Le chemin de l'école, partie 20
Récit érotique écrit par July [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le chemin de l'école, partie 20
Le lendemain matin, en arrivant au travail je croise Thomas. Depuis quelques semaines, il a lâché son travail d’ambulancier au profit d’un poste de sapeur pompier professionnel suite à la réussite du concours. C’est donc en uniforme qu’il dépose Mathieu à l’école avant d’aller prendre sa garde à la caserne. Le petit me saute dans les bras quand il me voit.
T’as vu mon papa comme il est beau et fort avec son uniforme ? Moi aussi je serai pompier quand je serai grand !
Je rougis : c’est vrai qu’il est canon son père avec son uniforme. Je dirais même qu’il est très excitant… si seulement on était seuls… Soudain le désir qui montait en moi laisse place à la jalousie : toutes les mamans de l’école passant dans le couloir le reluque de la tête aux pieds, arrêtant bien leur regard sur son cul bien mis en valeur dans ce pantalon. Je fulmine. Je dépose le petit à côté de son père.
Tu feras un très beau métier alors, et papa et maman pourront être fiers de toi.
Je me redresse et salut Thomas d’un distant « bonne journée monsieur » avant de prendre la direction de ma classe.
Quelques minutes plus tard, je reçois un message de Thomas :« C’était quoi cette réaction avant ? »« Si tu avais vu les regards que toutes ces pouffiasses te lançaient ! Limite la bave coulait de leur bouche… Si j’avais pu les frapper.. ou mieux ! leur rabattre leur caquet en te roulant une pelle… »« Tu vois, si on était officiellement ensemble, elles seraient toutes jalouses de toi parce que tu tapes le pompier le plus sexy et le mieux bâti du village… »« Ça va le melon ? » « Un peu d’humour ne fait de mal à personne  »« C’est vrai… puis c’est loin d’être faux… bien que je n’ai jamais vérifié le matériel de tes collègues… »« Et ça n’arrivera jamais ! Tu vas faire quoi cet après-midi ? »« Je vais chez Sandrine.… »« Très chaud comme programme… j’aimerais bien être une petite souris moi… »« Je te raconterai tout dans le détail. Ce sera un peu différent. Tu as une garde de combien cette fois ? »« 36h. Je sors demain à 20 heures de la caserne. Je t’envoie un message quand je suis à la maison. Comme ça, s'il est pas encore rentré, on peut s’appeler, et pourquoi pas se voir… allez je te laisse. je t’aime ma déesse. »Je range mon portable et la matinée se passe.
A midi, je rentre chez moi prendre une douche et enfiler une tenue plus adéquate avec mes activités de l’après-midi, puis je me dirige vers chez Sandrine.
On commence par discuter avec Léa, sa cousine, de la découverte de notre attirance pour le même sexe puis de la façon dont nous avons franchi le cap. Elle est très curieuse et je la sens bien plus coquine que l’image de petite fille qu’elle essaie de se donner. Sandrine a du se dire la même chose que moi parce qu’elle me regarde en coin, l’œil gourmand. Elle se penche vers moi et commence à m’embrasser, d’abord tendrement, puis plus sauvagement. Elle commence alors à caresser mes seins à travers mon top.
Je jette un œil à Léa et constate qu’elle nous regarde avec envie. Je tire alors Sandrine à moi pour qu’elle me chevauche. Je prends ses fesses dans mes mains en les passant sur sa jupe courte. Je remarque avec plaisir qu’elle porte un string laissant sa peau douce entrer en contact avec mes paumes. Nous nous embrassons longuement puis elle me murmure : «Occupe toi un peu de Léa… je crois qu’elle en meurt d’envie… » puis elle descend de moi, quittant la pièce pour me laisser seule avec la jeune pucelle.
