LA MOMIE

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LA MOMIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2021 dans la catégorie Fétichisme
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LA MOMIE
Le lendemain de ma folle nuit d'amour avec Jérôme, et alors que je sortais de la maison pour me rendre au bureau, je trouvais un bouquet de fleurs sur ma voiture. Finalement, j'avais gagné mon pari et conquis mon nouvel amant. Il était, au terme de cette folle nuit, tombé entre les mailles de mon filet, et j'étais bien décidé à en user et en abuser. J'arrivais, au bureau un peu tard, je l'admets, et participais aux quelques réunions de fin de matinée. Je m'étais préparée pour une dernière soirée, sachant que mon mari devait rentrer le lendemain soir, et que j’attendais une confirmation de mon amant par SMS. En attendant, je proposais aux équipes commerciales d'aller déjeuner dans une petite auberge à proximité des bureaux. J'étais toujours à la recherche de l'identité de l'homme qui m'avait possédé dans un club privé quelques jours auparavant, et donc épier chacun de mes collaborateurs espérant un quelconque indice pendant le repas. Entourée d'hommes, dont la majeure partie me dévorait des yeux, je portais pour l'occasion une robe moulante rouge à motif tartan écossais qui m'arrivait aux genoux avec un col montant et des manches courtes. Très chic et extensible, je savais d'expérience le coté excitant et pratique de cette matière élastique qui me couvrait comme une seconde peau. L'ambiance était détendue, tous riant même de la tache de sauce tomate que Patrick avait faite sur sa cravate et sa chemise. Alors que nous prenions le café, je reçus un nouveau SMS.
@Patricia : salut ma belle, j'espère que tu t'es bien remise de la nuit dernière, car pour ce soir, je te prépare une surprise encore plus extrême. Es-tu prête à tenter une nouvelle expérience ?
@Jérôme : je suis prête à tout pour toi, mais j'aimerais tellement passer la soirée seule avec toi.
@Patricia : ce n'est pas tout à fait le plan, ma belle, je vais t'emmener dans un restaurant un peu particulier.
@Jérôme : si j'obéis, tu me promets que tu seras à moi pour le restant de la nuit...
@Paricia : promis ma pouliche, en attendant, je t'attends à l'adresse qui suit à 19H30 pour le dîner, tu verras, c'est une expérience gustative unique. Montre le SMS que je vais t'envoyer à l'entrée et ils te feront rentrer.
Le SMS était donc une invitation dans lequel on pouvait lire : "Invitation pour Blind Taste 19H30 restaurant éphémère de l'usine". Je ne savais pas si la faute d'Anglais était intentionnelle "Taste/Test", mais je me doutais bien, qu'il s'agissait encore d'une soirée spéciale, dont j'allais être sûrement l'attraction principale. Je n'avais pas d'autres options et si je voulais le voir, je devais me plier à ses instructions. Je me rendais donc à l'adresse indiquée. À l'heure, je garais ma voiture sur un parking devant une usine désaffectée, et me dirigeait vers une porte d'entrée ou se trouvait deux vigiles avec leurs chiens, auxquels je tendis mon invitation.
- C'est une soirée privée, Madame, très confidentielle, avec interdiction de prendre des vidéos ou des photos, vous devez laisser votre téléphone ici, et on va devoir vous fouiller.
Je tendis mon téléphone, enlevais mon manteau, et me placer devant un mur, bras tendu afin de subir cette fouille inattendue. Plus qu'inattendue, elle était aussi inapproprié. Les mains du vigile, se posèrent sur mes hanches, qu'il saisit fermement, et remontèrent vers ma poitrine qu'il frictionna avec plus de passion qu'une simple routine de sécurité. Alors qu’une main me palpait les seins, l'autre en faisait de même avec mes fesses et mes cuisses. Ses mains remontaient sous ma robe dans mon entre-jambe qu'il malaxa aussi avec une grande délectation. La fouille dura plusieurs minutes.
- C'est bon, belle dame vous êtes clean, vous pouvez-vous installer au bar, bonne soirée, et bonne dégustation...
