Le Bœuf, pote d'internat
Récit érotique écrit par Félix Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Bœuf, pote d'internat
Comme pas mal de mecs venant de villages paumés, j’ai passé toutes mes années de lycée en internat. Ceux qui l’ont vécu savent que c’est à la fois le paradis et l’enfer quand t’es pas hétéro. T’as, certes, la possibilité de mater pleins de gars de ton âge en permanence mais d’un autre côté tu dois jouer à l’hétéro non-stop et cacher à tout prix les érections que tu te tapes dès que tu captes une vague forme de teub à travers un short ou un caleçon. Toujours est-il que pour la première partie de mon année de terminale je partageais une chambre avec un gars en dernière année de Bac Pro. Le gars était abusivement stupide, il avait redoublé 2 fois et n’avait pas eu son brevet mais il était coriace et avait tenu bon jusque là. C’était pas le cas de ses profs dont il se vantait en permanence d’en avoir foutu plusieurs en dépression. Son prénom, sans surprise, c’était Dylan. No joke. Donc, le mec a 20 ans et c’est (évidemment) un rugbyman, comme moi, mais lui est plus petit et surtout bien plus musclé. Moi, à l’époque je faisais déjà 1m91 mais je pesais qu’environ 80kg. Lui devait faire un peu moins d’1m80 mais pesais déjà plus que moi avec surtout du muscle mais aussi une petite couche de gras qui lui faisait un petit bide dans ses t-shirt trop moulant. C’était surtout ses bras, ses cuisses et son cou qui m’impressionnaient, on aurait dit un bœuf élevé aux hormones. D’ailleurs c’est comme ça que tout le monde l’appelait, le Bœuf. Niveau poils il était brun avec une barbe qu’il rasait de près tous les jours sauf le week-end. Il revenait à l’internat le dimanche soir avec sa barbe de deux jours qui me faisait bander dans la seconde, à chaque fois. Il avait des poils noirs épais sur l’espace entre ses pecs, son ventre, et tout le bas de son corps. Moi Je suis blond et même si mes poils sont plus foncés que mes cheveux ça n’avait rien à voir. Et puis à cet âge là, deux ans de différence ça se ressent au niveau de ce genre d’attributs. En parlant d’attribut, j’ai vu sa teub moins d’1h après avoir posé mes affaires dans la chambre. Un putain de morceau de viande comme on en voit pas souvent dans un lycée. Et tout son pubis était recouvert d’un vrai buisson de poils noirs. Il était revenu de la douche complètement à poil avec cette assurance de jeune gars 100% à l’aise avec son corps. J’ai su immédiatement que l’ensemble de mes branlettes de l’année seraient dirigées vers l’idée de me faire baiser par ce gars. A ce moment le surnom de « Taureau » s’est imposé à moi avant d’apprendre qu’on l’appelait déjà le Bœuf. Au début ça m’ennuyait de l’appeler comme ça parce que c’était une offense à ses énormes couilles qui me faisaient tant fantasmer mais j’ai réussi à passer outre. C’est comme ça qu’a commencé mon année avec le Bœuf.
Comme je vous ai dit, il était parfaitement et absolument stupide. Le bourrin par excellence. Il ne se passait pas une journée sans blague de teub bien homophobe, coup de serviette sur le cul dans les douches ou récit sexuel imaginaire dégradant sur les meufs du lycée. Moi je peux pas dire que j’étais l’intello de service mais même si je m’entendais bien avec les potes du rugby j’étais pas fan des mecs dans son genre. Et pourtant ce gars était tellement gentil dans le fond que je lui pardonnais toujours tout, mettant ses conneries intolérantes sur le compte de l’ignorance. On a fini par passer toutes nos soirées ensemble et à enchainer les conneries. S’ils avaient su, mes parents auraient dit qu’il avait une mauvaise influence sur moi mais je dois reconnaitre qu’il y a toujours eu en moi l’envie de faire des conneries et de rien respecter. Lui il avait fait ça toute sa vie mais il s’était aussi fait choper tellement de fois qu’il n’avait jamais fait plus d’une année dans le même collège ou lycée. Avec moi c’était différent, j’étais assez malin pour qu’on sen sorte à chaque fois et ça le faisait tellement kiffer qu’on ne se lâchait plus. Pour vous donner un ordre idée, en moins d’un mois on avait déjà chié sur la tombe des parents d’un prof qui m’avait mis 2h de colle, pissé dans les bénitiers de l’église, volé le stock d’herbe de la prof d’arts plastiques et défoncé le distributeur automatique de capote devant la pharmacie pour récupérer plus de 200 euros de capotes (qu’on avait toutes utilisées avant la fin de l’année). C’était l’amitié la plus exaltante et absurde que j’avais jamais vécu.
