La vengeance, un plat qui se mange froid
Récit érotique écrit par Titou80 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
La vengeance, un plat qui se mange froid
Suite de la vidéo (1 et 2)
En rentrant, je lui ai demandé si cela faisait longtemps qu’elle mijotait son expédition à Paris.
Elle répondit que oui, rapidement elle avait eu envie de se faire remplir à nouveau. Elle avait apprécié se faire donner par plusieurs hommes à la fois, étant actrice de l’événement entourée de mâles bien attentionnés. Elle avait gardé le numéro de Philippe, avec qui elle m’a avoué avoir échangé des textos coquins. Le black avait été une surprise, mais pour la tenue, elle était passée au sex shop pour essayer différentes tenues et s’acheter le rosebud de la vidéo. Ces révélations me surprirent, moi qui n’avait rien vu venir.
« J’espère que tu as aimé mon chéri ? » s’enquit elle rapidement.
« Tu me mets devant le fait accompli, tu comprendras ma réserve. Tiens, j’ai moi aussi giclé dans ta culotte.
Je te demande de la mettre demain en allant au travail. » Mon ton plus affirmé ne lui laisse guère le choix.
« D’accord mon amour, je me caresserai avec pendant la pause’’ Je feignais l’indifférence, je reprenais le dessus depuis sa métamorphose de l’été passé. Le soir, elle me dit :« Tu sais, je me suis caressée deux fois dans la journée, cela a été très excitant, j’avais peur de me faire surprendre par mes patrons. » Elle retire sa culotte et me la montre. Elle est recouverte de traces multiples.
« Nettoies avec ta bouche » lui dis-je d’un ton sec. Elle s’exécute et finit par me tailler une pipe en guise d’excuses.
Dans la semaine, je prends contact avec un couple d’amis que je sais libertin et leur propose de nous voir. Moi aussi, je prétexte une formation professionnelle pour aller dormir chez nos amis. Une fois sur place, Amélie et Paul me mettent rapidement à l’aise en me proposant un apéro. Rapidement, j’oriente le sujet de conversation sur le sexe en les questionnant sur leurs pratiques.
« Dis donc, tu m’as l’air bien curieux Antoine ce soir ? Aurais-tu une idée derrière la tête ? ». Il faut dire que sa femme est charmante, une brune à la peau mate, portant toujours des petites tenues avec une poitrine plus que généreuse. Elle porte un short en jean ultra-court moulant un cul parfait, avec un haut jaune flashy sans soutien gorge. C’est alors que je commence à raconter notre histoire de l’été dernier, ma femme sans culotte, sa danse avec le plug anal devant des inconnus, le retour avec la halte sur l’aire d’autoroute et enfin la vidéo récente.
Ils sont sciés !
« Je n’arrive pas à croire ce que tu me racontes sur Clémence » me dit Amélie. Là, je décide de sortir le caméscope de mon sac et le branche à la télé. Nous démarrons la vidéo et rapidement, l’atmosphère change radicalement. Pendant que ma femme se fait prendre dans une tenue de pute, nous reprenons la conversation.
« Ta femme est magnifique, il faut que nous organisions quelque chose ensemble » me dit Paul.
« Si tu regardes jusqu’au bout, tu comprendras ce qu’elle cherche ». Une fois que le premier homme a éjaculé dans sa coupe de champagne il comprend. Sa femme renchérit, la main dans son short ouvert:« C’est une vraie salope. Elle me donne envie. Messieurs, ce soir, vous allez devoir vous occuper de moi ». Et elle commence à sucer son mari après avoir retiré son short et sa culotte.
Je dis alors :« Il nous faut un réceptacle pour le sperme, je vais faire une surprise à ma femme ». Je vois qu’Amélie fait la tête car je vois bien qu’elle voudrais tout garder pour elle. Paul intervient :« Ma chérie, on va s’occuper de toi ne t’inquiète pas ». Il part à la cuisine et va chercher un petit bol. Pendant ce temps, Amélie, m’a ouvert le pantalon et à commencé à me sucer.
Paul rentre dans la pièce avec un bol et le pose sur la table basse. Amélie se penche en avant et offre son cul abricot à son mari. Il arrête la vidéo et attrape le caméscope. Il se met à filmer avec comme premier plan le cul de sa femme. Pendant ce temps, elle continue de me pomper. Il fait le tour pour filmer en gros plan. Amélie me lance des regards improbables, sa frange lui donnant un véritable air de pute. Elle s’agenouille, retire son haut et cale ma bite entre ses seins. Elle crache alors pour lubrifier le canyon et entame une branlette espagnole.
