Trop loin avec mon joueur

- Par l'auteur HDS Félix Bi -
Récit érotique écrit par Félix Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 4 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Félix Bi ont reçu un total de 28 693 visites.
Récit libertin : Trop loin avec mon joueur Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 841 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Trop loin avec mon joueur
Salut à tous.te.s, je m’appelle Félix et j’ai découvert le site récemment alors je me lance pour vous raconter mes propres aventures sexuelles, j’espère que certaines vous intéresseront alors n’hésitez pas à réagir et me faire des retours !
Pour me présenter rapidement, j’ai eu 25 ans il y a quelques semaines, je suis blond aux cheveux beaucoup trop bouclés, que je porte avec une barbe assez touffue qui tire clairement vers le roux. J’ai les yeux complétement noirs, je fais 1m91 pour 102 kilos (qui se répartissent entre pas mal de muscles et une petite brioche il faut bien l’avouer). Je suis assez poilu surtout sur le torse, les fesses et autour de mon sexe, qui est très très épais mais pas particulièrement long. Je suis kiné dans le Sud-Ouest et, assez logiquement, je pratique le rugby à XIII depuis tout petit dans le même club, dont je suis aujourd’hui un des entraineurs.
La première des histoires que j’ai choisi de vous raconter se déroule en septembre 2020, justement lorsque je rencontre l’un des groupes que je vais être amené à entrainer. Pour cette année particulière on m’a confié les entrainements nocturnes d’une équipe Juniors qui regroupe des lycéens et des étudiants de moins de 19 ans. On sait très bien que le Covid va nous empêcher de pratiquer alors on en profite à fond en début de saison et on s’organise pour se retrouver le soir. Je découvre l’équipe dont je connais la plupart des membres que j’ai déjà vu au club ou dans leurs matchs. Comme il y a eu une fusion avec le club d’un village voisin il y a quand mêmes des nouvelles têtes, j’ai l’impression de reconnaître un gars en particulier mais je ne me souviens plus d’où.
Après un échauffement bien costaud je les réunis au centre du terrain et je les fais se présenter un par un avec leur poste, leurs atouts et les points à améliorer dans leur jeu cette année. Au moment de se présenter le mec qui m’évoquait quelque chose me fixe droit dans les yeux et se met à parler avec un terrible accent italien. Tout devient hyper clair dans ma tête. Avant qu’il ne le dise je me souviens de tout. Il s’appelle Pietro, il a 18 ans et une putain de bonne queue que j’ai bien sucé cet été pendant un plan à 3. Je croyais qu’il était simplement en vacances mais il faut dire qu’on n’avait pas vraiment eu le temps de discuter tellement on avait tous envie de baiser. Et si je l’ai oublié ce n’est certainement pas parce que c’était moyen, au contraire c’était mémorable mais j’avoue que j’ai pas mal enchainé les plans cet été et je ne m’attendais certainement pas à le revoir. En fait il a carrément emménagé ici pour suivre son père et va terminer son lycée en France pour obtenir le bac qu’il n’a pas pu avoir en Italie. Il parle ensuite de rugby et répond aux questions des autres mais je n’arrive pas à écouter tant j’essaie de cacher ma queue qui gonfle dans mon short. Je crois que je porterai une coquille pour les prochaines fois où je dois l’entrainer. Pietro est extrêmement beau. C’est un ailier presque aussi grand que moi et bien plus élancé, avec de profonds yeux clairs et des cheveux épais et foncés. Je me souviens à peu près de son corps musclé et relativement imberbe à la peau mate. Mais je me souviens surtout de sa queue ! J'essaie discrètement de regarder à travers son short pour voir si, comme moi, il bande. Je suis sûr qu’il m’a reconnu mais je ne perçois entre ses jambes que la bosse standard de sa coquille. Et pourtant je sais qu’il a une sacrée grosse queue, vraiment longue et plutôt épaisse, qui avait défoncé sa pote pendant plus de quinze minutes lors de notre plan. Je me souviens aussi de l’odeur de ses poils qu’il avait visiblement taillés et de ses belles couilles rasées.
L’entrainement se poursuit et je réussis à me distraire un peu en poussant à fond mes joueurs. Pietro joue plutôt bien à son poste et s’est le seul à m’appeler « Coach » et il le fait avec un petit sourire qui me refait durcir à chaque fois. On termine l’entrainement a plus de 22h mais je propose d’enchainer par un apéro pour fêter la reprise. Tout le monde part se doucher et je les accompagne au vestiaire en discutant. Ils sont tous nus mais j’ai l’habitude. Même si j’admire leur virilité ça ne m’excite pas outre mesure. Par contre quand je vois Pietro sortir des douches j’ai du mal à me retenir de ramper à ses pieds. Il est non seulement sublime mais en plus il me regarde avec un sourire en coin qui veut tout dire. Je bande à n’en plus pouvoir. Je donne à chacun une mission pour organiser l’apéro, certains préparent la salle du club, d’autres vont acheter de quoi boire et manger. Je presse les retardataires et quand le vestiaire et vide je prends ma propre douche. Je n’ai toujours pas débandé et je voulais donc éviter de me doucher avec eux. Je me branle sous l’eau et une idée me vient. C’est une très mauvaise idée mais quand je suis excité je ne recule devant rien. Je prends une photo de mon cul bien cambré et je l’envoie à Pietro sur snap. Je me souvenais que nous avions échangé quelques nudes sur l’appli avant de se voir pour le plan à 3. Aucune réponse ne vient et au bout de quelques minutes je sors de la douche et commence à me sécher. L’excitation est descendue et je commence à craindre d’avoir été trop loin avec mon joueur. J’entends la porte claquer et je sais de suite que j’ai finalement eu raison de tenter le coup. Il lui faut quelques secondes pour traverser le vestiaire et arriver en vue du coin où je me trouve mais je suis déjà certain que c’est lui. Il a un immense sourire.
