Tu es mien.
Récit érotique écrit par Félix Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Félix Bi ont reçu un total de 28 694 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 485 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Tu es mien.
J’ai récemment aménagé un van pour partir où je veux, quand je veux. Depuis j’ai plein de nouveaux fantasmes et j’aimerais les assouvir avec un inconnu. Ça pourrait être toi, si ce délire t’excite et que ta queue est bien humide d’ici la fin de la lecture. N’hésite pas à candidater par mail avec une lettre de motivation et un CV.
Après plusieurs heures de route, et au moins une frontière traversée, on arrive à destination. Le spot est bien choisi, on surplombe l’océan mais on est caché par une végétation assez dense pour être à l’aise. On va enfin pouvoir baiser.
Ça fait des semaines qu’on en parle et qu’on s’envoie des photos et des vidéos. Même si t’as pas pu te retenir de me sucer 2 ou 3 fois quand je conduisais, on s’est jamais vraiment vus nus. Ton corps me plait de ouf avec ses petits défauts dont tu m’as parlé et j’attends pas les prélis pour te la mettre bien profond. On aura bien le temps pour les caresses plus tard, là je veux ton cul. J’te ken à l’arrière du van, sans ménagement, seulement lubrifié par quelques crachats. J’avoue que je suis assez indifférent au paysage même si le soleil se couche et que le ciel s’enflamme. Au moment de jouir je me souviens d’une requête que tu m’as faite le premier jour où on s’est parlé sur internet. Je sors ma queue et sans te prévenir je te jouis sur la gueule. Quand je vois l’expression de surprise et de bonheur sur ton visage ça me confirme qu’on va vraiment être au paradis dans cette parenthèse presque irréelle qu’on s’est crée sans se connaitre. Je sens que t’as envie de m’appartenir et que ce premier marquage au jus ouvre la voie à bien d’autres. Je t’enlace amoureusement en t’empêchant d’aller te rincer parce que je te trouve tellement beau comme ça, le visage souillé par mon jus et le cul trempé de ma salive.
La nuit tombe, j’allume un feu pour qu’on puisse rester nus sans avoir froid et j’y fais cuire des saucisses, pour rester dans le thème. J’en profite pour te demander de danser pour moi. T’es gêné et tu le sens pas. Je respecte ta limite sans te dire que je suis un peu déçu. On prend une bière et on se régale au coin du feu de nos hot dogs improvisés. Te voir manger m’excite à nouveau alors je mets un peu de sauce sur ma queue et je te siffle. Tu comprends direct le message, tu lâches tout et tu t’approches à quatre pattes. Tu lèches ma queue en me regardant puis tu la suces franchement. Au moment de jouir je quitte ta bouche, me lève et me dirige vers ce qu’il reste de ton repas. Je gicle sur le hot dog puis le pause par terre. J’ai pas besoin de dire un mot que tu te précipites déjà dessus et le dévore à quatre pattes, sans les mains, à même le sol. Alors que tu lèches avidement chaque trace de sperme je repense au fait que, trente minutes plus tôt, t’étais gêné à l’idée de danser pour moi…
On s'endort et tu passes la nuit collé à moi. Le matin je suis réveillé par les vagues et le lever de soleil. Tu dors encore, j’ai hésité à t’enculer ou te coller ma queue dans la gorge mais finalement je te laisse dormir. Je nous fais du café sur le réchaud, près du van. L’odeur te réveille et tu me rejoins. L’image de ton corps tout ensommeillé et de ta queue déjà bien réveillée m’excite trop. J’arrête ce que je fais et je te retourne sur le capot. Je te prends beaucoup plus tendrement et cette fois-ci on se rend tous les deux compte de la beauté du paysage qui nous entoure et notre baise en devient presque une célébration. Faute de lait, c’est avec un nuage de sperme que je te sers ton café. Tu m’avoue n’en avoir jamais autant apprécié une tasse de ta vie.
On se décide à aller prendre le petit déjeuner au village d'à côté, en marchant. Evidemment, je reste derrière toi tout du long pour admirer ton sublime cul moulé dans ton petit short blanc, très court, et les magnifiques cuisses poilues qui en sortent. En arrivant au village je pose une main sur tes fesses pour que tout le monde comprenne que ce chef d’œuvre est à moi et que tu m’appartiens. On s'installe en terrasse, côte à côte, avec vue sur une petite église et l'océan, un peu plus loin. J'ai une main sur ta jambe en permanence et je caresse sans y penser l'intérieur de ta cuisse. Je t'embrasse au minimum toutes les deux minutes. On a une discussion anodine à laquelle on donne une tournure sexy sans s'en rendre compte. Je te dis que j'ai envie de toi, pour la 2659756ème fois depuis que je t’ai vu au point de rendez-vous, avant que tu montes dans le van. C’était seulement hier. A chaque fois tu me répondais que toi aussi t’avais envie de moi, mais là je sens qu’il y a eu un déclic. Tu me réponds pour la première fois que t'es à moi et que je peux disposer de toi comme bon me semble. Tu finis par un « I’m yours, daddy... » qui me convainc que tu as basculé du rang d’être libre à celui de chose possédée par ton maître, corps et âme.
