le 1er jour d’après (suite 3)
Récit érotique écrit par Davidwebb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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le 1er jour d’après (suite 3)
Arrivé au bateau je fouillais sur les ponts supérieurs tandis que Paula s’occupait du pont inférieur
c’est Paula qui la trouva en premier
Elle cria :
je l’ai trouvé, je l’ai trouvé elle va bien
Inès ne comprenait pas à qui Paula parlait mais quand elle me vis elle se débattit tout en pleurant
non Marc je veux pas te voir je peux pas c’est trop dur
Inès écoutes je t’aime.
Elle criait :
je peux pas Marc je peux pas, je t’ai fais trop de mal. Je peux pas me le pardonner tout ce que je t’ai fais oh mon dieu je peux pas je peux pas
mais je me fous de ce que tu as fais
tu comprends pas je te mérite pas, je, je, je suis moche, sans coeur je me dégoûtes, je ne suis bonne qu’a te faire souffrir
c’est faux
mais et Paolo
Paolo, Paolo….
Je n’arriverais plus à réfléchir, la rage monta en moi, je serrais tellement fort mes mains sur la rambarde du bateau que des échardes rentraient dans la paume des mains sans que la douleur remonte à mon cerveau
tu veux savoir ce que je comptais faire à Paolo, demande à Paula ?
de quoi ? Paula qu’est ce qu’il comptait faire ?
Le regard d’Inès passa de Paula à moi avec une peur mélangée d’incompréhension et de détresse
Paula me regarda :
putain le con, tu comptes vraiment le faire, c’est pas une blague
quoi dis moi Paula, qu’est ce que Marc veux faire ?
Il…., il veut tuer Paolo
Inès lâcha Paula et me regarda incrédule.
Elle s’avança vers moi encore tremblante et me gifla tellement fort que je failli tomber par terre, portant ma main sur ma joue.
Elle avait frappé tellement fort que la paume de sa main était rouge et je ne parle même pas de ma joue qui devait être aussi bien marquée.
Je ne l’avais jamais vu dans un tel état
Sa voix tremblait de colère et malgré l’obscurité naissante, je voyais dans son regard un mélange de détresse et de rage
t’es complètement fou
Elle recommença a me frapper mais cette fois ci c’était sur le torse avec ses poings. Elle me frappait tellement souvent que ses poings ne décollaient même plus de mon torse, elle n’arrivait même plus a me frapper dans un mélange de pleurs et de gémissements
J’étais totalement perdu, n’arrivant ni à réfléchir et encore moins à prononcer le moindre mot.
La seule chose que je réussis à faire de la prendre dans mes bras et de la serrer contre moi pour qu’elle arrête de me frapper violemment.
Paula cria
écoutez et écoutez moi bien parce que je le répèterais pas, vous êtes fait l’un pour l’autre, bordel
Inès, tu sais que c’est l’homme de ta vie, quand il part en mer, tu es absente, livide tu m’écoutes à peine.
Quand il reviens tu rayonnes, tu es impatiente, euphorique je retrouve la Inès que j’aime et que je connais
Toi Marc, ne me contredit pas. Quand je t’accompagnes en mer les premiers jours tu es triste, tu es maladroit et puis tu te réfugies dans ton travail pour ne pas penser à Inès, je le sais et tout le monde le sait sur le bateau alors bon sang pardonnez vous, aimez vous, c’est pas possible que votre histoire finisse comme çà.
Je saisie les poings d’Ines qui était toujours plus ou moins entrain de me frapper machinalement
Je les porta à mon visage, et commençais à les embrasser, à les frotter partout sur mon visage à essayer de sécher mes larmes qui commençaient à couler
Inès me regardait les yeux rougis par les pleurs, la détresse. elle était méconnaissable.
Paula, elle, après avoir finit sa très convaincante plaidoirie nous rejoignis et craqua elle aussi.
Je l’accueilli en ouvrant mon bras pour la réconforter
Paula après avoir prix en profonde respiration me dit :
tu le feras pas hein ? sinon je sais pas ce que je te ferais
alors que j’hésitais peut être un peu trop longtemps à son gout, elle me repoussa violemment en me tapant sur l’épaule.
putain Marc je suis sérieuse si tu fais ça, je sais pas, je t’enferme dans le bateau et je te laisse pourrir jusqu’a ce que tu reprennes tes esprits
ok, ok Paula t’as gagné
Inès avait bien sur tout entendu mais elle n’arriva plus à parler, elle pleurait, recroqueviller sur ma poitrine
Après avoir repris un peu nos esprits et alors que nous étions entrain de marcher pour regagner la voiture Paula dit :
putain Victor merde
oui merde il faut qu’on le préviennes
quoi pourquoi ? s’écria Inès
bah il te cherche dans le centre il faut qu’on l’appelle
mais pourtant il a fait…
je sais Inès mais tu sais que c’est un bon gars alors quand le moment sera venu il faudra que vous discutiez.
On a appelé Victor et on lui a dit qu’on avait trouvé Inès et que tout allait bien
Victor était heureux et il ajouta qu’il avait trouvé Paolo et qu’il était en route pour la maison
Inès et Paula me regardèrent inquiet
Je répondis à Victor à contre coeur.