C’est d’ailleurs à ce moment-là que j’ai vraiment commencé à baiser des meufs. J’étais tellement stimulé par le Bœuf et excité par sa présence quotidienne à mes côtés que la branlette ne suffisait plus. J’avais besoin de me défouler et de ne pas plonger dans l’obsession que je développais pour ce mec. A l’époque j’avais évidemment pas fait mon coming out bi donc baiser des meufs était aussi une bonne solution pour mettre à distance les doutes que certains auraient pu avoir. En à peine 3 mois je m’étais tapé toutes les ex du Bœuf, par défi et excitation de mettre ma teub dans les chattes et les bouches qu’il avait déjà baisé. Je ne me suis vraiment aperçu de cet attrait malsain qu’une fois que j’avais juté sur la gueule de la meuf qui l’avait dépucelé. Je me rendais compte qu’en les baisant j’avais toujours en tête l’image du Bœuf qui les défonçait avant de se vider en elle. J’imaginais leurs chattes dilatées par son énorme queue, ses grosses boules qui claquait contre leurs culs quand il les prenait en levrette comme il me l’avait décrit mille fois. Quand elles me pompaient je fermais les yeux et je voyais sa teub dans leurs bouches avides et quand mon jus tapissait leurs gueules c’était sa fierté de macho viril que je ressentais. A chaque fois j’essayais de reproduire la manière dont il avait baisé la meuf en me basant sur les récits de ses exploits et échecs sexuels. IL me les répétait chaque soir en boucle et j’écoutais avidement en me caressant la teub discrètement depuis mon lit superposé, au-dessus du sien. Il y en a une avec qui je me suis forcé à jouir vite pour faire comme lui. Il m’avait dit s’être foiré avec elle et avoir éjaculé dès le début de la baise, en quelques secondes. Pendant cette période rien ne pouvait arrêter ce fantasme de baiser toutes les ex de ce mec qui m’obsédait. J’ai même poussé la copine d’un de mes meilleurs potes à le tromper avec moi car elle avait sucé le Bœuf en soirée plusieurs années auparavant. J’ai joui dans sa bouche pour imiter le Bœuf et j’ai étonnamment rebandé direct en pensant au coup de pute que j’étais en train de faire à mon pote. Je suis vraiment pas un bon ami quand il s’agit de sexe... L’idée qu’elle le trompe avec moi m’excitait tellement que je l’ai baisée et léchée jusqu’à lui donner un orgasme dont je savais que mon pote ne lui en avait jamais donné de pareil. Après ça je me suis mis en tête de baiser tous les copains, copines, conjoints ou conjointes de mes proches tellement ça m’avait excité. Mais ça c’est une autre histoire.
Pour en revenir au Bœuf notre vie commune à l’internat se passait terriblement bien selon mes critères. Non seulement je le voyais à poil tous les jours mais il avait très vite démonté le tabou de la branlette et se masturbait ouvertement dans son pieu le soir me donnant à apprécier ses râles de plaisir et le rythme régulier de la structure métallique du lit superposé. Je l’ai surpris plusieurs fois la teub à la main sans que ça le gêne outre mesure et je voyais sa queue en érection presque aussi souvent que la mienne. Elle dépassait assurément les 18 centimètres de ma queue et était au moins aussi épaisse ce qui est carrément rare au regard du diamètre démentiel de ma bite. A son initiative on avait même assez vite pris l’habitude de partager une seule cabine de douche pour éviter de faire la queue trop longtemps avec les autres mecs de l’internat. Son argument était qu’on perdait moins de temps, ce qui n’était pas logique puisque si on prenait la cabine l’un après l’autre ça n’aurait pas été plus long mais je me suis bien gardé de jamais le lui faire remarquer. Il disait aussi que ça nous permettait de continuer à discuter mais ça aussi c’était bidon parce que, certes, lui ne s’arrêtait jamais de parler mais moi j’étais trop concentré à apprécier chaque instant de sa queue et son corps qui me frôlait dans la minuscule cabine. Comme il parlait tout le temps de cul il bandait H24 et n’était pas étonné que ce soit aussi mon cas, sans se douter qu’il était lui-même à l’origine de 99,9% de mes érections. Sous la douche je m’arrangeais souvent pour sentir sa queue dure frotter contre mon cul ou contre ma propre queue. A plusieurs occasions il s’est amusé à faire un combat d’épée avec nos sexes durs et je crois que ça fait encore partie des plus beaux moments de ma vie. Une fois il s’est mis à me pisser dessus sous la douche pour déconner comme le bon débile qu’il est. J’ai cru que j’allais me jouir dessus. J’ai eu du mal à me retenir de me mettre à genou pour avaler sa pisse. C’était ma première expérience impliquant une autre pisse que la mienne mais j’ai vraiment eu une impérieuse envie qu’il m’en arrose la gueule et m’en inonde la bouche. Une fois un gars s’est foutu de nous en nous traitant de pédales parce qu’on partageait la même douche. Le Bœuf a rigolé en mimant une pénétration sur mon cul avec sa queue à moitié bandée. Pour rentrer dans son jeu je me suis cambré et j’ai gémi comme une pute. Autant vous dire que j’ai pas eu un gros jeu d’acteur à fournir pour réussir une performance des plus réalistes. Le mec qui se moquait s’est trouvé bien con et on ne nous a plus jamais fait chier à ce sujet (à mon grand désarroi car j’aurais bien kiffé reproduire cette petite mise en scène, même quelques secondes).
Au-delà de la douche, mon obsession sexuelle pour Dylan n’arrêtait pas de croitre. J’en avais parlé à un des rares amis virtuels qui connaissait mes vices et il me lançait parfois des défis qui s’avéraient tellement excitant que je les réalisais presque tous. Une fois il m’avait dit de faire en sorte de me faire choper par le Bœuf en train de me branler. Stressé et excité comme jamais je l’avais fait. Le Bœuf avait juste explosé de rire en me demandant à quelle pute je pensais pour maltraiter ma queue aussi fort… Une autre fois j’avais eu pour mission de me branler dans un caleçon sale du Bœuf. Je les avais déjà reniflés bien des fois et les avait plaqués contre mon nez et ma bouche pour me branler en l’imaginant m’étouffer avec sa queue mais étonnamment je ne m’étais jamais branlé avec. L’odeur de son corps le matin était déjà une grande source d’excitation et je sniffais avidement chacun de ses vêtements dès que je pouvais. J’adorais renifler les aisselles de ses maillots de rugby et l’entrejambe de ses caleçons de sport. Cette fois-là je m’étais donc branlé dedans et j’avais vraiment pas mis longtemps à déchargé. Une fois le caleçon maculé de sperme je l’avais remis à sa place et il ne s’en était pas aperçu, même en ramenant ses affaires sales chez sa mère, le week-end. J’avais aussi eu pour défi de prendre ma queue en photo avec le téléphone du Bœuf et de ne pas l’effacer. Quand il a vu ça il a encore une fois explosé de rire et l’a utilisé comme image associée à mon numéro de téléphone. Je crois que c’est d’ailleurs encore celle-là, 7 ans après, alors qu’il est marié et père de deux gamins.
