La loi du plus fort

- Par l'auteur HDS Matharose -
Récit érotique écrit par Matharose [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La loi du plus fort Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2025 dans la catégorie A dormir debout
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La loi du plus fort
Préambule


Cela faisait maintenant plusieurs semaines qu'ils entretenaient cette relation à distance. Ça avait commencé par des messages timides au début, puis de plus en plus passionnés. Ils s'étaient ensuite donnés leurs numéros et avaient échangé des appels osés, qui les avaient fortement excités tous les deux.


Elle avait aimé sa voix grave et suave, terriblement intrigante, une certaine fermeté dans le ton... Tant d'aspects qui la mettaient en émoi. À trente ans passés, elle était pourtant heureuse, investie dans une carrière épanouissante et une vie de couple douce et paisible. Son compagnon l'aimait et la désirait profondément, même après des années de relation. Et tout cela la tiraillait au plus haut point car malgré tout, cette vie était peut-être, justement, un peu trop rangée à son goût.


Elle brûlait de réaliser ses fantasmes les plus intimes, qui la hantaient depuis si longtemps... Depuis son adolescence si elle avait bonne mémoire. Et il y avait toujours un homme derrière, qui savait la séduire par le raffinement de son éloquence, le charme de sa voix, l'élégance de son apparence physique... Un homme attirant, distingué et sensuel, comme elle en rêvait depuis si longtemps, dans ses fantasmes les plus fous.


Et elle n'en pouvait plus d'attendre. Elle sentait au plus profond d'elle-même qu'elle pourrait vivre cette relation interdite et secrète avec cet inconnu, qui faisait naître en elle une passion folle et dévorante.


C'est pour cela que, quand il lui avait proposé de le rencontrer, elle avait d'abord hésité, craignant de perdre le contrôle de sa vie. Mais elle avait finalement accepté, la tentation plus forte que cela. Comme pour la conforter dans son impression, elle s'était surprise à se laisser aller à des rêveries érotiques, mêlant régulièrement le geste à la pensée et s'adonnant à des plaisirs solitaires de plus en plus fréquemment. Sous sa douche ou encore quand elle se retrouvait seule au lit ; les nuits précédant le rendez-vous avaient d'ailleurs été relativement courtes et fiévreuses.


Elle fantasmait sur lui, le rêvant, l'imaginant, et cela lui procurait le plus grand bien. Même si elle ne le connaissait pas, elle avait l'intime conviction que ce désir les liait déjà. Cet inconnu l'obsédait depuis si longtemps et avait ravivé ses fantasmes les plus enfouis. Elle brûlait de s'ouvrir à lui et de le suivre dans ses propres désirs pour qu'il prenne, d'une certain façon, possession d'elle. Chose qu'elle n'aurait jamais osé auparavant.


Arriva le jour tant attendu du rendez-vous. En ce début d'après-midi, prête en avance, elle se prépara à quitter son appartement. C'est alors qu'elle ressentit un léger pincement au cœur. Ce qu'elle était en train de faire allait faire prendre un nouveau tournant à sa vie, elle le savait. Mais en même temps, l'idée de s'abandonner enfin à ses désirs les plus inavoués était si forte que cela fut plus éphémère qu'elle ne l'aurait pensé.


Et puis qui sait ? Si ça se passait mal, si son inconnu ne lui plaisait finalement pas ou qu'elle ne lui plaisait pas, elle pourrait rentrer simplement, tranquillement, et oublier toutes ces histoires. Cette pensée la réconforta un peu. Mais elle ne pouvait pas se mentir, elle espérait, au fond d'elle-même, qu'ils se plairaient mutuellement.


La route pour aller au rendez-vous lui semblait longue et fastidieuse, mais aussi paradoxalement particulièrement trépidante. Elle était bouleversée par l'envie folle de le rencontrer, enfin. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait plus ressenti ces crépitements dans le ventre, son cœur qui battait la chamade, ces images sensuelles qui ne la quittaient pas et qu'elle essayait malgré tout de cacher aux passants qu'elle rencontrait. Et elle imaginait avec plaisir que, quelque part, il en avait déjà conscience.



La rencontre


Après une heure de route, elle arriva à ce bar parisien qu'il lui avait indiqué. Dès qu'elle en franchit le seuil, un frisson la parcourut. Elle ignorait pourquoi mais elle savait, elle sentait, qu'il l'attendait... Elle avança consciencieusement dans le bar en le cherchant du regard puis, quand ses yeux commencèrent à s'habituer à la pénombre, elle le vit enfin, au fond de la salle.


Une vision qui lui fit retenir son souffle. Assis à une table sur un tabouret, son bel inconnu la dévisageait avec insistance. Il l'avait sans doute guettée depuis le moment où elle était arrivée. Un léger sourire en coin, ses bras étaient croisés, accoudés à la table, son corps penché en avant.


Il était sublime, aussi élégant et distingué que dans ses fantasmes. Sa peau était claire, il avait de grands yeux d'un brun profond, des traits anguleux et des cheveux d'ébène, courts et entretenus. Il ne s'était pas rasé depuis quelques jours, un léger duvet sombre entourait sa bouche. Son physique agréable, musclé sans excès, montrait qu'il s'entretenait. Il portait une chemise noire, légèrement entrouverte, et un jean bleu foncé.


De son côté, il la trouvait également radieuse. Elle était svelte avec de belles courbes. Son teint était également clair, ses yeux verts, et ses cheveux châtains raides encadraient un visage doux aux traits fins. Elle portait une petite robe grise ajustée légèrement décolletée et des sandales compensées. Chose assez singulière, elle ne portait pas de maquillage et peu de bijoux ; seulement une bague sertie d'une ambre et une paire de boucles d'oreilles raffinées évoquant des ailes de papillon, qui mettaient en valeur sa nuque gracile.


Il se leva pour l'accueillir et elle tressaillit. Assis, elle ne s'était pas rendue compte de sa taille. Il avait une tête de plus qu'elle, elle se sentait ridicule face à lui. Mais elle essaya de garder sa contenance et de ne pas paraître intimidée. Il tendit la main pour la lui serrer. Elle l'empoigna vigoureusement. Ils échangèrent un regard complice.


- "Je suis ravi de vous rencontrer enfin, après tout ce temps ! Comment allez-vous ?"
- "Je suis également enchantée ! Je vais très bien et vous ?"
- "Beaucoup mieux, depuis que vous êtes là".
- "Je suis désolée, je vous ai beaucoup fait attendre ?" Lui demanda-t-elle, soudain confuse.
- "Non, ne vous inquiétez pas. J'avais de l'avance mais je me suis occupé en vous attendant. Et puis... " Il lui sourit largement. "J'aurais regretté de ne pas vous avoir attendue. Vous êtes très élégante."


Elle sourit de plaisir et avec une grande fierté. C'était le moment qu'elle préférait, quand elle voyait qu'elle plaisait toujours autant aux hommes, même si elle n'avait plus vingt ans. Et elle était particulièrement fière de lui plaire, à lui, dont la prestance l'impressionnait au plus haut point. Elle lui répondit d'une petite voix.


- "Merci, vous êtes très séduisant... élégant aussi." Ses joues s'empourprèrent légèrement, suite à ce lapsus révélant plus qu'il ne fallait son ressenti vis-à-vis de lui. Il sourit allègrement, voyant l'effet qu'il lui produisait et lui désigna le tabouret en face duquel il s'était assis juste avant.
- "Venez vous asseoir avec moi."
Captivée elle obéit et ils se rassit également.


