Le bungalow interdit
Récit érotique écrit par Zio.marto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Le bungalow interdit
Julien, la trentaine virile, regard clair et corps encore marqué par des années de rugby, voyageait pour oublier la routine. À ses côtés, Élise, vingt-neuf ans, brune incendiaire au regard noisette et aux lèvres qu’on rêve de mordre, était son plus beau vice. À Zanzibar, sous le soleil lourd, ils allaient franchir une limite qu’ils n’osaient qu’effleurer jusqu’ici.
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Quand Julien poussa la porte du bungalow, la brise chaude de l’océan sembla s’arrêter net derrière lui. Sur le lit, Élise, nue, à genoux, son dos cambré comme une offrande. Derrière elle, Marco, grand Italien au torse luisant, la prenait avec une lente brutalité.
Julien se figea. Son cœur battait trop fort, son sexe déjà gonflé sous son short. Un gémissement rauque échappa à Élise. Elle tourna à moitié la tête, ses cheveux collant à ses joues brûlantes.
— Oh… Julien… haleta-t-elle, la voix fêlée de plaisir. Regarde-moi… ne détourne pas les yeux.
Marco grogna, ses mains énormes serrant les hanches de la jeune femme avant de la claquer d’un coup sec.
— Tu la veux, hein ? lança l’Italien, son accent roulant. Regarde comme elle me supplie…
Julien déglutit, incapable de parler. Sa main glissa sous son short, libérant sa verge déjà dure, qu’il caressa en silence. Il entendait chaque claquement humide, chaque soupir étranglé d’Élise. Ses cuisses tremblaient, sa voix se brisa :
— Plus fort… encore ! Je veux tout…
Marco rit, la souleva d’une main sous le ventre pour la prendre plus profond, plus vite. La tête d’Élise bascula en arrière, sa poitrine offerte, ses seins bondissant à chaque coup de reins.
— Regarde comme ta femme est sale pour moi, Julien… souffla Marco, sans ralentir. Regarde ce qu’elle aime…
Julien ne tint plus. Il s’approcha, tout près, sa main serrée sur sa propre chair, hypnotisé par le sexe ruisselant d’Élise engloutissant l’Italien encore et encore.
— Julien… viens… gémit-elle, la voix tremblante. Viens… goûte-moi… pendant qu’il me baise…
Il obéit. S’agenouilla devant elle. Sa bouche trouva ses lèvres, le goût salé de sa sueur, de son plaisir. Elle l’embrassa à en perdre haleine, tout en hurlant quand Marco accéléra encore, cognant sans relâche contre ses fesses rougies.
Le bruit, l’odeur, le souffle de sa femme qui se brisait entre ses dents — tout le fit exploser. Julien jouit, le front collé à celui d’Élise, pendant qu’elle se cambrait, secouée de spasmes violents. Marco rugit derrière, se retirant à peine pour finir sur ses reins, son râle rauque se mêlant au ressac dehors.
Dans la chambre moite de Zanzibar, Julien sut qu’il n’y aurait plus de retour en arrière. Et qu’au fond de lui, il ne voulait plus jamais refermer cette porte
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Quand Julien poussa la porte du bungalow, la brise chaude de l’océan sembla s’arrêter net derrière lui. Sur le lit, Élise, nue, à genoux, son dos cambré comme une offrande. Derrière elle, Marco, grand Italien au torse luisant, la prenait avec une lente brutalité.
Julien se figea. Son cœur battait trop fort, son sexe déjà gonflé sous son short. Un gémissement rauque échappa à Élise. Elle tourna à moitié la tête, ses cheveux collant à ses joues brûlantes.
— Oh… Julien… haleta-t-elle, la voix fêlée de plaisir. Regarde-moi… ne détourne pas les yeux.
Marco grogna, ses mains énormes serrant les hanches de la jeune femme avant de la claquer d’un coup sec.
— Tu la veux, hein ? lança l’Italien, son accent roulant. Regarde comme elle me supplie…
Julien déglutit, incapable de parler. Sa main glissa sous son short, libérant sa verge déjà dure, qu’il caressa en silence. Il entendait chaque claquement humide, chaque soupir étranglé d’Élise. Ses cuisses tremblaient, sa voix se brisa :
— Plus fort… encore ! Je veux tout…
Marco rit, la souleva d’une main sous le ventre pour la prendre plus profond, plus vite. La tête d’Élise bascula en arrière, sa poitrine offerte, ses seins bondissant à chaque coup de reins.
— Regarde comme ta femme est sale pour moi, Julien… souffla Marco, sans ralentir. Regarde ce qu’elle aime…
Julien ne tint plus. Il s’approcha, tout près, sa main serrée sur sa propre chair, hypnotisé par le sexe ruisselant d’Élise engloutissant l’Italien encore et encore.
— Julien… viens… gémit-elle, la voix tremblante. Viens… goûte-moi… pendant qu’il me baise…
Il obéit. S’agenouilla devant elle. Sa bouche trouva ses lèvres, le goût salé de sa sueur, de son plaisir. Elle l’embrassa à en perdre haleine, tout en hurlant quand Marco accéléra encore, cognant sans relâche contre ses fesses rougies.
Le bruit, l’odeur, le souffle de sa femme qui se brisait entre ses dents — tout le fit exploser. Julien jouit, le front collé à celui d’Élise, pendant qu’elle se cambrait, secouée de spasmes violents. Marco rugit derrière, se retirant à peine pour finir sur ses reins, son râle rauque se mêlant au ressac dehors.
Dans la chambre moite de Zanzibar, Julien sut qu’il n’y aurait plus de retour en arrière. Et qu’au fond de lui, il ne voulait plus jamais refermer cette porte
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Début très excitant, très bien écrit, vivement la suite, impatiente que Julien nettoie Elise et ensuite Marco.
Impatiente de connaitre la rencontre initiale avec Marco, dragué par Elise à la demande de Julien ? L'inverse ?
Impatiente de connaitre la rencontre initiale avec Marco, dragué par Elise à la demande de Julien ? L'inverse ?
