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Récit érotique écrit par Titou80 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2015 dans la catégorie Plus on est
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Suite de “une métamorphose inattendue”
Rapidement, le quotidien a repris le dessus, laissant nos épisodes lubriques derrière nous, tout en sachant qu’un profond changement avait eu lieu. Nos ébats étaient plus torrides qu’avant mais revenaient peu à peu dans la norme. Me femme avalait, se laisser enculer mais je voyais bien que cela devenait convenu. Je m’en satisfaisais, sachant que pour moi, la différence était devenue significative.
Un jour, ma femme m’annonce qu’elle doit se rendre sur Paris pour son travail. Elle est assistante de direction depuis 6 ans dans un entreprise de 5 associés, tous codirigeants. Elle doit préparer un séminaire me dit-elle. Le jour J, je la vois partir très classe, talon aiguille, jupe stricte noire par-dessus des collants couleur peau, chemisier blanc légèrement décolleté, et ses lunettes à monture noire glissés dans sa chevelure blonde tirée en chignon. Elle a mis un rouge à lèvre sobre qui accompagne son maquillage discret mais enchanteur, le tout arboré de petites perles blanches sur ses lobes d’oreille. Une vraie professionnelle me dis-je.
Le lendemain, je la vois rentrer exténuée. J’essaie de la convaincre de faire l’amour mais rien n’y fait. « Je suis morte, on verra demain ». Le lendemain, je reçois un texto dans l’après-midi « C’est l’anniversaire de Gaël (un copain de vacances de mon fils habitant vers chez ma belle famille), je récupère les enfants et nous dormons chez ma mère ce soir. Je m’occupe de tout.
A demain. Ta petite chatte ». Je suis un peu triste d’être à nouveau seul ce soir, mais pas le choix.
En arrivant chez moi, je vois notre caméscope relié à la TV avec un mot sur la table « Régale-toi mon amour ». Mon pouls s’accélère subitement et je branche l’appareil. Je vois ma femme habillée comme je l’ai vu partir, avec cependant quelques différences notables. Son rouge à lèvre est rouge vif. Son maquillage moins discret. Je ne connais pas le lieu, elle est dans une pièce qui ressemble à un salon d’appartement parisien. Elle s’adresse à la caméra avec une flûte de champagne à la main : « Mon chéri, j’avais gardé contact avec nos amis de cet été. Je leur ai proposé de remettre ça ce soir. Installe toi confortablement et regarde bien. Tchin tchin !». Je vois nos amis défiler et me saluer, le couple est présent lui aussi. Un acolyte black que je ne connais pas s’est joint à eux. Ils se lèvent tous pour trinquer devant le caméscope et je remarque que ma femme ne porte plus des bas couleur peau, mais des bas résille. Ils boivent tous cul sec. Et là, le spectacle commence.
Philippe embrasse ma femme goulûment, tandis que Kévin déboutonne le chemisier de Clémence. Rapidement, le chemisier se retrouve à terre, et je découvre que ma femme porte en fait une combinaison résille intégrale ! Ses seins sont mis en valeur d’une manière inconnue mais terriblement excitante. Kevin commence à lui malaxer la poitrine et je distingue les tétons de la coquine pointer au travers de son piège de tissu. Philippe entreprend alors de retirer la jupe de ma salope de femme et là encore, je découvre une vision terriblement érotique : la combinaison est ouverte au niveau de la chatte et du cul. Mon sexe tape dans son pantalon, je décide de le libérer. Ma femme s’approche de l’objectif et se fixe à nouveau : « Ce soir, je compte en profiter comme jamais » et elle se lèche la lèvre supérieure avec un air de vraie putain. Elle se relève et je constate qu’elle s’est intégralement épilée, chose qu’elle n’avait jamais faite auparavant. Je distingue également des lacets sortir de sa chatte. Cette vision me fait littéralement exploser. Me femme repart embrasser Philippe tandis que Kévin lui écarte les fesses et lui lèche la rondelle. Elle est sublime. Rapidement, ma femme se mets à genoux, le cul offert à l’assemblée et se met à pomper Philippe sans les mains. Kévin sort un gel de lubrifiant et enduit la rondelle de la pute qu’il a en face de lui.