écoutes Victor ne lui fait rien de mal, on arrive et on va régler çà entre hommes mais calmement
Victor marmonna quelque chose il n’était visiblement pas content mais accepta ma demande
Les filles étaient toujours inquiètes peut être un peu moins qu’il y a quelques minutes mais inquiètes tout de même
Nous arrivâmes chez Victor qui nous attendait à l’entrée de sa grange armé d’une espèce de barre en fer.
Tout de suite je lui pris et je lui dis que c’était hors de question de lui faire du mal même si franchement lui casser les genoux cela m’en touchait une sans faire bouger l’autre comme on dit.
Paula me pris la barre de fer et insista pour rester avec nous alors qu’Inès ne se sentait pas d’assister à la scène.
Je lui demandais comment elle se sentait et elle me rassura ou tout du moins essaya.
elle sorti dehors
Paolo était par terre dans la grange les mains attachées autour d'une poutre
Paolo me regarda et commença à m’humilier
J’ai ordonné à Victor et a Paula de ne rien faire et de ne pas réagir à ses provocations
alors le cocu comment tu vas ? t’arrives à passer les portes avec tes cornes
je laissais couler alors que Victor commençait déjà à lui dire de la fermer
Je fis un geste à Victor pour lui signifier que c’était entre moi et Paolo
écoutes Paolo je suis pas la pour te casser la gueule mais si tu continues crois moi je serais pas long à changer d’avis
ah enfin un peu de caractère mon cocu, tu défends l’honneur de ta femme, d’ailleurs, elle est où ma princesse ?
il n’arrêtait pas de l’appeler en criant
Inès, Inès, Inès ma belle allez viens voir, viens m’offrir ton joli minou tu sais comme j’adore te déguster.
ferme la ne lui parle pas, ne prononce pas son nom
humm pourtant elle, elle a souvent prononcer mon nom dans ses soupirs, ses gémissements en me suppliant « viens en moi, baise moi, fais moi jouir encore » et bien sur le meilleur « joui en moi » mais celui la tu le connaissais déjà
Inès apparu soudainement dans l’encablure de la porte tremblante de rage, de colère, ses yeux était injecté de sang
Paula s’approcha d’Ines pour la tenir à distance
Paolo rigolait
- ah te voila ma princesse viens me délivrer et je te promets de bien m’occuper de toi
Inès réagit
- tu es le mal incarné comment ai je pu être aussi conne pour…
elle se débattu mais Paula l’a bloqua tant bien que mal tout en lui murmurant des choses à l’oreille.
Victor de son coté mis un coup de poing en plein dans le visage de Paolo.
sa lèvre saignait
Pourtant Paolo continuait de rigoler et puis il continua à jacter en s’adressant à moi :
Alors, vous allez vous remettre ensemble, mais au fond de toi Marc tu sais ce qui va se passer ? Chaque fois que tu lui feras l’amour, chaque fois qu’elle t’embrassera, qu’elle simulera quand tu la baiseras, à qui elle pensera à ton avis ? Peut être même qu’un jour elle reviendra des courses en retard, en sueur et elle te mentira droit dans les yeux parce qu’elle m’aura appelé pour regoûter au plaisir de ma queue.
S’en était trop je commençais à aller vers lui pour aller lui casser la gueule mais c’est Inès qui m’avait devancé
Elle lui sauta dessus et lui infligea plusieurs coups, lui griffa les joues avec ses ongles tout en hurlant toute sa rage
Paula n’avait pas réussi cette fois ci à la contenir et ni Victor ni moi n’avions eu le temps de réagir tellement elle avait bondi sur lui.
Sans comprendre pourquoi j’avais mis autant de temps à réagir je l’attrapais par derrière pour la séparer de lui mais j’avais beaucoup de mal à la retenir.
Elle était hystérique, je l’a soulevait et la tirait mais avec ses jambes elle se débattait tellement qu’elle me fit chuter.
Heureusement j’ai pu la maintenir à terre et elle éclata en sanglot tout en hurlant,
- je vais te tuer, je vais te tuer
Je tentais de la calmer en lui caressait les cheveux et l’embrassait sur sa tête, sa nuque.
Paolo lui se marrait malgré le sang qui coulait de ses lèvres, les traces de griffures sur ces joues et même son nez qui semblait être cassé
Victor mis un autre coup de poing à Paolo tandis Paula m’aidait à prendre en charge Inès pour l’éloigner et la calmer
Je ramassais une fourche qui trainait par terre, et je me suis dirigé vers Paolo et je l’ai lancé vers lui
au même moment Paula Inès et Victor hurlèrent nooonnn !!!!
La fourche se planta juste au dessus de sa tête sur la poutre
Le visage de Paolo était défiguré par la peur, je le pris à la gorge et lui dis :
tu dégages on veut plus te revoir ici. Si je te vois je te balancerais aux requins sans le moindre scrupule
Victor ajouta
ouais un terrible et malheureux accident
il hocha la tête il avait compris parti le soir même
Alors que la tension redescendait doucement, de mon coté je compris qu’Inès était trop mal pour que l’on discute, et de toute façon je n’étais moi même pas dans les meilleurs dispositions pour avoir une conversation avec elle
Elle pleurait toujours dans les bras de Paula et celle ci me fit signe qu’elle s’en occupait.
