LA RUPTURE CONVENTIONNELLE DE CLOCHETTE

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LA RUPTURE CONVENTIONNELLE DE CLOCHETTE Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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LA RUPTURE CONVENTIONNELLE DE CLOCHETTE
Après ma folle nuit avec mon amant, et le retour de mon mari, les choses s'étaient légèrement compliquées. Plusieurs semaines s'étaient écoulées, pendant lesquelles je n'avais pas avoué mon adultère à Richard de peur d’une réaction extrême ou violente voir même d’une séparation. J’étais toujours amoureuse de mon mari et ne voulais en aucun cas le quitter. Cependant et malgré le fait que nous avions toujours été un couple très libre, je ressentais de la culpabilité de ce dernier écart, et mon attitude le démontrait. Il devait se douter de quelque chose et nos échanges étaient limités. Il rentrait tard et partait tôt, prenant ses repas à l'extérieur. De peur de sa réaction, je me contentais de cette situation et ne cherchais pas à provoquer une quelconque explication dont je ne maîtrisais pas les conséquences. J'étais en faute, et quand bien même je ne lui avais rien avoué, je me sentais particulièrement coupable, regrettant cet écart de conduite. À la grande différence avec les autres aventures adultères qui n'étaient que sexuelles, cette fois, c'était différend, et pour la première fois, j’éprouvais des sentiments pour un autre homme. J’espérais, toutefois que le temps effacerait ma faute et mon envie et pour cela ignoré totalement depuis notre dernière nuit mon amant. Pas un appel, pas un texto, le silence total. Pendant les premiers jours, il m’avait harcelé, sans succès et sans aucune réponse de ma part. Pour finir, j’avais pris la décision de rompre et de mettre un terme à cette relation afin de ne pas mettre en danger mon couple déjà tellement éprouvé. Pleine de courage, j’avais communiqué ma décision par texto. Il resta silencieux pendant quelques jours, me laissant espérer en avoir terminé avec cette relation.

Quelques jours plus tard, je reçus une petite vidéo sur What’sapp. On pouvait me voir les yeux masqués et bandés en train de faire une fellation à un homme. La vidéo avait été prise lors de ma dernière soirée avec Jérôme dans le restaurant éphémère. Ce mufle avait conservé les vidéos et photos, ou on pouvais me voir utilisée ou partagée, tel un objet sexuel, avec son entourage. Je ne répondis pas, et reçu rapidement plusieurs autres photos et vidéos, toutes me mettant en scène dans des situations les plus torrides possibles. Je décidais finalement de prendre contact avec lui, qui me donna enfin rendez-vous en fin d’après-midi dans son cabinet. Je décidais d’arborer un look strict anticipant une discussion houleuse avec mon ancien amant et ne voulant pas lui donner de faux espoir.

