Une métamorphose inattendue (suite)
Récit érotique écrit par Titou80 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une métamorphose inattendue (suite)
Le lendemain matin, je suis réveillé par le bruit de la douche. Je vois ma femme en train de se savonner et je repense à la soirée que nous venons de passer. Immédiatement, l’excitation me reprend et je compte bien transformer l’essai d’hier soir par une galipette. Je me déshabille et vais ouvrir la porte de la douche quand j’entends, « non pas maintenant mon chéri, il nous faut rendre la location dans une heure et il nous faut tout nettoyer, surtout le sperme que tu n’as pas réussi à piéger hors de mon cul sur le tapis ». La teneur crue du discours me surprend, mais le ton directif me remet sur le droit chemin. Je m’habille donc et commence le ménage. En sortant de la douche, j’insiste pour que Clémence me taille une pipe, ce qu’elle refuse en me glissant un « recharge tes batteries pour plus tard ». Je comprends alors qu’un déclic a eu lieu et que les choses vont certainement changer à l’avenir. Cette idée m’enthousiasme et une excitation latente s’installe en moi alors que nous finissons le ménage.
Nous rendons la maison, les traces de nos forfaits encore légèrement visible.
Nous repartons, la voiture chargée. J’aborde le sujet d’hier soir en lui disant que cela m’avait beaucoup plus et que la voir se faire prendre m’avait excité, chose que je n’aurais pas imaginé. Elle me confie qu’elle avait depuis longtemps eu envie de se faire prendre par plusieurs hommes, et surtout par des sexes plus gros que le mien. Cela me vexe, mais elle me rassure en me soufflant un « je t’aime » des premiers instants. Sur la route, la clim peine à maintenir une température supportable, et je lorgne sur la jupe de ma femme en imaginant l’arrivée à la maison. Elle le voit et écarte les cuisses. Elle sort un « il crève de chaud ici » et retire sa culotte et la pose sur le tableau de bord. La circulation est dense, et je sais très bien que dans un ralentissement, sa culotte blanche à dentelle jurant avec le noir de l’habitacle sautera aux yeux du camionneur attentif. Je lui demande bêtement « Que fais-tu ? ». Elle me répond « ben tu vois bien je m’aère la chatte ! » et elle remonte sa jupe complètement de telle façon que je discerne clairement les poils de son minou. Le caractère encore une fois affirmé et jusque-là inconnu de ma femme me glace le sang tout en me procurant une demi gaule.
Elle commence à se lécher les doigts de la main droite, tout en se caressant de l’autre main.
C’est alors que subitement, elle ouvre la boîte à gants, attrape le vaporisateur d’eau et se badigeonne copieusement la chatte et le visage. Elle coupe la clim et ouvre sa fenêtre. Je lui dis « tu vas me rendre fou ! ». Elle me répond : « c’est bien le but mon chéri, il faut que tu aies les couilles bien pleines pour ce soir ! ». Les perles du spray se confondent maintenant avec sa sueur. Ce qui devait arriver arriva, la circulation ralentit et nous voilà à côté d’un camionneur qui tout d’abord ne capte pas la situation torride de la voiture qu’il a à côté de lui.
Roulant à faible allure, ma femme dévisage littéralement l’heureux élu en s’essuyant le visage avec sa culotte. Après un bref regard, le chauffeur ayant réalisé se maintien à notre hauteur, ce qui n’est pas compliqué vue l’allure de notre voiture. Un jeu de théâtre prend place, ma femme se caresse le minou avec sa culotte puis, tout en fixant le camionneur, l’ouvre de ses deux mains et lèche la partie sensée couvrir son intimité. Heureusement la circulation ralentit encore jusqu’à l’arrêt pour ne pas rendre le petit jeu trop dangereux et pour que je puisse au passage en profiter un peu. Elle repose délicatement la culotte sur le tableau de bord afin de bien distinguer la forme si évocatrice puis entame une masturbation soutenue après avoir avancé son bassin au maximum. Rapidement vient l’orgasme, le camionneur ne rate rien du spectacle. Retombant en arrière du siège, ma femme s’essuie le visage avec la main utilisée pour sa masturbation. J’ai le jean prêt à exploser. La voiture de devant avance et me voilà contraint de repartir. Ma femme fait un coucou à son spectateur qui avait tout filmé avec son smartphone. Je lâche « le salaud, il a tout filmé ! ». « Pas grave, il s’en resservira comme ça » répond-elle. Pouce vers le haut, il la salue et mimant une fellation, ce qu’elle me rapporte. Je lui demande :« Ca te tente ? » .
