le 1er jour d’après (suite 5)

- Par l'auteur HDS Davidwebb -
Récit érotique écrit par Davidwebb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : le 1er jour d’après (suite 5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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le 1er jour d’après (suite 5)
Un soir alors que je rentrais de l’asso tard, Inès m’avait réservé une soirée spéciale
quand j’ai ouvert la porte il y avait des bougies partout qui menait à la chambre

Je lui dis :

ouah ma chérie et c’est pour quel occasion
rien de spécial j’avais juste envie
humm j’ai hâte est ce que je peux manger une morceau avant ?
après ce que je te réserve tu n’auras plus faim mon amour
ouah tu excites ma curiosité

Elle m’invita à aller dans la chambre
Elle me déshabilla entièrement puis me déshabilla du regard
Ma verge commençait déjà à monter le bout de son nez


Puis elle fit tomber son déshabillé et je la découvris en sous vêtements ultra sexy composé d’un soutien-gorge à quart de bonnets en dentelle noir laissant apparaître ses tétons déjà fièrement dressés, assortie d’un petit tanga ouvert me donnant déja un aperçu très alléchant de son clitoris.
Pour finir elle avait habillé ses jambes d’une magnifique paire de bas autofixants noir
Je ne l’avais jamais vu aussi sexy depuis des années.

A cette vision ma verge tressailli plusieurs fois d’excitation et grandit de quelques centimètres

Elle me fit remarqué :
je vois que tu es déjà bien en forme donc je vais devoir te mettre ça

Elle pris délicatement mon sexe, le caressant, presque le branlant de sa main et plaça un anneau pénien pour retarder mon éjaculation

Elle m’invita à m’allonger sur le lit
Elle sorti de je ne sais où 4 paires de menottes

Je lui dis :
ouah tu sors le grand jeu mon amour
et ce n’est que le début mais il y a des règles
quelles sortent de règles ?
tu ne dois pas prendre d’initiatives, et encore moins m’embrasser c’est moi qui dirige tout.
ok ça ne sera pas facile mon amour
dans la mesure du possible je ne veux pas de supplication ni dans la parole, ni dans les gestes, ni dans le regard
ouah tu commences a m’inquiéter
ne t’inquiètes pas profites juste des sensations que je vais te procurer.

Elle m’attacha tout d’abord mes pieds au lit avec les 2 paires de menottes veillant bien à frotter généreusement ses seins sur mes jambes, agaçant ses tétons sur mes orteils, provoquant déjà des spasmes non controlé de ma verge.

Elle s’allongea sur moi, pour me mettre les 2 autres paires de menottes en veillant bien à frotter ses seins, ses aisselles partout sur mon corps et particulièrement sur mon visage et ma bouche.

Je sortais ma langue pour venir lui lécher un sein mais elle me réprimandait vite en me disant :

- pas d’initiatives ou tu seras puni

Ce n’était que le début et je commençais déjà à devenir impatient

Alors qu’elle était entrain d’attacher la 2eme menotte, je lui dis

tu es tellement excitante comme ça mon amour j’ai tellement envie de toi
ah je t’avais dit pas de mots, tu seras puni

Elle sorti un foulard et le mit dans ma bouche m’empêchant de prononcer le moindre mot, j’étais prisonnier et muet

Elle commença alors à me caresser, m’effleura avec ses doigts, sa bouche, son nez, ses joues, ses tétons, ses seins en ciblant mes tétons, mes lèvres, mon torse, mes jambes et
mon pubis avec une lenteur terriblement excitante mais de plus en plus frustrante.

Je redressais la tête mais elle me vis et me fit comprendre que je devais l’allonger sur le lit.
Avec sa bouche elle me donna quelques baisers très léger presque une caresse de ses lèvres tout autour de mon pubis, embrassant mes reins, mes jambes, allant à l’intérieur de celles ci, remontant jusqu’a mon scrotum tout en évitant volontairement mes testicules et ma verge.

Elle en profita pour mon plus grand plaisir a venir effleurer de sa langue ces mêmes parties provoquant en moi des soubresauts et quelques gémissements de plaisir.

Je sentais déjà que la nuit serait longue et éprouvante.

Je transpirais déjà, ma respiration était de plus en plus saccadé, je redressais mon visage pour regarder voyant mon buste monter et descendre au rythme de ma respiration tellement je commençais à être exciter.

