dit-il, entre deux fines aspirations baveuses.
– Montrez voir votre jolie bouche poisseuse ! lança-t-elle ravie de voir que les lèvres du lécheur luisaient admirablement. Maintenant que je suis chaude et trempée, j'aimerais que vous vous dépêchiez un peu plus avec vos léchouilles, d'accord mon biquet !
– Je ferais n'importe quoi pour vous faire mouiller, vous le savez bien ! souffla-t-il, les yeux levés vers le ciel.
Marlène leva une jambe sur l'accoudoir du fauteuil de bureau. Totalement détendue et offerte à ce vieux vicieux, son corps tout entier s'abandonna oubliant tout le reste. Monsieur Jean se régalait comme un animal. Il était loin le temps où il pouvait encore toucher son épouse Paulette, aujourd'hui victime de sécheresses vaginales irréversibles.
Voyant que la secrétaire commençait sérieusement à gémir bruyamment, il plaqua ses deux mains légèrement crochues pour tenir en respect les cuisses de la blonde nymphomane.
– Si vous continuez de bouger ainsi, je ne vais pas pouvoir vous lécher comme il faut ! grogna-t-il replongeant avec délice dans la fente abondamment lubrifiée.
Désormais son nez titillait le clitoris retourné à l'abri sous son capuchon de chair protectrice. Tournant la tête de droite à gauche à une vitesse phénoménale, sa langue en arc de cercle, lapait hardiment cette vulve savoureuse.
– Encore, Encore ! Ouuuui ! J'aime vos léchouilles de gros porc ! Faites-moi jouir ! Ouuui ! Oh, mon dieu Ouuuuuui ! Hurla-t-elle, se trémoussant ravagée par un orgasme foudroyant.
Satisfait de sa petite performance buccale, il savait qu'il fallait ralentir la cadence pendant la phase de récupération. Son front perlait de sueur, lui, qui n'avait pas quitter sa veste de costume en tweed.
Apaisée d'avoir pris son pied, Marlène le tira par la cravate pour l'obliger à se lever.
– Hum, petit coquin, venez m'embrassez vous l'avez bien mérité ! murmura-t-elle, les yeux brumeux.
Elle voulait à tour pris goûter sa propre mouille restée sur les lèvres de son bienfaiteur. Leurs langues jouèrent ensemble pour savourer la cyprine tiède mélangée au nectar féminin.
Mais juste au moment où les deux langues finirent par se séparer enfin, la porte du fond s'ouvrit brutalement. C'était Tony le chef d'atelier qui arrivait tenant dans sa main graisseuse, un devis à moitié plié.
Voyant ces deux-là, il ne tarda pas à comprendre ce qui venait de se passer.
La secrétaire à moitié débraillée, était encore la chatte ouverte, le visage empourpré de honte. Monsieur Jean, aurait voulu prendre la fuite, mais le store était à demi fermé. Pris sur le fait comme deux coupables ils restèrent figés quelques secondes.
– Alors pépère, on s'est bien amusé ! Je doute que tu aies réussi à lui grimper dessus à ton âge ! ricana-t-il, se rapprochant un peu.
Le mécano fixa Marlène un instant. Elle lui sourit lubriquement sachant pertinemment que son petit cunnilingus, n'était qu'une petite mise en bouche pour une suite beaucoup plus agitée. Son vagin palpitait déjà à l'avance, pressé de faire la conversation à un membre viril.
– Suis-moi grosse cochonne, on n'a pas beaucoup de temps devant nous ! Et toi aussi papy, j'aime bien quand quelqu'un nous mate, surtout un vicelard comme toi ! Siffla-t-il agrippant par le poignet la fausse-blonde entraînée sans résistance.
Les voilà dans le garage au milieu voitures en réparation. L'odeur du cambouis et des pneumatiques avait depuis toujours excité Marlène. C'était le temple des mâles en rut. Parfois les relents de sueur mélangés à la crasse, la faisait chavirer de désir.
– Eh, Benjamin, regarde qui j'amène ! Tu vas m'aider à la baiser ! Plus on est de fous ! lança-t-il, au jeune mécano de 20 ans, qui se cogna maladroitement la tête dans le capot à la vue de la secrétaire attifée comme une véritable pute.
