Laure, Jeanne et RTT
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2010 dans la catégorie Plus on est
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Laure, Jeanne et RTT
L'année a été dure, d'abord le boulot stressant, ensuite la séparation d'avec ma copine : les baises sont rares. Au fond je me contente de masturbations finalement aussi bonnes qu'une mauvaise baise. J'ai pas mal de RTT à prendre. J'en profite pour aller chez ma tante, âgée de 75 ans, elle habite un village où je pourrai trouver le calme.
Elle est heureuse de me voir. Elle m'indique ma chambre : au premier étage juste en face de celle d'une vague cousine que je connais à peine. Nous nous retrouvons tous le soir pour le dîner. J'embrasse ma "cousine" Laure sur les joues : je la trouve plutôt pas mal, plutôt sexy, je dirais même que j'en ferai mon petit déjeuner. Le lendemain matin ma tante, malade brusquement doit être hospitalisée. Avant de partir elle me demande de rester me reposer et à Laure d'assurer l'intendance.
En attendant nous n'avons presque plus rien au frigo. Laure connaît le village et nous voila à partit pour faire des courses. Nous bavardons, bien sur : je sais ainsi qu'elle a un petit ami, qu'elle sait s'en passer. Je n'insiste pas, je pense qu'elle doit se satisfaire de masturbation. Après tout ça la regarde. Elle s'occupe de la maison, comme une vrai ménagère. Le soir elle m'annonce que son amie Jeanne doit venir ici. Au fond, plutôt bavarder avec deux filles.
Le lendemain Jeanne et là. Elle aussi est assez sexy. Nous nous installons devant la télévision le soir, nous regardons la télé, enfin elle est allumée. Je suis assis entre elles. Nous bavardons de choses plus osées que je ne le pensais. Les deux filles se connaissent très bien, même mieux que ça. Elles font plus que bavarder, elles discutent des meilleurs façon d'avoir du plaisir. Je commence à bien bander. Je ne sais si elles le font exprès, je suis de plus en plus excité.
Sans que je ne demande rien, Jeanne vient me coller sa bouche sur la mienne. Je ne refuse jamais un baiser, surtout venant d'une belle fille. Laure isolée, peut être, pose sa main sur ma bite. Elle la masse lentement par-dessus le pantalon pour ensuite s'attaquer à la fermeture éclair de ma braguette pour arriver à sortir ma queue. Elle commence à me branler. Elle est vite arrêtée par Jeanne qui me prend dans la bouche. Je suis à la merci de ces deux femmes.
Pendant que je déguste la fellation, Laure se déshabille, vient près de moi. Jeanne lui laisse le soin de continuer la fellation. C'est la première fois que deux filles se partagent ma bite. Laure se met dans une drôle de position, elle est penchée sur moi, simplement, ses fesses en l'air. Je vois Jeanne nue, derrière Laure. Elle s'accroupit pour venir pose sa langue sur les parties très intimes de Laure qui en gémit. Je peux vois la main de Jeanne se masturber, Laure arrête ce qu'elle me faisait. C'est au tour de Jeanne d'avoir ma pine dans la bouche. Je ne peux faire de comparaisons : elle sucent à peu de chose près pareil. Cette fois c'est la langue de Laure qui lèche son amie.
Je ne sais comment j'arrive à ne pas jouir de ces pompiers. Je suis excité et en même temps curieux de savoir comment elles vont se faire jouir ensemble. Je regarde Laure qui continu son cunnilingus. Cette fois elle y a rajouté un gode qu'elle a planté dans le vagin de son amie. Elle la baise, alors que ma queue est faite pour ça. Je remarque que Laure elle aussi se masturbe avec une autre gode. Jeanne accélère ses mouvement: je ne preuves même pas que je vais jouir. Je lâche la sauce dans la bouche ouverte. Mon sperme n'est pas perdu pour tout le monde: les deux filles s'embrasse pour le partager.
