La soirée d'Alysée
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La soirée d'Alysée
Romain, jeune cadre de vingt six ans, est invité chez son directeur, afin de décrocher un énorme contrat. Romain est accompagné d'Alysée, sa jeune et ravissante épouse âgée de vingt ans. Il lui est imposé une tenue sulfureuse. Minijupe à frange, et petit haut à fermeture éclair. Il y a Boris, autre jeune cadre, fils du directeur, et concurrent de Romain au sein de la société. Boris a un faible pour Alysée. Par contre, elle, n'est pas attirée par ce genre d'individu, qui ne manque pas la moindre occasion de ridiculiser son mari, sur le plan professionnel. Elle le déteste.
Boris est accompagné de son épouse Barbara, jolie brune de vingt sept ans. Ce qui devrait l'obligé a se tenir à carreaux. Directeurs et cadres, se retirent pour finaliser les contrats.
-Bonsoir Alysée, dit Barbara, çà va?
-Pourquoi çà irais pas, répond sèchement Alysée.
-Oh, calme toi. Ton mari t'a pas tirée aujourd'hui.
-Et toi, le tiens.
-Bien sur, poursuit Barbara. Je me suis faite mettre ses vingt centimètres de queue tout
l'après midi. Tu peux peut être en dire autant toi.
Alysée se sent honteuse. Elle préfère couper à la conversation, et s'éloigne.
"Putain, vingt centimètres, elle doit se régaler la salope. C'est sur qu'a côté, Romain est
un peu juste. Mais bon, j'aimerai bien voir".
La réunion se termine. Tout les invités se dirigent vers le buffet. Alysée rejoint son mari en grande discussion avec Boris. Elle ne peut s'empêcher de reluquer sur sa braguette. Effectivement, elle remarque une bosse plus importante que sur celle de Romain.
-Alors mon chéri, çà c'est bien passé?
-Bonsoir Alysée, dit Boris.
-Bonsoir répond-elle, en lui tournant le dos.
Romain prend son épouse par le bras, et la tire à l'écart.
-Essaie d'être cool avec lui ce soir. S'il te plait. Il va être nommé président de l'autre société
de son père. Il veut tout faire pour que ce soit moi qui signe le contrat. Tu te rend compte la
promotion.
-Et alors, jusque ou dois-je aller. Jusque dans son lit? Demande Alysée. J'espère que tu
n'y pense pas.
-Mais pas du tout, répond Romain. Juste un peu plus de gentillesse.
Le jeune couple retourne au buffet. Boris et Barbara sont à l'autre bout du bar, enlacés. Ils envoient des sourires en direction de Romain et Alysée. Puis Barbara s'éloigne de son mari. Alysée en profite pour rejoindre Boris.
-Excuse moi si j'ai été un peu dure tout à l'heure, dit-elle. Je suis un fatiguée en ce moment.
-Mais c'est pas grave, répond Boris. Tout le monde a des mauvais passages. Allez, on fait
la paix, on trinque.
Elle accepte en lui adressant un large sourire, puis rejoint son mari.
"Finalement, il est séduisant ce con. Je l'ai peut être mal jugé.
Les pontes se retirent une dernière fois pour les signatures définitives. Et c'est bien Romain qui a paraphé les contrats. Il sort avec un sourire de satisfaction. Il prend sa femme dans ses bras.
-Je suis fière de toi, dit-elle en l'embrassant. Tes efforts sont récompensés mon chéri.
-Grâce à Boris, poursuit Romain. Je crois que je vais arrosé çà.
-Vas-y doucement quand même, déçoit pas ta hiérarchie. Je veux pas finir seule.
-Oh, çà m'étonnerai qu'il n'y en pas un qui s'occupe de toi. Belle comme tu es.
Vers vingt trois heure, justement, les huiles prennent congé. Il ne reste plus que les jeunes cadres. On se lâche d'avantage. Romain commence à être sur les talons.
Boris est resté très sobre. Pas une goutte d'alcool. Il est appuyé contre un pilier, et sirote un jus d'orange. Cinquante centimètres devant lui, Alysée lui tourne le dos. Elle est en train de sermonner son mari. Boris ne peut s'empêcher de tendre une main entre ses jambes.
-Oh...oh...
-Que t'arrive-t-il ma chéri? Demande Romain.
-J'ai senti comme un truc entre mes cuisses.
-Tu vois bien. Toi aussi tu n'est plus lucide.
-Ouais, ne détourne pas la conversation. Je voulais simplement te dire que...Oh...oh...
-Mais quoi encore. Tu vas y arriver, s'impatiente Romain.
