Le baiser de Tarentula - 16H15
Récit érotique écrit par Luc helce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le baiser de Tarentula - 16H15
Je rejoignit ma voiture pour filer en quatrième vitesse à l'usine. Je pensais à Sylvie. Il fallait que je me dépêche de lui faire son nouveau contrat. Évidemment, je craignait toujours qu'elle diffuse la vidéo partout mais je voulais plus que tout qu'elle me fasse à nouveau goûter son urine. Ce plaisir vécu chez Gaëlle n'avait rien de comparable avec ce que j'avais vécu de toute mon existence. C'était comme une révélation divine. J'avais conscience que ce désir était complètement fou mais j'étais incapable de me soustraire à cette irrépressible envie. Arrivé sur le parking, je me rendis compte que la voiture de Sylvie était sur là. Mon cœur se mit à battre très fort dans ma poitrine. Je me mis a nouveau à avoir peur sans pouvoir me l'expliquer. Il me fallut quelques instants avant de retrouver mon calme et d'arriver à sortir de la voiture.
Je la retrouvai, assise à son bureau. Je bafouillai : _ Ah Sylvie. Je... Je suis content de vous voir. Mais vous n'aviez pas pris votre journée ?
_ J'ai cherché à te joindre en début d'après midi pour savoir ce que tu avait décidé mais comme tu avais disparu de la circulation, j'ai préféré revenir au bureau pour te faciliter la tache. Tu vois, j'ai rédigé mon nouveau contrat de travail.
_ Oui, oui très bien ! Merci de vous en être occupé. C'est justement ce que je comptait faire.
_ Ah ouais ?
_ Oui, oui, je vous assure !
_ Viens, on va dans ton bureau !
Une fois là elle poursuivit : _ Bon !... Et bien c'est fait ! Je me suis référé à la grille indiciaire, je t'annonce que tu a en de face de toi la nouvelle directrice adjointe.
_ Directrice adjointe ! Mais comment je vais expliquer ça aux autres ?
_ Ça c'est ton problème mon petit bonhomme.
_ Oui mais...
_ Quoi ! Lançât-elle agacée.
Je fut assailli par la peur.
_ Non rien, rien ! Répondis-je précipitamment.
Mais Sylvie ne semblait pas calmée. Plus méfiante que jamais elle me dit : _ Qu'est-ce que tu caches ? T'as vite changé d'avis je trouve. T'avise pas de me la faire à l'envers. Je te jure que si tu me prépare un coup tordu, tu va le payer très cher.
_ Non ! Non !
Mais Sylvie s'avança vers moi et me saisit par le col de ma veste. Je sentis mes genoux qui cédaient et les larmes de panique qui me montaient aux yeux. Elle se fit plus menaçante et me dit d'une voix basse et grondante : _ Je te connais bien connard. Je suis sûre que t'as une idée derrière la tête. Fait très attention. T'as pas idée de ce qui t'attend si tu veux jouer au plus malin.
A ce moment là, je vis un éclair rouge à la limite de mon champ de vision. L'araignée ! Encore elle, elle m'avais suivi et allait me mordre. Je sursautai et me retournai vivement mais je ne vis rien. Sylvie me tenant toujours par le col, tira dessus pour m'obliger à lui faire face.
_ Et oh ! Connard ! C'est ici que ça se passe !
_ Désolé j'ai cru que...
_ Quoi ?!
_ C'est rien, désolé ! Sylvie, je vous en supplie ne vous fâchez pas. Je n'essaye pas de vous rouler. Donnez moi le contrat. Je le signe tout de suite. J'ai juste envie que vous...
_ Quoi ?! S’écria t-elle à nouveau.
Je voulais lui dire que j'avais eu une sorte de révélation et que j'étais prêt à tout pour qu'elle me fasse encore pipi dans la bouche mais j'en étais incapable. La seule chose que je pu articuler fut : _ Ne soyez pas trop méchante avec moi. Je vous en prie...
Elle me relâcha et se recula légèrement. Elle croisa les bras et me dévisageât, narquoise.
_ Alors c'est ça ! Tu espère échapper à ton « petit café » du matin !
_ Non ! Mais non, Sylvie. Je vous promet que...