Ce grand blond avait eut si souvent envie d'elle. Les femmes mûres c'était son truc. Plus d'expérience, et surtout elles étaient comme des chaudières, les meilleures baiseuses selon lui. Et voilà qu’aujourd’hui il allait réaliser son plus beau fantasme. Autant dire que sous le bleu de travail, sa queue s'agitait déjà contre son boxer trop serré.
– J'arrive tout de suite ! répondit-t-il, prenant le temps d'essuyer ses mains dans un chiffon loin d'être propre.
A peine étonné de voir Monsieur Jean, à qui il serra la pince fermement, il suivit le trio qui serpentait vers le fond du local. Un ancien pick-up caché par des piles de pneus n'avait pas eu la chance d'être réparé. L'endroit semblait tout indiqué. Un vieux matelas occupait le fond du très large plateau métallique, et la ridelle était abaissée : un véritable petit nid d'amour miteux les attendait.
– Monte là-dedans ma belle ! dit Tony, profitant de plaquer sa main sur son cul rebondi, pour l'aider grimper.
Rapidement elle se mit à poil, prenant bien soin de mettre ses vêtements en bouchon dans un coin, pour ne pas les salir. Puis elle s'allongea sur le dos, caressant ses jolis seins, sensibles à ses propres attouchements.
– C'est ça commence à te caresser, on va bien s'occuper de toi mon amour ! dit-Tony, empêtré dans les bretelles de sa salopette.
Le métis atteignit finalement sa braguette pour faire prendre l'air son énorme queue toute gonflée. Elle était longue, très longue : un véritable serpent bronzé. Terminée par une joli champignon rosé, qu'il baptisait souvent "sa tête chercheuse".
Un peu moins fier, Benjamin, exhiba à son tour sa bite beaucoup plus courte. Très poilue, et large on eût dit une banane fripée. En revanche son gland était bizarrement disproportionné. Cette particularité intrigua la secrétaire qui commençait écarter les jambes : comme l'ultime signe d'une invitation.
– Venez mes chéris, j'ai besoin de vous sentir contre moi ! dit-elle, faisant un petit geste de la main.
De son côté, Monsieur Jean excité par ce spectacle très intéressant prit un petit escabeau qu'il plaqua contre la carrosserie. Le malheureux, n'eut pas le privilège de grimper dans le lit de fortune. Il fallait bien trouver une autre solution.
– Baisez-la bien ! A votre place je l'aurais déjà bourré comme la dernière des salopes ! gronda le vieux vicieux, relégué au rang de spectateur oisif.
– T'inquiètes pas pépère, tu vas en prendre plein la vue, tu peux me croire ! apostropha Tony, qui pelotait fermement les globes légèrement hâlés de la fausse-blonde.
Pendant ce temps, Marlène gémissait sous les baisers fougueux de Benjamin, manquant de l'étouffer. La langue du jeune homme fouillait sa bouche avec ardeur prenant à peine le temps de respirer.
Puis voilà notre belle secrétaire tenant dans chaque main les membres virils brûlants et orgueilleux. Elle les branlait lentement au même tempo, décalottant leurs bourgeons qui leurs faisait mal à présent.
Soudain, le ventre de Marlène fit un gargouillement sonore peu discret.
– Eh, bien on dirait que tu as faim ? Je connais un truc infaillible pour te rassasier en protéines... ricana Tony, obligeant la secrétaire à stopper net la petite fête masturbatoire.
– Oh, ouais ! Ma belle tu vas nous sucer à tour de rôle, tu vas pouvoir tromper ta faim avec notre foutre salope ! dit Benjamin, les yeux animés par le vice.
Les deux mécanos se mirent à genoux de chaque côté, et caressèrent d'abord les joues rosés de la secrétaire avec leur pénis raidi, avant de faire coulisser de manière horizontale leurs membres tendus d'excitation, sur les lèvres humides de la bouche entrouverte.
– C'est ça lèche les deux en même temps, oui ! C'est très bien ! Voilà, encore ! encouragea Tony.
