La vengeance de Sophie. 2 - histoire érotique

De nombreuses personnes me demandent une suite aux aventures de Sophie. Je vais donc répondre à leur attente.
Petit rappel : Sophie a cédé au meilleur ami de son mari Damien pendant des vacances d’été.
Antoine s’est révélé un merveilleux amant mais elle a tout avoué à son mari. Il a paru furieux mais elle s’est rendue compte qu’il adorait la voir se faire baiser par d’autres hommes, l’espionnant même d’une autre pièce. Même quand elle a cédé au bel interne à son travail, son mari était au courant et échangeait avec son amant Julien de ce qu’il lui ferait subir. Sophie se pose même la question si ce n’est pas son mari qui a tout organisé.
Elle a tout retrouvé dans l’ordinateur de Damien et pour se venger, a contacté un inconnu sur les sites que regardait son mari pour se venger de sa perversion sans que pour une fois il ne soit avertit qu’elle lui faisait porter les cornes. (Voir ; ma découverte du candaulisme ; Sophie et le jeune interne ; Sophie s’émancipe).

La vengeance de Sophie.2
Suite :-Goute salope !

Il commence à téter ce biberon au gland énorme, comme un bonbon délicieusement parfumé à la testostérone. Elle saisit la tête de mon mari et enfonce sa bite dans la bouche sans ménagement, commençant à faire des va-et-vient profonds. Je lui fais remarquer, ironique :
-Pour une fois tu n’es pas derrière ton écran à mater. Et Eloïse est carrément mieux membrée que toi. Et d’après ce que je voie, il ne t’a pas fallu longtemps pour que ton caractère de « chienne en chaleur » ne remonte à la surface !

Il fait plus que sucer, il se délecte à lécher et embrasser cette formidable queue sur toute sa longueur, la caressant de ses deux mains liées avec plaisir, paradoxalement sa queue débande au fur et à mesure que son esprit ne pense plus qu’à celle qui lui titille le fond de la gorge.
Mais Eloïse le repousse et reprend sa place entre les cuisses de mon homme qui réalise qu’il va se faire enculer pour la première fois par une vraie bite.
La shemale enfonce sa verge sans plus de ménagement dans l’anus de Damien qui ne peut s’empêcher de pousser un cri que j’étouffe en introduisant l’extrémité de mon gode-ceinture dans sa bouche. Le problème, c’est que comme ça, je ne ressens rien. Je retire vite fait cet artifice pour que sa bouche ait ma chatte à brouter. Ah ! Là c’est beaucoup mieux pour mon propre plaisir.

J’éprouve une énorme satisfaction, c’est bon, trop bon même sauf que Damien a de la difficulté à s’appliquer car la shemale donne de violents coups de bite qui le fait tressauter. Toutes ces sensations me mènent à la jouissance.
Après une longue séance d’enculage, Eloïse, sentant monter le plaisir, vient à mes cotés pour donner à traire à Damien sa verge prête à jouir. Le spectacle et incroyable. Ce corps de femme avec cet organe mâle bouscule dans ma tête mes habitudes, mes certitudes sur le sexe entre homme et femme. Damien, dans un hoquet incoercible qui lui fait monter les larmes aux yeux, sent la bite dure gorgée de sang heurter le fond de sa gorge mais il continue à s’appliquer dans la succion de ce pal en essayant d’en modérer les ardeurs. Sa langue glisse et s’enroule le long de cette hampe tendue par cette formidable érection, titille le gland turgescent, l’aspire, le suçote, le lèche sans trêve jusqu'à ce que cette impérieuse verge commence à frémir en ressentant les prémices de l’explosion spermique. Damien se rend compte que la shemale est prête à gicler un flot de sperme.
Eloïse éjacule entre les lèvres de Damien qui se délecte du nectar qui coule en abondance dans sa bouche. Je suis surprise qu’il accepte si facilement de jouer le rôle de la femme soumise au mâle.

Nous faisons une pose pendant laquelle Damien n’arrête pas de discuter avec Eloïse, complètement conquis et comme hypnotisé par ce corps hybride aux courbes harmonieuses du coté femme et au service trois pièce qu’envieraient la plupart des hommes.
Sans même y prêter attention, Damien et la shemale se prennent mutuellement la bite en main et masturbent l’autre.

Une fois que chacun (chacune ?) ait retrouvé la pleine forme, Eloïse me couche sur le dos, redresse mes jambes qu’elle appuie sur ses épaules et me sodomise en branlant Damien pendant qu’il me masturbe la vulve, elle peut désormais faire entrer et sortir toute la longueur sans retenue de son admirable verge. J’ai peur pour mon cul. La scène est inoubliable quand enfin il encule la femme à bite en train de me sodomiser.
La trans accentue le mouvement de va et vient alors que mon mari la besogne bestialement dans son arrière-train à grands coups de reins. Je ne peux que subir et je vois qu’Eloïse trouve du plaisir entre les deux faces de notre couple, me prenant toute entière, s’activant encore entre deux poussées de Damien. L’hermaphrodite ondule du bassin pour l’encourager encore plus, faisant battre ses couilles presque contre les siennes. Les seins lourds d’Eloïse tressautent au rythme de la chevauchée de Damien qui possède maintenant tendrement notre maîtresse commune.
Je suis très excitée par la situation, c’est la première d’une longue série de trios que nous ferons dorénavant si Damien est d’accord pour ce « ménage à trois ».
J’adore qu’elle me prenne alors qu’elle-même est prise analement par mon homme et on dirait qu’elle adore être prise en sandwich. Elle m’encule comme une dingue. Elle pompe sa queue en moi et ressort d’un coup sec. Elle me pilonne, je ne peux rien faire pour stopper la barre de chair qui se fraie son chemin. Elle sort de mon cul et se branle frénétiquement. Un torrent de foutre en giclées épaisses et fournies, s’écrase sur ma fente et mon bas-ventre. Eloïse vient recueillir son sperme avec un doigt et me le fait goûter. Un yaourt épais, poivré, testostéroné. Sa bite est moins dure, mais toujours de belle taille.

-J’espère que tu as apprécié, à toi maintenant de me donner ta jute.

Eloïse fourre ses doigts dans mon cul détruit, me fistant avec trois doigts sans ménagement en un mouvement circulaire qui dilate ma chair en profondeur. Elle tente avec quatre doigts mais ça ne passe pas du tout. Elle revient à trois mais les pousse encore plus profond.

-Je vais te doigter jusqu’à ce que tu jutes comme une truie !

Je gicle sous sa branlette anale d’une abondante mouille tandis que Damien vient épancher sa queue dans ma bouche, mais loin de la quantité de l’Anaconda d’Eloïse. Je me retrouve vidée de mon énergie quand elle finit de me brouter la chatte pour recueillir ma mouille.

Eloïse est partie, je demande à Damien s’il a aimé ma surprise.

-Oh que oui ! On recommence quand tu veux, c’est encore plus jouissif que de t’espionner en train de t’envoyer en l’air avec des inconnus. Et bizarrement avec Eloïse, je ne la vois pas comme l’amant de ma femme. C’est NOTRE Maîtresse !

Fin