Titre de l'histoire érotique : Emilie et Tamara, Premières fessées

- Par l'auteur HDS DMN -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Emilie et Tamara, Premières fessées Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Emilie et Tamara, Premières fessées
Je lis rapidement les quelques lignes écrites par Lucie, un vrai condensé de haine et de rage. Celle-ci m’en veut affreusement de l’avoir dégagé de ma vie, d’avoir repris Tamara avec moi, et surtout, de l’avoir décrédibilisé auprès des parents de celle-ci. Bref, sa jalousie sans borne l’a poussé à faire une sacrée connerie, j’ai à peine le temps de planquer la lettre que les filles me rejoignent avec un gendarme.
Nous ressortons du bâtiment, Emilie et moi retournons dans ma voiture, tandis que Tam discute avec le gendarme. J’en profite pour lui expliquer le pourquoi du comment. Emilie est passablement en colère et déclare, je cite, que « Si elle a la mauvaise idée de s’en prendre directement à moi, elle pourra dire adieu à ses dents ». Au vu du gabarit d’Emilie, je lui fais remarquer qu’elle serait plutôt perdante vis-à-vis de Lucie en cas de confrontation directe et physique.
Sans un mot, elle sort son téléphone et me montre la photo d’un trophée de Kick Boxing, je reste bouche bée. La miss s’est mise à cette discipline 1 an et demi auparavant et elle s’est découvert un certain talent.
La dépanneuse arrive et Tamara voit partir sur un plateau ce qu’il reste de sa voiture. Elle fulmine, je la ramène chez elle et sur le chemin, lui tends la lettre, elle fulmine encore plus.
Je la dépose chez elle, Emilie et moi rentrons à la maison, nous ne ferons rien ce soir.
Le lendemain, je me lève de bon matin et commence à préparer le petit déjeuner, Tamara m’informe par texto qu’elle va déposer plainte dans la matinée et qu’elle nous rejoindra juste après au garde meuble.
Emilie rentre au même moment, je recrache mon café sur le coup.
Elle est encore en nuisette et est juste à tomber. Ses petits seins sont bordés d’un liseré de dentelle, et le vêtement redescend vers son bas ventre. Elle passe devant moi en se déhanchant et je vois que l’arrière du vêtement lui rentre légèrement dans les fesses. Elle ferait bander un eunuque tant elle est sexy. Quand elle revient devant moi, elle est morte de rire.
Elle n’a pas le temps de s’assoir que je la mets déjà sur mes genoux et lui claque doucement le derrière, elle ne moufte pas. Durant quelques minutes, j’alterne caresses et claques. Avoir ce magnifique fessier dans une pareille tenue sous le nez ne me laisse pas insensible et en quelques minutes, l’ami Popaul est debout. La miss se relève et ni une ni deux, dézippe mon pantalon et sans plus de cérémonie gobe ma bite.
Elle sait y faire et tandis qu’elle s’active sur mon vit, je descends mon bras jusqu’à sa chatte et pince légèrement son clito au travers de sa nuisette avant de commencer à le titiller. L’excitation fait vite son œuvre et je me vide ainsi dans la bouche accueillante d’Emilie tandis qu’elle jouit sous l’action de mes doigts. Je n’ai même pas fini mon café que mes couilles sont déjà allégées.
Dès le petit-déjeuner terminé, nous partons au garde meuble. La miss n’y est jamais entrée, ce sera son baptême du feu. Nous arrivons et je vois sur le parking 2 techniciens poser des caméras de surveillance. Le propriétaire n’a pas trainé.
En entrant dans le box, Emilie est surprise de l’aménagement. Nous nous asseyons dans le canapé et je prends le bulletin de la miss. Je le relis attentivement et nous parlons de ce qu’il y aura à accomplir. Quelques minutes plus tard arrive Tamara, elle entre sans frapper et claque bruyamment la porte, nous faisant sursauter Emilie et moi. Je me lève d’entrée et avant qu’elle n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je la retourne et lui balance une énorme claque sur le cul, lui arrachant un cri de surprise. Je lui rappelle qu’en règle générale, on frappe avant d’entrer (dans tous les sens du terme, bien sûr).
Elle me répond qu’elle est juste à bout de nerfs parce que les flics ont uniquement pris la plainte contre X et pas contre Lucie car la jalousie n’est pas une preuve (termes de l’agent).
Je tends à Emilie un ensemble de feuilles et elle s’installe au bureau tandis que Tamara, bien énervée, sort ses cours pour réviser. Je suis globalement satisfait de son travail, elle commence à comprendre les développements que demandent ses profs et il y a du mieux. Alors qu’Emilie est en train de plancher sur ses feuillets, je glisse ma main sous le jean de Tamara, écarte son string et insère un doigt en elle. Ma belle métisse est maintenant en train de m’expliquer les différentes réactions chimiques qui interviennent lors du vieillissement du vin (Passionnant les cours d’Hôtellerie - Restauration). Avec deux doigts dans la chatte, c’est tout de suite plus excitant. Elle prend sur elle pour ne pas alerter Emilie qui ne semble pas se rendre compte de ce qu’il se passe.
