La prof 2°
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La prof 2°
En Novembre 1962, je retrouve ma prof de math. Elle est maintenant mariée avec un drôle de monsieur qui ne me plais pas du tout. C'est peut-être parce qu'il couche avec celle que j'ai dépucelée il y a presque dix ans. Je ne sais pas pourquoi mais je ne peux avoir un sentiment de dégout à son égard: je l'imagine baisant cette jolie blonde.
Je les invite au premier restaurant où, avec elle nous avions commencé une aventure de plus de trois mois. Lui se laisse faire: il ne connait pas Paris, qui pour lui est hostileNous bavardons de choses et autres, sans jamais aborder nos anciennes habitudes d'amants. Elle est nommée à Paris , lui l'est à Strasbourg. D'où un drôle de rôle pour moi . Que dois-je faire? être content de leur éloignement ou compatir. C'est cette position que je choisis. Je plains le mari qui ne verra pas son épouse souvent et elle aussi, isolé dans cette capitale: je promets d'en prendre soin. Il pense que réellement je vais m'occuper du confort de son épouse. En un sens c'est vrai mais il ne s'en aperçois pas. Elle a compris le but et me sourit d'un petit air entendu.
Le 1° décembre il part enfin. Elle a trouvé un petit logement justement à coté de celui où nous nous livrions à des actes inconnus de son époux. Elle ne lui a parlé de moi comme d'une personne ami qui l'avait aider, sans plus d'explication. Lui faisait confiance à sa femme.
Dès le soir du départ, nous avons pus enfin parler librement: Sur l'insistance de sa famille, il avait fallu qu'elle se marie parce qu'elle devenait "vieille fille". Et que pour avoir des enfants....Mais elle n'a rien oublié de notre liaison à tel point qu'elle ne ressentait pratiquement rien en baisant avec lui. Les seuls moments où elle avait un orgasme étaient ceux où elle pouvait se branler en pensant à nos étreintes. Elle me demandait si j'étais marié, ma réponse négative la soulageait.
Je lui demandais si elle voulait passer une nuit d'amour comme avant. Non pire qu'avant.
A peine rentrer chez elle se mit nue et me demande d'en faire de même. Une fois nus , nous nous embrassons comme jamais, nous étions ravis de recommencer nos folles nuits d'avant.ce soir elle était totalement prête a faire n'importe quoi pour jouir. Pour avoir à nouveau de gout de ma pine, elle me prend lentement dans sa bouche, très lentement, pas pour me faire jouir, mais pour avoir mon sexe dans la bouche. Je lui propose de faire une position qu'elle aimait beaucoup: un 69.
Elle me couche sur le dos m'offre la vue de son con me le pose sur mes lèvres qui s'emparent aussitôt de son abricot dont je n'ai jamais perdu le gout. De son coté, elle remet mon sexe dans la bouche le rentre à fond et le caresse avec sa langue, surtout le gland qu'elle aime parce que c'est la partie de mon corps qu'elle préfère. Nous prenons notre temps, après tout la nuit est à nous.
Mais nous jouissons ensemble. Elle aime mon sperme je le sait. Mais aujourd'hui elle le déguste comme une friandise.. Nous nous embrassons très profondément et chacun retrouve dans la bouche de l'autre le gout de son propre sexe. C'est très excitant de se sentir et gouter son propre sexe dans la bouche de l'autre.
Toujours en forme elle me demande de l'enculer. Je pose le bout de ma bite sur son petit trou: il est toujours aussi réceptif. J'y rentre lentement, comme elle aime. Elle me dit que depuis notre séparation elle na' jamais eu de pine au cul et que ça lui manque terriblement . Elle se met en levrette et pendant mes aller et venues dans ses entrailles, elle se branle fortement le clitoris que je suçais juste avant. Nous partons dans un orgasme comme je n'en ai connus qu'avec elle. Ensuite, elle se met sur le dos et me réclame encore un cunnilingus. J'obéis bien sur et lui donne encore du plaisir: elle est toujours autant en recherche du seul valable à ses yeux le plaisir du sexe. J'ai un peu débandé: elle sait me remettre en forme en me suçant lentement, très lentement: elle a besoin d'un bite dans son sexe: nous avons oublié tout simplement que baiser aussi passer par la jonction de nos sexes, le mien dans le sien, ses jambes autour de mes hanches, et son con bien mouillé.
