Le banc

- Par l'auteur HDS Claude Lamour -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le banc Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2009 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Le banc
La nuit fut chaude, très chaude. Je me réveille les cheveux encore humides de sueur.
Mon sommeil a été perturbé tant la moiteur de mon corps m’a gêné.
Mon mari lui, ne semble pas indisposé et dort comme un bébé. Il est vrai qu’il est rentré tard et ivre, alors, je vais le laisser récupérer avant de le harceler de mes questions.
Notre jogging semble bien compromis. Pourtant l’air frais du bois au levé du jour nous aurait fait le plus grand bien. Rien que l’idée d’un petit vent, rafraîchi par l’humidité du bois, sur mes jambes nues, finie de me réveiller et me met de bonne humeur.
Qu’il dorme ! Je n’ai pas besoin de lui.
Je me lève d’un bond, et une violente douleur à l’omoplate, manque de me faire crier. La veille, j’ai fait du rangement au grenier, et il m’avait bien semblée me faire mal, mais je ne pensais pas avoir tant de difficulté à bouger ce matin. Mon jogging vient de tomber à l’eau. Je ne pourrais pas courir ainsi.
6h30. Pas question de me recoucher.
Je descends à la cuisine, et me prépare un petit déjeuné. Mes fesses nues sur la chaise en alu me font sursauter tant le métal est frais. Je bois mon café, lentement.
Lentement, aussi, ma main qui caresse ma cuisse. Je m’excite, inconsciemment. Mon intimité s’humecte doucement. Allons ! Du calme.
Direction la douche. L’eau fraîche coule sur mon visage, mes seins, mon ventre, mais ne calme en rien mon envie de sexe qui monte progressivement. Et l’autre la haut, qui cuve. Ce n’est pas possible ça ! Il va m’entendre celui là ! Je suis très en colère après lui, mais je veux me calmer.
Tant pis. Je sors sans lui.
Afin de profiter au maximum de la douceur du matin, je m’habille très légère. Trop légère peut être même. Ne pouvant pas courir, j’opte pour une courte jupe de jeans et un cache cœur bleu ciel, très court. Pieds nus dans mes tennis blanches, je serrai très à l’aise.
J’espère que le manque de sous vêtement et mon nombril à l’air m’aideront à profiter du souffle de la brise du matin. J’attrape une petite bouteille d’eau et me voilà partie.
Il me faut à peine un quart d’heure pour arriver dans le petit parking où nous avons l’habitude de nous arrêter. Il est très tôt, et il n’y a que deux voitures de stationnées.
Je descends, ferme la porte et me penche pour cacher la clef dans le pare choc. Mon mari fait toujours cela pour ne pas risquer de les perdre en courant. Je n’ai pas l’intention de courir, mais je n’ai pas de poches. J’entends une portière.
C’est un bonhomme qui descend d’une voiture qui se trouve derrière moi. Je n’y prête pas attention, mais un souffle doux et frais viens caresser ma fente, et me rappel que… Oups !
Pour cacher la clef, je ne me suis pas accroupie, mais je me suis penchée en avant. A coup sur, il a dut se rincer l’œil. Je suis gênée, mais pourtant, il ne semble pas prêter attention à moi. Ca me rassure.
Je tire à pile ou face dans ma tête, pour choisir le chemin que je vais emprunter. Pic et pic et…je m’engage dans un sentier bordé de taillis.
Hum ! Je suis bien si ce n’est cette douleur lancinante dans le dos.
Apres quelques centaines de mètres, je m’arrête un instant pour boire un peu d’eau. Les oiseaux gazouillent dans les grands arbres, j’apprécie le calme ambiant.
J’entends un bruit derrière moi. Je me retourne discrètement, en faisant semblant d’observer les oiseaux. Le type de tout à l’heure est à cinquante mètres de moi et s’arrête aussi. Pas rassurée, je reprends ma promenade matinale.
Cent mètres plus loin, j’entends tousser. La trouille me fait dresser tous les poils de mes bras.
Prenant mon courage à deux mains, je recommence le manège de tout à l’heure pour pouvoir observer derrière moi. C’est bien lui, toujours là, à distance égale. Bien que je ne le surveille que du coin de l’œil, je vois nettement qu’il a la main dans son survêtement et se caresse sans gêne.
Bon ! Pas de panique et réfléchissons.
Si je retourne en arrière, je vais me retrouver face à lui. Hum ! Pas terrible comme option.
Alors je continue en espérant déboucher sur un chemin plus fréquenté.
J’aperçois un banc sur le coté d’un grand chêne. Si je m’assoie; il passera devant moi et je pourrai repartir dans l’autre sens !? Oui ! C’est ça qu’il faut faire.
Mais c’est au moment ou mes fesses touchent le banc que je me fais une réflexion. Et s’il s’assoit ?