J'entrais dans l'usine, et traversais un hall immense qui avait du être un entrepôt, avant d'arriver dans les anciens ateliers. C'était sale, et il faisait froid. Au milieu de l'atelier, je distinguais plusieurs projecteurs qui éclairaient le restaurant éphémère. Un bar, une cuisine improvisée, une table et au centre un immense lit. Je m'approchais et aperçu sur le tour du lit des chaînes solidement fixées, et alors que j'observais l'ensemble, une bonne dizaine d'hommes cagoulés sortirent de l'obscurité. Au bar, était assise une femme qui attendait. Apparemment, je n'étais pas la seule nymphomane de la ville. Petite blonde pulpeuse, d'une quarantaine d'années en robe moulante noir avec un décolleté plongeant. Le type de femme allumeuse et vulgaire qui faisait fantasmer les hommes pour un coup d'un soir rapidement consommé. Suivant les consignes, je m'installais sur le second tabouret et attendais. Les hommes s'étaient dirigés vers deux grands panneaux, ou je pouvais juste distinguer le titre "Menu 1 Patricia mature bourgeoise" et sur l'autre "Menu 2 Frédérique blonde pulpeuse". Maintenant tout était clair, nous étions toutes les deux les éléments principaux du dîner. Je ne pouvais distinguer Jérôme, et alors que les hommes faisaient leur choix, je décidais de partir, espérant susciter une réaction afin que mon amant se dévoile, pour me retenir. Je marchais vers la sortie alors que les deux vigiles me bloquaient le passage.
- Madame, je pense que vous vous trompez de sens, vous pouvez rejoindre votre table, c'est celle de droite.
- Non désolé, mais je ne pense pas participer à votre orgie.
- Je ne pense pas Madame, que vous ayez le choix !!!
- Non mais que faites-vous, lâchez-moi !!! Je ne vous permets pas !!!!
L'un des hommes me prit par les bras, pour me les placer dans le dos, alors que de sa main experte en sécurité, il me menottait. Je protestais, les intimant de me laissais passer. Le second me plaça une boule de latex dans la bouche pour me bâillonner et pour finir mes jambes furent attachées avec de l'adhésif au niveau des chevilles. J'étais immobilisée et à leur merci. Alors que je me débattais, avec virulence, ils me soulevèrent pour me porter jusqu'à la table, ou je fus assise. Autour de la table, tous les convives étaient installés, ainsi que la blonde qui était en face de moi. J'essayais de trouver Jérôme parmi ces hommes, mais je ne pouvais le distinguer ou le reconnaître, chacun portant un masque en cuir de type BDSM. Tous les hommes me dévoraient du regard avec gourmandise et j'observais chacun d'eux à tour de rôle. Le premier homme semblait être le plus âgé. Ses vêtements étaient caractéristiques d'un ouvrier presque retraité, alors que le second, cadre dynamique, semblait un tout petit peu plus jeune, mais proche de la soixantaine... Comme la veille, j'étais convaincue de connaître ces deux hommes, mais du fait de l'obscurité n'arrivais pas à les distinguer correctement. Les autres semblaient définitivement plus jeunes, et en smoking. Ils discutaient tout en m’observant et je pouvais observer la blonde en face de moi fleuretant avec ses voisins et qui commençait par se faire embrasser et caresser par les hommes qui étaient assis autour d’elle. L'un d'eux prit enfin la parole, et je reconnus la voix de mon amant.
- Bienvenue, ma belle pouliche, comme tu as pu le deviner, il s'agit d’un repas un peu spécial ou il va falloir que tu reconnaisses les aliments. Tu es, comme tu peux t'en douter, un élément important de ce repas, et j'espère que tu sauras apprécier ma sélection. Avant toutes choses, il faut finir la préparation pour ce blind taste un peu particulier. Veuillez-lui masquait les yeux, je vous prie...
Le second homme se leva et se dirigea vers moi en silence. Debout, devant moi, il me caressa le visage avec tendresse. Je pouvais voir au fond de ses yeux un désir profond. Silencieux, il se pencha vers moi pour me poser un bandeau sur les yeux, et c'est à ce moment que je distinguais clairement sur sa chemise... Une tache de sauce tomate récente. Alors que j'écarquillais les yeux pour le regarder, le masque me recouvrit la vue. Attachée, bâillonnée, et aveugle, je ne pus protester, alors que je m'apprêtais à me faire violer par Patrick mon directeur commercial...
J'étais, totalement vulnérable, dans une position de soumission totale, attendant mon châtiment a venir.
- Bien maintenant que tu es prête, je te propose un petit apéritif. Le produit est très « dégustatif », et je pense que tu devrais reconnaître la texture, tu en as déjà consommé récemment.
Une main-forte se saisit de mes cheveux pour me basculer la tête en arrière.
- Alors, ma belle oie, on se retrouve enfin... Une bonne grosse saucisse en guise d'apéritif. Tu devrais reconnaître le goût, tu n'as pas pu oublier. Je suis sûr que tu as rêvé de ma belle bite depuis la dernière fois... En tout cas, tu m'as fait bander ce matin et ce midi. Tu es encore sapée comme une belle bourgeoise... J'adore te mater dans tes fringues moulantes et faut dire que t'es gaulée comme une actrice de porno mature. Avec des formes pareilles, tu peux te permettre de t'habiller comme une jeune de télé-réalité. Bon ton copain t’a demandé de t'occuper bien gentiment de moi. Après tout, une bonne patronne se doit aussi de s'occuper de ses collaborateurs... Et tu es une bonne patronne n'est-ce pas ?