« Pourquoi pas ? » me dit-elle en me regardant avec un air coquin.
« Mets-toi devant et sors à la prochaine aire, on verra bien s’il est couillu », ce que je fais immédiatement.
Je mets le clignotant à la prochaine aire et je vois qu’il fait de même. Nous nous garons sur les parkings pour poids lourds et nous ne tardons pas à être rejoint. À cette heure là, le parking est peu fréquenté, seuls deux camions sont garés hors de portée. L’homme descend du camion.
« Tu es sûre ma chérie ? » lui dis-je.
« Ca va, il a pas l’air méchant, je vais m’en occuper. Toi, reste là, je reviens ». Elle descend de la voiture et commence à discuter avec l’inconnu. Je vois que l’atmosphère est détendue, ma femme rigole, cela me rassure. L’homme monte dans son camion, et je vois ma femme me lâcher un sourire avant de monter à son tour. Que de chemin parcouru en si peu de temps ! Ma femme devient une vraie salope, et cela me plaît au plus haut point. Je suis cocu et j’aime ça, et le fait d’imaginer dans cette fournaise ce qu’il se passe plus haut me fait craquer. J’éjacule dans mon pantalon que je déboutonne rapidement pour profiter de la fin de l’orgasme qui m’a surpris. Un orgasme sans contact, purement intellectuel ! J’essuie mon abondante semence et laisse le mouchoir dégoulinant à portée de vue, devant le boîtier de vitesse, espérant créer l’évènement Peu après, Clémence descend du camion, avec un sourire en coin qu’elle a du mal à dissimuler. Ses cheveux son défaits. Elle s’installe et je vois que son haut est maculé de sperme et qu’elle ne porte plus son soutien gorge. La liqueur coule entre sa poitrine.
« Où est ton soutien gorge ? » lui dis-je« Je le lui ai laissé mais j’ai une surprise pour toi » répond-elle radieuse en me tendant son smartphone.
« Je lui ai demandé de tout filmer ». A côté, le camion repart, mon sang bat dans mes oreilles, je rebande à nouveau. Elle me montre la vidéo, je la vois saisir un membre épais et de bonne taille. L’homme ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche, elle manque de s’étouffer et remonte la tête. Une grosse quantité de sperme s’est échappée de sa bouche, celle que je vois sur son haut, mais tout en fixant la caméra, elle ouvre la bouche, se gargarise avec le reste et avale avec un regard malicieux. A la fin de la vidéo, elle m’embrasse à pleine bouche, je distingue clairement une odeur de virilité dans son haleine. Puis, elle voit le mouchoir souillé.
« Qu’est-ce que c’est ? » me demande-t-elle d’un air contrarié.
« Je n’ai pas tenu, tu vois, tu avais raison, j’ai rapidement refait le stock ».
Soudainement, l’ambiance a changé. « Tant pis pour toi, j’avais fait tout cela pour toi ce soir, tu n’auras rien puisque tu n’as pas besoin de moi. On rentre maintenant ». Comprenant que j’avais fait une bêtise, je tente de rattraper le coup. « Je suis désolé, mais c’était incontrôlable.