J'avais pour l'occasion opté pour un look business casual avec un pantalon très élastique beige en taille haute avec poches amples me ceinturant les hanches dans un style business tailleur très élégant, ainsi qu'un pull très ajusté en tissu côtelé blanc et col roulé qui me moulait le haut du corps mettant une fois de plus en valeur ma poitrine opulente. J’arrivais au cabinet à l’heure et patientais. Avec 1 h de retard, il me fit entrer dans son cabinet, pour m’installer sur le sofa à ses côtés.
- Quelle belle surprise Patricia, et que me vaut l’honneur de ta visite, car je pensais que tout était terminé entre nous, si j’en crois ton dernier message ?
- Je suis désolée pour ne pas avoir eu le courage de t’appeler, mais je ne souhaite pas continuer cette relation. D’autre part, je veux que tu me garantisses d’effacer toutes les vidéos et photos.
- C’est vrai, que j’espérais un peu mieux qu’un simple texto, et pour le reste ces photos sont magnifiques, et en plus, tu es très photogénique.
- C’est ridicule, je ne pensais pas qu’en plus, tu étais un voyeur…
- Allez avoue-le, dis-moi que ces photos et vidéos t’ont excitée ?
- J’avoue qu’on a passé de bon moment, mais on est allé trop loin, je ne peux pas continuer
- Ha quand même et tu ne trouves pas que cette rupture et un peu rude ?
- J’ai besoin de me concentrer sur mon couple, j’aime mon mari et ne veux pas le perdre.
- Mais il est hors de question que tu le perdes, mais juste de passer encore un peu de bon temps tous les deux ? Dis-moi que tu n’aimes pas et je te rends ta liberté de suite ?
- Tu sais bien que tu me rends folle et que j’ai adoré nos expériences, que veux tu de moi exactement ?
- Disons que j’envisage plus une rupture conventionnelle avec préavis plutôt qu’un licenciement… Qu’en penses tu ? Mettons 2 mois de préavis et après, tu reprends ta liberté ?
Après une longue discussion, je décidais d’accepter le marché d’un hochement de tête, me sachant de toute façon irrémédiablement attirée et éprise de lui. Je ne devais concéder que 2 mois de trahison supplémentaire avec mon mari. Sans un mot ni une parole, il se pencha sur moi, me prit par le bras et m’aida à me mettre debout. Sa main agrippa mes cheveux et attira mon visage vers lui pour m’enfourner sa langue dans ma bouche…. Il me roula une pelle forcée. Je me laissais faire me sachant en position de faiblesse répondant à son baiser en lui offrant ma bouche et ma langue. Sa main libre se posa sur mes gros seins qu’il pétrit avec gourmandise. Il palpa mon corps, debout dans son cabinet avant de me pousser par terre à 4 pattes en position de levrette. Il attrapa mes bras qu’il tira vers l’arrière et les attacha fermement avec des menottes coincées derrière mes tibias. Une boule de latex envahi ma bouche me bâillonnant afin de ne pas ameuter la salle d’attente de mes gémissements. Il ouvrit enfin mon pantalon et le baissa à mi-cuisse offrant une vue imprenable sur ma croupe en l’air, et offerte. Sa main plongea dans mon entre-jambe me fouillant la chatte. Je ressentis instantanément les effets de ses caresses. Moi qui étais venue pour le quitter, je me retrouver une fois de plus sous son emprise, ouverte et disponible pour me faire prendre, et toujours aussi addicte à son sexe qui n’allait pas tarder à me ravager. Il me doigta dans cette position de soumise, m’obligeant à le supplier de me prendre toujours gémissante sous mon bâillon.
- Hummmm, voilà une belle poule le cul bien haut et offert. Dis-moi que tu veux que je te prenne ma pouliche, je veux t’entendre ….
- Hummmm, prennnnddddssss moi…. J’veux tonnnn seexeee en moiii, hummmmm
Il me fourra comme une oie, en levrette sur le sol de son cabinet, le cul bien en l’air et les bras attachés. Il me fourra son sexe dans mon vagin et me baisa comme un fou, s’activant rapidement et me limant la chatte comme un prédateur s’acharnant sur sa proie. Sa bitte coulissait en moi, et ses mains s’accrochaient à mon gros cul, le palpant de la façon le plus obscène possible comme on palpe un vulgaire morceau de viande. Je jouissais, sous les coups de son sexe monstrueux, comme à chaque fois qu’il m’avait possédé. Il alternait les va-et-vient rapides et les moments de pause, comme pour retarder le moment de sa propre jouissance…
- Ohhhhh, voilà ma belle ce que j’appelle une bonne négociation, j’ai encore besoin de ton gros cul pendant quelque temps, je ne suis pas encore rassasié de tes formes de bourgeoise pulpeuse.
Il se vida enfin sur mon gros cul, laissant baver son sperme sur mon pantalon et sur ma culotte. Sans prendre la peine de me nettoyer ni de me détacher, il me rhabilla laissant les traces de son liquide blanc se répandre et traverser le tissu élastique. Enfin libre, il m’embrassa, à nouveau et me poussa vers la porte avec une grande claque sur ma croupe marquée, me promettant de me donner des nouvelles rapidement.
Quelques jours plus tard, il me recontacta me proposant une nouvelle séance d’analyse à son cabinet.
- Fais toi belle, ma pouliche, je voudrais expérimenter une nouvelle méthode de thérapie de groupe…

J’acceptais, le rendez-vous pour le soir suivant, prétextant, une invitation à dîner chez une amie, afin de ne pas éveiller les soupçons de mon mari. J'avais, pour l'occasion, opter pour un look chic avec une jupe moulante Boss bleu turquoise avec sur la hanche un petit nœud papillon. Le modèle style jupe crayon était en coton épais, et m’était en valeur mes courbes de hanches plantureuses. Le pull noir avait une encolure carré avec décolleté plongeant et une coupe ajustée près du corps qui me moulait le haut du corps mettant une fois de plus en valeur ma poitrine opulente. Je me rendais au rendez-vous et après avoir patienté quelques minutes dans la salle d’attente, je rentrais dans le cabinet.

