Le bungalow interdit ( FIN)

Récit érotique écrit par Zio.marto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le bungalow interdit ( FIN)
Le souffle de la mer passait à peine par la fenêtre entrouverte. Dans la chambre moite, Élise, nue, le corps luisant de sperme et de sueur, se mit sur le dos, cuisses écartées, offerte à ses deux mâles. Ses yeux cherchaient Julien, suppliant déjà ce qu’elle n’avait jamais osé dire.
— Je te veux… tous les deux… dedans… murmura-t-elle, la voix brisée par l’extase.
Julien et Marco échangèrent un regard. Un mélange de défi et de complicité animale passa entre eux. Marco sourit, carnassier, attrapa les chevilles d’Élise pour les remonter, ouvrant grand son intimité déjà rouge et gonflée.
Julien se plaça entre ses cuisses, ses mains tremblant en guidant sa verge au bord de sa fente trempée. Un râle rauque s’échappa de la gorge d’Élise quand il s’enfonça lentement, la remplissant de toute sa longueur.
— Oh putain… oui… souffla-t-elle, le dos cambré, ses seins dressés vers eux. Maintenant… derrière… prends-moi derrière…
Marco se plaça à genoux derrière elle, son sexe déjà de nouveau dur, luisant de la jouissance précédente. Il cracha dans sa main, enduisit son membre et fit glisser un doigt pressant contre l’ouverture serrée d’Élise.
Elle gémit, la bouche entrouverte, ses mains s’accrochant aux bras de Julien, ses hanches ondulant sous la brûlure délicieuse de ce doigt intrusif. Marco retira son doigt, remplaça par la tête de son sexe, poussa lentement, en synchronisation avec Julien qui la tenait fermement par la taille.
— Doucement… oui… prends tout… ma salope… grogna Marco.
Un cri rauque s’échappa d’Élise, ses ongles s’enfoncèrent dans la peau de Julien. Il sentait Marco derrière, sentait la pression se resserrer sur lui à chaque centimètre que l’Italien forçait à l’intérieur. Un gémissement guttural les fit frissonner tous les trois : ils étaient profondément en elle, l’un devant, l’autre derrière, ses murs serrés tremblaient de plaisir et de douleur mêlés.
— Oh… mon dieu… plus… encore… bougez… tous les deux… haleta-t-elle, le souffle brisé.
Ils obéirent. Julien se retira à moitié puis replongea, Marco suivant le mouvement, leurs bassins frappant ses fesses et ses cuisses dans une cadence animale. Chaque poussée la secouait toute entière. Les draps glissaient sous son dos, trempés par ses fluides et la sueur brûlante de ses deux amants.
Les râles, le claquement sourd de chair, le bruit mouillé de cette double invasion — tout emplissait la chambre comme une prière obscène. Élise hurla, ses jambes s’enroulant autour des hanches de Julien, tirant plus fort encore.
— Je jouis… je jouis… oh putain je me vide ! hurla-t-elle, perdant toute retenue.
Son ventre se contracta violemment. Julien sentit son sexe pressé jusqu’à la douleur, Marco rugit derrière elle, la tenant écrasée entre leurs deux corps. Ils lâchèrent tout en même temps : un feu brûlant, brutal, qui fit trembler leurs jambes et fit couler une chaleur épaisse à l’intérieur d’elle.
Quand ils se retirèrent, lentement, Élise resta allongée, tremblante, son ventre souillé, ses cuisses ouvertes, un sourire hagard sur ses lèvres gonflées.
Julien caressa ses cheveux collés de sueur, essoufflé mais apaisé. Marco rit doucement, éreinté lui aussi. Dans l’air lourd de Zanzibar, plus rien n’avait d’importance. Il n’y avait plus de limite. Plus de peur. Juste le goût brûlant du vice qu’ils venaient de partager.
Et au fond de lui, Julien sut qu’il ne la verrait plus jamais de la même façon. Et que, peut-être, c’était ça… la liberté.
— Je te veux… tous les deux… dedans… murmura-t-elle, la voix brisée par l’extase.
Julien et Marco échangèrent un regard. Un mélange de défi et de complicité animale passa entre eux. Marco sourit, carnassier, attrapa les chevilles d’Élise pour les remonter, ouvrant grand son intimité déjà rouge et gonflée.
Julien se plaça entre ses cuisses, ses mains tremblant en guidant sa verge au bord de sa fente trempée. Un râle rauque s’échappa de la gorge d’Élise quand il s’enfonça lentement, la remplissant de toute sa longueur.
— Oh putain… oui… souffla-t-elle, le dos cambré, ses seins dressés vers eux. Maintenant… derrière… prends-moi derrière…
Marco se plaça à genoux derrière elle, son sexe déjà de nouveau dur, luisant de la jouissance précédente. Il cracha dans sa main, enduisit son membre et fit glisser un doigt pressant contre l’ouverture serrée d’Élise.
Elle gémit, la bouche entrouverte, ses mains s’accrochant aux bras de Julien, ses hanches ondulant sous la brûlure délicieuse de ce doigt intrusif. Marco retira son doigt, remplaça par la tête de son sexe, poussa lentement, en synchronisation avec Julien qui la tenait fermement par la taille.
— Doucement… oui… prends tout… ma salope… grogna Marco.
Un cri rauque s’échappa d’Élise, ses ongles s’enfoncèrent dans la peau de Julien. Il sentait Marco derrière, sentait la pression se resserrer sur lui à chaque centimètre que l’Italien forçait à l’intérieur. Un gémissement guttural les fit frissonner tous les trois : ils étaient profondément en elle, l’un devant, l’autre derrière, ses murs serrés tremblaient de plaisir et de douleur mêlés.
— Oh… mon dieu… plus… encore… bougez… tous les deux… haleta-t-elle, le souffle brisé.
Ils obéirent. Julien se retira à moitié puis replongea, Marco suivant le mouvement, leurs bassins frappant ses fesses et ses cuisses dans une cadence animale. Chaque poussée la secouait toute entière. Les draps glissaient sous son dos, trempés par ses fluides et la sueur brûlante de ses deux amants.
Les râles, le claquement sourd de chair, le bruit mouillé de cette double invasion — tout emplissait la chambre comme une prière obscène. Élise hurla, ses jambes s’enroulant autour des hanches de Julien, tirant plus fort encore.
— Je jouis… je jouis… oh putain je me vide ! hurla-t-elle, perdant toute retenue.
Son ventre se contracta violemment. Julien sentit son sexe pressé jusqu’à la douleur, Marco rugit derrière elle, la tenant écrasée entre leurs deux corps. Ils lâchèrent tout en même temps : un feu brûlant, brutal, qui fit trembler leurs jambes et fit couler une chaleur épaisse à l’intérieur d’elle.
Quand ils se retirèrent, lentement, Élise resta allongée, tremblante, son ventre souillé, ses cuisses ouvertes, un sourire hagard sur ses lèvres gonflées.
Julien caressa ses cheveux collés de sueur, essoufflé mais apaisé. Marco rit doucement, éreinté lui aussi. Dans l’air lourd de Zanzibar, plus rien n’avait d’importance. Il n’y avait plus de limite. Plus de peur. Juste le goût brûlant du vice qu’ils venaient de partager.
Et au fond de lui, Julien sut qu’il ne la verrait plus jamais de la même façon. Et que, peut-être, c’était ça… la liberté.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
courts chapitres, très bonne histoire intense ...