Il masquait sa voix de telle sorte que je ne pouvais le reconnaître. Il me libéra les poignets, pour les relever au-dessus de ma tête à la verticale. Tirant mes bras vers le haut, il m'obligea à me mettre debout, me maintenant toujours les poignets, alors que de sa main libre, il se livra à une palpation entière. Mes gros seins, mon entre-jambe, mes fesses, toutes les parties intimes de mon corps subissaient les caresses de ce rustre. Il appréciait tout particulièrement ma tenue du jour... Après m'avoir retiré mon bâillon, sa langue plongea dans ma bouche afin de me rouler une pelle. Il m'embrassa avec gourmandise pendant quelques minutes, avant de me retourner. Il se colla à moi, me tenant toujours fermement les mains, mais continuant à me peloter mes gros seins, alors que je sentais son sexe dur se frottait sur mes fesses. Il m'embrassait fougueusement dans le coup, alternant aussi avec des grandes claques sur ma croupe offerte. Il continua à utiliser mon corps pendant quelques minutes jouant de mes formes pulpeuses, avant de me rasseoir sur ma chaise. Je sentis alors son gland humide devant mes lèvres, qu'il poussa dans ma bouche avec force et autorité...
- Allez suce-moi maintenant, salope...
Aveuglais, et immobilisais, j'avais sa grosse bite dans ma bouche, alors qu'il me tenait de sa main gauche mes poignets, et de sa droite mes cheveux afin de motiver ma fellation... Il me baisa la bouche rapidement, tel la brute qu'il était, m'insultant en même temps.
- Vas-y patronne, pompe-moi bien, ohhhh, tu t'es sapée comme une grande dame aujourd'hui, on va te faire le grand jeu, ce soir... Hummmmmm, ohhhhh tu m'excites trop, allez, applique-toi. Oui, tu es une vraie butineuse. Depuis le temps dont je rêve de te coller ma bitte dans la bouche au bureau.... Hooooooo, oui, vas-y, je sens que je viens, HAAAAAAAAA....
Il me gicla dans la bouche me tenant par les cheveux afin que j'avale tout son sperme, tout en continuant à faire des aller-retour qui me heurtaient le fond de la gorge... Il me laissa enfin tranquille, alors que Jérôme s'était rapproché de moi. Il me rattacha les mains dans le dos et me caressa les cheveux tendrement. Ses doigts prélevaient le sperme qui me dégoulinait de la bouche pour l'étaler sur ma robe et particulièrement sur mes gros seins. Il en profitait aussi pour me palper au travers de ma robe moulante. Sa main glissait sous ma robe pour me prendre mon sexe à pleine main. Il me malaxa la chatte tout en me roulant une pelle. Je sentais ses doigts rentrer en moi entre mes cuisses resserrées restreintes par la bande adhésive qui me maintenait les talons immobiles. Il me doigta tout en me parlant...
- Tu sais que j'aime te voir t'exhiber ma pouliche. Tes prochains amis t'attendent. Si tu arrives à les faire jouir, tu auras droit à ma grosse bite entre tes jambes cette nuit... Mais attention, ils sont plus très jeunes, et même s'ils rêvent de se taper une belle pouliche comme toi, il va falloir que tu fasses preuve d'imagination...
- Ohhhh Jérôme, tu sais que je n'aime pas cela, s'il te plaît détache moi et emmène-moi, je ferais n'importe quoi pour toi, tu m'as rendu folle...
- Alors bonne dégustation ma pouliche, profite bien de ton entrée après, ce sera le plat de résistance.
- Jérôme, j'ai reconnu Patrick, je sais que tu as invité mes collabos.... hummmmmmmmmmm
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il avait replacé le bâillon sur ma bouche avec cette boule de latex bien serrée entre mes dents.
- A vous messieurs, voilà ma pouliche. Vous connaissez les règles, vous pouvez faire ce que vous voulez sauf la sodomiser... Ma chérie à toi de jouer, fais-moi bien bander en t'occupant bien d'eux. Ils fantasment sur toi depuis longtemps.
Ils s'approchèrent de moi, et me relevèrent. Debout attachée et aveugle entre ces deux hommes, je m'apprêtais à me laisser faire, pour conquérir mon amant pour la nuit. Ils me palpaient avec frénésie chaque centimètre de mon corps. S'attardant sur mes gros seins, mais jouant aussi avec mes fesses. Le premier semblait le plus vicieux alors que le second était plus doux. Les mains du premier homme étaient rudes et ses caresses humiliantes. Il s'amusait à me tirer les tétons de mes gros seins au travers de ma robe, alors que le second me palpait les fesses délicatement, avant de se faire reprendre par son collègue.