Victor m’invita à rester dormir chez lui et suggéra que Paula reste dormir avec Inès.
Vu l’heure, l’état de fatigue et de nervosité de chacun tout le monde acquiesça
Je lui en voulais mais la voir dans cet état gommait toute ma rage, toute ma jalousie
Je ne voulais pas la brusquer.
Le lendemain et les quelques jours qui suivirent Paula tentait de me rassurer sur l’état de santé d’Inès, et me persuadait que c’était à elle de faire le premier pas.
Ce fut difficile à accepter mais elle avait raison, comme toujours et je lui fis remarquer
Elle rigola et me dit :
que veux tu je suis parfaite
oui et c’est très énervant mais merci, merci pour tout je te dois ma vie
t’exagères pas quand même
non je suis sérieux si tu n’avais pas été la Ines ne serait…
non ne pense pas à ça, chasse tout de suite cette idée de la tête.
oui tu as raison encore une fois mais moi, je pense que Paolo je l’aurais…
tu commences à m’énerver Marc chasse cette idée, je te connais tu n’es pas quelqu’un de violent et puis Victor et moi on t’aurait empêcher
je sais pas Paula j’étais, je voulais vraiment mais…
mais tu ne l’as pas fait et c’est ça qui importe, alors change de disque, moi je m’occupe d’Ines
Et puis un jour Inès vint me voir alors que j’était entrain de couper du bois et me dit qu’elle n’était pas encore tout à fait prête à revivre ensemble
elle me dit :
écoutes j’ai bien réfléchi je me sens pas encore prête pour nous 2 j’ai besoin de temps
ok pas de problèmes prends tout le temps que tu veux. prends la maison je vais aller dormir dans le bateau tu seras mieux à la maison pour réfléchir alors que le bateau tu sais bien que tu es malade et puis Victor est la, il t’aidera
c’est gentil t’es adorable comme toujours mais je suis pas prête pour la maison j’ai encore tu vois encore des images avec…
oui je comprends pardon excuse moi je suis dé….
c’est pas grave mon chéri (elle s’excusa presque d’avoir prononcer ce mot). je vais aller dormir chez Paula en attendant
Je lui souris à l’évocation de cette douce attention
elle rigola presque gêné, et nous nous enlacèrent et embrassèrent maladroitement et assez brièvement. La passion était la mais c’était encore trop tôt pour nous 2.
Après quelques semaines sans nouvelles d’Inès ou presque, alors que je commençais à désespérer, un soir alors que je rentrais très tard du local, je me rendis compte que quelqu’un était à la maison et avait allumé un feu dans la cheminée
Je me demandais qui pouvait bien être chez moi et pensa que s’était sûrement Victor qui m’avait préparer un feu pour me réchauffer puisque l’hiver était déjà bien présent et que les températures étaient déjà largement négatives.
Je rentrais et je vis la silhouette ou plutôt j’entre-apercevais Inès, assise sur le fauteuil près de la cheminée.
Elle était nue et seul la guitare posée sur ces genoux masquait partiellement son corps tremblant.
Les flammes éclairaient par intermittence son visage, ses jambes, ses mains posés sur la guitare et ses tétons dressés par le froid malgré le feu tout proche.
Elle commença à jouer et je reconnu tout de suite la chanson
elle jouait You’re the One That I Want la célèbre chanson de Grease dans une version plus proche de celle de Julia Stone et Damien Rice que nous aimions écouter de temps en temps.
Alors que je m’approchais elle me me fit signe de ne dire aucun mot et je m’assis sur le fauteuil à coté.
La lumière du feu me permettait de voir ses yeux embuées tout au long de la chanson.
Elle chantait bien, d’ailleurs je lui avais toujours dis qu’elle aurait pu faire carrière.
Mais lorsqu’elle chanta se passage, sa gorge était tellement nouée que je distinguais presque plus les paroles
You better shape up, 'cause I need a man
And my heart is set on you
You better shape up, better understand
To my heart I must be true
Nothin' left, nothin' left for me to do
You're the one that I want
Lorsque vint le refrain, plus aucun son ne sortait de sa bouche tellement l’émotion la submergeait
Les larmes coulait sur ses joues et sur ses lèvres.
You're the one that I want
Honey, the one that I want
Honey, the one that I want
J’enfouissais ma tête entre mes jambes, et voyait le sol jonché de mes larmes.
Lorsqu’elle joua les derniers notes de la chanson et qu’elle posa la guitare au sol, je levais la tête et la regardais
Je bondi de mon fauteuil et l’embrassa faisant basculer le fauteuil en arrière.
Nous nous retrouvâmes sur le sol à nous embrasser partout sur le visage, la tête, le cou partout tout en joignant nos mains en nous caressant brutalement, bestialement.
on aurait dis des ados qui s’embrassaient pour la 1ere fois.