Pour se mettre à l'aise, ils commencèrent à parler de banalités, avec suffisamment de discrétion pour laisser, l'un et l'autre, une part de mystère sur leurs personnes. Puis il commandèrent à boire et, progressivement, désinhibés par l'alcool, commencèrent à se dévoiler l'un à l'autre. Ils se tutoyèrent et leurs échanges prirent une tournure plus taquine, presque osée. Ils se cherchaient et se répondaient avec tact et facétie. Leurs regards s'enflammèrent. Ils eurent un moment de silence.


- "Alors... Tu ne regrettes pas de m'avoir invitée à te rejoindre ?"
- "Pas le moins du monde. Et toi, tu es heureuse d'être venue ?
Elle se rapprocha doucement de lui, le fixant avec langueur et malice.
- "J'en suis ravie."


Il se rapprocha également et planta son regard noir dans le sien. Puis il caressa doucement son genou nu, remontant dangereusement sur ses cuisses. Un frisson de plaisir et de gêne la parcourut, lui rappelant ce qu'elle était en train de faire avec lui.
Elle posa délicatement sa main sur la sienne.
- "Pardon, je ne sais pas si je me sens prête".
- "Pourtant tes paroles et ton langage corporel me montrent autre chose, ma belle..." Lui susurra-t-il. "Tu n'es pas venue là par hasard et nous n'en serions pas arrivés là si tu ne l'avais pas souhaité !"


Il ne la laissait pas indifférente et il le savait. Elle déglutit avec peine.
- "Non mais j'ai peur de... m'ouvrir un peu trop vite."
- "Laisse-moi te rassurer sur tes désirs ! Je vais me faire un plaisir de te combler ma douce..." Il lui prit lentement les deux mains et les porta à sa bouche, les embrassant avec douceur. Simultanément elle se décrispa et s'abandonna à son regard. Il ôta sa bouche de ses mains mais ne les lâcha pas.


- "Je ne te ferai aucun mal. Jamais. Mais il faut que tu aie confiance en moi et que tu acceptes le chemin que nous allons prendre tous les deux. Alors..." Il se rapprocha encore un peu plus d'elle et lui parla dans un murmure : "Je vais faire de toi une femme conquise et t'offrir le plaisir que tu sembles chercher depuis si longtemps. Si tu l'acceptes !"


Son cœur s'affola.
- "Moi non plus je ne veux pas te faire de mal." elle reprit sa respiration. "J'accepte" arriva-t-elle à articuler, à sa grande surprise.
- "Dans ce cas viens avec moi et quittons cet endroit avec tous ces inconnus qui semblent nous mater depuis tout à l'heure. Je te veux pour moi seul."


Elle le fixa intensément et lui répondit d'une petite voix.
- "Je te suis. Par contre, avant tout je veux qu'on se protège tous les deux dans le cas d'éventuels rapports. C'est une condition non négociable pour moi."
Il ricana doucement, amusé, en se levant.
- "Bien sûr ma douce, j'y comptais bien ! C'est primordial, tu as bien raison. Mais pourquoi éventuels ?" Il se rapprocha lentement d'elle, son visage face au sien.


- "Ça va être un moment de pur plaisir pour nous deux, j'ai hâte... Et tu vas aimer ça. D'ailleurs, on va l'aimer tous les deux."
Ils sentirent leurs souffles sur leurs visages. Elle déglutit.
- "J'en ai très envie aussi."
Ils étaient au bord du gouffre, la tension était insoutenable, alors il lui prit la main et l'invita à descendre de son tabouret.


- "Je t'invite, viens."
- "Tu es sûr ?... Merci."
- "Mais tout se paye ma chère, et bientôt tu devras peut-être me rendre la pareille d'une autre façon !" Il ricana doucement. "Comme pour le fait de m'avoir fait attendre tout à l'heure !"


Contre toute attente, elle décida de le surprendre.
- "Avec plaisir, mon cher !"
Il l'attira vers le comptoir en la prenant par la main. Elle le suivit, troublée au plus haut point par ce qu'elle venait de dire malgré elle.


Une fois l'addition payée, ils sortirent du bar. Ils s'étaient lâché la main mais se tenaient côte à côte, leurs bras se frôlant, ce qui les firent frémir tous deux. Ils s'arrêtèrent à la première pharmacie qu'ils trouvèrent.



L'hôtel


Il la mena dans un hôtel où il avait réservé une chambre pour l'occasion. Très progressivement et de façon inexorable, elle sentait qu'elle était sur le point de franchir un cap, sans possibilité de retour en arrière. Arrivés à la réception de l'hôtel, elle jeta des regards effarouchés autour d'elle : quelqu'un savait-il ce qui était en train de se passer ? Allait-on le raconter à son entourage?


Elle ne savait plus quoi penser. Elle était tiraillé entre plusieurs émotions et, pourtant, cette envie de réaliser enfin ses fantasmes les plus enfouis et les plus débridés était toujours la plus forte.


Ils arrivèrent à la chambre. De taille raisonnable, une fenêtre donnant sur une autre façade du bâtiment. Un grand silence régnait, c'est comme s'ils étaient complètement seuls dans l'hôtel. Peut-être d'ailleurs était-ce le cas ?


Pendant que son esprit s'égarait dans ces divagations, elle entendit la porte se refermer discrètement. Le bruit léger la fit sursauter et se retourner, instinctivement.


S'appuyant contre la porte de toute sa hauteur, il la regarda avec concupiscence. Elle déglutit et réalisa qu'il venait de les enfermer ici, tous les deux... Son cœur palpita dans sa poitrine. Elle se sentait si fébrile, si vulnérable... Mais non, elle n'allait pas lui faire ce plaisir !


Elle se raidit, se grandissant face à lui, tandis qu'il s'approchait dangereusement d'elle.
- "Alors, ma belle, je crois que nous sommes enfin seuls ! Le moment pour moi de te montrer ce que tu éveilles en moi..." Il s'approcha doucement d'elle, elle pouvait voir son sexe dressé dans son pantalon, dans une érection qu'il ne dissimulait désormais plus.


Putain, ça faisait si longtemps qu'il avait envie d'elle ! Des semaines qu'elle le faisait tourner en bourrique, qu'elle se jouait de lui... Et qu'elle avait encore continué depuis qu'ils s'étaient enfin rencontrés. Il allait enfin pouvoir lui faire payer la frustration qu'il avait éprouvé tout ce temps.


- "Déshabille-toi, petite salope !"
Elle le scruta avec dédain et une pointe d'ironie, une voix doucereuse.
- "Ah ouais, et qu'est-ce qui te donne le droit de me commander comme ça et de me traiter de la sorte ? A qui crois-tu t'adresser ?"


Elle se tenait fière, malgré sa corpulence fine et sa petite taille, comparée à lui. Elle n'allait pas se laisser faire, oh non, et il allait devoir mériter le droit de la conquérir.


Il se colla à elle, elle sentit son sexe dressé, dur, contre son ventre. Ils se mitraillèrent du regard. Tout d'un coup il empoigna ses cheveux avec délicatesse et les tira doucement en arrière, faisant basculer sa tête. Elle ne put résister, même si son geste était doux. Elle n'était, physiquement, pas aussi forte que lui.