Je perçois quand même que tu as encore des désirs plus précis que simplement me satisfaire par tous les moyens. Je sais que bientôt tu ne seras plus avide que de remplir mes besoins, en oubliant tous les tiens. En attendant, je te dis que j’accepterai de satisfaire l’envie que tu tais, à la condition que tu m’en supplies. Tu es tellement rouge et bégayant d’être percé à jour si facilement que nos voisins de table nous jettent des regards perplexes. Je fais glisser ma main sur ta cuisse et attrape tes couilles que je serre. « Supplie moi. »
Tout bégaiement disparait, tu reprends une contenance en moins d’une seconde. Ça y est, tu as compris ce que représente un ordre pour quelqu’un comme toi. Ce n’est pas une obligation qu’on t’impose, c’est une opportunité d’éteindre ton cerveau, de quitter cette conscience qui te bloque pour devenir un drone piloté par ton maitre. « Prenez-moi, maître. Je vous en supplie, prenez-moi tout de suite. » Le vouvoiement est venu de lui-même, je n’ai pas eu à te l’imposer.
Tout ça m’a bien excité, je suis passé en mode Alpha et plus rien ne me fait peur, j’en oublie toute notion de risque. Sans même payer le petit déjeuner je te prends par le cou et t’entraine vers l’église. On la contourne et je baisse ton short juste assez pour cracher dans ta raie et y glisser ma queue. Elle frotte entre tes fesses et quand elle trouve ton trou tu gémis bien trop fort. Je plaque ma main sur ta bouche et fait pression pour te cambrer. Je te baise pendant une durée qu’on ne peut évaluer tant on est en transe. On quitte cet état second en entendant des pas. Je sors ma queue et fait mine de pisser pendant que tu remontes ton short. Je suis certain que le daron qui passe capte ce qui se passe à cause de la grosse tâche humide au niveau des fesses de ton short et de ma queue bien trop raide.
On est grillés au village, pour la baise et le resto basket, alors on reprend discrètement le chemin du van. Je suis hypnotisé par la tâche sur ton cul qui a rendu le tissu translucide et je regarde tellement peu où je vais que je tombe presque d’une corniche. Mes yeux découvrent alors par hasard une minuscule crique en contrebas. Je t'attrape par le bras et je vois que tu partages mon regard pétillant de perversion. On dévale comme des dératés la pente qui nous sépare de la plage en explosant de rire. On arrache nos vêtements et en arrivant au bord de l’eau on est déjà presque nus. J'attends pas une seconde et te balaye les jambes pour te faire tomber à genou dans le sable humide. Je t’ouvre la bouche et crache dedans avant d'y enfoncer ma queue sans que t'aies pu dire un mot. J'ai même pas besoin de te contraindre à me regarder en suçant, tes yeux sont déjà fixés sur moi. J'adore la totale soumission que j'y vois. D'une main, je t’impose le rythme en agrippant tes cheveux et de l'autre je t'étrangle. Alors que je te baise la gorge, la salive se met à couler de tes lèvres et rejoint les vagues qui nous lèchent les pieds. Je te crache sur le visage en t'insultant. Je t'interdis de toucher à ton sexe et je te cale une énorme baffe quand je vois tes mains qui s'en approche. La marque qui apparait sur ta joue achève de me faire monter et je sors ma queue de ta bouche. Ta langue est déjà dehors, prête à être souillée. Je t'autorise à te branler et t'es tellement sous mon emprise que t’es déjà au bord de l’orgasme. Quand j'éjacule sur ton visage, tes cheveux et ta barbe, toi tu éjacules sur mes pieds. Je t’embrasse et mon sperme se mêle à nos salives puis je te fais nettoyer le tien sur mes pieds avant qu’une vaguelette ne vienne t’en priver.
On passe la matinée dans l’eau à jouer nus, s’embrasser, se serrer et nager comme des ados énamourés. Quand on sort de l’eau, on est plus proches que jamais, avec l’impression de se connaître depuis toujours. Je te regarde ramasser tes affaires et je te dis simplement « Non. ». Tu me regardes à ton tour et tu lances ton short et ta chemise dans les vagues. Je sais que tu perçois mon attente tacite. Plus rien ne te freine, tu danses pour moi, nu, offert. Même si nos chemins ne se croisent que pour quelques jours, je sais que désormais je possède une partie de toi pour l’éternité. Tu es mien.
