LA POUTRE (1) : Le maître-nageur
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LA POUTRE (1) : Le maître-nageur
CHAPITRE 1
Bonjour. J'ai 18 ans et je suis lycéen. Je ne suis pas très beau. J'ai de l'acné et un visage maladif. Les filles se moquent souvent de moi. Les garçons aussi, d'ailleurs. Surtout trois d'entre eux.
Je mesure 1M90 pour 60Kg. On m'appelle ''l'asperge''. Je sais, c'est pas génial comme base de départ. La vie ne m'a pas gâtée. Sauf pour ce qui pend entre mes jambes...
Au fait, je m'appelle... Et puis, à vous de faire un effort. Mon prénom n'apparaîtra qu'une seule fois au cours de mes multiples aventures.
- Le maître-nageur -
Je suis la risée de trois de mes camarades depuis un an, leur souffre douleur. Dans les vestiaires, je prends soin de camoufler mon sexe du mieux que je peux. Je porte des slips de bain plus grands que ma taille pour cacher cette protubérance qui me complexe. Je vois bien, sous les douches, quand certains se foutent à poil, que je ne suis pas constitué pareil. Je ne souhaite pas être vu comme une bête de foire. Aussi, je fais traîner le plus possible pour me rhabiller. Ça énerve la prof.
Et puis, ce matin, à la piscine municipale, mon destin à changé.
J'avais bien repéré le beau maître-nageur chargé de la surveillance. Je le dévisageais à la dérobé, du coin de l'œil. Je le trouvais magnifique dans son maillot de bain bleu turquoise. Un corps parfait, une gueule à faire bander un eunuque. D'ailleurs, il fallait que je me contrôle, si je ne voulait pas réveiller le monstre qui sommeillait entre mes cuisses.
Je lui donnais autour de la quarantaine, une petite barbe de trois jour soigneusement taillée. Des cheveux bruns coupés en brosse. De beaux yeux bleus... Un fantasme ambulant, quoi!
Quand il approchait pour nous réprimander, mon regard se portait systématiquement sur sa bosse. Un long tube qui reposait sur le côté droit. J'arrivais à deviner le gland qui pointait près de l'élastique. Bien sûr, il ne pouvait rivaliser avec moi, mais il semblait être bien pourvu.
Parfois, quand il souriait, une fossette sexy creusait sa joue gauche. Il devenait alors irrésistible. D'ailleurs toutes les pouffiasses de la classe se pâmaient devant lui. Lui, n'avait rien à faire de leurs pudeurs de gazelles.
Je crois que j'étais secrètement amoureux de mon beau maître-nageur. Même si l'alliance qui ornait son annulaire ajoutait encore un peu plus à mon désespoir.
Un jour, je me suis froissé un muscle après une chute sur le carrelage. OK, je savais qu'il ne fallait pas courir, mais mes trois souffre-douleur voulaient me jeter à l'eau. Je me tordais de douleur. Il est descendu de sa chaise de surveillance pour se diriger vers moi, puis m'a emmené à l'infirmerie. Il me soutenait par la taille, afin d'éviter les faux mouvements. Ses mains m'électrisaient. J'avais l'impression qu'elles étaient faites pour caresser. Je prenais appui sur son épaule. Sa peau était étonnamment douce. J'aurais voulu que le trajet dure une éternité.
À présent, nous sommes enfermés tous les deux dans un petit local faiblement éclairé. Il me demande de m'asseoir sur la table de soins. Il s'accroupit au niveau de mon entre-jambe et commence à palper la zone sensible. Je ferme les yeux tant ses mains sont douces. Je m'aperçois que sa bouche est à quelques centimètre de mon sexe. Je suis troublé. Je sens que ma tige grossit malgré moi.Elle commence à se redresser, prend du volume et et finit par déformer le fin tissus de lycra.
