La Martine
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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La Martine
Dans son village on a oublié son nom, tout le monde l'appelle la Martine. Elle est sauvage et ne se mêle pas aux gens. C'est sa nature. Elle n'a que 60 ans mais elle n'a pas oublié le seul amant qu'elle n’a jamais eu, son cousin André. Elle avait à peine 20 ans à l'époque lorsque à la fête du village il venait de sa ville pour rencontrer sa famille et par contre coup Martine. Lui avait plus de 30 ans, c'était un vieux. Enfin, un vieux pour elle. Mais il était marié. Il était venu seul sans sa propre famille : une sombre histoire d'héritage passait par là. Toujours est-il qu'il est là chez les parents de la Martine. Il était beau, grand et bien bâti.
Martine était belle, bien faite, des seins forts impertinents qui attiraient les regards. Elle même ne vivait que pour ses études. En faculté de droit.
C'est donc presque par hasard qu'ils se rencontraient. Voyant le beau brin de fille, André faisait tout ce qu'il pouvait pour arriver à lui faire l'amour : sa femme absente et cette belle fille lui donnait des envies de sexe.
Il sentait que Martine le regardait avec un air qui voulait dire qu'elle se donnerait bien à lui. Un soir ils sortaient se promener dans la campagne, loin de tout et là il la prit dans ses bras pour l'embrasser. Elle répondait en se collant à lui. Il sentait son corps chaud contre le sien et il se mettait à bander assez fort pour que Martine sente la bite contre son ventre. Elle appuyait sur le sexe dressé et la cousine savait bien ce qu'était la bite d'un garçon et surtout ce que cherchait un garçon quand il bandait. Mais ça lui était égal. Elle était tombée sous le charme d'André. Prête à s'offrir à lui elle acceptait d'avance tout ce qu'il lui demanderait
Il ne demandait rien de bien méchant, Il voulait qu'elle le branle, mais avant il lui mettait la main au panier. Martine se laissait faire. Il lui levait la robe et passait une main entre les cuisses. Martine acceptait la main et la fouille de son entrejambe qui suivait. La main se posait sur sa fourrure et un doigt rentrait dans son con : il cherchait et trouvait facilement le clitoris qu'il se mettait à caresser doucement. Martine avait les jambes flageolantes qui ne la tenaient plus. Il lui fallait être assises. André lui procurait un siège dans la mousse d'un sous bois. Il lui enlevait le slip fort sage qu'elle portait et posait ses mains non plus sur le sexe, mais sur les chevilles et caressait la jambe à partir de là jusqu'à revenir sur le con. Il continuait à l'embrasser. Martine n'en pouvait plus : elle s'allongeait et André en poursuivant ses caresses revenait sur le bouton. Martine défaillait complètement. Continuant son avantage, André portait une main sur les seins et finalement l’a mise nue. Elle se lassait faire comme une chiffe.
Profitant du trouble dans lequel il avait mis Martine, André à son tour se dévêtait rapidement. Il prenait la main de Martine pour qu'elle lui touche ou lui branle un peu la bite qui commençait à être douloureuse. Martine obnubilée par son plaisir ne pensait même pas à le caresser un peu.
Enfin elle prenait la pine dans sa main et la branlait doucement car elle n'avait pas l'habitude des garçons.
Mais André de voulait pas jouir comme ça, dans le vide : il voulait jouir en elle. Il lui dit qu'il voulait la prendre. Elle acceptait et ouvrait les jambes ; André se mettait sur elle et lentement il commençait à la pénétrer, jusqu'à ce qu'il rencontre l'hymen. Il eu un moment d'arrêt et d'un seul coup il la déflorait. Elle poussait un cri de surprise plus que de douleur réelle. Mais aussitôt après elle ressentait en elle une douce chaleur envahir son bas ventre et brusquement elle eu son premier orgasme alors qu'André n'avait pas encore jouit. Il restait en elle pour se satisfaire et elle eu une deuxième jouissance pendant que lui déchargeait son sperme dans son con.
Elle ne voulait pas rentrer à la maison sans avoir encore eu une autre jouissance. André qui le pouvait encore se mettait à bander encore et pour la satisfaire il la pénétrait encore. Mais il désirait l'enculer. Après une autre jouissance de Martine, il lui disait qu'il voulait lui faire découvrir une autre façon de faire l'amour, curieuse Martine acceptait. Il la faisait mettre en levrette et comme sa bite était encore pleine de la cyprine de Martine, il lui posait sa bite sur son cul. Lentement il commençait la pénétration. Martine avait mal et le lui disait. Il la tranquillisait et en effet bientôt elle sentit dans son anus un plaisir presque comparable à ce qu'elle avait ressenti dans son con.