Fin novembre il s’était cassé la main droite au rugby. Un gars de l’équipe adverse la lui avait ostensiblement écrasée quand il était au sol et pour ne rien arrangé Dylan, ce gros bœuf, lui avait foutu son poing dans la gueule en se relevant. Ça avait déplacé les petits os cassés de son métacarpe et il s’en était tiré avec 6 semaines de plâtre. Evidemment sa première préoccupation, une fois plâtré, avait été de savoir comment il allait pouvoir se branler. Il m’avait dit direct qu’il détestait le faire de la main gauche mais n’avait pas proposé de solution avant plusieurs jours. Ne voyant pas venir le moment où il allait me demander de l’aider j’hésitais à le lui proposer de moi-même. Je ruminais cette idée sans réussir à me lancer et au troisième jour avec plâtre il m’avait coupé l’herbe sous le pied. Il m’avait demandé, sur l’air de la déconne, de l’amener dans un sex-shop pour qu’il s’achète un « truc ». Je commençais à le connaitre le bougre et j’avais compris de suite qu’il y avait quelque chose derrière cette blague. J’avais creusé, d’abord en prenant moi aussi le parti d’en rigoler comme si c’était absurde mais petit à petit je lui avais retourné la tête pour qu’il finisse par avouer qu’il avait vu sur internet un truc pour se faire du bien même sans sa main. Il était tellement facile à manipuler que d’une blague on en est arrivé à ce que je conduise sa voiture sans avoir le permis pour aller au sex shop le plus proche. C’était un truc un peu glauque dans une zone commerciale paumée à 20km du lycée. Quand on est rentré là-dedans on n’en menait pas large. Je venais de faire 18 ans et j’étais prêt à dégainer ma carte d’identité mais la meuf à la caisse s’en foutait royalement. Elle nous a juste dit de prendre des petits paniers pour pas se trimballer nos articles, comme si on avait prévu de prendre un truc dans chaque rayon de son foutu sex shop de merde. J’ai capté que le Bœuf l’avait trouvé bonne, malgré ses 40 piges passées, parce qu’il a grogné comme un iench dès qu’il l’a vue. Il pouvait pas se retenir de faire ça quand une meuf l’excitait, c’était à la fois terriblement gênant et excitant de virilité absurde. La meuf était plutôt sexy, minijupe en cuir noir, porte-jarretelles et espèce de corset noir. De mon côté je voyais bien que, travaillant dans un sex-shop, c’était juste son uniforme mais le Bœuf y avait vu une invitation. J’ai dû le retenir pour pas qu’il nous foute la honte, y avait quand même une dizaine de personnes dans le magasin et malgré nos casquettes je préférais qu’on se fasse discret pour pas qu’on nous reconnaisse. On est jamais trop prudent, les bruits vont vite à la campagne. Il a vite été distrait pas les tenues sexy qu’il y avait partout et il explosait de rire dès qu’il voyait un truc de BDSM ou un gode en forme de grosse bite. « Non mais frère regarde ce gros chibre en plastoc c’est ouf ! Qui se fout ça dans la teuch ??? Moi j’veux pas la ken la meuf qui se rentre ça, sa chatte ça doit ressembler à de la barbak ». Classe. Il s’est vite reconcentré quand on a trouvé le rayon qui l’intéressait. C’était pleins de masturbateurs en tout genre mais lui ce qu’il avait vu en ligne c’était un cul en silicone ultra réaliste. Il y avait même des petits plis autour de l’anus, ça ressemblait à s’y méprendre à un vrai. Ils avaient appelé ça Clara mais, pilosité mise à part, ils auraient pu l’appeler Félix. Je savais que le Bœuf s’était récemment mis à préférer la sodomie au fait de baiser des chattes mais il ne lui était jamais venu à l’idée de le faire avec un gars. Mes fantasmes nocturnes s’étaient de suite centralisés sur le fait de me faire prendre par son énorme queue, idéalement tous les jours et dans les chiottes du lycée. Dans le magasin il y avait pleins d’autres trucs en silicone avec des chattes et des seins mais il a choisi celui dont on ne voyait que le trou du cul, sans le moindre indice sur le sexe associé, si ce n’est le nom ridicule de ce jouet. Bref il l’a acheté et moi je me suis pris un masturbateur classique, une espèce de gaine en silicone que tu mets sur ta queue, avec l’orifice vaguement en forme de chatte.
