Le chemin de l'école, partie 21
Récit érotique écrit par July [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 24 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de July ont reçu un total de 183 691 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 389 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le chemin de l'école, partie 21
Le lendemain, au boulot, Sandrine me confie que Léa a été très touchée que je prenne le temps de lui montrer quelques trucs et qu’elle aborde désormais son homosexualité sereinement. Et qu'elle ne serait pas contre d'autres leçons...
Toute la journée, les mots de Thomas résonnent dans ma tête : « j’en ai marre de te partager », « mets toi à ma place si une autre femme me touchait comme lui te touche », « si on était officiellement ensemble, tu pourrais les rendre jalouses… ». Si bien que le soir en rentrant, je décide de tout avouer à Romain quand il rentrera à 19 heures.
Romain, je dois te dire un truc…
Oui ma puce, qu’est-ce qu’il y a ?
Je prends mon courage à deux mains et décide de ne pas passer par 4 chemins.
Je vois quelqu’un depuis un moment déjà…
Je sais…
Comment ça tu sais ?
Je sais que tu couches avec Sandrine depuis un moment déjà. Un jour où je rentrais tôt pour te faire une surprise, j’ai vu sa voiture devant l’immeuble et quand je suis arrivé devant la porte d’entrée de l’appartement, je vous ai entendues. Alors je suis parti. Je dois avouer que je trouve ça très bandant de t’imaginer avec une autre femme…
Alors là, je ne m’attendais pas à ça du tout… malgré tout, je me raisonne et continue mes aveux.
Oui mais Sandrine n’est pas la seule… en réalité avec elle c’est un peu particulier, c'est de la curiosité, elle m'apporte ce que seule une femme peut apporter à une autre femme… ce n’est pas de ça dont je voulais te parler.
Il se recule un peu et fronce les sourcils. Je n’ai pas le choix, il fait que j’aille au bout.
Depuis 7 mois, je vois un autre homme. Et c’est plus qu’une histoire de cul… on s’ai…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase : il me colle une gifle monumentale. Je ne veux pas pleurer devant lui. Je me lève et part m’enfermer dans la salle de bains. 5 minutes plus tard, j’entends la porte d’entrée claquer. Je sors et vais m’asseoir sur le canapé. Je prends mon portable pour écrire un message à Thomas, mais y renonce. Je vais attendre qu’il finisse sa garde 1 heure plus tard.
Mais à 20h20, toujours pas de nouvelles. Je m’inquiète un peu : depuis qu’il est entré chez les pompiers, je ne peux m’empêcher de m’imaginer le pire quand il rentre en retard de ses gardes… au moment où je prends mon téléphone pour l’appeler, la porte de l’appartement s’ouvre.
Romain entre, une lèvre en sang.
Qu’est-ce qu’il t’es arrivé ?
Je suis allé régler mes comptes avec ton pompier devant chez lui et il m'a frappé… Putain, un mec qui a 10 ans de plus que toi, 2 gamins, divorcé… si au moins tu avais choisi un mec plus jeune. Mais non, tu as choisi un vieux…
Comment tu sais tout ça de lui ?
Quand t’es partie chialer dans la salle de bains, j’ai regardé dans ton portable et j’ai lu vos messages. Et il ne m'a pas fallu longtemps pour trouver des infos sur le net. Vu qu’il avait envie de se battre je suis allé lui faire cet honneur…
J’attrape mon portable pour essayer d’appeler Thomas.
Pas la peine de lui téléphoner, son portable est mort.
Je saute du canapé, attrape mon sac et pars en courant. Au bout du couloir, j’entends Romain me traiter de traînée.
J’arrive chez Thomas à bout de souffle. Dans les escaliers extérieurs, je vois portable, explosé, sans doute est il tombé pendant qu’ils se tapaient dessus. Je le ramasse.
Je monte les escaliers 3 par 3. Mon cœur rate un battement qand je vois une trace de sang sur la porte.
Thomas ? Tu es là ? je demande en entrant.
Dans la salle de bains, puce.
Je cours pour le rejoindre. Il est penché vers le miroir pour nettoyer son arcade.
Oh merde ! Il t’a pas raté le salaud. Je lui ai tout dit. Je crois qu’il t’a suivi depuis la caserne. Il a lu nos messages dans mon téléphone après que je lui ai dit, quand je suis allée pleurer dans la salle de bains.
Je lui prends la compresse des mains et le fais s’asseoir sur le bord de la baignoire pour nettoyer son arcade et sa lèvre.
Quand je suis sorti de la voiture, j’ai voulu aller prendre mon sac dans le coffre. J’étais en train de t’écrire pour te dire que j’étais rentré. J’ai pas vu le premier coup arriver. Mon portable est tombé et il a marché dessus, je pense qu’il est foutu…
Il t’a fait ça avec un seul coup ?
