Le coaching de Léa - 1ère partie
Récit érotique écrit par DMN [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le coaching de Léa - 1ère partie
Trop longtemps sans écrire, Lucie et Tamara (voir mes récits précédents) m’ont quitté peu de temps après que nous ayons commencé à travailler ensemble. Des raisons professionnelles et personnelles m’ont ensuite éloigné de mes travaux de fesseur et en conséquence de mes travaux d’écriture (toutes mes histoires sont réelles).
Alors que la France était en plein cœur de l’hiver, je suis rentré de plusieurs mois de travail à l’étranger. Lucie et Tamara sont parties suite à un différend que nous avons eu, j’ai préféré coupé les ponts avec les 2.
Je suis ensuite partie loin de la France pour le boulot où malheureusement les fessiers féminins n’étaient pas légion. En fait, par moment, ils étaient totalement absents, à mon grand Dam.
A mon retour, j’ai pu bénéficier de plusieurs jours de repos (bien mérités) avant 1 bonne semaine de congés (amplement méritée elle aussi). Quelques heures après avoir repris mes quartiers, j’ai décidé de retourner au garde meuble, le temps a fait son œuvre : Poussière, toiles d’araignées … Je me dégage un peu de place et m’assoie dans le canapé, les souvenirs reviennent, je revois le petit derrière métissé de Tamara se dandiner quand elle est passée sur mes genoux la dernière fois ou encore la fois où Lucie a gouté à la cravache penchée sur le bureau. Soudainement, je trouve cet endroit triste et sinistre. Le lendemain matin, je retourne au garde meuble avec tout le nécessaire pour redonner à ce lieu ce charme qui m’avait tant plu quand j’avais commencé.
Après plusieurs heures de lutte contre la poussière, les araignées et toute sorte de bêtes aussi charmantes les unes que les autres, mon « bureau » retrouve son allure d’antan. D’autant plus qu’en nettoyant, j’ai laissé mon esprit vagabonder et j’en suis venu à repenser à mes jumelles préférées :Emilie et Léa (Voir ma toute première série)Me rappelant les très bons souvenirs de ces moments, je contacte d’abord Léa, qui m’apprend qu’elle a rompu avec Akira. Je lui propose de venir passer quelques jours chez moi sachant qu’elle est en vacances. Elle me répond en rigolant qu’elle sera en pleines révisions pour ses exams et qu’elle aura potentiellement besoin d’un coach (le hasard fait bien les choses). Je contacte ensuite Emilie qui accepte de venir mais seulement 2 semaines plus tard en raison de sa période de vacances.
Je remets donc tout le matériel en poste (je l’avais rangé quelques temps avant mon départ) en me jurant qu’à elles 2, les jumelles vont utiliser tout le matériel ressorti.
Quelques jours plus tard, c’est une Léa bien changée que je vois descendre du train, outre la taille et les cheveux, ses formes ont évolué et je dois dire que je la trouve plus belle que jamais. Elle me saute au coup et me serre à m’en broyer les cervicales, elle a bien pris au niveau biceps.
Sur le chemin qui nous ramène à la maison, nous discutons : Sa rupture avec Akira, les relations qu’elle entretient avec sa sœur (qui, je le rappelle, sont assez importantes), ses études…Nous avons passé la soirée chez moi sans que rien ne se produise, elle était assez fatiguée. De plus, je l’avais averti qu’une surprise l’attendait le lendemain (elle ne connaissait pas l’existence du garde meuble).
Le lendemain, nous partons de bonne heure vers le garde meuble, à peine assise dans la voiture, je lui bande les yeux, je veux que la surprise soit complète.
On dirait Rendez-vous en Terre Inconnue, me dit-elle, c’est plus ou moins ça.
Nous prenons la route et arrivons une vingtaine de minutes plus tard devant le bâtiment. Nous entrons dans le hangar, Léa les yeux toujours bandés, et le traversons pour arriver devant la porte de mon box.
J’ouvre et referme la porte, écarte les piles de carton, allume la lumière et nous glisse dans la partie que j’ai ‘’masqué’’ derrière mon amoncellement de cartons et les rideaux que j’ai installé.