« J’avais peur que tu me reconnais pas, Coach »Son accent et son français approximatif me replonge dans notre baise de l’été. Je bande en un instant. Il le remarque et rigole.
« En tout le cas ta grosse queue se rappelle moi ! »Je ne réponds pas, je suis déjà à genou, le regard fixé sur son short. Il me met un doigt dans la bouche.
« Dis ce que tu veux. »« Je veux ta queue, je veux être à toi comme la dernière fois… »Il ne sourit plus. Je retrouve le mec dominateur auquel j’avais tant aimé me soumettre.
« Alors je vais prendre ta bouche. »Il n’a pas fini sa phrase qu’il a déjà baissé son short et son boxer en un seul mouvement. Sa queue est tellement tendue qu’en se libérant de l’élastique du short elle vient claquer contre ma joue. Je m’entends gémir et me précipite dessus de toute ma bouche. Je ne prends pas le temps de lécher doucement son gland tellement j’ai envie de son sexe. J’enchaine les va et vient, il est délicieux et gonfle encore dans ma bouche. Je le libère au bout de plusieurs minutes et la salive coule à flot sur le sol des vestiaires. Sans déconner sa bite fait presque 20cm ! Je colle mon nez dans ses poils et m’emplit les poumons de son odeur de bite. J’aurais préféré faire ça avant la douche mais c’est déjà génial. Je lèche ses couilles comme un chien et il m’arrête en me tirant les cheveux. Je le regarde et le vois me signifier de rester silencieux.
« Wesh Félix on est prêt, c’est quand tu veux là ! » Je reconnais la voix de Timothée, un gars de l’équipe. Je l’entends avancer dans le vestiaire, il ne va pas tarder à nous voir. J’essaie de ravaler la salive qui coule long de mon menton.
« Ouais j’arrive c’est bon ! Et tu parles meilleur à ton entraineur, petite baltringue. » Ma voix est à la fois rauque et humide tellement la queue de Pietro m’a limé la gorge.
Timothé rigole et fait demi-tour avant d’être arrivé jusqu’à nous. Quand la porte se ferme je me relève en soufflant.
« On a eu chaud putain. »J’ai totalement débandé mais je vois que Pietro est plus dur que jamais et que son visage est très sérieux.
« Tu crois tu peux arrêter de me faire du bien sans que je le dis ? » Avant que j’ais réagi il me prend par le cou et me remet à genou. Je rebande direct.
« Apri la bocca, cagna. »J’ouvre la bouche et il y rentre violemment son énorme queue. Je manque de m’étouffer mais il commence à me baiser la bouche. Je sens mon visage devenir rouge et chaud et les larmes monter tellement il y va fort. Chaque coup de bite m’arrache un gargarisme, la salive coule encore une fois de mes lèvres, avec lesquelles je tente quand même de lui donner le plus de plaisir possible. Il agrippe mes cheveux et accélère encore. Ça dure longtemps et j’étouffe de plus en plus. Je tente de me dégager mais l me donne une claque qui me fait pleurer et bander comme jamais. Son visage s’empourpre et il balance la tête vers le haut avec des râles virils. Je ne sens pas son jus mais son sexe pulse plusieurs fois au fond de ma gorge. Il y reste quelques secondes, je n’arrive pas à avaler et quand il sort un mélange de sperme et de salive reste sur sa queue et goutte abondamment au sol.
Je m’affaire à nettoyer sa queue en branlant la mienne et je jouis très vite. Mon sperme se mélange au sien par terre. Il pointe la grosse flaque au sol.
« Leccalo. »Moins excité après mon éjac je prends un air un peu choqué qui doit lui déplaire car il me décoche une seconde baffe que ma barbe n’atténue pas du tout. Je me remets à quatre pattes et commence à lécher le sol. Je ne peux pas vraiment différencier le sperme et la salive tellement il s’est passé de chose sur le sol de se vestiaire ce soir. Je m’aperçois que je rebande et je me branle de nouveau. Je lève les yeux tout en continuant ma tâche et je vois qu’il masturbe sa magnifique queue à deux mains. Cela me prend plusieurs minutes mais quand j’ai fini de tout lécher il me fait signe d’ouvrir la bouche et éjacule de nouveau, sur mon visage cette fois. J’en ai partout et cela déclenche ma propre éjac. Il ne me fait pas renettoyer le sol mais m’embrasse alors que j’ai encore son sperme dans la bouche. Il a l’air satisfait et sourit de nouveau.
Nous nous rhabillons mais il m’interdit de me nettoyer le visage avec de l’eau, je ne peux que le sécher avec son short de rugby sale. Je devrais avoir peur que les autres remarque le sperme qui reste peut-être dans ma barbe ou notre longue absence mais obéir à Pietro est trop satisfaisant pour que j’y pense vraiment. Quand nous les rejoignons la plupart sont déjà bourrés et personne ne pose de questions.
Ce n’est pas la seule fois où Pietro m’a fait faire des trucs fous et ce n’est d’ailleurs pas le seul ! J’ai pleins d’expériences en réserve à vous raconter donc si ça vous a plu n’hésitez pas à me le dire pour que je continue. D’ailleurs je suis loin d’être uniquement soumis, bien au contraire, donc n’hésitez pas à me dire ce que vous aimeriez savoir de ma vie sexuelle !

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Trop loin avec mon joueur
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Félix Bi

Tu es mien. - Récit érotique publié le 04-07-2022
Le Bœuf, pote d'internat - Récit érotique publié le 18-11-2021
Le daron du poto - Récit érotique publié le 25-06-2021
Trop loin avec mon joueur - Récit érotique publié le 18-06-2021