- Faut y aller plus franchement avec cette génisse, elle aime se faire secouer, la bonnasse, hein madame la bourgeoise, tu aimes cela... Elle adore le sperme en plus, elle en a toujours plein sur elle.
Je reconnus instantanément la voix de l'homme du pressing. Ce vieux vicieux qui me matait toutes les semaines, depuis des années. Jérôme l'avait contacté, sûrement en utilisant le post-it que j'avais dans mon sac lors de ma visite au club quelques jours plus tôt. Tout était donc préparé méticuleusement, une fois de plus. Il avait tout planifié, pour m'utiliser, me donner, me partager, m'exhiber, comme une offrande, et cela, dans un seul but, faire de moi sa chose ultime sa propriété exclusive... J'étais devenue son jouet, son esclave, et il avait pris l'ascendant et annihiler toute résistance de ma part... Le vieux monsieur du pressing s'acharnait sur mon corps. Son haleine répugnante sentait le tabac froid... Comble de l'horreur, il me léchait avec sa langue le visage de bas en haut, comme un vulgaire chien en train de lécher son maître... C'était écoeurant... Ils jouèrent avec mon corps debout immobilisé et offert, explorant de leurs mains chaque partie de mes formes pulpeuses, comme deux animaux affamés, qui s'apprêtent à se jeter sur leur proie. Ils me portèrent ensuite, et me couchèrent sur le lit. Me libérant de mes menottes un court instant, ils m'écartèrent les bras en croix afin de m'attacher les poignets aux chaînes disposées autour du lit. Mes jambes toujours attachées ensembles, j'étais comme crucifiée dans une position captive et infamante. Le vieux vicieux, positionné sur ma droite, sortit son sexe flasque qu'il tapota sur mon visage, comme pour le faire bien durcir. L'autre était sur le coté gauche et me palper mes seins d'une main tout en malaxant mon entre-jambes protégé par ma robe écossaise. Ils étaient au-dessus de moi, se délectant de ma vulnérabilité et jouaient avec mon corps pulpeux comme des enfants capricieux et gourmands. Je gigotais, bien qu'attachée, répondant aux caresses, mais surtout excitée de savoir que je réveillais la flamme de mon amant qui devait m'observer me faire posséder. Le vieux sadique, poussa son sexe dans ma bouche.
- Tu vas me sucer... Allez bouffe moi grosse vache.
J'avalais son membre mou dans ma bouche. Il ne bandait pas entièrement, ce qui rendait ma fellation difficile. Je ne pouvais m'aider de mes mains qui étaient bloquées, attachées aux chaînes du lit. Les caresses de l'autre homme m'excitaient de plus en plus, et le comique de ce sexe mou dans ma bouche en rajoutait. Je m'occupais de ces hommes du mieux que je pouvais, craignant de ne pas réussir à les faire jouir. Au bout de quelques minutes, le premier, s'énerva.
- Ohhhhn t'es nulle comme suceuse, t'arrive pas à me faire bander salope. Applique-toi, sinon c’est dans ton petit trou que je vais te la mettre. Viens me rejoindre, y a de la place pour deux dans sa belle bouche.
Toujours attachée aux menottes, je m'appliquais à le sucer, alors que le second prit sa place dans ma bouche. Il me caressa le vagin et me gros seins au travers de ma jupe.
- Ohhhh, qu'elle bonne mameleuse. J'adore tes gros seins la cochonne, vas-y branle moi, applique-toi.... Oui.... Alors elle te suce bien cette pétasse de bourge ?
J'avais le sexe de cet homme dans ma bouche, qui pour le coup avait gonflé, et pris des proportions énormes entre mes lèvres. Moi qui m'attendais à avoir un petit sexe dans la bouche, j'avais un véritable braquemart... Il me tenait fermement par les cheveux, tirant légèrement le masque vers le haut de mon visage et me permettant de voir d'un œil. Je pouvais regarder l'homme masqué qui me baisait la bouche, et aperçu la tache de sauce tomate sur sa chemise... C'était donc le sexe de Patrick que j'avais dans ma bouche, écarquillant les yeux surprise de découvrir que j'étais en train de sucer mon directeur commercial. L'autre homme, continuait à me palper les seins grognant comme un chien, il repoussa sa bitte qui avait durci dans ma bouche, me faisant alterner ma fellation entre me deux violeurs
- Hummmmm, quelle bonne poule. J'adore ses gros seins à ta bourgeoise.... Elle va me faire jouir.... Haaaaaaa..... Je vais t’en mettre partout de toute façon, c’est moi qui nettoie…
Alors que je suçais le vieux pervers, je regardais Patrick dans les yeux, pendant que son sexe se repositionnait pour coulisser dans ma bouche. Il avait ouvert les yeux et me fixait, se sentant protégé par son masque. L'homme du pressing se pencha et plongea sa main entre mes cuisses. Je sentis un doigt, puis deux dans ma chatte, qui coulissait, me faisant gémir de plaisir. Plus je gémissais, malgré la bitte de Patrick dans ma bouche, plus il me doigtait violemment. Sa bitte était maintenant bien dur, et je sentais qu'il prenait un plaisir immense à cette palpation bestiale. Patrick, lui se laissait pomper le sexe par sa patronne. Il gémissait, grognait, sous l'effet de ma caresse buccale....