Dis-moi ce que je peux faire pour m’excuser ». Elle me répond alors« nettoie moi avec la bouche ! » « Ah non pas ça ! »« C’est ça ou rien avant un bon moment. Avec tout ce que j’ai fait pour nous ce soir, et tu viens tout gâcher. » Je comprends que je n’ai pas le choix. Je m’approche et commence à lécher le sperme sur sa peau. « Non, le haut d’abord, je veux qu’il soit niquel ». Je m’exécute et aspire le tissu tout en l’humectant abondamment. Un goût âcre et soutenu se diffuse alors sur mon palais. Elle retire ensuite son haut, la voilà torse nu. « Finis maintenant ! » Ce que je fais. « C’est bon, maintenant, c’est excusé ? ». Elle me dit que non. « Je vais conduire pour rentrer, tu vas te glisser ton plug anal dans le cul et rester assis dessus jusqu’à la maison le jean ouvert, histoire que je puisse te masturber de temps en temps. Tu auras peut-être les couilles remplies de nouveau à la maison ». Elle se rhabille, je vais chercher l’objet dans le coffre et m’installe côté passager. Il exalte encore de la vielle une odeur coupable. Je baisse mon pantalon et lui dit « ça va me faire mal à sec ». « Utilise le vaporisateur » dit-elle agacée. Elle attrape le plug et le lèche après avoir bavé dessus. Elle me l’enfonce, sans difficulté et nous finissons le trajet ainsi, elle me branlant régulièrement pour me stimuler au maximum.
Arrivés à la maison, elle ne se fait pas prier et nous faisons l’amour rapidement. Toujours avec le plug dans le cul, je la lime en levrette. En me dit, « c’est bon mon chéri, vide toi sur mon cul ». Ce que je fais sans tarder.
« Enfonce-moi ton plug maintenant et lèche le reste ! ». Ce nouveau style directif me plaît. Je sors donc l’objet derrière, ce qui me confère une sensation très bizarre après tout ce temps. Je fais glisser l’objet sur les tâches gourmandes et fais pénétrer le plug jusqu’à la garde dans l’anus de ma femme. Nous nous embrassons longuement et elle me dit « tu as été courageux mon chéri, à moi de le garder jusqu’à ce soir ».
« Tu as été merveilleuse, je t’aime ». Après une tendre embrassade, nous vidons la voiture, nus. Je vois ses fesses rouler autour de l’objet de plaisir, ce qui me maintient une érection passive. Même pendant le repas, elle l’a gardé. En guise de dessert, elle m’a soutiré ce qui pouvait encore sortir de mes couilles et nous nous sommes couchés plus amoureux que jamais.
Les mois qui ont suivis vont être les plus chaud de mon existence.
Nous rendons la maison, les traces de nos forfaits encore légèrement visible.
Nous repartons, la voiture chargée. J’aborde le sujet d’hier soir en lui disant que cela m’avait beaucoup plus et que la voir se faire prendre m’avait excité, chose que je n’aurais pas imaginé. Elle me confie qu’elle avait depuis longtemps eu envie de se faire prendre par plusieurs hommes, et surtout par des sexes plus gros que le mien. Cela me vexe, mais elle me rassure en me soufflant un « je t’aime » des premiers instants. Sur la route, la clim peine à maintenir une température supportable, et je lorgne sur la jupe de ma femme en imaginant l’arrivée à la maison. Elle le voit et écarte les cuisses. Elle sort un « il crève de chaud ici » et retire sa culotte et la pose sur le tableau de bord. La circulation est dense, et je sais très bien que dans un ralentissement, sa culotte blanche à dentelle jurant avec le noir de l’habitacle sautera aux yeux du camionneur attentif. Je lui demande bêtement « Que fais-tu ? ». Elle me répond « ben tu vois bien je m’aère la chatte ! » et elle remonte sa jupe complètement de telle façon que je discerne clairement les poils de son minou. Le caractère encore une fois affirmé et jusque-là inconnu de ma femme me glace le sang tout en me procurant une demi gaule.
Elle commence à se lécher les doigts de la main droite, tout en se caressant de l’autre main.
