Le chemin de l'école 24
Récit érotique écrit par July [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le chemin de l'école 24
Le lendemain matin, je le laisse dormir quand mon réveil sonne. Je lui prépare un plateau petit-déjeuner avec un petit mot doux.
Lorsque j’arrive, le téléphone de l’école sonne. Je décroche.
- Groupe scolaire, bonjour. C’est Julie.
- Ah bonjour Julie. C’est Jessica, la maman de Mathieu et Axel. Je voulais juste prévenir que Mathieu sera en retard, je l’emmène chez le pédiatre pour faire son rappel de vaccin.
- Pas de souci, je préviens l’enseignante.
- Merci. Au revoir.
Et elle raccroche. Je crois qu’elle ne voit pas d’un bon œil ma relation avec Thomas…Je vais informer la maîtresse du petit de son retard et retourne préparer ma classe pour l’arrivée des enfants.
Pendant que les enfants jouent en récréation, je récupère les travaux de peinture que j’ai fait avec eux pour les mettre à sécher dans le local accolé à la classe. Je tourne le dos à la porte et n’entends pas les bruits de pas s’approcher de moi. Soudain je sens des mains se poser sur mes seins et une barbe de trois jours dans mon cou.
- C’est bon de sentir ton parfum ma puce… me dit Thomas en embrassant mon cou. Merci pour le petit-déjeuner.
- Bonjour mon amour. Qu’est-ce que tu fais là ?
- J’ai ramené Thomas à l’école. Jess m’a appelé en sortant chez le pédiatre. Elle a été appelée par le boulot et n’avait pas le temps de ramener le petit à l’école.
- Je crois qu’elle est remonté contre moi…- Elle l’est certainement. Tu te tapes son ex, t’es plus jeune qu’elle, plus canon aussi, je suis plus heureux avec toi que je ne l’était avec elle et ça doit se voir, pis ses gamins t’adorent. Forcément, elle doit être un peu jalouse… mais ça lui passera. Et puis si c’est pas le cas, faut pas que ça nous empêche de vivre…
Il me serre fort contre lui et embrasse mes cheveux.
- Je vais déjà devoir te laisser. Je file à la caserne aider les collègues à préparer la soirée de demain pour la collecte.
- Ça m’a fait plaisir que tu passes. Si seulement tu avais eu plus de temps… j’aurais bien aimé que tu me prennes ici… c’est très excitant le risque de se faire choper… - On se fera ça à l’occas’. Tu vas toujours chez Sandrine ce soir ?
- Oui, ça fait un moment qu’on s’est pas vues en dehors du boulot…mais tu n’auras qu’à nous rejoindre… on pourra jouer à trois… rien que d’y penser…
Et plutôt que de finir ma phrase, je prends sa main et la passe sous ma jupe, la posant sur mon shorty mouillé d’excitation.
- Et puis merde, les collègues auront qu’à commencer dans moi…
Et il m’enlève mon shorty en s’agenouillant devant moi pour embrasser ma chatte.
- Les enfants rentrent dans combien de temps ? Me demande-t-il en de relevant.
- Je dirait une dizaine de minutes grand max…- Alors on va faire ça vite. Tourne toi et prends appui sur la table là-bas.
Je me dirige vers le fond de la pièce, écarte grand les jambes en tendant bien mon cul, la jupe relevée au dessus des fesses et pose mes avant bras sur le plateau en bois. Il se place derrière moi, une main sur ma hanche droite, l’autre agrippant mes cheveux. Il me pénètre violemment mais c’est tellement bon… il me pilonne fort et vite. J’ai envie de crier mon plaisir mais me retiens pour ne pas attirer l’attention du directeur. Mon corps est parcouru des frissons de l’orgasme. Je dois mordre ma lèvre pour ne pas hurler en jouissant. Thomas me baise toujours aussi fort. Du coin de l’œil, j’aperçois une silhouette dans l’encadrement de la porte. D’abord paniquée, je réalise que c’est Sandrine. Elle mate quelques instants, puis s’éclipse en fermant la porte derrière elle. Quelques minutes après, Thomas jouit tout aussi silencieusement que moi.