Bravant l’interdit je relevais la tête et je pus l’admirer quelques secondes sans qu’elle le remarque, avant qu’elle s’en rende compte lorsque d’un geste rapide et soudain, elle vint me lécher un testicule m’arrachant un gémissement étouffé.

Elle me vit et me fit signe avec son doigt sur sa bouche de prononcer aucun son.

Elle continua son traitement longtemps répétant incessamment le même parcours mais toujours dans un ordre aléatoire et différent en variant en plus les intensités de ces contacts.
J’étais aux aboies frissonnant convulsant presque tellement les sensations étaient fortes.

Je relâchais les muscles de ma nuque qui commençait à me faire mal tant j’étais resté longtemps en suspension et puis je devais me concentrer un maximum pour ne pas jouir malgré l’anneau pénien qui commençait déjà à me faire mal.

Encore une fois et malgré ma promesse de ne pas regarder, je ne pouvais résister et je la fixais à nouveau.
Elle me regarda, sourit puis mis sa tête juste au dessus de ma verge.
Je gémis à ce plaisir qui n’allait pas tarder.

Mais alors que je trouvais le temps long je décidais de redresser mon cou pour regarder à nouveau
elle me fixait du regard toujours dans la même position et me dit
tu as encore perdu mon amour tu connais la sanction

J’enrageais d’une plainte masqué bien évidement par ce satané foulard.
La tournure des opérations commençait sérieusement à m’inquiéter

Elle planta ses dents sur mon gland suffisamment fort pour me faire crier de surprise mais pas assez pour me faire mal

Elle m’interpella
tu veux que je te libère mon amour
Je l’implorais, la suppliait de mes yeux
c’est bien mon chéri tu n’as pas gémis tu auras une récompense mais sache que la punition peut revenir à tout moment

Elle me fit un bisous sur le bout du gland, puis avec sa langue elle parcourra mon pubis, remontant sur mon nombril, mon torse, mes tétons, mon cou, puis vers mon menton et la commissure de mes lèvres.
Elle continua mais cette fois ci en posant des baisers sur mes yeux et mon front.
elle passa très rapidement sur le lobe de mes oreilles les suçant de sa langue agile et suave.
Elle remonta inexorablement et posa ses mains sur mon poignet droit pour me libérer.

J’allais enfin être libérer de mes liens mais elle s’arrêta nette.
J’émis un gémissement désapprobateur qui lui provoqua une sourire de satisfaction

Elle posa alors sa poitrine sur mon visage et se frotta ainsi pendant un certains temps au point ou j’eu presque l’impression qu’elle allait m’étouffer avec ses seins.

Elle pris son sein gauche et avec son téton, elle me caressa la joue puis vint tout autour de mes lèvres les caresser, les effleurer, les énerver.
J’aurais tuer pour qu’elle m’enlève le foulard.

Elle fit de même avec son sein droit mais ni pouvant plus, je réussi à dégager ma langue et lui lécher le téton
Elle s’en rendit compte bien évidemment et me fusilla du regard
J’avais de nouveau craqué et j’allais pour la énième fois subir son courroux

Elle me dit
décidément mon amour tu es beaucoup trop impatient

Impatient comment ne pouvais je pas l’être alors qu’elle me faisait subir 1001 tortures.

Elle recommença à me caresser les lèvres avec son sein droit mais en appuyant un peu plus faisant presque rentrer son téton dans ma bouche à travers le foulard.

Je plaquais ma langue sur le foulard et devinais à travers les contours et la fermeté du téton
J’hésitais à le titiller avec ma langue pour venir le caresser ou même tenter de refermer ma mâchoire sur son sein
Je me lançais timidement avec ma langue.
La garce, elle me regarda avec un sourire que je n’arrivais pas à déchiffrer.
Avait-elle envie que je continue ou étais-je aller trop loin dans ma prise d’initiative
allait t elle me punir encore une fois ?

Finalement l’envie, le désir choisi à ma place et je plaquais ma langue sur son téton, l’agaçant, l’aspirant à travers le foulard

Elle ferma les yeux, sa tête bascula en arrière et elle soupira de plaisir appréciant mon initiative.

Dieux que c’était bon, mais j’étais tout de même sur mes gardes dans l’éventualité d’une nouvelle sanction.

Elle retira trop vite son téton à mon gout.

