La S D F
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La S D F
Depuis une huitaine de jour, chaque soir vient s'installer juste devant
ma porte une jeune femme qui se couvre dans une maigre
couverture. Au début je l'ignorais totalement, après tout il y a tant de
gens qui vivent dans la rue....... Pourtant ce soir je la regarde un peu
plus: elle doit avoir 20, 25 ans, un joli minois. Décoiffée et un peu
sale, elle serait très bien certainement, comme elle devait être au
paravent. Ce soir il fait froid et je ne sais pourquoi, sans doute un
moment de charité, je l'invite à venir se chauffer chez moi. Son
regard en dit long sur sa détresse. Elle me fait un petit sourire et
accepte. Dès la rentrée chez moi je sens que j'ai changé. Je
l'installe sur le divan et l'invite à enlever les vêtements sales pour se
changer: j'ai encore des habits de ma soeur partie depuis longtemps
et elle doit faire à peu près sa taille. Je vais chercher le nécessaire
et quand je reviens elle est à moitié nue. En réalité, elle porte un
soutien gorge déjà bien usé et un slip qui a grand besoin d'être
changé. Ses chaussettes et ses chaussures posées à coté ne
méritent qu'une seule destination: la poubelle.
Malgré son accoutrement elle est désirable. Je lui donne le lot de
vêtements: elle me fait un grand sourire. Elle passe rapidement un t-
shirt et une petite jupe. Je l'invite à partager mon repas. Dès qu'elle
est assise, elle ne mange pas, elle dévore.
Je pense enfin à la suite: je ne vais quand même pas la mettre
dehors. Je lui propose de passer la nuit dans ma chambre: je me
contenterais du divan. Elle refuse: elle veut rester sur le divan. A
cela ne tienne. Je sors des couvertures et l'invite à s'installer. Elle
me demande de rester un moment avec elle pour bavarder: dans la
rue, règne la violence et avec moi il lui semble qu'elle sera en
sécurité, au moins pour la nuit. Je pense qu'elle n'a pas d'oreiller et
je repars encore une fois.
A mon retour, elle est presque nue pour se coucher: elle ne porte
plus qu'un petit slip. Ce n'est qu'à ce moment là que je la vois
comme une femme. Sans savoir pourquoi je lui propose d'aller
prendre une douche, ce qu'elle accepte volontiers. Elle me suit
pieds nus, avec seulement son slip. J'ouvre la porte de la salle de
bain. En guise de douche elle préfère prendre un bain. Libre à elle:
j'ouvre les robinets et je sors. Au bout d'un long moment, je ne
l'entend plus et m'inquiète: que peut-elle faire. Un peu de jugeote
m'aurait renseigné: je rentre et le vois bien étendue dans l'eau
chaude, la tête penchée en arrière et l'eau agitée autour d'elle: elle
se branle, j'en ai la certitude. A près tout c'est son droit de prendre
un peu de plaisir, il doit y avoir longtemps qu'elle n'a pas du jouir;
Je me retire sans faire de bruit. Savoir que là à quelques mètres de
moi une fille se branle me fait bander. Je n'ai pas baiser depuis au
moins un mois et malgré mes masturbations j'aimerai bien avoir une
fille avec moi.
En attendant elle tarde toujours à sortir. Cette fois, je suis en petite
tenus, prêt à ma coucher, seul un slip cache ma virilité. J'entre dans
la salle de bain: elle est nue en train de se sécher. Elle lâche la
serviette et viens vers moi en me tendant les lèvres. L'invite est
précise. Elle me veut. Je l'embrasse avec beaucoup de douceur.
Elle ouvre la bouche et sa langue vient à la rencontre de la mienne.
Je n'ai qu'un geste à faire et je le fais, je lui pend un sein et le
caresse. Elle me laisse faire et me demande d'embrasser l'autre: je
m'attarde sur son téton. Elle tremble de désir. Elle me tient d'une
main le cou et l'autre vient s'égarer vers ma bite. Elle me la prendre
comme pour deviner sa taille et ses contours: elle ne me branle pas:
tant mieux. Je passe mes mains sur ses fesses et les caresses avant
de passer une main entre elles. Elle se laisse faire. Je descends ma
main pour arriver vers son cul que je ne touche pas. Je me contente
d'en examiner les contours. Enfin je passe ma main sur son bas
ventre: elle le tend vers moi pleine de désir. Je lui trouve son clitoris
et le caresse très lentement. Elle se laisse faire.
