La fille qui ne sait rien : 1° partie
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La fille qui ne sait rien : 1° partie
Lorsque j'ai démarré dans la vie, je ne connaissais rien à rien.
Pourtant un jour de déprime je regarde par la fenêtre et juste en face, je vois un couple qui s'embrasse tendrement sur la bouche, comme au cinéma. Sur un écran on peu de temps en temps voir un couple allongé sur un lit et puis plus rien. Je sais qu'il doit se passer quelque chose, mais quoi ?
J'ai été élevée dans une famille très stricte et ce n'est qu'à la disparition de mes parents qu'il a fallut que je me débrouille seule, puisque toute mon éducation scolaire avait lieu chez moi, avec une enseignante plutôt revêche.
Je regarde toujours ce couple qui commence à se caresser jusqu'à se déshabiller. Pour la première fois de ma vie je vois une femme et un homme nus. Pour la femme je n'ai pas de surprise, je suis bâtie comme elle, par contre l'homme s'il n'a pas de sein visible, sur son bas ventre un organe bien raide que la fille semble apprécier puisqu'elle se penche et le prend dans sa bouche. Je regarde l'homme qui semble aimer ce qu'elle lui fait. Quand elle se relève ils s'embrassent encore et ils vont se coucher. Je peux les voir au lit.
La femme est sur le dos et écarte ses jambes pour que l'homme vienne sur elle. Je ne vois pas la suite, sinon qu'au bout d'un long instant il se relève et se retourne pour embrasser le bas ventre de la femme.
Je regarde ce spectacle nouveau et je sens dans mon bas ventre un vide. Je ne sais trop pourquoi je mets la main, ni comment je m'enlève ma culotte. Je me retrouve jupe retroussée sur mon lit, j'écarte les jambes et me touche le zizou. Je ne cherche pas longtemps pour trouver un endroit très sensible, un bouton vers le haut de ma fente. Mes doigts s'y attardent et faisant des mouvements qui d'un seul coup me font sursauter !! Je ressens un drôle de soulagement, et de calme. Je ne pense pas que ce que je viens de vivre puisse se reproduire souvent. Je me relève et vais fermer ma fenêtre: en face, la lumière est éteinte. Ils doivent dormir. Je m'interroge toujours sur le jeu qu'ils pratiquaient. Mon interrogation a pour effet de me donner envie de recommence à me toucher. Cette fois je ressens encore par deux fois la même plénitude dans mon bas ventre. C'est terriblement agréable cette sensation de plaisir. Je me lève, nue et me regarde dans la glace.
Je me trouve jolie et bien faite, avec mes seins qui pointent vers le haut que je caresse et mon ventre plat. La fourrure juste au dessus de mon zizou est douce au toucher, tellement douce que je recommence à me caresser encore une fois en me regardant dans le miroir: ce que je vois commence à m'exciter: j'ai envie de moi. Je ne dit pas être normale, avoir envie sans arrêt de ce nouveau plaisir doit être un péché.
Le lendemain je sort faire quelques courses dans le quartier et je vois la femme qui se livrait à des activités qui m'avaient excitées.
Je n'ose pas lui demander ce qu'elle faisait. Je la suis de loin et elle s'arrête pour parler avec semble-t-il une amie. Je les entends parler de faire l'amour et ma voisine dire qu'elle a passé un bon moment à baiser avec un ami de passage. Sa connaissance lui dit qu'elle exagère un peu et qu'elle ne pense pas qu'elle aussi a envie de coucher avec elle; puisque elles se baisent souvent et qu'elles jouissent toujours toutes les deux.
Je conclues que baiser doit être faire l'amour, qu'on peut le faire avec un homme ou une autre femme. Donc ce que je me suis fait hier est normal.