Non, il m’a mis plusieurs droites… et je l’ai laissé faire. Je le méritais bien. Je me tape sa nana depuis des mois, et j’étais plus qu’insistant pour te convaincre. Je me suis dis qu’à sa place je ferais pareil. Mais quand il m’a pété l’arcade je lui en ai aligné une. Il s’est reculé et il est parti.
Les larmes coulent sur mes joues.
Je t’emmène à l’hôpital bébé, c’est trop ouvert. Il te faut des points je pense.
Mais non, t’inquiète. C’est rien. Et arrête de pleurer, me dit-il en caressant ma joue. T’as quoi à la joue ? Il t'a frappée ?
Oui, c’est rien, il m’a giflée. Je pense que je le méritais aussi…
Je vais le buter de t’avoir fait du mal… on lève pas la main sur une femme…
Arrête de t’énerver, et viens, je t’emmène faire recoudre ça…
Bon gré mal gré, il fini par me donner ses clefs de voiture. Une fois arrivés aux urgences, une infirmière l’emmène voir un médecin. Ce dernier lui fait passer quelques radios pour s’assurer qu’il n’y a rien de grave et lui fait 3 points de suture. 4 heures après notre arrivée, je ramène Thomas chez lui.
Je vais rentrer chez moi finir de mettre un terme à tout ça. Je t’appelle sur le fixe dès que je peux. Repose toi bien.
Quand j’entre dans mon appartement, Romain a récupéré toutes ses affaires. Ses clefs sont posées sur la table de la salle à manger.
Je m’écroule sur le canapé et appelle Thomas.
Il est parti pendant que j’étais pas là…
J’arrive.
Et il raccroche.
Cinq minutes plus tard, je suis dans ses bras.
Je voulais t’avoir pour moi, mais je ne voulais pas que ça se passe comme ça.
Je sais… j’avais pas envie non plus qu’il s’en prenne à toi…
Allez viens, il faut que tu dormes, tu bosses demain. J’appellerai l’hôtel pour annuler nos quelques jours de vacances. On fera ça une autre fois.
Il m’entraîne au lit. Je m’endors presque aussitôt allongée dans le lit.
Quand je me lève, il m’a préparé un petit déjeuner.
Bonjour ma puce. Je me douche et je vais chercher les garçons chez mon ex pour les emmener à l’école. Ça leur fera plaisir de voir leur papa. Je vais voir avec elle si je peux les prendre un peu pendant les vacances même si c’est sa semaine. Ils me manquent...
Ça marche bébé.
10 minutes plus tard, il m’embrasse et part chercher ses fils.
Je le revois en arrivant au boulot. Tous les yeux sont de nouveau tournés vers lui, mais plus pour son uniforme. Aujourd’hui, ce sont les marques sur son visage qui attirent les regards.
Oh là, mais qu’est-ce qu’il vous est arrivé monsieur ? lui demande une enseignante.
Il me lance un regard furtif avant de répondre.
Rien de grave. On est intervenu sur une rixe où un homme a blessé sa compagne, et il a fini de passer ses nerfs sur moi quand on a décidé d’emmener la jeune femme aux urgences. Les risques du métier.
En passant à côté de moi, il me fait un petit clin d’œil.
Dans la matinée Sandrine me questionne.
Il est bien amoché Thomas. Faut pas qu’il se mêle des histoires de couple qui ne le concernent pas…
Celle-ci le concernait…
Devant son air stupéfait, je lui raconte notre soirée de la veille.
C’est pour ça qu’il a l’air aussi content !
Je ne peux m’empêcher de sourire…
Le soir, il m’attend à l’arrière de l’école avec les garçons.
Salut ! me lance-t-il.
Bonjour Monsieur, bonjour les garçons.
Je comprends pas…
D’un signe de tête, je désigne ses fils…
Les garçons, allez jouer à l’aire de jeu. Il faut que je parle avec Julie. J’arrive tout de suite.
Il attend que les enfants ce soient éloignés.
Il y a un problème ?
Oui, enfin non. Mais on peut pas passer de rien à tout d’un coup. Les gens vont dire quoi ? Et tes enfants ?
Je me fous de ce que pense les gens. J’ai plus envie de me cacher. Et les garçons seront ravis que tu fasses partie de leur vie. Ils t’adorent.
Laisse nous un peu de temps. Continuons un peu à nous voir en cachette, juste quelques semaines.
Tu as peut-être raison. Désolé d’avoir voulu précipiter les choses. Mais j’ai tellement hâte de ne plus nous cacher. J’ai les petits pour 4 jours. Je les confie à mes parents lundi, on pourra en profiter pour se voir un peu. Et mardi je les ramène à Jess.