Alors qu’il referme son pantalon, je cherche mon shorty.
- Tu l’as mis où ?
- Dans ma poche… et il va y rester…- Tu peux pas me faire ça !
- Ah bon ? Et pourtant.
Et il part en courant, me lançant un « je t’aime, à ce soir » du bout du couloir. Il est 11 heures, et je me retrouve sans culotte à bosser jusque 16 heures. J’ai envie de le tuer.
Je rejoins Sandrine dans sa classe.
- Vous auriez pu me prévenir… j’aurais fait le guet… ou je me serais joint à vous…- Désolée c’était totalement improvisé… mais t’inquiète, ce soir je m’occupe de toi et il nous rejoindra peut-être… - Hum.. j’aime beaucoup ce programme.
Elle s’approche de moi et m’embrasse, passant sa main sur ma chatte.
- Depuis quand tu viens bosser sans sous-vêtements petite cochonne ? Me demande-t-elle en riant.
- Depuis que mon mec me baise à l’école et se barre avec mon shorty.
- Ce mec est juste génial ! Dommage que les enfants vont arrivés, j’en aurais bien profité…- Ce soir je suis toute à toi…
Je passe le reste de la journée à espérer que personne ne remarque que je ne porte rien sous ma jupe. Je trouve ça très agréable mais au boulot cela risque de poser problème si quelqu’un l’apprend.
En sortant du boulot, je passe par la maison me changer avant de partir chez Sandrine. J’enfile une mini jupe en jeans très mini, un top rouge décolté et une paire de sandales compensées également en jeans.
Je fais un détour à la caserne pour embrasser Thomas. A mesure que je traverse la cour où stationnent quelques camions, je remarque les regards pervers des anciens se poser sur moi. Les plus jeunes, la plupart des gars que je connais plus ou moins, viennent à ma rencontre pour me saluer, mais leurs regards en disent long aussi. J’ai l’habitude de ce genre de réactions et ne m’en formalise guère.
Au loin, j’aperçois Thomas en train de déplacer des tables. Son t-shirt met en valeur son torse musclé. Il porte son vieux jeans usé que le rend incroyablement sexy… Quand il se penche en avant pour ramasser un tournevis, je vois la dentelle de mon shorty dépasser de sa poche arrière…
Arrivée dans son dos, je passe mes mains sous ses bras et les pose sur son torse.
- Hey ma puce. Qu’est-ce que tu fais là ?
- Je suis venue te faire un bisou avant d’aller chez Sandrine.
- T’es hyper sexy bébé ! J’ai hâte de vous rejoindre…
Il passe alors sa main sous ma jupe après avoir vérifié qu’aucune paire d’yeux ne traînait…
- Je constate que tu n’as rien remis…- Je sais que tu aimes bien… D’ailleurs, pour info, mon shorty dépasse de ta poche. Ça risque de se voir…- Ouais et ? Si quelqu’un pose la question, je lui dirai la vérité. Ce que j’ai fait avec Greg…- Tu as quoi ?
- Ben oui, quand je me suis penché avant il a vu la dentelle, et a tiré dessus. Il s’est retrouvé avec ta lingerie entre les mains et m’a demandé ce que je foutais avec tes sous-vêtements dans la poche. Alors je lui ai expliqué qu’on s’est envoyé en l’air chez toi au boulot… Toi tu as Sandrine pour parler de cul, moi j’ai Greg. A la différence que nous on ne fait que en parler, contrairement à vous.
Justement voilà Greg qui approche. Il est également pompier professionnel. C’est le meilleur ami de Thomas. Je le connais assez bien aussi, nous étions voisins il y a quelques années. Il a 34 ans, des cheveux bruns, des yeux verts. Il est plutôt grand, un peu plus que Thomas. Il est très musclé et son uniforme et en valeur son torse et bras. Il est du genre hyper sexy.