L'attaque de Boris se fait plus précise. Son doigt est en contact avec le string d'Alysée. Elle se retourne, et découvre le visage de son agresseur, qui fait mine de ne pas la voir. Elle a un sourire vicieux. Elle se recule vers le pilier, entrainant son mari avec elle. Elle est presque collé contre Boris.
-Tu prends les choses à la légères, rappelle-t-elle. J'ai senti un doigt qui me frotter l'entre
cuisses.
-Tu te fais des idées ma chérie. Et puis même, c'est pas grave.
-Comme tu veux. Ou en étions-nous? Oh putain, ce n'est plus un doigt, soupire Alysée.
En effet. Boris a sorti son énorme sexe en érection, puis écartant le string d'un doigt, l'a plaquée contre la chatte d'Alysée. Boris se rend compte que les lèvres sont légèrement humides.
-Ben, c'est quoi maintenant, une bite? Dit Romain.
-Oui, répond-elle. Et géante. Je sens le gland contre ma fente, oh mon dieu.
Alysée prend son mari par le revers de sa chemise, et le fixe dans les yeux.
-Aide moi mon chéri, je sens qu'elle me pénètre.
-Tu te fais des idées, répond Romain, enfin.
Alysée se cambre en arrière, les fesses offertes, les mai,s appuyées sur les épaules de son mari.
-Ha, çà y est. Je suis en train de me le faire mettre. Quelle queue. Je t'avais averti, chéri.
Maintenant je suis en train de me faire prendre, et devant toi en plus.
-Je ne suis pas en état de comprendre ce que tu me dis, bégaie Romain. Je vais
m'allonger un moment à l'intérieur.
De l'autre côté du bar, Barbara, tout sourire, discute avec une superbe brune. On ne voit que le haut de leur corps, cachés en partie par le comptoir. La jeune femme se pince les lèvres, ferme les yeux. On perçoit bien ce qu'elles se disent.
-Allez , sourit Barbara, ne te retiens pas. Tu sais bien que je vais t'avoir. Je sens tes lèvres
qui enflent. Et ton petit bouton, tu sens comme je te l'ai décalotté.
-Salope, gémit la jeune brune. Tu sais que j'aime me faire doigter. Tu es une experte pour
jouer avec une femme toi. Ho.., tu me fais jouir là, vas-y, chatte moi, oui....oui...
Barbara est attirée par des gémissements qui proviennent du côté du buffet. Elle se retourne, et malgré le pilier, devine qu'il se passe quelque chose d'intéressant. Elle s'approche sans bruit.
Alysée est penchée en avant, les mains appuyées contre le mur. Son string git à ses pieds. La fermeture du petit haut est ouverte. Ses seins, magnifiques, sautent au rythme des coups de reins de son partenaire. Elle a posé un pied sur une chaise, pour mieux offrir son intimité à la virilité de son agresseur .
Elle sent une main qui lui prend les cheveux, et qui lui soulève la tête.
-Te voilà plus docile, Jubile Barbara. Qu'est-ce-qu'il t'arrive.
-Je suis en train de prendre un coup de queue par ton mari, bafouille Alyseé en sanglots.
Il me fait râler ce salaud. Dis lui de ne pas s'arrêter, qu'il me fasse jouir. S'il te plait.
Barbara glisse une main entre les cuisses d'Alysée, et lui saisit le clitoris entièrement décalotté.
-A bon, répond-elle. Et moi, j'aurai quoi comme récompense. Tu as pas été gentille avec
moi tout à l'heure.
-Je te demande pardon, pleure Alysée. Je ferai ce que tu voudras. Mais dis lui qu'il me
finisse.
Le corps d'Alysée réagit à cent pour cent. En grand professionnel, Boris joue avec elle. Les va et vient dans le corps de la jeune femme varient. Tantôt mesurés, pour lui arracher quelques gémissements. Tantôt accélérer, pour la faire hurler de plaisir. Barbara est au anges.
-Ma pauvre chérie, torture-t-elle. C'est dur. Tu as envie de jouir, hein? Et tu voudrais que j'intervienne., C'est çà? D'accord, mais après, on va à la chambre toute les deux.
-Salope, soupire Alysée. Tu me tiens là. Je suis pas une lesbienne moi. Mais j'accepte.
-Vas-y Boris, fais la gueuler cette pute.
Une minute plus tard, Alysée, au bord de l'évanouissement, a un orgasme terrible. Elle est à deux doigts d'entrainer Boris au sol.
-Enfoiréééé... coommme ..tu me caaaillleee.....saaalaaauud..jee...joouuiiii.
Barbara fait rouler le bout des seins entre ses doigts, lui caresse les cheveux en souriant.
-Chut ma chéri, calme toi, c'est fini. On va aller s'allonger toutes les deux, tu veux bien?