- Ohhhh, Patricia, depuis le temps dont je rêve de ce moment, vas-y, suce-moi bien belle patronne... Vas-y bois tout mon foutre ma salope .... Haaaaaaaaa, Ouiiiiiiii, T'es tellement bonne ...
Il ne se préoccupait même plus de se camoufler, et me baisait la bouche furieusement, tout en malaxant mes gros seins sous ma robe tellement chic. De loin, je pouvais voir la femme blonde se faire prendre. Elle était assise sur un homme qui devait la sodomiser alors qu’un autre était debout entre ses cuisses écartées, la prenant de manière bestiale. La bouche grande ouverte, elle suçait mon amant qui se délectait avec son membre dans la bouche de cette pute blondasse. Mes deux violeurs accélèrent les mouvements, et giclèrent tous les deux presque en même temps, l'un coincé dans ma main et crachant sur ma robe écossaise ses grands jets de sperme et Patrick dans ma bouche, faisant déborder son liquide abondant entre mes lèvres. J'avais réussi à les faire jouir tous les deux, et alors qu'il s'essuyait sur ma robe pour l'un et mes cheveux pour l'autre, Jérôme s'approcha leur demandant de nous laisser ... Il se plaça devant moi, alors que j'étais toujours crucifiée sur ce lit recouverte de sperme ... Il se pencha vers moi, m'enleva mon masque et m'embrassa, profitant du sperme qui dégoulinait de ma bouche qu'il lécha avec gourmandise.
- Bravo ma pouliche, alors tu as reconnu ces deux inconnus affamés ? C'est presque thérapeutique pour eux, ils rêvaient de ça depuis tellement longtemps. J'avoue que tu commences à m'exciter ma belle, je vais t'équiper un peu pour la suite de ce "blind taste"
Après m'avoir libéré de mes menottes et de mon masque, il me déshabilla m'enlevant ma robe aux motifs écossais par le col, qu'il jeta sur le lit me laissant presque nue, juste protégée par mes dessous élégants. De marque lise charmel, je portais un porte-jarretelles galbe taille noir de la collection de lingerie "Soir de Venise", dévoilant ma peau et mon corps avec sensualité. Toute la magie de la séduction, qui moulait mes formes pulpeuses et me rendait encore plus désirable. Il laissa ses mains glisser tout le long de mon corps, explorant chaque partie de mon corps. Il glissa ses doigts sous mon string, pour les enfoncer dans mon vagin. Il me masturba la chatte pendant de longues minutes, me faisant gémir de plaisir. Il stoppa enfin et sortit de sa poche une paire de collants ainsi que des bas.
- Allez, on va te préparer maintenant, je suis sûr que tu n'as jamais été momifiée avec du nylon ma belle, tu vas voir ça va encore plus accentuer ton sentiment de soumission.
Il m'enfila les bras dans les jambes des collants, et me passa la tête dans l'entre-jambe, qu'il avait déchirée pour mieux me coincer. Il attrapa chaque jambe des collants qu'il tira vers l'arrière, entrainant mes bras derrière mon dos qu'il attacha avec le nylon. Il m'avait immobilisée comme avec une camisole de force. Une fois bien attachée, il me plaça un bas sur le visage comme une cagoule, me masquant complètement le visage, et me recouvrant le haut du corps, l'enfilant par la tête et tirant dessus jusqu'à mes hanches et en laissant pendre la jambe du bas au dessus de ma tête comme une queue de cheval. Il me reposa sur le lit, totalement soumise et contrainte et entièrement momifiée. Il prit pour finir la jambe du bas qui me recouvrait le corps et l'attacha au barreau du lit. J'étais privée de tout mouvement, jambes attachées, recouverte et saucissonnais dans du nylon, et maintenue fermement par la tête au barreau du lit. Enfin, il déchira le nylon au niveau de ma bouche et plongea son sexe entre mes lèvres, utilisant le trou qui finalement n'avait pour but que de me permettre de continuer à dévorer la bitte de ces mâles en rut. Alors que je le suçais du mieux que je pouvais, il me palpait mes gros seins au travers des collants et mon soutien-gorge. Il s'acharna dans ma bouche et sur mes grosses mamelles pendant plusieurs minutes avant de laisser la place à ses complices qui allaient pouvoir abuser de moi en toute tranquillité.