C’est alors que subitement, elle ouvre la boîte à gants, attrape le vaporisateur d’eau et se badigeonne copieusement la chatte et le visage. Elle coupe la clim et ouvre sa fenêtre. Je lui dis « tu vas me rendre fou ! ». Elle me répond : « c’est bien le but mon chéri, il faut que tu aies les couilles bien pleines pour ce soir ! ». Les perles du spray se confondent maintenant avec sa sueur. Ce qui devait arriver arriva, la circulation ralentit et nous voilà à côté d’un camionneur qui tout d’abord ne capte pas la situation torride de la voiture qu’il a à côté de lui.
Roulant à faible allure, ma femme dévisage littéralement l’heureux élu en s’essuyant le visage avec sa culotte. Après un bref regard, le chauffeur ayant réalisé se maintien à notre hauteur, ce qui n’est pas compliqué vue l’allure de notre voiture. Un jeu de théâtre prend place, ma femme se caresse le minou avec sa culotte puis, tout en fixant le camionneur, l’ouvre de ses deux mains et lèche la partie sensée couvrir son intimité. Heureusement la circulation ralentit encore jusqu’à l’arrêt pour ne pas rendre le petit jeu trop dangereux et pour que je puisse au passage en profiter un peu. Elle repose délicatement la culotte sur le tableau de bord afin de bien distinguer la forme si évocatrice puis entame une masturbation soutenue après avoir avancé son bassin au maximum. Rapidement vient l’orgasme, le camionneur ne rate rien du spectacle. Retombant en arrière du siège, ma femme s’essuie le visage avec la main utilisée pour sa masturbation. J’ai le jean prêt à exploser. La voiture de devant avance et me voilà contraint de repartir. Ma femme fait un coucou à son spectateur qui avait tout filmé avec son smartphone. Je lâche « le salaud, il a tout filmé ! ». « Pas grave, il s’en resservira comme ça » répond-elle. Pouce vers le haut, il la salue et mimant une fellation, ce qu’elle me rapporte. Je lui demande :« Ca te tente ? » .
« Pourquoi pas ? » me dit-elle en me regardant avec un air coquin.
« Mets-toi devant et sors à la prochaine aire, on verra bien s’il est couillu », ce que je fais immédiatement.
Je mets le clignotant à la prochaine aire et je vois qu’il fait de même. Nous nous garons sur les parkings pour poids lourds et nous ne tardons pas à être rejoint. À cette heure là, le parking est peu fréquenté, seuls deux camions sont garés hors de portée. L’homme descend du camion.
« Tu es sûre ma chérie ? » lui dis-je.
« Ca va, il a pas l’air méchant, je vais m’en occuper. Toi, reste là, je reviens ». Elle descend de la voiture et commence à discuter avec l’inconnu. Je vois que l’atmosphère est détendue, ma femme rigole, cela me rassure. L’homme monte dans son camion, et je vois ma femme me lâcher un sourire avant de monter à son tour. Que de chemin parcouru en si peu de temps ! Ma femme devient une vraie salope, et cela me plaît au plus haut point. Je suis cocu et j’aime ça, et le fait d’imaginer dans cette fournaise ce qu’il se passe plus haut me fait craquer. J’éjacule dans mon pantalon que je déboutonne rapidement pour profiter de la fin de l’orgasme qui m’a surpris. Un orgasme sans contact, purement intellectuel ! J’essuie mon abondante semence et laisse le mouchoir dégoulinant à portée de vue, devant le boîtier de vitesse, espérant créer l’évènement Peu après, Clémence descend du camion, avec un sourire en coin qu’elle a du mal à dissimuler. Ses cheveux son défaits. Elle s’installe et je vois que son haut est maculé de sperme et qu’elle ne porte plus son soutien gorge. La liqueur coule entre sa poitrine.