Je lui dis de venir s’asseoir à côté de moi. Elle s’approche timidement mais je vois dans ses yeux qu’elle meurt d’envie de goûter à mes lèvres. Je parcours les quelques centimètres qui nous séparent et pose ma bouche sur la sienne. Je le fais à plusieurs reprises. Je sens qu’elle se détend. J’introduis alors ma langue entre ses lèvres et vais chercher la sienne d’abord doucement. Elle répond tendrement à mon baiser.
J’attrape sa main et la pose sur mon sein. Elle reste immobile. Je pose alors la mienne sur sa poitrine rebondie. Je presse doucement son sein l’invitant à faire de même. Commence alors un jeu de mimétisme : elle reproduit sur moi chaque geste que je fais sur elle. Quand ma main glisse sous sa robe légère, elle se fige. Je la pousse en arrière pour l’allonger sur le canapé. Je remonte un peu les pans de sa robe pour laisser apparaître une culotte en dentelle rouge.
Je caresse ses jambes douces comme du velours, remontant lentement vers son pubis. Je m’allonge à côté d’elle, après avoir ôté mon top. Elle mate avec envie mes seins retenus dans un soutien-gorge rose. Alors que j’approche ma main de son petit minou innocent, je sens sa respiration plus forte sur mes seins mais elle n’ose pas les embrasser.
N’aies pas peur… je suis là pour ça. Pour que tu vois ce que tu aimes faire, qu’on te fasse. Tu peux mettre tes mains, ta bouche, ta langue où tu veux. Dis moi si je fais quelque chose que tu n’aimes pas ou qui te fait mal. Dis moi de quoi tu as envie. Tout ce que je veux, c’est que tu aies plaisir et que tu te découvres...
Je reprends la progression de ma main. Elle fourre sa tête dans mes seins et commence à les embrasser. Elle passe une main dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge avant de me l’enlever pour libérer mes seins. Elle suce un de mes téton. Elle s’y prend plutôt bien.
Je glisse ma main dans sa culotte : sa chatte est déjà trempée. Elle gémit un peu.
Tu peux le mordiller un peu… lui dis-je. C’est très excitant. Je vais te montrer. Enlève tous tes habits.
Elle se lève et entreprend de se déshabiller. Elle est magnifique. Un corps musclé, des seins bien ronds qui tiennent tout seul, un cul rebondi que j’ai envie de fesser, une épilation parfaite qui me donne envie de lui bouffer la chatte sans attendre. Mais je vais prendre mon temps : c’est nouveau pour elle et j’ai envie de profiter un peu de mon statut de professeur. Dommage pour les hommes qu’elle ne soit pas attirée par eux car elle en ferait bander plus d’un.
A mon tour, je retire mes fringues. Je m’assieds sur le canapé et lui dis de venir se mettre à califourchon sur moi. Je sens sa chatte mouillée sur mon pubis. Je commence par caresser ses seins. Elle tend sa poitrine vers moi. Je suce alors son téton droit et malaxe son sein gauche avec ma main droite, la gauche tenant son cul. Je le suce de plus en plus fort. Elle commence à onduler sur moi. Je mordille alors son téton d’abord doucement puis un peu plus fort. Elle gémit et je sens sa chatte mouiller d’avantage.
Cette fille m’excite terriblement de par son manque d’expérience. J’aime ce sentiment de domination que me procure mon savoir.
Elle en redemande. Je m’attaque alors à son autre sein. Quand elle recommence à mouiller, je lui demande de me montrer de quoi elle est capable. On s’allonge alors face à face sur le canapé et elle s’occupe de mes seins. Je sens le désir monter en moi. Je passe alors ma main entre ses jambes et commence à la caresser. Je joue un peu avec ses grandes lèvres, puis les petites et enfin son clitoris. Elle serre ses jambes.
T’inquiète. C’est normal que tu mouilles comme ça. N’en aies pas honte. C’est la preuve que tu prends du plaisir et ça facilite la pénétration. Laisse toi faire. Après ce sera à toi de jouer avec moi…
Je reprends mes caresses et elle se laisse aller au plaisir. J’entre un doigt dans sa chatte, puis un autre et entame un va et vient. Elle gémit.