- Salut beauté. Je sais pas ce que tu lui as fait ce matin, mais il est super distrait aujourd’hui.
- T’aimerais bien le savoir hein ? Et si c’était plutôt ce que je lui promis pour ce soir ?
Je vois à ces yeux que j’ai éveillé sa curiosité…
- Bon je vous laisse les garçons. A ce soir bébé ! J’ai hâte.
Thomas me serre contre lui et m’embrasse en passant ses mains sur mes fesses.
- A ce soir puce.
En repartant j’envoie un message à Sandrine pour lui dire de me rejoindre à la maison. Lorsqu’elle arrive à la maison, nous nous installons d’abord sur le canapé pour nous câliner gentiment. Nos lèvres se rencontrent doucement, nos mains se cherchent.
Puis nos langues se mélangent, nos mains parcourent nos peaux, cherchant les zones sensibles aux caresses.
Je nous interromps et envoie un mms à Thomas :
« On va avoir besoin d’aide pour nous savonner… » accompagné d’une photo nous montrant dénudées.
Comme je m’en doutais, nous étions à peine entrées sous jet de la douche , que e j’ai entendu la porte d’entrée claquer, suivie du bruit de pas de Thomas courant dans l’escalier. Il nous trouve, elle debout face au mur, les jambes écartées, moi à genoux entre des cuisses, ma langue allant de sa chatte à son trou de cul.
Il termine de retirer ses vêtements et nous rejoint dans la douche. Il va se placer face entre Sandrine et le mur, face à elle et commence à l’embrasser. D’une main, il attrape sa queue qui ne tarde pas à se dresser, de l’autre il joue avec les seins de mon amie. Quand sa bite est bien gonflée, il prend la main de Sandrine pour qu’elle joue avec et lui la doigte.
Je sens ses doigts lorsqu’avec ma langue je vais goûter la mouille de ma salope préférée. Elle ondule sous les coups de ma langue et des doigts de Thomas. Je lèche son petit trou de plus en plus vite, enfonçant ma langue dedans. Quand elle est plus détendue, je lui entre un doigt et elle gémit fort.
Je me relève et lui baise le cul un instant avec mes doigts pendant que mon mec lui fouille la chatte. Je décide de me mettre en retrait. Je prend appui sur la paroi de la douche et les regarde. Thomas la soulève à lui, se tourne et la plaque contre le mur carrelé. Elle passe ses jambes autour de sa taille alors qu’il la fourre fortement. Il la baise violemment, la cognant contre le mur à chaque coup de rein. Rapidement elle jouit.
Il la repose et se retire. Je vais vite placer ma tête entre les cuisses de Sandrine pour boire son jus sucré.
Ensuite, on sort de la douche, nous séchant grossièrement, avant de rejoindre la chambre. Sandrine s’allonge sur le lit et m’attire à elle. Nous entamons un 69, Thomas, assis sur une chaise, se rince l’œil en se branlant.
Au bout de quelques minutes, il se place derrière moi, place ses mains sur mes hanches et je sens sa queue glisser le long de ma raie puis pénétrer ma chatte léchée par Sandrine. Me sentir remplie est tellement bon. Je lâche mon amante plus vigoureusement encore, la faisant jouer. Elle mouille énormément. J’aime ça.
Thomas accélère ses coups de queue. Je sens que la langue de Sandrine se retire de ma chatte. Je sais qu’elle lèche sa queue et ses couilles. Il gémit alors plus fort.
Il me serre plus fort les hanches et ses coups de reins se font plus violents. Nous jouissons à l’unisson. Quand il se retire, Sandrine se délecte de ma mouille et du sperme de Thomas avant de venir me rouler une pelle.
