Le bungalow interdit (2)

Récit érotique écrit par Zio.marto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le bungalow interdit (2)
Élise retomba à plat ventre sur le lit, haletante, la peau striée de traces rouges où Marco l’avait tenue trop fort. Son dos brillait de sueur et du plaisir qu’il venait de laisser couler sur elle. Julien, encore à genoux, la regardait, la poitrine soulevée par un souffle trop rapide.
Mais déjà, Marco, sans dire un mot, reprit son sexe entre ses doigts, encore gonflé, et se pencha pour frotter sa tête contre l’entrée déjà ruisselante d’Élise. Elle gémit, son ventre s’enfonça dans le matelas, ses hanches se haussant d’elles-mêmes.
— Tu… tu veux encore ? demanda Julien, la voix cassée.
Élise tourna la tête vers lui, ses yeux brillants de larmes et de luxure mêlées. Elle sourit, féline :
— Regarde-moi… je ne veux plus m’arrêter. Viens… touche-moi pendant qu’il me prend encore…
Elle tendit une main vers Julien. Tremblant, il se glissa derrière elle, posa ses lèvres sur ses reins, là où la semence encore tiède de Marco collait à sa peau dorée. Il la lécha, d’abord timide, puis plus avide, goûtant l’autre mâle sans détourner le regard d’elle.
Marco enfonça brusquement son sexe, plus dur encore qu’avant. Élise hurla, griffa les draps, ses fesses claquant contre le bassin de l’Italien à chaque va-et-vient brutal. Julien glissa ses doigts sous elle, cherchant son bouton gonflé.
— Oh oui… oui Julien… encore… frotte… frotte pendant qu’il me déchire !
Sa voix brisée le fit gémir. Il la caressa plus vite, sentant son ventre se contracter à chaque coup de reins puissants de Marco. Les draps trempèrent sous elle, sa cyprine dégoulinant sur la main de Julien, sur les cuisses massives de l’Italien.
Marco grognait comme une bête, ses hanches cognant sans relâche. Ses mains agrippaient la taille fine d’Élise, la tirant violemment contre lui à chaque poussée. Ses bourses claquaient contre elle, humides, lourdes, insatiables.
— Elle est parfaite, ta femme… souffla-t-il entre deux râles. Regarde comme elle jouit pour moi…
Julien, la bouche à quelques centimètres de la jonction, n’y tint plus. Il se pencha, la langue cherchant le point sensible juste au-dessus du sexe de Marco qui entrait et sortait de sa femme. Élise hurla plus fort, sa voix se brisant en sanglots de plaisir.
— Oui… léche-moi ! Oh putain oui… ohhh… je… je…
Son corps tout entier convulsa, une vague incontrôlable qui fit trembler ses cuisses et éclaboussa littéralement le drap d’une giclée chaude et sucrée. Marco, dans un dernier grognement, se retira et se branla furieusement avant de finir sur ses reins, encore, son sperme se mêlant à la lueur dorée de sa peau.
Élise s’effondra sur le ventre, tremblante, le souffle court, un sourire fou sur les lèvres. Elle tourna la tête vers Julien, qui la caressait encore entre les cuisses, ses doigts dégoulinant.
— Maintenant… toi… souffla-t-elle, la voix rauque. Je te veux en moi… pendant qu’il me regarde…
Sous le ciel noir piqué d’étoiles, Zanzibar retint son souffle une seconde — avant que Julien, l’esprit brûlant de jalousie et d’excitation, ne s’enfonce enfin en elle, prêt à tout recommencer.
Mais déjà, Marco, sans dire un mot, reprit son sexe entre ses doigts, encore gonflé, et se pencha pour frotter sa tête contre l’entrée déjà ruisselante d’Élise. Elle gémit, son ventre s’enfonça dans le matelas, ses hanches se haussant d’elles-mêmes.
— Tu… tu veux encore ? demanda Julien, la voix cassée.
Élise tourna la tête vers lui, ses yeux brillants de larmes et de luxure mêlées. Elle sourit, féline :
— Regarde-moi… je ne veux plus m’arrêter. Viens… touche-moi pendant qu’il me prend encore…
Elle tendit une main vers Julien. Tremblant, il se glissa derrière elle, posa ses lèvres sur ses reins, là où la semence encore tiède de Marco collait à sa peau dorée. Il la lécha, d’abord timide, puis plus avide, goûtant l’autre mâle sans détourner le regard d’elle.
Marco enfonça brusquement son sexe, plus dur encore qu’avant. Élise hurla, griffa les draps, ses fesses claquant contre le bassin de l’Italien à chaque va-et-vient brutal. Julien glissa ses doigts sous elle, cherchant son bouton gonflé.
— Oh oui… oui Julien… encore… frotte… frotte pendant qu’il me déchire !
Sa voix brisée le fit gémir. Il la caressa plus vite, sentant son ventre se contracter à chaque coup de reins puissants de Marco. Les draps trempèrent sous elle, sa cyprine dégoulinant sur la main de Julien, sur les cuisses massives de l’Italien.
Marco grognait comme une bête, ses hanches cognant sans relâche. Ses mains agrippaient la taille fine d’Élise, la tirant violemment contre lui à chaque poussée. Ses bourses claquaient contre elle, humides, lourdes, insatiables.
— Elle est parfaite, ta femme… souffla-t-il entre deux râles. Regarde comme elle jouit pour moi…
Julien, la bouche à quelques centimètres de la jonction, n’y tint plus. Il se pencha, la langue cherchant le point sensible juste au-dessus du sexe de Marco qui entrait et sortait de sa femme. Élise hurla plus fort, sa voix se brisant en sanglots de plaisir.
— Oui… léche-moi ! Oh putain oui… ohhh… je… je…
Son corps tout entier convulsa, une vague incontrôlable qui fit trembler ses cuisses et éclaboussa littéralement le drap d’une giclée chaude et sucrée. Marco, dans un dernier grognement, se retira et se branla furieusement avant de finir sur ses reins, encore, son sperme se mêlant à la lueur dorée de sa peau.
Élise s’effondra sur le ventre, tremblante, le souffle court, un sourire fou sur les lèvres. Elle tourna la tête vers Julien, qui la caressait encore entre les cuisses, ses doigts dégoulinant.
— Maintenant… toi… souffla-t-elle, la voix rauque. Je te veux en moi… pendant qu’il me regarde…
Sous le ciel noir piqué d’étoiles, Zanzibar retint son souffle une seconde — avant que Julien, l’esprit brûlant de jalousie et d’excitation, ne s’enfonce enfin en elle, prêt à tout recommencer.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Humm, magnifique histoire, j'espère qu'il vont la prendre à deux et que Julien va goûter au sexe de Marco.
Vivement la suite
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