Je ne te fais pas mal ?
Non, murmure-t-elle. C’est bon…Tu veux qu’on essaye avec un gode ?
Elle hoche la tête en signe d’approbation.
Je vais dans la chambre de Sandrine. Elle est allongée sur son lit, nue, en train de se doigter.
Je m’occupe de toi dès que j’ai fini avec Léa. Dommage que ce soit ta cousine, elle te plairait beaucoup. Une fois décoincée ce sera un putain de coup…C’est pas l’envie qui manque de venir baiser avec vous, mais ça me ferait trop bizarre de ma taper ma cousine… je me réserve pour toi ma petite salope !
Elle m’excite quand elle me parle comme ça.
Je vais embrasser sa chatte avant d’aller chercher le plus petit modèle de gode de sa collection et je vais rejoindre ma pucelle.
Mouillée comme elle est, le gode glisse tout seul dans sa chatte. Je sens une résistance quand il rencontre son hymen intacte. Je vais l’embrasser au moment d’enfoncer le jouet plus profondément dans son intimité. Elle pousse un petit cri qui ressemble plus à du plaisir qu’à de la douleur.
Je suis maintenant curieuse de savoir si elle est vaginale ou clitoridienne. Je continue de la baiser avec le gode encore un peu puis le retire et recommence à titiller son petit bouton gonflé avec mes doigts. Au bout de quelques minutes elle jouit fortement et bruyamment.
Tu viens de vivre ton premier orgasme ma chérie. Et je t’annonce que tu es clitoridienne. C’est pourquoi je suis convaincue que tu vas adorer ce que je vais te faire maintenant.
Je vais placer ma tête entre ses jambes et commence à la lécher. Son corps est immédiatement parcouru de spasmes. Elle jouit une nouvelle fois et je me délecte de son jus.
A son tour elle s’occupe de ma chatte. Elle apprend vite et parvient à me faire jouir.
Va te doucher ma belle, tu as l’air épuisée.
Elle se dirige vers la salle de bains sans un mot. Je rejoins alors Sandrine dans chambre et nous faisons l’amour un long moment.
En début de soirée, je rentre chez moi. Romain n’est pas encore rentré quand je vais me coucher.
T’as vu mon papa comme il est beau et fort avec son uniforme ? Moi aussi je serai pompier quand je serai grand !
Je rougis : c’est vrai qu’il est canon son père avec son uniforme. Je dirais même qu’il est très excitant… si seulement on était seuls… Soudain le désir qui montait en moi laisse place à la jalousie : toutes les mamans de l’école passant dans le couloir le reluque de la tête aux pieds, arrêtant bien leur regard sur son cul bien mis en valeur dans ce pantalon. Je fulmine. Je dépose le petit à côté de son père.
Tu feras un très beau métier alors, et papa et maman pourront être fiers de toi.
Je me redresse et salut Thomas d’un distant « bonne journée monsieur » avant de prendre la direction de ma classe.
Quelques minutes plus tard, je reçois un message de Thomas :« C’était quoi cette réaction avant ? »« Si tu avais vu les regards que toutes ces pouffiasses te lançaient ! Limite la bave coulait de leur bouche… Si j’avais pu les frapper.. ou mieux ! leur rabattre leur caquet en te roulant une pelle… »« Tu vois, si on était officiellement ensemble, elles seraient toutes jalouses de toi parce que tu tapes le pompier le plus sexy et le mieux bâti du village… »« Ça va le melon ? » « Un peu d’humour ne fait de mal à personne  »« C’est vrai… puis c’est loin d’être faux… bien que je n’ai jamais vérifié le matériel de tes collègues… »« Et ça n’arrivera jamais ! Tu vas faire quoi cet après-midi ? »« Je vais chez Sandrine.… »« Très chaud comme programme… j’aimerais bien être une petite souris moi… »« Je te raconterai tout dans le détail. Ce sera un peu différent. Tu as une garde de combien cette fois ? »« 36h. Je sors demain à 20 heures de la caserne. Je t’envoie un message quand je suis à la maison. Comme ça, s'il est pas encore rentré, on peut s’appeler, et pourquoi pas se voir… allez je te laisse. je t’aime ma déesse. »Je range mon portable et la matinée se passe.