Je continue ainsi jusqu’à sentir le vagin de la demoiselle se contracter sur mes doigts. Elle jouit sans un bruit.
Tamara reprend ses cours et commence à me parler des fromages AOP, quand je m’aperçois que je ne vois plus la main gauche d’Emilie. Silencieusement, je quitte le fauteuil et m’approche d’elle, je vois par-dessus son épaule que la coquine est en train de se toucher toute seule dans son coin. Je lui tire l’oreille et la relève, je lui demande si c’est bien sérieux de se faire plaisir alors qu’elle devrait être en train de travailler, Tam a le sourire aux lèvres, dès le premier jour, elle va pouvoir se rincer l’œil. Je fais un choix sympathique, je penche Emilie sur le bureau, demande à Tamara de me donner le paddle et commence à claquer le derrière d’Emilie, pas trop fort non plus puisqu’elle est toujours en jean, ça n’aurait pas d’intérêt.
Elle dandine son petit cul de plaisir puisque cela ne barde pas. Au bout de quelques minutes, je la redresse et défait son pantalon, je lève les yeux et voit dans ses yeux une petite lueur qui ne m’est pas inconnue. La miss se retrouve en shorty (elle m’avait habituée à autre chose…) et retourne s’assoir après lui avoir promis une sacrée déculottée quand elle aura terminé, je me retourne vers Tamara et ses yeux brillent. Je suis satisfait de son travail, je la récompenserai plus tard…
Emilie vient me voir et me donne ses papiers, je les prends et envoie la miss au coin. Tamara et moi jetons un coup d’œil au travail de la miss, ça va, pas besoin de forcer la dose…
Emilie revient vers nous et je lui donne les résultats des tests, ils sont bons, donc la fessée sera uniquement pour s’être masturbée pendant ses devoirs. Je la prends sur mes genoux et dans une position très classique, je commence à la fesser. Tamara assiste de nouveau à une fessée mais pour Emilie, c’est la première qu’elle se retrouve dans pareille situation avec une personne autre que sa sœur qui regarde, et il faut dire que la belle métisse n’en rate pas une miette.
Elle est en face de moi et prend son pied. Je relève Emilie d’un geste, et d’un regard, je vois qu’elle est surexcitée à l’idée de se retrouver cul nu devant une inconnue. J’enlève donc son shorty rapidement et pendant que je la remets sur mes genoux, Tam se déplace pour avoir un point de vue intéressant sur les fesses et la chatte de la brunette (objet du délit), elle se retrouve donc à ma droite, les yeux rivés sur l’entrejambes d’Emilie.
Pour faire monter la température de ma belle métisse, j’écarte légèrement les fesses de celle qui occupe mes cuisses pour offrir à la voyeuse un spectacle des plus sympa. Coquine, celle-ci remue légèrement son derrière tandis que je recommence à claquer.
Tamara se rince l’œil et je vois qu’elle gesticule un peu, je pense que les coutures de son jean doivent frotter contre sa chatte et lui faire du bien, elle se mord les lèvres et a l’air d’apprécier le spectacle.
Je finis de claquer le derrière d’Emilie et l’envoie au coin. Je me retourne vers Tamara qui ne bouge plus mais qui a un sourire radieux aux lèvres (celles du visage du moins), je passe de nouveau ma main sous son jean et son string et je constate qu’elle a également un grand sourire sur ces lèvres-ci.
Je la fais se relever et lui chuchote à l’oreille que je ne peux pas la laisser décemment dans cet état. Son jean est rapidement déboutonné et abaissé à mi – cuisse avant d’être rejoint quelques secondes plus tard par son string. Elle se met à genoux sur le canapé, et s’appuie sur le dossier, ainsi elle voit Emilie de dos, les fesses rouges mais si Emilie se retourne, elle ne verra pas ce qui se trame. Sort du coffre le bâillon boule que j’enfile dans la bouche de Tamara pour l’aider à garder le silence pendant que j’opère, sachant que je lui réserve une petite surprise. Ma belle métisse s’attend probablement à se faire enfiler par ma bite, sentiment conforté par le fait que je lui ai fait ouvrir un emballage de préservatif, or ce n’est pas ce que je prépare. Je vais enfiler le préservatif certes, mais pas sur moi.
Sortent maintenant 2 godes du coffre, un gros pour sa chatte, dimension légèrement inférieure à moi, et un autre, de taille moyenne, ira s’installer droit dans son cul. Je mets les 2 préservatifs en place et m’approche de la demoiselle qui regarde droit devant elle, priant intérieurement pour que celle qui est au piquet ne jette pas un œil derrière elle.
Il faut dire que se retourner, le derrière à l’air et voir une autre jeune femme, à genoux sur un canapé, avec un bâillon dans la bouche et un mec derrière elle, pourrait être surprenant et potentiellement intéressant.