Les deux bites n'étaient désormais séparées que par cette langue gourmande, qui titillait les bulbes turgescents. Cet hommage personnel des plus flatteur commencèrent à faire gémir les deux ouvriers en pleine extase.
N'en perdant pas une miette, le vieux continuait de les reluquer du haut de son petit escabeau. De sa main droite, il ne pu d'empêcher de chercher au fond de son slip puant la pisse, son sexe d'une érection ridicule.
– Allez ma princesse branle-les ! Ils vont tellement exploser dans ta bouche que tu n'aurais plus besoin de manger ta petite salade du midi ! grogna-t-il, tout en se paluchant lamentablement.
– Ferme ta grande gueule, espèce de pervers à deux balles, nous on prend un pied d'enfer, laisse-la continuer comme elle a envie ! ronchonna Tony, lançant un regard furibard vers le vieux chnoque qui trépignait sur ses jambes.
N'écoutant que ses pulsions lubriques, Marlène lécha de plus en plus lentement les deux bonbon devenus hyper-sensibles. En bonne fellatrice, elle aimait vicieusement retarder l'éjaculation, allumant "la rage des couilles" comme elle disait souvent.
Voyant un de ses partenaires se crisper, elle comprit tout de suite qu'il allait venir dans les brèves secondes qui suivirent.
– Vas-y mon lapin, lâche-toi dans ma bouche à présent ! lança-t-elle à Benjamin, pris de contorsions, le regard fixe.
Elle se tourna vers la droite pour accueillir sa queue boursouflée. Le petit gland rosé cracha instantanément sa petite purée blanchâtre. Recueillie sur la langue, liqueur épaisse n'eût aucune difficulté à trouver le chemin de la gorge de Marlène, qui avala la totalité en déglutissant à plusieurs reprises.
– Oh oui c'est ça, petite salope prends tout ! Ouais ! gémit le jeune, comblé de la voir se rassasier de son foutre chaud.
Le laissant savourer son orgasme, la secrétaire ne suça pas tout de suite le bourgeon rouge vif. Le jeune mécano se retira de lui-même, laissant davantage de place au sexe proéminent de son chef d'atelier qui bandait furieusement à côté.
– A mon tour, ma chérie ! Murmura-t-il, jouant à enfoncer délicatement sa bite dans la bouche légèrement souillée.
En queutard d'expérience, il pouvait retenir d'éjaculer sur commande. Cette technique lui avait demander des années de pratique, pour le plus grand bonheur de ses partenaires insatiables.
Voyant qu'il jouait a ce petit jeu, elle prit les choses en mains dans tous les sens du terme.
Le branlant du bout des doigts, la secrétaire affamée prit la hampe virile tout au fond de sa bouche malgré la taille impressionnante.
– Elle te plaît ma grosse saucisse ? bouffe-la, ouais, allez Marlène, tu resteras ma petite pute ! rugit-il, enculant sa bouche, butant jusqu'au fond.
– Honhon, ! Slurp ! Mooonh ! Haaaah ! souffla-t-elle, tout en reprenant sa respiration. Elle est tellement bonne ta queue ! Je me régale comme la dernière des salopes ! Quand-est-ce que tu me fais goûter ton sperme, j'ai envie de le comparer à ton collègue ! dit-elle fixant dans les yeux, le chef d'atelier.
– Un peu de patience ma jolie, ça se mérite tu sais ! lança-t-il, sachant pertinemment qu'elle allait le faire cracher d'une seconde à l'autre.
Un dernier coup de rein, suivi d'une tension significative au niveau des cuisses et... Hum oui, voilà le soulagement liquide s'évacuant par de violentes salves, tenant toutes ses promesses en termes de quantité.
Un peu plus sucré que le nectar précédent, Marlène ne se fit pas prier pour l'avaler presque d'un trait cette fois. Le fond de sa gorge gourmande, comblé par cette source masculine, semblait même en redemander.
– C'est ce que j'appelle "mon petit dessert" ! dit-elle, tout en lustrant savamment le membre vidé mais resté encore très dur malgré l'orgasme fulgurant.