Si tu veux que ce soit toi (dans un rôle ou dans l’autre), n’oublie pas : Lettre de motivation et CV à felixfelicis@mail.fr
Après plusieurs heures de route, et au moins une frontière traversée, on arrive à destination. Le spot est bien choisi, on surplombe l’océan mais on est caché par une végétation assez dense pour être à l’aise. On va enfin pouvoir baiser.
Ça fait des semaines qu’on en parle et qu’on s’envoie des photos et des vidéos. Même si t’as pas pu te retenir de me sucer 2 ou 3 fois quand je conduisais, on s’est jamais vraiment vus nus. Ton corps me plait de ouf avec ses petits défauts dont tu m’as parlé et j’attends pas les prélis pour te la mettre bien profond. On aura bien le temps pour les caresses plus tard, là je veux ton cul. J’te ken à l’arrière du van, sans ménagement, seulement lubrifié par quelques crachats. J’avoue que je suis assez indifférent au paysage même si le soleil se couche et que le ciel s’enflamme. Au moment de jouir je me souviens d’une requête que tu m’as faite le premier jour où on s’est parlé sur internet. Je sors ma queue et sans te prévenir je te jouis sur la gueule. Quand je vois l’expression de surprise et de bonheur sur ton visage ça me confirme qu’on va vraiment être au paradis dans cette parenthèse presque irréelle qu’on s’est crée sans se connaitre. Je sens que t’as envie de m’appartenir et que ce premier marquage au jus ouvre la voie à bien d’autres. Je t’enlace amoureusement en t’empêchant d’aller te rincer parce que je te trouve tellement beau comme ça, le visage souillé par mon jus et le cul trempé de ma salive.
La nuit tombe, j’allume un feu pour qu’on puisse rester nus sans avoir froid et j’y fais cuire des saucisses, pour rester dans le thème. J’en profite pour te demander de danser pour moi. T’es gêné et tu le sens pas. Je respecte ta limite sans te dire que je suis un peu déçu. On prend une bière et on se régale au coin du feu de nos hot dogs improvisés. Te voir manger m’excite à nouveau alors je mets un peu de sauce sur ma queue et je te siffle. Tu comprends direct le message, tu lâches tout et tu t’approches à quatre pattes. Tu lèches ma queue en me regardant puis tu la suces franchement. Au moment de jouir je quitte ta bouche, me lève et me dirige vers ce qu’il reste de ton repas. Je gicle sur le hot dog puis le pause par terre. J’ai pas besoin de dire un mot que tu te précipites déjà dessus et le dévore à quatre pattes, sans les mains, à même le sol. Alors que tu lèches avidement chaque trace de sperme je repense au fait que, trente minutes plus tôt, t’étais gêné à l’idée de danser pour moi…
On s'endort et tu passes la nuit collé à moi. Le matin je suis réveillé par les vagues et le lever de soleil. Tu dors encore, j’ai hésité à t’enculer ou te coller ma queue dans la gorge mais finalement je te laisse dormir. Je nous fais du café sur le réchaud, près du van. L’odeur te réveille et tu me rejoins. L’image de ton corps tout ensommeillé et de ta queue déjà bien réveillée m’excite trop. J’arrête ce que je fais et je te retourne sur le capot. Je te prends beaucoup plus tendrement et cette fois-ci on se rend tous les deux compte de la beauté du paysage qui nous entoure et notre baise en devient presque une célébration. Faute de lait, c’est avec un nuage de sperme que je te sers ton café. Tu m’avoue n’en avoir jamais autant apprécié une tasse de ta vie.
On se décide à aller prendre le petit déjeuner au village d'à côté, en marchant. Evidemment, je reste derrière toi tout du long pour admirer ton sublime cul moulé dans ton petit short blanc, très court, et les magnifiques cuisses poilues qui en sortent. En arrivant au village je pose une main sur tes fesses pour que tout le monde comprenne que ce chef d’œuvre est à moi et que tu m’appartiens. On s'installe en terrasse, côte à côte, avec vue sur une petite église et l'océan, un peu plus loin. J'ai une main sur ta jambe en permanence et je caresse sans y penser l'intérieur de ta cuisse. Je t'embrasse au minimum toutes les deux minutes. On a une discussion anodine à laquelle on donne une tournure sexy sans s'en rendre compte. Je te dis que j'ai envie de toi, pour la 2659756ème fois depuis que je t’ai vu au point de rendez-vous, avant que tu montes dans le van. C’était seulement hier. A chaque fois tu me répondais que toi aussi t’avais envie de moi, mais là je sens qu’il y a eu un déclic. Tu me réponds pour la première fois que t'es à moi et que je peux disposer de toi comme bon me semble. Tu finis par un « I’m yours, daddy... » qui me convainc que tu as basculé du rang d’être libre à celui de chose possédée par ton maître, corps et âme.