Non, impossible, il serrait gonflé quand même.
Et bien, oui ! Il l’est ! Ses quatre vingt dix kilos viennent de se poser près de moi.
Je n’ose plus bouger ni respirer. Je pourrai me lever et partir, mais j’ai trop peur. Peur de quoi, je n’en sais rien, mais j’ai peur. Je me crispe quand je sens sa tête se tourner vers moi.
« Il fait bon ici, n’est ce pas ? »
Sa voix est grave, chaude. J’acquiesce de la tête.
« Il a fait tellement chaud cette nuit. »
J’acquiesce de nouveau.
« J’ai du mal à comprendre ces gens qui courent par ces chaleurs, pas vous ? »
Pour ne pas paraître farouche ou apeurée, je réponds l’air très dégagé.
« Mais, je cour aussi, c’est sympa et ça fait du bien »
Avec un air amusé, il me dit…
« En jupe ? »
« Non bien sur, aujourd’hui je ne cour pas »
Il cherche à comprendre
« Parce qu’il fait trop chaud ? »
En fait il a l’air très gentil, alors je décide de lui répondre gentiment et avec un sourire.
« Non, je me suis fait mal dans le haut du dos et ça me gène pour courir »
« Hum ! Je vois »
Et il part dans une explication anatomique, décrivant et expliquant le pourquoi du comment. Je l’écoute en souriant. Je me détends un peu.
Pour mieux étayer sa théorie, il me touche le dos de la main ou d’un doigt, à plusieurs endroits. Je ne peux que faire celle qui est intéressée, et m’étonne à chaque fois qu’il m’explique quelque chose.
« Tiens donc ? » « Ha bon ? » « C’est curieux ça » « très intéressant »
Il continu, m’expliquant que les quelques années de médecine qu’il avait fait, lui promettait un bel avenir de kinésithérapeute, mais qu’un malheur familial l’avait obligé à abandonner ses études.
« Tiens, tournez vous un peu, je vais voir ce que je peux faire »
Il accompagne le geste à la parole, et posant ses mains sur mes épaules, me tourne doucement. Complètement désarçonnée par son aplomb, je ne trouve rien à dire et me tourne de trois quart.
Sa poigne est ferme, mais douce. Avec les pouces, il masse la zone sensible, ses mains bien accrochées à mes épaules.
« C’est là, hein ? Je le sent »
Que répondre à par « Oui » Je dois bien reconnaître que même si je ne crois pas ses histoires d’années de médecine, il masse correctement et me fais un bien fou. Sa voix m’apaise et son massage me détend complètement.
Mais d’un coup, toujours avec une grande confiance en lui, il pose ses mains sur la peau dénudée de ma taille, pour me faire lever. Le contact de ses paumes, chaudes, me fait sursauter.
« N’ayez crainte, mais la position n’est pas des plus efficace de coté. Venez vous asseoir là, je serrai plus à l’aise pour vous remettre le cou en état »
Et il m’indique ses genoux. J’ai un moment d’hésitation, mais en le regardant frotter ses mains avec professionnalisme, je me dis qu’il ne pense qu’à me soulager, alors, me voilà à cheval sur ses genoux, jambes écartées, prête à recevoir ses bons soins. Il me penche légèrement en avant et reprend son massage. C’est un vrai pro, et ma douleur s’apaise.
Moi aussi, tellement détendue que je lâche ma bouteille. Je me penche pour la ramasser, et d’un coup le temps ralenti, comme dans les films, me laissant un court instant pour analyser ce que je viens de déclencher.
Je suis penchée en avant. Ma petite jupe a suivie le mouvement de mon corps et c’est échappée de la tenaille que formaient mes fesses et les cuisses de l’homme.
Mon cou ayant fui ses mains, il les pose sur mes hanches, un court instant.
Ma jupe c’est tellement relevée, qu’il a dut voir que je ne portais rien dessous.
C’est rouge et bouillante de honte que je me redresse. Ses mains reprennent leurs manipulations. Aucun mot n’est échangé.
Ma jupe relevée, mes fesses reposent directement sur son pantalon de survêtement. Les deux, trois coups de bassin qu’il me donne discrètement, font gonfler la bosse sous mes fesses. Sa verge prend du volume, et je ne peux plus faire celle qui ne la sent pas. Je tente de me lever, mais appuyant sur mes épaules…
« Non, attend ! »
Très gênée, je décide de retenter de me lever, juste après avoir bu. Mais quand je lève mon bras pour porter la bouteille à mes lèvres, je comprends que je viens de faire une grave erreur.
En une seconde, une de ses mains quitte mon cou, passe sous mon bras levé et s’écrase sur ma poitrine. L’autre, toute aussi vive, tombe sur ma cuisse et plonge vers mon minou ouvert à tout vents de par ma position, les jambes pendantes de chaque cotés de celles de l’homme.