De retour au lycée j’ai dû aller en cours mais lui est retourné dans la piaule. Quand je suis rentré il était pas là mais j’ai de suite repéré son nouveau jouet sur le lit et avec l’odeur de sperme qui embaumait la chambre j’ai vite compris qu’il avait pas attendu pour s’en donner à cœur joie. Je me suis demandé s’il avait au moins nettoyé le truc avant de l’utiliser… certainement pas, gros porc qu’il était. Mais du coup… est-ce qu’il l’avait nettoyé après l’avoir utilisé ? J’ai senti ma queue se réveiller contre ma cuisse. En m’approchant du lit j’ai fait une découverte qui m’a fait vriller. Non seulement il y avait des tâches de sperme sur les draps mais en plus il y en avait une énorme giclée entre les fesses en plastique et j’étais à peu près sûr que le reste de la dose se trouvait encore à l’intérieur du faux cul. Putain ! J’avais déjà senti son sperme après ses branlettes et j’en avais déjà vu des traces sèches sur ses draps et ses fringues sales mais du sperme encore frais, c’était la première fois. J’ai eu du mal à me retenir de tout lécher direct mais je pouvais pas me permettre de me faire surprendre. Je lui ai envoyé un message pour savoir où il était et j’ai eu sa réponse dans la minute. C’te brute c’était encore pris 2h de colle pour je ne sais quelle raison. J’avais grave du temps devant moi. J’ai mis une chaise en travers de la porte qu’on peut pas verrouiller et je me suis mis a poil. J’ai sorti mon nouveau masturbateur et j’ai léché un peu du sperme qui était sur le cul en plastique. Sa texture sur ma langue a fait gonflé ma queue d’encore un cran. J’ai recraché le sperme dans le masturbateur et j’y ai glissé ma teub, aidé par le plus excitant des lubrifiants naturels. L’orifice en plastique du jouet du Bœuf dégoulinait de son sperme et quand j’ai appuyé dessus il en est sorti encore plus, blanc, épais et ... encore chaud ! Je me suis mis à me masturber comme un enragé et à lécher chaque goutte de jus. J’enfonçais ma langue dans l’anus synthétique et j’étais récompensé par une putain de quantité de sperme. Ça devait être la première giclée du Bœuf depuis son accident. Pour lui, 4 jours sans branlette équivalaient à une production digne d’un putain de cheval. Je me gavais comme jamais. J’ai pris un peu de sperme avec le doigt de ma main libre et je l’ai étalé sur mon propre cul puis j’ai recommencé et je l’ai fait pénétrer à l’intérieur de moi. J’imaginais sa teub lâchant son jus dans ma chatte et me voilà en train de me branler, me doigter et lécher comme un animal le cul en silicone d’où sort encore du jus à chaque fois que je colle mes lèvres à l’anus artificiel en aspirant. Ça dure environ 2 min avant que je lâche tout. La plupart de mon sperme reste dans le masturbateur mais il y en a un peu qui tombe sur le lit de Dylan et vient faire de nouvelles tâches à côté de celles de son jus à lui. Ça me donne une nouvelle idée avant même que j’ai le temps de débander. Je libère ma queue du masturbateur et sans la nettoyer je la rentre dans le jouet du Bœuf. Mon sperme se mêle au sien et ma queue rentre en un instant. J’adore voir l’orifice qui s’agrandit pour la laisser entrer. La dilatation a dû être identique pour la queue du Bœuf qui ressemble à la mienne en termes d’épaisseur. J’ignorais que c’était possible mais je bande encore plus. Je me mets à défoncer le jouet. Mon imagination part encore plus en vrille et dans mon fantasme je suis le Bœuf qui baise mon propre cul. Je me vois à 4 pattes, mes boucles blondes rebondissant sur ma tête alors que la queue du Bœuf coulisse en moi. Je me vois retourner mon visage vers mon baiseur, mes traits déformés par le plaisir, sourcils relevés, yeux mi-clos et bouche ouverte d’où coule encore la salive que j’ai produite en le suçant pour bien lubrifier sa queue. Je baise mon propre cul imaginaire en me prenant pour le Bœuf pendant plus de 15 minutes avant d’éjaculer de grosses giclées et de vite sortir ma bite pour qu’il y en ait aussi sur les fesses en silicone, comme le Bœuf l’avait fait un peu plus tôt. J’aurais tellement aimé qu’il me féconde moi. Je pars me doucher, la teub en feu tellement j’ai tout donné. Quand je reviens j’aère la chambre mais je ne touche pas au jouet plein de mon jus. Le Bœuf rentre quelques instants après et passe sa soirée à insulter la prof qui l’a collé. C’est un gars simple et je sais qu’il ne s’est pas posé la moindre question sur le fait d’avoir laissé son jouet plein de jus 2h auparavant et de trouver ses draps encore trempés à son retour. Le soir je l’ai entendu baiser de nouveau le jouet sans l’avoir nettoyé et sans se préoccuper d’être discret, en faisant bouger le lit pendant qu’il s’agitait. J’ai sorti ma tête du lit et je l’ai ostensiblement maté baiser le cul, en missionnaire. J’étais au-dessus, il ne pouvait pas me voir et j’en ai bien profité. Il était torse-nu, son caleçon en dessous des fesses et il grognait en donnant de grands coups de bassin dans le jouet sexuel, qui prenait bien cher. J’entendais le bruit humide de sa bite qui coulisse et je savais que c’était mon jus qui facilitait chacun de ses coups de bite. Je me suis encore branlé et j’ai joui au moment où ses fesses se sont serrées et qu’il a déchargé, tous les muscles de son corps tendus. Je me suis vite planqué dans mon lit et je l’ai entendu jeter le jouet par terre et faire claquer l’élastique de son calbute en le remontant. Il ne nettoyait jamais sa teub après avoir joui et s’endormait avec du sperme plein le calbute et les draps, parfois même plein le torse. Qu’il soit aussi dégueu me faisait kiffer. Le lendemain il s’est levé sans se préoccuper des taches blanches et de la gaule qui déformait son calbute. Je l’ai vu pousser le cul en plastique sous le lit avec son pied. Il ne s’en est pas plus s’en occuper que ça. Quand il est parti aux toilettes j’en ai profité pour lécher le sol, là où son jus s’était écoulé de son fourreau de silicone puis j’ai avalé tout ce qui restait du mélange de nos deux jus que j’ai pu en faire sortir. J’ai continué ce manège tout le temps qu’il a utilisé le jouet. Dès que sa main a été guérie il l’a laissé moisir sous le lit sans plus s’en occuper. A peine un mois après il s’est fait virer pour avoir fait exploser les chiottes du dortoir avec d’énormes pétards. Il a jamais eu son bac et il s’est marié 2 ans après avec l’ex de mon pote qu’on avait tous les deux baisé. Ils ont 2 gosses et je crois qu’il s’est calmé mais quand on se voit il me raconte toujours comment il défonce salement sa femme et se fait tailler des pipes par une de ses collègues… Ce sera jamais un mec bien mais y a une partie de moi qui le kiffera toujours. Il s’est rien passé d’autre entre nous. Quand il est parti il a laissé son jouet sexuel sous le lit et je l’ai utilisé pendant des années jusqu’à ce que je le déchire dans une séance de baise bestiale en solo.