On passe le reste de la soirée et une partie de la nuit à se toucher, se caresser, s’embrasser et se baiser les uns les autres. Vers 3h du matin, Sandrine nous laisse pour rentrer chez elle.
Lorsque j’arrive, le téléphone de l’école sonne. Je décroche.
- Groupe scolaire, bonjour. C’est Julie.
- Ah bonjour Julie. C’est Jessica, la maman de Mathieu et Axel. Je voulais juste prévenir que Mathieu sera en retard, je l’emmène chez le pédiatre pour faire son rappel de vaccin.
- Pas de souci, je préviens l’enseignante.
- Merci. Au revoir.
Et elle raccroche. Je crois qu’elle ne voit pas d’un bon œil ma relation avec Thomas…Je vais informer la maîtresse du petit de son retard et retourne préparer ma classe pour l’arrivée des enfants.
Pendant que les enfants jouent en récréation, je récupère les travaux de peinture que j’ai fait avec eux pour les mettre à sécher dans le local accolé à la classe. Je tourne le dos à la porte et n’entends pas les bruits de pas s’approcher de moi. Soudain je sens des mains se poser sur mes seins et une barbe de trois jours dans mon cou.
- C’est bon de sentir ton parfum ma puce… me dit Thomas en embrassant mon cou. Merci pour le petit-déjeuner.
- Bonjour mon amour. Qu’est-ce que tu fais là ?
- J’ai ramené Thomas à l’école. Jess m’a appelé en sortant chez le pédiatre. Elle a été appelée par le boulot et n’avait pas le temps de ramener le petit à l’école.
- Je crois qu’elle est remonté contre moi…- Elle l’est certainement. Tu te tapes son ex, t’es plus jeune qu’elle, plus canon aussi, je suis plus heureux avec toi que je ne l’était avec elle et ça doit se voir, pis ses gamins t’adorent. Forcément, elle doit être un peu jalouse… mais ça lui passera. Et puis si c’est pas le cas, faut pas que ça nous empêche de vivre…
Il me serre fort contre lui et embrasse mes cheveux.
- Je vais déjà devoir te laisser. Je file à la caserne aider les collègues à préparer la soirée de demain pour la collecte.
- Ça m’a fait plaisir que tu passes. Si seulement tu avais eu plus de temps… j’aurais bien aimé que tu me prennes ici… c’est très excitant le risque de se faire choper… - On se fera ça à l’occas’. Tu vas toujours chez Sandrine ce soir ?
- Oui, ça fait un moment qu’on s’est pas vues en dehors du boulot…mais tu n’auras qu’à nous rejoindre… on pourra jouer à trois… rien que d’y penser…
Et plutôt que de finir ma phrase, je prends sa main et la passe sous ma jupe, la posant sur mon shorty mouillé d’excitation.
- Et puis merde, les collègues auront qu’à commencer dans moi…
Et il m’enlève mon shorty en s’agenouillant devant moi pour embrasser ma chatte.
- Les enfants rentrent dans combien de temps ? Me demande-t-il en de relevant.
- Je dirait une dizaine de minutes grand max…- Alors on va faire ça vite. Tourne toi et prends appui sur la table là-bas.
Je me dirige vers le fond de la pièce, écarte grand les jambes en tendant bien mon cul, la jupe relevée au dessus des fesses et pose mes avant bras sur le plateau en bois. Il se place derrière moi, une main sur ma hanche droite, l’autre agrippant mes cheveux. Il me pénètre violemment mais c’est tellement bon… il me pilonne fort et vite. J’ai envie de crier mon plaisir mais me retiens pour ne pas attirer l’attention du directeur. Mon corps est parcouru des frissons de l’orgasme. Je dois mordre ma lèvre pour ne pas hurler en jouissant. Thomas me baise toujours aussi fort. Du coin de l’œil, j’aperçois une silhouette dans l’encadrement de la porte. D’abord paniquée, je réalise que c’est Sandrine. Elle mate quelques instants, puis s’éclipse en fermant la porte derrière elle. Quelques minutes après, Thomas jouit tout aussi silencieusement que moi.