Ça marche, pas de soucis. Puis tu sais où j’habite si tu veux me voir.
Le lendemain après-midi, alors que je sors de la douche, la sonnette retentit. Je vais ouvrir la porte, enroulée dans une serviette, les cheveux humides tombant sur mes épaules.
Thomas se dresse devant moi. Je le fais entrer. J’ai à peine refermé la porte, qu’il me plaque contre cette dernière et m’embrasse.
Où sont les garçons ?
Chez ma sœur. Ils voulaient jouer avec leur cousine. Et ça m’arrangeait bien vu comme j’avais envie de toi. J’ai presque pas fermé l’œil de la nuit. J’avais qu’une envie, c’était de te rejoindre dans ton lit et de te faire l’amour. Ne plus être ton amant mais ton mec !
Disant ces mots, il fait tomber la serviette qui cache mon corps.
T’es tellement belle ma puce.
Il m’embrasse dans le cou, sur les seins, le ventre et descend jusqu’à ma chatte.
Viens, lui dis-je en me dirigeant vers la chambre.
Il ôte ses chaussures en chemin, je m’occupe de lui retirer ton t-shirt et son jeans dans la chambre. Sa queue forme une bosse dans son boxer. J’entreprends de le lui retirer afin de goûter sa bite, mais il m’en empêche. Au lieu ça, il me jette sur le lit et me bande les yeux.
J’ai envie de jouer avec ça, dit-il en caressant ma chatte.
Il commence par passer un doigt délicatement sur chaque partie de mon intimité. Puis je l’entends quitter la pièce, chercher quelque chose à côté et revenir. Il embrasse mon clitoris doucement et soudain la chaleur de ses lèvres laisse place au froid d’un … glaçon ! C’est surprenant, mais extrêmement excitant. Il joue a passer le glaçon sur ma chatte jusqu’à ce qu’il soit presque fondu. Il vient alors m’embrasser pour me donner le glaçon avec sa bouche. Il a le goût sucré ma mouille.
Il redescend entre mes jambes et mordille mon clitoris tout en enfonçant ses doigts en moi. De l’index de son autre main, il joue avec mon anus.
Mets toi en levrette, que je profite de ce cul bien rond.
Alors que je m’exécute, il me donne une fessée qui claque bien. Une vague de chaleur monte jusque dans mes reins. Je gémis doucement. Il me frappe plus fort.
J’ai rien entendu…
Je gémis plus fort.
Il caresse alors mon cul comme pour se faire pardonner.
Soudain, il m’enfonce un rabbit dans la chatte et le met en marche en position maximale.
Occupe toi d’elle pendant que je m’occupe de ton petit trou.
J’obéis et me masturbe alors qu’il commence à lécher mes fesses. Sa langue glisse le long de ma raie et vient trouver mon anus. Il le lèche d’abord doucement puis de plus en plus vite, de manière presque frénétique. Je sens l’orgasme monter en moi. J’accélère le va et vient du gode dans ma chatte alors que lui entre un doigt dans mon cul.
Je laisse alors exploser plaisir en criant, inondant les draps de ma mouille.
Continue avec tes mains, j’aime quand tu te doigtes, me dit-il en retirant le rabbit.
Alors que je commence à me toucher, il enfonce un autre doigt dans mon trou de cul et augmente la puissance de son va et vient. Puis il ressort ses doigts, me lèche à nouveau en retirant son caleçon.
Il enfonce sa queue dans ma chatte pour la lubrifier et m’encule violemment.
Oh putain que j’aime ton cul.
Défonce moi ! J’aime sentir te queue serrée dans mon cul.
Il me pilonne plus fort encore me faisant crier à chaque coup de queue. Puis il se retire et pénètre ma chatte ruisselante. Il passe ses jambes à l’extérieur des miennes.
Serres les jambes ma puce. Et continue de te faire du bien…
Il nous fait alors nous allonger, moi sur le ventre, lui sur moi, sa queue bien serrée dans ma chatte. Il me donne de petits coups de reins bien profonds. Ajoutés à mes doigts sur mon clitoris, je sens arriver un orgasme divin.
J’ai envie que tu gicles dans ma bouche . Ça fait longtemps que j’ai pas eu ta queue au fond de ma gorge, que je l’ai pas sucée…
J’aime quand tu parles comme une petite salope. C’est hyper bandant. J’ai l’impression que ma bite va exploser….
Il me fait mettre au dessus de lui, en position 69 et commence à lécher ma chatte, enfonçant le gode dans mon cul.
Je prends sa queue dans ma main, la caresse, la lèche du bout de ma langue, caresse ses couilles et entoure sa bite de mes lèvres. Je lui fais une pipe langoureuse. Quand je sens son gland gonfler, je le suce plus fort pour le faire jouir. Je sens son sperme couler dans ma gorge. A son tour, il augmente les coups de langue pour me faire jouir et il avale mon jus.
