La rencontre inattendue

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La rencontre inattendue Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La rencontre inattendue
Je sonnais à la porte. Pas de réponse. Au bout d’un certain temps d’impatience, je frappais de nouveau, mais là un peu plus fort, pour pas plus de succès. Mais sous le choc de mes coups, la porte s’était entrouverte. Je me mis alors à appeler dans l’intervalle pour rien puisque personne ne vint. Comme j’avais rendez-vous je me permis alors d’entrer, tout en m’annonçant. Comme personne ne répondait à mon appel, je m’engageais tout de même à l’intérieur. Très vite je perçus une conversation. Tout en me présentant je me dirigeais en direction du son. Et il m’emmena jusqu’à une chambre. J’y découvrais une femme, allongée sur un sofa, un portable à la main.
La quarantaine, rousse, vêtue d’une robe de chambre en satin sous laquelle on devinait aisément qu’elle ne portait rien d’autre.
M’apercevant, elle me fit signe d’approcher. Je m’exécutais. La femme avec une lenteur calculée, se rapprocha au bord du sofa, la tête callée sur l’accoudoir. Elle posa le pied gauche sur la moquette, repliant son autre jambe. Ce qui eut pour effet d’ouvrir la robe jusqu’à la bordure de son bas, par ce que oui, ses jambes étaient gainées de noir. Elle m’adressa alors un sourire ravageur. Elle tendit sa main gauche saisissant la mienne me tirant jusqu’à elle. Elle la posa sur le dernier bouton de sa robe, dans un geste sans équivoque. En même temps, elle dit de sa voix rauque dans le portable : - Il vient d’arriver. Et le coquin ne perd pas son temps. Il effleure de ses doigts ma cuisse. Je crois qu’il va défaire ma robe. Et tu sais chéri j’en aie une énorme envie.
Là elle poussa un soupir qui aurait réanimé à la vie un mort. Puis poursuivit d’une voix lourde de promesse.
- Ça y est… il est en train de défaire ma robe le pervers.
Je percevais une voix suppliante jaillir du récepteur.
- Salope ! Tu vas encore te faire baiser !
Elle eut à ce moment là un rire de gorge et bougea un peu pour que je puisse aisément défaire la ceinture de sa robe de chambre. Comme je l’avais deviné elle ne portait rien dessous. Je regardais le récepteur à quelques centimètres de mon visage.
- Bien sûr répondit-elle. Si tu étais ici plus souvent je n’aurai pas à devoir assouvir mes envies avec d’autres.
Je me tenais tout près d’elle. Il faisait chaud, même très chaud. Une secousse me traversa quand je sentis ses doigts me prendre ma main.
- Vous me plaisez, murmura-t-elle en faisant descendre ses mains sur ma poitrine.
- Mais… - Ne dites rien. Dès que vous avez passé la porte et que je vous ai vu, j’ai su que vous aviez envie de moi.
Sur un bref gémissement tandis que mes doigts prenaient entièrement possession de sa poitrine étonnamment volumineux par rapport à la finesse de son corps. Je me penchais pris au jeu, m’approchant des pointes durcies.
Sa main libre se dirigea vers mon ventre. Elle me caressait, sans toucher à mon sexe. J’aurais dû m’enfuir, ou mieux, lui ordonner d’arrêter là ce jeu dangereux. La volonté me manquait. Au contraire, je me cambrai dans mon fauteuil, m’offrant à ses caresses. J’étais enivré par ses doigts élastiques, par son parfum, lourd comme ses seins. Ma queue soulevait mon le devant de mon pantalon.
- Je vois que ça vous plaît, dit-elle en effleurant ma queue. Toujours l’écouteur collé à la bouche elle poussa un feulement.
- Ah ! Ah… c’est bon. C’est merveilleusement bon !
J’entendais distinctement une voix d’homme tremblante de haine.
- Qu’est-ce qu’il te fait ce salaud ?