Alors qu’il referme son pantalon, je cherche mon shorty.
- Tu l’as mis où ?
- Dans ma poche… et il va y rester…- Tu peux pas me faire ça !
- Ah bon ? Et pourtant.
Et il part en courant, me lançant un « je t’aime, à ce soir » du bout du couloir. Il est 11 heures, et je me retrouve sans culotte à bosser jusque 16 heures. J’ai envie de le tuer.
Je rejoins Sandrine dans sa classe.
- Vous auriez pu me prévenir… j’aurais fait le guet… ou je me serais joint à vous…- Désolée c’était totalement improvisé… mais t’inquiète, ce soir je m’occupe de toi et il nous rejoindra peut-être… - Hum.. j’aime beaucoup ce programme.
Elle s’approche de moi et m’embrasse, passant sa main sur ma chatte.
- Depuis quand tu viens bosser sans sous-vêtements petite cochonne ? Me demande-t-elle en riant.
- Depuis que mon mec me baise à l’école et se barre avec mon shorty.
- Ce mec est juste génial ! Dommage que les enfants vont arrivés, j’en aurais bien profité…- Ce soir je suis toute à toi…
Je passe le reste de la journée à espérer que personne ne remarque que je ne porte rien sous ma jupe. Je trouve ça très agréable mais au boulot cela risque de poser problème si quelqu’un l’apprend.
En sortant du boulot, je passe par la maison me changer avant de partir chez Sandrine. J’enfile une mini jupe en jeans très mini, un top rouge décolté et une paire de sandales compensées également en jeans.
Je fais un détour à la caserne pour embrasser Thomas. A mesure que je traverse la cour où stationnent quelques camions, je remarque les regards pervers des anciens se poser sur moi. Les plus jeunes, la plupart des gars que je connais plus ou moins, viennent à ma rencontre pour me saluer, mais leurs regards en disent long aussi. J’ai l’habitude de ce genre de réactions et ne m’en formalise guère.
Au loin, j’aperçois Thomas en train de déplacer des tables. Son t-shirt met en valeur son torse musclé. Il porte son vieux jeans usé que le rend incroyablement sexy… Quand il se penche en avant pour ramasser un tournevis, je vois la dentelle de mon shorty dépasser de sa poche arrière…
Arrivée dans son dos, je passe mes mains sous ses bras et les pose sur son torse.
- Hey ma puce. Qu’est-ce que tu fais là ?
- Je suis venue te faire un bisou avant d’aller chez Sandrine.
- T’es hyper sexy bébé ! J’ai hâte de vous rejoindre…
Il passe alors sa main sous ma jupe après avoir vérifié qu’aucune paire d’yeux ne traînait…
- Je constate que tu n’as rien remis…- Je sais que tu aimes bien… D’ailleurs, pour info, mon shorty dépasse de ta poche. Ça risque de se voir…- Ouais et ? Si quelqu’un pose la question, je lui dirai la vérité. Ce que j’ai fait avec Greg…- Tu as quoi ?
- Ben oui, quand je me suis penché avant il a vu la dentelle, et a tiré dessus. Il s’est retrouvé avec ta lingerie entre les mains et m’a demandé ce que je foutais avec tes sous-vêtements dans la poche. Alors je lui ai expliqué qu’on s’est envoyé en l’air chez toi au boulot… Toi tu as Sandrine pour parler de cul, moi j’ai Greg. A la différence que nous on ne fait que en parler, contrairement à vous.
Justement voilà Greg qui approche. Il est également pompier professionnel. C’est le meilleur ami de Thomas. Je le connais assez bien aussi, nous étions voisins il y a quelques années. Il a 34 ans, des cheveux bruns, des yeux verts. Il est plutôt grand, un peu plus que Thomas. Il est très musclé et son uniforme et en valeur son torse et bras. Il est du genre hyper sexy.