« Non, non... Mon Dieu! il faut que je me concentre, sinon je vais être trop mal... »
Heureusement, il touche une zone sensible qui m'arrache une grimace. Par réflexe, j'écarte les jambes. C'est pire. Ce mouvement à libéré mon membre qui profite de l'espace dans le slip pour s'étirer tout en longueur et venir heurter l'élastique. Il menace de passer par dessus bord.
Je regarde mon beau maître-nageur, inquiet. Ce dernier a cessé de me masser, il fixe mon tube de chair, fasciné par la longueur. Et encore, je ne bande qu'à moitié.
- Humm!!! Quelque chose ne va pas, monsieur?
Il reprend ses esprits, m'expliquant ce que j'ai. Moi je ne comprend rien à ses explications. Il me demande de m'allonger sur la table, pendant qu'il va chercher une pommade. Je suis sur le dos, les bras le long du corps, jambes écartées et... un piquet de tente qui déforme mon maillot de bain. Je décide de fermer les yeux, pour éviter tout embarras.
Il commence son massage. Ses mains sur ma peau me font triquer encore un peu plus. Pourtant, je me contrôle. Enfin,... Je fais ce que je peux.
J'ignore ce qu'il fait. Seules ses mains restent en contact avec ma peau. Tout en massant mes chairs endolories, je sens souvent le dos de sa main remonter contre la base de mon sexe. Putain, il masse aussi cette zone!!! Je vais pas résister longtemps...
Effectivement, ses attouchements répétés affolent mon membre. Ce dernier s'émancipe de mon contrôle. Il prend plaisir à entrer en contact avec cette main. Il sent même l'alliance qui roule contre sa chair. Et ça le fait se tendre encore plus loin.
Je ressens comme un souffle chaud sur mon maillot. Je n'ose ouvrir les yeux. Ce doit être la chaleur de la pièce. Je me fais des films. Je jurerais pourtant qu'une chose humide et pointue titille mes boules, à présent. Chacune, l'une après l'autre, de façon très pudique. Cette chose remonte ensuite sur mes 25 cm aux trois-quart dressés et part à la conquête de mon gland.
C'est pas possible!!! Je dois rêver. Il faut que je sache. J'ouvre les yeux, me redresse, et découvre mon maître-nageur penché sur ma hampe, la bouche grand ouverte.
Dès lors, tout s'accélère. Je lui saisi la nuque. Il baisse mon maillot. Ses lèvres enserrent mon gland de manière incontrôlée. Il a faim de sexe. Je me laisse faire. Je n'ai aucune expérience dans ce domaine. Il doit être plus expert que moi.
Je m'abandonne à sa langue gourmande. Je suis à mon maxi: 33cm. Il a l'air d'apprécier parce que lorsque je porte le regard sur son Speedo bleu, je constate une énorme bosse et une main fébrile qui s'active à travers le tissus.
Il salive beaucoup sur mon dard, titille ma fente, replonge sur ma colonne. OOOHH !!! C'est trop bon. Ce mec sait y faire. Sa langue me procure une succession de décharges électriques. Il est tout entier concentré sur mon plaisir.
- Haaaghh!!! Je gémis malgré moi... Je vais pas tenir longtemps. Je lui bloque la tête, et deux secondes après, il reçoit ma semence. Une quantité de foutre considérable qu'il a du mal à avaler. Une partie ressort de la commissure des lèvres, coule sur son menton. Sa barbe devient toute poisseuse.
Une flaque visqueuse s'est formée sur le carrelage.
C'était trop bien. En bon connaisseur, il savoure les dernière gouttes qui suintent du gland. Je voudrais le remercier, lui dire qu'il m'a offert le plus beau jour de ma putain de vie.
Trois coups discrets sont frappés à la porte. Une élève vient me récupérer. Le cours est terminé.
Avant de disparaître, je lui souris. Le bonheur se lit sur mon visage. Il me demande alors mon prénom.
Et là, sans trop savoir pourquoi, je lui lance, fièrement:
- ''La POUTRE.''
(à suivre...)
