Le chaton

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le chaton Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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Le chaton
J’attends couchée sur le bord du lit, les jambes pendantes, toi entre elle. Je sais fort bien ce que tu me veux. Tu as gardé ton blouson. Je vois que ta poche est déformée. Que diable contient-elle ? Tu fais durer l’attente un peu plus quand enfin tu sorts le contenu. Un joli petit chaton. Que tu poses entre mes jambes. Il se met en rond dans l’attente d’une caresse. C’est moi qui voudrais bien tes caresses.
Tu sors de l’autre poche un petit pot de crème fraiche comme celle que je met sur des fruits. Tu déverses son contenue sur mon con. Je sens un peu le froid de la crème sur ma chatte, elle s’infiltre partout. Je la sens aller vers des endroits inconnus de ma chatte. Je suis sur le point de fermer mes cuisses quand l’odeur de la crème attire ce petit chat. Il commence à lécher les poils de ma toison, puis n’y trouvant plus pitance, il descend là où je ne résiste jamais. Il me lave tout le clitoris, entièrement. Je me crispe pour ne pas jouir. Tu regarde ma chatte, tu surveille ce que fait le chaton.
Quand tu estime que je suis assez excitée tu le remplace. C’est enfin ta langue qui vient sur mon sexe. Je préfère, si le chat m’a excitée, je sais que toi, tu va me faire bien jouir.
Je voudrais que tu viennes dans ma bouche, pour que je suce ton bâton avant qu’il me donne son jus que j’aime tant. Pourtant je ne peux le prendre, je suis mal mise. Par contre ta lange me donne ces frissons qui me faisaient envie. Je la sens enfin sur mon bouton, dans mon con, là où j’aime que te me la mette avant de me baiser ou m’enculer comme tu aime, que tu m’as donné envie de préférer au reste.
Tu baise bien, tu m’as appris à bien baiser, c’est-ce que tu me dis peut être pour me faire plaisir. Pourtant je sais que depuis que nous sommes ensemble je suis plus sensible à une bite : à la tienne.
Je ne sais ce qu’est devenu ce chaton, je sais que je me régale avec ta langue. Tu m’a fais tellement de bien que je pose mes jambes sur tes épaules. J’ai perdu toute notion de bienséance avec toi. J’ai oublié la pudeur. S’il le faut je m’exhibe quand te me le demande, même si tu es en train de ma la mettre. La seule fois où tu m’as obligé à me montrer devant un autre homme que toi, c’était quand tu as voulu me faire connaitre la double pénétration.
Tu m’as présenté ton copain comme un bon baiseur. Je t’ai cru. Puis quand tu m’as demandé de me mettre nue devant vous deux, j’ai accepté. Tu savais que je ferais ce que tu voudrais. Tu m’as embrassé longuement, m’a fait donner ma bouche à l’autre. J’étais trempée. J’avais envie de jouir.
Tu m’as fait mettre sur toi, couché sur le dos. Je me suis empalée sur ta bite bien grosse, plus que les autres fois. Je voyais aussi celle de ton ami, plus grosse que la tienne. J’avais un peu peur de la sienne. Pourtant il savait bien y faire. Souviens-toi comme il est bien entré dans mon cul. Souviens-toi des soupirs et des petits cris que je poussais quand vos deux bites se croissaient dans mon ventre. Tu ne peux pas savoir combien j’ai joui cette fois là.
Je ne regrette pas du tout cette double pénétration, si tu voulais, je recommencerai maintenant. Avoir deux bites dans mon ventre à la fois. Le rêve de toute femme. Plus tard tu as avoué que toi aussi tu avais pris un pied monumental à cause de l’autre bite.
Continue ton cunnilingus, te les réussis toujours si bien. Je ne sais comment tu fais quand ta langue cherche et trouve toujours des petits endroits nouveaux. Et quand tu me fais jouir, que je sens dans ma bouche le gout de mon con. Ou comme te le feras tout à l’heure avec mon cul. Pourquoi tu baptise cette chose normale de feuille de rose ? J’aime tant quand ta langue se fraie un chemin à travers mon anus. Tu en profite pour passer tes doigts dans ma fente, à la recherche d’un temple perdu ?
La seule fois où j’ai voulu te faire connaitre cette chose, tu as refusé. Pourquoi, de peur de passer pour ce que tu n’es pas ? Tu refuse un nouveau plaisir. Pourtant tu accepte bien que j’entre deux doigts dans ton cul à la recherche de ta prostate, ce qui te fait jouir plus fort.
Je jouis avec ta langue, baises moi maintenant, j’ai envie de sentir ta bite dans mon con ? Vite, dépêches toi, mets moi la.
Oui, comme ça, vas-y défonces moi limes moi. Fais-moi jouir encore plusieurs fois, d’abor dans le con et ensuite dans le cul. S’il te plais fais moi bien jouir j’en meurs d’envie, j’ai besoin de sa queue.
Tu sais ce que je fais quand tu n’es pas là : je me branle. Je pense à ta langue sans arriver à faire la même chose. Quand je me mets le gode je me baise presque aussi bien que toi. Je me la mets des fois dans le cul. C’est bon je jouis en pensant à ta queue. Tu ne m’as jamais dit pourquoi elle était plus grosse que les autres. Pourtant celui qui m’a enculé devant toit l’avait aussi grosse sinon plus que toi et j’en ai joui. Dans le cul en plus. Tu me baisais aussi.
Mon Dieu que j’ai aimé avoir deux bite dans mon ventre, que j’en ai bien joui. Quand est-ce qu’on recommence.
Quand tu as voulu une autre fille pour une baise en trio. J’ai dis oui, Tu ne t’ai pas gêné pour la baiser devant moi, tu le lui a même mise dans le cul. Cette fois là je ne lai pas eu dans mon petit trou. Par contre j’ai léché un autre con que le mien, elle m’a fait jouir plusieurs fois avec sa langue. Pour ça tu es prêt à recommencer. Moi aussi, mais tu as peur que je me détourne de toi et de ta queue.
Je ne peux pas me passer de ta belle queue qui entre partout dans mon corps, qui me fait tant jouir, tu voudrais que je te laisse tomber pour une fille dans zézette ? Qui me la mettrait alors ?
Aux tous débuts, je savais baiser, toi tu m’as appris tout le reste et même d’améliorer mes prestations Tu avoue que je baise bien depuis. Je jouis surtout bien mieux. D’accord tu as été le premier à m’enculer. J’avais peur d’avoir une bite dans ce trou. Tu m’as fait à peine mal quand tu m’as sodomisé la première fois. Depuis ta bite entre facilement. J’aime sentir quand elle écarte mon anus en entrant, j’aime te sentir jouir dans le fond de mn cul. Tu me fais toujours jouir.
Arrête de me sucer, de me lécher, je te veux dans mon con, vite baises moi.

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Texte coquin : Le chaton
Histoire sexe : Une rose rouge
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