Nous nous allongeons sur le lit, blottis l’un contre l’autre.
Au fait, avec tout ça, tu ne m’as pas raconté ton après-midi chez Sandrine…
Je lui raconte alors dans les moindres détails mes activités avec Léa puis avec Sandrine. C’est avec un plaisir non dissimulé que je le vois bander à nouveau…
Dommage qu’il faille que j’aille chercher les garçons. Je t’aurais bien fait grimper aux rideaux encore une fois après tous ces détails très excitants.
On a tout le temps de se rattraper maintenant. Va chercher tes fils. Ils te manquent. Et tu ne les vois pas beaucoup.
Après s’être rhabillé, il quitte mon appartement.
En début de soirée, il m’envoie un message pour me dire qu’il a son nouveau portable. Il m’envoie aussi une photo de lui avec les garçons en train de manger une glace.
« je vais commencer à leur dire que j’ai quelqu’un dans ma vie. Je sais pas comment leur dire ça… Mathieu n’a aucun souvenir de moi en couple. Il était si petit quand on s’est séparé avec Jess… »
« laisse parler ton cœur. Axel est grand, il comprendra. Quant à Mathieu, tout ça ne voudra pas dire grand-chose pour le moment. Mais tu as raison de leur en parler, de les préparer. Utilise des mots de leur âge et tout va bien se passer… Je t’aime. Et profite bien, ils grandissent vite »
Le soir il me renvoie un message :
« les enfants ont hâte de savoir qui est la mystérieuse amoureuse de papa… je leur ai dit qu’il sauront qui c’est bien assez tôt, mais que j’étais certain qu’ils allaient l’adorer ! Je t’aime. »
Les vacances se passent et je ne me sens pas encore prête à ce que notre relation soit connue de tous. Mais à le jour de la rentrée, à 16 heures, quand je sors du travail, en passant près de l’aire de jeux, je vois Thomas au loin. Les garçons jouent et ne me voient pas. J’aperçois aussi une maman d’élève parler avec Thomas. En m’approcher doucement, j’entends le contenu de la conversation :
Vous savez, c’est vraiment un beau métier pompier… et l’uniforme vous va vraiment bien… vous avez vraiment de beaux enfants, ça ne doit pas être facile tous les jours votre situation de divorcé, il vous faudrait une femme dans la même situation que vous…
Je rêve ou elle le drague ? Mon sang ne fait qu’un tour. Je me dirige d’un pas décidé vers eux. Elle tourne la tête vers moi.
Bonjour Julie, me lance-t-elle.
Je lui réponds à peine et me rapproche encore un peu de Thomas. Je vois dans ses yeux qu’il ne s’attend pas à ce que je vais faire. Je l’embrasse doucement, et il répond à mon baiser. Je tourne satisfaite vers cette maman célibataire, heureuse de voir son visage se décomposer.
Bonne soirée, bredouille-t-elle.
Et elle s’éloigne rapidement.
Désolée, mais quand j’ai vu qu’elle te draguait j’ai eu envie de la fracasser. Je me suis dit que t’embrasser serait plus subtil.
Ne sois pas désolée, c’est ce que j’attends depuis des mois de pouvoir t’embrasser devant tout le monde. Maintenant y a plus qu’à le dire aux garçons. Pour le reste du village je laisse la langue de vipère s’en charger pour nous…
Il appelle Axel et Mathieu pour qu’ils nous rejoignent.
Juliiiiie ! S’écrie Mathieu en courant vers moi.
Il me saute dans les bras alors qu’Axel vient se coller à moins.
Moi aussi je suis contente de vous voir les garçons
Je vois que Thomas a du mal à se lancer. Je l’encourage d’un sourire.
Vous vous souvenez que papa vous a dit qu’il à une amoureuse ? Leur demande-t-il fébrilement.
Ils hochent la tête en même temps.
Ben c’est Julie mon amoureuse…
Trop cool dit Axel.
Et tu vas te marier avec mon papa ? me demande Mathieu.
Heu, ben, je sais pas... peut-être un jour...
Ben moi, quand je serai grand je veux me marier avec toi !
Thomas et moi éclatons de rire.
Je les raccompagne jusque chez Thomas.
Tu passes la nuit la maison ce soir ?
Je passe chez moi chercher des fringues et je viens.
Au final, alors que je voulais que l’on prenne notre temps, j’ai fini par m’installer chez Thomas au bout de 3 semaines seulement, et ce, quoi qu’en disent les mauvaises langues du village.