Alors que je fermais la porte, deux hommes masqués, qui visiblement m’attendaient de chaque côté de l’entrée se saisirent de mes bras et me poussèrent le dos contre la porte. Ils avaient bloqué mes bras contre le mur, coinçant mon corps entre eux pour me restreindre m’empêchant tout mouvement. Alors que la main de l’un se plaquait sur ma bouche pour me faire taire, l’autre homme me saisit les cheveux, et prit de sa main gauche ma forte poitrine à pleine main. Coincée, debout, et plaquée contre la porte, entre deux hommes masqués, j’allais être de nouveau le jouet sexuel de ces prédateurs au plus grand plaisir de mon amant qui se trouvait debout devant nous à nous observer. N’ayant pas d’autre choix, je me laissais faire, ressentant la pression de leurs caresses sur mon corps. Alors que les deux hommes parcouraient mon corps de leurs mains et leurs bouches, Jérôme s’était rapproché et avait plaqué sa main sur ma jupe au niveau de mon entre-jambe, palpant mon vagin avec frénésie.
- Voilà ce que j’appelle une bonne négociation, tu vois que tu avais besoin de cette thérapie de groupe, je savais bien que ca te manquerait. Regarde toi gigoter alors qu’il te palpe comme une vulgaire poupée…
- Hoooooo, Jérôme tu es un démon…. Haaaaaa, non arrêtez laissez moi tranquille…
- Oui, vas-y, ma belle, résiste à ton propre désir, ca ne va qu'amplifier ta jouissance quand ils vont te prendre…
- Noonnnnn Jero……. Hummmm
L’homme de droite me tenant toujours par les cheveux attira mon visage vers lui et plongea sa langue dans ma bouche, me roulant une pelle gourmande. L’autre continuait à me palper mes gros seins au travers de mon pull, alors que la main de Jérôme se frottait à ma chatte. Je gigotais debout, essayant de resserrer mes cuisses, stimulée par la pression des doigts de mon amant sur ma jupe. L’homme de gauche écarta mon pull, pour libérer mes gros seins de mon décolleté et de mon soutien-gorge. J’avais mis un ensemble lingerie Lise Charmel Taj Mahal bleue au motif indien en soie, avec porte jarretelle et soutien gorge à balconnet. Il baissa avec rudesse, mon soutien-gorge, pour laisser libre accès à ma poitrine voluptueuse, enfin libre qui ballottait au rythme de leur caresse bestiale. J’étais manipulée comme un animal, pétrie par les mains calleuses de ces brutes qui se délectaient de ma soumission. Mon corps était parcouru de frisson, de désir, laissant présager des orgasmes violents, exprimés par les mouvements de mon corps qui continuait à osciller suivant le mouvement de ces caresses bestiales. Ils avaient empoigné mes mamelles à pleines mains, les palpant avec frénésie, suçant ou mordillant mes tétons surexcités avec gourmandise. Ils manipulaient mes grosses mamelles comme une femelle prête pour la traite, simulant l’extraction du lait d’une bonne laitière mameleuse.
- Elle a des mamelles bien développées, des gros pis, une vraie vache laitière. On va t’appeler Clochette, comme la reine d’un concours de race normande. Avec des pis comme les tiens, tu vas sûrement remporter le titre de la plus belle mamelle et de la meilleure laitière. Tu portes bien tes formes plantureuses Clochette, pour une génisse qui a déjà donné ses premiers vêlages.
- Oui un beau volume de mamelle, digne d’une belle laitière, un aplomb magnifique. La bourgeoise sort de son placard ! Oserais-je même dire décomplexée. Avec ton air pincé, mais crânement drapé dans tes fringues de luxe, tu es une vraie splendeur. On va souiller tous tes signes extérieurs de distinction Clochette.
Ils profitaient chacun de mes gros seins, les palpant de haut en bas, à pleines mains pour être sûre de ne manquer aucune zone, tournant également en spirale et tirant sur mes mamelons. Pendant des années, mon seul objectif avait été de me transformer en bourgeoise pure et dure. Avec des manières millimétrées, scrupuleuses de l'étiquette et des bonnes façons, attentive au secteur du luxe et de la mode, dont la garde-robe mobilisait l'ensemble de mon capital séduction, j’étais devenue à cet instant juste un objet de désir pour mâle en rut.

