le 1er jour d’après FIN - histoire érotique

Avant de poursuivre notre histoire je dois vous raconter comment nous avons conçu Stella

C’était donc a peu près 9 mois avant que Stella vienne au monde. Il est possible que ce ne soit pas exactement ce moment qui permis à mes spermatozoïdes de féconder l’ovule d’Inès puisque nous avions une libido décuplée depuis l’épisode Paolo.

En effet nous faisions toujours l’amour aussi souvent qu’avant, voir plus, mais nous ajoutions par ci par là des coïts bestiaux que ce soit chez nous ou même au détour d’un chemin isolé même et surtout après la naissance de Lucia.

Je reviens donc à ce jour ou Inès avait repris le sport pour perdre ses kilos disgracieux de sa grossesse. Je n’étais pas spécialement pour puisque ses formes actuelles me plaisait énormément.
Ce jour la il faisait très beau et nous avions laissé Lucia à Victor car nous voulions aller sur un des spot d’escalade qui était à plusieurs heures de routes.

Après avoir déposé le matériel et s’être équipé c’est Inès qui commença l’ascension.
J’étais chargé d’assurer sa sécurité

Inès se sentais particulièrement en forme et après avoir un peu discuté, je l’ai mise au défi de prendre le couloir le plus long et le plus risqué.

Elle me dit :
et qu’est ce que j’y gagne
une petite récompense.
ah oui et quel genre de récompense ?
une séance de sport en chambre qui devrait te permettre de perdre encore un peu
ah bon je n’ai pourtant pas l’impression que ces séances comme tu dis m’ait font perdre mes bourrelets.
ma chérie comme je te l’ai déjà dis 1000 fois j’adore tes bourrelets comme tu dis.

Son baudrier lui serrait son cul déjà largement moulé par son legging. C’était presque un appel au viol
Heureusement pour elle, elle était déjà à plusieurs mètres de hauteur, m’empêchant toutes caresses.

Pendant l’ascension elle me répétait, voir m’engueulait presque, parce que je n’étais pas assez réactif
Marc arretes de mater mon cul et donne moi du mou
excuse moi j’étais perdu dans mes pensées
eh bah arretes de penser et regarde moi
je ne fais que te regarder mon amour
pas comme çà

Elle arriva enfin en haut et alors que je la descendais en rappel je bloquais la corde avec la poulie bloqueur

Ses jambes pendaient dans le vide, son cul était à hauteur de mon visage.

Elle me dit avec un ton impatient :
qu’est ce que tu fais ? allé descend moi
je sais pas la poulie est bloquée
allez arrêtes c’est pas drôle
désolé chérie mais je peux pas résister

Je commençais à lui caresser ses fesses a travers son legging

non Marc descends moi c’est pas le moment
au contraire le moment est parfait
non Marc je suis sérieuse on pourrait nous surprendre.
fais le gai et je m’occupe du reste

J’arrachais son legging découvrant ses magnifiques fesses habillées d’un petit string de sport

non t’es complètement fou.

Je lui caressais les fesses, les malaxais, les mordais et les léchais

non arrête ce n’est pas bien, pas ici

Elle tentait de se retourner puisqu’elle était face à la paroi mais je la bloquais
Puis je pris mon couteau d’escalade et lui dis

chuttt ma chérie reste tranquille un moment
Avec le couteau je tranchais le string me permettant d’avoir un accès complet à son vagin déjà mouillé par l’excitation
La froideur de la lame sur sa peau l’a fit frissonner

oh non Marc tu es fou

je plaquais mon visage sur son minou, l’humant, puis je sortis doucement ma langue pour venir pénétrer cette chatte lui arrachant un cri d’extase

mon amour il va falloir que tu sois plus discrète si tu veux pas ameuter tout le monde
arrêtes alors et descends moi
ta chatte est trempée j’ai pas l’impression que tu veuilles que j’arrête

Je plaquais a nouveau ma bouche sur son cul et lui mangeait littéralement son minou frénétiquement en lui écartant les fesses.
Elle se mordait la lèvre pour ne pas crier trop fort et seul mes bruits de bouche venaient percer le silence autour
Elle tremblait déjà de tout son corps

Voulant allez encore plus profond, je l’a fis pivoter face à moi

En voyant son clito déjà bien sorti je décidais de changer d’angle d’attaque et m’attaqua sauvagement à lui, lui arrachant cette fois un cri perçant.