Elle se couche sur le dos , écarte lentement les cuisses pour me faire admirer une fois de plus ce con dans lequel je vais pénétrer et qu'elle demande maintenant.
Je me pose sur elle et elle me met avec sa main mon sexe sur le sien et me dit: vas-y, baises moi maintenant. Je le fais aucune difficulté, sauf que je la pénètre d'un seul coup de rein; Elle en sursaute un peu mais la machine à sexe est à nouveau en route: elle va au devant des mes mouvements comme avant. Je lui propose de sortir un peu,. Je lui dit que ça nous remettra en état pour la suite. Bien entendu ele accepte mais ne s'habille qu'en parti: elle ne se met qu'un manteau sans rien d'autre dessous c'est pour que tu puisse me branler si j'en ai envie.Elle en a envie assez tôt. Je la colle contre un porche, lui écarte le manteau et me mets en devoir de lui donner du plaisir: mon pouce sur le clitoris et le reste des doigts dans le con.
Elle jouit rapidement et me met la main sur la protubérence de mon pantalon: je bande, elle le sent et sans rien me demander, elle se baisse pour sortir ma bite et la branler.je lui demande de cesser, pour que plus tard je puisse la baiser encore peu plus tard dans la chambre. Nous continuons de marcher mais maintenant nous sommes devant un banc public isolé, à l'ombre des lampadaires et elle m'y entraine: elle veux que je la baise, là dehors. Finalement sa bouche vorace qui m'embrasse sans arrêt me fais céder. Je m'assois sur le banc elle sort ma bite bandante de pantalon et comme elle mouille, elle écarte le manteau pour venir s'empaler elle même. Nous jouissons encore, moi une fois, mais elle toujours très vorace arrive à jouir 3 ou 4 fois.
Il est tard et nous rentrons nous coucher pour dormir.Nous savons qu'au matin elle se branlera et m'entrainera à lui faire l'amour comme d'habitude.
Pour Noël nou sommes obligés de nous voir, puisque le mari vient la voir et lui faire l'amour sans lui donner de plaisir. Vivement la fin des vacances !!!!
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Je les invite au premier restaurant où, avec elle nous avions commencé une aventure de plus de trois mois. Lui se laisse faire: il ne connait pas Paris, qui pour lui est hostileNous bavardons de choses et autres, sans jamais aborder nos anciennes habitudes d'amants. Elle est nommée à Paris , lui l'est à Strasbourg. D'où un drôle de rôle pour moi . Que dois-je faire? être content de leur éloignement ou compatir. C'est cette position que je choisis. Je plains le mari qui ne verra pas son épouse souvent et elle aussi, isolé dans cette capitale: je promets d'en prendre soin. Il pense que réellement je vais m'occuper du confort de son épouse. En un sens c'est vrai mais il ne s'en aperçois pas. Elle a compris le but et me sourit d'un petit air entendu.
Le 1° décembre il part enfin. Elle a trouvé un petit logement justement à coté de celui où nous nous livrions à des actes inconnus de son époux. Elle ne lui a parlé de moi comme d'une personne ami qui l'avait aider, sans plus d'explication. Lui faisait confiance à sa femme.
Dès le soir du départ, nous avons pus enfin parler librement: Sur l'insistance de sa famille, il avait fallu qu'elle se marie parce qu'elle devenait "vieille fille". Et que pour avoir des enfants....Mais elle n'a rien oublié de notre liaison à tel point qu'elle ne ressentait pratiquement rien en baisant avec lui. Les seuls moments où elle avait un orgasme étaient ceux où elle pouvait se branler en pensant à nos étreintes. Elle me demandait si j'étais marié, ma réponse négative la soulageait.
Je lui demandais si elle voulait passer une nuit d'amour comme avant. Non pire qu'avant.