Alors que les deux inconnus continuaient leur traite improvisée, Jérôme avait soulevé ma jupe pour découvrir mes porte-jartelles et mon string bleu indien, passant sa main en dessous afin de prendre possession de ma chatte. Il me prit l’entre-jambe à pleine main, et je sentais ses doigts s’introduire en moi. Ils m’utilisèrent de cette façon pendant plus de 15 minutes. Toujours immobilisée, debout, contre cette porte, j’étais harcelée de leurs mains, doigts, langues, sur chaque partie de mon corps. Je jouis une première fois sous les doigts de mon amant, chancelant en même temps, tenant debout uniquement maintenue par les deux hommes qui allaient pouvoir enfin profiter de mon état de faiblesse pour me violer. J’espérais juste qu’ils me prennent sur le canapé. Jérôme s’écarta, laissant les hommes m’entraîner sur le sofa. J’avançais en titubant, poussée par-derrière par un des hommes qui tenait ses bras autour de mon corps.

Quand je fus devant le canapé, ils se collèrent à nouveau à moi, l’un derrière, l’autre devant, pour recommencer leurs jeux masturbatoires. Je me laissais ballotter, comprenant qu’ils allaient me garder, bloquer, debout, jusqu’à mon prochain orgasme. Je percevais une onde de chaleur, partant de mes orteils et grimpant à l’assaut de mes gros seins et jusqu’à la pointe de mes cheveux. J’avais la tête pendante, le corps ravagé de leurs caresses animales. Ils m’embrassaient à tour de rôle, me palpaient chaque partie de mon corps, jusqu’à ce qu’un spasme ultime me transperce le corps, me laissant enfin m’écrouler sur le sofa. Épuisée, je tentais vainement de les repousser, alors, qu’assis à mes côtés, ils me relevaient ma jupe.
- Pitié, je ne peux plus, non, laissez-moi reprendre mon souffle
- Tu voulais t’allonger sur le canapé, on y est maintenant.
J’étais une fois de plus entre ces deux hommes, assise, essoufflée. Sans préliminaire, le premier qui avait libéré son gros sexe, me coucha le visage sur son sexe, m’obligeant à enfourner son membre dans ma bouche. Il poussa son gros dard au fond ma bouche, me tenant fermement par les cheveux, amplifiant mon mouvement et ma fellation. L’autre ne fut pas en reste, et je sentis son sexe me pénétrer progressivement. Bien qu'offerte et déjà bien humide, il prit son temps pour me prendre, faisant ressortir son sexe entièrement, comme une sorte de punition ou de jeu d’offrande qui me rendait folle. Il finit par me posséder de son sexe gluant de désir bien en moi. Il me burina, en rythme avec son collègue qui me baisait la bouche. Sans préliminaire, clouée à leurs sexes, j’étais choquée et fascinée par leus coups de butoirs qu’ils me faisaient subir.
- Non, Non, Non, pitié, je n’en peux plus
Ils ne prenaient même pas la peine de répondre, faisant alterner dans leurs pénétrations les temps longs et les temps courts, observant parfois une immobilité rigoureuse quand ils se sentaient au bord du spasme.
- Je vous en prie, Non, Non…