Apres quelques minutes, je lui pris la tête entre mes mains et lui dis sur le ton de la plaisanterie
j’ai failli attendre
elle rit
tu sais que j’aime me faire désiré
j’ai effectivement de nombreux souvenirs en tête
elle rigola et me mis une pichenette sur le front pour signifier sa désapprobation a cette vanne douteuse.
viens plutôt m’embrasser
Je l’ai prise par les jambes et par le haut du bassin comme on peut prendre un enfant dans les bras, elle se lova tout contre moi en enroulant ses bras autour de mon cou, m’embrassa à nouveau et me dit :
You better shape up, 'cause I need a man
Je lui souris et à peine je l’avais déposé sur le lit qu’elle m’embrassa a nouveau tout en me mordant la lèvre pour me tirer vers elle.
Et puis je ne sais pas comment l’expliquer mais a ce moment la, c’était comme si le temps s’était arrêter.
Au lieu de se jeter a corps perdu pour faire l’amour alors que le désir brûlait en nous, nous nous sommes regarder longtemps, yeux dans les yeux, nez contre nez, front contre front.
Tous nos sens étaient hyper sensible à l’écoute de l’autre.
Son odeur, sa peau, sa respiration tout m’avait manqué.
Nous profitions de cet instant suspendu
Puis nous nous sommes embrassé et nos baisers se faisaient de plus en plus appuyés, presque violent.
Les baisers devenaient bestiales, nos lèvres s’entrechoquant à répétition, nous nous mordions même les lèvres et nos langues
La respiration était plus lourde, plus profonde, le rythme cardiaque s’accélérait, et le désir montait tel un volcan prèt à exploser, et très vite le volcan entra en éruption dans une longue nuit d’amour.
Après cette nuit nous restâmes cote à coté à nous regarder, j’avais sa main posée sur sa joue et elle avait la sienne posée sur la mienne
Alors que le soleil commençait franchir l’horizon, je m’endormi avec cette image et lorsque je me réveillais nous n’avions pas bougé d’un poil.
Elle respirait lentement
Je m’approchais d’elle pour ressentir sa respiration, elle était belle, apaisée, peu importe le mal qu’elle m’avait fait je lui avais déjà pardonné
elle perçu ma présence, ouvra ses yeux et me sourit et me dit :
bonjour toi
bonjour toi
a quoi tu penses ?
que je recommencerais bien ce qu’on a finit hier soir
humm tu es sur que c’était hier soir et pas plutôt tout à l’heure.
le temps passe plus vite avec toi ma chérie
tu ne dois pas aller au bateau aujourd’hui ?
non je ne veux encore profiter de toi
mais Paula m’avait dit que ?
ça attendra puis il y a plein d’autres choses à faire sur terre
comme quoi ?
traire les vaches, couper du bois, réparer les enclos, faire l’amour à ma femme…
ah oui c’est une corvée de faire l’amour à ta femme
ça demande du temps et de l’énergie donc oui
salaud puisque c’est comme çà tu n’auras rien ce matin je vais aller prendre une douche
elle se leva, fit mine de bougonner
Je l’a rattrapais sur le chemin de la douche en l’enlaçant par derrière tout en l’embrassant sur la nuque
elle ajouta :
tu crois que tu vas t’en sortir comme çà ?
Je la plaqua contre la paroi de la douche tout en lui roulant une pèle
Je m’accroupis, pris ses jambes pour les faire reposer sur mes épaules et commença à lui déguster son minou, alertant entre des coups de langues, des baisers, des succions partout sur ses lèvres et son clitoris qui commençait à sortir de sa cachette.
Elle me pris rapidement la tête entre ses mains pour me bloquer tout retrait et jouit dans ma bouche abondamment.
je lui dis en rigolant :
humm une bonne chose de faites
elle posa sa main sur ma joue et la tapota plusieurs fois tout en levant les yeux au ciel.
Nous nous sommes lavé l’un l’autre se caressant abondamment
Passer l’euphorie de cette réconciliation à l’horizontale, les démons du passé vinrent hanter nos esprits et les jours et les nuits qui suivirent ne furent pas aussi facile que nous l’espérions
Fin de la 4eme partie
c’est Paula qui la trouva en premier
Elle cria :
je l’ai trouvé, je l’ai trouvé elle va bien
Inès ne comprenait pas à qui Paula parlait mais quand elle me vis elle se débattit tout en pleurant
non Marc je veux pas te voir je peux pas c’est trop dur
Inès écoutes je t’aime.
Elle criait :
je peux pas Marc je peux pas, je t’ai fais trop de mal. Je peux pas me le pardonner tout ce que je t’ai fais oh mon dieu je peux pas je peux pas
mais je me fous de ce que tu as fais
tu comprends pas je te mérite pas, je, je, je suis moche, sans coeur je me dégoûtes, je ne suis bonne qu’a te faire souffrir
c’est faux
mais et Paolo
Paolo, Paolo….
Je n’arriverais plus à réfléchir, la rage monta en moi, je serrais tellement fort mes mains sur la rambarde du bateau que des échardes rentraient dans la paume des mains sans que la douleur remonte à mon cerveau
tu veux savoir ce que je comptais faire à Paolo, demande à Paula ?
de quoi ? Paula qu’est ce qu’il comptait faire ?