- On va pouvoir passer au plat de résistance maintenant. Regarde ces deux beaux étalons, je les ai sélectionnés rien que pour toi... Profite bien d'eux ma belle, après je te ramènerais chez moi pour te finir et la nuit sera à nous.
Il laissa sa place à deux hommes en smoking qui se couchèrent à mes côtés, posant leurs mains sur mon corps offert et vulnérable. Le premier plongea sa langue dans ma bouche, m'embrassant fougueusement, alors que le second explorait chaque partie de mon anatomie.
- Tu te souviens de nous ma belle, on s'est rencontré au club il y a quelques jours, je suis sûr que tu vas reconnaître nos membres bien baveux. En attendant, on va te remplir comme une dinde. Une bonne grosse dinde bien dodue farcie au sperme...
- Qu'est-ce qu'elle est bonne, on ne t'a pas baisé la dernière fois, mais ce coup-ci, tu es à nous...
Le sexe du premier remplaça sa langue. Il me fourra son engin entre mes lèvres, et me pilonna la bouche, m'aménageant de temps en temps un peu de repos afin que je ne m'étouffe pas avec son membre. L'autre m'avait fourré ses doigts entre mes cuisses et reprit le travail que Jérôme avait commencé. Il me faisait jouir de sa main experte, alors que je gigotais sur moi-même afin d'éviter ou de mieux anticiper ses caresses. Je jouissais une fois de plus, violée par ces inconnus qui m'utilisaient comme un jouet à disposition. Il ressortit enfin ses doigts et me releva les jambes à 45 degrés, qu'il posa sur son épaule gauche. Son sexe s’enfonça entre mes cuisses serrées écartant mon string et plongeant dans mon vagin pour s'empaler au fond de moi. Il me burina comme un fou, un hystérique, un prédateur, alors que l'autre me baisait la bouche, tout en palpant mes belles mamelles de femme mure. Je jouissais, gémissais, gigotais, mon corps étant parcouru de multiples orgasmes qui me déchirait le corps. Ils échangèrent de position et continuèrent à me labourer les hanches. Ils me positionnèrent en levrette, fesses en l'air, et visage couché sur le lit, toujours maintenu par les jambes et la tête, et chacun leur tour, me défoncèrent par-derrière. Je hurlais sous le nylon, alors que la femme s'était approchée, et que les hommes continuaient d'abuser de moi. Elle écarta encore plus mon string pour enfoncer son doigt dans mon petit trou. Elle me doigta l'anus pendant que les 2 autres finissaient de me violer. J'étais anéantie, dévastée, prise, subissant les claques sur mon gros cul au rythme du doigté anal que faisait subir la blonde. Jérôme s’approcha de nous alors que je ne maîtrisais plus rien. Je sentis son jouet préféré, s’enfoncer en moi. Un gode anal, qu'il me poussa à fond dans mon anus, et avec lequel il joua pendant quelques minutes. Ils continuèrent à me pénétrer à tour de rôle, tout en me titillant la rondelle de mon petit trou possédée par ce gode qui m'avait envahit. Ils jouirent enfin, soulevant mon bas qui me servait de masque et se vidèrent tous les deux sur mes fesses et mon dos, se vidant de tout leur jus sur mon corps défait et abusé, ré-appliquant le bas afin de le coller à leur semence abondante. Ils s'essuyaient sur ma robe alors que Jérôme s'était penché sur moi et m'embrassait avec passion, comme on récompense un enfant pour ses bons résultats. Il me releva et me laissa ficeler comme une dinde bien farcie de sperme. Je pouvais le voir et l'entendre interpeller les deux vigiles.
- Bâillonnait la, recouvrait là de son manteau, et allez me la déposer dans sa voiture, j'arrive d'ici quelques minutes. Prenez soin qu'il ne lui arrive rien, j’ai une affaire à terminer avec notre nouvelle amie...
Ils ramassèrent mes affaires, robe, sac, me libèrent du lit, repositionnement la boule en latex dans ma bouche, tout en me gardant entièrement momifiée, et toujours envahie par le gode anal de mon amant. Ils me recouvrirent de mon manteau, pour me transporter à ma voiture. Arrivés au parking, ils ouvrirent ma petite fiat, déplacèrent les sièges afin de laisser de l'espace et me déposèrent à l’arrière. J'étais couchée sur la banquette, alors que les portes étaient restées ouvertes et que les vigiles devant la voiture discutés tout en me matant vulnérable, disponible et offerte.
- Tu crois qu'il en a pour longtemps le toubib?