Tu vas voir comme je vais t'aimer moi aussi.
-Hiiiiee, pleure Alysée, fais ce que tu veux. Tu crois qu'il voudra me le mettre encore?
-Si tu es sage, répond Barbara.
Barbara prend Alysée par la taille, et l'entraine vers la chambre.
Boris est accompagné de son épouse Barbara, jolie brune de vingt sept ans. Ce qui devrait l'obligé a se tenir à carreaux. Directeurs et cadres, se retirent pour finaliser les contrats.
-Bonsoir Alysée, dit Barbara, çà va?
-Pourquoi çà irais pas, répond sèchement Alysée.
-Oh, calme toi. Ton mari t'a pas tirée aujourd'hui.
-Et toi, le tiens.
-Bien sur, poursuit Barbara. Je me suis faite mettre ses vingt centimètres de queue tout
l'après midi. Tu peux peut être en dire autant toi.
Alysée se sent honteuse. Elle préfère couper à la conversation, et s'éloigne.
"Putain, vingt centimètres, elle doit se régaler la salope. C'est sur qu'a côté, Romain est
un peu juste. Mais bon, j'aimerai bien voir".
La réunion se termine. Tout les invités se dirigent vers le buffet. Alysée rejoint son mari en grande discussion avec Boris. Elle ne peut s'empêcher de reluquer sur sa braguette. Effectivement, elle remarque une bosse plus importante que sur celle de Romain.
-Alors mon chéri, çà c'est bien passé?
-Bonsoir Alysée, dit Boris.
-Bonsoir répond-elle, en lui tournant le dos.
Romain prend son épouse par le bras, et la tire à l'écart.
-Essaie d'être cool avec lui ce soir. S'il te plait. Il va être nommé président de l'autre société
de son père. Il veut tout faire pour que ce soit moi qui signe le contrat. Tu te rend compte la
promotion.
-Et alors, jusque ou dois-je aller. Jusque dans son lit? Demande Alysée. J'espère que tu
n'y pense pas.
-Mais pas du tout, répond Romain. Juste un peu plus de gentillesse.
Le jeune couple retourne au buffet. Boris et Barbara sont à l'autre bout du bar, enlacés. Ils envoient des sourires en direction de Romain et Alysée. Puis Barbara s'éloigne de son mari. Alysée en profite pour rejoindre Boris.
-Excuse moi si j'ai été un peu dure tout à l'heure, dit-elle. Je suis un fatiguée en ce moment.
-Mais c'est pas grave, répond Boris. Tout le monde a des mauvais passages. Allez, on fait
la paix, on trinque.
Elle accepte en lui adressant un large sourire, puis rejoint son mari.
"Finalement, il est séduisant ce con. Je l'ai peut être mal jugé.
Les pontes se retirent une dernière fois pour les signatures définitives. Et c'est bien Romain qui a paraphé les contrats. Il sort avec un sourire de satisfaction. Il prend sa femme dans ses bras.
-Je suis fière de toi, dit-elle en l'embrassant. Tes efforts sont récompensés mon chéri.
-Grâce à Boris, poursuit Romain. Je crois que je vais arrosé çà.
-Vas-y doucement quand même, déçoit pas ta hiérarchie. Je veux pas finir seule.
-Oh, çà m'étonnerai qu'il n'y en pas un qui s'occupe de toi. Belle comme tu es.
Vers vingt trois heure, justement, les huiles prennent congé. Il ne reste plus que les jeunes cadres. On se lâche d'avantage. Romain commence à être sur les talons.
Boris est resté très sobre. Pas une goutte d'alcool. Il est appuyé contre un pilier, et sirote un jus d'orange. Cinquante centimètres devant lui, Alysée lui tourne le dos. Elle est en train de sermonner son mari. Boris ne peut s'empêcher de tendre une main entre ses jambes.
-Oh...oh...
-Que t'arrive-t-il ma chéri? Demande Romain.
-J'ai senti comme un truc entre mes cuisses.
-Tu vois bien. Toi aussi tu n'est plus lucide.
-Ouais, ne détourne pas la conversation. Je voulais simplement te dire que...Oh...oh...
-Mais quoi encore. Tu vas y arriver, s'impatiente Romain.
L'attaque de Boris se fait plus précise. Son doigt est en contact avec le string d'Alysée. Elle se retourne, et découvre le visage de son agresseur, qui fait mine de ne pas la voir. Elle a un sourire vicieux. Elle se recule vers le pilier, entrainant son mari avec elle. Elle est presque collé contre Boris.
-Tu prends les choses à la légères, rappelle-t-elle. J'ai senti un doigt qui me frotter l'entre
cuisses.