Toute la journée, les mots de Thomas résonnent dans ma tête : « j’en ai marre de te partager », « mets toi à ma place si une autre femme me touchait comme lui te touche », « si on était officiellement ensemble, tu pourrais les rendre jalouses… ». Si bien que le soir en rentrant, je décide de tout avouer à Romain quand il rentrera à 19 heures.
Romain, je dois te dire un truc…
Oui ma puce, qu’est-ce qu’il y a ?
Je prends mon courage à deux mains et décide de ne pas passer par 4 chemins.
Je vois quelqu’un depuis un moment déjà…
Je sais…
Comment ça tu sais ?
Je sais que tu couches avec Sandrine depuis un moment déjà. Un jour où je rentrais tôt pour te faire une surprise, j’ai vu sa voiture devant l’immeuble et quand je suis arrivé devant la porte d’entrée de l’appartement, je vous ai entendues. Alors je suis parti. Je dois avouer que je trouve ça très bandant de t’imaginer avec une autre femme…
Alors là, je ne m’attendais pas à ça du tout… malgré tout, je me raisonne et continue mes aveux.
Oui mais Sandrine n’est pas la seule… en réalité avec elle c’est un peu particulier, c'est de la curiosité, elle m'apporte ce que seule une femme peut apporter à une autre femme… ce n’est pas de ça dont je voulais te parler.
Il se recule un peu et fronce les sourcils. Je n’ai pas le choix, il fait que j’aille au bout.
Depuis 7 mois, je vois un autre homme. Et c’est plus qu’une histoire de cul… on s’ai…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase : il me colle une gifle monumentale. Je ne veux pas pleurer devant lui. Je me lève et part m’enfermer dans la salle de bains. 5 minutes plus tard, j’entends la porte d’entrée claquer. Je sors et vais m’asseoir sur le canapé. Je prends mon portable pour écrire un message à Thomas, mais y renonce. Je vais attendre qu’il finisse sa garde 1 heure plus tard.
Mais à 20h20, toujours pas de nouvelles. Je m’inquiète un peu : depuis qu’il est entré chez les pompiers, je ne peux m’empêcher de m’imaginer le pire quand il rentre en retard de ses gardes… au moment où je prends mon téléphone pour l’appeler, la porte de l’appartement s’ouvre.
Romain entre, une lèvre en sang.
Qu’est-ce qu’il t’es arrivé ?
Je suis allé régler mes comptes avec ton pompier devant chez lui et il m'a frappé… Putain, un mec qui a 10 ans de plus que toi, 2 gamins, divorcé… si au moins tu avais choisi un mec plus jeune. Mais non, tu as choisi un vieux…
Comment tu sais tout ça de lui ?
Quand t’es partie chialer dans la salle de bains, j’ai regardé dans ton portable et j’ai lu vos messages. Et il ne m'a pas fallu longtemps pour trouver des infos sur le net. Vu qu’il avait envie de se battre je suis allé lui faire cet honneur…
J’attrape mon portable pour essayer d’appeler Thomas.
Pas la peine de lui téléphoner, son portable est mort.
Je saute du canapé, attrape mon sac et pars en courant. Au bout du couloir, j’entends Romain me traiter de traînée.
J’arrive chez Thomas à bout de souffle. Dans les escaliers extérieurs, je vois portable, explosé, sans doute est il tombé pendant qu’ils se tapaient dessus. Je le ramasse.
Je monte les escaliers 3 par 3. Mon cœur rate un battement qand je vois une trace de sang sur la porte.
Thomas ? Tu es là ? je demande en entrant.
Dans la salle de bains, puce.
Je cours pour le rejoindre. Il est penché vers le miroir pour nettoyer son arcade.
Oh merde ! Il t’a pas raté le salaud. Je lui ai tout dit. Je crois qu’il t’a suivi depuis la caserne. Il a lu nos messages dans mon téléphone après que je lui ai dit, quand je suis allée pleurer dans la salle de bains.
Je lui prends la compresse des mains et le fais s’asseoir sur le bord de la baignoire pour nettoyer son arcade et sa lèvre.
Quand je suis sorti de la voiture, j’ai voulu aller prendre mon sac dans le coffre. J’étais en train de t’écrire pour te dire que j’étais rentré. J’ai pas vu le premier coup arriver. Mon portable est tombé et il a marché dessus, je pense qu’il est foutu…
Il t’a fait ça avec un seul coup ?
Non, il m’a mis plusieurs droites… et je l’ai laissé faire. Je le méritais bien. Je me tape sa nana depuis des mois, et j’étais plus qu’insistant pour te convaincre. Je me suis dis qu’à sa place je ferais pareil. Mais quand il m’a pété l’arcade je lui en ai aligné une. Il s’est reculé et il est parti.
Les larmes coulent sur mes joues.
