Le calvaire d’une jeune fille. 5 - histoire érotique

Le calvaire d’une jeune fille. 5
Préface.
Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.
Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.
Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.
Je lui laisse la parole.


Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).
Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.

On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.
Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant...


Suite : Avec sa demi-sœur : Cette nuit-là, il y avait de l’orage. Axel me prenait en cuillère quand on toqua à notre porte. Il se retira de moi, mis un caleçon et ouvrit la porte. C’était sa petite sœur en pyjama qui était effrayée par le bruit, du haut ses six ans.
Claire nous demandait si elle pouvait dormir avec nous car elle avait peur du tonnerre. A ma grande surprise, Axel accepta. J’avais pensé qu’il allait l’envoyer bouler et continuer son affaire…
Elle nous rejoignit dans le lit avec son doudou. Axel se mis entre nous deux et on commença a discuter. Au fil de la discussion, il demanda à sa sœur :
-Tu as encore peur ?
- Oui… J’ai peur de l’orage… - J’ai une méthode pour que t’aies moins peur.
Et Axel commença à lui faire des chatouilles et des bisous. Elle pouffa de rire.
Cette situation me mit un baume au cœur. Malgré son comportement hostile envers moi, il restait un grand frère clément et chaleureux.

- Et là, tu as encore peur ?
- Non, ca va beaucoup mieux merci Axel.
- Maintenant, je vais m’occuper de Kriss, elle a peur aussi.
- Non, j’ai pas peur, ça va aller.
- Si, si, tu as peur. On va se faire des câlins d’adultes.
- Des câlins d’amours ? S’informa Claire d’une voix innocente.
- Oui, c’est pareil que ce je t’ai fais mais entre adultes. Tu comprendras quand tu seras plus grande.
- Trop de chance, vivement que je sois grande.
- Bisous ma grande, il est temps de dormir, il est tard. Bonne nuit.
Je murmure à Claire.
- Bonne nuit aussi ! Bisous.

C’est là qu’Axel a eu la brillante idée de dire : - Piou, comment il fait chaud entre vous deux, je meurs de chaud.

Et il retira la couette qui couvrait ma nudité…et la sienne. Il avait retiré son caleçon entre temps. Claire nous regarda avec des gros yeux :
- Mais hihihi vous êtes tout nus, c’est rigolo !
Un couple ca dort toujours comme ça, c’est ça des câlins d’amoureux. Ton amoureux fera pareil que nous.
- Non, j’ai pas d’amoureux, j’aime pas les garçons.
- Tu changeras d’avis, mon cœur. Les amoureux se font des câlins, des bisous et pleins d’autres trucs, je suis amoureux de Kriss et elle m’aime. Mais Kriss a raison, il est tard. Fais-moi un bisou et dors.

Elle lui fit un bisou et ferma les yeux. Axel voulait continuer à baiser mais je le repoussai en disant qu’il y avait la petite à coté de nous mais il me répondit que la situation l’excitait.
Il me prit de nouveau en cuillère, à dix centimètres d’elle. Pendant qu’il me limait, je regardais de temps en temps si la petite ne nous voyait pas copuler mais elle dormait à poings fermés.
Je disais à Axel que j’avais peur qu’elle nous entende avec les bruits, mais il s’en foutait. Une fois son affaire faite, Il a remis son caleçon et s’est endormi. J’en fis de même.
Le lendemain, la petite n’avait pas idée qu’on avait eu une relation sexuelle.


Pourquoi je mes suis enfin décidé à le quitter.

Ce qui m’a poussé à le quitter est ce qu’il m’a fait subir quelques temps après, j’en ai encore des cauchemars.

Un soir, il était rentré sous l’emprise de l’alcool et de la drogue. Comme d’habitude, il était assez vulgaire et violent à mon égard.
Bref, rien de nouveau.
Le lendemain, je lui parlai de son comportement indécent mais au lieu de s’énerver en me mettant en tort ou de s’excuser pour une énième fois, il m’avoua qu’il en avait marre de son comportement, qu’il allait se faire soigner et aller voir un psy.
Je le félicitai de sa prise de conscience et de son initiative.

Du jour au lendemain, il ne prenait plus rien, il avait arrêté ces « saloperies ». Axel revenait plus humain et faisait preuve d’attentions à sa famille comme à moi. Il ne me frappait plus du tout, ni m’insultait, bien au contraire. A la place, j’avais droit à des massages, des bisous dans le cou, des compliments sur mes tenues vestimentaires ou à l’odeur de mon parfum.
Je pensais qu’Axel redevenait l’homme que j’avais aimé lors de notre rencontre mais c’était pour mieux me berner.

Avec son argent d’infirmier, il offrit à ses parents et son frère et sœur un WE à Disney sur Paris. Il voulait passer un bon moment avec la femme qu’il aimait.
Les bagages faits, ils partirent avec les enfants le vendredi en fin d’après midi.
Ce soir, il voulait être romantique : Il m’avait fait couler un bain, puis on avait passé du bon temps devant la télé à se gaver de fruits et de chocolats. Il disait que c’était une façon de s’excuser de toutes les « horreurs » qu’il avait pu me faire, qu’il avait beaucoup de chance de m’avoir, etc…Avec tous ses efforts, je pensais que, enfin, il voulait me faire l’amour et non pas me baiser mais au lieu de ça, il me fit un petit bisou et se coucha.

Le lendemain, c’était exactement la même chose. Gentil, courtois…Le soir venu, après le diner, je voulais qu’il me fasse l’amour. Ça faisait quelques jours qu’il ne m’avait plus touchée, il avait arrêté de me baiser chaque matin pour « se vider les couilles »Pour une fois, c’était moi qui voulait de lui et non l’inverse. On se faisait un « rentre dedans » en s’envoyant des signes qu’on voulait l’un de l’autre.
Cette nuit, il voulut qu’on joue à un jeu pour pimenter notre sexualité. J’acquiesçai pour connaître ce jeu coquin.

A suivre…Ps : L’histoire se terminera peut-être là si le site ne veut pas publier le dernier chapitre. (l