L’humiliation est à son comble et alors que la bosse sous mes fesses me laisse de moins en moins indifférente. Lorsque, impuissante à me défaire de cette étreinte, sa main passe sous mon haut, le relevant pour dévoiler mes seins, deux doigts me pénètrent sans efforts.
Mes yeux se ferment et ma bouche s’entrouvre pour aspirer une grande bouffée d’oxygène. Je suis à sa merci et je me rends à ses caresses.
Mes tétons sont gonflés, tout comme mon clito, près à explosé sous les délicats pincements des deux doigts joueurs. Mes reins appliquent à présent un mouvement de vas et viens sur l’énorme protubérance. Le souffle de l’homme est plus fort. Mes seins durcissent sous les attouchements de plus en plus bestiaux. « Attend ma puce. Lève-toi deux secondes »
Ses deux grosses mains reprennent mes hanches pour m’aider à me soulever. Il passe l’élastique du survêtement sous ses testicules. Son dard est dressé, je le sens le long de mes cuisses.
Je me laisse lentement glisser sur lui. Son gland effleure ma fente inondée, puis, me penchant un peu, je l’accepte en moi. Je descends lentement pour me remplir de sa chaleur. Voilà, je suis pleine de lui.
Une vague de plaisir m’emporte et je perds toute pudeur. Je saute sur mon amant pour sentir son sexe cogner au fond de moi. Je sens ma chatte se remplir de ma mouille, lubrifiant à chaque passage l’énorme piston.
« Doucement ma belle, je suis mal installé. Retire-toi que je m’avance un peu. »
Légèrement contrariée par cette interruption, je me lève précipitamment. Il se glisse plus au bord, et reprend mes hanches à pleine main. Je vais pour réintroduire l’objet de mon plaisir, quand, dans la précipitation, je pose mon pied sur un caillou qui me fait perdre l’équilibre.
Le pieu doit percevoir une résistance et pénètre l’orifice qu’on lui présente. Incontrôlable, je m’écrase de tout mon poids et pousse un cri. Une effroyable douleur déchire mon ventre.
La sodomie n’est déjà pas mon truc, mais ainsi, aussi violente, je crois m’évanouir.
D’un coup mes yeux s’emplissent de grosses larmes. Il me semble être tombé du paradis en enfer, d’un coup.
Empalée, il me faut me relever, me libérer. Un autre cri de douleur déchire le silence. C’est affreux, insupportable. Mais l’homme me ceinture de ses bras musclés, m’interdisant tout mouvement.
« Non ! Attend ! Si tu te retires maintenant, tu vas te faire très mal. Ne bouge plus et détend toi. Laisse tes chairs accepter se corps étrangé. La douleur vas diminuer, je te le promet »
Il pose son menton sur mon épaule et souffle doucement à mon oreille.
« Chutttttt, ça vas aller…ça vas aller…chutttttt… »
Je ne bouge plus et pleure à chaudes larmes. J’ai comme un volcan en éruption en moi. Je l’écoute et tente de m’apaiser. Quelques minutes passent ainsi.
« Ça vas ? »
J’analyse, essaie de bouger un peu.
« Oui, c’est plus supportable. Je peux me retirer maintenant ? »
Deux grosses larmes ruissèlent encore sur mes joues en feu.
« Non, attend, laisse faire la nature. »
Et il donne un léger coup de reins. La douleur revient mais moins forte. Je constate que je me fais mal en me contractant. Toujours prise dans l’étau de ses bras, je me résigne à accepter cette pénétration douloureuse.
Je roule un peu des fesses pour la plus grande joie de mon tortionnaire. Sa queue reprend du volume, bien quelle n’ai que très peu diminuée. Il recommence à me masturber le clito. Je sens lentement, très lentement revenir quelque chose qui ressemble à du plaisir.
Ses coups de reins sont plus prononcés, de plus en plus forts. Je m’étonne de ne pas ressentir de douleurs supplémentaires à ces assauts. Je me détends. Je cède enfin et consent à accepter les heurts réguliers dans mon fondement.
Ses doigts me fouillent, je remouille comme une folle. Il me sodomise maintenant comme une brute, quand d’un fourré tout proche surgissent deux jeunes hommes. Surpris tout les deux, nous stoppons net le pilonnage. Je me crispe et une douleur revient. Mais à voir l’état d’esprit de ces jeunes, mon nounours repart de plus belles.
En effet, ils ont sautés vers nous les outils à la main, et un grand sourire aux lèvres. Rien n’indique le désire d’agression, mais belle et bien l’envi de participer à nos ébats.
Ils sont très jeunes, dix huit, peut être vingt ans, membrés comme des ânes. Leurs sexes sont à cinquante centimètres de mon visage et je distingue très bien la cyprine lubrifiant les glands brillants. Ça rajoute à mon excitation et pour la première fois de ma vie, je jouie de la rondelle et ce malgré une douleur relativement conséquente.
