La fête au village
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La fête au village
Depuis hier c'est la fête au village. Je suis venu spécialement chez ma grand-mère pour cet événement. Ce n'est pas que je sois un fondu de ce genre d'événement, dans la famille c'est une unique occasion pour se retrouver frères, sœurs, nièce, neveux, oncles etc.….. Tout le monde est content. Nous partons tous vers le centre du village pour assister à un match de basket. Je ne suis pas fana de sport pour un sou. Par contre l'intérêt à mes yeux est que ce match est féminin. Je remarque une des joueuses qui outre son allure sexy est très belle. Je ne suis pas le seul à la regarder. Pour moi le match dure trop longtemps: j'ai envie de rencontrer cette demoiselle. Pour moi rencontrer veut surtout dire être seul avec elle dans un endroit tranquille pour lui faire des choses.
Enfin les joueuses se retirent à la fin de la rencontre pour aller certainement prendre une douche. Je demande autour de moi où diable les douches se situent. J'ai une réponse : je me précipite et attends tranquillement. Enfin je la vois sortir: elle n'est pas seule, malheureusement. Je la salue en m'inclinant et en ajoutant un" à tout à l'heure". Elle me regarde d'un air dubitatif. Je la suis de loin pour la voir entrer dans le bistro pour commander un café. Elle continu à bavarder avec sa copine. Elles éclatent souvent de rire.
Une musique dehors: c'est le bal qui commence. Je n'aime pas danser, je me fiche de la musique sauf la classique. Il faut croire ma belle est comme moi : elle reste seule avec son café. Je m'approche en souriant elle me reconnaît.
- Vous êtes la personne qui m'avez dit à tout à l'heure.
- Exactement, je voulais bavarder avec vous;
- Avec moi ?
- Oui, je vous trouve…………….
Je la drague ouvertement. Elle doit trouver la chose agréable puisqu'elle répond toujours, jusqu'au moment où je l'invite à sortir avec moi.
Je connais un peu le village, et je connais un endroit isolé où personne ne viendra nous déranger. Elle accepte de me suivre. Nous n'allons pas loin, juste sous un bosquet. J'ai pris son bras. Elle me laisse la guider: nous nous enfonçons dans ce bois. Je trouve ce que je cherchais: une souche couchée sous un grand arbre.
Nous nous y asseyions. Elle se doute de la suite et peut être la souhaite, sinon elle serait partie. Je l'embrasse sur la bouche. Nos langues sont vite à la manœuvre. Je lui touche à peine le seins qu'elle me met aussitôt une main sut ma queue dans le pantalon: elle me fait bander, me regarde en souriant
- C'est bien se que tu voulais, non ?
- Bien sur je le voulais, je voulais aussi te faire du bien.
Elle enjambe la souche, ses jambes en sont très écartées. Je me mets comme elle. Je regarde son entrejambe: elle ne porte pas de slip. Je vois une bonne partie de son sexe. Je remarque aussitôt qu'elle est bien humide. Je n'ai même pas le temps de lui caresser le clitoris, qu'elle défait ma ceinture, la fermeture éclair et me sort ma bite bien bandée. Elle se rapproche de moi, Enfin je peux lui mettre une main là où se trouve son bouton. Je commence par la masturber. Elle rectifie la position de ma main. Je n'est pas besoin la guider: elle prend ma queue dans sa main droite et me branle comme une vieille initiée. Nos avant bras se touchent pendant que nous nous branlons. J'aimerai qu'elle me fasse jouir vite. Sa main arrête ses mouvements pour venir me caresser les couilles avec prudence.
Pour ma part je laisse mes doigts là où ils étaient. L'inévitable se produit: elle pousse un léger soupir en jouissant. Ce n'est qu'un début: elle se lève, me demande de la déshabiller ce que je fait aussitôt. Elle reprend sa position à cheval sur la souche. Je remarque qu'elle est plutôt musclée, avec une belle poitrine et une taille fine, comme beaucoup de sportives. Je suis nu, comme elle, dans la même position:
- Baises moi, maintenant, j'en au envie.
- Moi aussi j'ai envie de toi.
- Vite, mets moi la.
Je veux bien, mais comment faire dans cette position ?
- Viens te la mettre sur moi.
- Je préférerai que te me la mettes comme nous sommes.
Je m'approche d'elle, ma bite en avant. Elle se renverse en arrière, les jambes toujours de chaque coté de la souche. Quand je suis tout proche, elle lève ses jambes pour les mettre sur les miennes. Je suis obligé de me mettre en avant pour arriver à son vagin. Je la lui mets lentement. Elle se tend pour mieux me recevoir. Je la baise comme si elle était une poupée. Elle se crispe plusieurs fois en jouissant. Je la prend par les hanches, la lui met à fond avant de jouir à mon tour.