Y a quelques temps j’ai rencontré un gars qui lui ressemblait énormément. Même âge, même gueule, même corps de Bœuf. Ses couilles étaient encore plus grosses, mais sa queue était plus fine et il était clairement moins stupide. Je lui ai demandé si je pouvais l’appeler le Taureau et il a accepté. Il m’a baisé salement pendant quelques semaines, presque tous les jours. Aujourd’hui quand je me souviens de ses bonnes baises c’est la tête du Bœuf que je vois et je me lasse pas de me branler en y pensant.
Comme je vous ai dit, il était parfaitement et absolument stupide. Le bourrin par excellence. Il ne se passait pas une journée sans blague de teub bien homophobe, coup de serviette sur le cul dans les douches ou récit sexuel imaginaire dégradant sur les meufs du lycée. Moi je peux pas dire que j’étais l’intello de service mais même si je m’entendais bien avec les potes du rugby j’étais pas fan des mecs dans son genre. Et pourtant ce gars était tellement gentil dans le fond que je lui pardonnais toujours tout, mettant ses conneries intolérantes sur le compte de l’ignorance. On a fini par passer toutes nos soirées ensemble et à enchainer les conneries. S’ils avaient su, mes parents auraient dit qu’il avait une mauvaise influence sur moi mais je dois reconnaitre qu’il y a toujours eu en moi l’envie de faire des conneries et de rien respecter. Lui il avait fait ça toute sa vie mais il s’était aussi fait choper tellement de fois qu’il n’avait jamais fait plus d’une année dans le même collège ou lycée. Avec moi c’était différent, j’étais assez malin pour qu’on sen sorte à chaque fois et ça le faisait tellement kiffer qu’on ne se lâchait plus. Pour vous donner un ordre idée, en moins d’un mois on avait déjà chié sur la tombe des parents d’un prof qui m’avait mis 2h de colle, pissé dans les bénitiers de l’église, volé le stock d’herbe de la prof d’arts plastiques et défoncé le distributeur automatique de capote devant la pharmacie pour récupérer plus de 200 euros de capotes (qu’on avait toutes utilisées avant la fin de l’année). C’était l’amitié la plus exaltante et absurde que j’avais jamais vécu.
C’est d’ailleurs à ce moment-là que j’ai vraiment commencé à baiser des meufs. J’étais tellement stimulé par le Bœuf et excité par sa présence quotidienne à mes côtés que la branlette ne suffisait plus. J’avais besoin de me défouler et de ne pas plonger dans l’obsession que je développais pour ce mec. A l’époque j’avais évidemment pas fait mon coming out bi donc baiser des meufs était aussi une bonne solution pour mettre à distance les doutes que certains auraient pu avoir. En à peine 3 mois je m’étais tapé toutes les ex du Bœuf, par défi et excitation de mettre ma teub dans les chattes et les bouches qu’il avait déjà baisé. Je ne me suis vraiment aperçu de cet attrait malsain qu’une fois que j’avais juté sur la gueule de la meuf qui l’avait dépucelé. Je me rendais compte qu’en les baisant j’avais toujours en tête l’image du Bœuf qui les défonçait avant de se vider en elle. J’imaginais leurs chattes dilatées par son énorme queue, ses grosses boules qui claquait contre leurs culs quand il les prenait en levrette comme il me l’avait décrit mille fois. Quand elles me pompaient je fermais les yeux et je voyais sa teub dans leurs bouches avides et quand mon jus tapissait leurs gueules c’était sa fierté de macho viril que je ressentais. A chaque fois j’essayais de reproduire la manière dont il avait baisé la meuf en me basant sur les récits de ses exploits et échecs sexuels. IL me les répétait chaque soir en boucle et j’écoutais avidement en me caressant la teub discrètement depuis mon lit superposé, au-dessus du sien. Il y en a une avec qui je me suis forcé à jouir vite pour faire comme lui. Il m’avait dit s’être foiré avec elle et avoir éjaculé dès le début de la baise, en quelques secondes. Pendant cette période rien ne pouvait arrêter ce fantasme de baiser toutes les ex de ce mec qui m’obsédait. J’ai même poussé la copine d’un de mes meilleurs potes à le tromper avec moi car elle avait sucé le Bœuf en soirée plusieurs années auparavant. J’ai joui dans sa bouche pour imiter le Bœuf et j’ai étonnamment rebandé direct en pensant au coup de pute que j’étais en train de faire à mon pote. Je suis vraiment pas un bon ami quand il s’agit de sexe... L’idée qu’elle le trompe avec moi m’excitait tellement que je l’ai baisée et léchée jusqu’à lui donner un orgasme dont je savais que mon pote ne lui en avait jamais donné de pareil. Après ça je me suis mis en tête de baiser tous les copains, copines, conjoints ou conjointes de mes proches tellement ça m’avait excité. Mais ça c’est une autre histoire.