_ Arrête ton cinéma ! Espèce de pauvre type ! Comment ose tu croire que je vais me passer de ce plaisir alors que toi tu ne t'est jamais gêné. Ça fait combien de temps que tu m'oblige à te sucer tous les matins ?
Je trouvais qu'elle exagérait, je ne le lui demandait pas plus de deux ou trois fois par semaine. Je tentait de le lui dire : _ Pas tous les matins !
_ Peu importe ! Moi j'ai envie de pisser tous les jours et pas que le matin ! Alors ça sera à chaque fois que j'en aurais envie.
_ Oui Sylvie. Vous avez raison j'ai pas été un bon patron pour vous. Mais ça va changer !
_ Un peu que ça va changer mon salop ! Tu veux que je te dise ? T'as bien fait d'en profiter tant que tu en as eu l'occasion parce que moi, je compte bien te faire payer au centuple tout ce que tu m'as fait subir. Et crois moi, je vais y prendre beaucoup de plaisir. Des litres et des litres... Jour après jour... Je vais faire te toi un pot de chambre !
A ces paroles mon cœur fit un bond dans ma poitrine. J'avais envie qu'elle se soulage dans ma bouche tout de suite et sans attendre. Je m’agenouillai devant elle.
_ Oh Sylvie ! Si vous saviez ce que...
Mais elle ne me laissa pas finir. Elle se détourna pour saisir le contrat et un stylo sur mon bureau.
_ Signe ! Ordonna t-elle en brandissant les papiers devant mon visage.
Fébrilement, je saisi le contrat et, le posant par terre, je le signait à même le sol, devant Sylvie, debout qui désignait le contrat du bout du pied.
_ Tu paraphe chaque page et tu t'appliques. Pauvre type ! T'as l'air malin maintenant.
Je fini de tout signer et lui tendis le contrat fébrilement. Elle s'en saisit, l'inspecta et sembla satisfaite. Moi j'étais toujours à genoux devant elle. Elle me jeta un coup d’œil.
_ On peux savoir ce que tu fous par terre ?
_ Mais je croyait que... que... Balbutiais-je en ouvrant bêtement la bouche.
J'étais tellement sûr qu'elle voulait se soulager dès maintenant dans ma bouche et j'en avais tellement envie ! Elle était tellement belle ! Mais encore une fois, elle ne comprit pas mon désir. Un rictus de colère déforma son visage et elle me gifla. La baffe me fit tourner la tête et sonna comme une espèce de réveil. Je ne méritais pas ça ! Je n'opposait plus aucune résistance. Je disais oui à tout. C'était pas juste ! Je sentis ma propre colère affluer alors qu'elle me lançait : _ Si tu crois m'apitoyer ! Connard !
Sur quoi, elle tourna les talons pour sortir de mon bureau, me laissant seul et pitoyable. A la vision de ses petites fesses qui se tortillaient sous mon nez alors qu'elle faisait les quelques mètres la séparant de la porte, je ressentit tout le mépris qu'elle avait pour moi. Son joli petit cul fier et hautain... Une rage sourde s'empara de moi, comme une bête me mordant les tripes. Je me relevait vivement alors qu'elle claquait la porte derrière elle. J'allais lui faire payer à cette salope, je ne méritait pas ça. Tant pis pour les conséquences, j'allais lui flanquer une raclée, l'étrangler, lui faire ravaler sa fierté quant, tout à coup, je la vit, devant moi, l'araignée, rouge sang ! Elle était plus grosse que chez Gaëlle mais c'était la même. Elle devait faire plus de dix centimètres de diamètre et, paralysé par la peur, je voyait ses crochets menaçants cliqueter dans le vide, dans ma direction. Qu'est-ce que je pouvais faire face à un monstre pareil ? Elle se tenait entre la porte et moi, m'interdisant la sortie. Je tournais les talons pour aller me réfugier au fond de mon bureau. Il me fallait quelque chose pour me défendre, n'importe quoi. Je saisit un magazine en me disant a quel point cette arme était dérisoire face à ce monstre. Je la cherchait du regard mais elle avait disparue. Je saisit ma veste sur le dossier du fauteuil et quitta le bureau à toute vitesse, laissant derrière moi cette terreur sans nom. Dans le hall, je ne vis pas Sylvie et je filais vers la sortie sans demander mon reste. Je la croisai devant l'entrée en train de fumer une cigarette avec deux employées. Je la regardai toujours habité par cet effroi. Elle me lança, avec un sourire en coin : _ Vous partez déjà ?