Ils se moquaient de mes prières, et savaient comment m’amener au point de non-retour dans cette fête des sens dont je n’étais que l’instrument. Tout échappait à ma resistance, mon bassin rivé au sien, ma bouche collée au sexe de l’autre, ma volonté m’avait une fois de plus échappé, très loin dans cette dimension mystérieuse de l’orgasme et du plaisir. Ils me faisaient jouir, et quand je ne protestais pas pour la forme, je gémissais, ou me révulsais la bouche à demi-ouverte. Jérôme s’était accroupi au bord du sofa, et prenait sa part, au saccage en règle de sa maîtresse. Me tenant par les cheveux pour forcer ma fellation, ou claquant de ses mains mes grosses fesses qui se faisaient pilonner par le second inconnu, il contribuait de manière active. Avec un sourire sadique, il me montra son jouet habituel, qu’il allait sans aucun doute me mettre dans mon petit trou.
- Voilà ma belle, c’est une protection pour toi, afin qu’ils ne puissent pas t’enculer.
- Non, Non, Non ! Jérôme, j’en peux plus, je vais mourir mon dieu …. Haaaaaaa !!!!!
Il poussa son jouet dans mon anus, déclenchant en moi un spasme profond qui s’apparentait fortement à un nouvel orgasme. Sans se démonter les deux hommes changèrent de position. L’un se coucha sur le sofa, et m’entraîna vers lui afin de me pénétrer. À cheval sur mon partenaire, j’étais assise sur lui mes jambes de part et d'autre de son corps, mes gros seins pendouillant sur son visage qu’il avala aussitôt. Il m’imposa son rythme, me balançant d'avant en arrière, me caressant la croupe de ses mains libres. Le second ne resta pas inactif. Je sentais sa présence derrière moi, toujours protégeais par le gode anal de mon amant.
- Tu sais belle bourgeoise que tu mérites une triple pénétration.
- Non, Non !!!! Jérôme, ils vont me rendre folle !!!!!
Je ne pus résister bien longtemps, la langue du premier plongeant dans ma bouche afin de m’empêcher de protester, alors que je sentais le sexe du second homme forcer l’entrée de mon vagin déjà occupé par son camarade. Doucement, son pénis me pénétra, me laissant avec deux gros sexes dans mon vagin et un gode dans mon anus. Mon rythme cardiaque s’accéléra, et la production de sécrétions augmenta. Je pouvais sentir mes parois se contracter et mon clitoris gonfler. Ils me défoncèrent, sans se préoccuper de mon état. Toute résistance m’avait abandonné, et je laissais mon corps se ballotter au rythme des coups de reins de mes deux violeurs. Cette sensation d’être envahie de chaque côté, mais également d’avoir ces deux sexes en moi qui se frottaient l’un à l’autre rivés tous les deux dans mon vagin était juste unique. Ils me défoncèrent pendant plusieurs minutes, faisant coulisser leurs sexes en moi, serrés l’un contre l’autre, je perdais toute notion de réalité.
- Retournez-la, je veux voir ses belles mamelles de Clochette, remuer au rythme de vos coups de bites. Vas-y ma belle Clochette, montre-moi que tu es la reine du concours de la bonne laitière.
Ils me retournèrent, pour me prendre de la même façon. J’étais couchée sur le premier homme, lui tournant le dos, alors qu’il m’avait mis la main sur la bouche pour étouffer mes gémissements, et que son autre main me palpait mes gros seins libre qui remuaient sous les coups frénétiques de hanches que je recevais. Le second m’avait relevé les cuisses au-dessus de lui, à la verticale, et avait rejoins son camarade dans mon vagin, envahi à nouveau par ces énormes braquemarts. Jérôme debout me tenait par les escarpins me caressant les cuisses et les jambes gainées de nylon et soutenues par mes porte-jartelles. J’avais perdu tout contrôle, les laissant me manipuler et me faire jouir comme une folle.