- "Déshabille-toi, ma belle, je brûle de te voir, de découvrir enfin ce beau corps que tu caches derrière ta petite robe, si agréable à regarder soit-elle... Je te laisserai prendre ton temps, mais s'il te plaît..." Malgré ses paroles visiblement tendres, il la dominait toujours du regard. Il ajouta, pour finir : "Ce sera à tes conditions."


Malgré sa position diminuée, elle sourit avec amusement. Elle se dégagea lentement de son étreinte et l'attira vers un fauteuil installé dans un coin de la chambre. Elle le poussa légèrement pour qu'il s'asseye.


Elle se tint fièrement devant lui.
- "Alors comme ça tu veux me voir nue ? Dans ce cas, laisse-moi te montrer... Mais à la seule condition que tu regardes sans me toucher !"
Il souffla lentement.
- "À ton bon vouloir."


Victorieuse, elle commença lentement à se déshabiller, avec grâce, libérant lentement son corps de cette robe qui était devenue beaucoup trop pesante pour elle. Son effeuillage était comme une danse sensuelle voluptueuse, destinée à le rendre fou.


Jamais, auparavant, elle ne se serait crû capable de cela. Même son petit ventre qui, d'ordinaire la complexait, ne l'empêcha pas de se montrer à son beau spectateur. Elle révéla lentement ses jambes fines et galbées, ses hanches marquées, sa poitrine plutôt discrète, ses épaules nues.


Elle se retrouva uniquement vêtue d'une culotte élégante en dentelle. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle le regarda avec désir, sa poitrine sensible et ses mamelons dressés. Pendant tout le temps que cela avait duré, elle l'avait vu la regarder avec une envie non dissimulée, son regard semblant la pénétrer, la posséder, ce qui l'avait rendue fière au possible.


Enfin, elle enleva délicatement ce dernier tissu qui la découvrit entièrement. Après avoir semblé admirer ses seins, il posa des yeux langoureux sur son intimité, recouverte d'une fine toison brune. Elle frissonna de plaisir et de gêne mêlés.


- "Comment tu me trouves ? Je te plais ?" lui murmura-t-elle, son cœur battant.
- "Tu n'imagines pas à quel point !" lui rétorqua-t-il, ses yeux brûlants d'envie.
Un frisson de plaisir la parcourut.
Rassérénée, elle posa ses mains sur ses seins et les descendit lentement, jusqu'à son bas ventre.


- "Tu veux que je t'ouvre ma chatte ?" Lui susurra-t-elle en se penchant contre son oreille.
Il n'en pouvait plus, c'était la parole de trop, le geste de trop. Il la saisit par les épaules.


- "Oh putain, non seulement je veux la voir mais je veux te la défoncer !" Gronda-t-il dans son oreille.
Confuse et impressionnée, elle se redressa et recula d'un pas. Malgré tout elle retrouva ses esprits et le toisa d'un regard sombre.
- "Tu n'as pas intérêt sinon je me rhabille et je me barre !"


Il se releva soudainement et se colla à elle, empoignant ses bras puis serrant ses mains dans son dos. Il pencha sa tête contre la sienne, plantant ses yeux dans les siens.
- "Ah, tu crois ça ? Et qu'est-ce qui te dit que je vais te laisser partir ? Vu ton poids plume je te soulève comme un rien, je te plaque contre un mur et je te baise tout de suite si je veux !"


Elle ne se laissa pas intimider et lui rétorqua, moqueuse :
- "Essaye pour voir ! En plus, ça va être dur pour toi de me baiser, tu es encore habillé je te ferais remarquer !"
- "Ce n'est qu'un détail, je te lâche les mains et je me déshabille tout de suite." Sa voix menaçante était devenue comme un grondement.


Avec une force inattendue, elle le repoussa contre le mur à côté du fauteuil et posa sa main entre ses jambes, au niveau de ses couilles, les soupesant légèrement mais avec ténacité. Son visage avait changé et prenait une apparence presque canidée, ses yeux rougis par la colère sous ses sourcils qui s'étaient épaissis.


- "Ce n'est pas ce que nous avons décidé tout à l'heure, tu avais donné ton accord ! Sinon ça veut dire que je ne peux pas me fier à toi et que tu es un putain de menteur. C'est ce que tu es ?"


Il ne l'avait pas vue venir. Impressionné par ses propos, sa transfiguration et sa force de caractère, il déglutit avec peine. Jamais aucune femme ne lui avait parlé de la sorte, aussi fermement, et ne lui avait tenu tête comme elle le faisait. Et cette apparence de femme-louve... Il baissa les yeux, vaincu.


- "Tu as raison ma merveille, je te demande pardon, je ne suis pas un putain de menteur."
Elle relâcha doucement son étreinte, apaisée et attendrie par ses mots repentants. Elle caressa doucement son visage et ses beaux cheveux.
- "Tu es pardonné. C'est ma faute, je devrais m'en rappeler, ce n'est pas la première fois que je fais perdre le contrôle à un homme... Mais je pensais que je ne faisais plus cet effet."


Elle baissa les yeux à son tour. Il la regarda, captivé.
- "Tu sais que tu es encore jeune et particulièrement belle ?"
Elle rougit, avec un sourire tendre.
- "Toi aussi tu es extrêmement séduisant." Elle marqua une pause. "Je te remercie. Normalement c'est mon compagnon qui me dit ces choses-là."


- "Tu as un compagnon?" Lui chuchota-t-il doucement, contre son oreille et lui caressant la nuque.
Elle le regarda intensément avec tendresse, des tremblements dans la voix.
- "Oui. Tu m'en veux ?" Elle se tût quelques secondes, l'interrogeant du regard. Elle continua doucement. "C'est pour ça que je pourrais te donner tout ce que tu désires mis à part mon cœur, je lui ai déjà offert."


- "Ne t'en fais pas", dit-il doucement comme pour la rassurer, "Ce sera notre secret à tous les deux. Comme si on le maintenait enfermé dans une petite boîte et que nous seuls en possédions la clef."


Elle lui caressa tendrement les cheveux, le fixant toujours. Il lui rendit son regard et reprit, dans un murmure :
- "Du coup, veux-tu, malgré tout, que nous reprenions là où on en était ?"
- "Je n'ai jamais dit le contraire. Tu me fascines et je veux m'abandonner avec toi."


Il recula légèrement et prit son menton par la main pour relever sa tête. Ses yeux s'illuminèrent.
- "Alors, tu vas être servie, et je peux t'assurer que tu ne vas pas le regretter. Reprenons notre jeu où il en était, si tu le peux. Caresse-toi..."


Il se rassit dans le fauteuil. Troublée par ce qu'il venait de se passer, elle eut d'abord du mal à se laisser de nouveau aller et posa des mains timides sur son corps. Mais, encouragée par le regard rassurant et fasciné qu'il posait sur elle, elle reprit sa danse érotique sur l'ensemble de son corps.


- "Caresse-toi devant moi comme tu aimes le faire, je veux voir ce qui te plaît et ce que tu imagines en pensant à moi." Dit-il avec autorité, passant sa langue sur ses dents du haut.


Elle ferma les yeux et pinça légèrement ses mamelon, puis avec plus de force, les étirant délicatement vers l'avant. Elle poussa un soupir de plaisir. Elle remonta sa main gauche sur sa gorge, l'enserrant possessivement et fit lentement descendre sa main droite sur son ventre, avant d'atteindre sa vulve. Elle la caressa doucement puis commença à se masturber avec soin.