_ Oui, oui... Une urgence !
Je parti d'un pas pressé. Avant de monter dans ma voiture, j'entendis les filles éclater de rire. Je démarrai ma BMW en trombe sans pouvoir imaginer autre chose qu'elles se moquaient de moi. Il fallait que je rentre et vite ! J'étais dans un état épouvantable. Qu'est-ce que c'était que cette horreur qui me poursuivait ? Ça n'était pas réel. C'était impossible. Une telle araignée n'existait pas. Si ça n'avait été que son aspect ! Mais il émanait de son monstre une telle malveillance, une cruauté perverse, une intelligence malsaine entièrement consacrée à me nuire. Et puis qu'est-ce que ça signifiait ? Sylvie, Gaëlle et Patricia, toutes les trois devenant des... des Maîtresses. Pas dans le sens commun du terme mais des Maîtresses femmes. Les trois le même jour... Le même fantasme... Et moi depuis mon passage chez Gaëlle... Je ne me reconnaissait plus. C'était pas possible de devenir si différent, si rapidement, si radicalement. Peut-être qu'il y avait quelque chose dans l'urine féminine qui rendait dépendant. Quelque chose qui assujettissait les hommes... J'en avait encore tellement envie ! Je n'arrivait pas à me dire que désirer ça c'était normal mais pour rien au monde j'aurais voulu en être privé. Et aujourd'hui mes trois « femmes » me l'avaient fait. Mon épouse légitime, Patricia... Elle me l'avait dit ce matin. C'était son fantasme. Elle a joui en se soulageant dans ma bouche. En se soulageant... Comme ce mot résonnait agréablement dans mon esprit ! Mon sexe se tendit de désir. J'avais tellement envie qu'elle se soulage encore et encore, qu'elle se fasse du bien, qu'elle m'inonde de cette liqueur de plaisir. La pensée du monstre s'éloignait et je pensais à Patricia. Je ne l'aimais plus assez mais ça allait changer. Notre nouvelle sexualité allait nous permettre de nous retrouver. Je me souvenait de l'amour que j'avais éprouvé pour elle lors de notre première rencontre. Comme c'était si loin et si proche ! Cet amour, je le sentais renaître en moi. J'avais envie de la retrouver, de la serrer dans mes bras, de la couvrir, de baisers, de la chérir plus fort que jamais. Pourvu qu'elle soit à la maison.
Je la retrouvai, assise à son bureau. Je bafouillai : _ Ah Sylvie. Je... Je suis content de vous voir. Mais vous n'aviez pas pris votre journée ?
_ J'ai cherché à te joindre en début d'après midi pour savoir ce que tu avait décidé mais comme tu avais disparu de la circulation, j'ai préféré revenir au bureau pour te faciliter la tache. Tu vois, j'ai rédigé mon nouveau contrat de travail.
_ Oui, oui très bien ! Merci de vous en être occupé. C'est justement ce que je comptait faire.
_ Ah ouais ?
_ Oui, oui, je vous assure !
_ Viens, on va dans ton bureau !
Une fois là elle poursuivit : _ Bon !... Et bien c'est fait ! Je me suis référé à la grille indiciaire, je t'annonce que tu a en de face de toi la nouvelle directrice adjointe.
_ Directrice adjointe ! Mais comment je vais expliquer ça aux autres ?
_ Ça c'est ton problème mon petit bonhomme.
_ Oui mais...
_ Quoi ! Lançât-elle agacée.
Je fut assailli par la peur.
_ Non rien, rien ! Répondis-je précipitamment.
Mais Sylvie ne semblait pas calmée. Plus méfiante que jamais elle me dit : _ Qu'est-ce que tu caches ? T'as vite changé d'avis je trouve. T'avise pas de me la faire à l'envers. Je te jure que si tu me prépare un coup tordu, tu va le payer très cher.
_ Non ! Non !