« Où est ton soutien gorge ? » lui dis-je« Je le lui ai laissé mais j’ai une surprise pour toi » répond-elle radieuse en me tendant son smartphone.
« Je lui ai demandé de tout filmer ». A côté, le camion repart, mon sang bat dans mes oreilles, je rebande à nouveau. Elle me montre la vidéo, je la vois saisir un membre épais et de bonne taille. L’homme ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche, elle manque de s’étouffer et remonte la tête. Une grosse quantité de sperme s’est échappée de sa bouche, celle que je vois sur son haut, mais tout en fixant la caméra, elle ouvre la bouche, se gargarise avec le reste et avale avec un regard malicieux. A la fin de la vidéo, elle m’embrasse à pleine bouche, je distingue clairement une odeur de virilité dans son haleine. Puis, elle voit le mouchoir souillé.
« Qu’est-ce que c’est ? » me demande-t-elle d’un air contrarié.
« Je n’ai pas tenu, tu vois, tu avais raison, j’ai rapidement refait le stock ».
Soudainement, l’ambiance a changé. « Tant pis pour toi, j’avais fait tout cela pour toi ce soir, tu n’auras rien puisque tu n’as pas besoin de moi. On rentre maintenant ». Comprenant que j’avais fait une bêtise, je tente de rattraper le coup. « Je suis désolé, mais c’était incontrôlable.
Dis-moi ce que je peux faire pour m’excuser ». Elle me répond alors« nettoie moi avec la bouche ! » « Ah non pas ça ! »« C’est ça ou rien avant un bon moment. Avec tout ce que j’ai fait pour nous ce soir, et tu viens tout gâcher. » Je comprends que je n’ai pas le choix. Je m’approche et commence à lécher le sperme sur sa peau. « Non, le haut d’abord, je veux qu’il soit niquel ». Je m’exécute et aspire le tissu tout en l’humectant abondamment. Un goût âcre et soutenu se diffuse alors sur mon palais. Elle retire ensuite son haut, la voilà torse nu. « Finis maintenant ! » Ce que je fais. « C’est bon, maintenant, c’est excusé ? ». Elle me dit que non. « Je vais conduire pour rentrer, tu vas te glisser ton plug anal dans le cul et rester assis dessus jusqu’à la maison le jean ouvert, histoire que je puisse te masturber de temps en temps. Tu auras peut-être les couilles remplies de nouveau à la maison ». Elle se rhabille, je vais chercher l’objet dans le coffre et m’installe côté passager. Il exalte encore de la vielle une odeur coupable. Je baisse mon pantalon et lui dit « ça va me faire mal à sec ». « Utilise le vaporisateur » dit-elle agacée. Elle attrape le plug et le lèche après avoir bavé dessus. Elle me l’enfonce, sans difficulté et nous finissons le trajet ainsi, elle me branlant régulièrement pour me stimuler au maximum.
Arrivés à la maison, elle ne se fait pas prier et nous faisons l’amour rapidement. Toujours avec le plug dans le cul, je la lime en levrette. En me dit, « c’est bon mon chéri, vide toi sur mon cul ». Ce que je fais sans tarder.
« Enfonce-moi ton plug maintenant et lèche le reste ! ». Ce nouveau style directif me plaît. Je sors donc l’objet derrière, ce qui me confère une sensation très bizarre après tout ce temps. Je fais glisser l’objet sur les tâches gourmandes et fais pénétrer le plug jusqu’à la garde dans l’anus de ma femme. Nous nous embrassons longuement et elle me dit « tu as été courageux mon chéri, à moi de le garder jusqu’à ce soir ».
« Tu as été merveilleuse, je t’aime ». Après une tendre embrassade, nous vidons la voiture, nus. Je vois ses fesses rouler autour de l’objet de plaisir, ce qui me maintient une érection passive. Même pendant le repas, elle l’a gardé. En guise de dessert, elle m’a soutiré ce qui pouvait encore sortir de mes couilles et nous nous sommes couchés plus amoureux que jamais.
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