Elle me regarda d’un air satisfait. Non seulement elle me tenait prisonnier avec ces menottes mais elle contrôlait mes envies, elle avait un total contrôle sur moi et semblait s’en délecter

Elle me présenta son sein gauche pour que je m’en occupe, mais alors que son téton était a quelques millimètres de ma bouche, le sentant presque sous ma lèvre, elle me fit non de la tête

Je gémissais encore une fois de colère, bougeant ma tête

Elle me dit :
tu en as eu assez pour ce soir mon amour

J’étais en panique, que voulait elle dire par là ?
Avais je été trop loin dans mes plaintes ?
Me faisait elle patienter pour mieux revenir à la charge ou pire est ce la fin de la récreation ?

Mes yeux l’implorait malgré le traitement qu’elle m’avait fait subir j’aurais bien voulu continuer car en bas ma verge me faisait mal, j’avais l’impression que la douleur irradiait vers mon scrotum et mes testicules

Elle me dit :
- mon pauvre choux je vais te libérer mais tu dois me jurer de ne pas prononcer un mot quand je vais te libérer
Je fis oui de la tête

Elle retira le foulard.

Je voulais lui dire, lui supplier de me faire jouir mais je ne pouvais pas, je devais tenir ma promesse.
Et puis elle ajouta :

veux tu jouir ?
Je lui fit oui de la tête, l’implorant de mon regard encore une fois

c’est bien mon chéri mais pas encore. Sois patient cela viendra bientôt

Patient, comment un homme pouvait il être patient dans de telles circonstances. Ma queue, les couilles me faisaient un mal de chien.
et puis surtout bientôt mais quand serait ce bientôt, dans une minute, 10, une heure, plus.
Même une minute serait pour moi l’éternité vu mon état

Je l’a fixais avec mon regard lui suppliant encore plus qu’il était possible pour m’achever.

Elle sourit et continua :

mon amour pour que ta jouissance soit à son paroxysme, je vais te bander les yeux mais je vais te laisser la possibilité de t’exprimer mais attention ton temps de parole sera limité et je pourrais te bâillonner la bouche.
j’ai compris mon amour mais…
pas de mais mon chéri. Bien, tu te souviens de notre petit défi ?
non je ne crois pas et puis je suis pas en état de m’en souvenir
eh bien tu vas vite t’en souvenir parce qu’il vient tout juste de commencer

Elle me banda les yeux et la je vécu l’enfer au paradis ou peut être que c’était le paradis en enfer

Là avec sa bouche, elle commença à me faire subir le même traitement mais cette fois ci elle soufflait délicatement sur toutes les parties de mon corps.

Ce fut d’abord ma bouche, mon cou, mes tétons, mes aisselles qui furent attaquer.
Elle descendit sur mon torse, mon ventre mon pubis, l’intérieur de mes jambes.
Elle remonta en passant sur chacune des zones ou elle était passé mais dans un ordre différent, au point ou je ne savais plus ou elle était.

Puis elle ajouta d’autres zones beaucoup plus sensibles, soufflant sur mon testicule gauche, repassant sur mon pubis et souffla sur mon testicule droit et mon scrotum.
Elle garda le meilleur enfin le pire pour la fin en remontant sur toute la longueur de ma verge en soufflant avec un très léger filet d’air.

Elle fit le tour de mon gland puis redescendant vers mes couilles mais en la c’était sur l’autre versant de ma verge.
Combles de la torture elle s’amusait à revenir sur ses pas m’arrachant encore des soupirs des plaintes.

je lui dis :
je vais jouir ma chérie
tu vas ou tu veux ?
je veux, je vais, je…

Je ne savais plus, je ne pouvais plus réfléchir j’avais l’impression que ton mon sang convergeait vers ma verge. Je transpirais à grosses gouttes, j’avais la chair de poule et des spasmes incontrôlables parcourraient tout mon corps.

mon chéri je pense que tu peux encore tenir, fais le pour moi s’il te plait
j’en peux plus, je vais lâcher, achève moi je t’en supplie.
mon chéri respire calmement je sais que tu as encore des ressources, ta verge n’est pas encore mure pour jouir

Mure, elle l’était déjà depuis longtemps gorgée de sperme prêt à exploser comme un geyser.
Je n’en pouvais plus, j’étais sur que ma verge était violette.

Et puis me laissant presque aucun répit, elle recommença le traitement mais cette fois ci elle se concentrait sur ma verge au point ou j’avais l’impression de sentir sa langue me toucher.