Philippe a toujours sa coupe de champagne dans la main et baise littéralement la bouche de ma femme. Kévin entame une sodomie, je devine parfois les lacets taper sur les cuisses de Clémence. Philippe est prêt à exploser, il se retire et éjacule dans la coupe qu’il tenait à la main. Derrière, le couple a commencé à se caresser, la femme est nue et s’allonge le dos sur le canapé, les jambes ouvertes. Sa toison brune est mal taillée, mais contraste sublimement avec le cul de bébé de mon épouse. Son mari commence à lui lécher la chatte quand Kévin se retire du cul de ma femme et éjacule dans la même flûte que Philippe. Le volume est déjà impressionnant. Comme si cela était convenu, le mari arrête le cunnilingus de sa femme et laisse place à la mienne. Je vois ma femme lécher le minou d’une autre. La caméra bouge brusquement pour s’approcher du plan. Ma femme ralentit et entreprend une grande lèche en partant de l’anus de la femme en remontant jusqu’au clito. Elle recommence. Encore une fois et aspire le clito comme une folle. Sa victime gémit de plaisir. La caméra longe le corps gainé de Clémence jusqu’à son anus dilaté et reluisant de bave et de lubrifiant. Il n’y a plus de doute possible, ma femme a un truc dans la chatte qui se finit par une crinière de lacets en cuir noir.
La caméra reprend sa place initiale et je vois François approcher son petit sexe devant le gros plan qui venait de m’être offert. Il encule ma femme à son tour pendant que ma femme enfonce déjà deux doigts dans la chatte de sa compagne. Rapidement, François se retire et éjacule lui aussi dans la coupe. C’est au tour du mari de prendre la place, il s’enduit le sexe de lubrifiant et enfile le cul de ma femme qui doit désormais être un véritable gouffre. De l’autre côté, les lèvres intimes de la femme sont maintenant rougeâtres du rouge à lèvre de Clémence. Parfois, ma femme s’arrête, emportée par les assauts de son étalon. Soudain, le corps de la brune ondule et elle explose dans un cri affirmé. Ma femme regarde la caméra, son visage est maculé de mouille. Elle passe sa main sur le visage, lèche ses doigts et commence à masturber son propre clito pendant que déjà la troisième queue lui défonce le cul. Le black prend la place de la femme et propose son sexe énorme à ma femme. Je n’en ai jamais vu d’aussi gros. Le mari se retire et éjacule lui aussi dans la coupe. Elle est à moitié pleine. Ma femme reprend ses esprits et commence à sucer cette queue disproportionnée. Le contraste blond/noir est magnifique, mais je vois que Clémence a du mal à descendre vraiment bas.
Encore une fois, la caméra se rapproche et je vois ma femme regarder dans les yeux cet inconnu avec un air de salope lubrique, une mèche or pendant à côté de ce sexe ébène, les lunettes mal ajustées. Ses lèvres ondulent le long de la tige selon le sens du mouvement et elle sort parfois le sexe dans un bruit de sucette, en léchant délicatement le gland turgescent à sa naissance postérieure du bout de sa langue. Encore une fois, la caméra se dirige vers le trou de résille de la combinaison, et je devine la bite de Marc se présenter devant la rondelle dilatée. Sans changer de plan, je vois le sexe pénétrer jusqu’à la garde alors que j’entends un cri de douleur sortir de la bouche de Clémence. Tout comme les lèvres sur le sexe noir, je vois désormais l’anus de ma femme suivre le membre lui imprimer des allers retours. La scène est hallucinante. Après de nombreux allers retours, je voir le gland sortir en laissant un trou noir gigantesque devant lui, l’objectif suivant le sexe de l’homme se présenter devant la coupe bien remplie et se déverser à grosse giclée pour compléter l’effort du groupe. La caméra reprend du recul et je vois le black faire le tour de ma femme. Il retire ce qui est en fait un rosebud de la chatte de ma femme et le lui loge dans l’anus accueillant. Il allonge ma femme sur le tapis et lui lèche le minou rapidement avant de présenter son arme de destruction devant l’âtre en feu. Avant de commencer, il embrasse ma femme tendrement. Puis il lui plaque les poignets contre le sol et enfonce son engin dans la grotte d’amour de Clémence. Ma femme crie, tente de se débattre, mais le molosse de chair la maintient fermement, ne lui laissant aucune possibilité de sursis. Il accélère la cadence, ma femme rugit en alternant les « c’est bon, défonce moi ». J’entends également des « t’as pas ça à la maison, hein petite salope » ou encore « on l’a choisi pour toi, régale toi ». Je comprends que tout était prémédité depuis longtemps. Enfin, il éjacule au fond de ma femme, dans une jouissance simultanée et puissante.