Quand je rentre chez moi, je suis toute mouillée: je dois me changer de culotte. J'oublie dans remettre une pour mieux me caresser en pensant à ces eux filles qui se font jouir. J'aimerai bien qu'une des deux m'apprenne à baiser. Je ne sais comment attirer l'attention de ma voisine qui ne me déplait pas du tout. Lorsque je l'ai vue elle était habillée très court: je voyais le haut de ses jambes et me demandais même si elle portait un sous vêtement. C'est sans doute la tenue que je dois mettre pour qu'elle me remarque. Je sais coudre et me bricole rapidement une jupe qui me parait ultra courte ! Elle m'arrive juste en bas des fesses. Pour sortir, j'ose ne pas mettre de sous vêtement. C'est drôle de sentir l'air sur mes fesses: j'en a la chair de poule. Ce matin, coup de chance je sors de chez moi en même temps qu'elle. Elle me regarde d'un air interrogatif et intéressé. Je ne baisse pas les yeux et lui souris. Elle me sourit aussi et s'approche de moi et me demande si j'habite dans le quartier depuis longtemps. La réponse et négative: je ne suis là que depuis trois jours. Et nous voilà partir à bavarder. Elle m'interroge sur ma vie sentimentale et parait satisfaite quand je lui dis que c'est le calme plat. Si elle savait où je veux en venir!! De fil en aiguille elle m'invite à venir la voir le soir même chez elle.
Je ne saute pas de joie mais de désir, j'ai besoin que cette fille me fasse l'amour comme avec son amie. En rentrant je n'ai qu'un seul désir immédiat me faire du bien, et toujours nue, cette fois bien allongée je recommence mes caresse sur mon zizou. Bien sur je ne pense qu'à ce qu'elle va me faire et ce que je pourrai lui faire, peut être la caresser comme je me le fait.
Enfin le soir arrive. Je vais chez elle habillée toujours court sans sous vêtement. Quand elle ouvre la porte je la vois presque nue, avec un peignoir transparent comme je n'en a jamais vu. Je remarque son corps qui me semble plus joli que le mien. Son bas ventre est épilé.
Elle me fait rentrer et sans délais passe aux choses sérieuses:
- Sais-tu pourquoi tu es là.
- Bien sur, pour....... je ne sais plus que dire
- Pour qu'on baise non ? C’est bien ce que tu veux, non ?
- Oui, je le veux et je ne sais pas baiser.
- Tu sais te branler ?
Je laisse un temps mort pour réaliser que mes caresses s'appellent branler.
- Oui, bien sur!!
- Alors compte sur moi, si tu veux je t'apprendrai ce que je sais avec les fille et si tu veux avec les garçons aussi.
Je sens d'avance qu'elle va me faire connaitre une foule de nouveauté qui vont changer ma vie de néophyte.
Elle me fait assoir sur un divan et s'approche de moi, en posant ses lèvres sur les miennes. je sens qu'elle ouvre sa bouche et sa langue qui force un peu pour chercher la mienne. je la laisse faire et profite au passage d'un petit plaisir que je ne connaissais pas.
Elle n'en reste pas là et passe une main sous mon t-shirt à la recherche d'un sein. Heureusement que je n'ai pas mis de dessous.
Elle me prend le sein entièrement dans sa main, comme pour le soupeser, avant de le caresser longuement comme je me suis fait hier. Elle m'enlève le t-shirt pour que je sois torse nu. Elle m'embrasse un sein et me caresse l'autre. Je sens que je suis toute mouillée. Elle me fait lever un peu pour m'enlever la mini jupe.
Je suis totalement nue devant elle. J'ai un peu honte d'être exposée ainsi. De son coté elle enlève son peignoir et nues nous nous embrassons encore. C'est bon d'être contre elle. Elle me met une main entre les cuisses et me caresse très lentement en remontant vers mon zizou. Enfin elle arrive et me trouve le petit bouton. Elle ne me le caresse pas de suite: elle en fait très lentement le tour, ne le touchant pas, simplement en l'effleurant.