Elle s’arrêta pendant quelques secondes qui me parue très, trop longues.

Et soudain je senti tout autour de mon gland l’humidité de sa bouche.
Après quelques secondes à essayer de comprendre ce qu’il se passait, je compris qu’elle avait gobé mon gland avec sa bouche mais sans que ses lèvres et sa langue ne touche mon gland
Je ressentais sa respiration lente et profonde, provoquant quelques spasmes de ma verge.

C’était terriblement excitant mais atrocement frustrant.

Ni tentant plus je la suppliais pour la centième fois peut etre de refermer ses lèvres et de me faire jouir, mais elle ne faisait rien alors j’ai commencé avec faire tressaillir ma queue pour espérer toucher ses lèvres ou sa langue peu importe.
J’étais sur que le contact avec l’une ou l’autre me ferais jouir instantanément.

Mais la garce me tapait la verge a chaque fois que j’essayais d’entrer en contact avec sa langue ou ses lèvres.

Sa bouche redisparu aussi vite qu’elle était apparu.
Elle recommença son traitement sur mes testicules, mon pubis et toutes les autres parties de mon corps qu’elle se faisait un plaisir de torturer.

Pour la énième fois je la suppliais, l’implorais presque aux larmes de me finir, j’avais des crampes aux jambes et mes spasmes musculaires s’intensifiaient dans tout le corps.
J’espérais jouir mais ce satané anneau pénien me pressait la verge faisant un garot.
Je bougeais ma tête dans tous les sens, espérant pouvoir libérer mes yeux de mon foulard pour qu’elle est pitié de moi

Peine perdu, elle avait très bien attaché le foulard et puis elle recommença encore une fois à emboucher ma verge mais cette fois ci elle ne me laissa pas le temps de faire tressaillir ma verge pour venir au contact de sa bouche, elle saisi la base de ma verge la serrant fortement de ses doigts pour faire un garrot.

Ce fut peine perdu au simple contact de ses doigts et malgré la pression qu’elle exerçait et l’anneau pénien je jouis enfin, dans un long râle puissant et libérateur, j’expulsais plusieurs fois une quantité astronomique de sperme, me faisant mal tant la pression était importante.

Dire que j’étais épuisé était un euphémisme. j’étais vider de toutes mes forces mon coeur battant si fort sur ma poitrine que j’avais l’impression d’avoir fait un marathon en altitude.

Elle remonta langoureusement vers moi pour me délivrer mais je n’avais tellement plus de force que son poids sur mon torse n’empêchait de respirer facilement

je lui dis essouffler
attends laisse moi reprendre mon souffle
elle, inquiète :
ca va chérie ?
oui mais c’était, c’était
je suis allez trop loin mon chéri je suis désolé
non non c’était, c’était magique mais j’ai besoin de reprendre mon souffle j’ai la tête qui tourne
oh mon chéri excuse moi

elle enleva mon bandeau et vis que je ne plaisantais pas.
elle me dit en souriant

tu veux que je te fasse du bouche à bouche ?

Après quelques instants à me remettre, je lui souris et lui fit oui de la tête

Elle me caressa le visage de sa main et m’embrassa alors avec une infinie délicatesse

Je lui dis
délivre moi s’il te plait

Alors qu’elle s’apprêtait à le faire elle aperçu ma verge à semi bandé.

humm mais dis donc tu n’es pas si épuisé que çà on dirait

Je jetais un coup d’oeil à ma verge collée à mon ventre à semi bandée et encore pleine de sperme
Pourtant je n’avais pas l’impression de bander. il y avait eu un tel afflux de sang au cours de cette séance qui dura peut être des heures, que cela ne m’étonna même pas.

Elle me lança un regard gourmand

Je la suppliais du regard et dit :
non je t’en prie Inès je suis sérieux j’en peux plus, je ferais ce que tu veux ma chérie
humm tout ce que je veux c’est çà (elle me montrait ma queue)

Une pensé me traversa l’esprit à ce moment précis
Comment après ce que j’avais vécu, pouvais je dire cela alors que jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et que peut être jamais un homme avait il subit une si belle torture de la part de sa femme et pourtant à cette instant je n’envisageais pas un 2eme round d’autant plus que je ne savais pas quel traitement elle allait m’infliger.