Je guide Léa vers le canapé et la dépose sur celui-ci, la recouvre de la couverture que j’ai emmené à cet effet et allume le chauffage électrique avant de la rejoindre sur le canapé. Je lui enlève son bandeau, elle est surprise et me demande où nous sommes, je lui explique. Le temps que le radiateur fasse son oeuvre, elle en reste sur son joli petit cul. Arrivés à une température agréable, nous enlevons manteaux et couvertures. J’ouvre la petite table devant nous pour y dévoiler le matériel, je vois avec plaisir ma mignonne petite Léa rougir en voyant le paddle et la spatule.
Je lui indique déjà qu’elle va d’ores et déjà gouter à la cravache pour n’avoir pas emmené ses affaires de cours avec elle ce matin (affaires que j’ai pris la liberté de prendre avec moi, voyant la demoiselle partir avec pour tout bagage son sac à main). Elle baisse les yeux, elle est magnifique dans son jean slim et son pull en cachemire, je la mets au coin et baisse son pantalon pour y découvrir un petit string en dentelle rouge vif enfoui entre ses 2 globes fessiers. Tandis qu’elle marine dans son coin, je prends ses affaires et les mets en place dans les tiroirs du bureau. 10 minutes plus tard, je lui enlève complètement son pantalon et l’amène sur mes genoux, là, dans la plus élémentaire des positions, je commence à claquer ses belles fesses, de plus en plus vite, de plus en plus fort, le bruit des claques résonne dans la pièce sans pouvoir sans échapper puisque les box sont insonorisés (un des critères pour lesquels j’ai choisi ce garde meuble). La correction à la main dure depuis maintenant près de 10 minutes, la main brulante, je redresse Léa et la conduit vers le bureau, ou elle se couche en position « bend-over ». J’abaisse maintenant son petit string et y aperçoit entre ses cuisses ouvertes un petit abricot que j’ai plaisir à retrouver après tout ce temps. La cravache siffle avant de claquer ses fesses, elle gémit et gesticule son petit cul à chaque coup, la bosse dans mon pantalon est conséquente à l’érotisme du moment, c’est-à-dire imposante.
Je relève la demoiselle, lui remet son string mais sans pour autant lui rendre son pantalon. Elle est sublime dans cette tenue. J’ouvre alors un des tiroirs, elle y voit ses cahiers et autres affaires de cours et sourit timidement.
Je lui demande alors de me donner son relevé de notes du premier semestre, j’ai le grand plaisir d’y voir des résultats tout ce qu’il y a de plus convenable sauf dans 2 ou 3 matières où elle est limite – limite. Néanmoins, sa moyenne générale s’élève à plus de 13 sur 20 ce qui est honorable pour une demoiselle en études supérieures. Je la fais assoir dans le canapé, lui rends son bulletin et lui demande de me lire les commentaires de ses formateurs lentement et à haute et intelligible voix. Elle commence à lire et moi je commence à la caresser. Je lui ôte son cachemire et son top (heureusement qu’il y a un chauffage) et la demoiselle se retrouve en sous-vêtements, son 90B bien calé dans le soutien-gorge assorti à son petit string. Je continue à la masser et la caresser tandis qu’elle continue de me faire la lecture. Son soutif est dégrafé tout en délicatesse et les bretelles glissent le long de ses épaules nues, ses tétons pointent, froid ou désir ? Je descends ma main gauche vers sa chatte soigneusement épilée, tandis que la droite reste sur sa poitrine à stimuler cette belle paire de seins, et me rend compte que ma petite coquine est toute émoustillée par ce que je suis en train de lui faire.
Au fur et à mesure de mes caresses, sa voix devient plus haletante, son souffle s’accélère, je lâche sa poitrine et fais descendre mes deux mains vers son entrejambe.
Je glisse ces dernières sous le string de la miss et les lance à l’assaut de son Mont de Vénus, elle parvient à grand peine à terminer sa lecture. Je pense qu’elle n’avait jamais imaginé que la lecture d’un bulletin de notes pouvait être aussi excitante. J’avoue que moi non plus.