L’homme se relève, son sexe perd déjà de sa superbe mais pendouille comme une corde. Ma Femme reprend ses esprits, elle se relève abasourdie, dans cette combinaison outrageuse avec un rosebud dans le cul. Et là j’entends Philippe dire : « Les filles, il faut arroser ça dignement ! » et il tend la coupe à ma femme, la brune se rapprochant elle aussi. Tous ont un verre de champagne à la main, sauf ma femme qui a une coupe de sperme remplie aux trois quarts ! Ils trinquent et Clémence fait glisser le mélange dans sa bouche. Une fois la quais totalité versée, un épais filet apparaît. Clémence lève le verre pour mieux faire voir à son public qu’elle n’en perd pas une goutte. Tout le monde applaudit. Elle embrasse la brune et le transfère l’intégralité de la potion. La brune vient montrer à la caméra en ouvrant grand la bouche le liquide blanchâtre rouler autour de sa langue. L’assistance scande un « Clémence, Clémence, Clémence ». Ma femme s’allonge alors sur le tapis et la brune vient lui déverser le sperme dans la bouche, en finissant par lui cracher le fond sur le visage et les lunettes.
Des bravos fusent dans tous les sens. Clémence s’approche alors de l’objectif, les lunettes vitreuses et dégoulinante, ouvre la bouche pour me montrer ce qu’elle a, finit par se gargariser et avale dans la clameur générale. Elle retire alors ses lunettes et lèche le reste jusqu’à rendre les verres translucides à nouveau. Elle se relève et se rhabille, en enfilant la culotte avec laquelle elle était partie puis coupe la caméra.
Un silence de plomb s’installe alors. Je vois que dans la sacoche de la caméra dépasse la culotte de la vidéo. Je l’ouvre, elle est maculée de jus, celui de ma femme et celui du black.
Pris dans l’excitation, je lèche la culotte et éjacule dessus.
Je me remets de mes émotions et prépare une surprise pour son retour.
Rapidement, le quotidien a repris le dessus, laissant nos épisodes lubriques derrière nous, tout en sachant qu’un profond changement avait eu lieu. Nos ébats étaient plus torrides qu’avant mais revenaient peu à peu dans la norme. Me femme avalait, se laisser enculer mais je voyais bien que cela devenait convenu. Je m’en satisfaisais, sachant que pour moi, la différence était devenue significative.
Un jour, ma femme m’annonce qu’elle doit se rendre sur Paris pour son travail. Elle est assistante de direction depuis 6 ans dans un entreprise de 5 associés, tous codirigeants. Elle doit préparer un séminaire me dit-elle. Le jour J, je la vois partir très classe, talon aiguille, jupe stricte noire par-dessus des collants couleur peau, chemisier blanc légèrement décolleté, et ses lunettes à monture noire glissés dans sa chevelure blonde tirée en chignon. Elle a mis un rouge à lèvre sobre qui accompagne son maquillage discret mais enchanteur, le tout arboré de petites perles blanches sur ses lobes d’oreille. Une vraie professionnelle me dis-je.
Le lendemain, je la vois rentrer exténuée. J’essaie de la convaincre de faire l’amour mais rien n’y fait. « Je suis morte, on verra demain ». Le lendemain, je reçois un texto dans l’après-midi « C’est l’anniversaire de Gaël (un copain de vacances de mon fils habitant vers chez ma belle famille), je récupère les enfants et nous dormons chez ma mère ce soir. Je m’occupe de tout.
A demain. Ta petite chatte ». Je suis un peu triste d’être à nouveau seul ce soir, mais pas le choix.