Le regard d’Inès passa de Paula à moi avec une peur mélangée d’incompréhension et de détresse
Paula me regarda :
putain le con, tu comptes vraiment le faire, c’est pas une blague
quoi dis moi Paula, qu’est ce que Marc veux faire ?
Il…., il veut tuer Paolo
Inès lâcha Paula et me regarda incrédule.
Elle s’avança vers moi encore tremblante et me gifla tellement fort que je failli tomber par terre, portant ma main sur ma joue.
Elle avait frappé tellement fort que la paume de sa main était rouge et je ne parle même pas de ma joue qui devait être aussi bien marquée.
Je ne l’avais jamais vu dans un tel état
Sa voix tremblait de colère et malgré l’obscurité naissante, je voyais dans son regard un mélange de détresse et de rage
t’es complètement fou
Elle recommença a me frapper mais cette fois ci c’était sur le torse avec ses poings. Elle me frappait tellement souvent que ses poings ne décollaient même plus de mon torse, elle n’arrivait même plus a me frapper dans un mélange de pleurs et de gémissements
J’étais totalement perdu, n’arrivant ni à réfléchir et encore moins à prononcer le moindre mot.
La seule chose que je réussis à faire de la prendre dans mes bras et de la serrer contre moi pour qu’elle arrête de me frapper violemment.
Paula cria
écoutez et écoutez moi bien parce que je le répèterais pas, vous êtes fait l’un pour l’autre, bordel
Inès, tu sais que c’est l’homme de ta vie, quand il part en mer, tu es absente, livide tu m’écoutes à peine.
Quand il reviens tu rayonnes, tu es impatiente, euphorique je retrouve la Inès que j’aime et que je connais
Toi Marc, ne me contredit pas. Quand je t’accompagnes en mer les premiers jours tu es triste, tu es maladroit et puis tu te réfugies dans ton travail pour ne pas penser à Inès, je le sais et tout le monde le sait sur le bateau alors bon sang pardonnez vous, aimez vous, c’est pas possible que votre histoire finisse comme çà.
Je saisie les poings d’Ines qui était toujours plus ou moins entrain de me frapper machinalement
Je les porta à mon visage, et commençais à les embrasser, à les frotter partout sur mon visage à essayer de sécher mes larmes qui commençaient à couler
Inès me regardait les yeux rougis par les pleurs, la détresse. elle était méconnaissable.
Paula, elle, après avoir finit sa très convaincante plaidoirie nous rejoignis et craqua elle aussi.
Je l’accueilli en ouvrant mon bras pour la réconforter
Paula après avoir prix en profonde respiration me dit :
tu le feras pas hein ? sinon je sais pas ce que je te ferais
alors que j’hésitais peut être un peu trop longtemps à son gout, elle me repoussa violemment en me tapant sur l’épaule.
putain Marc je suis sérieuse si tu fais ça, je sais pas, je t’enferme dans le bateau et je te laisse pourrir jusqu’a ce que tu reprennes tes esprits
ok, ok Paula t’as gagné
Inès avait bien sur tout entendu mais elle n’arriva plus à parler, elle pleurait, recroqueviller sur ma poitrine
Après avoir repris un peu nos esprits et alors que nous étions entrain de marcher pour regagner la voiture Paula dit :
putain Victor merde
oui merde il faut qu’on le préviennes
quoi pourquoi ? s’écria Inès
bah il te cherche dans le centre il faut qu’on l’appelle
mais pourtant il a fait…
je sais Inès mais tu sais que c’est un bon gars alors quand le moment sera venu il faudra que vous discutiez.
On a appelé Victor et on lui a dit qu’on avait trouvé Inès et que tout allait bien
Victor était heureux et il ajouta qu’il avait trouvé Paolo et qu’il était en route pour la maison
Inès et Paula me regardèrent inquiet
Je répondis à Victor à contre coeur.
écoutes Victor ne lui fait rien de mal, on arrive et on va régler çà entre hommes mais calmement
Victor marmonna quelque chose il n’était visiblement pas content mais accepta ma demande
Les filles étaient toujours inquiètes peut être un peu moins qu’il y a quelques minutes mais inquiètes tout de même
Nous arrivâmes chez Victor qui nous attendait à l’entrée de sa grange armé d’une espèce de barre en fer.
Tout de suite je lui pris et je lui dis que c’était hors de question de lui faire du mal même si franchement lui casser les genoux cela m’en touchait une sans faire bouger l’autre comme on dit.
Paula me pris la barre de fer et insista pour rester avec nous alors qu’Inès ne se sentait pas d’assister à la scène.