Dans un état second, je sentis ensuite Jérôme me tirer par les cheveux pour accéder à ma bouche. Il me fourra son sexe dans la bouche, et me baisa les lèvres, me sachant de toute façon incapable de prendre une quelconque initiative. Ils se déchaînèrent contre moi pendant de longues minutes, dans ce cabinet où on ne pouvait entendre que mes gémissements, et râles de ces 3 bêtes en rut. Mon amant, au bord de l’explosion, libéra ma bouche pour un court instant. Ils m’entraînèrent vers le fauteuil, ou le premier homme assis m’attendait. Je l’enjambais en position de cavalière alors que je sentais Jérôme derrière me retirer le gode de mon anus pour le remplacer par son sexe bien humide de ma salive. Il m’encula. J’étais prise à nouveau en sandwich par deux hommes alors que le troisième debout poussait son sexe vers mon visage. Ma bouche fut à nouveau remplie d’un bâton de chair réduisant le bruit de mes protestations suite à cette sodomie.
- Voilà ma belle, c’est ton gros cul que j’aime le plus, regarde comme tu es bien fourrée de tous les cotés, une vraie dinde farcie… Vas-y, ma belle Clochette bouge ton corps…
Je ne pouvais plus rien faire, mes yeux étaient exorbitées de plaisirs et d’orgasmes, mon corps maltraité depuis plus de 40 minutes ne me répondait plus. J’étais à nouveau cette poupée de chair et de sexe, ce jouet, qui appartenait à mon amant et maître encore pour une période deux mois et qui allait continuer à me partager selon son bon vouloir. Sous la pression de la queue de mon amant dans mon anus, je sentis à nouveau un orgasme violent, et me cambrais telle une hystérique me faisant perdre toute notion de réalité. Je repris enfin mes esprits au contact des premiers jets de sperme qui se répandirent sur mon visage et dans ma bouche. Alors que l’homme qui m’avait violé la bouche, se vidait sur mon visage, Jérôme qui s’était relevé, me regardait me faire asperger par le sperme de cet homme, alors que le second continuait à me limer le vagin tout en me tenant fermement la croupe de ses mains calleuses. Alors que le premier s’essuyait les dernières gouttes de sperme dans mes cheveux le second avait sorti son membre, et se branlait frénétiquement afin de se vider sur mes fesses. Il me marqua de son liquide blanc sur ma croupe comme un animal marque son territoire ou sa proie et je sentais son liquide chaud se rependre sur mon gros cul.

Ils me relevèrent enfin, me soutenant chacun par les bras et me poussèrent vers le bureau de Jérôme en levrette. Fesses en l’air, ils me tenaient solidement, alors que je sentais la présence de mon amant qui allait sans aucun doute me reprendre l’anus. Il me sodomisa à nouveau, d’un seul coup, sans préliminaire, estimant que je devais être suffisamment dilatée.
- Tu aimes ça que je te termine dans ton gros cul, c’est bon de t’enculer ma clochette, vas-y bouge moi ton gros cul de bourgeoise….
Il me pilonna l’anus pendant quelques minutes, mais fort heureusement ne tenue pas bien longtemps avant de jouir au fond de mon petit trou. Je sentis le sperme dans mon anus, ce liquide chaud m’envahir enfin. Je retombais sur le bureau défaite, détruite, perdue, mes jambes ne me portant plus. Les deux hommes me recouchèrent sur le sofa, ou je m’assoupis pour quelques minutes. À mon réveil, les deux hommes étaient partis, et Jérôme, assis sur une chaise me regardait tendrement.
- Merci ma belle, tu m’as fait jouir comme personne, je vais devoir faire attention avec toi, sinon je vais finalement tomber amoureux. Rentre chez toi maintenant, tu es finalement libre…
- Mais notre accord ??
- À toi de décider quand tu en auras envie, ma porte est toujours ouverte, et tu pourras compter sur mon imagination pour te faire vivre de nouvelles expériences.
Il m’embrassa avec gourmandise, mais beaucoup de tendresse. Je répondais à son baiser telle l’adolescente que j’étais à chaque fois qu’il me tenait dans ses bras. Ma langue s’offrait à lui, dans un baiser surréaliste qui réveillait mon désir et excitation.
- J’ai un dernier cadeau pour toi mon bel amant, suis-moi dans les toilettes.
Je l’entraînais dans le petit cabinet de toilette, m’agenouillais devant la cuvette, et baissais mon décolleté, libérant mes gros seins.
- Urine moi dessus, je vais te boire, sentir ta pisse chaude dans ma bouche et sur mes gros seins
- Hummmmm salope…
Il ressortit son sexe, et se vida sur moi, visant ma bouche et la cuvette, essayant de ne pas me salir pour éviter les soupçons. Je buvais son liquide nauséabond, avalant sa pisse, comme assoiffée.
Sans un mot, il me raccompagna à la porte. Notre relation prenait fin, de la façon la plus surprenante possible, et finalement c‘est lui qui mettait un terme à notre aventure. Je savais au fond de moi que les occasions de le revoir ne manqueraient et qu’il ne résisterait pas à mes charmes de toutes les manières.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
glauque, pas d'érotisme, que de la baise brutale et sans protection. Quant au mari, peut-elle encore l'appeler comme ça.......

Histoire Libertine
Et le mari ????



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