– T'es vraiment une cochonne toi ! le patron a de la chance d'être marié avec toi... si j'étais à sa place tu prendrais cher jour à nuit ! lança le métis, à peine soulagé.
A cet instant, Monsieur Jean, complètement hystérique, enjamba péniblement la remorque du pick-up. Pantalon à moitié baissé, le voilà écartant les jambes, tenant sa petite bite serrée entre le pouce et l'index, soumis à une branlette frénétique.
– Petite chienne, regarde ce que tu vas prendre sur tes nichons ! cria-t-il, arqué en arrière.
Médusés, les deux mécanos s'esclaffèrent, fixant le vieux cochon, dont la libido, semblait-il, n'avait pas diminué malgré son âge avancé.
– Monsieur Jean, et votre cœur alors ! ricana Marlène, le regardant lubriquement se débattre avec son sexe ridicule.
– Han ! Han ! Ouh ! Han ! Oooooh ! gémit-il, au bord de l'évanouissement. Bande de salauds, quand j'avais votre âge, croyez-moi.
– On sait pépère, alors tu viens quand, c'est long ! se moqua Benjamin, plié en deux.
– Allez Monsieur Jean, vous allez jouir j'en suis certaine ! Elle vous plaît ma petite chatte dites-moi ? Après me l'avoir dévoré, j'aimerais bien votre petite purée sur mes poils ! miaula-t-elle d'une voix suave.
Le visage rouge, rempli de sueur, il secoua une dernière fois les hanches pour atteindre le grand frisson final.
Étrangement le petit pénis rabougri, ne manqua pas de surprendre tout le monde. Un jet exceptionnel finit par gicler énergiquement jusqu'à la poitrine généreuse de la secrétaire, malgré la distance. Sûrement dû à la trop forte frustration accumulée, le foutre chaud venait de battre un petit record notable. Les deux mâles restèrent bouche-bée.
– Eh ben mon vieux ! Il a encore du jus dans le poireau ! Allez Marlène, suce-le, il l'a bien mérité ! suggéra Tony, sur un ton compatissant.
La secrétaire bienveillante se releva lentement pour saisir le pénis déjà mou. Elle le raviva de sa langue soyeuse, en émettant des bruits de succions accentués. Le gland flétri retrouva de légers signes de vigueur.
– Alors Monsieur Jean, on dirait que Popol semble aimer les câlins ? dit-elle sur un ton rieur.
Le pervers ainsi satisfait, ferma les yeux, pendant que la langue joueuse continuait de s'enrouler inlassablement sur le bourgeon décalotté, prodiguant des cajoleries digne d'une pute expérimentée. De son côté, la main manucurée, caressait les couilles plates et poilues, entraînant des décharges électriques voluptueuses, qui firent gémirent de plaisir le vieux cochon ébahi.
– Mon Dieu, vous êtes vraiment faite pour la pipe, c'est incontestable ! murmura-t-il, les yeux dans le vague.
Fini la bagatelle pour certains. Regardant subitement la pendule au fond du local, les deux mécanos s'habillèrent à toute vitesse. Il était déjà 13 h 45, autant dire qu'ils n'avaient plus qu'un petit quart d'heure pour reprendre des forces avant de retourner bosser.
– Tu ne perds rien pour attendre Marlène chérie, la prochaine fois on te prend par les deux trous en même temps, crois-moi qu'on va te défoncer ! ronchonna Tony, pointant du doigt l'horloge.
Restant sourde à ces derniers propos, la secrétaire était trop occupée à pomper le dard de Monsieur Jean. Il n'allait pas partir s'en cracher une dernière fois. C'était prendre un bien grand risque. Mais Marlène aimait la bite, surtout quand l'une d'elle se trouvait entre ses lèvres chaudes.
Agitant sa tête d'avant en arrière, secouant sa jolie nuque, voilà notre fellatrice repartie de plus belle dans son exercice favori. Avec une véritable aisance, elle goba la totalité du membre viril devenu très dur. Elle était capable du plus beau des miracles, pour peu que son partenaire aie un peu de patience.