Pendant plusieurs minutes elle occulta ses sens visuel et auditif et se concentra uniquement sur son propre plaisir, s'abandonnant, essayant de ne plus penser à là où elle était, avec cet homme étrange et extrêmement séduisant qui l'envoûtait, qui lui faisait perdre pied... Sa prestation fut interrompue par un grondement rauque.
- "Oui... Maintenant regarde-moi !"


Elle rouvrit les yeux et fut saisie d'un frisson d'excitation et d'effroi. Il s'était lui aussi légèrement transformé. Ses yeux étaient devenus brillants, magnétiques, sous ses sourcils sombres, pendant qu'il la regardait se caresser devant lui avec délectation. Ses traits s'étaient encore affûtés et lui donnaient une apparence presque diabolique.


Il avait défait sa ceinture, son jean et son caleçon baissés, et caressait son membre épais et érigé d'une main ferme. Un sourire carnassier se forma sur ses lèvres pendant qu'il continuait de la fixer intensément.


Elle retint son souffle. Quelle splendeur, il était encore plus beau et intimidant qu'auparavant. Elle se sentait fondre sous cette vision extatique et ce membre volumineux, mis au supplice de ses mains expertes. Soudain, il s'interrompit.


- "Tu permets ?" lui demanda-t-il en se relevant, sans attendre sa réponse. Elle était de nouveau plus petite que lui et cela lui faisait peur. Lui était ravi de la voir si menue, presque vulnérable...
Il souffla, posant une main sur sa bouche. "Chut, ne t'inquiète pas... Je veux seulement qu'on soit sur un pied d'égalité."


Il se déshabilla à son tour, avec lenteur et volupté, lui faisant apparaître la moindre parcelle de son corps musclé. Elle l'observait avec délectation et s'arrêta sur ce sexe sublime qui se dressait face à elle.


Quand enfin il se retrouva également nu devant elle, il la regarda avec orgueil et un léger dédain. Elle lui rendit son regard, légèrement rétive, ne voulant pas lui montrer la moindre soumission, malgré ce qu'elle ressentait intimement pour lui. Alors, il lui caressa doucement la nuque.


- "Je te plais ?"
Elle le dévisagea avec sensualité.
- "A ton avis ?"


Il se rapprocha d'elle.
- "Je suppose que oui, vu la façon dont tu me regardes, et tes joues qui s'empourprent."
- "Tu n'as pas idée..." Lui susurra-t-elle au creux de son oreille.


- "Tu as confiance en moi ?"
Elle plongea son regard doux vers le sien, se sentant éprise.
- "J'ai confiance en toi. Je n'ai pas peur."


Ils se caressèrent doucement et ce contact leur fit le plus grand bien. Il était séduit par sa beauté lumineuse, ses traits fins, et aimait le contact de sa peau soyeuse qui semblait si fine, si délicate...


Elle, de son côté, aimait le grain de sa peau veloutée et était séduite par son apparence imposante, la force apparente de son corps, son côté prédateur... Même si elle aussi cachait une grande force derrière son corps fin et son apparente douceur.



Un avant-goût transcendant


Ils reprirent lentement leurs esprits. Il la regarda avec délectation, pressé de continuer leur petit jeu, un peu plus lascivement.


- "Du coup, ma belle, tu voulais m'ouvrir ta chatte tout à l'heure je crois ? Vas-y, je suis prêt..."


Sa main glissait lentement sur sa queue. Il allait la regarder se masturber en se branlant, il bouillonnait d'impatience de voir ce spectacle sublime, ses doigts écartant doucement ses grandes lèvres, révélant sa fente humide... Son esprit était totalement tourné vers elle.


Elle rit doucement, amusée par son aplomb.
- "Ah ça, tu n'as pas oublié ! Quelle sagacité..."


Elle le mena près du lit et le fit s'agenouiller. Puis elle s'assit un peu plus loin sur le lit, les jambes fermées, s'appuyant sur ses coudes.


Avec un sourire mesquin et un regard perçant, elle commença à ouvrir lentement et insidieusement les cuisses, se délectant de la moindre réaction de son supplicié qui la regardait, pantelant de désir. Il commençait à entrevoir l'intérieur de sa vulve gonflée et suintante... Il la dévorait du regard.


Elle continua son exhibition obscène jusqu'à s'ouvrir complètement devant lui. Là, elle posa son index et son majeur droit sur ses grandes lèvres.
- "Tu veux que je continue ? Que je les écarte pour mieux voir ?"


Impressionné par son audace et la vision de sa vulve offerte, qui l'excitait délicieusement, il déglutit. La gorge sèche, il parvint à articuler :
- "Oh oui ma beauté, s'il te plaît, je veux tout voir, ton clitoris gonflé, tes petites lèvres saillantes... Fais-moi tout voir, tout ! Je veux me régaler de ta beauté."


Encouragée et excitée par ses mots enthousiastes, elle reprit son exploration de façon encore plus poussée. Elle écarta doucement ses grandes lèvres, lui offrant la vue de son sexe trempé ; son bouton érigé et ses petites lèvres ouvertes et luisantes de plaisir.


Lentement, elle commença à se caresser en fermant les yeux. Ses doigts s'attardèrent sur son clitoris, qu'elle caressa lentement de bas en haut, le lubrifiant avec un peu de cyprine. Puis elle reprit ces mêmes mouvements, mais avec la pointe de son ongle, délicatement.


Il ne la quittait pas des yeux, enflammé de désir, haletant. Il avait changé de position et se masturbait lui aussi avec insistance. Il ne savait pas comment il arrivait à se retenir de la toucher, de la goûter... Mais il fallait qu'il tienne, il lui avait promis.


En la regardant se caresser du bout de l'ongle, il retint sa respiration. Sa voix avait pris une expression d'inquiétude et de fascination mêlées.


- "Ça ne te fait pas mal ?"
- "Ne t'inquiètes pas, je connais mon corps. Il suffit de ne pas y aller trop fort. Et puis..." Elle avait rouvert les yeux, un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres. "C'est ça qui est bon !"


Elle se lécha sensuellement les lèvres, en continuant son geste. Brusquement, elle inséra ensuite son majeur en elle, rapidement suivi de son index et alterna entre un va-et-vient rythmé et des mouvements de rotation qui la firent gémir, la tête penchée en arrière. Elle ferma les yeux, ondulant du bassin.


Puis elle se redressa et le regard avec un air de perversité non dissimulé.
- "Regarde comme je mouille en pensant à toi, tu aimes ça ? Voir ma chatte ouverte et me regarder me caresser de cette façon ?"


En la voyant se masturber comme elle l'avait fait, il l'avait regardée avec une délectation intense. Mais là c'était pire que tout. Ses mots le percutèrent de plein fouet. Il allait devenir fou, il n'en pouvait plus de la voir comme ça, sa vulve offerte à sa vue, le plaisir qu'elle se donnait... Il la voulait, ici, maintenant.


Il ne savait comment résister. Il s'en voulait terriblement. Elle savait y faire, elle était si belle, si attirante, autant par son physique alléchant que par son esprit aiguisé et son langage espiègle. Ses yeux se troublèrent de son désir pour elle, ce qu'elle ressentit aussitôt. Devinant ses pensées à son visage qui se fermait et ses traits crispés, elle reprit ses mouvements sur son clitoris, amusée.