Je l'emmène vers mon lit et la couche.
Je l'embrasse dans le cou et je découvre son odeur: elle est
appétissante. Je pourrais la baiser maintenant, mais je préfère faire
traîner les choses en la faisant jouir avant moi. Je me glisse vers le
bas du lit, lui fait écarter les jambes et ma langue la découvre depuis
les chevilles jusqu'en haut, vers son con qui me semble déjà plein
de cyprine. Elle se laisse faire comme une chatte que l'on caresse.
plus je m'approche plus son odeur devient excitante. Enfin j'arrive à
son sexe que je lèche de bas en haut: je m'attarde un moment sur
son anus: elle ne dit rien, au contraire elle me prend la tête pour me
tenir en place un petit moment avant de me diriger vers son con.. Au
passage je frôle les lèvres intimes et j'arrive à son bouton. Elle me
laisse faire quand je le prend entre mes lèvres pour l'aspirer et la
faire jouir. Elle ne doit connaître que la langue comme moyen de
jouir et pas une succion. Elle gémit de plus en plus fort. Je la sens
se raidir juste avant se crisper quand elle jouit. Je me remets
normalement en place sur le lit: elle vient poser ses lèvres sur les
miennes et voudrait me sucer à mon tour. Je refuse: je veux la
baiser avant tout. Je lui passe encore une fois ma main sur le con
bien humide. Elle écarte les jambes et s'offre à ma queue. Elle me
la prend pour me guider et juste avant me branle un instant. Je rentre
très lentement dans son vagin. Je veux déguster chaque instant de
ce moment particulièrement érotique d'un début de baise. Elle aussi
ne précipite pas les choses jusqu'au moment où je suis à fond dans
son con. Là elle se déchaîne: c'est une femelle en rut qui est sous
moi. Elle bouge sa tête dans tous les sens. Elle gémit et accentue
mes mouvements d'aller et venu. A plusieurs reprises je sens ses
crispations d'orgasme. Je sors de sa vulve sans y avoir jouit. Je
pense qu'elle désire autre chose de plus hard. Je la tourne sur le
dos. Elle comprend aussitôt et avec ses mains écarte bien ses
fesses. J'ai la pine bien mouillée et j'en ai en tout cas assez pour la
sodomiser. Elle veut me guider: je refuse, je connais assez bien les
culs des filles. Dès que je pose ma bite elle donne un coup sec et je
l'enfile d'un seul jet. C'est encore elle qui mène la cadence. Elle jouit
dès que je la pénètre et ensuite quand je suis à fond et que mes
baloches se trouvent sur ses fesses. Je suis pris comme elle dans
un délire de baise. Je jouis dans son cul, elle répond. Je reste en
elle sans débander, ce qui est très rare pour moi en tout cas. Elle
continue la danse et jouit plusieurs fois. je ressors d'elle un peu
fatigué.
Comme je bande toujours, elle se retourne, m'enjambe et me donne
une fois de plus soin con à sucer. Elle se penche et me prend à
pleine bouche: elle suce merveilleusement bien. Je la sens se
tendre encore quand elle jouit, ce qui ne l'empêche pas de laisser
son con contre ma bouche pour jouir encore. Elle me suce d'une
façon idéale: elle commence par me sucer les couilles avant de
lèche toute ma colonne, de lécher mon gland, sans le prendre dans
la bouche. Elle tient mon mandrin en une masturbation contrôlée.
Enfin elle gobe mon gland lentement et rentre la quasi totalité de ma
bite dans la bouche. Elle la ressort avant de recommencer. Elle ne
me fait jouir que très tardivement quand sans que je lui dise rien
j'éjacule dans sa bouche. Pas dégoûtée elle garde le sperme dans
la bouche en le faisant aller d'un coté à l'autre de sa bouche: elle le
déguste avant de l'avaler lentement. Elle revient m'embrasser. Elle
goûte sa cyprine dans ma bouche et surtout me fait goûter mon jus.