Elle ne répondit pas tout de suite. J’étais en train de faire glisser sa robe. Elle avait arqué son corps pour la faire passer derrière elle, puis murmura : - Il me caresse la poitrine avec ses lèvres. Il s’est couché à côté de moi et il m’excite. Tu sais comme j’aime ça mon chéri ?
J’ignorais à ce moment là si son plaisir était réel ou si elle jouait la comédie. Je remontais mes paumes sous sa poitrine prenant ses seins en coupe, et mes doigts remplacèrent ma bouche, effleurant les pointes très légèrement.
- Oh ! C’est fantastique. Il faut qu’il me caresse ailleurs… je suis si excitée.
- Salope ! Hurla la voix… salope !
Délicatement, elle écarta le récepteur de son oreille. Un sourire trouble, elle lâcha à son interlocuteur.
- Ne cris pas, menaça-t-elle, sinon je raccroche.
La voix répliqua : - Où te trouves-tu. Qui c’est le charlot ?
- Mais je me trouve à la maison mon chéri. Dans notre chambre pour être un peu plus précise. Avec un jeune homme. Plein de charme. Si tu voyais comment il bande. Très dur.
Elle se tut, posant sa main sur moi. Comme pour vérifier le bien-fondé de ses dires. Cette scène irréelle comment à m’exciter. Elle détendait ses jambes sur le sofa et souleva son ventre.
- Il m’a déshabillée, souffla-t-elle dans le récepteur. Il a ôté tout ce qui le gênait. Il a des doigts doux et agiles. Qui se glissent partout. Et je ne te parle pas de sa langue. Oh ! Oh ! Tu devines où elle est maintenant.
Je pris cela pour un appel. Je rampais le long de ses cuisses, caressant du regard son pubis touffu autour - Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi ce silence… Ginette répond-moi… Ma bite en main. Elle retomba en arrière et reprit la conversation.
- Putain qu’est-ce qu’il est dur le salaud. Il a vraiment envi de me baiser.
- Garce ! Chienne ! Tu mens comme souvent. Il n’y a personne avec toi.
- Mais si mon chéri. Je peux te l’assurer. Tiens ! S’adressant à moi, tout en me tendant l’appareil, dit bonjour mon mari… -Bonjour Monsieur… -Dégage de chez moi, conard !
-N’y crois pas mon chéri, il reste j’ai besoin de lui… et elle passa un bout de langue sur ses lèvres entrouvertes.
En voyant mon membre lourd. Les yeux écarquillés de désir, elle joignit ses mains en coupe autour de mes bourses poilues, lâchant le portable. Elle les caressa doucement. Un intense brasier s’alluma dans mon ventre. Ma queue s’érigea totalement à mon faire mal, par le simple effet du contact de ses paumes. Il m’en fallait pas plus pour exprimer mon plaisir. Après un laps de temps elle reporta le récepteur à sa bouche.
- Pardonne-moi mon chéri. il veut que je le prenne en bouche. Tu comprends bien que je ne pourrais plus de parler.
J’entendis le cri de l’homme au moment où sa bouche prit le relais de sa main. Ignoblement, elle avait approché le portable de sa bouche. Prouvant ses dires.
-Mmmm, et tu comprends vite, en plus. J’ai vraiment besoin d’un garçon comme toi, mon mari n’est jamais là et je m’ennuie terriblement.
Maintenant elle me branlait lentement et léchait la base de ma verge. Puis elle descendit et prit mes couilles dans sa bouche, l’une après l’autre. Je lui pris la tête et guidait ma bite dans sa bouche. Elle suçait voracement ma queue en me regardant droit dans les yeux.
-Vous sucez divinement… -Ah oui ! Dis-le fort que mon mari l’entende !