Je t’emmène à l’hôpital bébé, c’est trop ouvert. Il te faut des points je pense.
Mais non, t’inquiète. C’est rien. Et arrête de pleurer, me dit-il en caressant ma joue. T’as quoi à la joue ? Il t'a frappée ?
Oui, c’est rien, il m’a giflée. Je pense que je le méritais aussi…
Je vais le buter de t’avoir fait du mal… on lève pas la main sur une femme…
Arrête de t’énerver, et viens, je t’emmène faire recoudre ça…
Bon gré mal gré, il fini par me donner ses clefs de voiture. Une fois arrivés aux urgences, une infirmière l’emmène voir un médecin. Ce dernier lui fait passer quelques radios pour s’assurer qu’il n’y a rien de grave et lui fait 3 points de suture. 4 heures après notre arrivée, je ramène Thomas chez lui.
Je vais rentrer chez moi finir de mettre un terme à tout ça. Je t’appelle sur le fixe dès que je peux. Repose toi bien.
Quand j’entre dans mon appartement, Romain a récupéré toutes ses affaires. Ses clefs sont posées sur la table de la salle à manger.
Je m’écroule sur le canapé et appelle Thomas.
Il est parti pendant que j’étais pas là…
J’arrive.
Et il raccroche.
Cinq minutes plus tard, je suis dans ses bras.
Je voulais t’avoir pour moi, mais je ne voulais pas que ça se passe comme ça.
Je sais… j’avais pas envie non plus qu’il s’en prenne à toi…
Allez viens, il faut que tu dormes, tu bosses demain. J’appellerai l’hôtel pour annuler nos quelques jours de vacances. On fera ça une autre fois.
Il m’entraîne au lit. Je m’endors presque aussitôt allongée dans le lit.
Quand je me lève, il m’a préparé un petit déjeuner.
Bonjour ma puce. Je me douche et je vais chercher les garçons chez mon ex pour les emmener à l’école. Ça leur fera plaisir de voir leur papa. Je vais voir avec elle si je peux les prendre un peu pendant les vacances même si c’est sa semaine. Ils me manquent...
Ça marche bébé.
10 minutes plus tard, il m’embrasse et part chercher ses fils.
Je le revois en arrivant au boulot. Tous les yeux sont de nouveau tournés vers lui, mais plus pour son uniforme. Aujourd’hui, ce sont les marques sur son visage qui attirent les regards.
Oh là, mais qu’est-ce qu’il vous est arrivé monsieur ? lui demande une enseignante.
Il me lance un regard furtif avant de répondre.
Rien de grave. On est intervenu sur une rixe où un homme a blessé sa compagne, et il a fini de passer ses nerfs sur moi quand on a décidé d’emmener la jeune femme aux urgences. Les risques du métier.
En passant à côté de moi, il me fait un petit clin d’œil.
Dans la matinée Sandrine me questionne.
Il est bien amoché Thomas. Faut pas qu’il se mêle des histoires de couple qui ne le concernent pas…
Celle-ci le concernait…
Devant son air stupéfait, je lui raconte notre soirée de la veille.
C’est pour ça qu’il a l’air aussi content !
Je ne peux m’empêcher de sourire…
Le soir, il m’attend à l’arrière de l’école avec les garçons.
Salut ! me lance-t-il.
Bonjour Monsieur, bonjour les garçons.
Je comprends pas…
D’un signe de tête, je désigne ses fils…
Les garçons, allez jouer à l’aire de jeu. Il faut que je parle avec Julie. J’arrive tout de suite.
Il attend que les enfants ce soient éloignés.
Il y a un problème ?
Oui, enfin non. Mais on peut pas passer de rien à tout d’un coup. Les gens vont dire quoi ? Et tes enfants ?
Je me fous de ce que pense les gens. J’ai plus envie de me cacher. Et les garçons seront ravis que tu fasses partie de leur vie. Ils t’adorent.
Laisse nous un peu de temps. Continuons un peu à nous voir en cachette, juste quelques semaines.
Tu as peut-être raison. Désolé d’avoir voulu précipiter les choses. Mais j’ai tellement hâte de ne plus nous cacher. J’ai les petits pour 4 jours. Je les confie à mes parents lundi, on pourra en profiter pour se voir un peu. Et mardi je les ramène à Jess.
Ça marche, pas de soucis. Puis tu sais où j’habite si tu veux me voir.
Le lendemain après-midi, alors que je sors de la douche, la sonnette retentit. Je vais ouvrir la porte, enroulée dans une serviette, les cheveux humides tombant sur mes épaules.
Thomas se dresse devant moi. Je le fais entrer. J’ai à peine refermé la porte, qu’il me plaque contre cette dernière et m’embrasse.
Où sont les garçons ?