- Une bonne dizaine de minutes, il doit finir de se taper la blonde
- C'est quand même du premier choix sa bourgeoise, j'ai bien envie de lui mettre un petit coup rapide à cette grosse dinde
- Avec toutes les bittes qu'elle s'est enfilée, une de plus ou une de moins...
- Bon allez, monte la garde, pendant que je m’occupe de cette bombasse
Il rentra dans la voiture, alors que j'essayais de le repousser avec mes pieds, mais ficelée comme je l'étais, je ne résistais pas longtemps. Il me tourna sur le côté se plaça derrière moi et enfila son sexe en moi profondément. L'espace limité de ma fiat limitait nos positions. Il me prenait donc en demi-levrette couchée sur le côté, et faisant face à la seconde brute qui me regardait avec délectation. J'étais à nouveau, violée dans ma petite voiture exiguë, par un mal en rut, et nul doute que le second allait aussi abuser de moi et de mes formes généreuses. Il me baisa violemment et rapidement se tenant à mes grosses mamelles, alors que je gémissais et criais sous mon bâillon. Je jouissais comme une folle, prise de force par cet homme, quand l'autre, qui n'en pouvait plus, rentra par l'autre porte, m'enleva mon bâillon et poussa son sexe dans ma bouche. J'étais prise de toute part, de chaque côté, et toujours avec ce gode bien enfoncé dans mon gros cul. Il se depécherent de faire leur affaire profitant de ma faiblesse pour abuser de mon corps. Le premier jouit rapidement dans ma bouche. Il écarta le bas pour gicler sur mon visage me recouvrant de foutre. J'en avais partout dans la bouche sur le visage dans les cheveux. Le second se vida sur mon gros cul et sur la banquette, étalant son sperme sur les sièges de ma Fiat 500. Ils repositionnèrent le bas avec le sperme qui me collait au visage bien en évidence et me replacèrent le bâillon. Après m'avoir recouverte de mon manteau, ils sortirent de la voiture pour attendre Jérôme qui arriva quelques minutes plus tard.
- Mais c'est quoi tout ce sperme sous ton masque, ben dites donc vous ne vous êtes pas ennuyés, ils t'ont toute salie, ma pouliche. Ohhh, mais en plus y en a plein la banquette, va falloir nettoyer tout cela.
- Oui, elle était un peu rebelle, donc y a fallu s'occuper un peu d'elle.
Jérôme me redressa, m'enleva le bâillon, et me força à lécher le sperme sur la banquette, jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucune goutte. Il sortit ensuite un stimulateur connecté avec tête flexible qu'il plaça sous ma culotte sur ma zone érogène, et le brancha avec son téléphone afin de déclencher de puissants orgasmes. Il contrôlait le stimulateur par son téléphone. Sans un mot, il prit le volant, me laissant derrière, complètement attachée et soumise. Il prit son temps pour rejoindre son domicile, jouant avec la télécommande de son jouet, qui me stimulait le vagin. On pouvait entendre mes gémissements de l'extérieur de la voiture. A chaque arrêt les passants pouvaient observer un véhicule qui oscillait du fait de mon corps gigotant, stimulait par de multiples orgasmes. Chaque secousse, défaut de la route, dos d'âne, appuyait encore plus le stimulateur dans mon entre-jambe, entrainant systématiquement un plaisir infini. Il jouait avec le variateur, accélérant, ou diminuant, à son bon vouloir. Je n'en pouvais plus, et je savais que ce n'était que le début. 20 minutes, plus tard, nous étions chez lui, il gara la fiat dans sa cour intérieure, et me sortit du véhicule. J'étais debout en porte-jartelles, momifiée par les collants avec mon manteau sur les épaules, et envahie de chaque côté par des jouets érotiques qui continuaient à me faire jouir. Il prit le haut du nylon dans la main, et l'utilisa comme une laisse, me faisant sautiller jusqu'à l'entrée, toujours entravée par l'adhésif sur mes chevilles. De petites claques sur mes fesses, me motivaient régulièrement quand il estimait que je n'allais pas assez vite.
- Va falloir monter les escaliers ma pouliche, y a quand même une dizaine de marche...