Nous nous séparons: elle retrouve sa position à cheval. Elle se penche sur moi pour déguster ma bite: il n'y a pas d'autre mot: elle me nettoie toute ma pine de sa cyprine mélangée à mon sperme. Elle fait une telle toilette que je bande comme si je ne l'avais pas baisée.
- Tu veux me la mettre ailleurs ?
- Quel ailleurs ?
- Mon petit trou, pardi !
Qu'elle charmante demande pour une sodomie. Elle se tourne, toujours à cheval, se relève un peu comme une cavalière menant une monture rétive. Je n'ai qu'à me rapprocher pour trouver son cul. Elle le mouille un peu :
- Vas-y mets la moi. Je me branle en même temps.
Je m'approche de ses fesses que je caresse avant de lui donner satisfaction. Et encore j'y vais doucement: ma queue passe lentement entre ses fesses. Je touche son anus avec le but de ma queue. Je n'y rentre pas.
- Vite, mets moi la, j'en ai trop envie.
On durait une petite fille à qui on a promis un bonbon.
J'ai aussi envie de son cul. Je sais par expérience qu'il ne faut pas précipiter les choses en baisant. Je rentre très lentement mon gland dans cet anus offert. Ce lentement ne lui suffit plus: elle m'oblige à la sodomiser aussitôt. Je navigue dans son cul comme s'il était très large: elle a du en voir passer des bites à cet endroit. Je la lui mets à fond. Je sens mes couilles contre sa main qui est sur son clitoris. Je me penche pour lui embrasser le dos, puis le lécher. Elle transpire depuis le début de notre accouplement. Je dois être comme elle. Je sens son anus se fermer à chaque crispation de jouissance. Et Dieu ou le diable sait combien de fois elle jouit.
Je ne sort d'elle qu'après ma propre jouissance qui arrive trop vite à mon goût: son cul est un havre d'orgasmes masculin et féminin.
Enfin nous reprenons une position normale. Je l'embrasse toujours, lui caresse la poitrine, mes épaules, les cuisses. Je voulais la câliner après cette baise. Je ne fais que l'exciter encore plus. Elle reprend ma queue pour une fois encore me donner du plaisir. Elle me branle lentement. Elle ouvre ses jambes prend ma main:
- Branles moi encore, tu sais bien le faire. Nous allons jouir une dernière fois en nous branlant. Je lui remets la main au con, je caresse son clitoris en la doigtant. Elle a la bonne vie: elle se contente de baisser et lever la peau de ma bite. Elle jouit plusieurs fois encore. A chaque jouissance elle arrête de me masturber, pour reprendre aussitôt après. Je jouis tellement que mon sperme jaillis sur elle. Sans embarras, elle nettoie les traces de mon orgasme avec ses doigts pour les lécher.
Nous nous rhabillons, juste à temps: un autre couple vient vers nous. Elle commente:
- Dommage: s'ils étaient venus plus tôt on aurait pu faire une petite partouze, j'aime bien sucer les filles...
Enfin les joueuses se retirent à la fin de la rencontre pour aller certainement prendre une douche. Je demande autour de moi où diable les douches se situent. J'ai une réponse : je me précipite et attends tranquillement. Enfin je la vois sortir: elle n'est pas seule, malheureusement. Je la salue en m'inclinant et en ajoutant un" à tout à l'heure". Elle me regarde d'un air dubitatif. Je la suis de loin pour la voir entrer dans le bistro pour commander un café. Elle continu à bavarder avec sa copine. Elles éclatent souvent de rire.
Une musique dehors: c'est le bal qui commence. Je n'aime pas danser, je me fiche de la musique sauf la classique. Il faut croire ma belle est comme moi : elle reste seule avec son café. Je m'approche en souriant elle me reconnaît.
- Vous êtes la personne qui m'avez dit à tout à l'heure.
- Exactement, je voulais bavarder avec vous;
- Avec moi ?
- Oui, je vous trouve…………….
Je la drague ouvertement. Elle doit trouver la chose agréable puisqu'elle répond toujours, jusqu'au moment où je l'invite à sortir avec moi.
Je connais un peu le village, et je connais un endroit isolé où personne ne viendra nous déranger. Elle accepte de me suivre. Nous n'allons pas loin, juste sous un bosquet. J'ai pris son bras. Elle me laisse la guider: nous nous enfonçons dans ce bois. Je trouve ce que je cherchais: une souche couchée sous un grand arbre.
Nous nous y asseyions. Elle se doute de la suite et peut être la souhaite, sinon elle serait partie. Je l'embrasse sur la bouche. Nos langues sont vite à la manœuvre. Je lui touche à peine le seins qu'elle me met aussitôt une main sut ma queue dans le pantalon: elle me fait bander, me regarde en souriant
- C'est bien se que tu voulais, non ?
- Bien sur je le voulais, je voulais aussi te faire du bien.