Je lui demandais comment elle se sentait et elle me rassura ou tout du moins essaya.
elle sorti dehors
Paolo était par terre dans la grange les mains attachées autour d'une poutre
Paolo me regarda et commença à m’humilier
J’ai ordonné à Victor et a Paula de ne rien faire et de ne pas réagir à ses provocations
alors le cocu comment tu vas ? t’arrives à passer les portes avec tes cornes
je laissais couler alors que Victor commençait déjà à lui dire de la fermer
Je fis un geste à Victor pour lui signifier que c’était entre moi et Paolo
écoutes Paolo je suis pas la pour te casser la gueule mais si tu continues crois moi je serais pas long à changer d’avis
ah enfin un peu de caractère mon cocu, tu défends l’honneur de ta femme, d’ailleurs, elle est où ma princesse ?
il n’arrêtait pas de l’appeler en criant
Inès, Inès, Inès ma belle allez viens voir, viens m’offrir ton joli minou tu sais comme j’adore te déguster.
ferme la ne lui parle pas, ne prononce pas son nom
humm pourtant elle, elle a souvent prononcer mon nom dans ses soupirs, ses gémissements en me suppliant « viens en moi, baise moi, fais moi jouir encore » et bien sur le meilleur « joui en moi » mais celui la tu le connaissais déjà
Inès apparu soudainement dans l’encablure de la porte tremblante de rage, de colère, ses yeux était injecté de sang
Paula s’approcha d’Ines pour la tenir à distance
Paolo rigolait
- ah te voila ma princesse viens me délivrer et je te promets de bien m’occuper de toi
Inès réagit
- tu es le mal incarné comment ai je pu être aussi conne pour…
elle se débattu mais Paula l’a bloqua tant bien que mal tout en lui murmurant des choses à l’oreille.
Victor de son coté mis un coup de poing en plein dans le visage de Paolo.
sa lèvre saignait
Pourtant Paolo continuait de rigoler et puis il continua à jacter en s’adressant à moi :
Alors, vous allez vous remettre ensemble, mais au fond de toi Marc tu sais ce qui va se passer ? Chaque fois que tu lui feras l’amour, chaque fois qu’elle t’embrassera, qu’elle simulera quand tu la baiseras, à qui elle pensera à ton avis ? Peut être même qu’un jour elle reviendra des courses en retard, en sueur et elle te mentira droit dans les yeux parce qu’elle m’aura appelé pour regoûter au plaisir de ma queue.
S’en était trop je commençais à aller vers lui pour aller lui casser la gueule mais c’est Inès qui m’avait devancé
Elle lui sauta dessus et lui infligea plusieurs coups, lui griffa les joues avec ses ongles tout en hurlant toute sa rage
Paula n’avait pas réussi cette fois ci à la contenir et ni Victor ni moi n’avions eu le temps de réagir tellement elle avait bondi sur lui.
Sans comprendre pourquoi j’avais mis autant de temps à réagir je l’attrapais par derrière pour la séparer de lui mais j’avais beaucoup de mal à la retenir.
Elle était hystérique, je l’a soulevait et la tirait mais avec ses jambes elle se débattait tellement qu’elle me fit chuter.
Heureusement j’ai pu la maintenir à terre et elle éclata en sanglot tout en hurlant,
- je vais te tuer, je vais te tuer
Je tentais de la calmer en lui caressait les cheveux et l’embrassait sur sa tête, sa nuque.
Paolo lui se marrait malgré le sang qui coulait de ses lèvres, les traces de griffures sur ces joues et même son nez qui semblait être cassé
Victor mis un autre coup de poing à Paolo tandis Paula m’aidait à prendre en charge Inès pour l’éloigner et la calmer
Je ramassais une fourche qui trainait par terre, et je me suis dirigé vers Paolo et je l’ai lancé vers lui
au même moment Paula Inès et Victor hurlèrent nooonnn !!!!
La fourche se planta juste au dessus de sa tête sur la poutre
Le visage de Paolo était défiguré par la peur, je le pris à la gorge et lui dis :
tu dégages on veut plus te revoir ici. Si je te vois je te balancerais aux requins sans le moindre scrupule
Victor ajouta
ouais un terrible et malheureux accident
il hocha la tête il avait compris parti le soir même
Alors que la tension redescendait doucement, de mon coté je compris qu’Inès était trop mal pour que l’on discute, et de toute façon je n’étais moi même pas dans les meilleurs dispositions pour avoir une conversation avec elle
Elle pleurait toujours dans les bras de Paula et celle ci me fit signe qu’elle s’en occupait.
Victor m’invita à rester dormir chez lui et suggéra que Paula reste dormir avec Inès.
Vu l’heure, l’état de fatigue et de nervosité de chacun tout le monde acquiesça
Je lui en voulais mais la voir dans cet état gommait toute ma rage, toute ma jalousie
Je ne voulais pas la brusquer.
Le lendemain et les quelques jours qui suivirent Paula tentait de me rassurer sur l’état de santé d’Inès, et me persuadait que c’était à elle de faire le premier pas.
Ce fut difficile à accepter mais elle avait raison, comme toujours et je lui fis remarquer
Elle rigola et me dit :
que veux tu je suis parfaite
oui et c’est très énervant mais merci, merci pour tout je te dois ma vie
t’exagères pas quand même
non je suis sérieux si tu n’avais pas été la Ines ne serait…
non ne pense pas à ça, chasse tout de suite cette idée de la tête.