PS:Je retarde un peu la parution du "S.W.A.T 2020".
Bonjour. J'ai 18 ans et je suis lycéen. Je ne suis pas très beau. J'ai de l'acné et un visage maladif. Les filles se moquent souvent de moi. Les garçons aussi, d'ailleurs. Surtout trois d'entre eux.
Je mesure 1M90 pour 60Kg. On m'appelle ''l'asperge''. Je sais, c'est pas génial comme base de départ. La vie ne m'a pas gâtée. Sauf pour ce qui pend entre mes jambes...
Au fait, je m'appelle... Et puis, à vous de faire un effort. Mon prénom n'apparaîtra qu'une seule fois au cours de mes multiples aventures.
- Le maître-nageur -
Je suis la risée de trois de mes camarades depuis un an, leur souffre douleur. Dans les vestiaires, je prends soin de camoufler mon sexe du mieux que je peux. Je porte des slips de bain plus grands que ma taille pour cacher cette protubérance qui me complexe. Je vois bien, sous les douches, quand certains se foutent à poil, que je ne suis pas constitué pareil. Je ne souhaite pas être vu comme une bête de foire. Aussi, je fais traîner le plus possible pour me rhabiller. Ça énerve la prof.
Et puis, ce matin, à la piscine municipale, mon destin à changé.
J'avais bien repéré le beau maître-nageur chargé de la surveillance. Je le dévisageais à la dérobé, du coin de l'œil. Je le trouvais magnifique dans son maillot de bain bleu turquoise. Un corps parfait, une gueule à faire bander un eunuque. D'ailleurs, il fallait que je me contrôle, si je ne voulait pas réveiller le monstre qui sommeillait entre mes cuisses.
Je lui donnais autour de la quarantaine, une petite barbe de trois jour soigneusement taillée. Des cheveux bruns coupés en brosse. De beaux yeux bleus... Un fantasme ambulant, quoi!
Quand il approchait pour nous réprimander, mon regard se portait systématiquement sur sa bosse. Un long tube qui reposait sur le côté droit. J'arrivais à deviner le gland qui pointait près de l'élastique. Bien sûr, il ne pouvait rivaliser avec moi, mais il semblait être bien pourvu.
Parfois, quand il souriait, une fossette sexy creusait sa joue gauche. Il devenait alors irrésistible. D'ailleurs toutes les pouffiasses de la classe se pâmaient devant lui. Lui, n'avait rien à faire de leurs pudeurs de gazelles.
Je crois que j'étais secrètement amoureux de mon beau maître-nageur. Même si l'alliance qui ornait son annulaire ajoutait encore un peu plus à mon désespoir.
Un jour, je me suis froissé un muscle après une chute sur le carrelage. OK, je savais qu'il ne fallait pas courir, mais mes trois souffre-douleur voulaient me jeter à l'eau. Je me tordais de douleur. Il est descendu de sa chaise de surveillance pour se diriger vers moi, puis m'a emmené à l'infirmerie. Il me soutenait par la taille, afin d'éviter les faux mouvements. Ses mains m'électrisaient. J'avais l'impression qu'elles étaient faites pour caresser. Je prenais appui sur son épaule. Sa peau était étonnamment douce. J'aurais voulu que le trajet dure une éternité.
À présent, nous sommes enfermés tous les deux dans un petit local faiblement éclairé. Il me demande de m'asseoir sur la table de soins. Il s'accroupit au niveau de mon entre-jambe et commence à palper la zone sensible. Je ferme les yeux tant ses mains sont douces. Je m'aperçois que sa bouche est à quelques centimètre de mon sexe. Je suis troublé. Je sens que ma tige grossit malgré moi.Elle commence à se redresser, prend du volume et et finit par déformer le fin tissus de lycra.