Elle repose son papier, je fais tomber le dernier rempart et ma Léa se retrouve dans la magnifique tenue d’Eve qui lui va si bien. Elle s’allonge sur le canapé tandis que je m’accroupis et que je commence un long cunnilingus. Ma langue tourne, retourne, cercle sur cette magnifique chatte dont la propriétaire gémit. Au bout de quelques minutes, je sens une comme une onde se propager dans tout son corps et un petit cri de soulagement, je me redresse et commence à la masturber. Je ne lui laisse aucun répit et elle a un 2ème orgasme quelques minutes plus tard. A l’issue de ce dernier orgasme, je sens une main se poser entre mes jambes et remonter vers mes couilles (pas vidées depuis un certain temps). Elle dézippe la fermeture éclair et fait sauter la fermeture éclair de mon jean. Nous nous mettons alors en 69 et je sens sa bouche se refermer sur ma bite et sa langue commencer à l’astiquer divinement. Je sens à un moment que la pression monte et me retire, je ne tiens pas à finir comme ça.
J’enfile une capote, enlève ce qu’il me reste de vêtements, relève les jambes de Léa et m’enfonce délicatement dans sa caverne aux merveilles. Je commence à la baiser, alternant pleine puissance et vitesse réduite, elle vient à en jouir une nouvelle fois, son orgasme déclenche le mien, mes boules se vident enfin pour la première fois depuis des mois. Je me retire et vire la capote. La miss se met à 4 pattes sur le canapé et me reprend en bouche, elle met tellement de cœur à l’ouvrage que mon vit est de nouveau opérationnel en 5 minutes, je passe derrière elle et commence à la pistonner en levrette, position que nous affectionnons elle et moi. Je profite de cette situation pour verser un peu de lubrifiant sur son anus, que je commence à travailler dans la foulée. Devant, ma belle mord un coussin pour ne pas hurler. Je continue pendant un long moment à un rythme très soutenu jusqu’à un nouvel orgasme de sa part. Je retire une nouvelle fois mon arme de sa belle chatte et glisse quelques centimètres plus haut dans sa raie. Je présente ma bite à l’entrée des artistes et rentre sans frapper. Léa pousse un petit cri, il est vrai que son petit cul est plutôt étroit, donc vitesse limitée.
Je commence une série de vas et viens qui accélère progressivement jusqu’à atteindre la même vitesse que précédemment en zone conventionnelle. Nous jouissons simultanément.
Nous restons enlacer un long moment, la demoiselle est ravie, je lui dis que si j’estime que son travail est bien fait, elle va vivre de très bons moments tout au long de ces quelques jours. En revanche, je lui promets les pires punitions si elle ne me donne pas entière satisfaction. Le marché lui convient.
Comme il n’est pas loin de midi et que nos activités nous ont fait perdre quelques calories, nous sortons déjeuner. Nous discutons et je lui indique le programme pour les jours à venir, programme alléchant.
Nous terminons de manger et retournons au garde meuble, toujours désert (et heureusement) et nous remettons à l’ouvrage. Je donne à la miss quelques exercices dans toutes les matières qu’elle étudie pour mieux définir le travail à faire. 1h durant, elle planche dessus, tandis que de mon côté, je sors tout le matériel et j’y ajoute mes derniers achats : - 1 nouveau paddle, l’ancien s’est fendu un jour où j’ai corrigé Tamara - Une paire de menottes- Un baillon boule (En cas de grosse punition)- Un plug anal de grosse dimension- Des capotes à n’en plus finirChaque instrument est nettoyé, les nouveaux sont désinfectés (par sécurité) avant d’être rangé dans le coffre.
Le minuteur sonne, Léa s’arrête, me rend ses feuilles et vient s’assoir à mes côtés.
Je lui présente les nouveaux arrivants de ma collection, elle se questionne vis-à-vis du plug qu’elle trouve énorme et des menottes.
Je lui explique que le plug sera là pour la punir si elle a un très mauvais résultat, je la fesserai avec le paddle, le plug enfoncé à fond dans son cul. L’utilisation des menottes est toute indiquée.
Je prends ses cours et commence à corriger sa copie. Du fait de ses bons résultats tout au long de l’année, je choisis d’être extrêmement rigoureux dans les matières où elle s’en sort bien et un peu plus souple là où elle est en difficulté. Je sanctionne un certain nombre de fautes ‘’bêtes’’, jusqu’à son dernier feuillet où c’est une véritable hécatombe.