A midi, je rentre chez moi prendre une douche et enfiler une tenue plus adéquate avec mes activités de l’après-midi, puis je me dirige vers chez Sandrine.
On commence par discuter avec Léa, sa cousine, de la découverte de notre attirance pour le même sexe puis de la façon dont nous avons franchi le cap. Elle est très curieuse et je la sens bien plus coquine que l’image de petite fille qu’elle essaie de se donner. Sandrine a du se dire la même chose que moi parce qu’elle me regarde en coin, l’œil gourmand. Elle se penche vers moi et commence à m’embrasser, d’abord tendrement, puis plus sauvagement. Elle commence alors à caresser mes seins à travers mon top.
Je jette un œil à Léa et constate qu’elle nous regarde avec envie. Je tire alors Sandrine à moi pour qu’elle me chevauche. Je prends ses fesses dans mes mains en les passant sur sa jupe courte. Je remarque avec plaisir qu’elle porte un string laissant sa peau douce entrer en contact avec mes paumes. Nous nous embrassons longuement puis elle me murmure : «Occupe toi un peu de Léa… je crois qu’elle en meurt d’envie… » puis elle descend de moi, quittant la pièce pour me laisser seule avec la jeune pucelle.
Je lui dis de venir s’asseoir à côté de moi. Elle s’approche timidement mais je vois dans ses yeux qu’elle meurt d’envie de goûter à mes lèvres. Je parcours les quelques centimètres qui nous séparent et pose ma bouche sur la sienne. Je le fais à plusieurs reprises. Je sens qu’elle se détend. J’introduis alors ma langue entre ses lèvres et vais chercher la sienne d’abord doucement. Elle répond tendrement à mon baiser.
J’attrape sa main et la pose sur mon sein. Elle reste immobile. Je pose alors la mienne sur sa poitrine rebondie. Je presse doucement son sein l’invitant à faire de même. Commence alors un jeu de mimétisme : elle reproduit sur moi chaque geste que je fais sur elle. Quand ma main glisse sous sa robe légère, elle se fige. Je la pousse en arrière pour l’allonger sur le canapé. Je remonte un peu les pans de sa robe pour laisser apparaître une culotte en dentelle rouge.
Je caresse ses jambes douces comme du velours, remontant lentement vers son pubis. Je m’allonge à côté d’elle, après avoir ôté mon top. Elle mate avec envie mes seins retenus dans un soutien-gorge rose. Alors que j’approche ma main de son petit minou innocent, je sens sa respiration plus forte sur mes seins mais elle n’ose pas les embrasser.
N’aies pas peur… je suis là pour ça. Pour que tu vois ce que tu aimes faire, qu’on te fasse. Tu peux mettre tes mains, ta bouche, ta langue où tu veux. Dis moi si je fais quelque chose que tu n’aimes pas ou qui te fait mal. Dis moi de quoi tu as envie. Tout ce que je veux, c’est que tu aies plaisir et que tu te découvres...
Je reprends la progression de ma main. Elle fourre sa tête dans mes seins et commence à les embrasser. Elle passe une main dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge avant de me l’enlever pour libérer mes seins. Elle suce un de mes téton. Elle s’y prend plutôt bien.
Je glisse ma main dans sa culotte : sa chatte est déjà trempée. Elle gémit un peu.
Tu peux le mordiller un peu… lui dis-je. C’est très excitant. Je vais te montrer. Enlève tous tes habits.
