La gourmande - histoire érotique

Sylvie me demande de la baiser , là aussitôt. Elle en a besoin et comme elle vient de se
branler et jouir, je lui conseille d'attendre un peu. Non elle a besoin d'une queue dans la
moule. Elle est prête à tout, même à offrir son corps au premier venu.
Sylvie est une sacrée baiseuse: c'est même sa raison de vivre. Elle est nymphomane et
j'en profite au maximum.
Je décris une de ses journées: nous dormons nus: elle aime pouvoir de branler en cas de
réveil en cour de nuit pour mieux se rendormir. Au réveil elle vient me prendre la bite dans
sa main et commence à me branler un peu, juste ce qu'il faut pour me faire bander. C'est
agréable de sentir une main féminine entourer sa bite dès le réveil. Quelques fois elle me
demande de la baiser ou de l'enculer. Souvent je dois la sucer et elle me le rend en faisant
une fellation: quand je jouit elle ne rejette rien.
Toujours nus nous prenons un copieux petit déjeuner. Elle profite de ce moment de calme
relatif pour se doigter. Elle ne jouit pas. elle attend d'être sous la douche et là elle utilise le
jet sur son con pour s'envoyer en l'air. Elle me décrit ses sensations et jouit encore. Enfin
elle s'habille à sa façon, toujours sexy: elle aime montrer ses fesses et le reste quand elle
marche ou qu'elle prend un café au bar pas loin de son travail. Là elle a un bureau pour elle
seule. Elle en profite toujours pour se branler avec le godemiché qu'elle a dans un tiroir
fermé à clé. Elle écarte ses jambes ouvre les lèvres de son con et se branle un peu le
clitoris avant de se mettre le gode dans la vulve. Une fois elle a été surprise par une
collègue. Elle ne s'est pas arrêtée pour ça. Après avoir jouit, elle demande ce qu'elle veut.
excitée la collègue demande à Sylvie de la branler avec le godemiché. Sylvie de peut lui
refuser ce "service". La collègue s'installe avec les fesses sur le bureau et confie à Sylvie
le soin de la faire jouir. Sylvie lui passe une main sur le con le prend à peine main. Ensuite
elle cherche le clitoris et le caresse un peu. Enfin elle sent que le con est bien humide: alors
elle pose le bout du gode sur le vagin et lentement elle le fait aller et venir dans le con. Elle
fait jouir et satisfaite, la collègue embrasse Sylvie sur les joues. Leur relation sexuelle
s'arrête là.
Donc Sylvie travaille dur pour tenir son rôle et mériter son salaire. Pourtant juste avant midi
elle éprouve encore un besoin d'orgasme. Elle écarte encore les cuisses et ouvre son con
avec deux doigts de la main gauche pour bien faire ressortir le clitoris qu'elle effleure avant
d'aller plus vite et appuyer un peu. Elle jouit encore.
Elle va toujours au même restaurant à midi. Sa table est réservée au fond là où personne
ne vient. La nappe est longue et lui recouvre bien les jambes. En attendant d'être servie
elle relève sa jupe et pose une fois de plus sa main sur son con. Elle s'excite seule et elle
est obligée d'aller aux toilettes pour se masturber. Un fois il lui est arrivé une drôle d'histoire
Elle avait oublié de fermer avec le verrou et la porte s'ouvre quand elle était assise sur la
cuvette: une jeune et jolie fille la voit et entre sans demander la permission: Cette jeune
femme l'ayant vu faire voulait tout simplement baiser un moment avec elle. Sylvie en pleine
excitation ne refusait pas. Cette inconnu lui présentait directement son con: elle voulait être
sucée tout simplement. Sylvie qui avait le con rasé voyait un autre sexe poilu. L'envie de
satisfaire l'autre était présente, alors Sylvie sortait sa langue et trouver le bouton qu'elle
léchait ensuite jusqu'à la jouissance de l'autre. Elle n'avait pas cesser sa masturbation et
elle jouissait rapidement.
L'après midi Sylvie un peu calmée par sa dernière branlette travaille jusqu'à 15 heures et
son bas ventre a encore envie d'une masturbation. Elle satisfait son envie et est tranquille
jusqu'à son retour à la maison.
Que croyez vous qu'elle fait: elle se met nue et se démaquille avant de s'allonger sur le
divan du séjour pour se mettre le godemiché dans le con ou le cul, selon son humeur. En
rentrant je la surprends souvent quand elle se ramone la chatte. Elle tient toujours à
cuisiner. Je veux l'aider, mais parait-il que je ne sais rien faire de bon. Alors, toujours nue,
mais avec un petit tablier qui ne lui cache que le ventre elle prépare le diner. Si elle
envisage de faire des légumes comme des aubergine, elle les goûte d'abord en se
farcissant le con avec. Elle m'appelle pour que je l'aide à jouir. Je lui caresse les seins en
douceur et l'embrasse. Je pose une main sur son pubis et sens le moment de sa
jouissance. Si je bande je me garde bien de le lui dire, sinon elle voudrait que je lui mette
ma pine.
Enfin le repas prit, nous regardons un peu la télé: elle garde toujours une main sur son sexe
et quelquefois elle sursaute: elle jouit. son envie d'avoir une queue dans son abricot
m'oblige à aller la baiser. Je profite d'elle du mieux possible. Je commence par lui
embrasser les seins et je descends ma bouche jusqu'à sa moule.elle écarte bien les jambes
et me laisse faire: je lui prends le clitoris entre les lèvres et l'aspire pour bien le faire
ressortir: ma langue fait le reste et elle collectionne les orgasmes. Je descends encore un
peu ma langue et vais à la recherche de son anus. Ma langue ne le caresse pas
directement: elle en ait le tour et ce n'est que quand je sens qu'elle n'en peu plus que je lui
rentre un peu dans le cul. J'accompagne cette caresse par un doigtage en règle.
Enfin je me couche près d'elle et je ne choisis pas les façon de baiser. Elle sait ce qu'elle
veux en fonction des masturbation de sa journée. Elle aime me sucer et avale toujours mon
sperme. Comme je bande toujours elle m'enjambe et s'empale sur ma pine. je ne sais jamais
à quel trou je vais jouir. Comme elle se tient droite elle a les main libre pour se donner
également du plaisir en se branlant. J'aime cette position: je la voit bien jouir et surtout je
vois encore sa main qui flatte son con. C'est à ce moment que nous jouissons ensemble.
Elle s'écroule sur moi la bite encore dans son con ou son cul et m'embrasse en
remerciement.
Elle est fatiguée et cesse pour au moins une partie de la nuit de se faire reluire