Il m'aida à monter chacune des marches, m'arrêtant à chaque fois pour jouer avec mon stimulateur, qu'il frottait frénétiquement contre ma chatte en feu. Sur la dernière marche, il arracha le collant en deux pour dégager ma poitrine, dont il baissa le soutien-gorge afin de libérer mes grosses mamelles qui dépassaient de mon costume de momie pendouillant comme les pies d'une bonne laitières prête à la traite. Il les palpa vigoureusement, les soupesant, les tetants comme pour en tirer du lait. La succion de sa langue sur mes tétons et le frottement frénétique du stimulateur me rendait folle. J'étais possédée maintenant depuis plusieurs heures par de multiples hommes qui m'avaient utilisé comme une poupée, un jouet sexuel, une esclave soumise, et maintenant traversée par des orgasmes multiples et sans fin, contrainte par mon amant. Il m'entraîna finalement dans le salon me laissant debout toujours emballée comme une momie. Je le regardais s'agitait autour de moi, il avait placé plusieurs trépieds sur lesquels des caméscopes étaient prêts à immortaliser la scène. Je compris au bruit caractéristique, qu'il enregistrait sous plusieurs angles. Il revient vers moi, joua quelques instants avec le stimulateur, et me l'enleva, pour plonger sa main sous ma culotte et me prendre la chatte à pleine main. Alors que ses doigts s'introduisaient en moi, je pris une grande claque sur ma croupe, et sentis le mouvement du gode anal, avec lequel il jouait de sa seconde main. Il me doigta violemment pendant plusieurs minutes, et alors que je ne tenais plus sur mes jambes, me plaça enfin en levrette face contre le sol, bras toujours attachés dans le dos avec le nylon du collant et fesses en l'air prête à l'utilisation. Il me pénétra, tout en conservant le gode anal en moi et me baisa comme une brute. Ses mains se déchaînaient sur ma croupe et je pouvais entendre résonner les claques sur mes, fesses, rythmais par mes gémissements sous le bâillon. Il me baisa comme ça pendant plusieurs minutes avant de se relever, me laissant par terre anéantie.
Il m'emmena dans la chambre, s'assit sur le lit et me prit sur les genoux, fesses en l'air. Je savais exactement ce que j'allais subir. Les claques s'abattirent à nouveau sur ma croupe, droite, gauche, les deux en même temps. Il me martela le cul pendant de longues minutes, me traitant de tous les noms.
- Voilà ce que tu mérites, garage à bitte, usine à foutre, quand j'en aurais fini avec toi, je te rendrais à ton mari, totalement défaite le cul défoncé comme la grosse pute que tu es...
Il m'enleva enfin le plug anal, et me repositionna en levrette et me sodomisa. Sa bitte entra dans mon petit trou totalement dilaté d'un seul coup. Il m'envahit l'anus et me pilonna le cul comme un diable. Il était comme un fou sur mon corps, s'accrochant au nylon du collant qu'il déchirait entièrement. Mes bras enfin libérés, je pus m'appuyer, alors que ses coups de hanches continuaient de me transpercer. Il jouit enfin sur mes fesses, s'écroulant sur mon corps défait et détruit. J'étais recouverte de sperme, après avoir été utilisée par 8 hommes différents pendant plusieurs heures. Détruite et dans un état comparable à une droguée qui vient de faire une over dose, je m'endormis avec mon amant sur moi.
Au réveil le lendemain matin, une certaine gêne régnait entre nous. Je l'avais laissé aller trop loin dans nos fantasmes et savais que le retour de mon mari allait tout compliquer. À mon âge, il était bien évident, que je ne pouvais envisager une séparation. Après le petit-déjeuner, je remis mes dessous chics et ma robe écossaise et m'apprêtais à rentrer chez moi pour une bonne douche. Je lui adressais une bise amicale en guise d'au revoir. Une fois à l'extérieur, alors que je me dirigeais vers la voiture, une main-forte m'arrêta. Il m'attrapa par-derrière et me saisit le corps.
- T'es trop bandante dans ta robe de bourge laisse moi te souiller encore une fois avant de partir.
- Ohhhhn Jérôme tu es un vrai démon, tu sais que je n'ai pas le temps.
- Laisse-toi faire salope, on va le trouver le temps, mais d'abord une envie pressante à satisfaire. Mets toi à genoux et ouvre bien grande ta bouche
Contrainte, j'obtempérais, et à genoux devant lui, bouche grande ouverte, je pris ses premiers jets d'urine dans le visage. Il visait ma bouche, me poussant à boire sa pisse abondante qui débordait de tous les cotés. Mes cheveux, mon visage, ma robe, mes seins, tous, étaient recouvert de son urine jaune nauséabond. Une fois terminé, il poussa son sexe dans ma bouche qui durcit immédiatement pendant que je lui appliquais cette fellation matinale. Il me baisa la bouche avant de me retourner contre le capot de ma voiture, soulevant ma robe, arrachant mon string qu'il plaça dans ma bouche et de fourrer sa bitte dans ma chatte, me prenant par-derrière avec violence comme à son habitude. Il me baisa rapidement, tel un taureau en rut, avant de se vider au fond de ma chatte. Sans me laisser le temps de me remettre de ce dernier outrage, il me poussa dans ma voiture pour me laissais partir et rentrer chez moi retrouver mon mari.

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Texte coquin : LA MOMIE
Histoire sexe : Une rose rouge
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