- "Arrête salope, tu m'excites !"
Elle eut un rire grave, presque démoniaque.
- "J'espère bien ! C'est encore plus jouissif de me dire que tu es obligé de te retenir de me toucher, de repousser tes limites et ta patience, car sinon tu sais que je vais m'arrêter !"

Elle murmura, assez distinctement pour qu'il l'entende : "Tu es si sensible... C'est tellement réjouissant !"
Elle se releva soudainement du lit et se baissa jusqu'à lui. Elle effleura son pénis en érection, avant de le serrer fermement dans sa main. Ses yeux s'illuminèrent d'une lueur carnassière.


- "Et maintenant tu sais ce que je vais faire ? Je vais te dévorer la bite tellement fort que tu ne pourras même plus la sentir..."
D'abord stupéfait, il la regarda avec insistance, les yeux écarquillés.
- "Qu'est-ce que tu dis ?"
- "Je te dis que je vais te bouffer la queue, elle est à moi !"


Elle ouvrit la bouche, révélant ses canines et se lécha la lèvre supérieure. Elle caressa ses couilles avec soin et remonta doucement le long de sa verge, du bout de l'ongle.
- "Si tu savais depuis combien de temps j'attends ça, je vais te faire gémir mon amour..."


Elle le fit s'asseoir sur le lit. Lentement, elle glissa ses doigts de bas en haut le long de sa hampe, avec expertise, guettant ses réactions. Puis, n'y tenant plus, elle le prit en bouche et commença à le lécher sensuellement. Doucement d'abord puis de plus en plus avidement, en continuant de caresser ses testicules sensibles. Elle fit jouer sa langue autour de sa queue pulsante, lui procurant des gémissements de bien-être.


Progressivement, elle continuait de se métamorphoser, ses dents devinrent des crocs acérés, ses yeux plus rougeoyant que jamais, entre femme-louve et succube. Des gouttes de salive dégoulinaient le long de sa bouche. De temps en temps ses crocs vinrent s'appuyer contre son membre palpitant.


Elle le torturait délicieusement, enserrant quelquefois son gland jusqu'au frein avant de redescendre lentement. Il haleta de plaisir, voyant cette somptueuse créature l'avaler aussi goulûment. Il plongea ses mains dans ses cheveux, l'attirant encore plus fort contre lui.


Il devait se retenir de jouir et, bon sang ce que c'était compliqué, mais il le fallait. C'était encore bien trop tôt. Il continua de se laisser faire, voulant savourer encore un peu le festin de sa belle. Avant de retourner la situation. Il affichait volontairement ce lâcher-prise pour mieux la surprendre ensuite, quand elle baisserait la garde.


- "Vas-y ma belle petite femelle, suce-moi fort, pompe-moi, montre-moi à quel point tu me désires !"
Elle l'avala encore plus avidement et férocement, le léchant des couilles jusqu'au gland avec précision et lubricité. De temps en temps, elle planta la pointe de ses canines dans ce membre au supplice. Il gémit de douleur et de plaisir.


Constatant quelles sensations elle faisait naître en lui, elle retira un instant sa bouche de sa belle queue et le fixa intensément. Elle lui lança un regard noir et cruel, dévoilant ses dents désormais parfaitement acérées.


- "Tu aimes que je me nourrisses de toi, n'est-ce pas ? Je sens ta belle queue qui pulse avec douleur contre mes canines... Tu es si délectable... Mais ce n'est que le début mon chéri." Elle planta délicatement ses ongles dans ses testicules. "Tu es à moi et je vais continuer de me régaler de ta délicieuse bite, avant de m'attaquer au reste de ton corps somptueux."


Malgré le plaisir, il l'écoutait avec attention et rassemblait ses forces pour reprendre ses esprits. C'était le moment rêvé pour reprendre le contrôle de la situation. Mais il n'eut pas le temps de réagir que déjà elle le reprit en bouche et l'aspira profondément. Il commençait à sentir ses forces le quitter et se dit qu'il fallait réagir, maintenant.


Sans prévenir et malgré la pression de sa bouche veloutée, il lui prit la gorge et la releva, lui déclenchant un violent haut-le-cœur. Il la fit s'allonger sur le lit avec force, au-dessus d'elle, lui tenant puissamment les bras. Puis il remonta sa main droite pour saisir son cou doucement mais tout de même assez fermement.


Son regard avait encore changé, ses yeux s'étaient assombris ostensiblement. Il les planta dans les siens avec une lueur féroce, la bouche légèrement entrouverte faisant apparaître un sourire bestial.


Il s'adressa à elle d'une voix sourde et autoritaire.
" J'espère que tu as aimé ton petit jeu parce que maintenant, c'est terminé. Tu voulais me dévorer la bite ? Attends de voir comme je vais te bouffer la chatte..."


Sa main gauche quitta son bras pour venir se poser entre ses cuisses. Sa main droite resserra sa gorge avec une pression plus forte. Il gronda d'une voix rauque.
- "Tu es à ma merci maintenant, et je vais me faire un plaisir de te le faire sentir !"


Il lui pinça fortement les tétons, allant jusqu'à les étirer lentement devant elle, ce qui lui provoqua de légers soupirs de plaisir. Il la regarda avec avidité, le sang pulsant dans sa queue dressée.


Elle le dévisageait, subjuguée. Il était si beau et si effrayant en même temps, elle ne savait pas comment lui résister. Elle avait toujours rêvé de se laisser soumettre par un homme qui en vaille la peine, qui se montrerait encore plus puissant qu'elle. Il était sublime.


Son sexe gonfla légèrement et pulsa sous ses doigts.
- "Regarde comme tu mouilles, ta petite chatte me demande déjà !"
Il recueillit un peu de sa cyprine du bout des doigts et les porta à sa bouche, les léchant avec délectation, la regardant d'un air provocant.


Il recommença mais, cette fois-ci, approcha ses doigts de sa bouche, à elle.
- "Goûte-toi, lèche mon doigt !"
Elle lui obéit docilement. Elle connaissait bien ce goût, légèrement âcre sans être désagréable, pour s'être déjà masturbée plusieurs fois. Et en fantasmant, avait déjà porté ses doigts luisants à sa bouche.


Elle lécha ses doigts avec application, en le fixant dans les yeux, un air malicieux se dessinant sur son visage. Émoustillé par cette vision, il la dévisagea intensément, d'un air fermé, ses yeux brûlants d'une lueur presque cruelle.


- "Tu t'es déjà goûtée, hein petite chienne ? Tu aimes le sexe ?"
Il était volontairement provoquant, voulant, par ces mots crus, l'exciter davantage et voir jusqu'où elle était prête à aller avec lui.


Elle rougit violemment à ses propos salaces. Jamais elle n'avait osé se dévoiler ainsi, à personne, gardant toujours au fond d'elle une certaine pudeur. Mais avec lui, elle le voulait.
Elle le fixa avec un large sourire.


- "Oui, j'ai déjà tellement fantasmé cette scène, je suis si heureuse de la partager avec toi..."
- "Oh oui ma salope... Alors je peux te promettre que tu ne vas pas le regretter ! Maintenant je vais m'occuper de toi."


Il recommença à titiller ses mamelons puis il en prit un en bouche et l'aspira profondément, de manière à la faire gémir. Elle écarta involontairement les cuisses, les yeux fermés. L'excitation était si forte, elle avait envie de tellement plus...
- "Oui c'est ça, ouvre-moi ta fleur, écarte encore pour que je puisse bien voir..."