Ma jouissance encourage l’un des jeunes, qui s’approchant de moi, enfourne son pénis dans ma bouche. Son collègue plus réservé, nous observe en s’astiquant avec application.
J’apprécie ce membre jeune, vigoureux et fantasme sur le fait qu’il n’a peut être jamais servi, bien que cela m’étonnerai beaucoup.
Derrière, ça s’affole. Les coups sont redoutables. Des râles de bêtes emplissent les environs.
Dans un dernier et puissant pilon, il attrape ma taille et me plante à fond sur sa queue. J’ai la profonde certitude qu’au-delà de la douleur, une sensation d’avoir envies de… me prend. Mais je n’ai pas le temps d’approfondir ma pensée qu’un flot bouillant se déverse en moi. De violents jets explosent tout au fond de mon être. La bête pousse un dernier soupire et lâche son étreinte, laissant tomber ses mains sur le banc. Délaissant la queue du jeune homme, j’extirpe délicatement le monstre vaincu de mes entrailles.
Je laisse échapper un vent qui me laisse honteuse. La douleur est encore très forte. Je sens du sperme s’écouler de mon antre.
L’homme se lève, il s’essuie avec un mouchoir en papier et sans même lever les yeux vers moi, s’en vas, me laissant plantée là devant mes deux branleurs.
Honteuse et vexée par son attitude, je réajuste mon haut et ma jupe.
« Attend miss, on va faire un câlin »
Une main m’attrape par le poignet et me tire derrière le banc.
On met mes mains sur le dossier de celui-ci et on me penche en avant. Sans avoir le temps de protester, je suis prise bien à fond par l’un d’eux.
Cette pénétration me semble si douce, si bonne après ce que je viens de vivre, que c’est un vrai bonheur. Je m’étonne même d’entendre ma voix dire…
« Ho oui ! Baise-moi bien à fond, baise-moi fort ! »
Le gamin ne se fait pas prier et comme pour acquiescer me donne une bonne claque sur le cul.
L’autre, que je sens plus intimidé, a remonté mon haut et me caresse les seins avec nervosité.
Un, deux, trois coups plus forts et jaillis en vague successive, un flot de foutre chaud, au fond de mon ventre. Encore quelques coups, pour bien tout mettre dedans et le garçon se retire lentement, prenant bien soin de s’essuyer sur mon anus douloureux.
Je pense me relever, mais celui que je pensais timide est déjà à pied d’œuvre. Posant sa main sur mon dos, il lance.
« Bouge pas salope ! »
Il doit se sentir un homme après ça.
D’un coup sec il disparaît à son tour dans ma chatte détrempée. Le petit con arrive à me faire jouir. Son copain est monté debout sur le banc et m’enfonce sa queue dans la bouche.
« Nettoie bien, ma belle ! »
Derrière moi, je sens que ça va jouir. Le sexe à des contractions, le mouvement s’accélère, puis ralenti presque à s’arrêter. Mais mon faux timide, attendant la seconde fatale, sort précipitamment son engin et me l’enfourne jusqu'à la garde dans l’arrière-train.
Je me sens comme déchirée de nouveau et mords mes lèvres pour ne pas hurler. Il déverse sa mixture au plus profond de moi et ressort sans me ménager.
Je suis clouée par la douleur et pleure doucement. Mes mains sont tétanisées d’avoir serrées le bois du banc.
Je me redresse lentement.
Dans le brouillard de mes yeux humides, je constate que je suis seule. Remplie des deux cotés, je n’ose plus bouger. Pourtant il le faut bien.
Je m’essuie tant bien que mal avec le mouchoir qu’avait jeté mon masseur. J’ai l’impression d’en mettre plus que j’en enlève.
Humiliée pour humiliée, je m’accroupie et urine dans mes mains pour me nettoyer. Je finie de m’essuyer avec quelques feuilles du grand chêne. Une fois réajustée, je m’éloigne en direction de ma voiture.
En chemin je repasse le film de cette aventure. Je me dis que après tout, je l’ai bien cherchée, et que réflexions faites j’en suis bien heureuse.
Le parking est désormais plein et le soleil déjà haut.
Je reprends mes clefs, en prenant soin de m’accroupir.
Un peu collante, et odorante, je file chez moi.
Mon homme dort encore. Une bonne douche et je viens le réveiller.
« Ho la la ! J’ai mal à la tête »
« Tant que c’est pas au cul. Allez lève toi maintenant ! Tu as assez gâché mon week-end comme ça »
« Pourquoi ? T’aurais voulue faire quoi ? »
« Je sais pas moi, un jogging !? »
« Ho ! Mon cul »
Décidément, je n’en sors pas.

Claude Lamour
claudelamour@hotmail.fr

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Texte coquin : Le banc
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