Du coup, sa note finale plonge, elle arrive à 10.5. Suffisant pour avoir son examen mais sans aucune marge de sécurité. Je lui demande de me donner ses cours dans la matière, j’ouvre son cahier et voit des cours très complets où tout ce que je lui ai demandé est écrit. D’un regard, elle comprend et va se mettre immédiatement au coin, mains sur la tête. J’ouvre le coffre et en sors la tong et la règle, que je cache, pour l’empêcher de voir ce qui l’attend. Je vais jusqu’au coin et lui dis que je n’accepte pas d’aussi mauvais résultats quand les cours sont écrits noir sur blanc et que c’est du par cœur. Elle hoche la tête en silence. A défaut de l’attraper par l’oreille, je décide d’innover un peu. Je plonge ma main dans son jean, attrape son string au niveau de ses fesses et le relève, son petit sous vêtement remonte dans sa chatte et son cul, je l’emmène ainsi jusqu’au canapé, elle est obligée de marcher sur la pointe des pieds tant je tiens son string haut.
Je m’assois et elle vient sur mes genoux, je commence à frapper avec force sur son jean, durant 5 minutes, elle ne moufte pas, je la relève et enlève complètement son jean. Je la recouche sur mes genoux et je recommence mais cette fois-ci avec la tong, elle commence à gesticuler, elle cherche à sauver ses miches ; c’est inutile. Je frappe pendant 15 bonnes minutes avant de la relever à nouveau, ses yeux brillent de larmes et son mascara coule.
Elle me voit sortir le bâillon boule et blêmit. Je lui enfile, abaisse son string et la remets immédiatement en position. Je dépose la tong devant ses yeux, je la sens perplexe et inquiète, si je lâche la tong, qui lui a fait très mal, qu’est ce qui l’attend maintenant ?
Le premier coup de règle qui s’abat sur son petit cul la fait sursauter et je perçois un cri au travers de son baillon, je frappe encore, encore et encore. Chaque coup arrache soit un gémissement soit un cri à la miss, ça doit vraiment faire mal, je vois des larmes tomber à terreJe m’arrête quelques minutes plus tard, les fesses de Léa sont cramoisies, elle se relève, le visage en larmes, les cheveux défaits, elle est incroyablement sexy. Elle retourne au coin, la scène est érotique à souhait.
Je range la pièce, fais revenir Léa et lui indique ce que j’attends d’elle pour le lendemain.
Nous quittons le garde – meuble et rentrons chez moi.
La suite bientôt …
PS : Si l’histoire vous a plu ou que vous avez des observations à formuler, n’hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir.
Si vous préférez la voie privée, dmnmaitrefesseur@gmail.com (Tout contenu intempestif sera traité à ma façon !!!)
Alors que la France était en plein cœur de l’hiver, je suis rentré de plusieurs mois de travail à l’étranger. Lucie et Tamara sont parties suite à un différend que nous avons eu, j’ai préféré coupé les ponts avec les 2.
Je suis ensuite partie loin de la France pour le boulot où malheureusement les fessiers féminins n’étaient pas légion. En fait, par moment, ils étaient totalement absents, à mon grand Dam.
A mon retour, j’ai pu bénéficier de plusieurs jours de repos (bien mérités) avant 1 bonne semaine de congés (amplement méritée elle aussi). Quelques heures après avoir repris mes quartiers, j’ai décidé de retourner au garde meuble, le temps a fait son œuvre : Poussière, toiles d’araignées … Je me dégage un peu de place et m’assoie dans le canapé, les souvenirs reviennent, je revois le petit derrière métissé de Tamara se dandiner quand elle est passée sur mes genoux la dernière fois ou encore la fois où Lucie a gouté à la cravache penchée sur le bureau. Soudainement, je trouve cet endroit triste et sinistre. Le lendemain matin, je retourne au garde meuble avec tout le nécessaire pour redonner à ce lieu ce charme qui m’avait tant plu quand j’avais commencé.
Après plusieurs heures de lutte contre la poussière, les araignées et toute sorte de bêtes aussi charmantes les unes que les autres, mon « bureau » retrouve son allure d’antan. D’autant plus qu’en nettoyant, j’ai laissé mon esprit vagabonder et j’en suis venu à repenser à mes jumelles préférées :Emilie et Léa (Voir ma toute première série)Me rappelant les très bons souvenirs de ces moments, je contacte d’abord Léa, qui m’apprend qu’elle a rompu avec Akira. Je lui propose de venir passer quelques jours chez moi sachant qu’elle est en vacances. Elle me répond en rigolant qu’elle sera en pleines révisions pour ses exams et qu’elle aura potentiellement besoin d’un coach (le hasard fait bien les choses). Je contacte ensuite Emilie qui accepte de venir mais seulement 2 semaines plus tard en raison de sa période de vacances.