Elle rit, amusée par cette métaphore, mais voulut en profiter pour l'exciter davantage. Il la voulait et elle le devinait... Mais aujourd'hui, elle voulait jouer ses cartes elle aussi. Lui montrer que malgré tout, une femme pouvait aussi avoir le pouvoir. Un jeu de domination érotique et dangereux commençait à s'emparer d'eux.


Ses yeux devinrent écarlates et luisants et ses canines s'aiguisèrent ostensiblement. Elle s'adressa à lui avec une voix malicieuse et langoureuse.
- "Tu veux me butiner mon amour ?"


Il planta ses yeux dans les siens avec noirceur. Elle jouait avec lui avec une telle habileté, faisant naître en lui des sensations si fortes... Il la haïssait pour cela et pour la frustration qu'elle éveillait chez lui. Ah elle voulait jouer ?! Eh bien il allait trouver un merveilleux moyen de répondre à ce petit jeu pervers et de la mettre au supplice.


Il ouvrit doucement la bouche et sortit sa langue, la faisant fourcher contre ses dents du haut et frotter le haut de sa bouche.
- "Je vais me régaler de ton nectar avec plaisir, ma douce... Tu vas payer pour les émotions que tu fais naître en moi ! Je vais te dévorer..."


Il approcha sa bouche de son cou, ses épaules, les frôlant doucement, ce qui la fit légèrement tressaillir.
- "Ta peau est si douce... J'ai envie de mordre dedans. Partout, jusqu'à ton fruit délicat."


De nouveau, il y déposa sa main et la regarda avec passion.
- "Tu en as envie ?"
- "Oh oui, s'il te plaît."
- "Dis-le."


Elle le regarda avec aplomb.
- "Goûte-moi, lèche-moi, j'en ai tellement besoin..."
Comme pour joindre les gestes à ses propos, elle continua d'écarter ses cuisses, se mordant la lèvre inférieure.


Il approcha sa langue de ses seins, aspirant ses mamelons à tour de rôle. Il descendit ensuite sa langue sur son ventre doux et arriva au niveau de son sexe. Haletant, il écarta lentement mais largement ses grandes lèvres pour contempler de nouveau le spectacle de sa vulve offerte. Mais cette fois-ci, il allait se faire un régal de la prendre en bouche.


Sa langue glissa lentement le long de sa fente, avant de laper doucement mais précisément son clitoris turgescent, lui faisant pousser de petits gémissements incontrôlés.


Il continua ses caresses insidieuses de sa langue dans les moindres recoins de son intimité. Il suçait son bouton de chair, aspirait ses petites lèvres, plongeant sa langue en elle... Elle se cambra sous les sensations délicieuses qui s'emparaient d'elle, ses mains se crispant sur les draps.


Il releva la tête et la contempla avidement.
- "Tu aimes ça, être à ma merci ?"
- "Oh oui, continue s'il te plaît, je brûle, c'est si bon..."


Enthousiasmé par ses réactions et ses paroles, il continua ses caresses, plus sauvages. Ses mains de démon se promenaient partout sur son corps, légèrement électrisés. Elle sursauta. Ils se posèrent sur ses mamelons, déclenchant en elle des spasmes de douleur et de jouissance. Elle ferma les yeux.


- "Regarde-moi !"
Elle rouvrit les yeux et ne put réprimer un frisson d'effroi et d'excitation extrême. Il était devenu beaucoup plus ténébreux, presque inquiétant, ses yeux si pénétrants... Avec un rictus sardonique il suça son index droit.
- "Sais-tu où je vais venir maintenant ?"


Elle ne répondit pas, la bouche sèche et entrouverte, totalement désarmée par cette créature de rêve, ou de cauchemar, elle ne savait plus exactement.
- "Attends, non..."
- "Oh que si ! "


Avec un sourire sadique il dirigea dangereusement son doigt électrisé vers son entrejambe. Elle se débattit comme elle put mais il la maintenait en place avec force, maintenant ses cuisses écartées avec outrance avec ses genoux et ses grandes lèvres ouvertes.


Au moment du contact sur son clitoris dénudé, déjà si sensible de ses précédentes caresses, une décharge beaucoup plus forte la traversa de part en part et l'immobilisa. Son sexe se contracta involontairement, avec force. Le haut de son visage se crispa.


Il maintint une pression plus ferme et ricana en la voyant ainsi.
- "Pitié..." parvint-elle à articuler, le souffle court.
- "Pitié, qui ?"
- "Pitié, Maître... Je vous en supplie, demandez-moi ce que vous voulez mais arrêtez..."

Il la regarda avec triomphe, son visage et sa voix s'étaient transfigurés.
- "Répète, plus fort !"
- "Pitié, Maître !"


Elle le regarda avec des yeux implorants. Des larmes coulèrent doucement le long de ses joues. Il en recueillit une sur son doigt et le lécha avec sensualité, la regardant passionnément.
- "Pas de pitié pour toi, ma belle, tu m'as suffisamment fait attendre. Je vais te montrer ce qui se passe quand on essaye d'amadouer et de soumettre un démon.


Il continua ses caresses douloureuses et impitoyables sur l'ensemble de son corps, se rassasiant de son corps à vif.
Quelquefois, il amplifiant encore les sensations en la stimulant de la pointe de son ongle, comme elle lui avait montré.


Pendant tout le temps que cela dura, elle empoigna les draps sous elle, transportée par la sensation de plaisir qui s'emparait d'elle. Elle était proche de l'extase, il la rendait folle. Elle aurait voulu se venger de lui, le baiser sur le champ, mais il était encore trop fort pour elle... Elle devait prendre son mal en patience mais se jura de lui faire payer les sensations qu'il avait éveillées en elle.



L'effervescence


- "Maintenant" dit-il d'une voix rauque, "je vais te prendre."
Il se retira pour chercher le préservatif qu'il avait laissé dans la poche de son pantalon. Encore troublée par les spasmes qui l'avaient parcourus, elle ne réagit pas tout de suite. Elle reprit lentement ses esprits, réfléchissant à une vitesse folle, pour reprendre le dessus. Soudain, un sourire discret s'étira sur ses lèvres. Elle savait exactement ce qu'elle pouvait faire.


Debout à côté, sans se douter de rien, il déroula machinalement le préservatif sur son sexe brûlant, son esprit était ailleurs. Il se voyait déjà la pénétrer par tous les orifices, la traverser comme une dague aiguisée. Cette simple vision lui procura un désir fou et son érection grandit encore.


Il revint vers elle et remarqua qu'elle était assise sur ses genoux, une mine défaite, ses beaux yeux verts agrandis et errants. Il rit de surprise.
- "Alors, ma beauté, on a du mal à se remettre ?" Il se plaça devant elle et caressa son sexe en érection.


Elle cilla des yeux, la bouche entrouverte. Elle prit une voix doucereuse.
- "J'avoue, mon amour, que j'ai un peu peur d'avoir mal, après tes caresses appuyées sur tout mon corps... Accepterais-tu de me laisser venir un peu sur toi au début pour m'adapter à ta si belle et grosse queue ?"


Il baissa la garde, attendri par ses mots délicats, son visage adouci et son regard légèrement apeuré.
- "D'accord, mon ange, mais je te fais cette faveur juste au début. Après..." Il se redressa pour retrouver sa dignité. "Je veux te baiser comme j'en ai envie." Il retrouva son sourire carnassier.
- "C'est promis."