N’écoutant qu’elle, elle m’ignora et en voyant tout le sperme sur le haut de mes jambes, mon pubis, mes couilles mon ventre et mon sexe, elle s’allongea entre mes jambes et commença à descendre son visage
Tout en me fixant du regard, elle tira la langue et commença à me nettoyer partout ou il y avait du sperme.

Sa langue était douce, délicate. Elle se faisait un plaisir de repasser plusieurs fois au même endroit alors qu’un seul coup de langue aurait suffit à effacer toutes traces de ma semence.
Elle s’attarda plus que de raison sur mes couilles et ma verge qui sous l’effet de sa langue reprenait une vigueur que je maudissais presque.

Elle me regarda à nouveau avec un regard presque vicieux

humm chérie je crois que tu es prêt pour le 2eme round
non si tu veux, tu me libères et je te fais jouir avec ma langue et mais j’en peux plus.
non mon amour, je veux ta queue et je veux que tu me fasses jouir avec.
chérie d’accord mais enlève moi cette anneau je te ferais l’amour
au contraire mon chérie je vais le laisser car j’ai l’impression que tu es parti très loin et il faut que je te rattrapes. Je pense que tu auras besoin de ses services pour me faire jouir.
non s’il te plait
mon amour tu n’auras rien à faire je m’occupe de tout. Tu n’as qu’a te concentrer sur une seule chose, tenir le plus longtemps possible
et respirer parce que je sens que je vais avoir une attaque


Elle retira son tanga délicatement alors que j’avais son cul bien en évidence à quelques centimètres de mon visage.
Puis elle me demanda de mordre la pointe de ses bas et tira dans le sens opposé pour les enlever.
Enfin elle colla son soutien gorge sous mon nez, ses tétons venaient frottés sur mes joues et à la commissure de mes lèvres.
Elle m’ordonna de tenir l’armature du son soutien gorge entre mes dents, dégrafa son soutien gorge le retira complètement.
elle me regarda d’un oeil coquin et me dit
chéri tu es très excitant avec ta queue bien bandé et mon soutif entre les dents

Elle m’enjamba et colla son sexe sur ma queue.

Je pus constater que celui ci était déjà bien humide ce qui me rassura sur son état d’excitation.
Elle jouira rapidement enfin c’est ce que j’espérais presque égoïstement

Alors que je pensais qu’elle allait vite s’empaler sur ma queue elle commença à frotter son vagin sur ma verge allant et venant à un rythme lent mais régulier mais sans jamais pénétrer son sexe trempé.

J’étais à nouveau en enfer.

Parfois elle surélevait son bassin de sorte que ses va et vient venait effleurer ma verge et parfois elle y mettait tout son poids écrasant ma verge, la branlant, la tapissant de sa mouille.

Elle répéta ce mouvement de nombreuses fois jusqu’à jouir une première fois abondamment

Elle me dit
merci mon chéri j’ai joui très fort
libères moi je veux te gouter
humm cochon mais comme tu m’as fait bien jouir je t’accorde ce petit cadeau

Je ne sais pas pourquoi mais j’avais un mauvais pressentiment et je ne fus pas déçu

Elle avança son bassin vers mon visage et alors que je voyais son vagin trempée et que quelques gouttes venaient s’échouer sur mon visage goutant enfin à son jus d’amour, elle s’approcha de plus en plus au point ou senti ses lèvres vaginales effleurer ma bouche
elle resta en suspension un instant me torturant alors que j’avais tendu ma langue pour venir la déguster.

Elle m’ordonna de fermer la bouche
Elle s’assis sur mon visage d’un seul coup et essuya son vagin sur ma bouche et remonta sur mon nez se servant de lui pour se pénétrer.

Elle quitta aussitôt mon visage et se frotta le vagin sur mon torse, mes tétons, descendant sur mon pubis, puis mes jambes mes tibias et mes pieds. elle profita de mes orteils pour se pénétrer.