Chez ma sœur. Ils voulaient jouer avec leur cousine. Et ça m’arrangeait bien vu comme j’avais envie de toi. J’ai presque pas fermé l’œil de la nuit. J’avais qu’une envie, c’était de te rejoindre dans ton lit et de te faire l’amour. Ne plus être ton amant mais ton mec !
Disant ces mots, il fait tomber la serviette qui cache mon corps.
T’es tellement belle ma puce.
Il m’embrasse dans le cou, sur les seins, le ventre et descend jusqu’à ma chatte.
Viens, lui dis-je en me dirigeant vers la chambre.
Il ôte ses chaussures en chemin, je m’occupe de lui retirer ton t-shirt et son jeans dans la chambre. Sa queue forme une bosse dans son boxer. J’entreprends de le lui retirer afin de goûter sa bite, mais il m’en empêche. Au lieu ça, il me jette sur le lit et me bande les yeux.
J’ai envie de jouer avec ça, dit-il en caressant ma chatte.
Il commence par passer un doigt délicatement sur chaque partie de mon intimité. Puis je l’entends quitter la pièce, chercher quelque chose à côté et revenir. Il embrasse mon clitoris doucement et soudain la chaleur de ses lèvres laisse place au froid d’un … glaçon ! C’est surprenant, mais extrêmement excitant. Il joue a passer le glaçon sur ma chatte jusqu’à ce qu’il soit presque fondu. Il vient alors m’embrasser pour me donner le glaçon avec sa bouche. Il a le goût sucré ma mouille.
Il redescend entre mes jambes et mordille mon clitoris tout en enfonçant ses doigts en moi. De l’index de son autre main, il joue avec mon anus.
Mets toi en levrette, que je profite de ce cul bien rond.
Alors que je m’exécute, il me donne une fessée qui claque bien. Une vague de chaleur monte jusque dans mes reins. Je gémis doucement. Il me frappe plus fort.
J’ai rien entendu…
Je gémis plus fort.
Il caresse alors mon cul comme pour se faire pardonner.
Soudain, il m’enfonce un rabbit dans la chatte et le met en marche en position maximale.
Occupe toi d’elle pendant que je m’occupe de ton petit trou.
J’obéis et me masturbe alors qu’il commence à lécher mes fesses. Sa langue glisse le long de ma raie et vient trouver mon anus. Il le lèche d’abord doucement puis de plus en plus vite, de manière presque frénétique. Je sens l’orgasme monter en moi. J’accélère le va et vient du gode dans ma chatte alors que lui entre un doigt dans mon cul.
Je laisse alors exploser plaisir en criant, inondant les draps de ma mouille.
Continue avec tes mains, j’aime quand tu te doigtes, me dit-il en retirant le rabbit.
Alors que je commence à me toucher, il enfonce un autre doigt dans mon trou de cul et augmente la puissance de son va et vient. Puis il ressort ses doigts, me lèche à nouveau en retirant son caleçon.
Il enfonce sa queue dans ma chatte pour la lubrifier et m’encule violemment.
Oh putain que j’aime ton cul.
Défonce moi ! J’aime sentir te queue serrée dans mon cul.
Il me pilonne plus fort encore me faisant crier à chaque coup de queue. Puis il se retire et pénètre ma chatte ruisselante. Il passe ses jambes à l’extérieur des miennes.
Serres les jambes ma puce. Et continue de te faire du bien…
Il nous fait alors nous allonger, moi sur le ventre, lui sur moi, sa queue bien serrée dans ma chatte. Il me donne de petits coups de reins bien profonds. Ajoutés à mes doigts sur mon clitoris, je sens arriver un orgasme divin.
J’ai envie que tu gicles dans ma bouche . Ça fait longtemps que j’ai pas eu ta queue au fond de ma gorge, que je l’ai pas sucée…
J’aime quand tu parles comme une petite salope. C’est hyper bandant. J’ai l’impression que ma bite va exploser….
Il me fait mettre au dessus de lui, en position 69 et commence à lécher ma chatte, enfonçant le gode dans mon cul.
Je prends sa queue dans ma main, la caresse, la lèche du bout de ma langue, caresse ses couilles et entoure sa bite de mes lèvres. Je lui fais une pipe langoureuse. Quand je sens son gland gonfler, je le suce plus fort pour le faire jouir. Je sens son sperme couler dans ma gorge. A son tour, il augmente les coups de langue pour me faire jouir et il avale mon jus.
Nous nous allongeons sur le lit, blottis l’un contre l’autre.
Au fait, avec tout ça, tu ne m’as pas raconté ton après-midi chez Sandrine…
Je lui raconte alors dans les moindres détails mes activités avec Léa puis avec Sandrine. C’est avec un plaisir non dissimulé que je le vois bander à nouveau…
Dommage qu’il faille que j’aille chercher les garçons. Je t’aurais bien fait grimper aux rideaux encore une fois après tous ces détails très excitants.