A peine rentrer chez elle se mit nue et me demande d'en faire de même. Une fois nus , nous nous embrassons comme jamais, nous étions ravis de recommencer nos folles nuits d'avant.ce soir elle était totalement prête a faire n'importe quoi pour jouir. Pour avoir à nouveau de gout de ma pine, elle me prend lentement dans sa bouche, très lentement, pas pour me faire jouir, mais pour avoir mon sexe dans la bouche. Je lui propose de faire une position qu'elle aimait beaucoup: un 69.
Elle me couche sur le dos m'offre la vue de son con me le pose sur mes lèvres qui s'emparent aussitôt de son abricot dont je n'ai jamais perdu le gout. De son coté, elle remet mon sexe dans la bouche le rentre à fond et le caresse avec sa langue, surtout le gland qu'elle aime parce que c'est la partie de mon corps qu'elle préfère. Nous prenons notre temps, après tout la nuit est à nous.
Mais nous jouissons ensemble. Elle aime mon sperme je le sait. Mais aujourd'hui elle le déguste comme une friandise.. Nous nous embrassons très profondément et chacun retrouve dans la bouche de l'autre le gout de son propre sexe. C'est très excitant de se sentir et gouter son propre sexe dans la bouche de l'autre.
Toujours en forme elle me demande de l'enculer. Je pose le bout de ma bite sur son petit trou: il est toujours aussi réceptif. J'y rentre lentement, comme elle aime. Elle me dit que depuis notre séparation elle na' jamais eu de pine au cul et que ça lui manque terriblement . Elle se met en levrette et pendant mes aller et venues dans ses entrailles, elle se branle fortement le clitoris que je suçais juste avant. Nous partons dans un orgasme comme je n'en ai connus qu'avec elle. Ensuite, elle se met sur le dos et me réclame encore un cunnilingus. J'obéis bien sur et lui donne encore du plaisir: elle est toujours autant en recherche du seul valable à ses yeux le plaisir du sexe. J'ai un peu débandé: elle sait me remettre en forme en me suçant lentement, très lentement: elle a besoin d'un bite dans son sexe: nous avons oublié tout simplement que baiser aussi passer par la jonction de nos sexes, le mien dans le sien, ses jambes autour de mes hanches, et son con bien mouillé.
Elle se couche sur le dos , écarte lentement les cuisses pour me faire admirer une fois de plus ce con dans lequel je vais pénétrer et qu'elle demande maintenant.
Je me pose sur elle et elle me met avec sa main mon sexe sur le sien et me dit: vas-y, baises moi maintenant. Je le fais aucune difficulté, sauf que je la pénètre d'un seul coup de rein; Elle en sursaute un peu mais la machine à sexe est à nouveau en route: elle va au devant des mes mouvements comme avant. Je lui propose de sortir un peu,. Je lui dit que ça nous remettra en état pour la suite. Bien entendu ele accepte mais ne s'habille qu'en parti: elle ne se met qu'un manteau sans rien d'autre dessous c'est pour que tu puisse me branler si j'en ai envie.Elle en a envie assez tôt. Je la colle contre un porche, lui écarte le manteau et me mets en devoir de lui donner du plaisir: mon pouce sur le clitoris et le reste des doigts dans le con.
Elle jouit rapidement et me met la main sur la protubérence de mon pantalon: je bande, elle le sent et sans rien me demander, elle se baisse pour sortir ma bite et la branler.je lui demande de cesser, pour que plus tard je puisse la baiser encore peu plus tard dans la chambre. Nous continuons de marcher mais maintenant nous sommes devant un banc public isolé, à l'ombre des lampadaires et elle m'y entraine: elle veux que je la baise, là dehors. Finalement sa bouche vorace qui m'embrasse sans arrêt me fais céder. Je m'assois sur le banc elle sort ma bite bandante de pantalon et comme elle mouille, elle écarte le manteau pour venir s'empaler elle même. Nous jouissons encore, moi une fois, mais elle toujours très vorace arrive à jouir 3 ou 4 fois.
Il est tard et nous rentrons nous coucher pour dormir.Nous savons qu'au matin elle se branlera et m'entrainera à lui faire l'amour comme d'habitude.
Pour Noël nou sommes obligés de nous voir, puisque le mari vient la voir et lui faire l'amour sans lui donner de plaisir. Vivement la fin des vacances !!!!
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