Comme je débande, elle me tourne le dos: c'est à leur tour de s'aimer devant moi. Elles semblent réciter un poème érotique: elles se caressent comme seules savant le faire les lesbiennes, se caressent les seins, le clitoris, même le petit trou où elles n'hésitent pas à y mettre leurs doigts. Le fin du fin, en tout cas pour moi est quand elles sont en 69. Laure à l'initiative des léchages, Jeanne celle des doigtages dans l'anus. En tout cas je bande dur à nouveau. Je me sens prêt à les baiser toutes les deux.
Je me lève pour rentrer dans un orifice de ces demoiselles. Elles me repoussent Elle veulent se baiser avec un double gode. C'est Laure qui une fois de plus prend l'ascendant sur Jeanne: elle l'a installée couchée sur le dos. Elle lui met un peu plus de la moitié du gode dans le vagin, elle se couche, fesses à fesses pour introduire l'autre moitié dans son con. C'est elle qui manie l'engin. Jeanne ferme les yeux pendant que Laure me regarde dans les miens. Elle me demande d'attendre qu'elles finissent de jouir à deux pour que je m'occupe d'elles.
Je les vois frémir plusieurs fois, à chaque jouissance.
Enfin elles se relèvent pour m'embrasser. Un de ces baisers à trois, langues sorties se caressant hors des bouches. Elles sont à mes cotés. Je les tiens au début par les épaules pour finir par une main sur chaque fente où je caresse tout ce qui est à ma portée. Je trouve d'abord le clitoris de Jeanne, gonflée, plein de sève, prêt à parti encore vers les délice vicieux. Celui de Laure et plus petit, plus petit et plus sensible. Je les fais jouir toutes les deux. Je pose la question qui normalement devrait emmener des litiges: laquelle je dois faire jouir avec ma queue et où.
Laure décide de tout: je dois la sodomiser Jeanne et avant la baiser elle. La fille sans rien en elle lèchera l'autre, et me caressera et les couilles et le cul. Jeanne est d'accord sur tout ce programme, à condition que je me serve d'un gode pour le lui mettre au petit trou. Je n'ai rein contre son désir: elle se couche sur la dos, écarte les jambes. Je lui mets d'abord le gode dans le vagin pour bien le mouiller et ensuite je la sodomise avec cet outil. Quand elle l'a bien profond, je me mets sur elle pour lui entres ma bite qui n'attendait que ça. Elle gémit sans arrêt. Je sens une main de Laure sur mes couilles: elle me caresse lentement, avec beaucoup de précautions. Enfin elle pose sur mon anus deux doigts que je sens bien mouillés. Elle les rentre lentement et me branle le cul. Je ne connaissais pas cette façon: en baisant une autre femme c'est spécial: ça fait jouir. Mon sperme part dans le fond du vagin de Jeanne, qui a jouit deux ou trois fois.
Laure vient se mettre en levrette, les fesses bien ouvertes. Elle prend ma bite pour la mener sur son anus. Je la sodomise sans y mettre trop de formes. Quand mon gland passe je sens son intestin s'ouvrir. J'entend surtout les" oui, oui, oui, encore, plus profond, Je jouis. Comme Laure, c'est Jeanne qui me caresse et les couilles et le cul. C'est d'autant lus excitant qu'elle ne bouge pas sa main: c'est moi qui en enculant Laure, me fait enculer par les doigts de Jeanne.
Tout le temps passé chez ma tante a été consacré à la baise. Nous dormions dans le même lit, enlacés, baisant un ou une autre sans complexe. Pour moi le plus jouissif était quand nous nous sucions à trois. J'avais dans ma bûche un clitoris et ma bite entourée de la bouche une autre. Nous vivions nus, prêt à baiser. Il y avait toujours un gode prêt à servir les filles l'utilisait souvent soit seule, soit à deux.
Pour moi, elle ne savait plus trop quoi inventer. Un jour j'étais à moitié assis sur un fauteuil les fesses dehors, ma bite dans la bouche de Jeanne. Je sentais comme souvent quelque chose sur mon cul. J'en avais l'habitude. Cette fois ce n'était plus deux doigts, c'était un gode, pas le plus gros, qui posé d'abord me pénétrait: Laure m'enculait. Elle se vengeait disait-elle du fait que la plus part du temps de sont les filles qui se font enculer, alors que c'était pour elle la façon de prendre son pied. Il n'empêche qu'elle a réussit à me faire jouir.