S’il y avait un promeneur dans les parages on ne tarderait pas à le savoir.
J’agaçais son clito avec mes dents, ma langue et mes lèvres

Elle atteignit rapidement l’orgasme resserrant ses jambes sur ma tête à m’en faire mal.
Apres l’avoir mangé je m’abreuvais de sa jouissance.
Je me régalais tellement que je sortais parfois des mmmh entre 2 gorgées de son nectar

Elle était essoufflée, son t-shirt claire été trempé de sueur me permettant de voir ses tétons dressés malgré sa brassière de sport

Voyant mon regard, elle compris mon intention et en secoua la tête

non Marc non pas encore j’ai mal aux cuisses
je vais t’aider

J’écartais au maximum ses jambes en les tenant, lui permettant peut être d’avoir un peu moins mal, mais je savais que ce que je lui réservais aller dissiper toutes ses douleurs

En faisant cela son legging se déchira encore un peu plus, me donnant accès total à sa chatte et même son anus

Elle ne me connaissait que trop bien et savait que je n’allais pas fondre sur sa chatte tel un tigre affamé mais plutôt comme un petit chat voulant déguster le plus délicatement possible ce met délicieux.

C’est bien sur ce que je fis, en commençant par lui lécher délicatement avec la pointe de ma langue son anus, faisant le tour, contournant sa vulve.
Je profitais de ses plaintes pour venir mordre l’intérieur de ses cuisses

Inutile de vous dire que la haut ses cordes vocales était toute aussi active que l’étais ma langue; criant, gémissant , grognant de plaisir
J’entendais pleins de belles choses qui augmentaient mon excitation.
Des « oui", des « encore » et autres onomatopées. Parfois non rarement elle trouvait assez de lucidité pour arriver à m’encourager par des termes un peu plus élaborés comme « vas y », « c’est top bon » , « continues », « fais moi jouir » ou « t’arrêtes pas »
Elle ne se retenait plus, peut importe qu’on se fasse surprendre.

Je la torturais encore un peu lui lapant cette fois si l’intérieur de son vagin puis mordillant son clitoris.

Elle jouis encore une fois. ses cris était tellement fort que je regrettais presque de ne pas avoir utiliser un gant, son string ou n’importe quoi pour lui mettre dans la bouche.
Je n’avais pas fait attention mais de mon coté j’étais sacrément à l’étroit. Mon baudrier me faisait un mal de chien.

Alors qu’elle se remettait doucement de son orgasme je sortais le plus discrètement possible mon sexe de mon pantacourt

Elle me dit
j’en peux plus fait moi descendre s’il te plais
tu veux pas encore un 3eme orgasme
non j’ai des fourmis dans les jambes

Alors que je commençais à la descendre elle mit ses bras autour de mon cou puis ce sont ses jambes qu’elle enroulait autour de mes hanches

Je la regardais interrogatif
non cherie ce n’est pas pour ça mais j’ai tellement mal aux jambes qu’il faut que tu me soutiennes un peu

Je la descendais encore un peu jusqu’a ce que ma verge vienne buter sur le bas de ses fesses

Marc je t’ai dis non
tu vas pas me laisser comme çà quand même chérie
écoutes ça t’apprendras mais tu me déposes, on range le matos et je te soulagerais dans la voiture
mais j’ai terriblement envie

Tout en disant cela j’aidais ma verge de ma main pour l’aligner avec l’entrée de sa vulve. j’enfonçais la totalité de mon gland dans son fondement lui arracha un non en expirant

Je la regardais et lâchait encore un peu plus de mou sur la corde.
Elle s’empala alors sur ma verge m’arrachant cette fois ci un cri de soulagement et elle cria de surprise peut être même de douleur et sûrement de plaisir.

Je commençais a faire des va viens de plus en plus amples lui arrachant des petits couinements mais rapidement elle en voulait plus.
elle pris appui sur la corde avec ses 2 mains pour monter et descendre sur ma queue
Elle criait maintenant, je grognais, râlais de plaisir

J’enlevais tant bien que mal son T shirt et pris mon couteau pour venir couper sa brassière en deux, libérant ses seins de cette prison synthétique.

Je plongeais à coeur perdu ma bouche entre ses seins les mangeant, les mordant, pinçant et mordant ses tétons pour tenter de la faire jouir plus vite.