Enfin elle y pose deux doigts et le caresse comme si c'était moi qui me le faisais avec l'avantage que c'est une autre qui me branle. Elle me fait jouir après un bon moment où je crois devenir folle dans l'attente de la délivrance. Quand je jouis il me semble que ça dure un siècle de bonheur. Après cette jouissance elle me dit qu'elle va me sucer le con. Ce n'est plus mon zizou, c'est mon con. Sans attendre elle pose sa tête entre mes cuisses toujours écartées et sa langue vient sur mon bouton. Elle le lèche tant qu'encore une fois je jouis comme une folle.
C'est à mon tour d'agir: elle m'a bien faite jouir; je me dois de lui rendre la pareille. Quand je lui caresse et lui embrasse les seins, c'est simple. Je lui pose une main sur la cuisse et je monte directement vers son con. Elle m'arrête et me demande de lui caresser lentement l'intérieur des cuisses pour la rendre bien excitée. J'écoute ce qu'elle me dit et lentement maintenant je monte vers son con. Je trouve sa fente bien humide. Je ne lui mets pas les doigts sur son bouton: je trouve son vagin et curieuse j'y rentre deux doigts. Je rentre et sors les doigts. Elle gémit et me demande de continuer. Je la sens se tendre: elle dit je jjoiiiiiiiiiiiis. Elle me tend ses lèvres où je pose les miennes dans un baiser de remerciement.
A présent elle veut me faire connaitre ce qu'elle appelle le summum du plaisir entre filles: le 69. Elle me met couchée, jambes bien écartées, se tourne, m'enjambe et me prend le bouton dans la bouche. Je sursaute au moment où sa langue une fois encore me lèche le bouton. J'ai compris ce qu'elle veut: à mon tout je cherche dans son con et y trouve son bouton. J’y pose ma langue et le lèche. Le m'entends pousser de petits cris. Elle aussi. Nous sommes dans une bulle de jouissance sans fin.
Finalement elle se relève et m'assoit jambes écartée contre son con Nous baisons ainsi encore un moment en profitant du contact de nos seins et de nos boutons qui se branlent.
Elle me promet que demain je serais dépucelée par un ami à elle qui sait bien baiser et que nous serons trois à baiser, même peut-être quatre avec son amie.
J'espère que je jouirai autant demain…
Pourtant un jour de déprime je regarde par la fenêtre et juste en face, je vois un couple qui s'embrasse tendrement sur la bouche, comme au cinéma. Sur un écran on peu de temps en temps voir un couple allongé sur un lit et puis plus rien. Je sais qu'il doit se passer quelque chose, mais quoi ?
J'ai été élevée dans une famille très stricte et ce n'est qu'à la disparition de mes parents qu'il a fallut que je me débrouille seule, puisque toute mon éducation scolaire avait lieu chez moi, avec une enseignante plutôt revêche.
Je regarde toujours ce couple qui commence à se caresser jusqu'à se déshabiller. Pour la première fois de ma vie je vois une femme et un homme nus. Pour la femme je n'ai pas de surprise, je suis bâtie comme elle, par contre l'homme s'il n'a pas de sein visible, sur son bas ventre un organe bien raide que la fille semble apprécier puisqu'elle se penche et le prend dans sa bouche. Je regarde l'homme qui semble aimer ce qu'elle lui fait. Quand elle se relève ils s'embrassent encore et ils vont se coucher. Je peux les voir au lit.
La femme est sur le dos et écarte ses jambes pour que l'homme vienne sur elle. Je ne vois pas la suite, sinon qu'au bout d'un long instant il se relève et se retourne pour embrasser le bas ventre de la femme.
Je regarde ce spectacle nouveau et je sens dans mon bas ventre un vide. Je ne sais trop pourquoi je mets la main, ni comment je m'enlève ma culotte. Je me retrouve jupe retroussée sur mon lit, j'écarte les jambes et me touche le zizou. Je ne cherche pas longtemps pour trouver un endroit très sensible, un bouton vers le haut de ma fente. Mes doigts s'y attardent et faisant des mouvements qui d'un seul coup me font sursauter !! Je ressens un drôle de soulagement, et de calme. Je ne pense pas que ce que je viens de vivre puisse se reproduire souvent. Je me relève et vais fermer ma fenêtre: en face, la lumière est éteinte. Ils doivent dormir. Je m'interroge toujours sur le jeu qu'ils pratiquaient. Mon interrogation a pour effet de me donner envie de recommence à me toucher. Cette fois je ressens encore par deux fois la même plénitude dans mon bas ventre. C'est terriblement agréable cette sensation de plaisir. Je me lève, nue et me regarde dans la glace.