Elle enjambe la souche, ses jambes en sont très écartées. Je me mets comme elle. Je regarde son entrejambe: elle ne porte pas de slip. Je vois une bonne partie de son sexe. Je remarque aussitôt qu'elle est bien humide. Je n'ai même pas le temps de lui caresser le clitoris, qu'elle défait ma ceinture, la fermeture éclair et me sort ma bite bien bandée. Elle se rapproche de moi, Enfin je peux lui mettre une main là où se trouve son bouton. Je commence par la masturber. Elle rectifie la position de ma main. Je n'est pas besoin la guider: elle prend ma queue dans sa main droite et me branle comme une vieille initiée. Nos avant bras se touchent pendant que nous nous branlons. J'aimerai qu'elle me fasse jouir vite. Sa main arrête ses mouvements pour venir me caresser les couilles avec prudence.
Pour ma part je laisse mes doigts là où ils étaient. L'inévitable se produit: elle pousse un léger soupir en jouissant. Ce n'est qu'un début: elle se lève, me demande de la déshabiller ce que je fait aussitôt. Elle reprend sa position à cheval sur la souche. Je remarque qu'elle est plutôt musclée, avec une belle poitrine et une taille fine, comme beaucoup de sportives. Je suis nu, comme elle, dans la même position:
- Baises moi, maintenant, j'en au envie.
- Moi aussi j'ai envie de toi.
- Vite, mets moi la.
Je veux bien, mais comment faire dans cette position ?
- Viens te la mettre sur moi.
- Je préférerai que te me la mettes comme nous sommes.
Je m'approche d'elle, ma bite en avant. Elle se renverse en arrière, les jambes toujours de chaque coté de la souche. Quand je suis tout proche, elle lève ses jambes pour les mettre sur les miennes. Je suis obligé de me mettre en avant pour arriver à son vagin. Je la lui mets lentement. Elle se tend pour mieux me recevoir. Je la baise comme si elle était une poupée. Elle se crispe plusieurs fois en jouissant. Je la prend par les hanches, la lui met à fond avant de jouir à mon tour.
Nous nous séparons: elle retrouve sa position à cheval. Elle se penche sur moi pour déguster ma bite: il n'y a pas d'autre mot: elle me nettoie toute ma pine de sa cyprine mélangée à mon sperme. Elle fait une telle toilette que je bande comme si je ne l'avais pas baisée.
- Tu veux me la mettre ailleurs ?
- Quel ailleurs ?
- Mon petit trou, pardi !
Qu'elle charmante demande pour une sodomie. Elle se tourne, toujours à cheval, se relève un peu comme une cavalière menant une monture rétive. Je n'ai qu'à me rapprocher pour trouver son cul. Elle le mouille un peu :
- Vas-y mets la moi. Je me branle en même temps.
Je m'approche de ses fesses que je caresse avant de lui donner satisfaction. Et encore j'y vais doucement: ma queue passe lentement entre ses fesses. Je touche son anus avec le but de ma queue. Je n'y rentre pas.
- Vite, mets moi la, j'en ai trop envie.
On durait une petite fille à qui on a promis un bonbon.
J'ai aussi envie de son cul. Je sais par expérience qu'il ne faut pas précipiter les choses en baisant. Je rentre très lentement mon gland dans cet anus offert. Ce lentement ne lui suffit plus: elle m'oblige à la sodomiser aussitôt. Je navigue dans son cul comme s'il était très large: elle a du en voir passer des bites à cet endroit. Je la lui mets à fond. Je sens mes couilles contre sa main qui est sur son clitoris. Je me penche pour lui embrasser le dos, puis le lécher. Elle transpire depuis le début de notre accouplement. Je dois être comme elle. Je sens son anus se fermer à chaque crispation de jouissance. Et Dieu ou le diable sait combien de fois elle jouit.
Je ne sort d'elle qu'après ma propre jouissance qui arrive trop vite à mon goût: son cul est un havre d'orgasmes masculin et féminin.
Enfin nous reprenons une position normale. Je l'embrasse toujours, lui caresse la poitrine, mes épaules, les cuisses. Je voulais la câliner après cette baise. Je ne fais que l'exciter encore plus. Elle reprend ma queue pour une fois encore me donner du plaisir. Elle me branle lentement. Elle ouvre ses jambes prend ma main:
- Branles moi encore, tu sais bien le faire. Nous allons jouir une dernière fois en nous branlant. Je lui remets la main au con, je caresse son clitoris en la doigtant. Elle a la bonne vie: elle se contente de baisser et lever la peau de ma bite. Elle jouit plusieurs fois encore. A chaque jouissance elle arrête de me masturber, pour reprendre aussitôt après. Je jouis tellement que mon sperme jaillis sur elle. Sans embarras, elle nettoie les traces de mon orgasme avec ses doigts pour les lécher.
Nous nous rhabillons, juste à temps: un autre couple vient vers nous. Elle commente:
- Dommage: s'ils étaient venus plus tôt on aurait pu faire une petite partouze, j'aime bien sucer les filles...
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