Elle se lève et entreprend de se déshabiller. Elle est magnifique. Un corps musclé, des seins bien ronds qui tiennent tout seul, un cul rebondi que j’ai envie de fesser, une épilation parfaite qui me donne envie de lui bouffer la chatte sans attendre. Mais je vais prendre mon temps : c’est nouveau pour elle et j’ai envie de profiter un peu de mon statut de professeur. Dommage pour les hommes qu’elle ne soit pas attirée par eux car elle en ferait bander plus d’un.
A mon tour, je retire mes fringues. Je m’assieds sur le canapé et lui dis de venir se mettre à califourchon sur moi. Je sens sa chatte mouillée sur mon pubis. Je commence par caresser ses seins. Elle tend sa poitrine vers moi. Je suce alors son téton droit et malaxe son sein gauche avec ma main droite, la gauche tenant son cul. Je le suce de plus en plus fort. Elle commence à onduler sur moi. Je mordille alors son téton d’abord doucement puis un peu plus fort. Elle gémit et je sens sa chatte mouiller d’avantage.
Cette fille m’excite terriblement de par son manque d’expérience. J’aime ce sentiment de domination que me procure mon savoir.
Elle en redemande. Je m’attaque alors à son autre sein. Quand elle recommence à mouiller, je lui demande de me montrer de quoi elle est capable. On s’allonge alors face à face sur le canapé et elle s’occupe de mes seins. Je sens le désir monter en moi. Je passe alors ma main entre ses jambes et commence à la caresser. Je joue un peu avec ses grandes lèvres, puis les petites et enfin son clitoris. Elle serre ses jambes.
T’inquiète. C’est normal que tu mouilles comme ça. N’en aies pas honte. C’est la preuve que tu prends du plaisir et ça facilite la pénétration. Laisse toi faire. Après ce sera à toi de jouer avec moi…
Je reprends mes caresses et elle se laisse aller au plaisir. J’entre un doigt dans sa chatte, puis un autre et entame un va et vient. Elle gémit.
Je ne te fais pas mal ?
Non, murmure-t-elle. C’est bon…Tu veux qu’on essaye avec un gode ?
Elle hoche la tête en signe d’approbation.
Je vais dans la chambre de Sandrine. Elle est allongée sur son lit, nue, en train de se doigter.
Je m’occupe de toi dès que j’ai fini avec Léa. Dommage que ce soit ta cousine, elle te plairait beaucoup. Une fois décoincée ce sera un putain de coup…C’est pas l’envie qui manque de venir baiser avec vous, mais ça me ferait trop bizarre de ma taper ma cousine… je me réserve pour toi ma petite salope !
Elle m’excite quand elle me parle comme ça.
Je vais embrasser sa chatte avant d’aller chercher le plus petit modèle de gode de sa collection et je vais rejoindre ma pucelle.
Mouillée comme elle est, le gode glisse tout seul dans sa chatte. Je sens une résistance quand il rencontre son hymen intacte. Je vais l’embrasser au moment d’enfoncer le jouet plus profondément dans son intimité. Elle pousse un petit cri qui ressemble plus à du plaisir qu’à de la douleur.
Je suis maintenant curieuse de savoir si elle est vaginale ou clitoridienne. Je continue de la baiser avec le gode encore un peu puis le retire et recommence à titiller son petit bouton gonflé avec mes doigts. Au bout de quelques minutes elle jouit fortement et bruyamment.
Tu viens de vivre ton premier orgasme ma chérie. Et je t’annonce que tu es clitoridienne. C’est pourquoi je suis convaincue que tu vas adorer ce que je vais te faire maintenant.
Je vais placer ma tête entre ses jambes et commence à la lécher. Son corps est immédiatement parcouru de spasmes. Elle jouit une nouvelle fois et je me délecte de son jus.
A son tour elle s’occupe de ma chatte. Elle apprend vite et parvient à me faire jouir.
Va te doucher ma belle, tu as l’air épuisée.
Elle se dirige vers la salle de bains sans un mot. Je rejoins alors Sandrine dans chambre et nous faisons l’amour un long moment.
En début de soirée, je rentre chez moi. Romain n’est pas encore rentré quand je vais me coucher.
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