Mais Sylvie s'avança vers moi et me saisit par le col de ma veste. Je sentis mes genoux qui cédaient et les larmes de panique qui me montaient aux yeux. Elle se fit plus menaçante et me dit d'une voix basse et grondante : _ Je te connais bien connard. Je suis sûre que t'as une idée derrière la tête. Fait très attention. T'as pas idée de ce qui t'attend si tu veux jouer au plus malin.
A ce moment là, je vis un éclair rouge à la limite de mon champ de vision. L'araignée ! Encore elle, elle m'avais suivi et allait me mordre. Je sursautai et me retournai vivement mais je ne vis rien. Sylvie me tenant toujours par le col, tira dessus pour m'obliger à lui faire face.
_ Et oh ! Connard ! C'est ici que ça se passe !
_ Désolé j'ai cru que...
_ Quoi ?!
_ C'est rien, désolé ! Sylvie, je vous en supplie ne vous fâchez pas. Je n'essaye pas de vous rouler. Donnez moi le contrat. Je le signe tout de suite. J'ai juste envie que vous...
_ Quoi ?! S’écria t-elle à nouveau.
Je voulais lui dire que j'avais eu une sorte de révélation et que j'étais prêt à tout pour qu'elle me fasse encore pipi dans la bouche mais j'en étais incapable. La seule chose que je pu articuler fut : _ Ne soyez pas trop méchante avec moi. Je vous en prie...
Elle me relâcha et se recula légèrement. Elle croisa les bras et me dévisageât, narquoise.
_ Alors c'est ça ! Tu espère échapper à ton « petit café » du matin !
_ Non ! Mais non, Sylvie. Je vous promet que...
_ Arrête ton cinéma ! Espèce de pauvre type ! Comment ose tu croire que je vais me passer de ce plaisir alors que toi tu ne t'est jamais gêné. Ça fait combien de temps que tu m'oblige à te sucer tous les matins ?
Je trouvais qu'elle exagérait, je ne le lui demandait pas plus de deux ou trois fois par semaine. Je tentait de le lui dire : _ Pas tous les matins !
_ Peu importe ! Moi j'ai envie de pisser tous les jours et pas que le matin ! Alors ça sera à chaque fois que j'en aurais envie.
_ Oui Sylvie. Vous avez raison j'ai pas été un bon patron pour vous. Mais ça va changer !
_ Un peu que ça va changer mon salop ! Tu veux que je te dise ? T'as bien fait d'en profiter tant que tu en as eu l'occasion parce que moi, je compte bien te faire payer au centuple tout ce que tu m'as fait subir. Et crois moi, je vais y prendre beaucoup de plaisir. Des litres et des litres... Jour après jour... Je vais faire te toi un pot de chambre !
A ces paroles mon cœur fit un bond dans ma poitrine. J'avais envie qu'elle se soulage dans ma bouche tout de suite et sans attendre. Je m’agenouillai devant elle.
_ Oh Sylvie ! Si vous saviez ce que...
Mais elle ne me laissa pas finir. Elle se détourna pour saisir le contrat et un stylo sur mon bureau.
_ Signe ! Ordonna t-elle en brandissant les papiers devant mon visage.
Fébrilement, je saisi le contrat et, le posant par terre, je le signait à même le sol, devant Sylvie, debout qui désignait le contrat du bout du pied.
_ Tu paraphe chaque page et tu t'appliques. Pauvre type ! T'as l'air malin maintenant.
Je fini de tout signer et lui tendis le contrat fébrilement. Elle s'en saisit, l'inspecta et sembla satisfaite. Moi j'étais toujours à genoux devant elle. Elle me jeta un coup d’œil.
_ On peux savoir ce que tu fous par terre ?
_ Mais je croyait que... que... Balbutiais-je en ouvrant bêtement la bouche.
J'étais tellement sûr qu'elle voulait se soulager dès maintenant dans ma bouche et j'en avais tellement envie ! Elle était tellement belle ! Mais encore une fois, elle ne comprit pas mon désir. Un rictus de colère déforma son visage et elle me gifla. La baffe me fit tourner la tête et sonna comme une espèce de réveil. Je ne méritais pas ça ! Je n'opposait plus aucune résistance. Je disais oui à tout. C'était pas juste ! Je sentis ma propre colère affluer alors qu'elle me lançait : _ Si tu crois m'apitoyer ! Connard !