En arrivant chez moi, je vois notre caméscope relié à la TV avec un mot sur la table « Régale-toi mon amour ». Mon pouls s’accélère subitement et je branche l’appareil. Je vois ma femme habillée comme je l’ai vu partir, avec cependant quelques différences notables. Son rouge à lèvre est rouge vif. Son maquillage moins discret. Je ne connais pas le lieu, elle est dans une pièce qui ressemble à un salon d’appartement parisien. Elle s’adresse à la caméra avec une flûte de champagne à la main : « Mon chéri, j’avais gardé contact avec nos amis de cet été. Je leur ai proposé de remettre ça ce soir. Installe toi confortablement et regarde bien. Tchin tchin !». Je vois nos amis défiler et me saluer, le couple est présent lui aussi. Un acolyte black que je ne connais pas s’est joint à eux. Ils se lèvent tous pour trinquer devant le caméscope et je remarque que ma femme ne porte plus des bas couleur peau, mais des bas résille. Ils boivent tous cul sec. Et là, le spectacle commence.
Philippe embrasse ma femme goulûment, tandis que Kévin déboutonne le chemisier de Clémence. Rapidement, le chemisier se retrouve à terre, et je découvre que ma femme porte en fait une combinaison résille intégrale ! Ses seins sont mis en valeur d’une manière inconnue mais terriblement excitante. Kevin commence à lui malaxer la poitrine et je distingue les tétons de la coquine pointer au travers de son piège de tissu. Philippe entreprend alors de retirer la jupe de ma salope de femme et là encore, je découvre une vision terriblement érotique : la combinaison est ouverte au niveau de la chatte et du cul. Mon sexe tape dans son pantalon, je décide de le libérer. Ma femme s’approche de l’objectif et se fixe à nouveau : « Ce soir, je compte en profiter comme jamais » et elle se lèche la lèvre supérieure avec un air de vraie putain. Elle se relève et je constate qu’elle s’est intégralement épilée, chose qu’elle n’avait jamais faite auparavant. Je distingue également des lacets sortir de sa chatte. Cette vision me fait littéralement exploser. Me femme repart embrasser Philippe tandis que Kévin lui écarte les fesses et lui lèche la rondelle. Elle est sublime. Rapidement, ma femme se mets à genoux, le cul offert à l’assemblée et se met à pomper Philippe sans les mains. Kévin sort un gel de lubrifiant et enduit la rondelle de la pute qu’il a en face de lui.
Philippe a toujours sa coupe de champagne dans la main et baise littéralement la bouche de ma femme. Kévin entame une sodomie, je devine parfois les lacets taper sur les cuisses de Clémence. Philippe est prêt à exploser, il se retire et éjacule dans la coupe qu’il tenait à la main. Derrière, le couple a commencé à se caresser, la femme est nue et s’allonge le dos sur le canapé, les jambes ouvertes. Sa toison brune est mal taillée, mais contraste sublimement avec le cul de bébé de mon épouse. Son mari commence à lui lécher la chatte quand Kévin se retire du cul de ma femme et éjacule dans la même flûte que Philippe. Le volume est déjà impressionnant. Comme si cela était convenu, le mari arrête le cunnilingus de sa femme et laisse place à la mienne. Je vois ma femme lécher le minou d’une autre. La caméra bouge brusquement pour s’approcher du plan. Ma femme ralentit et entreprend une grande lèche en partant de l’anus de la femme en remontant jusqu’au clito. Elle recommence. Encore une fois et aspire le clito comme une folle. Sa victime gémit de plaisir. La caméra longe le corps gainé de Clémence jusqu’à son anus dilaté et reluisant de bave et de lubrifiant. Il n’y a plus de doute possible, ma femme a un truc dans la chatte qui se finit par une crinière de lacets en cuir noir.
La caméra reprend sa place initiale et je vois François approcher son petit sexe devant le gros plan qui venait de m’être offert. Il encule ma femme à son tour pendant que ma femme enfonce déjà deux doigts dans la chatte de sa compagne. Rapidement, François se retire et éjacule lui aussi dans la coupe. C’est au tour du mari de prendre la place, il s’enduit le sexe de lubrifiant et enfile le cul de ma femme qui doit désormais être un véritable gouffre. De l’autre côté, les lèvres intimes de la femme sont maintenant rougeâtres du rouge à lèvre de Clémence. Parfois, ma femme s’arrête, emportée par les assauts de son étalon. Soudain, le corps de la brune ondule et elle explose dans un cri affirmé. Ma femme regarde la caméra, son visage est maculé de mouille. Elle passe sa main sur le visage, lèche ses doigts et commence à masturber son propre clito pendant que déjà la troisième queue lui défonce le cul. Le black prend la place de la femme et propose son sexe énorme à ma femme. Je n’en ai jamais vu d’aussi gros. Le mari se retire et éjacule lui aussi dans la coupe. Elle est à moitié pleine. Ma femme reprend ses esprits et commence à sucer cette queue disproportionnée. Le contraste blond/noir est magnifique, mais je vois que Clémence a du mal à descendre vraiment bas.