Nous passons la nuit à baiser. C'est une championne toutes
catégories de la baise. J'ai adoré ses façons.
C'est le matin et elle se demande ce que je fais faire d'elle. En guise
demande pour rester, elle se pose à cheval sur ma tête et ouvre bien
tout son con. Elle pose une main sur son bouton et se branle
longuement en jouissant encore plusieurs fois. Je ne peux
m'empêcher de m branler devant elle.
Je ne peux me débarrasser d'elle: elle baise trop bien. Je fais même
plus, je lui donne de l'argent en lui demandant de se conduire en
femme d'intérieur. Je pars et quand je rentre le soir, j'ai un petit
d'espoir de la revoir: elle et là, à coté de la table mise, mais nue. elle
me demande de la sucer encore et encore. Elle me dit qu'elle a été
faire des courses dans le quartier et qu'ensuite elle s'est beaucoup
branler sous la douche cette fois. Elle m'explique enfin qu'elle aime
trop baiser, ce qui la perdue quand un jour: un de ses amants la
mise dehors sans ressource. Si je veux, elle peut rester pour
s'occuper de mon intérieur à condition que nous baisions souvent,
ce qu'elle aime. Je lui dit oui et je vais plus loin: je lui demande si
pour se branler elle n'aimerait pas que je lui donne un godemiché.
Elle me saute au cou en me remerciant: elle aime se masturber
avec des jouets sexuels.
ma porte une jeune femme qui se couvre dans une maigre
couverture. Au début je l'ignorais totalement, après tout il y a tant de
gens qui vivent dans la rue....... Pourtant ce soir je la regarde un peu
plus: elle doit avoir 20, 25 ans, un joli minois. Décoiffée et un peu
sale, elle serait très bien certainement, comme elle devait être au
paravent. Ce soir il fait froid et je ne sais pourquoi, sans doute un
moment de charité, je l'invite à venir se chauffer chez moi. Son
regard en dit long sur sa détresse. Elle me fait un petit sourire et
accepte. Dès la rentrée chez moi je sens que j'ai changé. Je
l'installe sur le divan et l'invite à enlever les vêtements sales pour se
changer: j'ai encore des habits de ma soeur partie depuis longtemps
et elle doit faire à peu près sa taille. Je vais chercher le nécessaire
et quand je reviens elle est à moitié nue. En réalité, elle porte un
soutien gorge déjà bien usé et un slip qui a grand besoin d'être
changé. Ses chaussettes et ses chaussures posées à coté ne
méritent qu'une seule destination: la poubelle.
Malgré son accoutrement elle est désirable. Je lui donne le lot de
vêtements: elle me fait un grand sourire. Elle passe rapidement un t-
shirt et une petite jupe. Je l'invite à partager mon repas. Dès qu'elle
est assise, elle ne mange pas, elle dévore.
Je pense enfin à la suite: je ne vais quand même pas la mettre
dehors. Je lui propose de passer la nuit dans ma chambre: je me
contenterais du divan. Elle refuse: elle veut rester sur le divan. A
cela ne tienne. Je sors des couvertures et l'invite à s'installer. Elle
me demande de rester un moment avec elle pour bavarder: dans la
rue, règne la violence et avec moi il lui semble qu'elle sera en
sécurité, au moins pour la nuit. Je pense qu'elle n'a pas d'oreiller et
je repars encore une fois.