Je remets donc tout le matériel en poste (je l’avais rangé quelques temps avant mon départ) en me jurant qu’à elles 2, les jumelles vont utiliser tout le matériel ressorti.
Quelques jours plus tard, c’est une Léa bien changée que je vois descendre du train, outre la taille et les cheveux, ses formes ont évolué et je dois dire que je la trouve plus belle que jamais. Elle me saute au coup et me serre à m’en broyer les cervicales, elle a bien pris au niveau biceps.
Sur le chemin qui nous ramène à la maison, nous discutons : Sa rupture avec Akira, les relations qu’elle entretient avec sa sœur (qui, je le rappelle, sont assez importantes), ses études…Nous avons passé la soirée chez moi sans que rien ne se produise, elle était assez fatiguée. De plus, je l’avais averti qu’une surprise l’attendait le lendemain (elle ne connaissait pas l’existence du garde meuble).
Le lendemain, nous partons de bonne heure vers le garde meuble, à peine assise dans la voiture, je lui bande les yeux, je veux que la surprise soit complète.
On dirait Rendez-vous en Terre Inconnue, me dit-elle, c’est plus ou moins ça.
Nous prenons la route et arrivons une vingtaine de minutes plus tard devant le bâtiment. Nous entrons dans le hangar, Léa les yeux toujours bandés, et le traversons pour arriver devant la porte de mon box.
J’ouvre et referme la porte, écarte les piles de carton, allume la lumière et nous glisse dans la partie que j’ai ‘’masqué’’ derrière mon amoncellement de cartons et les rideaux que j’ai installé.
Je guide Léa vers le canapé et la dépose sur celui-ci, la recouvre de la couverture que j’ai emmené à cet effet et allume le chauffage électrique avant de la rejoindre sur le canapé. Je lui enlève son bandeau, elle est surprise et me demande où nous sommes, je lui explique. Le temps que le radiateur fasse son oeuvre, elle en reste sur son joli petit cul. Arrivés à une température agréable, nous enlevons manteaux et couvertures. J’ouvre la petite table devant nous pour y dévoiler le matériel, je vois avec plaisir ma mignonne petite Léa rougir en voyant le paddle et la spatule.
Je lui indique déjà qu’elle va d’ores et déjà gouter à la cravache pour n’avoir pas emmené ses affaires de cours avec elle ce matin (affaires que j’ai pris la liberté de prendre avec moi, voyant la demoiselle partir avec pour tout bagage son sac à main). Elle baisse les yeux, elle est magnifique dans son jean slim et son pull en cachemire, je la mets au coin et baisse son pantalon pour y découvrir un petit string en dentelle rouge vif enfoui entre ses 2 globes fessiers. Tandis qu’elle marine dans son coin, je prends ses affaires et les mets en place dans les tiroirs du bureau. 10 minutes plus tard, je lui enlève complètement son pantalon et l’amène sur mes genoux, là, dans la plus élémentaire des positions, je commence à claquer ses belles fesses, de plus en plus vite, de plus en plus fort, le bruit des claques résonne dans la pièce sans pouvoir sans échapper puisque les box sont insonorisés (un des critères pour lesquels j’ai choisi ce garde meuble). La correction à la main dure depuis maintenant près de 10 minutes, la main brulante, je redresse Léa et la conduit vers le bureau, ou elle se couche en position « bend-over ». J’abaisse maintenant son petit string et y aperçoit entre ses cuisses ouvertes un petit abricot que j’ai plaisir à retrouver après tout ce temps. La cravache siffle avant de claquer ses fesses, elle gémit et gesticule son petit cul à chaque coup, la bosse dans mon pantalon est conséquente à l’érotisme du moment, c’est-à-dire imposante.
Je relève la demoiselle, lui remet son string mais sans pour autant lui rendre son pantalon. Elle est sublime dans cette tenue. J’ouvre alors un des tiroirs, elle y voit ses cahiers et autres affaires de cours et sourit timidement.