Cette vision m’excite et je jouis à grosses giclées sur son menton et le haut de sa poitrine. Elle va pour me nettoyer le gland avec la bouche quand Paul interromps la scène par un « Non, il faut garder cela pour Clémence !» et racle du doigt l’ensemble de ma semence pour la mettre dans le petit bol. Amélie est chaude et se jette sur son mari, le déshabille et s’installe en amazone sur lui. Ils font l’amour pendant que je filme en alternant les plans. Amélie est en furie, elle se lève et change de trou. Assurément, elle s’assied sur la tige de son mari, la bite dans le cul et continue ses mouvements du bassin. Elle se doigte sauvagement. Un tel rythme ne peut pas être soutenu trop longtemps et Paul éjacule dans le cul de sa femme en lui agrippant les fesses tandis qu’un râle rauque sort de la bouche d’Amélie qui finit par s’effondrer contre le visage de Paul. Ils se séparent et nous buvons un coup. La vidéo continue de tourner. Nos bites molles reprennent rapidement de l’allure sous les massages experts d’Amélie qu’elle suce de façon alternée. Tour à tour, nous éjaculons dans le bol. Amélie pose alors le petit réceptacle devant la caméra et s’accroupit devant l’objectif, la rondelle en gros plan. Elle pousse et un liquide jaunâtre sort de son cul et finit dans le bol.
Je regarde le caméscope et dit :« Tu vas te régaler ma chérie » et coupe l’appareil.
Je remercie mes amis et mets le bol sous cellophane au frigo. Le lendemain, je passe acheterdes Saint-Jacques, plat qu’adore ma femme, et fait mariner une portion dans le bol. Le soir venu, je pose le caméscope et me filme en train de préparer deux verrines assaisonnées différemment, en utilisant le fond de jus pour agrémenter sa marinade. Je couvre le tout de citron, pour ne pas que le goût soit trop prononcé. Je goûte, le goût acre est présent mais suffisamment discret pour ne pas révéler la supercherie. Au moment de passer à table, je lui sers la verrine gourmande:« Ma chérie, je nous ai préparé des Saint-Jacques ce soir ».
« Tu es un amour ! ». Je la regarde déguster sa verrine avec délectation. En arrivant dans la chambre, le caméscope est branché sur la télévision. Elle s’allonge et commence à lire son livre quand je lance la vidéo. Elle regarde d’un air interloqué ce qui s’apparente d’abord à un film de cul, puis elle reconnaît Amélie et mon sexe.
« Tu es un salaud ! ».
« Tu exagères, c’est toi qui a commencé ! ». Elle regarde le film jusqu’à la fin, en voyant la scène de la préparation des verrines.
« Tu es dégueulasses, tu peux te brosser avant que je te resuce à nouveau ! ». J’argumente que je pensais lui faire plaisir, mais il semble que je sois allé trop loin. Je m’excuse platement mais elle éteint la lumière dans un « bonne nuit » sec et froid.
Qu’avais-je fait ?
En rentrant, je lui ai demandé si cela faisait longtemps qu’elle mijotait son expédition à Paris.
Elle répondit que oui, rapidement elle avait eu envie de se faire remplir à nouveau. Elle avait apprécié se faire donner par plusieurs hommes à la fois, étant actrice de l’événement entourée de mâles bien attentionnés. Elle avait gardé le numéro de Philippe, avec qui elle m’a avoué avoir échangé des textos coquins. Le black avait été une surprise, mais pour la tenue, elle était passée au sex shop pour essayer différentes tenues et s’acheter le rosebud de la vidéo. Ces révélations me surprirent, moi qui n’avait rien vu venir.
« J’espère que tu as aimé mon chéri ? » s’enquit elle rapidement.
« Tu me mets devant le fait accompli, tu comprendras ma réserve. Tiens, j’ai moi aussi giclé dans ta culotte.
Je te demande de la mettre demain en allant au travail. » Mon ton plus affirmé ne lui laisse guère le choix.
« D’accord mon amour, je me caresserai avec pendant la pause’’ Je feignais l’indifférence, je reprenais le dessus depuis sa métamorphose de l’été passé. Le soir, elle me dit :« Tu sais, je me suis caressée deux fois dans la journée, cela a été très excitant, j’avais peur de me faire surprendre par mes patrons. » Elle retire sa culotte et me la montre. Elle est recouverte de traces multiples.
« Nettoies avec ta bouche » lui dis-je d’un ton sec. Elle s’exécute et finit par me tailler une pipe en guise d’excuses.
Dans la semaine, je prends contact avec un couple d’amis que je sais libertin et leur propose de nous voir. Moi aussi, je prétexte une formation professionnelle pour aller dormir chez nos amis. Une fois sur place, Amélie et Paul me mettent rapidement à l’aise en me proposant un apéro. Rapidement, j’oriente le sujet de conversation sur le sexe en les questionnant sur leurs pratiques.
« Dis donc, tu m’as l’air bien curieux Antoine ce soir ? Aurais-tu une idée derrière la tête ? ». Il faut dire que sa femme est charmante, une brune à la peau mate, portant toujours des petites tenues avec une poitrine plus que généreuse. Elle porte un short en jean ultra-court moulant un cul parfait, avec un haut jaune flashy sans soutien gorge. C’est alors que je commence à raconter notre histoire de l’été dernier, ma femme sans culotte, sa danse avec le plug anal devant des inconnus, le retour avec la halte sur l’aire d’autoroute et enfin la vidéo récente.