Je me trouve jolie et bien faite, avec mes seins qui pointent vers le haut que je caresse et mon ventre plat. La fourrure juste au dessus de mon zizou est douce au toucher, tellement douce que je recommence à me caresser encore une fois en me regardant dans le miroir: ce que je vois commence à m'exciter: j'ai envie de moi. Je ne dit pas être normale, avoir envie sans arrêt de ce nouveau plaisir doit être un péché.
Le lendemain je sort faire quelques courses dans le quartier et je vois la femme qui se livrait à des activités qui m'avaient excitées.
Je n'ose pas lui demander ce qu'elle faisait. Je la suis de loin et elle s'arrête pour parler avec semble-t-il une amie. Je les entends parler de faire l'amour et ma voisine dire qu'elle a passé un bon moment à baiser avec un ami de passage. Sa connaissance lui dit qu'elle exagère un peu et qu'elle ne pense pas qu'elle aussi a envie de coucher avec elle; puisque elles se baisent souvent et qu'elles jouissent toujours toutes les deux.
Je conclues que baiser doit être faire l'amour, qu'on peut le faire avec un homme ou une autre femme. Donc ce que je me suis fait hier est normal.
Quand je rentre chez moi, je suis toute mouillée: je dois me changer de culotte. J'oublie dans remettre une pour mieux me caresser en pensant à ces eux filles qui se font jouir. J'aimerai bien qu'une des deux m'apprenne à baiser. Je ne sais comment attirer l'attention de ma voisine qui ne me déplait pas du tout. Lorsque je l'ai vue elle était habillée très court: je voyais le haut de ses jambes et me demandais même si elle portait un sous vêtement. C'est sans doute la tenue que je dois mettre pour qu'elle me remarque. Je sais coudre et me bricole rapidement une jupe qui me parait ultra courte ! Elle m'arrive juste en bas des fesses. Pour sortir, j'ose ne pas mettre de sous vêtement. C'est drôle de sentir l'air sur mes fesses: j'en a la chair de poule. Ce matin, coup de chance je sors de chez moi en même temps qu'elle. Elle me regarde d'un air interrogatif et intéressé. Je ne baisse pas les yeux et lui souris. Elle me sourit aussi et s'approche de moi et me demande si j'habite dans le quartier depuis longtemps. La réponse et négative: je ne suis là que depuis trois jours. Et nous voilà partir à bavarder. Elle m'interroge sur ma vie sentimentale et parait satisfaite quand je lui dis que c'est le calme plat. Si elle savait où je veux en venir!! De fil en aiguille elle m'invite à venir la voir le soir même chez elle.
Je ne saute pas de joie mais de désir, j'ai besoin que cette fille me fasse l'amour comme avec son amie. En rentrant je n'ai qu'un seul désir immédiat me faire du bien, et toujours nue, cette fois bien allongée je recommence mes caresse sur mon zizou. Bien sur je ne pense qu'à ce qu'elle va me faire et ce que je pourrai lui faire, peut être la caresser comme je me le fait.
Enfin le soir arrive. Je vais chez elle habillée toujours court sans sous vêtement. Quand elle ouvre la porte je la vois presque nue, avec un peignoir transparent comme je n'en a jamais vu. Je remarque son corps qui me semble plus joli que le mien. Son bas ventre est épilé.
Elle me fait rentrer et sans délais passe aux choses sérieuses:
- Sais-tu pourquoi tu es là.
- Bien sur, pour....... je ne sais plus que dire
- Pour qu'on baise non ? C’est bien ce que tu veux, non ?
