La nuit d'Alysée
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
La nuit d'Alysée
Une fois arrivé dans la chambre, Barbara demande à Alysée d'ôter sa minijupe et son bustier.
Elle aussi se déshabille. Les deux femmes s'allongent, entièrement nues.
-Que tu es belle, dit Barbara, j'ai envie de te manger.
-Doucement, répond timidement Alysée, je n'ai jamais fais çà avec une femme. Soit câline.
Barbara se penche sur Alysée, et lui prend tendrement les lèvres. Elle glisse une main entre ses cuisses.
-Hum, dit-elle, mais ton clitoris est encore tout décalotté, ce vilain. Et ta petite chatte. Tu aimes
qu'elle se fasse niquer, hein? Vicieuse. Tu sens comme je fais tourner mon doigt sur ton
bouton.
Alysée s'offre totalement. Ses jambes sont écartées au maximum. Elle cambre ses reins sous les caresses de sa partenaire. Ses lèvres s'ouvrent sous les doigts vicieux de Barbara. Son corps se tord et glisse sur les draps. Elle glousse de plaisir. Puis....
-Tu sens comme je mouille, gémit Alysée, mon dieu. Que c'est bon de se faire doigter.
T'arrête pas, s'il te plait. Vas-y, bien profond. je viens, oui...Oh putain, comme tu me gouine.
Barbara, dominatrice, présente ses doigts devant la bouche d'Alysée.
-Tiens ma chérie, goutte ta mouille. Tu verras comme c'est bon. Allez, viens me sucer
maintenant. Mon clitoris est impatient de sentir ta langue.
Alysée glisse sa tête entre les cuisses de Barbara. Maladroitement, elle commence à sucer le bouton complètement décalotté. Elle parvient toutefois à lui arracher des râles de plaisir. L'opération dure dix minutes. Alysée a compris ce qu'attendait Barbara.
-Ben dit dont, pour une novice, je trouve que tu te débrouille pas mal, salope, vas-y, t'arrête
pas. Bouffe moi la raie, petite pute. ha..tu me fais jouir, ha..suce..suce ha..oui...oui..
Lentement, Alysée se relève, et parcours le corps de Barbara en montant vers le haut. Elle embrasse le nombril, suce les seins, et arrive jusqu'au lèvres. Sa bouche coule la mouille. Elle bloque les mains de Barbara derrière sa tête, et lui donne ses petits baisers.
-Tiens, goutte ta mouille toi aussi, murmure Alysée. Passe bien ta langue sur mes lèvres.
Régale toi comme tu m'as régalée. C'est bon hein? Tu as pas l'impression que l'élève est
en train de dépasser le professeur, hein? J'ai été sage. J'aurai droit à une petite faveur de
la part de Boris. C'est quoi qu'il aime?
-Se branler dans ma bouche, soupire Barbara. Que j'avale tout son sperme.
-Autrement dit, se faire tailler une pipe, ironise Alysée. Il sera pas déçu. Tu peux lui
demander de venir?
Barbara, toujours collée aux lèvres d'Alysée, prend son portable.
-Chéri, c'est moi, dit-elle, çà te dit de t'amuser avec deux filles en manque d'affection?
Boris arrive dans la chambre vêtu d'un peignoir en soie. Alysée a hâte qu'il s'ouvre pour découvrir l'objet de tout ses désirs. Une queue de cette taille, çà court pas les rues. Barbara prend Alysée par la taille, et la force à s'allonger sur le dos.
-Tu as un travail a accomplir, sourit-elle. Je vais m'occuper de ta petite chatte, et de tout ce
qu'il y a autour. Détend toi, laisse toi aller. Ton corps va connaitre des sensations encore
inconnus pour lui.
Boris se met à genoux, ôte son peignoir. sa bite, énorme, jaillit au visage d'Alysée. D'une main, il fait des allées et venues sur sa colonne de chair.
"Mon dieu, se dit-elle, comment un membre comme çà peut-il exister"
Par réflexe, elle saisit les couilles, fait rouler les testicules eux aussi énormes dans ses doigts. Du bout des lèvres elle décalotte le gland, et le lèche avec la langue.