Je lui demande alors de me donner son relevé de notes du premier semestre, j’ai le grand plaisir d’y voir des résultats tout ce qu’il y a de plus convenable sauf dans 2 ou 3 matières où elle est limite – limite. Néanmoins, sa moyenne générale s’élève à plus de 13 sur 20 ce qui est honorable pour une demoiselle en études supérieures. Je la fais assoir dans le canapé, lui rends son bulletin et lui demande de me lire les commentaires de ses formateurs lentement et à haute et intelligible voix. Elle commence à lire et moi je commence à la caresser. Je lui ôte son cachemire et son top (heureusement qu’il y a un chauffage) et la demoiselle se retrouve en sous-vêtements, son 90B bien calé dans le soutien-gorge assorti à son petit string. Je continue à la masser et la caresser tandis qu’elle continue de me faire la lecture. Son soutif est dégrafé tout en délicatesse et les bretelles glissent le long de ses épaules nues, ses tétons pointent, froid ou désir ? Je descends ma main gauche vers sa chatte soigneusement épilée, tandis que la droite reste sur sa poitrine à stimuler cette belle paire de seins, et me rend compte que ma petite coquine est toute émoustillée par ce que je suis en train de lui faire.
Au fur et à mesure de mes caresses, sa voix devient plus haletante, son souffle s’accélère, je lâche sa poitrine et fais descendre mes deux mains vers son entrejambe.
Je glisse ces dernières sous le string de la miss et les lance à l’assaut de son Mont de Vénus, elle parvient à grand peine à terminer sa lecture. Je pense qu’elle n’avait jamais imaginé que la lecture d’un bulletin de notes pouvait être aussi excitante. J’avoue que moi non plus.
Elle repose son papier, je fais tomber le dernier rempart et ma Léa se retrouve dans la magnifique tenue d’Eve qui lui va si bien. Elle s’allonge sur le canapé tandis que je m’accroupis et que je commence un long cunnilingus. Ma langue tourne, retourne, cercle sur cette magnifique chatte dont la propriétaire gémit. Au bout de quelques minutes, je sens une comme une onde se propager dans tout son corps et un petit cri de soulagement, je me redresse et commence à la masturber. Je ne lui laisse aucun répit et elle a un 2ème orgasme quelques minutes plus tard. A l’issue de ce dernier orgasme, je sens une main se poser entre mes jambes et remonter vers mes couilles (pas vidées depuis un certain temps). Elle dézippe la fermeture éclair et fait sauter la fermeture éclair de mon jean. Nous nous mettons alors en 69 et je sens sa bouche se refermer sur ma bite et sa langue commencer à l’astiquer divinement. Je sens à un moment que la pression monte et me retire, je ne tiens pas à finir comme ça.
J’enfile une capote, enlève ce qu’il me reste de vêtements, relève les jambes de Léa et m’enfonce délicatement dans sa caverne aux merveilles. Je commence à la baiser, alternant pleine puissance et vitesse réduite, elle vient à en jouir une nouvelle fois, son orgasme déclenche le mien, mes boules se vident enfin pour la première fois depuis des mois. Je me retire et vire la capote. La miss se met à 4 pattes sur le canapé et me reprend en bouche, elle met tellement de cœur à l’ouvrage que mon vit est de nouveau opérationnel en 5 minutes, je passe derrière elle et commence à la pistonner en levrette, position que nous affectionnons elle et moi. Je profite de cette situation pour verser un peu de lubrifiant sur son anus, que je commence à travailler dans la foulée. Devant, ma belle mord un coussin pour ne pas hurler. Je continue pendant un long moment à un rythme très soutenu jusqu’à un nouvel orgasme de sa part. Je retire une nouvelle fois mon arme de sa belle chatte et glisse quelques centimètres plus haut dans sa raie. Je présente ma bite à l’entrée des artistes et rentre sans frapper. Léa pousse un petit cri, il est vrai que son petit cul est plutôt étroit, donc vitesse limitée.
Je commence une série de vas et viens qui accélère progressivement jusqu’à atteindre la même vitesse que précédemment en zone conventionnelle. Nous jouissons simultanément.
Nous restons enlacer un long moment, la demoiselle est ravie, je lui dis que si j’estime que son travail est bien fait, elle va vivre de très bons moments tout au long de ces quelques jours. En revanche, je lui promets les pires punitions si elle ne me donne pas entière satisfaction. Le marché lui convient.
Comme il n’est pas loin de midi et que nos activités nous ont fait perdre quelques calories, nous sortons déjeuner. Nous discutons et je lui indique le programme pour les jours à venir, programme alléchant.