Pour en revenir au Bœuf notre vie commune à l’internat se passait terriblement bien selon mes critères. Non seulement je le voyais à poil tous les jours mais il avait très vite démonté le tabou de la branlette et se masturbait ouvertement dans son pieu le soir me donnant à apprécier ses râles de plaisir et le rythme régulier de la structure métallique du lit superposé. Je l’ai surpris plusieurs fois la teub à la main sans que ça le gêne outre mesure et je voyais sa queue en érection presque aussi souvent que la mienne. Elle dépassait assurément les 18 centimètres de ma queue et était au moins aussi épaisse ce qui est carrément rare au regard du diamètre démentiel de ma bite. A son initiative on avait même assez vite pris l’habitude de partager une seule cabine de douche pour éviter de faire la queue trop longtemps avec les autres mecs de l’internat. Son argument était qu’on perdait moins de temps, ce qui n’était pas logique puisque si on prenait la cabine l’un après l’autre ça n’aurait pas été plus long mais je me suis bien gardé de jamais le lui faire remarquer. Il disait aussi que ça nous permettait de continuer à discuter mais ça aussi c’était bidon parce que, certes, lui ne s’arrêtait jamais de parler mais moi j’étais trop concentré à apprécier chaque instant de sa queue et son corps qui me frôlait dans la minuscule cabine. Comme il parlait tout le temps de cul il bandait H24 et n’était pas étonné que ce soit aussi mon cas, sans se douter qu’il était lui-même à l’origine de 99,9% de mes érections. Sous la douche je m’arrangeais souvent pour sentir sa queue dure frotter contre mon cul ou contre ma propre queue. A plusieurs occasions il s’est amusé à faire un combat d’épée avec nos sexes durs et je crois que ça fait encore partie des plus beaux moments de ma vie. Une fois il s’est mis à me pisser dessus sous la douche pour déconner comme le bon débile qu’il est. J’ai cru que j’allais me jouir dessus. J’ai eu du mal à me retenir de me mettre à genou pour avaler sa pisse. C’était ma première expérience impliquant une autre pisse que la mienne mais j’ai vraiment eu une impérieuse envie qu’il m’en arrose la gueule et m’en inonde la bouche. Une fois un gars s’est foutu de nous en nous traitant de pédales parce qu’on partageait la même douche. Le Bœuf a rigolé en mimant une pénétration sur mon cul avec sa queue à moitié bandée. Pour rentrer dans son jeu je me suis cambré et j’ai gémi comme une pute. Autant vous dire que j’ai pas eu un gros jeu d’acteur à fournir pour réussir une performance des plus réalistes. Le mec qui se moquait s’est trouvé bien con et on ne nous a plus jamais fait chier à ce sujet (à mon grand désarroi car j’aurais bien kiffé reproduire cette petite mise en scène, même quelques secondes).
Au-delà de la douche, mon obsession sexuelle pour Dylan n’arrêtait pas de croitre. J’en avais parlé à un des rares amis virtuels qui connaissait mes vices et il me lançait parfois des défis qui s’avéraient tellement excitant que je les réalisais presque tous. Une fois il m’avait dit de faire en sorte de me faire choper par le Bœuf en train de me branler. Stressé et excité comme jamais je l’avais fait. Le Bœuf avait juste explosé de rire en me demandant à quelle pute je pensais pour maltraiter ma queue aussi fort… Une autre fois j’avais eu pour mission de me branler dans un caleçon sale du Bœuf. Je les avais déjà reniflés bien des fois et les avait plaqués contre mon nez et ma bouche pour me branler en l’imaginant m’étouffer avec sa queue mais étonnamment je ne m’étais jamais branlé avec. L’odeur de son corps le matin était déjà une grande source d’excitation et je sniffais avidement chacun de ses vêtements dès que je pouvais. J’adorais renifler les aisselles de ses maillots de rugby et l’entrejambe de ses caleçons de sport. Cette fois-là je m’étais donc branlé dedans et j’avais vraiment pas mis longtemps à déchargé. Une fois le caleçon maculé de sperme je l’avais remis à sa place et il ne s’en était pas aperçu, même en ramenant ses affaires sales chez sa mère, le week-end. J’avais aussi eu pour défi de prendre ma queue en photo avec le téléphone du Bœuf et de ne pas l’effacer. Quand il a vu ça il a encore une fois explosé de rire et l’a utilisé comme image associée à mon numéro de téléphone. Je crois que c’est d’ailleurs encore celle-là, 7 ans après, alors qu’il est marié et père de deux gamins.