– Préparez-vous, à une petite branlette ! lança-t-elle, tout en ouvrant grand la bouche, sortant sa langue rose au maximum.
Sans serrer trop fort le petit pénis, elle fit des va-et-vient de bas en hauts, élégants, mais très rapides. La vision de l'appendice lingual ainsi sorti à l'extrême, n'avait d'autre but que d'exciter Monsieur Jean. Qui aurait pu résister, dites-le moi ? Hum oui, cette bouche avait toujours faim ou soif...
– C'est ça, respirez à fond, détendez-vous ! Je sens que vous allez venir... oh la la, lâchez prise, vous êtes trop stressé, ne pensez plus à rien ! "Qui c'est le gros cochon qui va cracher rien que pour moi !" dit-elle d'une voix faussement amoureuse et lubrique.
– Rhhah ! Haah ! Vous allez me faire crever petite garce, je n'ai plus l'habitude de... Oooooh ! Haah ! souffla-t-il comme un bœuf, s'essuyant le front avec son mouchoir.
– Regardez-moi ! C'est ça ! Faites-moi plaisir... ! murmura-t-elle, prenant son air insolent.
Brutalement, elle gifla le gland sans le prévenir. Passant d'une tendresse presque enfantine, à une violence déconcertante. Le gland sous un succinct enchaînement de claques très précises, devint cramoisi en quelques secondes. La douleur éblouissante fouettait le sang, pour redonner une vigueur juvénile.
– Je sens que je bande, c'est terriblement bon ! Continuez de me torturer de cette façon, j'ai l'impression de retrouver ma prime jeunesse ! souffla Monsieur Jean, le visage un peu crispé.
– Comme il vous plaira ! dit la secrétaire, complètement déchaînée.
La pauvre extrémité pénienne accepta à nouveau la série de claques. Le bourgeon était en train de connaître une véritable résurrection morphologique.
Ensuite, Marlène en profita pour à nouveau pomper cette queue en pleine forme. Sa technique efficace, évitait toute commande de pilules bleues en vente libre à la pharmacie, même pour le dernier des grabataires en rut.
A force de s'amuser avec le sexe ragaillardi, ce dernier se mit à pleurer ses quelques larmes épaisses. Ravie d'avoir réussi ce petit exploit, elle aspira bien à fond la bite de Monsieur Jean sur le point de s'évanouir de bonheur.
– Vous voyez ! En faisant un gros effort, vous m'avez fait à nouveau un petit cadeau dans ma bouche ! N'en parlez surtout à personne, on ne vous croirait pas ! murmura-t-elle, tout léchant activement le gland du bout de la langue.
La gâterie enfin accomplie, Marlène se releva pour se rhabiller, aidant Monsieur Jean à enjamber la ridelle du pick-up. Titubant dans le garage, le vieil homme affichait un sourire radieux.
– Déjà 14 h 00, Cricri ne va pas tarder... dit-elle, regagnant son bureau un peu en panique.
Elle raccrocha le combiné téléphonique, puis son mari déboula à la minute sur le parking de devant. Une chance, les mécanos avaient relevé le rideau de fer. Le gros bourru, sortit de sa voiture. Marlène eût juste le temps de cacher sa petite culotte dans son sac à main, et se recoiffa à la hâte.
Voyant la salade encore posée sur le comptoir même pas entamée, il comprit que sa femme n'avait même pas pris le temps de déjeuner, sûrement débordée de boulot.
– Oh ma chérie, tu bosses trop, comme tu as les yeux cernés ! Promis on se fait un petit resto ce soir ! dit-il en l'embrassant sur le front.
Puis il tapa amicalement sur l'épaule de Monsieur Jean pour le diriger vers l'atelier. Échangeant quelques mots courtois, Il savait pertinemment que son client revenait pour la dixième fois pour son problème de carburateur.
Cet imbécile de cocu, toisa ses employés, le nez plongé dans le moteur.
– Les gars, je ne vous paye pas à rien foutre, bande de molasses ! grogna-t-il.
Les deux autres restèrent muets, affichant un sourire narquois, repensant à sa salope de femme qui les avait sucé mieux qu'une pute.
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