Il me tarde de retrouver mes deux amantes pour un RTT.
Elle est heureuse de me voir. Elle m'indique ma chambre : au premier étage juste en face de celle d'une vague cousine que je connais à peine. Nous nous retrouvons tous le soir pour le dîner. J'embrasse ma "cousine" Laure sur les joues : je la trouve plutôt pas mal, plutôt sexy, je dirais même que j'en ferai mon petit déjeuner. Le lendemain matin ma tante, malade brusquement doit être hospitalisée. Avant de partir elle me demande de rester me reposer et à Laure d'assurer l'intendance.
En attendant nous n'avons presque plus rien au frigo. Laure connaît le village et nous voila à partit pour faire des courses. Nous bavardons, bien sur : je sais ainsi qu'elle a un petit ami, qu'elle sait s'en passer. Je n'insiste pas, je pense qu'elle doit se satisfaire de masturbation. Après tout ça la regarde. Elle s'occupe de la maison, comme une vrai ménagère. Le soir elle m'annonce que son amie Jeanne doit venir ici. Au fond, plutôt bavarder avec deux filles.
Le lendemain Jeanne et là. Elle aussi est assez sexy. Nous nous installons devant la télévision le soir, nous regardons la télé, enfin elle est allumée. Je suis assis entre elles. Nous bavardons de choses plus osées que je ne le pensais. Les deux filles se connaissent très bien, même mieux que ça. Elles font plus que bavarder, elles discutent des meilleurs façon d'avoir du plaisir. Je commence à bien bander. Je ne sais si elles le font exprès, je suis de plus en plus excité.
Sans que je ne demande rien, Jeanne vient me coller sa bouche sur la mienne. Je ne refuse jamais un baiser, surtout venant d'une belle fille. Laure isolée, peut être, pose sa main sur ma bite. Elle la masse lentement par-dessus le pantalon pour ensuite s'attaquer à la fermeture éclair de ma braguette pour arriver à sortir ma queue. Elle commence à me branler. Elle est vite arrêtée par Jeanne qui me prend dans la bouche. Je suis à la merci de ces deux femmes.
Pendant que je déguste la fellation, Laure se déshabille, vient près de moi. Jeanne lui laisse le soin de continuer la fellation. C'est la première fois que deux filles se partagent ma bite. Laure se met dans une drôle de position, elle est penchée sur moi, simplement, ses fesses en l'air. Je vois Jeanne nue, derrière Laure. Elle s'accroupit pour venir pose sa langue sur les parties très intimes de Laure qui en gémit. Je peux vois la main de Jeanne se masturber, Laure arrête ce qu'elle me faisait. C'est au tour de Jeanne d'avoir ma pine dans la bouche. Je ne peux faire de comparaisons : elle sucent à peu de chose près pareil. Cette fois c'est la langue de Laure qui lèche son amie.
Je ne sais comment j'arrive à ne pas jouir de ces pompiers. Je suis excité et en même temps curieux de savoir comment elles vont se faire jouir ensemble. Je regarde Laure qui continu son cunnilingus. Cette fois elle y a rajouté un gode qu'elle a planté dans le vagin de son amie. Elle la baise, alors que ma queue est faite pour ça. Je remarque que Laure elle aussi se masturbe avec une autre gode. Jeanne accélère ses mouvement: je ne preuves même pas que je vais jouir. Je lâche la sauce dans la bouche ouverte. Mon sperme n'est pas perdu pour tout le monde: les deux filles s'embrasse pour le partager.
Comme je débande, elle me tourne le dos: c'est à leur tour de s'aimer devant moi. Elles semblent réciter un poème érotique: elles se caressent comme seules savant le faire les lesbiennes, se caressent les seins, le clitoris, même le petit trou où elles n'hésitent pas à y mettre leurs doigts. Le fin du fin, en tout cas pour moi est quand elles sont en 69. Laure à l'initiative des léchages, Jeanne celle des doigtages dans l'anus. En tout cas je bande dur à nouveau. Je me sens prêt à les baiser toutes les deux.