Ils sont sciés !
« Je n’arrive pas à croire ce que tu me racontes sur Clémence » me dit Amélie. Là, je décide de sortir le caméscope de mon sac et le branche à la télé. Nous démarrons la vidéo et rapidement, l’atmosphère change radicalement. Pendant que ma femme se fait prendre dans une tenue de pute, nous reprenons la conversation.
« Ta femme est magnifique, il faut que nous organisions quelque chose ensemble » me dit Paul.
« Si tu regardes jusqu’au bout, tu comprendras ce qu’elle cherche ». Une fois que le premier homme a éjaculé dans sa coupe de champagne il comprend. Sa femme renchérit, la main dans son short ouvert:« C’est une vraie salope. Elle me donne envie. Messieurs, ce soir, vous allez devoir vous occuper de moi ». Et elle commence à sucer son mari après avoir retiré son short et sa culotte.
Je dis alors :« Il nous faut un réceptacle pour le sperme, je vais faire une surprise à ma femme ». Je vois qu’Amélie fait la tête car je vois bien qu’elle voudrais tout garder pour elle. Paul intervient :« Ma chérie, on va s’occuper de toi ne t’inquiète pas ». Il part à la cuisine et va chercher un petit bol. Pendant ce temps, Amélie, m’a ouvert le pantalon et à commencé à me sucer.
Paul rentre dans la pièce avec un bol et le pose sur la table basse. Amélie se penche en avant et offre son cul abricot à son mari. Il arrête la vidéo et attrape le caméscope. Il se met à filmer avec comme premier plan le cul de sa femme. Pendant ce temps, elle continue de me pomper. Il fait le tour pour filmer en gros plan. Amélie me lance des regards improbables, sa frange lui donnant un véritable air de pute. Elle s’agenouille, retire son haut et cale ma bite entre ses seins. Elle crache alors pour lubrifier le canyon et entame une branlette espagnole.
Cette vision m’excite et je jouis à grosses giclées sur son menton et le haut de sa poitrine. Elle va pour me nettoyer le gland avec la bouche quand Paul interromps la scène par un « Non, il faut garder cela pour Clémence !» et racle du doigt l’ensemble de ma semence pour la mettre dans le petit bol. Amélie est chaude et se jette sur son mari, le déshabille et s’installe en amazone sur lui. Ils font l’amour pendant que je filme en alternant les plans. Amélie est en furie, elle se lève et change de trou. Assurément, elle s’assied sur la tige de son mari, la bite dans le cul et continue ses mouvements du bassin. Elle se doigte sauvagement. Un tel rythme ne peut pas être soutenu trop longtemps et Paul éjacule dans le cul de sa femme en lui agrippant les fesses tandis qu’un râle rauque sort de la bouche d’Amélie qui finit par s’effondrer contre le visage de Paul. Ils se séparent et nous buvons un coup. La vidéo continue de tourner. Nos bites molles reprennent rapidement de l’allure sous les massages experts d’Amélie qu’elle suce de façon alternée. Tour à tour, nous éjaculons dans le bol. Amélie pose alors le petit réceptacle devant la caméra et s’accroupit devant l’objectif, la rondelle en gros plan. Elle pousse et un liquide jaunâtre sort de son cul et finit dans le bol.
Je regarde le caméscope et dit :« Tu vas te régaler ma chérie » et coupe l’appareil.
Je remercie mes amis et mets le bol sous cellophane au frigo. Le lendemain, je passe acheterdes Saint-Jacques, plat qu’adore ma femme, et fait mariner une portion dans le bol. Le soir venu, je pose le caméscope et me filme en train de préparer deux verrines assaisonnées différemment, en utilisant le fond de jus pour agrémenter sa marinade. Je couvre le tout de citron, pour ne pas que le goût soit trop prononcé. Je goûte, le goût acre est présent mais suffisamment discret pour ne pas révéler la supercherie. Au moment de passer à table, je lui sers la verrine gourmande:« Ma chérie, je nous ai préparé des Saint-Jacques ce soir ».
« Tu es un amour ! ». Je la regarde déguster sa verrine avec délectation. En arrivant dans la chambre, le caméscope est branché sur la télévision. Elle s’allonge et commence à lire son livre quand je lance la vidéo. Elle regarde d’un air interloqué ce qui s’apparente d’abord à un film de cul, puis elle reconnaît Amélie et mon sexe.
« Tu es un salaud ! ».
« Tu exagères, c’est toi qui a commencé ! ». Elle regarde le film jusqu’à la fin, en voyant la scène de la préparation des verrines.
« Tu es dégueulasses, tu peux te brosser avant que je te resuce à nouveau ! ». J’argumente que je pensais lui faire plaisir, mais il semble que je sois allé trop loin. Je m’excuse platement mais elle éteint la lumière dans un « bonne nuit » sec et froid.
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