J’avais toute son odeur de sexe sur moi ce qui augmentait encore l’afflue sanguin vers ma verge.
Je bandais tellement qu’a nouveau la douleur irradiait ma verge, mes testicules et mon scrotum
Je la suppliais à nouveau de venir me chevaucher

Elle me dit :
mon chéri je suis encore loin d’avoir autant joui que toi laisse moi encore un peu de temps
si tu ne viens pas tout de suite je te ferais vivre ce supplice au centuple
tu me menaces alors que tu es toujours mon prisonnier je vais prendre encore plus mon temps
non pas çà j’ai mal à ma queue s’il te plait mon amour, ait pitié

De nouveau elle frotta son vagin et son clitoris sur mon sexe violacé faisant des allers et retours toujours aussi appuyé

Je sentais qu’elle commençait enfin à faiblir, sa respiration était de plus en plus irrégulière, ses va et viens était moins régulier

Dans un geste désespéré, je pris l’initiative des échanges :
viens ma chérie, viens te faire jouir sur ma queue, je sais que tu en meurs d’envie
humm c’est une idée alléchante mais je préfère ta bouche
viens je te promets de pas me venger je veux te faire jouir comme tu m’as fait jouir

Elle quitta mon entrejambe et place son vagin trempée au dessus de ma bouche.
Alors qu’elle pensait pouvoir répéter sa torture en me laissant effleurer ses lèvres avec ma langue, elle n’eu pas la force de tenir et c’est avec ma langue tout entière que je la pénétrais.
Tel un poisson accroché à un hameçon je ne lâchais pas ma prise au contraire, ma bouche venait se coller à son vagin, aspirant le moindre filet de sa mouille, la buvant.

Visiblement le traitement qu’elle m’infligeait depuis peut etre des heures ne fut pas sans conséquence pour elle.

Elle tremblait, gémissait, criait à gorge déployée.
Son orgasme n’était vraiment plus très loin et s’annonçait terrible.
Elle tremblait, frottant fortement son sexe sur ma bouche, me faisant presque mal aux dents et à ma langue, me tenant la tête entre ses mains.

Mais quel délice, je sentais les effluves de son vagin, le flot de mouille continue irriguée ma bouche, ressentant les moindres contraction de son vagin sur ma langue et mes lèvres.
J’aurais pu mourrir dans cette position mais j’avais bien mieux à faire, oh oui bien mieux.

Après lui avoir laissé un peu de répit, je repris ma petite gymnastique buccale
Je continuas à souffler, aspirer et lecher ses lèvres et son clito, provoquant en elle des miaulements de satisfaction et autres onomatopées de plus en plus fréquents et de moins en moins compréhensible.

Elle était de nouveau sur le point de non retour de déclencher un nouvel orgasme et je décidais de la torturer un peu arrêtant mon traitement.

Elle me fit comprendre du regard que ce n’était pas la meilleure idée de ma vie à cet instant

Je n’insistai pas mais je décidais tout de même de lui adresser un dernier avertissement en lui mordillant le plus délicatement possible son clitoris lui arrachant un gémissement beaucoup plus fort, provoquant enfin un nouvel orgasme si dévastateur que tous les muscles de son bassin lâchèrent d’un seul coup m’obligeant à lâcher son clito et à boire sa jouissance.

Elle resta sur moi comme çà longtemps, j’en profitais pour aspirer, lécher chaque recoin de son vagin si délicieux
Elle respirait fortement, ses seins masquant par intermittence son visage qui me souriait.
Malgré l’envie de la déguster encore j'en profitais pour lui demander si elle pouvait me libérer

Après avoir repris son souffle à plusieurs reprises, elle bascula en avant pour libérer mes poignets de ces menottes
Enfin libre je me redressais en l’enveloppant de mes bras et en l’embrassant à pleine bouche faisant tournoyer nos langues

je lui dis :
jamais j’ai vécu…
tu as aimer malgré tes plaintes ?
tu m’as fait vivre quelque chose d’insensé mon amour mais j’avoue que je te voyais pas aussi perverse
humm je le prends comme un compliment vu l’investissement que tu as mis à me faire jouir
j’espère bien et je veux bien te le prouver quand tu veux mais si tu dois encore m’attacher et me faire subir cette torture laisse moi un peu de temps de m’en remettre
une torture ? tu n’exagères pas un peu
non je n’exagères pas je t’ai supplié je ne sais pas combien de fois et tu es resté de marbre enfin presque
c’est vrai mais tu sais moi aussi ça été difficile de ne pas craquer
c’est vrai que je t’ai senti défaillir.
oh oui mon chéri j’ai joui moi aussi très fort

Elle se tourna pour me libérer les chevilles et elle vi ma queue encore fièrement dresser
Elle se retourna d’un coup vers moi

mais dis moi tu en veux encore ma parole
Inès, non je suis serieux. C’est l’anneau qui me fait encore de l’effet
ah oui tu es sure ?
oui certain je n’en peux plus
eh bien on va vérifier. Si tu bandes encore après que je l’ai enlevé tu vas y avoir droit à un 3eme round
chérie tu es infatigable, je commence à croire que tu veux ma mort

Elle enleva l’anneau nous avons constaté sa victoire et me regarda avec un sourire gourmand

c’est toi qui est infatigable je ne savais pas que j’avais un étalon sous mon toit
je ne savais pas que j’avais une tigresse sous mon toit
une tigresse ah oui et bien qu’attends tu pour la capturer

Enfin délivrer de tous mes liens, je me redressais et l’attrapais presque violemment en glissant un bras juste sous son cou et de mon autre main je lui bloquais son autre bras.