- Salut beauté. Je sais pas ce que tu lui as fait ce matin, mais il est super distrait aujourd’hui.
- T’aimerais bien le savoir hein ? Et si c’était plutôt ce que je lui promis pour ce soir ?
Je vois à ces yeux que j’ai éveillé sa curiosité…
- Bon je vous laisse les garçons. A ce soir bébé ! J’ai hâte.
Thomas me serre contre lui et m’embrasse en passant ses mains sur mes fesses.
- A ce soir puce.
En repartant j’envoie un message à Sandrine pour lui dire de me rejoindre à la maison. Lorsqu’elle arrive à la maison, nous nous installons d’abord sur le canapé pour nous câliner gentiment. Nos lèvres se rencontrent doucement, nos mains se cherchent.
Puis nos langues se mélangent, nos mains parcourent nos peaux, cherchant les zones sensibles aux caresses.
Je nous interromps et envoie un mms à Thomas :
« On va avoir besoin d’aide pour nous savonner… » accompagné d’une photo nous montrant dénudées.
Comme je m’en doutais, nous étions à peine entrées sous jet de la douche , que e j’ai entendu la porte d’entrée claquer, suivie du bruit de pas de Thomas courant dans l’escalier. Il nous trouve, elle debout face au mur, les jambes écartées, moi à genoux entre des cuisses, ma langue allant de sa chatte à son trou de cul.
Il termine de retirer ses vêtements et nous rejoint dans la douche. Il va se placer face entre Sandrine et le mur, face à elle et commence à l’embrasser. D’une main, il attrape sa queue qui ne tarde pas à se dresser, de l’autre il joue avec les seins de mon amie. Quand sa bite est bien gonflée, il prend la main de Sandrine pour qu’elle joue avec et lui la doigte.
Je sens ses doigts lorsqu’avec ma langue je vais goûter la mouille de ma salope préférée. Elle ondule sous les coups de ma langue et des doigts de Thomas. Je lèche son petit trou de plus en plus vite, enfonçant ma langue dedans. Quand elle est plus détendue, je lui entre un doigt et elle gémit fort.
Je me relève et lui baise le cul un instant avec mes doigts pendant que mon mec lui fouille la chatte. Je décide de me mettre en retrait. Je prend appui sur la paroi de la douche et les regarde. Thomas la soulève à lui, se tourne et la plaque contre le mur carrelé. Elle passe ses jambes autour de sa taille alors qu’il la fourre fortement. Il la baise violemment, la cognant contre le mur à chaque coup de rein. Rapidement elle jouit.
Il la repose et se retire. Je vais vite placer ma tête entre les cuisses de Sandrine pour boire son jus sucré.
Ensuite, on sort de la douche, nous séchant grossièrement, avant de rejoindre la chambre. Sandrine s’allonge sur le lit et m’attire à elle. Nous entamons un 69, Thomas, assis sur une chaise, se rince l’œil en se branlant.
Au bout de quelques minutes, il se place derrière moi, place ses mains sur mes hanches et je sens sa queue glisser le long de ma raie puis pénétrer ma chatte léchée par Sandrine. Me sentir remplie est tellement bon. Je lâche mon amante plus vigoureusement encore, la faisant jouer. Elle mouille énormément. J’aime ça.
Thomas accélère ses coups de queue. Je sens que la langue de Sandrine se retire de ma chatte. Je sais qu’elle lèche sa queue et ses couilles. Il gémit alors plus fort.
Il me serre plus fort les hanches et ses coups de reins se font plus violents. Nous jouissons à l’unisson. Quand il se retire, Sandrine se délecte de ma mouille et du sperme de Thomas avant de venir me rouler une pelle.
On passe le reste de la soirée et une partie de la nuit à se toucher, se caresser, s’embrasser et se baiser les uns les autres. Vers 3h du matin, Sandrine nous laisse pour rentrer chez elle.
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