Nous terminons de manger et retournons au garde meuble, toujours désert (et heureusement) et nous remettons à l’ouvrage. Je donne à la miss quelques exercices dans toutes les matières qu’elle étudie pour mieux définir le travail à faire. 1h durant, elle planche dessus, tandis que de mon côté, je sors tout le matériel et j’y ajoute mes derniers achats : - 1 nouveau paddle, l’ancien s’est fendu un jour où j’ai corrigé Tamara - Une paire de menottes- Un baillon boule (En cas de grosse punition)- Un plug anal de grosse dimension- Des capotes à n’en plus finirChaque instrument est nettoyé, les nouveaux sont désinfectés (par sécurité) avant d’être rangé dans le coffre.
Le minuteur sonne, Léa s’arrête, me rend ses feuilles et vient s’assoir à mes côtés.
Je lui présente les nouveaux arrivants de ma collection, elle se questionne vis-à-vis du plug qu’elle trouve énorme et des menottes.
Je lui explique que le plug sera là pour la punir si elle a un très mauvais résultat, je la fesserai avec le paddle, le plug enfoncé à fond dans son cul. L’utilisation des menottes est toute indiquée.
Je prends ses cours et commence à corriger sa copie. Du fait de ses bons résultats tout au long de l’année, je choisis d’être extrêmement rigoureux dans les matières où elle s’en sort bien et un peu plus souple là où elle est en difficulté. Je sanctionne un certain nombre de fautes ‘’bêtes’’, jusqu’à son dernier feuillet où c’est une véritable hécatombe.
Du coup, sa note finale plonge, elle arrive à 10.5. Suffisant pour avoir son examen mais sans aucune marge de sécurité. Je lui demande de me donner ses cours dans la matière, j’ouvre son cahier et voit des cours très complets où tout ce que je lui ai demandé est écrit. D’un regard, elle comprend et va se mettre immédiatement au coin, mains sur la tête. J’ouvre le coffre et en sors la tong et la règle, que je cache, pour l’empêcher de voir ce qui l’attend. Je vais jusqu’au coin et lui dis que je n’accepte pas d’aussi mauvais résultats quand les cours sont écrits noir sur blanc et que c’est du par cœur. Elle hoche la tête en silence. A défaut de l’attraper par l’oreille, je décide d’innover un peu. Je plonge ma main dans son jean, attrape son string au niveau de ses fesses et le relève, son petit sous vêtement remonte dans sa chatte et son cul, je l’emmène ainsi jusqu’au canapé, elle est obligée de marcher sur la pointe des pieds tant je tiens son string haut.
Je m’assois et elle vient sur mes genoux, je commence à frapper avec force sur son jean, durant 5 minutes, elle ne moufte pas, je la relève et enlève complètement son jean. Je la recouche sur mes genoux et je recommence mais cette fois-ci avec la tong, elle commence à gesticuler, elle cherche à sauver ses miches ; c’est inutile. Je frappe pendant 15 bonnes minutes avant de la relever à nouveau, ses yeux brillent de larmes et son mascara coule.
Elle me voit sortir le bâillon boule et blêmit. Je lui enfile, abaisse son string et la remets immédiatement en position. Je dépose la tong devant ses yeux, je la sens perplexe et inquiète, si je lâche la tong, qui lui a fait très mal, qu’est ce qui l’attend maintenant ?
Le premier coup de règle qui s’abat sur son petit cul la fait sursauter et je perçois un cri au travers de son baillon, je frappe encore, encore et encore. Chaque coup arrache soit un gémissement soit un cri à la miss, ça doit vraiment faire mal, je vois des larmes tomber à terreJe m’arrête quelques minutes plus tard, les fesses de Léa sont cramoisies, elle se relève, le visage en larmes, les cheveux défaits, elle est incroyablement sexy. Elle retourne au coin, la scène est érotique à souhait.
Je range la pièce, fais revenir Léa et lui indique ce que j’attends d’elle pour le lendemain.
Nous quittons le garde – meuble et rentrons chez moi.
La suite bientôt …
PS : Si l’histoire vous a plu ou que vous avez des observations à formuler, n’hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir.
Si vous préférez la voie privée, dmnmaitrefesseur@gmail.com (Tout contenu intempestif sera traité à ma façon !!!)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire très excitante à lire. J'attends la suite avec impatience.