Elle se baisait sur ma queue à un train d’enfer.
Je lui dis de ralentir car j’allais bientôt jouir mais elle fit le contraire en amplifiant ses mouvements.
Je la connaissais que trop bien et elle voulait me faire jouir avant elle pour me punir de l’avoir prise par surprise.

Nous étions littéralement dans un match de boxe se donnant coup pour coup pour savoir lequel d’entre nous allait jouir en 1er.
Je commençais sérieusement à transpirer et à taper dans mes derniers retranchements

Soudain nous entendîmes du bruit
un couple nous regardait
depuis combien de temps étaient ils la à nous observer ? nous n’en avions aucune idée vu que nos cris résonnaient dans la montagne depuis plusieurs minutes

Cela nous coupa dans notre élan malgré tout

Le couple nous salua et parti rapidement continuer leur route
Nous nous regardèrent Inès et moi et avons éclaté de rire
Alors que j’étais toujours en elle et que je sentais toujours les petites contractions de son vagin entretenant mon érection elle me dit :

bon je crois que la il va falloir que tu me descendes et qu’on aille finir dans la voiture

Je m’enfonçais juste un peu lui signifiant mon désaccord

non Marc je ne rigole pas je suis sérieuse on va pas finir au poste pour attentat à la pudeur
Cherie je peux pas résister
si tu le peux et tu vas le faire c’est un ordre

Je continuais malgré tout a amplifier mes mouvements

non Marc arretes descends moi
non chérie je veux jouir la tu me fais trop envie
Marc arretes je ferais ce que tu veux. arrivé à la maison on fera l’amour jusqu’à jusqu’à l’aube mais la on peut pas ya des gens
ils sont parti et puis je sens que tu en as envie.

Je sentais son bassin répondre doucement à mes va et viens, son vagin était de plus en plus lubrifié et malgré la chaleur, sa peau avait pris l’aspect de la chair de poule.

chérie ce n’est pas bien
je t’aime tu es tellement belle quand tu jouis allez viens aide moi a jouir vite si tu veux pas qu’on se fasse surprendre
salaud Marc, baise moi, viens en moi

Après avoir dis cela elle s’agrippa encore plus à moi me roulant des pelles et en allant a la rencontre de mes pénétrations

J’accélérais à une cadence infernale, la martelant, elle se tenait à la corde mais cette fois ci elle ne s’aidait pas d’elle pour monter et descendre elle la tenait fermement comme une naufragé tiens une bouée de sauvetage.
Je criais hurlait presque. je l’a plaquais contre la paroi rocheuse pour me permettre de m’enfoncer encore plus en elle, accélérant le rythme. elle criais elle aussi sa jouissance sans aucune pudeur.
Il est probable que le couple ait eu encore écho de nos exploits mais on s’en foutait, on voulait jouir, encore et encore

Je jouis le premier en elle dans un cri encore plus rauque que les autres presque animal. Je restais un instant immobile me permettant de me vider entièrement essayant de garder l’équilibre.
Mais c'est elle qui reprit ses mouvements de haut en bas en s’aidant de la corde pour déclencher son ultime orgasme.
Elle parti loin quelques secondes après moi dans un orgasme dévastateur. accompagné de spams musculaires et cris.


Apres avoir l’avoir redescendu, nous avons pris une pause et nous sommes retournés à la voiture croisant le même couple.
Inès était dans un état lamentable, heureusement elle avait remis son t-shirt mais cela ne suffit pas à détourner le regard de l’homme fixé sur les tétons d’Inès qui était encore bien visible à travers
Son legging était lui largement ouvert à l’entre jambes heureusement elle l’avait caché avec mon T-shirt que je lui avait donné.
Mais le bas de son legging était marqué par une trainée d’un mélange de sperme de cyprine ne laissant plus aucun doute au couple sur les événements qui avait suivi leur départ.

Nous échangeâmes par politesse quelques banalités avec plus ou moins quelques sous entendu
c’est un magnifique endroit, vous venez souvent faire de l’escalade ici
non ça nous arrive pas souvent mais nous connaissons cet endroit qui est magnifique.
et loin de tout
oui c’est vrai que c’est plutôt calme ici
oui plutôt enfin
bon on doit vous laissez car on a une longue route a faire
oui et puis une bonne douche à mon avis

Après un bref moment de gène nous avons tous les 4 éclater de rire.