-Viens dans ma bouche, soupire-t-elle. Donne moi ta semence.
Boris pénètre l'orifice ainsi offert. Elle peut commencer sa fellation.
Barbara, elle, s'occupe de l'entre cuisse entièrement écartée. La chatte déverse des flots de mouille. Le clitoris est attaqué par la langue, mais aussi par les dents. Le petit trou n'est pas ménagé non plus. Le couple a décidé de jouer avec elle, jusqu'à ce qu'elle l'est supplie d'arrêter. Alysée s'agite sur le lit. Ses jambes glissent sur le drap tâché par la cyprine.
-Non, hurle-t-elle, pas encore, c'est trop tôt. Oui, attendez.
La queue de Boris dans la bouche, Alysée a la force de se lever pour voir le traitement que Barbara fait subir à sa chatte. Elle aperçoit son clitoris, entièrement sorti de son capuchon, entre les dents de sa maitresse. La queue de Boris frétille de plus en plus. La tempête est proche. Le gland gonfle dans la bouche d'Alysée. Le méat commence à s'ouvrir suite aux poussées de sperme. Alysée est prête. Elle presse les couilles de son partenaire.
Première giclée. Une pression énorme. Puis la déferlante. Alysée a les larmes aux yeux. Elle avale toute la semence de Boris jusqu'à la dernière goutte. Elle s'en étouffe. Elle est en nage. Puis.....
-Ouiiiiiii...je jouiiiiii....enfoiréééééés....saalaauud...
L'orgasme est terrible. Alysée cambre ses reins en prenant appuie sur ses pieds. Barbara en prend plein le visage.
-Ben dit dont, dit-elle, tu avais une grosse envie. Regarde comme sa chatte se vide.
-Putain, gémit Boris, j'appelle çà tailler une pipe, connasse. Elle aime la queue la pute.
-Surtout comme çà, arrive à dire Alysée. Qu'est-e- que vous m'avez mon dieu. J'ai jamais
connu çà dans ma vie, bande de salaud.
Alysée va se faire prendre encore une partie de la nuit dans différente positions. Elle termine en levrette, encouragé par les mots obscènes de Barbara.
"Petite bordille..tu te régales de te le faire mettre comme une chienne, par derrière..tu mouille comme une pute....etc...etc.."
-Il est cinq heure, il faut se reposer, propose Barbara.
-Je peux dormir dans vos bras? Demande Alysée, s'il vous plait.
-Vicieuse va, tu seras sage.
Alysée se réveille vers dix heure. Boris dort encore. Elle va à la salle de bains.
-Alors, cette nuit, dit Barbara. Tu as aimé te faire prendre. Comme tu as gueuler, putain.
-C'est vôtre faute, répond Alysée, vous vous êtes amuses avec moi toute la nuit. Ma chatte
et mon bouton sont encore tout rouge.
Une fois doucher, Alysée regagne la chambre pour récupérer ses affaires, hormis son string qui est resté sur la terrasse. Boris est en train de regarder par la fenêtre. Il est tout nu. Alysée quitte son peignoir, et ce colle contre lui. Elle le prend par la taille, saisit ses énormes attributs, et commence à le branler.
-Oh mon chéri, comme tu m'as rendu heureuse cette nuit. Quel amant merveilleux, et quelle
queue mon dieu.
-Romain va livrer nos clients la semaine prochaine. Si tu as envie de te le faire mettre, tu
m'appelle.
-C'est vrai, jubile Alysée. Tu veux bien? Bien sur que je viendrai prendre ma dose.
Ils n'ont pas entendus la porte s'ouvrir. C'est Romain qui cherche sa femme. Les deux amants se retournent d'un bloc, en gardant leur position.
-Mais ma chérie, çà va pas, que fais-tu?
Alysée ne se démonte pas. Elle tient toujours les couilles de Boris dans une main, et de l'autre, le masturbe lentement.
-Ben mon amour, tu vois pas que je tape une branlette à ton collaborateur. Regarde sa
queue comme elle est grosse, comme je l'ai bien décalottée Et cette paire de couilles,
regarde. C'est pas ton fifre à deux balles, hein? Je te le fais pas à toi çà. Regarde comme
je le régale avec mon pouce sur son gland. Si tu savais comme je me suis offerte.