A mon retour, elle est presque nue pour se coucher: elle ne porte
plus qu'un petit slip. Ce n'est qu'à ce moment là que je la vois
comme une femme. Sans savoir pourquoi je lui propose d'aller
prendre une douche, ce qu'elle accepte volontiers. Elle me suit
pieds nus, avec seulement son slip. J'ouvre la porte de la salle de
bain. En guise de douche elle préfère prendre un bain. Libre à elle:
j'ouvre les robinets et je sors. Au bout d'un long moment, je ne
l'entend plus et m'inquiète: que peut-elle faire. Un peu de jugeote
m'aurait renseigné: je rentre et le vois bien étendue dans l'eau
chaude, la tête penchée en arrière et l'eau agitée autour d'elle: elle
se branle, j'en ai la certitude. A près tout c'est son droit de prendre
un peu de plaisir, il doit y avoir longtemps qu'elle n'a pas du jouir;
Je me retire sans faire de bruit. Savoir que là à quelques mètres de
moi une fille se branle me fait bander. Je n'ai pas baiser depuis au
moins un mois et malgré mes masturbations j'aimerai bien avoir une
fille avec moi.
En attendant elle tarde toujours à sortir. Cette fois, je suis en petite
tenus, prêt à ma coucher, seul un slip cache ma virilité. J'entre dans
la salle de bain: elle est nue en train de se sécher. Elle lâche la
serviette et viens vers moi en me tendant les lèvres. L'invite est
précise. Elle me veut. Je l'embrasse avec beaucoup de douceur.
Elle ouvre la bouche et sa langue vient à la rencontre de la mienne.
Je n'ai qu'un geste à faire et je le fais, je lui pend un sein et le
caresse. Elle me laisse faire et me demande d'embrasser l'autre: je
m'attarde sur son téton. Elle tremble de désir. Elle me tient d'une
main le cou et l'autre vient s'égarer vers ma bite. Elle me la prendre
comme pour deviner sa taille et ses contours: elle ne me branle pas:
tant mieux. Je passe mes mains sur ses fesses et les caresses avant
de passer une main entre elles. Elle se laisse faire. Je descends ma
main pour arriver vers son cul que je ne touche pas. Je me contente
d'en examiner les contours. Enfin je passe ma main sur son bas
ventre: elle le tend vers moi pleine de désir. Je lui trouve son clitoris
et le caresse très lentement. Elle se laisse faire.
Je l'emmène vers mon lit et la couche.
Je l'embrasse dans le cou et je découvre son odeur: elle est
appétissante. Je pourrais la baiser maintenant, mais je préfère faire
traîner les choses en la faisant jouir avant moi. Je me glisse vers le
bas du lit, lui fait écarter les jambes et ma langue la découvre depuis
les chevilles jusqu'en haut, vers son con qui me semble déjà plein
de cyprine. Elle se laisse faire comme une chatte que l'on caresse.
plus je m'approche plus son odeur devient excitante. Enfin j'arrive à
son sexe que je lèche de bas en haut: je m'attarde un moment sur
son anus: elle ne dit rien, au contraire elle me prend la tête pour me
tenir en place un petit moment avant de me diriger vers son con.. Au
passage je frôle les lèvres intimes et j'arrive à son bouton. Elle me
laisse faire quand je le prend entre mes lèvres pour l'aspirer et la
faire jouir. Elle ne doit connaître que la langue comme moyen de
jouir et pas une succion. Elle gémit de plus en plus fort. Je la sens
se raidir juste avant se crisper quand elle jouit. Je me remets
normalement en place sur le lit: elle vient poser ses lèvres sur les
miennes et voudrait me sucer à mon tour. Je refuse: je veux la
baiser avant tout. Je lui passe encore une fois ma main sur le con
bien humide. Elle écarte les jambes et s'offre à ma queue. Elle me
la prend pour me guider et juste avant me branle un instant. Je rentre
très lentement dans son vagin. Je veux déguster chaque instant de
ce moment particulièrement érotique d'un début de baise. Elle aussi
ne précipite pas les choses jusqu'au moment où je suis à fond dans
son con. Là elle se déchaîne: c'est une femelle en rut qui est sous
moi. Elle bouge sa tête dans tous les sens. Elle gémit et accentue
mes mouvements d'aller et venu. A plusieurs reprises je sens ses
crispations d'orgasme. Je sors de sa vulve sans y avoir jouit. Je
pense qu'elle désire autre chose de plus hard. Je la tourne sur le
dos. Elle comprend aussitôt et avec ses mains écarte bien ses
fesses. J'ai la pine bien mouillée et j'en ai en tout cas assez pour la
sodomiser. Elle veut me guider: je refuse, je connais assez bien les
culs des filles. Dès que je pose ma bite elle donne un coup sec et je
l'enfile d'un seul jet. C'est encore elle qui mène la cadence. Elle jouit
dès que je la pénètre et ensuite quand je suis à fond et que mes
baloches se trouvent sur ses fesses. Je suis pris comme elle dans
un délire de baise. Je jouis dans son cul, elle répond. Je reste en
elle sans débander, ce qui est très rare pour moi en tout cas. Elle
continue la danse et jouit plusieurs fois. je ressors d'elle un peu
fatigué.