Sur quoi, elle tourna les talons pour sortir de mon bureau, me laissant seul et pitoyable. A la vision de ses petites fesses qui se tortillaient sous mon nez alors qu'elle faisait les quelques mètres la séparant de la porte, je ressentit tout le mépris qu'elle avait pour moi. Son joli petit cul fier et hautain... Une rage sourde s'empara de moi, comme une bête me mordant les tripes. Je me relevait vivement alors qu'elle claquait la porte derrière elle. J'allais lui faire payer à cette salope, je ne méritait pas ça. Tant pis pour les conséquences, j'allais lui flanquer une raclée, l'étrangler, lui faire ravaler sa fierté quant, tout à coup, je la vit, devant moi, l'araignée, rouge sang ! Elle était plus grosse que chez Gaëlle mais c'était la même. Elle devait faire plus de dix centimètres de diamètre et, paralysé par la peur, je voyait ses crochets menaçants cliqueter dans le vide, dans ma direction. Qu'est-ce que je pouvais faire face à un monstre pareil ? Elle se tenait entre la porte et moi, m'interdisant la sortie. Je tournais les talons pour aller me réfugier au fond de mon bureau. Il me fallait quelque chose pour me défendre, n'importe quoi. Je saisit un magazine en me disant a quel point cette arme était dérisoire face à ce monstre. Je la cherchait du regard mais elle avait disparue. Je saisit ma veste sur le dossier du fauteuil et quitta le bureau à toute vitesse, laissant derrière moi cette terreur sans nom. Dans le hall, je ne vis pas Sylvie et je filais vers la sortie sans demander mon reste. Je la croisai devant l'entrée en train de fumer une cigarette avec deux employées. Je la regardai toujours habité par cet effroi. Elle me lança, avec un sourire en coin : _ Vous partez déjà ?
_ Oui, oui... Une urgence !
Je parti d'un pas pressé. Avant de monter dans ma voiture, j'entendis les filles éclater de rire. Je démarrai ma BMW en trombe sans pouvoir imaginer autre chose qu'elles se moquaient de moi. Il fallait que je rentre et vite ! J'étais dans un état épouvantable. Qu'est-ce que c'était que cette horreur qui me poursuivait ? Ça n'était pas réel. C'était impossible. Une telle araignée n'existait pas. Si ça n'avait été que son aspect ! Mais il émanait de son monstre une telle malveillance, une cruauté perverse, une intelligence malsaine entièrement consacrée à me nuire. Et puis qu'est-ce que ça signifiait ? Sylvie, Gaëlle et Patricia, toutes les trois devenant des... des Maîtresses. Pas dans le sens commun du terme mais des Maîtresses femmes. Les trois le même jour... Le même fantasme... Et moi depuis mon passage chez Gaëlle... Je ne me reconnaissait plus. C'était pas possible de devenir si différent, si rapidement, si radicalement. Peut-être qu'il y avait quelque chose dans l'urine féminine qui rendait dépendant. Quelque chose qui assujettissait les hommes... J'en avait encore tellement envie ! Je n'arrivait pas à me dire que désirer ça c'était normal mais pour rien au monde j'aurais voulu en être privé. Et aujourd'hui mes trois « femmes » me l'avaient fait. Mon épouse légitime, Patricia... Elle me l'avait dit ce matin. C'était son fantasme. Elle a joui en se soulageant dans ma bouche. En se soulageant... Comme ce mot résonnait agréablement dans mon esprit ! Mon sexe se tendit de désir. J'avais tellement envie qu'elle se soulage encore et encore, qu'elle se fasse du bien, qu'elle m'inonde de cette liqueur de plaisir. La pensée du monstre s'éloignait et je pensais à Patricia. Je ne l'aimais plus assez mais ça allait changer. Notre nouvelle sexualité allait nous permettre de nous retrouver. Je me souvenait de l'amour que j'avais éprouvé pour elle lors de notre première rencontre. Comme c'était si loin et si proche ! Cet amour, je le sentais renaître en moi. J'avais envie de la retrouver, de la serrer dans mes bras, de la couvrir, de baisers, de la chérir plus fort que jamais. Pourvu qu'elle soit à la maison.
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