« Non, non... Mon Dieu! il faut que je me concentre, sinon je vais être trop mal... »
Heureusement, il touche une zone sensible qui m'arrache une grimace. Par réflexe, j'écarte les jambes. C'est pire. Ce mouvement à libéré mon membre qui profite de l'espace dans le slip pour s'étirer tout en longueur et venir heurter l'élastique. Il menace de passer par dessus bord.
Je regarde mon beau maître-nageur, inquiet. Ce dernier a cessé de me masser, il fixe mon tube de chair, fasciné par la longueur. Et encore, je ne bande qu'à moitié.
- Humm!!! Quelque chose ne va pas, monsieur?
Il reprend ses esprits, m'expliquant ce que j'ai. Moi je ne comprend rien à ses explications. Il me demande de m'allonger sur la table, pendant qu'il va chercher une pommade. Je suis sur le dos, les bras le long du corps, jambes écartées et... un piquet de tente qui déforme mon maillot de bain. Je décide de fermer les yeux, pour éviter tout embarras.
Il commence son massage. Ses mains sur ma peau me font triquer encore un peu plus. Pourtant, je me contrôle. Enfin,... Je fais ce que je peux.
J'ignore ce qu'il fait. Seules ses mains restent en contact avec ma peau. Tout en massant mes chairs endolories, je sens souvent le dos de sa main remonter contre la base de mon sexe. Putain, il masse aussi cette zone!!! Je vais pas résister longtemps...
Effectivement, ses attouchements répétés affolent mon membre. Ce dernier s'émancipe de mon contrôle. Il prend plaisir à entrer en contact avec cette main. Il sent même l'alliance qui roule contre sa chair. Et ça le fait se tendre encore plus loin.
Je ressens comme un souffle chaud sur mon maillot. Je n'ose ouvrir les yeux. Ce doit être la chaleur de la pièce. Je me fais des films. Je jurerais pourtant qu'une chose humide et pointue titille mes boules, à présent. Chacune, l'une après l'autre, de façon très pudique. Cette chose remonte ensuite sur mes 25 cm aux trois-quart dressés et part à la conquête de mon gland.
C'est pas possible!!! Je dois rêver. Il faut que je sache. J'ouvre les yeux, me redresse, et découvre mon maître-nageur penché sur ma hampe, la bouche grand ouverte.
Dès lors, tout s'accélère. Je lui saisi la nuque. Il baisse mon maillot. Ses lèvres enserrent mon gland de manière incontrôlée. Il a faim de sexe. Je me laisse faire. Je n'ai aucune expérience dans ce domaine. Il doit être plus expert que moi.
Je m'abandonne à sa langue gourmande. Je suis à mon maxi: 33cm. Il a l'air d'apprécier parce que lorsque je porte le regard sur son Speedo bleu, je constate une énorme bosse et une main fébrile qui s'active à travers le tissus.
Il salive beaucoup sur mon dard, titille ma fente, replonge sur ma colonne. OOOHH !!! C'est trop bon. Ce mec sait y faire. Sa langue me procure une succession de décharges électriques. Il est tout entier concentré sur mon plaisir.
- Haaaghh!!! Je gémis malgré moi... Je vais pas tenir longtemps. Je lui bloque la tête, et deux secondes après, il reçoit ma semence. Une quantité de foutre considérable qu'il a du mal à avaler. Une partie ressort de la commissure des lèvres, coule sur son menton. Sa barbe devient toute poisseuse.
Une flaque visqueuse s'est formée sur le carrelage.
C'était trop bien. En bon connaisseur, il savoure les dernière gouttes qui suintent du gland. Je voudrais le remercier, lui dire qu'il m'a offert le plus beau jour de ma putain de vie.
Trois coups discrets sont frappés à la porte. Une élève vient me récupérer. Le cours est terminé.
Avant de disparaître, je lui souris. Le bonheur se lit sur mon visage. Il me demande alors mon prénom.
Et là, sans trop savoir pourquoi, je lui lance, fièrement:
- ''La POUTRE.''
(à suivre...)
PS:Je retarde un peu la parution du "S.W.A.T 2020".
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