Je lui dis au creux de l’oreille

une tigresse qui a pas senti que le tigre était caché près à bondir sur sa proie
salaud tu m’as eu je te croyais au bord de l’asphyxie.
je l’étais, mais tu es mon oxygène ma chérie et maintenant tu es à moi
tu vas te venger ?
humm l’idée est plus qu’alléchante mais tu sais que le tigre est patient quand il chasse, il peut attaquer à tout moment
dois je rester sur mes gardes ?
oh que oui car je n’hésiterais pas à planter mes crocs acérés dans ta chaire tendre quand tu t’y attendras le moins.
et qu’attends tu pour me manger ?
Manger non, j’ai plutôt une folle envie de te baiser
baise moi alors

Comme j’étais dos à elle, elle se cambra alors que je desserrais mon étreinte sur son cou
Sa cambrure était terriblement excitante et ma verge qui était déja bien dressé semblait vouloir grappiller encore quelques centimètres vers les cieux.

Elle se tourna vers moi avec un sourire et un regard qui voulait tout dire sur son envie
Alors que je m’apprêtais à la pénétrer, elle mis sa main devant son vagin, me bloquant le passage.
Je l’a regardais incrédule croyant à un nouveau piège de sa part

Toujours en soutenant mon regard, elle pris ma queue du bout des doigts et la glissa quelques centimètres plus haut et ajouta :
viens j’en ai envie
mais pourtant…
oui je sais

Je fus tres surpris par cette offrande car Inès me l’avait toujours refusé puisque son tout 1er rapport avait été une catastrophe

mon amour je suis très touché mais je suis pas en état pour..
si justement mon chéri, il n’y a pas de meilleur moment car je sais que tu seras doux avec moi et j’en ai très envie

Elle commença à guider ma verge vers son vagin pour le lubrifier un maximum puis elle la repris et la guida vers son anus faisant entrer délicatement mon gland de quelques centimètres peut être moins
Avec une infini douceur je prenais le relais tout en la regardant, attendant un signe de sa part pour continuer ma pénétration
Elle me fis un signe du regard pour continuer
Son cul était tellement serré que je réalisais facilement les raisons de sa première fois si catastrophique
Je continuais toujours aussi doucement malgré l’envie irrésistible d’aller plus loin plus vite tant la sensation était si agréable.
Elle gémit, je stoppa tout progression

Elle me dit
non continues c’est bon
d’accord mon amour.

Profitant de mon rapprochement j’en profitais pour la caresser, malmener ses seins, ses tétons, je lui donnais aussi des petits baisers derrière la nuque, sur les épaules pour la détendre.
Elle continuait de gémir m’incitant à la pénétrer plus fortement.

De sa main elle appuya sur ma cuisse pour me signifier que j’étais aller un peu trop vite ou trop loin
Je rebroussais chemin mais elle me saisie à nouveau le bras et me dit :
non continues
tu es sure ?
certaine

C’est elle qui pris le relais en reculant doucement jusqu’a buter sur mon pubis
Nous sommes resté comme çà un long moment, moi appréciant l’étroitesse de son fondement sur ma verge, elle, appréciant ma verge écarté ses parois pour la 1ere fois.
J’en profitais pour l’embrasser dans le cou, suçant le lobe de son oreille puis sa bouche venait à la rencontre de la mienne pour un baiser passionné, plein de fougues et de tendresse.
Je commençais alors à bouger en bas lui arrachant des petits gémissements étouffés
Elle marmonna quelque chose dans ma bouche.
Je la libérais
oui vas y plus fort
humm oui mon amour

Tout en s’embrassant j’accélérais dans le rythme au point ou elle commençait à gémir dans ma bouche.