Je me lève pour rentrer dans un orifice de ces demoiselles. Elles me repoussent Elle veulent se baiser avec un double gode. C'est Laure qui une fois de plus prend l'ascendant sur Jeanne: elle l'a installée couchée sur le dos. Elle lui met un peu plus de la moitié du gode dans le vagin, elle se couche, fesses à fesses pour introduire l'autre moitié dans son con. C'est elle qui manie l'engin. Jeanne ferme les yeux pendant que Laure me regarde dans les miens. Elle me demande d'attendre qu'elles finissent de jouir à deux pour que je m'occupe d'elles.
Je les vois frémir plusieurs fois, à chaque jouissance.
Enfin elles se relèvent pour m'embrasser. Un de ces baisers à trois, langues sorties se caressant hors des bouches. Elles sont à mes cotés. Je les tiens au début par les épaules pour finir par une main sur chaque fente où je caresse tout ce qui est à ma portée. Je trouve d'abord le clitoris de Jeanne, gonflée, plein de sève, prêt à parti encore vers les délice vicieux. Celui de Laure et plus petit, plus petit et plus sensible. Je les fais jouir toutes les deux. Je pose la question qui normalement devrait emmener des litiges: laquelle je dois faire jouir avec ma queue et où.
Laure décide de tout: je dois la sodomiser Jeanne et avant la baiser elle. La fille sans rien en elle lèchera l'autre, et me caressera et les couilles et le cul. Jeanne est d'accord sur tout ce programme, à condition que je me serve d'un gode pour le lui mettre au petit trou. Je n'ai rein contre son désir: elle se couche sur la dos, écarte les jambes. Je lui mets d'abord le gode dans le vagin pour bien le mouiller et ensuite je la sodomise avec cet outil. Quand elle l'a bien profond, je me mets sur elle pour lui entres ma bite qui n'attendait que ça. Elle gémit sans arrêt. Je sens une main de Laure sur mes couilles: elle me caresse lentement, avec beaucoup de précautions. Enfin elle pose sur mon anus deux doigts que je sens bien mouillés. Elle les rentre lentement et me branle le cul. Je ne connaissais pas cette façon: en baisant une autre femme c'est spécial: ça fait jouir. Mon sperme part dans le fond du vagin de Jeanne, qui a jouit deux ou trois fois.
Laure vient se mettre en levrette, les fesses bien ouvertes. Elle prend ma bite pour la mener sur son anus. Je la sodomise sans y mettre trop de formes. Quand mon gland passe je sens son intestin s'ouvrir. J'entend surtout les" oui, oui, oui, encore, plus profond, Je jouis. Comme Laure, c'est Jeanne qui me caresse et les couilles et le cul. C'est d'autant lus excitant qu'elle ne bouge pas sa main: c'est moi qui en enculant Laure, me fait enculer par les doigts de Jeanne.
Tout le temps passé chez ma tante a été consacré à la baise. Nous dormions dans le même lit, enlacés, baisant un ou une autre sans complexe. Pour moi le plus jouissif était quand nous nous sucions à trois. J'avais dans ma bûche un clitoris et ma bite entourée de la bouche une autre. Nous vivions nus, prêt à baiser. Il y avait toujours un gode prêt à servir les filles l'utilisait souvent soit seule, soit à deux.
Pour moi, elle ne savait plus trop quoi inventer. Un jour j'étais à moitié assis sur un fauteuil les fesses dehors, ma bite dans la bouche de Jeanne. Je sentais comme souvent quelque chose sur mon cul. J'en avais l'habitude. Cette fois ce n'était plus deux doigts, c'était un gode, pas le plus gros, qui posé d'abord me pénétrait: Laure m'enculait. Elle se vengeait disait-elle du fait que la plus part du temps de sont les filles qui se font enculer, alors que c'était pour elle la façon de prendre son pied. Il n'empêche qu'elle a réussit à me faire jouir.
Il me tarde de retrouver mes deux amantes pour un RTT.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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super histoire ! j'attend la suite avec impatiance