Comme j'ai hurler de plaisir. Si tu savais les coups de queue qu'il m'a donné cette nuit.
Entre lui et sa femme, j'ai du jouir cinq ou six fois. Mon clitoris est resté dehors toute la nuit.
Ma chatte est encore toute mouillée, cette pute. Au fait, il m'a demandé de passer quelques
nuits avec lui pendant ton absence, tu n'y vois pas d'inconvégnant, j'espère. De toute façon,
tu ne seras pas là pour le voir. Mais je te raconterai tout dans les moindre détails mon
chéri. Tout ce qu'il me fera. Si tu voyais comme il se sert de ta femme.
Romain bave de jalousie en voyant la queue de Boris en érection. Il reste sans voix, et comprend sa femme. Un membre pareil, çà ne se refuse pas.
-Fais pas cette tête, le console Boris, çà reste ta femme. On veut juste s'amuser tout les
deux. Tu l'entendrais couiner cette salope. Comme elle crie mon prénom. Elle aime
tellement ma queue.
-Surtout de ce calibre, poursuit Alysée. Je me suis pas faite sodomiser encore, il me tarde
d'être à la semaine prochaine pour me faire prendre par le petit trou. Je tiens à ce que
Barbara me gouine aussi. Si tu voyais comme elle joue avec ma petite chatte et mon petit
bouton, cette vicieuse. Je vais leur consacrer pas mal de temps maintenant. Je veux qu'ils
profitent de mon corps. Cà te dirai pas de tailler une pipe à Boris, ou de te faire enculer.
Je suis sure que tu aimerai.
Romain n'en peut plus. Il sort en claquant la porte. Il prend sa tête entre ses mains, et s'appuie contre le mur. Il reste là à réfléchir dix bonnes minutes. Il pense à la proposition de sa femme, jusqu'au moment ou il entend sa femme hurler de plaisir.
-Salaud, tu m'encule, cri Alysée, j'avais dis la semaine prochaine
Elle aussi se déshabille. Les deux femmes s'allongent, entièrement nues.
-Que tu es belle, dit Barbara, j'ai envie de te manger.
-Doucement, répond timidement Alysée, je n'ai jamais fais çà avec une femme. Soit câline.
Barbara se penche sur Alysée, et lui prend tendrement les lèvres. Elle glisse une main entre ses cuisses.
-Hum, dit-elle, mais ton clitoris est encore tout décalotté, ce vilain. Et ta petite chatte. Tu aimes
qu'elle se fasse niquer, hein? Vicieuse. Tu sens comme je fais tourner mon doigt sur ton
bouton.
Alysée s'offre totalement. Ses jambes sont écartées au maximum. Elle cambre ses reins sous les caresses de sa partenaire. Ses lèvres s'ouvrent sous les doigts vicieux de Barbara. Son corps se tord et glisse sur les draps. Elle glousse de plaisir. Puis....
-Tu sens comme je mouille, gémit Alysée, mon dieu. Que c'est bon de se faire doigter.
T'arrête pas, s'il te plait. Vas-y, bien profond. je viens, oui...Oh putain, comme tu me gouine.
Barbara, dominatrice, présente ses doigts devant la bouche d'Alysée.
-Tiens ma chérie, goutte ta mouille. Tu verras comme c'est bon. Allez, viens me sucer
maintenant. Mon clitoris est impatient de sentir ta langue.
Alysée glisse sa tête entre les cuisses de Barbara. Maladroitement, elle commence à sucer le bouton complètement décalotté. Elle parvient toutefois à lui arracher des râles de plaisir. L'opération dure dix minutes. Alysée a compris ce qu'attendait Barbara.
-Ben dit dont, pour une novice, je trouve que tu te débrouille pas mal, salope, vas-y, t'arrête
pas. Bouffe moi la raie, petite pute. ha..tu me fais jouir, ha..suce..suce ha..oui...oui..