Comme je bande toujours, elle se retourne, m'enjambe et me donne
une fois de plus soin con à sucer. Elle se penche et me prend à
pleine bouche: elle suce merveilleusement bien. Je la sens se
tendre encore quand elle jouit, ce qui ne l'empêche pas de laisser
son con contre ma bouche pour jouir encore. Elle me suce d'une
façon idéale: elle commence par me sucer les couilles avant de
lèche toute ma colonne, de lécher mon gland, sans le prendre dans
la bouche. Elle tient mon mandrin en une masturbation contrôlée.
Enfin elle gobe mon gland lentement et rentre la quasi totalité de ma
bite dans la bouche. Elle la ressort avant de recommencer. Elle ne
me fait jouir que très tardivement quand sans que je lui dise rien
j'éjacule dans sa bouche. Pas dégoûtée elle garde le sperme dans
la bouche en le faisant aller d'un coté à l'autre de sa bouche: elle le
déguste avant de l'avaler lentement. Elle revient m'embrasser. Elle
goûte sa cyprine dans ma bouche et surtout me fait goûter mon jus.
Nous passons la nuit à baiser. C'est une championne toutes
catégories de la baise. J'ai adoré ses façons.
C'est le matin et elle se demande ce que je fais faire d'elle. En guise
demande pour rester, elle se pose à cheval sur ma tête et ouvre bien
tout son con. Elle pose une main sur son bouton et se branle
longuement en jouissant encore plusieurs fois. Je ne peux
m'empêcher de m branler devant elle.
Je ne peux me débarrasser d'elle: elle baise trop bien. Je fais même
plus, je lui donne de l'argent en lui demandant de se conduire en
femme d'intérieur. Je pars et quand je rentre le soir, j'ai un petit
d'espoir de la revoir: elle et là, à coté de la table mise, mais nue. elle
me demande de la sucer encore et encore. Elle me dit qu'elle a été
faire des courses dans le quartier et qu'ensuite elle s'est beaucoup
branler sous la douche cette fois. Elle m'explique enfin qu'elle aime
trop baiser, ce qui la perdue quand un jour: un de ses amants la
mise dehors sans ressource. Si je veux, elle peut rester pour
s'occuper de mon intérieur à condition que nous baisions souvent,
ce qu'elle aime. Je lui dit oui et je vais plus loin: je lui demande si
pour se branler elle n'aimerait pas que je lui donne un godemiché.
Elle me saute au cou en me remerciant: elle aime se masturber
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire qui mériterai une suite. Dommage que les fautes cassent tout
Jolie histoire sortir une d f de la rue
si ces rencontres étaient fréquentes :plus de sdf dans la rue
Cé vré tro d'histouares sons nul à cosse dé fote : il fo qe cela chenge.......
Cette histoire pourrait être vraie.... mais que d'invraisemblances. De plus, le texte
est tellement mal rédigé et plein de fautes qu'il enlève tout plaisir et toute
excitation. M. Soulet faites un effort, relisez-vous avant de faire publier. Une
remarque au site : faites relire et corriger les textes....qui sont souvent un massacre
de la langue française. Si c'est à noter : 3 sur 10.
est tellement mal rédigé et plein de fautes qu'il enlève tout plaisir et toute
excitation. M. Soulet faites un effort, relisez-vous avant de faire publier. Une
remarque au site : faites relire et corriger les textes....qui sont souvent un massacre
de la langue française. Si c'est à noter : 3 sur 10.