Il s'allongea sur le lit et elle le rejoint, se positionnant au-dessus de lui, mais pas encore en lui. Puis elle le chevaucha doucement, s'empalant sur sa queue et remontant avec délicatesse, pour mieux s'habituer à ce membre, plus imposant qu'elle n'en avait connu. Il commença à gémir en la regardant, fasciné. Putain, qu'elle était belle ! Il était sous le charme de sa beauté et de la finesse de ses mouvements réguliers.


Soudain, elle s'arrêta et le fixa. Son visage se glaça, ses yeux devinrent perçants. Là, le dominant, supérieure à lui, un sourire intérieur se dessina sur ses lèvres. Elle les écarta doucement, les canines saillantes. C'est là qu'il comprit son erreur et sa crédulité. Cela allait lui coûter très cher, il le savait. Il s'immobilisa de stupeur.


Un sourire démoniaque se dessina sur ses lèvres. Elle empoigna délicatement ses testicules et y enfonça lentement les ongles.
- "Alors comme ça, tu voulais me prendre à ton aise, sans que je ne montre aucune résistance ? Mais je ne suis pas comme ça, tu le sais... Il faut me mériter pour avoir le droit de me baiser !"


Elle se lécha les babines et se mordit la lèvre inférieure en le bouffant du regard. Elle lui parla d'une voix mielleuse.
- "D'ailleurs, là c'est plutôt moi qui vais te baiser et te faire gémir à ma façon... J'espère que tu es prêt mon beau mâle, car je ne vais pas te laisser de répit !"


Ses mouvements de reins se firent beaucoup plus brutaux, tout en étant parfaitement calculés, pour ne pas l'amener tout de suite à la délivrance. Elle prenait un malin plaisir à le soumettre, savourant le moindre de ses mouvements, et sa position dominante. quelquefois elle lacérait son torse de ses ongles, y laissait courir ses cheveux... Elle maîtrisait chaque geste à la perfection. Elle voulait le posséder, elle le désirait si fort...


- "Ce n'est pas juste que ce soit toujours vous qui puissiez pénétrer, vous enfoncer où vous en avez envie. Il arrive des fois où les femmes veulent aussi prendre le contrôle."


Elle passa doucement un doigt sur son anus et reprit en chuchotant, tout contre son oreille :
- "Je pourrais te pénétrer, maintenant, de mon doigt, comme tu aimerais le faire si tu étais à ma place. Te faire découvrir des plaisirs que tu n'as pas encore expérimentés ! Je serais ravie de te les faire goûter et de te voir succomber, mon beau démon..."


Son désir la rendait prolifique et elle aimait parler en termes crus. Elle voulait le mener vers des terres qui lui étaient inconnues jusqu'alors, l'initier à de nouveaux plaisirs charnels, sensitifs et verbaux.


Mais avant cela elle voulait prolonger encore son plaisir, se repaître de son membre puissant. Elle s'empala de nouveau avec vigueur sur son sexe dressée et contracta ses muscles intimes pour l'aspirer sensuellement, avec une précision diabolique.


Elle se sentait si puissante, trônant sur lui comme une reine, une déesse... Ses mouvement se firent de plus en plus sauvages et tortueux, avec l'envie de voir jusqu'à quel point il arrivait à se retenir pour ne pas jouir, s'abandonner à elle.


Son étau de chair se redressait de plus en plus sur sa bite douloureuse. Il gémissait, au bord du gouffre. Il ne savait pas comment il se retenait de jouir mais il le fallait. Il n'arrivait plus à manifester la moindre résistance, glacé d'effroi par l'audace de sa belle succube. Mais il allait lui faire regretter sa frustration.


Soudain elle le vit gémir et haleter avec plus de force, son visage figé par une douleur visible, les yeux fermés. Le voyant ainsi transfiguré elle prit peur et arrêta complètement ses mouvements. Apeurée, elle lui caressa doucement la joue.
- "Pardon mon tendre amour, ça va ? Excuse-moi si je t'ai fait mal..."


Il ne dit plus aucun mot, le corps figé. Puis il rouvrit lentement les yeux, lançant un regard foudroyant et menaçant vers elle. Elle le regarda, interloquée. Ne lui laissant pas le temps de comprendre sa feinte, il poussa un rire démoniaque et la prit par les hanches, pour la faire basculer sur le lit.


- "Alors ma succube, tu voulais me baiser, vraiment ? À qui crois-tu avoir affaire ?"
Elle se tut et le fusilla du regard, captivée mais aussi offusquée par son arrogance et sa perfidie.


Il reprit, encore plus sournoisement :
- " Ton petit jeu ne marche plus. Je ne me laisserai plus jamais amadouer par ton regard enjôleur ou ta délicatesse simulée, c'est terminé. Je vais te faire voir ce que tu mérites."


À ces mots, il enfonça avec vigueur deux doigts en elle. Elle gémit malgré elle.
- "Tu vois comme ton corps me désires ? Tu ne peux rien y faire. Tu es peut-être forte mais pas assez pour moi. C'est à mon tour de te posséder. Et crois-moi, tu n'es pas prête à recevoir les assauts que je vais t'inculquer, dans ta chair...."


Il remonta ses mains pour pincer ses mamelons avec cruauté, jusqu'à les faire rougir, la faisant gémir de plaisir. Puis, sans préambule, il la pénétra avec force, d'un coup sec, jusqu'au plus profond d'elle même. Elle cria de plaisir, les yeux fermés. Il reprit ses mouvements de façon de plus en plus brutale, méthodique, sa queue pulsant en elle.


- "Tu es si serrée ma petite salope... Tu aimes que je te baises comme ça ?"
- "Oh oui s'il te plaît, défonce-moi, déglingue-moi, montre-moi ce que tu peux me faire avec ta magnifique queue !" Elle ne retint pas les mots, excitée au plus haut point.


Soudainement il sortit d'elle et vociféra avec force.
- " Comment oses-tu me tutoyer ? Les rôles ont changé il me semble, qui est le Maître ici ? Regarde-moi !"
Elle le regardait avec une stupeur telle qu'elle restait figée sur place, incapable de bouger ni de parler.


Il répéta, tout aussi fort :
- "Qui est ton Maître ? Dis-le où je te jure que tu vas le regretter !"
Il pinça ses mamelons avec fermeté en y enfonçant la pointe de ses ongles. Mais elle était toujours incapable de parler et, d'une certaine façon, refusait de se soumettre à lui.


Il gronda.
- "Si tu ne le dis pas maintenant, je te jure que ce que je fais avec mes ongles sur tes seins, je vais te le faire sur ton clitoris et tes petites lèvres, tu vas souffrir ma petite salope ! Alors, qui ?"


Il pinçait maintenant ses seins si forts que le sang afflua au bord du mamelon. De son autre main, il enserrait doucement sa gorge, sentant les pulsations de son cœur qui battait la chamade.


N'en pouvant plus, envoûtée, tiraillée, elle regarda son visage fermé avec une crainte qu'elle n'arrivait plus à dissimuler. Mais aussi, paradoxalement, une fureur extrême. Elle capitula contre son gré.
- "C'est vous." Sa voix se mua d'une teinte rageuse. Elle bouillonnait de ressentiment.


"Salaud de démon..." pensa-t-elle au plus profond d'elle-même. Comme s'il l'avait entendue, il se pencha contre son oreille, ses crocs l'effleurant doucement.
- "J'espère que j'ai mal entendu."