Fin novembre il s’était cassé la main droite au rugby. Un gars de l’équipe adverse la lui avait ostensiblement écrasée quand il était au sol et pour ne rien arrangé Dylan, ce gros bœuf, lui avait foutu son poing dans la gueule en se relevant. Ça avait déplacé les petits os cassés de son métacarpe et il s’en était tiré avec 6 semaines de plâtre. Evidemment sa première préoccupation, une fois plâtré, avait été de savoir comment il allait pouvoir se branler. Il m’avait dit direct qu’il détestait le faire de la main gauche mais n’avait pas proposé de solution avant plusieurs jours. Ne voyant pas venir le moment où il allait me demander de l’aider j’hésitais à le lui proposer de moi-même. Je ruminais cette idée sans réussir à me lancer et au troisième jour avec plâtre il m’avait coupé l’herbe sous le pied. Il m’avait demandé, sur l’air de la déconne, de l’amener dans un sex-shop pour qu’il s’achète un « truc ». Je commençais à le connaitre le bougre et j’avais compris de suite qu’il y avait quelque chose derrière cette blague. J’avais creusé, d’abord en prenant moi aussi le parti d’en rigoler comme si c’était absurde mais petit à petit je lui avais retourné la tête pour qu’il finisse par avouer qu’il avait vu sur internet un truc pour se faire du bien même sans sa main. Il était tellement facile à manipuler que d’une blague on en est arrivé à ce que je conduise sa voiture sans avoir le permis pour aller au sex shop le plus proche. C’était un truc un peu glauque dans une zone commerciale paumée à 20km du lycée. Quand on est rentré là-dedans on n’en menait pas large. Je venais de faire 18 ans et j’étais prêt à dégainer ma carte d’identité mais la meuf à la caisse s’en foutait royalement. Elle nous a juste dit de prendre des petits paniers pour pas se trimballer nos articles, comme si on avait prévu de prendre un truc dans chaque rayon de son foutu sex shop de merde. J’ai capté que le Bœuf l’avait trouvé bonne, malgré ses 40 piges passées, parce qu’il a grogné comme un iench dès qu’il l’a vue. Il pouvait pas se retenir de faire ça quand une meuf l’excitait, c’était à la fois terriblement gênant et excitant de virilité absurde. La meuf était plutôt sexy, minijupe en cuir noir, porte-jarretelles et espèce de corset noir. De mon côté je voyais bien que, travaillant dans un sex-shop, c’était juste son uniforme mais le Bœuf y avait vu une invitation. J’ai dû le retenir pour pas qu’il nous foute la honte, y avait quand même une dizaine de personnes dans le magasin et malgré nos casquettes je préférais qu’on se fasse discret pour pas qu’on nous reconnaisse. On est jamais trop prudent, les bruits vont vite à la campagne. Il a vite été distrait pas les tenues sexy qu’il y avait partout et il explosait de rire dès qu’il voyait un truc de BDSM ou un gode en forme de grosse bite. « Non mais frère regarde ce gros chibre en plastoc c’est ouf ! Qui se fout ça dans la teuch ??? Moi j’veux pas la ken la meuf qui se rentre ça, sa chatte ça doit ressembler à de la barbak ». Classe. Il s’est vite reconcentré quand on a trouvé le rayon qui l’intéressait. C’était pleins de masturbateurs en tout genre mais lui ce qu’il avait vu en ligne c’était un cul en silicone ultra réaliste. Il y avait même des petits plis autour de l’anus, ça ressemblait à s’y méprendre à un vrai. Ils avaient appelé ça Clara mais, pilosité mise à part, ils auraient pu l’appeler Félix. Je savais que le Bœuf s’était récemment mis à préférer la sodomie au fait de baiser des chattes mais il ne lui était jamais venu à l’idée de le faire avec un gars. Mes fantasmes nocturnes s’étaient de suite centralisés sur le fait de me faire prendre par son énorme queue, idéalement tous les jours et dans les chiottes du lycée. Dans le magasin il y avait pleins d’autres trucs en silicone avec des chattes et des seins mais il a choisi celui dont on ne voyait que le trou du cul, sans le moindre indice sur le sexe associé, si ce n’est le nom ridicule de ce jouet. Bref il l’a acheté et moi je me suis pris un masturbateur classique, une espèce de gaine en silicone que tu mets sur ta queue, avec l’orifice vaguement en forme de chatte.
De retour au lycée j’ai dû aller en cours mais lui est retourné dans la piaule. Quand je suis rentré il était pas là mais j’ai de suite repéré son nouveau jouet sur le lit et avec l’odeur de sperme qui embaumait la chambre j’ai vite compris qu’il avait pas attendu pour s’en donner à cœur joie. Je me suis demandé s’il avait au moins nettoyé le truc avant de l’utiliser… certainement pas, gros porc qu’il était. Mais du coup… est-ce qu’il l’avait nettoyé après l’avoir utilisé ? J’ai senti ma queue se réveiller contre ma cuisse. En m’approchant du lit j’ai fait une découverte qui m’a fait vriller. Non seulement il y avait des tâches de sperme sur les draps mais en plus il y en avait une énorme giclée entre les fesses en plastique et j’étais à peu près sûr que le reste de la dose se trouvait encore à l’intérieur du faux cul. Putain ! J’avais déjà senti son sperme après ses branlettes et j’en avais déjà vu des traces sèches sur ses draps et ses fringues sales mais du sperme encore frais, c’était la première fois. J’ai eu du mal à me retenir de tout lécher direct mais je pouvais pas me permettre de me faire surprendre. Je lui ai envoyé un message pour savoir où il était et j’ai eu sa réponse dans la minute. C’te brute c’était encore pris 2h de colle pour je ne sais quelle raison. J’avais grave du temps devant moi. J’ai mis une chaise en travers de la porte qu’on peut pas verrouiller et je me suis mis a poil. J’ai sorti mon nouveau masturbateur et j’ai léché un peu du sperme qui était sur le cul en plastique. Sa texture sur ma langue a fait gonflé ma queue d’encore un cran. J’ai recraché le sperme dans le masturbateur et