On a tout le temps de se rattraper maintenant. Va chercher tes fils. Ils te manquent. Et tu ne les vois pas beaucoup.
Après s’être rhabillé, il quitte mon appartement.
En début de soirée, il m’envoie un message pour me dire qu’il a son nouveau portable. Il m’envoie aussi une photo de lui avec les garçons en train de manger une glace.
« je vais commencer à leur dire que j’ai quelqu’un dans ma vie. Je sais pas comment leur dire ça… Mathieu n’a aucun souvenir de moi en couple. Il était si petit quand on s’est séparé avec Jess… »
« laisse parler ton cœur. Axel est grand, il comprendra. Quant à Mathieu, tout ça ne voudra pas dire grand-chose pour le moment. Mais tu as raison de leur en parler, de les préparer. Utilise des mots de leur âge et tout va bien se passer… Je t’aime. Et profite bien, ils grandissent vite »
Le soir il me renvoie un message :
« les enfants ont hâte de savoir qui est la mystérieuse amoureuse de papa… je leur ai dit qu’il sauront qui c’est bien assez tôt, mais que j’étais certain qu’ils allaient l’adorer ! Je t’aime. »
Les vacances se passent et je ne me sens pas encore prête à ce que notre relation soit connue de tous. Mais à le jour de la rentrée, à 16 heures, quand je sors du travail, en passant près de l’aire de jeux, je vois Thomas au loin. Les garçons jouent et ne me voient pas. J’aperçois aussi une maman d’élève parler avec Thomas. En m’approcher doucement, j’entends le contenu de la conversation :
Vous savez, c’est vraiment un beau métier pompier… et l’uniforme vous va vraiment bien… vous avez vraiment de beaux enfants, ça ne doit pas être facile tous les jours votre situation de divorcé, il vous faudrait une femme dans la même situation que vous…
Je rêve ou elle le drague ? Mon sang ne fait qu’un tour. Je me dirige d’un pas décidé vers eux. Elle tourne la tête vers moi.
Bonjour Julie, me lance-t-elle.
Je lui réponds à peine et me rapproche encore un peu de Thomas. Je vois dans ses yeux qu’il ne s’attend pas à ce que je vais faire. Je l’embrasse doucement, et il répond à mon baiser. Je tourne satisfaite vers cette maman célibataire, heureuse de voir son visage se décomposer.
Bonne soirée, bredouille-t-elle.
Et elle s’éloigne rapidement.
Désolée, mais quand j’ai vu qu’elle te draguait j’ai eu envie de la fracasser. Je me suis dit que t’embrasser serait plus subtil.
Ne sois pas désolée, c’est ce que j’attends depuis des mois de pouvoir t’embrasser devant tout le monde. Maintenant y a plus qu’à le dire aux garçons. Pour le reste du village je laisse la langue de vipère s’en charger pour nous…
Il appelle Axel et Mathieu pour qu’ils nous rejoignent.
Juliiiiie ! S’écrie Mathieu en courant vers moi.
Il me saute dans les bras alors qu’Axel vient se coller à moins.
Moi aussi je suis contente de vous voir les garçons
Je vois que Thomas a du mal à se lancer. Je l’encourage d’un sourire.
Vous vous souvenez que papa vous a dit qu’il à une amoureuse ? Leur demande-t-il fébrilement.
Ils hochent la tête en même temps.
Ben c’est Julie mon amoureuse…
Trop cool dit Axel.
Et tu vas te marier avec mon papa ? me demande Mathieu.
Heu, ben, je sais pas... peut-être un jour...
Ben moi, quand je serai grand je veux me marier avec toi !
Thomas et moi éclatons de rire.
Je les raccompagne jusque chez Thomas.
Tu passes la nuit la maison ce soir ?
Je passe chez moi chercher des fringues et je viens.
Au final, alors que je voulais que l’on prenne notre temps, j’ai fini par m’installer chez Thomas au bout de 3 semaines seulement, et ce, quoi qu’en disent les mauvaises langues du village.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par July
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire à dormir debout.l auteur fantasme ou bien c est son histoire qu elle raconte et ce n est pas très glorieux le respect pour son mari la fidélité connaît pas en terme général on appel ça une salope.
Encore un beau récit, torride, érotique comme j'aime. Continuez, encore...
Vive la vie, le plaisir
Vive la vie, le plaisir
C'est une belle histoire. Cependant le personnage de Romain a été traité de manière un peu superficielle. Il est transparent dans l'histoire et on a du mal à comprendre sa psychologie. Mais ce n'est peut-être pas important.