oui tu as raison encore une fois mais moi, je pense que Paolo je l’aurais…
tu commences à m’énerver Marc chasse cette idée, je te connais tu n’es pas quelqu’un de violent et puis Victor et moi on t’aurait empêcher
je sais pas Paula j’étais, je voulais vraiment mais…
mais tu ne l’as pas fait et c’est ça qui importe, alors change de disque, moi je m’occupe d’Ines
Et puis un jour Inès vint me voir alors que j’était entrain de couper du bois et me dit qu’elle n’était pas encore tout à fait prête à revivre ensemble
elle me dit :
écoutes j’ai bien réfléchi je me sens pas encore prête pour nous 2 j’ai besoin de temps
ok pas de problèmes prends tout le temps que tu veux. prends la maison je vais aller dormir dans le bateau tu seras mieux à la maison pour réfléchir alors que le bateau tu sais bien que tu es malade et puis Victor est la, il t’aidera
c’est gentil t’es adorable comme toujours mais je suis pas prête pour la maison j’ai encore tu vois encore des images avec…
oui je comprends pardon excuse moi je suis dé….
c’est pas grave mon chéri (elle s’excusa presque d’avoir prononcer ce mot). je vais aller dormir chez Paula en attendant
Je lui souris à l’évocation de cette douce attention
elle rigola presque gêné, et nous nous enlacèrent et embrassèrent maladroitement et assez brièvement. La passion était la mais c’était encore trop tôt pour nous 2.
Après quelques semaines sans nouvelles d’Inès ou presque, alors que je commençais à désespérer, un soir alors que je rentrais très tard du local, je me rendis compte que quelqu’un était à la maison et avait allumé un feu dans la cheminée
Je me demandais qui pouvait bien être chez moi et pensa que s’était sûrement Victor qui m’avait préparer un feu pour me réchauffer puisque l’hiver était déjà bien présent et que les températures étaient déjà largement négatives.
Je rentrais et je vis la silhouette ou plutôt j’entre-apercevais Inès, assise sur le fauteuil près de la cheminée.
Elle était nue et seul la guitare posée sur ces genoux masquait partiellement son corps tremblant.
Les flammes éclairaient par intermittence son visage, ses jambes, ses mains posés sur la guitare et ses tétons dressés par le froid malgré le feu tout proche.
Elle commença à jouer et je reconnu tout de suite la chanson
elle jouait You’re the One That I Want la célèbre chanson de Grease dans une version plus proche de celle de Julia Stone et Damien Rice que nous aimions écouter de temps en temps.
Alors que je m’approchais elle me me fit signe de ne dire aucun mot et je m’assis sur le fauteuil à coté.
La lumière du feu me permettait de voir ses yeux embuées tout au long de la chanson.
Elle chantait bien, d’ailleurs je lui avais toujours dis qu’elle aurait pu faire carrière.
Mais lorsqu’elle chanta se passage, sa gorge était tellement nouée que je distinguais presque plus les paroles
You better shape up, 'cause I need a man
And my heart is set on you
You better shape up, better understand
To my heart I must be true
Nothin' left, nothin' left for me to do
You're the one that I want
Lorsque vint le refrain, plus aucun son ne sortait de sa bouche tellement l’émotion la submergeait
Les larmes coulait sur ses joues et sur ses lèvres.
You're the one that I want
Honey, the one that I want
Honey, the one that I want
J’enfouissais ma tête entre mes jambes, et voyait le sol jonché de mes larmes.
Lorsqu’elle joua les derniers notes de la chanson et qu’elle posa la guitare au sol, je levais la tête et la regardais
Je bondi de mon fauteuil et l’embrassa faisant basculer le fauteuil en arrière.
Nous nous retrouvâmes sur le sol à nous embrasser partout sur le visage, la tête, le cou partout tout en joignant nos mains en nous caressant brutalement, bestialement.
on aurait dis des ados qui s’embrassaient pour la 1ere fois.
Apres quelques minutes, je lui pris la tête entre mes mains et lui dis sur le ton de la plaisanterie
j’ai failli attendre
elle rit
tu sais que j’aime me faire désiré
j’ai effectivement de nombreux souvenirs en tête
elle rigola et me mis une pichenette sur le front pour signifier sa désapprobation a cette vanne douteuse.
viens plutôt m’embrasser
Je l’ai prise par les jambes et par le haut du bassin comme on peut prendre un enfant dans les bras, elle se lova tout contre moi en enroulant ses bras autour de mon cou, m’embrassa à nouveau et me dit :
You better shape up, 'cause I need a man
Je lui souris et à peine je l’avais déposé sur le lit qu’elle m’embrassa a nouveau tout en me mordant la lèvre pour me tirer vers elle.
Et puis je ne sais pas comment l’expliquer mais a ce moment la, c’était comme si le temps s’était arrêter.
Au lieu de se jeter a corps perdu pour faire l’amour alors que le désir brûlait en nous, nous nous sommes regarder longtemps, yeux dans les yeux, nez contre nez, front contre front.
Tous nos sens étaient hyper sensible à l’écoute de l’autre.
Son odeur, sa peau, sa respiration tout m’avait manqué.
Nous profitions de cet instant suspendu
Puis nous nous sommes embrassé et nos baisers se faisaient de plus en plus appuyés, presque violent.
Les baisers devenaient bestiales, nos lèvres s’entrechoquant à répétition, nous nous mordions même les lèvres et nos langues
La respiration était plus lourde, plus profonde, le rythme cardiaque s’accélérait, et le désir montait tel un volcan prèt à exploser, et très vite le volcan entra en éruption dans une longue nuit d’amour.