Je perçois quand même que tu as encore des désirs plus précis que simplement me satisfaire par tous les moyens. Je sais que bientôt tu ne seras plus avide que de remplir mes besoins, en oubliant tous les tiens. En attendant, je te dis que j’accepterai de satisfaire l’envie que tu tais, à la condition que tu m’en supplies. Tu es tellement rouge et bégayant d’être percé à jour si facilement que nos voisins de table nous jettent des regards perplexes. Je fais glisser ma main sur ta cuisse et attrape tes couilles que je serre. « Supplie moi. »
Tout bégaiement disparait, tu reprends une contenance en moins d’une seconde. Ça y est, tu as compris ce que représente un ordre pour quelqu’un comme toi. Ce n’est pas une obligation qu’on t’impose, c’est une opportunité d’éteindre ton cerveau, de quitter cette conscience qui te bloque pour devenir un drone piloté par ton maitre. « Prenez-moi, maître. Je vous en supplie, prenez-moi tout de suite. » Le vouvoiement est venu de lui-même, je n’ai pas eu à te l’imposer.
Tout ça m’a bien excité, je suis passé en mode Alpha et plus rien ne me fait peur, j’en oublie toute notion de risque. Sans même payer le petit déjeuner je te prends par le cou et t’entraine vers l’église. On la contourne et je baisse ton short juste assez pour cracher dans ta raie et y glisser ma queue. Elle frotte entre tes fesses et quand elle trouve ton trou tu gémis bien trop fort. Je plaque ma main sur ta bouche et fait pression pour te cambrer. Je te baise pendant une durée qu’on ne peut évaluer tant on est en transe. On quitte cet état second en entendant des pas. Je sors ma queue et fait mine de pisser pendant que tu remontes ton short. Je suis certain que le daron qui passe capte ce qui se passe à cause de la grosse tâche humide au niveau des fesses de ton short et de ma queue bien trop raide.
On est grillés au village, pour la baise et le resto basket, alors on reprend discrètement le chemin du van. Je suis hypnotisé par la tâche sur ton cul qui a rendu le tissu translucide et je regarde tellement peu où je vais que je tombe presque d’une corniche. Mes yeux découvrent alors par hasard une minuscule crique en contrebas. Je t'attrape par le bras et je vois que tu partages mon regard pétillant de perversion. On dévale comme des dératés la pente qui nous sépare de la plage en explosant de rire. On arrache nos vêtements et en arrivant au bord de l’eau on est déjà presque nus. J'attends pas une seconde et te balaye les jambes pour te faire tomber à genou dans le sable humide. Je t’ouvre la bouche et crache dedans avant d'y enfoncer ma queue sans que t'aies pu dire un mot. J'ai même pas besoin de te contraindre à me regarder en suçant, tes yeux sont déjà fixés sur moi. J'adore la totale soumission que j'y vois. D'une main, je t’impose le rythme en agrippant tes cheveux et de l'autre je t'étrangle. Alors que je te baise la gorge, la salive se met à couler de tes lèvres et rejoint les vagues qui nous lèchent les pieds. Je te crache sur le visage en t'insultant. Je t'interdis de toucher à ton sexe et je te cale une énorme baffe quand je vois tes mains qui s'en approche. La marque qui apparait sur ta joue achève de me faire monter et je sors ma queue de ta bouche. Ta langue est déjà dehors, prête à être souillée. Je t'autorise à te branler et t'es tellement sous mon emprise que t’es déjà au bord de l’orgasme. Quand j'éjacule sur ton visage, tes cheveux et ta barbe, toi tu éjacules sur mes pieds. Je t’embrasse et mon sperme se mêle à nos salives puis je te fais nettoyer le tien sur mes pieds avant qu’une vaguelette ne vienne t’en priver.
On passe la matinée dans l’eau à jouer nus, s’embrasser, se serrer et nager comme des ados énamourés. Quand on sort de l’eau, on est plus proches que jamais, avec l’impression de se connaître depuis toujours. Je te regarde ramasser tes affaires et je te dis simplement « Non. ». Tu me regardes à ton tour et tu lances ton short et ta chemise dans les vagues. Je sais que tu perçois mon attente tacite. Plus rien ne te freine, tu danses pour moi, nu, offert. Même si nos chemins ne se croisent que pour quelques jours, je sais que désormais je possède une partie de toi pour l’éternité. Tu es mien.
Si tu veux que ce soit toi (dans un rôle ou dans l’autre), n’oublie pas : Lettre de motivation et CV à felixfelicis@mail.fr
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Félix Bi
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...