Ils rentraient à la maison. Là Martine aurait bien voulu baiser encore, mais André était à plat. Ils se sont revus tous les jours pendant deux semaines. Ils ne se sont jamais revus et Martine est restée bêtement sans doute dans le souvenir des étreintes qu'il lui avait offert. Un jour elle a trouvé comment se donner elle même du plaisir, mais ses masturbations n'apportaient jamais les mêmes orgasmes.
Martine était belle, bien faite, des seins forts impertinents qui attiraient les regards. Elle même ne vivait que pour ses études. En faculté de droit.
C'est donc presque par hasard qu'ils se rencontraient. Voyant le beau brin de fille, André faisait tout ce qu'il pouvait pour arriver à lui faire l'amour : sa femme absente et cette belle fille lui donnait des envies de sexe.
Il sentait que Martine le regardait avec un air qui voulait dire qu'elle se donnerait bien à lui. Un soir ils sortaient se promener dans la campagne, loin de tout et là il la prit dans ses bras pour l'embrasser. Elle répondait en se collant à lui. Il sentait son corps chaud contre le sien et il se mettait à bander assez fort pour que Martine sente la bite contre son ventre. Elle appuyait sur le sexe dressé et la cousine savait bien ce qu'était la bite d'un garçon et surtout ce que cherchait un garçon quand il bandait. Mais ça lui était égal. Elle était tombée sous le charme d'André. Prête à s'offrir à lui elle acceptait d'avance tout ce qu'il lui demanderait
Il ne demandait rien de bien méchant, Il voulait qu'elle le branle, mais avant il lui mettait la main au panier. Martine se laissait faire. Il lui levait la robe et passait une main entre les cuisses. Martine acceptait la main et la fouille de son entrejambe qui suivait. La main se posait sur sa fourrure et un doigt rentrait dans son con : il cherchait et trouvait facilement le clitoris qu'il se mettait à caresser doucement. Martine avait les jambes flageolantes qui ne la tenaient plus. Il lui fallait être assises. André lui procurait un siège dans la mousse d'un sous bois. Il lui enlevait le slip fort sage qu'elle portait et posait ses mains non plus sur le sexe, mais sur les chevilles et caressait la jambe à partir de là jusqu'à revenir sur le con. Il continuait à l'embrasser. Martine n'en pouvait plus : elle s'allongeait et André en poursuivant ses caresses revenait sur le bouton. Martine défaillait complètement. Continuant son avantage, André portait une main sur les seins et finalement l’a mise nue. Elle se lassait faire comme une chiffe.
Profitant du trouble dans lequel il avait mis Martine, André à son tour se dévêtait rapidement. Il prenait la main de Martine pour qu'elle lui touche ou lui branle un peu la bite qui commençait à être douloureuse. Martine obnubilée par son plaisir ne pensait même pas à le caresser un peu.
Enfin elle prenait la pine dans sa main et la branlait doucement car elle n'avait pas l'habitude des garçons.
Mais André de voulait pas jouir comme ça, dans le vide : il voulait jouir en elle. Il lui dit qu'il voulait la prendre. Elle acceptait et ouvrait les jambes ; André se mettait sur elle et lentement il commençait à la pénétrer, jusqu'à ce qu'il rencontre l'hymen. Il eu un moment d'arrêt et d'un seul coup il la déflorait. Elle poussait un cri de surprise plus que de douleur réelle. Mais aussitôt après elle ressentait en elle une douce chaleur envahir son bas ventre et brusquement elle eu son premier orgasme alors qu'André n'avait pas encore jouit. Il restait en elle pour se satisfaire et elle eu une deuxième jouissance pendant que lui déchargeait son sperme dans son con.
Elle ne voulait pas rentrer à la maison sans avoir encore eu une autre jouissance. André qui le pouvait encore se mettait à bander encore et pour la satisfaire il la pénétrait encore. Mais il désirait l'enculer. Après une autre jouissance de Martine, il lui disait qu'il voulait lui faire découvrir une autre façon de faire l'amour, curieuse Martine acceptait. Il la faisait mettre en levrette et comme sa bite était encore pleine de la cyprine de Martine, il lui posait sa bite sur son cul. Lentement il commençait la pénétration. Martine avait mal et le lui disait. Il la tranquillisait et en effet bientôt elle sentit dans son anus un plaisir presque comparable à ce qu'elle avait ressenti dans son con.
Ils rentraient à la maison. Là Martine aurait bien voulu baiser encore, mais André était à plat. Ils se sont revus tous les jours pendant deux semaines. Ils ne se sont jamais revus et Martine est restée bêtement sans doute dans le souvenir des étreintes qu'il lui avait offert. Un jour elle a trouvé comment se donner elle même du plaisir, mais ses masturbations n'apportaient jamais les mêmes orgasmes.
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