Lentement, Alysée se relève, et parcours le corps de Barbara en montant vers le haut. Elle embrasse le nombril, suce les seins, et arrive jusqu'au lèvres. Sa bouche coule la mouille. Elle bloque les mains de Barbara derrière sa tête, et lui donne ses petits baisers.
-Tiens, goutte ta mouille toi aussi, murmure Alysée. Passe bien ta langue sur mes lèvres.
Régale toi comme tu m'as régalée. C'est bon hein? Tu as pas l'impression que l'élève est
en train de dépasser le professeur, hein? J'ai été sage. J'aurai droit à une petite faveur de
la part de Boris. C'est quoi qu'il aime?
-Se branler dans ma bouche, soupire Barbara. Que j'avale tout son sperme.
-Autrement dit, se faire tailler une pipe, ironise Alysée. Il sera pas déçu. Tu peux lui
demander de venir?
Barbara, toujours collée aux lèvres d'Alysée, prend son portable.
-Chéri, c'est moi, dit-elle, çà te dit de t'amuser avec deux filles en manque d'affection?
Boris arrive dans la chambre vêtu d'un peignoir en soie. Alysée a hâte qu'il s'ouvre pour découvrir l'objet de tout ses désirs. Une queue de cette taille, çà court pas les rues. Barbara prend Alysée par la taille, et la force à s'allonger sur le dos.
-Tu as un travail a accomplir, sourit-elle. Je vais m'occuper de ta petite chatte, et de tout ce
qu'il y a autour. Détend toi, laisse toi aller. Ton corps va connaitre des sensations encore
inconnus pour lui.
Boris se met à genoux, ôte son peignoir. sa bite, énorme, jaillit au visage d'Alysée. D'une main, il fait des allées et venues sur sa colonne de chair.
"Mon dieu, se dit-elle, comment un membre comme çà peut-il exister"
Par réflexe, elle saisit les couilles, fait rouler les testicules eux aussi énormes dans ses doigts. Du bout des lèvres elle décalotte le gland, et le lèche avec la langue.
-Viens dans ma bouche, soupire-t-elle. Donne moi ta semence.
Boris pénètre l'orifice ainsi offert. Elle peut commencer sa fellation.
Barbara, elle, s'occupe de l'entre cuisse entièrement écartée. La chatte déverse des flots de mouille. Le clitoris est attaqué par la langue, mais aussi par les dents. Le petit trou n'est pas ménagé non plus. Le couple a décidé de jouer avec elle, jusqu'à ce qu'elle l'est supplie d'arrêter. Alysée s'agite sur le lit. Ses jambes glissent sur le drap tâché par la cyprine.
-Non, hurle-t-elle, pas encore, c'est trop tôt. Oui, attendez.
La queue de Boris dans la bouche, Alysée a la force de se lever pour voir le traitement que Barbara fait subir à sa chatte. Elle aperçoit son clitoris, entièrement sorti de son capuchon, entre les dents de sa maitresse. La queue de Boris frétille de plus en plus. La tempête est proche. Le gland gonfle dans la bouche d'Alysée. Le méat commence à s'ouvrir suite aux poussées de sperme. Alysée est prête. Elle presse les couilles de son partenaire.
Première giclée. Une pression énorme. Puis la déferlante. Alysée a les larmes aux yeux. Elle avale toute la semence de Boris jusqu'à la dernière goutte. Elle s'en étouffe. Elle est en nage. Puis.....
-Ouiiiiiii...je jouiiiiii....enfoiréééééés....saalaauud...
L'orgasme est terrible. Alysée cambre ses reins en prenant appuie sur ses pieds. Barbara en prend plein le visage.
-Ben dit dont, dit-elle, tu avais une grosse envie. Regarde comme sa chatte se vide.
-Putain, gémit Boris, j'appelle çà tailler une pipe, connasse. Elle aime la queue la pute.
-Surtout comme çà, arrive à dire Alysée. Qu'est-e- que vous m'avez mon dieu. J'ai jamais
connu çà dans ma vie, bande de salaud.
Alysée va se faire prendre encore une partie de la nuit dans différente positions. Elle termine en levrette, encouragé par les mots obscènes de Barbara.