Après cette nuit nous restâmes cote à coté à nous regarder, j’avais sa main posée sur sa joue et elle avait la sienne posée sur la mienne
Alors que le soleil commençait franchir l’horizon, je m’endormi avec cette image et lorsque je me réveillais nous n’avions pas bougé d’un poil.
Elle respirait lentement
Je m’approchais d’elle pour ressentir sa respiration, elle était belle, apaisée, peu importe le mal qu’elle m’avait fait je lui avais déjà pardonné
elle perçu ma présence, ouvra ses yeux et me sourit et me dit :
bonjour toi
bonjour toi
a quoi tu penses ?
que je recommencerais bien ce qu’on a finit hier soir
humm tu es sur que c’était hier soir et pas plutôt tout à l’heure.
le temps passe plus vite avec toi ma chérie
tu ne dois pas aller au bateau aujourd’hui ?
non je ne veux encore profiter de toi
mais Paula m’avait dit que ?
ça attendra puis il y a plein d’autres choses à faire sur terre
comme quoi ?
traire les vaches, couper du bois, réparer les enclos, faire l’amour à ma femme…
ah oui c’est une corvée de faire l’amour à ta femme
ça demande du temps et de l’énergie donc oui
salaud puisque c’est comme çà tu n’auras rien ce matin je vais aller prendre une douche
elle se leva, fit mine de bougonner
Je l’a rattrapais sur le chemin de la douche en l’enlaçant par derrière tout en l’embrassant sur la nuque
elle ajouta :
tu crois que tu vas t’en sortir comme çà ?
Je la plaqua contre la paroi de la douche tout en lui roulant une pèle
Je m’accroupis, pris ses jambes pour les faire reposer sur mes épaules et commença à lui déguster son minou, alertant entre des coups de langues, des baisers, des succions partout sur ses lèvres et son clitoris qui commençait à sortir de sa cachette.
Elle me pris rapidement la tête entre ses mains pour me bloquer tout retrait et jouit dans ma bouche abondamment.
je lui dis en rigolant :
humm une bonne chose de faites
elle posa sa main sur ma joue et la tapota plusieurs fois tout en levant les yeux au ciel.
Nous nous sommes lavé l’un l’autre se caressant abondamment
Passer l’euphorie de cette réconciliation à l’horizontale, les démons du passé vinrent hanter nos esprits et les jours et les nuits qui suivirent ne furent pas aussi facile que nous l’espérions
Fin de la 4eme partie
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire invraisemblable et mal fichu …. À oublier
Effectivement les lecteurs aimeraient bien connaître la vérité sur ce que Paolo à affirmé des nombreux rapports sexuel qu il a eu avec Inès. Peut être n est elle pas aussi sincère qu elle veut bien le faire croire.Dans ce genre d adultère à répétition il est très difficile de pardonner et surtout d oublier.
Trop de questions en suspend pour adhérer à cette happy end.
Pourquoi ne parle -t-elle pas à Marc, pourquoi tant de temps pour le rejoindre ? Pas la conscience tranquille ...
Marc est content qu'Inès soit retrouvée saine et sauve.... mais bye
Pourquoi ne parle -t-elle pas à Marc, pourquoi tant de temps pour le rejoindre ? Pas la conscience tranquille ...
Marc est content qu'Inès soit retrouvée saine et sauve.... mais bye
c'est baclé et incrédible
on ne voit pas le vrai rôle de chacun
qui a attaché paolo et pourquoi sa haine envers le mari
victor a filmé il était présent inès l'a forcément vu, a-t-il participé?
et paula? pourquoi sa colère? est-ce sincère?
inés était infidèle juste cette fois?
a la place du mari je serai reparti en mer quelques mois sans pardonner et laissant ce sac d'embrouilles et ces personnes infectes se démerder, un marin n'a besoin que du grand large
on ne voit pas le vrai rôle de chacun
qui a attaché paolo et pourquoi sa haine envers le mari
victor a filmé il était présent inès l'a forcément vu, a-t-il participé?
et paula? pourquoi sa colère? est-ce sincère?
inés était infidèle juste cette fois?
a la place du mari je serai reparti en mer quelques mois sans pardonner et laissant ce sac d'embrouilles et ces personnes infectes se démerder, un marin n'a besoin que du grand large
Pauvre mari, il s'est bien fait avoir...la vidéo est claire, elle a baisé avec Paolo, il ne l'a pas forcé.
L’euphorie des retrouvailles passe il manque beaucoup d’explications rien n’est réglé la poussiere est sous le tapis vite la suite
Les efforts d’Ines pour réparer ses fautes n’est pas très flagrant, voire inexistants … Personnellement, je ne pourrais encore moins lui pardonner.
Aura-t-on la version de ce qui s’est réellement passé d’Ines et combien de fois réellement a-t-elle couchée avec Paolo? Et pourquoi lui a-t-il fallu aussi longtemps pour retourner vers Marc? Est-ce le fait qu’elle l’ai complètement oublié et baiser de nombreuses fois avec Paolo comme raconté par lui… Est-ce pour cela qu’elle n’assume pas? Merci d’avance à l’auteur de ne pas nous laisser dans l’ignorance…