Nous avons vécu aussi d’autres moments
comme ce jour ou nous avions décidé de nous remettre à notre jogging matinal.
Inès était enceinte de Stella et je portais Lucia sur mon dos

Comme à mon habitude et comme par le passé je trainais derrière elle pour admirer son joli petit cul de femme enceinte, bon forcement il n’était plus aussi petit mais il me plaisait toujours autant

Elle me fit la réflexion :

bon chérie va falloir sérieusement que tu achètes une nouvelle paire de baskets parce que la c’est la 3eme fois que tu t’arrêtes pour refaire tes lacets à moins que…
écoute chérie oui c’est peut être ça ou peut être que je ne me lasse pas d’admirer ton petit cul
mon petit cul c’est ça, fous-toi de ma gueule tu sais la flatterie ne marche plus avec moi
mais non je te jure j’adore ton petit cul
arrêtes tu t’enfonces j’ai un gros cul de femme enceinte
bah ce gros cul il me plait et j’aimerais bien m’y enfoncé
Marc c’est comme ça que tu me parles devant ta fille
ma puce, maman à le plus joli popotin du monde

Lucia éclata de rire au mot popotin

tu vas avoir une punition pour la peine
oula t’as entendu Lucia, papa va etre puni
ah non mon coco je ne rigole pas, j’ai faim et je veux que tu me ramènes des petites viennoiseries
mais tu rigoles c’est à l’autre bout de la ville, faut que je fasse demi tour
tu auras une récompense si tu vas vite

Elle me fit un clin d’oeil très coquin

prends au moins Lucia que je puisse aller plus vite
non non, c’est un gage en plus et si tu arrives encore plus vite tu auras peut être une double récompense
je me fais toujours avoir mais j’en salive d’avance.

Lorsque je rentrais avec les provisions elle m’attendait habillé d’un tablier qui ne cachait presque rien de son anatomie
Je coucha Lucia dans son lit et je bondi vers Inès pour obtenir ce qu’elle m’avait promis.

Elle me dit :
tu arrives bien tard les récompenses sont passées
quoi mais il y avait du monde à la boulangerie

Je passais mes mains autour de ses hanches dessous le tablier et lui caressais son ventre déjà bien arrondi tout en l’embrassant dans le cou et la nuque

Elle me dit :
tout a l’heure mon amour là je prépare le déjeuné
mon déjeuné c’est toi
il va falloir que tu attendes petit impatient moi j’ai faim
J’ai faim de toi la maintenant je suis tellement excité que si t’étais pas déjà enceinte je te referais un bébé

J’en profitais pour me coller à elle afin qu’elle ressente mon sexe déjà bien bandé sur ses fesses

eh bien qu’est ce qu’il t’arrive pourquoi es tu si excité ?

voyant qu’elle jouait avec moi, je décidais de la rendre jalouse

j’ai croisé une magnifique joggeuse
ah oui et ?
elle a une bonne foulée et comme j’étais chargé plus que d’habitude j’ai pu la suivre pendant quelques kilomètres
t’as mater son cul c’est çà ?
pas que, elle est fine, élancée, elle a de magnifique cheveux blonds avec une queue de cheval qui fait ressortir son visage lumineux et ses grands yeux verts
t’es un salaud je sais que tu mens
pas du tout et puis elle est sympa
c’est çà elle t’a sucer ?
voyons mon amour si elle m’avait sucé je banderais pas autant maintenant
tu vas te finir tout seul ce sera sans moi espèce de…, j’arrive même pas à trouver les mots
oh cherie ne le prends pas mal
le prendre mal non, soit tu te moques de moi depuis le début et franchement je te dis les plus courtes sont les meilleurs soit tu es monstre sans coeur qui veut tromper sa femme enceinte de son 2ème enfant

Elle me fusilla du regard et voulu me mettre une baffe

du calme cherie, bon je suis allé trop loin. Je n’ai aucune vu sur elle, je te fais marché mais tu m’avais promis 2 récompenses et je n’ai rien eu et puis la tentation était trop forte de te rendre un peu jalouse
je suis pas jalouse, tu fais ce que tu veux
écoutes embrasse moi.