-Tu te fais des idées ma chérie. Et puis même, c'est pas grave.
-Comme tu veux. Ou en étions-nous? Oh putain, ce n'est plus un doigt, soupire Alysée.
En effet. Boris a sorti son énorme sexe en érection, puis écartant le string d'un doigt, l'a plaquée contre la chatte d'Alysée. Boris se rend compte que les lèvres sont légèrement humides.
-Ben, c'est quoi maintenant, une bite? Dit Romain.
-Oui, répond-elle. Et géante. Je sens le gland contre ma fente, oh mon dieu.
Alysée prend son mari par le revers de sa chemise, et le fixe dans les yeux.
-Aide moi mon chéri, je sens qu'elle me pénètre.
-Tu te fais des idées, répond Romain, enfin.
Alysée se cambre en arrière, les fesses offertes, les mai,s appuyées sur les épaules de son mari.
-Ha, çà y est. Je suis en train de me le faire mettre. Quelle queue. Je t'avais averti, chéri.
Maintenant je suis en train de me faire prendre, et devant toi en plus.
-Je ne suis pas en état de comprendre ce que tu me dis, bégaie Romain. Je vais
m'allonger un moment à l'intérieur.
De l'autre côté du bar, Barbara, tout sourire, discute avec une superbe brune. On ne voit que le haut de leur corps, cachés en partie par le comptoir. La jeune femme se pince les lèvres, ferme les yeux. On perçoit bien ce qu'elles se disent.
-Allez , sourit Barbara, ne te retiens pas. Tu sais bien que je vais t'avoir. Je sens tes lèvres
qui enflent. Et ton petit bouton, tu sens comme je te l'ai décalotté.
-Salope, gémit la jeune brune. Tu sais que j'aime me faire doigter. Tu es une experte pour
jouer avec une femme toi. Ho.., tu me fais jouir là, vas-y, chatte moi, oui....oui...
Barbara est attirée par des gémissements qui proviennent du côté du buffet. Elle se retourne, et malgré le pilier, devine qu'il se passe quelque chose d'intéressant. Elle s'approche sans bruit.
Alysée est penchée en avant, les mains appuyées contre le mur. Son string git à ses pieds. La fermeture du petit haut est ouverte. Ses seins, magnifiques, sautent au rythme des coups de reins de son partenaire. Elle a posé un pied sur une chaise, pour mieux offrir son intimité à la virilité de son agresseur .
Elle sent une main qui lui prend les cheveux, et qui lui soulève la tête.
-Te voilà plus docile, Jubile Barbara. Qu'est-ce-qu'il t'arrive.
-Je suis en train de prendre un coup de queue par ton mari, bafouille Alyseé en sanglots.
Il me fait râler ce salaud. Dis lui de ne pas s'arrêter, qu'il me fasse jouir. S'il te plait.
Barbara glisse une main entre les cuisses d'Alysée, et lui saisit le clitoris entièrement décalotté.
-A bon, répond-elle. Et moi, j'aurai quoi comme récompense. Tu as pas été gentille avec
moi tout à l'heure.
-Je te demande pardon, pleure Alysée. Je ferai ce que tu voudras. Mais dis lui qu'il me
finisse.
Le corps d'Alysée réagit à cent pour cent. En grand professionnel, Boris joue avec elle. Les va et vient dans le corps de la jeune femme varient. Tantôt mesurés, pour lui arracher quelques gémissements. Tantôt accélérer, pour la faire hurler de plaisir. Barbara est au anges.
-Ma pauvre chérie, torture-t-elle. C'est dur. Tu as envie de jouir, hein? Et tu voudrais que j'intervienne., C'est çà? D'accord, mais après, on va à la chambre toute les deux.
-Salope, soupire Alysée. Tu me tiens là. Je suis pas une lesbienne moi. Mais j'accepte.
-Vas-y Boris, fais la gueuler cette pute.
Une minute plus tard, Alysée, au bord de l'évanouissement, a un orgasme terrible. Elle est à deux doigts d'entrainer Boris au sol.
-Enfoiréééé... coommme ..tu me caaaillleee.....saaalaaauud..jee...joouuiiii.
Barbara fait rouler le bout des seins entre ses doigts, lui caresse les cheveux en souriant.
-Chut ma chéri, calme toi, c'est fini. On va aller s'allonger toutes les deux, tu veux bien?
Tu vas voir comme je vais t'aimer moi aussi.
-Hiiiiee, pleure Alysée, fais ce que tu veux. Tu crois qu'il voudra me le mettre encore?
-Si tu es sage, répond Barbara.
Barbara prend Alysée par la taille, et l'entraine vers la chambre.
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