- Oui, je le veux et je ne sais pas baiser.
- Tu sais te branler ?
Je laisse un temps mort pour réaliser que mes caresses s'appellent branler.
- Oui, bien sur!!
- Alors compte sur moi, si tu veux je t'apprendrai ce que je sais avec les fille et si tu veux avec les garçons aussi.
Je sens d'avance qu'elle va me faire connaitre une foule de nouveauté qui vont changer ma vie de néophyte.
Elle me fait assoir sur un divan et s'approche de moi, en posant ses lèvres sur les miennes. je sens qu'elle ouvre sa bouche et sa langue qui force un peu pour chercher la mienne. je la laisse faire et profite au passage d'un petit plaisir que je ne connaissais pas.
Elle n'en reste pas là et passe une main sous mon t-shirt à la recherche d'un sein. Heureusement que je n'ai pas mis de dessous.
Elle me prend le sein entièrement dans sa main, comme pour le soupeser, avant de le caresser longuement comme je me suis fait hier. Elle m'enlève le t-shirt pour que je sois torse nu. Elle m'embrasse un sein et me caresse l'autre. Je sens que je suis toute mouillée. Elle me fait lever un peu pour m'enlever la mini jupe.
Je suis totalement nue devant elle. J'ai un peu honte d'être exposée ainsi. De son coté elle enlève son peignoir et nues nous nous embrassons encore. C'est bon d'être contre elle. Elle me met une main entre les cuisses et me caresse très lentement en remontant vers mon zizou. Enfin elle arrive et me trouve le petit bouton. Elle ne me le caresse pas de suite: elle en fait très lentement le tour, ne le touchant pas, simplement en l'effleurant.
Enfin elle y pose deux doigts et le caresse comme si c'était moi qui me le faisais avec l'avantage que c'est une autre qui me branle. Elle me fait jouir après un bon moment où je crois devenir folle dans l'attente de la délivrance. Quand je jouis il me semble que ça dure un siècle de bonheur. Après cette jouissance elle me dit qu'elle va me sucer le con. Ce n'est plus mon zizou, c'est mon con. Sans attendre elle pose sa tête entre mes cuisses toujours écartées et sa langue vient sur mon bouton. Elle le lèche tant qu'encore une fois je jouis comme une folle.
C'est à mon tour d'agir: elle m'a bien faite jouir; je me dois de lui rendre la pareille. Quand je lui caresse et lui embrasse les seins, c'est simple. Je lui pose une main sur la cuisse et je monte directement vers son con. Elle m'arrête et me demande de lui caresser lentement l'intérieur des cuisses pour la rendre bien excitée. J'écoute ce qu'elle me dit et lentement maintenant je monte vers son con. Je trouve sa fente bien humide. Je ne lui mets pas les doigts sur son bouton: je trouve son vagin et curieuse j'y rentre deux doigts. Je rentre et sors les doigts. Elle gémit et me demande de continuer. Je la sens se tendre: elle dit je jjoiiiiiiiiiiiis. Elle me tend ses lèvres où je pose les miennes dans un baiser de remerciement.
A présent elle veut me faire connaitre ce qu'elle appelle le summum du plaisir entre filles: le 69. Elle me met couchée, jambes bien écartées, se tourne, m'enjambe et me prend le bouton dans la bouche. Je sursaute au moment où sa langue une fois encore me lèche le bouton. J'ai compris ce qu'elle veut: à mon tout je cherche dans son con et y trouve son bouton. J’y pose ma langue et le lèche. Le m'entends pousser de petits cris. Elle aussi. Nous sommes dans une bulle de jouissance sans fin.
Finalement elle se relève et m'assoit jambes écartée contre son con Nous baisons ainsi encore un moment en profitant du contact de nos seins et de nos boutons qui se branlent.
Elle me promet que demain je serais dépucelée par un ami à elle qui sait bien baiser et que nous serons trois à baiser, même peut-être quatre avec son amie.
J'espère que je jouirai autant demain…
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