Sans que je la vis arrivé, avec sa main elle me barbouilla le visage avec du fromage blanc

tu l’as bien mérité
tu vas voir toi
je suis enceinte je suis intouchable
ca m’est égal ma belle

Comme j’avais encore plein de fromage blanc sur la bouche et le nez, je plaquais mon visage sur le sien tout en l’embrassant un peut partout pour la barbouiller du reste de fromage blanc
elle rouspéta, se débattant mais je la léchais sur tout le visage
A un moment donné je réussi à attraper sa bouche, nous nous sommes embrasser baveusement, violemment
Nos langues se mêlant, tournoyant s’entrechoquant comme dans une danse frénétique

En bas je commençais à lui palper les fesses, lui caressant une jambe puis remontant vers sa chatte déjà bien trempée.
Avec sa main elle me flattait mon sexe a travers mon pantalon pour apprécier à quel point j’étais déjà prêt

Je lui attrapais les seins à pleine mains, les triturant, pinçant ses tétons avec mes dents.
je les tétais littéralement

Elle me dit:
hey gardes en pour Lucia

Je lui souris et en profitant pour lui tirer encore un peu plus le téton lui arrachant un soupir, presque un gémissement

après mettre fait tomber mon short et mon caleçon à mes chevilles, elle saisie mes couilles et les serra fort

ca c’est pour l’autre poufiasse
ahhh arretes arretes tu me fais mal
jure moi que tu n’as rien fait
bien sur il n’y a que toi t’es folle
alors embrasse moi et prends moi

Alors qu’elle s’était retournée me présentant son joli fessier et que je commençais à la doigter avec mes 2 doigts

je te veux dans mon cul
et c’est moi le pervers ?

Je me suis accroupi, écarté son sillon fessier et j’ai commencé avec ma langue à lui lécher son minou tout en passant sur sa rosette

Elle me fit savoir qu’elle était prête à le recevoir en elle mais j’aimais trop son minou et son cul pour quitter mon poste et je continuais encore

arretes baise moi j’ai trop envie
c’est trop bon ma chérie
baises moi maintenant sinon on aura pas le temps avec la petite
elle attendra que papa mange maman

Je la mangeais littéralement enfonçant ma langue au plus profond de son anus tout en la doigtant de 2 doigts.
J’échangeais parfois entre ma langue et mes doigts dans ses 2 orifices
Elle se cramponnait au plan de travail de la cuisine tout en acceptant sa cambrure me permettant de la déguster encore plus profondément et bien sur encore plus délicieusement

Elle joui rapidement dans un cri qui fit réveiller Lucia.

Inès me dit
voila t’as gagné tu vas pouvoir te finir dans la salle de bain

Elle alla dans la chambre pour aller s’occuper de Lucia qui réclamait son sein

oh la chanceuse
tu as déja eu ton tour toi allez oust

Alors qu’elle était entrain de la bercer tranquillement et qu’elle préparait à lui donner son sein je m’assis sur une chaise et j’entrainais doucement mais fermement Inès a venir s’empaler sur moi

t’es vraiment un obsédé tu peux pas t’arrêter
je veux ma récompense
pas pendant que je donne le sein à Lucia
mais si regarde

Je faisais doucement monter et descendre Inès sur ma queue ce qui lui permettait de bercer Lucia tout doucement en même temps qu’elle la nourrissait

Inès d’abord gêné pris rapidement le coup et elle allait de plus en plus souvent à ma rencontre appuyant sur son bassin alors que de mon coté je soulevais le mien.

Nos respirations étaient fortes

Je caressais ses jambes ses hanches, son ventre tout en l’embrassant partout dans le dos, lui léchant même le creux du dos ou des perles de sueurs commençaient à couler.

Avec mon index et mon pouce je pinçais et faisais rouler son téton libre, la faisant soupirer, gémir

ahh c’est trop bon chérie continues
on devrait le faire plus souvent

Tout m’incitait à accélérer la cadence mais je ne pouvais pas priver Lucia de son déjeuné je décidais donc de faire durer le plaisir bien malgré moi et bien malgré Inès

Égoïstement je priais pour que Lucia termine rapidement et s’endorme mais elle tétait toujours le sein de sa mère, mais comment lui en vouloir

Inès de son coté n’était plus très loin de déclencher un nouvel orgasme

chérie continues je viens je viens

Je ralentissais de plus en plus mais de son coté elle accélérait de plus en plus au point ou Lucia commençait à trouver la tété difficile

Heureusement pour elle Inès joui fortement me prenant ma main pour la mordre afin d’étouffer son cri qui aura pu faire sursauter notre fille.