j’y ai glissé ma teub, aidé par le plus excitant des lubrifiants naturels. L’orifice en plastique du jouet du Bœuf dégoulinait de son sperme et quand j’ai appuyé dessus il en est sorti encore plus, blanc, épais et ... encore chaud ! Je me suis mis à me masturber comme un enragé et à lécher chaque goutte de jus. J’enfonçais ma langue dans l’anus synthétique et j’étais récompensé par une putain de quantité de sperme. Ça devait être la première giclée du Bœuf depuis son accident. Pour lui, 4 jours sans branlette équivalaient à une production digne d’un putain de cheval. Je me gavais comme jamais. J’ai pris un peu de sperme avec le doigt de ma main libre et je l’ai étalé sur mon propre cul puis j’ai recommencé et je l’ai fait pénétrer à l’intérieur de moi. J’imaginais sa teub lâchant son jus dans ma chatte et me voilà en train de me branler, me doigter et lécher comme un animal le cul en silicone d’où sort encore du jus à chaque fois que je colle mes lèvres à l’anus artificiel en aspirant. Ça dure environ 2 min avant que je lâche tout. La plupart de mon sperme reste dans le masturbateur mais il y en a un peu qui tombe sur le lit de Dylan et vient faire de nouvelles tâches à côté de celles de son jus à lui. Ça me donne une nouvelle idée avant même que j’ai le temps de débander. Je libère ma queue du masturbateur et sans la nettoyer je la rentre dans le jouet du Bœuf. Mon sperme se mêle au sien et ma queue rentre en un instant. J’adore voir l’orifice qui s’agrandit pour la laisser entrer. La dilatation a dû être identique pour la queue du Bœuf qui ressemble à la mienne en termes d’épaisseur. J’ignorais que c’était possible mais je bande encore plus. Je me mets à défoncer le jouet. Mon imagination part encore plus en vrille et dans mon fantasme je suis le Bœuf qui baise mon propre cul. Je me vois à 4 pattes, mes boucles blondes rebondissant sur ma tête alors que la queue du Bœuf coulisse en moi. Je me vois retourner mon visage vers mon baiseur, mes traits déformés par le plaisir, sourcils relevés, yeux mi-clos et bouche ouverte d’où coule encore la salive que j’ai produite en le suçant pour bien lubrifier sa queue. Je baise mon propre cul imaginaire en me prenant pour le Bœuf pendant plus de 15 minutes avant d’éjaculer de grosses giclées et de vite sortir ma bite pour qu’il y en ait aussi sur les fesses en silicone, comme le Bœuf l’avait fait un peu plus tôt. J’aurais tellement aimé qu’il me féconde moi. Je pars me doucher, la teub en feu tellement j’ai tout donné. Quand je reviens j’aère la chambre mais je ne touche pas au jouet plein de mon jus. Le Bœuf rentre quelques instants après et passe sa soirée à insulter la prof qui l’a collé. C’est un gars simple et je sais qu’il ne s’est pas posé la moindre question sur le fait d’avoir laissé son jouet plein de jus 2h auparavant et de trouver ses draps encore trempés à son retour. Le soir je l’ai entendu baiser de nouveau le jouet sans l’avoir nettoyé et sans se préoccuper d’être discret, en faisant bouger le lit pendant qu’il s’agitait. J’ai sorti ma tête du lit et je l’ai ostensiblement maté baiser le cul, en missionnaire. J’étais au-dessus, il ne pouvait pas me voir et j’en ai bien profité. Il était torse-nu, son caleçon en dessous des fesses et il grognait en donnant de grands coups de bassin dans le jouet sexuel, qui prenait bien cher. J’entendais le bruit humide de sa bite qui coulisse et je savais que c’était mon jus qui facilitait chacun de ses coups de bite. Je me suis encore branlé et j’ai joui au moment où ses fesses se sont serrées et qu’il a déchargé, tous les muscles de son corps tendus. Je me suis vite planqué dans mon lit et je l’ai entendu jeter le jouet par terre et faire claquer l’élastique de son calbute en le remontant. Il ne nettoyait jamais sa teub après avoir joui et s’endormait avec du sperme plein le calbute et les draps, parfois même plein le torse. Qu’il soit aussi dégueu me faisait kiffer. Le lendemain il s’est levé sans se préoccuper des taches blanches et de la gaule qui déformait son calbute. Je l’ai vu pousser le cul en plastique sous le lit avec son pied. Il ne s’en est pas plus s’en occuper que ça. Quand il est parti aux toilettes j’en ai profité pour lécher le sol, là où son jus s’était écoulé de son fourreau de silicone puis j’ai avalé tout ce qui restait du mélange de nos deux jus que j’ai pu en faire sortir. J’ai continué ce manège tout le temps qu’il a utilisé le jouet. Dès que sa main a été guérie il l’a laissé moisir sous le lit sans plus s’en occuper. A peine un mois après il s’est fait virer pour avoir fait exploser les chiottes du dortoir avec d’énormes pétards. Il a jamais eu son bac et il s’est marié 2 ans après avec l’ex de mon pote qu’on avait tous les deux baisé. Ils ont 2 gosses et je crois qu’il s’est calmé mais quand on se voit il me raconte toujours comment il défonce salement sa femme et se fait tailler des pipes par une de ses collègues… Ce sera jamais un mec bien mais y a une partie de moi qui le kiffera toujours. Il s’est rien passé d’autre entre nous. Quand il est parti il a laissé son jouet sexuel sous le lit et je l’ai utilisé pendant des années jusqu’à ce que je le déchire dans une séance de baise bestiale en solo.
Y a quelques temps j’ai rencontré un gars qui lui ressemblait énormément. Même âge, même gueule, même corps de Bœuf. Ses couilles étaient encore plus grosses, mais sa queue était plus fine et il était clairement moins stupide. Je lui ai demandé si je pouvais l’appeler le Taureau et il a accepté. Il m’a baisé salement pendant quelques semaines, presque tous les jours. Aujourd’hui quand je me souviens de ses bonnes baises c’est la tête du Bœuf que je vois et je me lasse pas de me branler en y pensant.
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