"Petite bordille..tu te régales de te le faire mettre comme une chienne, par derrière..tu mouille comme une pute....etc...etc.."
-Il est cinq heure, il faut se reposer, propose Barbara.
-Je peux dormir dans vos bras? Demande Alysée, s'il vous plait.
-Vicieuse va, tu seras sage.
Alysée se réveille vers dix heure. Boris dort encore. Elle va à la salle de bains.
-Alors, cette nuit, dit Barbara. Tu as aimé te faire prendre. Comme tu as gueuler, putain.
-C'est vôtre faute, répond Alysée, vous vous êtes amuses avec moi toute la nuit. Ma chatte
et mon bouton sont encore tout rouge.
Une fois doucher, Alysée regagne la chambre pour récupérer ses affaires, hormis son string qui est resté sur la terrasse. Boris est en train de regarder par la fenêtre. Il est tout nu. Alysée quitte son peignoir, et ce colle contre lui. Elle le prend par la taille, saisit ses énormes attributs, et commence à le branler.
-Oh mon chéri, comme tu m'as rendu heureuse cette nuit. Quel amant merveilleux, et quelle
queue mon dieu.
-Romain va livrer nos clients la semaine prochaine. Si tu as envie de te le faire mettre, tu
m'appelle.
-C'est vrai, jubile Alysée. Tu veux bien? Bien sur que je viendrai prendre ma dose.
Ils n'ont pas entendus la porte s'ouvrir. C'est Romain qui cherche sa femme. Les deux amants se retournent d'un bloc, en gardant leur position.
-Mais ma chérie, çà va pas, que fais-tu?
Alysée ne se démonte pas. Elle tient toujours les couilles de Boris dans une main, et de l'autre, le masturbe lentement.
-Ben mon amour, tu vois pas que je tape une branlette à ton collaborateur. Regarde sa
queue comme elle est grosse, comme je l'ai bien décalottée Et cette paire de couilles,
regarde. C'est pas ton fifre à deux balles, hein? Je te le fais pas à toi çà. Regarde comme
je le régale avec mon pouce sur son gland. Si tu savais comme je me suis offerte.
Comme j'ai hurler de plaisir. Si tu savais les coups de queue qu'il m'a donné cette nuit.
Entre lui et sa femme, j'ai du jouir cinq ou six fois. Mon clitoris est resté dehors toute la nuit.
Ma chatte est encore toute mouillée, cette pute. Au fait, il m'a demandé de passer quelques
nuits avec lui pendant ton absence, tu n'y vois pas d'inconvégnant, j'espère. De toute façon,
tu ne seras pas là pour le voir. Mais je te raconterai tout dans les moindre détails mon
chéri. Tout ce qu'il me fera. Si tu voyais comme il se sert de ta femme.
Romain bave de jalousie en voyant la queue de Boris en érection. Il reste sans voix, et comprend sa femme. Un membre pareil, çà ne se refuse pas.
-Fais pas cette tête, le console Boris, çà reste ta femme. On veut juste s'amuser tout les
deux. Tu l'entendrais couiner cette salope. Comme elle crie mon prénom. Elle aime
tellement ma queue.
-Surtout de ce calibre, poursuit Alysée. Je me suis pas faite sodomiser encore, il me tarde
d'être à la semaine prochaine pour me faire prendre par le petit trou. Je tiens à ce que
Barbara me gouine aussi. Si tu voyais comme elle joue avec ma petite chatte et mon petit
bouton, cette vicieuse. Je vais leur consacrer pas mal de temps maintenant. Je veux qu'ils
profitent de mon corps. Cà te dirai pas de tailler une pipe à Boris, ou de te faire enculer.
Je suis sure que tu aimerai.
Romain n'en peut plus. Il sort en claquant la porte. Il prend sa tête entre ses mains, et s'appuie contre le mur. Il reste là à réfléchir dix bonnes minutes. Il pense à la proposition de sa femme, jusqu'au moment ou il entend sa femme hurler de plaisir.
-Salaud, tu m'encule, cri Alysée, j'avais dis la semaine prochaine
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