Elle pris ma main et la colla à son vagin, je compris instantanément le message et frottait mes doigts sur son clitoris pour accélérer sa jouissance.
J’accélérais la cadence de ma pénétration.
Elle fit pression sur mon majeur m’invitant à l’insérer dans son vagin, se doigtant avec mon doigt.

De mon coté je la sodomisais à un train plus soutenu et ça devenait difficile de tenir la cadence tant j’avais été épuisé par les épisodes précédents et tant cette pénétration me procurait un plaisir physique mais aussi mental

Elle ne lui fallu que quelques minutes de ce traitement pour exploser étouffant son cri en me mordant au cou.

Je jouis presque dans la foulé dans un râle puissant et libérateur, déversant mon sperme dans son fondement

Nous étions tous les 2 éreintés en sueur repus par le plaisir de la chaire, respirant comme des boeufs
Je débandais, enfin libérer de cet afflux sanguin qui avait duré des heures.

Elle bascula en arrière de ton son poids m’obligeant à m’étendre sur le lit avec elle.
Repus de sexe, elle était allongé sur mon ventre, sa tête juste en dessous de mon menton me permettait d’avoir une vue magnifique sur ses seins luisant de transpiration, son joli minou et ses jambes élancés

Elle perçu mon regard
qu’est que tu regardes ?
humm une vision paradisiaque
et cette vision te referais bander ?
mon amour je pourrais te faire l’amour tout le temps mais la j’ai besoin de recharger mes batteries, tu m’as lessivé.
moi aussi j’ai besoin de me reposer
Je t’aime tu sais
moi aussi je t’aime
Je vais aller prendre une douche
non reste je veux te sentir auprès de moi
d’accord Nini

Elle pencha sa tête en arrière pour m’embrasser. je lui fit un baiser sur le front, puis le nez et enfin la bouche et nous nous sommes endormi dans cette position.

Fin de la 6eme partie

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Franchement, si le 1er épisode était très prometteur, la suite est plus que décevante, voire bâclée pour certaines parties... Quant à la dernière, quel est le rapport avec le reste du récit ?

Histoire Libertine
Alors la suite arrive quand , 1 réponse oui non peut être ?

Histoire Erotique
La suite arrive quand

Histoire Erotique
Super! J'adore!

Comme le premier lecteur, on peut se demander où sont passé Victor, Paula et Paolo. Effacés la traitrise et la tromperie d’Inés. Sommes-nous dans la même histoire ?
Nous assistons ici à une scène de sexe très hard, d’un couple sans histoire.

Si cette histoire est vraie, je ne veux pas critiquer, je ne suis pas donneur de leçon, chacun sa vie. Mais si elle sort de l’imagination de l’auteur, difficile à comprendre.

Combien de temps a passé. Lui a dû continuer de travailler, d’aller en mer, en profite-t-elle pour rencontrer d’autres amants ? Surement, vu son expérience.
Déjà étonnant qu’elle ait attendu plusieurs jours ou semaines ou mois, pour rentrer chez elle. Et au retour, elle attend son mari à poil une guitare à la main, sans aucune explication sur ce qui est arrivé (tout de même elle baisait avec son amant quand il lui téléphonait, faut le faire !). Elle fait tout pour l’empêcher de réfléchir, pour qu’il ne se pose pas de questions. Lui se laisse manipuler sans réagir.

Cette fois, ils baisent de telle façon qu’il devrait s’interroger, avec qui a-t-elle appris tout ça ? Depuis le début, elle dirige son couple comme bon lui semble sans se préoccuper de lui, ce n’est pas de l’amour. Lui ne pense qu’avec son cul, elle le mène par le bout de la queue. Le pauvre !

Histoire Erotique
Madame semble attiree par d’autres pratiques sexuelle j’espère que marc est en phase sinon gare au prochain paolo

Histoire Coquine
Drôle d'amour, ça ressemble plus à de la torture.
Quand une femme dit Non, ça veut dire non.... mais si un homme dit Non, cela voudrait dire oui ? Il n'a pas le choix. Help @meto.
J'ai lu rapidement les épisodes précédents, madame à l'air d'être une sacrée salope.
Enfin si son mari aime ça, s'il aime être cocu. Chacun trouve son plaisir où il peut.

Histoire Libertine
C’est trop facile.

Histoire Erotique
Bof... longue scène de sexe sans aucun lien avec l'histoire.



Texte coquin : le 1er jour d’après (suite 5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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