Sitôt le dernier mot sortit de sa bouche, elle engloutit mon sexe entièrement, le ressortit, lécha le gland rapidement de la pointe de sa langue, reprit ses va-et-vient. En moins d’une minute, j’explosai dans sa bouche, et elle n’en perdit pas une goutte.
En se léchant les doigts, elle dit à son mari : -Chéri tu es encore là !
-Oui !
- Et bien sache que le jeunot à cracher sa jouissance dans ma bouche, et que sa purée est plus bonne que la tienne.
-SALOPE !
Et il raccrocha. Elle regarda le combiné puis moi avant de dire.
- Il a jouit… Elle jeta sa poprtable et laissa tomber : -J’ai très très envie que tu me la mettes dans le cul ce soir !
-Eh bien… mais ça sera avec plaisir, j’ai toujours rêvé d’enculer une belle salope comme vous.
-Des mots, des mots, dit-elle en se mettant à genoux, avant de me prendre de bouveau dans sa bouche.
Puis elle lle s’allongea sur le lit à plat ventre et écarta ses fesses à deux mains.
-Commence par me lécher, qu’on voit si tu mérites d’aller plus loin.
Sans me faire prier je lui enfonçais alors ma langue dans la chatte et lui aspirais le clitoris tandis que je lui pistonnais son adorable anus de deux doigts.
Elle gémissait et son bassin allait à la rencontre de ma bouche.
-Mmmm, lèche-moi bien partout, bouffe ma petite chatte, fais-moi du bien.
Je me mis alors à lui lécher toute la raie et j’enfonçai même à l’occasion ma langue dans son petit cul serré. Rapidement, elle me supplia de la sodomiser, ce que je fis.
-Encule-moi, encule-moi… Mmmmm maintenant, viiiite, mets-la moi dans les fesses, ramone-moi bien le cul avec ta grosse queue bien raide. Je sens tes couilles me fouetter la chatte, c’est si boooon… Et, après avoir lubrifié son cul avec sa mouille, je commençai à l’enculer. Doucement au début, elle avait l’air de souffrir et fermait les yeux, une grimace de douleur sur le visage. Sa respiration était hachée, elle serrait les dents. J’aurais pensé que ça m’aurait excité mais ça me toucha.
-Tu veux que je me retire ?
-Oh non, par pitié reste là où tu es, vas-y doucement, c’est tout. Elle est vraiment grosse. Voilà, comme ça, ça passe doucement. Sainte-Marie, mère de Dieu, par tous les Saints du Ciel, ce qu’elle est grosse !
À force de patience, mon gland finit par passer la barrière de son cul. La femme cria de plaisir. De mon côté, je prenais bien soin de lui laisser de cette première sodomie un souvenir agréable et faisais de mon mieux pour l’amener à l’orgasme. Je lui conseillais de se caresser en même temps, et, peu de temps après que ses doigts se soient posés sur sa chatte, elle explosa dans un orgasme violent qui agita son corps de petits tremblements.
-Plus foooort, plus foort, enfonce-toi plus loin, éclate-moi le cul ! Défonce-moi, je suis ta chienne, traite-moi comme ta chienne, Mmmmmmmm !!! C’est BOOOONNNN, COMME ÇA, OUIIII, PLUS FOOORT !!!!
Son plaisir provoqua le mien et je me vidai à mon tour entre ses fesses avant de m’effondrer sur elle.
Pas le temps de reprendre mon souffle qu’elle m’invita à partir.
-Mais nous avions rendez-vous ? Lui fis-je.
-Comment ça ? M’interpelait-elle.
-Oui… l’expo à prendre… -Quelle expo ? Il n’y a pas d’expo ici. Aller file tout de suite mon mari va arriver.
Et ce fut comme ça que je me retrouvais sur le palier comprenant pas très bien ce qui m’arrivait. Je me saisis de la note que j’avais en poche et la relus. Très vite je m’aperçus que je m’étais trompé d’étage. C’était bien de ce côté mais à l’étage en dessous.

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