Encore une fois, la caméra se rapproche et je vois ma femme regarder dans les yeux cet inconnu avec un air de salope lubrique, une mèche or pendant à côté de ce sexe ébène, les lunettes mal ajustées. Ses lèvres ondulent le long de la tige selon le sens du mouvement et elle sort parfois le sexe dans un bruit de sucette, en léchant délicatement le gland turgescent à sa naissance postérieure du bout de sa langue. Encore une fois, la caméra se dirige vers le trou de résille de la combinaison, et je devine la bite de Marc se présenter devant la rondelle dilatée. Sans changer de plan, je vois le sexe pénétrer jusqu’à la garde alors que j’entends un cri de douleur sortir de la bouche de Clémence. Tout comme les lèvres sur le sexe noir, je vois désormais l’anus de ma femme suivre le membre lui imprimer des allers retours. La scène est hallucinante. Après de nombreux allers retours, je voir le gland sortir en laissant un trou noir gigantesque devant lui, l’objectif suivant le sexe de l’homme se présenter devant la coupe bien remplie et se déverser à grosse giclée pour compléter l’effort du groupe. La caméra reprend du recul et je vois le black faire le tour de ma femme. Il retire ce qui est en fait un rosebud de la chatte de ma femme et le lui loge dans l’anus accueillant. Il allonge ma femme sur le tapis et lui lèche le minou rapidement avant de présenter son arme de destruction devant l’âtre en feu. Avant de commencer, il embrasse ma femme tendrement. Puis il lui plaque les poignets contre le sol et enfonce son engin dans la grotte d’amour de Clémence. Ma femme crie, tente de se débattre, mais le molosse de chair la maintient fermement, ne lui laissant aucune possibilité de sursis. Il accélère la cadence, ma femme rugit en alternant les « c’est bon, défonce moi ». J’entends également des « t’as pas ça à la maison, hein petite salope » ou encore « on l’a choisi pour toi, régale toi ». Je comprends que tout était prémédité depuis longtemps. Enfin, il éjacule au fond de ma femme, dans une jouissance simultanée et puissante.
L’homme se relève, son sexe perd déjà de sa superbe mais pendouille comme une corde. Ma Femme reprend ses esprits, elle se relève abasourdie, dans cette combinaison outrageuse avec un rosebud dans le cul. Et là j’entends Philippe dire : « Les filles, il faut arroser ça dignement ! » et il tend la coupe à ma femme, la brune se rapprochant elle aussi. Tous ont un verre de champagne à la main, sauf ma femme qui a une coupe de sperme remplie aux trois quarts ! Ils trinquent et Clémence fait glisser le mélange dans sa bouche. Une fois la quais totalité versée, un épais filet apparaît. Clémence lève le verre pour mieux faire voir à son public qu’elle n’en perd pas une goutte. Tout le monde applaudit. Elle embrasse la brune et le transfère l’intégralité de la potion. La brune vient montrer à la caméra en ouvrant grand la bouche le liquide blanchâtre rouler autour de sa langue. L’assistance scande un « Clémence, Clémence, Clémence ». Ma femme s’allonge alors sur le tapis et la brune vient lui déverser le sperme dans la bouche, en finissant par lui cracher le fond sur le visage et les lunettes.
Des bravos fusent dans tous les sens. Clémence s’approche alors de l’objectif, les lunettes vitreuses et dégoulinante, ouvre la bouche pour me montrer ce qu’elle a, finit par se gargariser et avale dans la clameur générale. Elle retire alors ses lunettes et lèche le reste jusqu’à rendre les verres translucides à nouveau. Elle se relève et se rhabille, en enfilant la culotte avec laquelle elle était partie puis coupe la caméra.
Un silence de plomb s’installe alors. Je vois que dans la sacoche de la caméra dépasse la culotte de la vidéo. Je l’ouvre, elle est maculée de jus, celui de ma femme et celui du black.
Pris dans l’excitation, je lèche la culotte et éjacule dessus.
Je me remets de mes émotions et prépare une surprise pour son retour.
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