De mon coté je n’avais toujours pas éjaculé, mais Inès se releva brusquement pour mettre Lucia son berceau.

J’étais terriblement frustré assis sur la chaise, jambes écartées, la bite à l’air trempé de la jouissance de ma femme

Inès me regarda avec un sourire narquois qui me mit en rage

Je fermais la porte de la chambre de Lucia et alors qu’Inès s’apprêtait à aller vers la cuisine je le l’a retins du bras et la plaquai contre moi
je la fit pencher légèrement en avant et je la pénétrait d’une traite dans son vagin lui arrachant un nouveau cri de surprise

Je fis seulement quelque va et viens et repositionnait ma verge sur son cul pour y replonger avec la même fougue

Heureusement pour elle le traitement que je lui avait fait subir auparavant avec bien assoupli sa rosette mais elle cria fort encore plus fort

L’excitation était tellement énorme que je jouis presque aussitôt en elle râlant de plaisir

tu étais bien excité
mmmh oui et il va falloir que tu te changes parce que ce petit tablier me donne beaucoup trop envie de recommencer après manger
mhhh je vais peut etre le garder alors


Puis Inès me donna un fils que nous avons appelé je vous le donne en mille Elliot

La aussi nous avons vécu de très bon moments comme ce jour la, alors que Lucia était déja plus âgée, Stella, elle commençait doucement à marcher alors qu’Ines était enceinte jusqu’au cou d’Elliot
Nous étions tous sur la plage avec Paula et Victor entrain de pique niquer, Lucia courrait a quelques mètres sur la plage poursuivant les vagues qui venait lécher le sable. Stella était dans les bras de Victor a se faire chouchouter.

Nous discutions entre adulte et puis Paula nous demanda qui serait la marraine de notre petit dernier étant donné qu’elle était la marraine de Lucia et de Stella.

Je fis une petite blague à Paula lui expliquant que Elliot aurait comme marraine une copine de fac.

Cela fit bien sur son effet car je vis tout de suite que Paula était déçu et elle me rappelait que sans elle, je serais sûrement un ermite aigri et alcoolisé vu le nombre de fois ou elle m’a tiré de mes démons.

Je lui lançais :
Eh bien Paula tu sais, je t’ai toujours trouvé un certain charme et si je n’avais pas donné une deuxième change à Inès, il est fort probable que j’aurais tenté une approche pour te mettre dans mon lit
une 2eme chance comme çà ? mais quel…
me mettre dans ton lit rien que çà

La les filles se regardèrent et se jetèrent sur moi. Inès et Paula joignirent leur force pour me mettre la tête dans le sable.
Bon je l’avais bien chercher mais la punition était difficile à avaler.
J’appelais Victor pour qu’il m’aide mais il me répondit :
- cette fois ci tu es tout seul mon gars.

Là Lucia ayant assisté à une partie de la scène couru vers nous
laissez mon papa tranquille
ah ya que toi pour me protéger ma Lulu
pourquoi vous tapez Papa ?
Sa mère répondit : parce que Papa à été méchant avec maman et tata
c’est vrai papa ?
oui un peu
Elle me jeta du sable sur le visage et me mis des coups de pieds. Je la pris dans les bras, mordais son ventre et commençais à la chatouiller pour la faire arrêter.

Nous rigolèrent tous ensemble de la scène et pendant que j’expliquais à Lucia que c’était une blague d’adulte, Paula interpella Inès suffisamment fort pour que je l’entende
décidément tu as bien du courage à le supporter celui la
a qui le dis tu mais bon avec le temps j’ai réussi à me faire à ses défauts et puis je commences même à les apprécier
oula ma vieille c’est le syndrome de Stockholm qui te pend au nez

Victor nous offrit la maison que nous avions retapé pour se faire pardonner mais surtout parce qu’il avait le coeur sur la main.
Nous avons bien sur refusé son offre et lui avons donné les quelques deniers que nous avions pu mettre de coté pour acheter la maison.

Je dois vous laisser car aujourd’hui est le jour du baptême de plongée de Stella.
Lucia plonge déjà avec nous depuis peu malgré ses 8 ans
Quand à Elliot, il doit d’abord faire ses premiers pas avant de pouvoir nous rejoindre dans le grand bleu.


FIN