Il la pénétra de nouveau avec vigueur.
- "Tu es ma petite salope, ma petite chienne, ton corps m'appartient..."
Elle lui griffa le dos, lui lacérant presque. Une lueur de défi brilla dans son regard.
- "Vous ne me faites pas peur. Et mon corps n'appartient qu'à moi." Ne put-elle s'empêcher de répondre.


Elle refusait de se soumettre à lui, malgré sa puissance incontestable et la fascination qu'elle ressentait pour lui. Mais elle sentait avec effroi ses forces de persuasion et de contrôle la quitter.


- "Répète un peu ça, pour voir ?"
Il renouvela ses assauts avec encore plus de fermeté, jusqu'au plus profond d'elle, la faisant gémir de plaisir et de douleur.


Elle essayait de se contracter pour le maintenir captif en elle mais à chaque fois, il se retirait avec force, provoquant en elle une douleur et une humiliation indescriptible, avant de la pénétrer à nouveau.


Il chuchota, tout de même assez distinctement pour qu'elle l'entende :
- "Je vais te posséder. Je suis déjà en train, je le sais. Tu peux peut-être, avec à ta vulve, essayer de me garder en toi, mais moi, je peux te fouiller et te sonder jusqu'au plus profond de ton être. Tu ne peux pas me garder en toi, je te l'ai dit, je suis plus fort et tu n'y peux rien... Ce n'est plus une question de volonté."


Elle commença à perdre pied, touchée de plein fouet par ses mots ravageurs.
Alors qu'il était au plus profond d'elle, il s'adressa à elle dans un râle bestial.
- "Offre-moi ta chatte, ton ventre, tes seins, tes yeux, ta bouche, ta gorge, tes mains... Donne-moi tout, ton cœur, ton corps et ton âme, j'ai tellement envie de toi..."


Gémissante, elle parvint à articuler, dans un sanglot :
- "S'il vous plaît, vous savez ce que je ne peux pas vous offrir..." Une larme perla le long de sa joue. Elle le regarda avec insistance mais il ne se laissa pas émouvoir.


- "Tout, j'ai dit."
Il exerça de légères pressions sur son clitoris douloureux, prolongeant ses mouvements avec plus de lenteur mais aussi une force beaucoup plus impressionnante, voulant la mener à la dérive.


Elle était au bord de l'extase, complètement mise à nu, ne sachant plus que faire. Elle perdait le contrôle de ses sens, de son esprit... Il occupait toute la lace dans ses pensées, dans sa chair, elle n'arrivait plus à se contrôler. Elle baissa le regard, vaincue.


- "Pitié, Maître, arrêtez, je ne peux plus, c'est trop fort..."
- "Vas-y, supplie-moi encore, j'aime ça !"
Elle se tut, effrayée, voyant que ses paroles n'avaient plus d'effet sur lui. Au contraire, elles semblaient l'attiser de plus belle.


- "Tu es à moi ma petite salope, tu m'appartiens !"
- "Oui, je suis à vous..."
- "Tu es mon esclave, ma proie, ma possession."
- "..."


- "Je vais te défoncer jusqu'à t'écarteler ma soumise, et tu ne peux plus rien y faire ! Tes forces te quittent." - "Tu m'appartiens !" Hurla-t-il, la force de sa voix se répercutant contre les murs.
Subjuguée, elle haleta, des larmes coulant sur son visage. Il massa son clitoris et ses petites lèvres avec plus de force.


- "Dis-le, ma petite soumise, à qui appartiens-tu ?"
- " À vous, Maître.", murmura-t-elle dans un gémissement. "J'ai besoin de vous sentir en moi, je suis à vous !"


Il la martela avec encore plus de vigueur, faisant claquer ses chairs contre les siennes.
Elle commençait à partir. Elle était totalement éprise de lui, à son grand désarroi. Elle voulait calmer son cœur qui battait la chamade mais elle était prise au piège.


La voyant ainsi tourmentée, il ralentit et s'insinua plus lentement en elle. Il caressa doucement sa bouche.
- "Chut, ne t'en fais pas..." Dit-il d'une voix sourde.


Elle se tut, totalement éprise de lui, se noyant dans ses yeux noirs.
- "Tu es si belle." lui souffla-t-il. "Je vais te faire jouir ma douce, tu es prête ?" Ses yeux profonds la dévisageant intensément.


Il continua d'aller et venir en elle, mais beaucoup plus posément, presque imperceptiblement comparé à leurs précédents ébats.
Elle se sentait dépossédée, comme s'il était en train de se repaître d'elle, la profondeur de ses yeux et de ses cheveux sombres engloutissant la lumière de ses chevaux châtains, presque dorés, et de ses grands yeux verts.


Leur plaisir et leur contentement mutuel atteint leur paroxysme. Une vague de plaisir intense les submergea et ils explosèrent ensemble, avec un sentiment de bien-être total, leurs corps entrelacés. Il se retira avec regret et disparut dans la salle de bains pour enlever son préservatif encore luisant de leurs fluides. Il revint dès que possible vers elle, totalement ébahie, les yeux grands ouverts, respirant péniblement.



Retour à la réalité


Leurs corps reprirent leur apparence initiale. Il se blottit doucement contre elle et elle l'accueillit chaleureusement, le prenant dans ses bras. Elle murmura :
- "Je n'avais jamais ressenti ça aussi fort auparavant..."
- "Moi non plus ma belle, ça fait tellement de bien..." Souffla-t-il.


Ils se regardèrent tendrement. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, surtout la concernant, ils s'embrassèrent. Un baiser complice, tendre et sensuel.


Leur étreinte sembla durer une éternité. Au moment de la séparation, qui fut la plus douce possible, leurs mains continuèrent néanmoins de se caresser. Ils s'assirent sur le rebord du lit.


Elle posa sa tête contre son épaule. Elle était totalement perdue, ne sachant pas où cette relation allait les mener. Elle avait peur mais en même temps, était si heureuse d'avoir pu partager ses fantasmes avec quelqu'un... Et pas n'importe qui. Quelqu'un qui lui ressemblait autant.
- "Que va-t-il se passer maintenant ?" Chuchota-t-elle d'une petite voix.


Il la regarda affectueusement.
- "Nous allons continuer de nous connaître, l'un et l'autre, et de partager nos désirs intimes ensemble. " Il marqua un temps d'arrêt. "Et la prochaine fois, on ira peut-être encore plus loin, tous les deux. Je vais t'initier à des plaisirs que tu n'as encore jamais découverts mais dont tu rêves secrètement... Par contre, en revanche, on fera tous les tests que tu voudras, mais plus question de préservatif."


Il prit doucement son visage dans ses mains.
- "Je veux ressentir pleinement le velouté de ta petite chatte humide quand je suis en toi." Elle frémit. "Tu es d'accord ?"


Elle prit un air légèrement timide mais lui souffla un léger "oui" au creux de son oreille. Il posa ses lèvres sur les siennes et ils échangèrent de nouveau un baiser lascif, qui promettait pour eux deux de nouveaux ébats passionnés, encore plus intenses et jouissifs. Une communion charnelle et spirituelle venait de se créer entre eux. Et ce n'était que le début...

Les avis des lecteurs

N.B : Je suis désolée pour les quelques répétitions et les erreurs visibles dans ce récit. Je les ai découvertes alors que, pourtant, je m'étais appliquée à le relire plusieurs fois...



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