Je passe deux doigts sur la moule baveuse et colorée de Tamara avant de remonter doucement dans sa raie culière, elle frissonne d’excitation et de plaisir quand je commence à étaler un peu de sa mouille sur son anus, elle ne sait pas où le « missile » va venir se ficher, sans se douter qu’en fait, elle va se retrouver doublement pénétrée par ses jouets.
Je pose le premier gode sur l’entrée des artistes avant d’en enfoncer délicatement la porte, je la sens se crisper légèrement avant de se détendre à nouveau. C’est à ce moment que se présente le deuxième gode qui lui rentre dans la chatte comme un couteau rentre dans du beurre. J’entends s’étouffer un long et léger soupir, voilà un spectacle qui fait plaisir. J’enlève le bâillon et le range avant de revenir vers la miss, qui n’a pas bougé.
Elle tourne légèrement la tête vers moi et je vois ses joues prendre une belle couleur rosée avec son teint naturel. Je n’ai pas terminé, elle est arrivée avec des baskets, mais elle a laissé une paire de talons au garde meuble lorsqu’elle a essayé son matériel de soumise. J’enlève donc ses baskets et lui enfile les talons. Elle se relève et je commence à la rhabiller, en remettant son string en place, je ne résiste pas à la tentation de tirer sur la petite ficelle, ce qui a pour effet de la faire délicieusement gémir. Son pantalon remit en place, la miss fait quelques pas et je remarque bien que les 2 godes lui font de l’effet à sa démarche quelque peu perturbée. Je libère Emilie de son coin, les marques commencent déjà à disparaitre, en même temps, je n’y suis pas allé trop fort, comparé aux autres fois.
Elle se reculotte et prend ses affaires, nous sortons manger un morceau. Tamara a l’air de marcher de mieux en mieux, je m’approche d’elle et discrètement, j’appuie un doigt au niveau de son anus. La réaction est immédiate, ses joues rosissent de nouveau et elle dégage ma main d’un geste.
Sur la route, pour une fois, je n’essaie pas d’éviter les nids de poules, quand il y a des bandes rugueuses, je roule dessus le plus longtemps possible. Plus la voiture remue, plus les godes qui fourrent la belle bougent et plus elle prend sur elle pour ne pas hurler (je sais, c’est sadique).

Après manger, nous repartons au garde meuble pour l’après – midi, sur le chemin du retour, Emilie m’avoue qu’elle a ramené des vidéos qui devraient me plaire et qu’elle n’a pas pu me montrer la veille au soir en raison de son état de fatigue et des évènements.
Nous rentrons dans le box, j’allume l’ordi et y connecte la clé USB de la miss, à première vue, rien d’intéressant jusqu’à ce qu’elle décrypte un dossier en apparence banal intitulé : Sisters.
Je lance une première vidéo et je vois que depuis les dernières vidéos que Léa m’avait montrées
(cf la série avec Akira), les deux sœurs n’ont pas chômé
J’ai en plan large Léa en diaper et Emilie qui lui claque vigoureusement les fesses pendant 2 bonnes minutes. Emilie me dit que pour pouvoir filmer au mieux, elles ont utilisé une Gopro.
J’ouvre plusieurs vidéos à la suite, le spectacle est saisissant.
Le meilleur film est celui où Léa colle une trempe à sa jumelle. On voit Emilie attachée à son lit (souvenirs, souvenirs…). Elle est à genoux, les mains attachées aux pieds du lit et elle se ramasse une sacrée dégelée à la main d’abord et à la savate ensuite. Elle pleure tant son cul est rouge.
Je précise que Tamara a toujours ces 2 orifices remplis et le spectacle ne l’a pas laissé insensible. Après l’instant ciné, je sors 2 cartes de l’Europe, comme la géographie est au programme dans leur 2 filières, elles vont toutes les 2 me montrer ce qu’elles savent faire, et pour les motiver encore plus, j’annonce que la gagnante mettra donnera la fessée à la perdante. Les 2 sont tout de suite motivées. D’un côté, Emilie a déjà reçue une fessée ce matin, mais elle n’a pas encore fessé quelqu’un d’autre que sa sœur et de plus, elle n’a pas encore vu la belle lune de Tamara. De l’autre, la belle métisse a bien envie de s’occuper du petit derrière qu’elle a maté ce matin et de plus, elle n’a apparemment aucune envie de montrer à sa rivale qu’elle a le cul et la chatte occupée. Tamara me prend à part un instant et me demande, si elle gagne, la permission d’enlever les godes. A méditer…
Les 2 se mettent dos à dos et je leur donne en simultané les pays, au total une vingtaine. Je ramasse ensuite les 2 feuilles et sors la carte générale….
La suite bientôt
Comme toujours, si l’histoire vous a plu, n’hésitez pas à commenter, ça me fait toujours plaisir ou à m’envoyer un mail : dmnmaitrefesseur@gmail.com

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