Lucie - Mise en place - histoire érotique

10 jours après avoir fixé les conditions de coaching avec Lucie et survolé avec elle les différentes façons de la remettre dans le droit chemin, je propose à la demoiselle de mettre à profit ses grandes vacances pour se préparer en vue de la rentrée prochaine. Ayant passé mes examens avec brio et trouvé un travail, j’allais profiter de mes jours de repos pour aider la demoiselle dans ses révisions et (très) éventuellement remettre les pendules à l’heure si nécessaire.
Pour la toute première leçon, je lui demande de me ramener son bulletin trimestriel afin d’identifier ses lacunes et ses points forts. Je passe la chercher chez elle 3 jours plus tard, elle a l’air contente de me voir. Nous arrivons au garde meuble, vive les vacances, il n’y a personne. Devant le box, je me tourne vers la demoiselle et la voit avec un sourire timide sur le visage, elle est incroyablement belle et sexy avec son débardeur bleu ciel et sa petite jupe blanche.
J’ouvre le rideau de fer et allume la lumière, « ça a changé » me dit-elle, en effet, depuis sa dernière venue, j’ai ‘’légèrement’’ modifié l’agencement de la pièce.
Les cartons que je pouvais évacuer ont disparu, le bureau est dégagé, le canapé est à présent tout au fond du box, entre le bureau et le canapé, une malle fait office de table basse et pour couronner le tout, j’ai placé un mini réfrigérateur à côté du canapé, en prévision des longues heures que nous allons passer ici.
Lucie, impressionnée par les changements que j’ai apportés, me demande alors pourquoi avoir mis une malle au milieu de cet espace qui est quand même assez restreint (6m²), je lui suggère alors de l’ouvrir.

Elle s’exécute et reste bouche bée devant ce qu’elle y trouve.
Accrochées au couvercle par des lanières en cuir : Canne en rotin, cravache et paddle.
Dans un premier plateau : Menottes, baguettes de batterie et martinets Dans le second plateau : Des sandales, des fils électriques et 2 spatulesDans le fond : 4 Ceintures et plusieurs sextoys
Je lui dis alors que ces instruments seraient utilisés à toutes fins utiles que ce soit pour la ‘’motiver’’ ou seulement pour jouer. Malgré la température, elle frissonne en touchant les lanières du martinet.
Je la fais alors assoir dans le canapé et lui tend une bouteille d’eau, je me pose à mon tour et prend son bulletin. Tout en le lisant, je lève fréquemment les yeux et les plonge dans les siens avant de retourner à ma lecture. Je constate que la demoiselle a obtenu d’honorables résultats dans plusieurs matières mais que sur la biologie, l’économie et l’anglais, il y a matière à bosser.
Je termine ma lecture et sans rien dire lui rend son bulletin, elle est manifestement inquiète. Je me baisse vers la malle, attrape 1 cravache et 1 gode, et les pose à côté de moi. Je positionne Lucie en travers de mes genoux et décide d’ôter tout ce qui est superflu ; la jupe est retroussée, le string descend jusqu’à ses genoux et je commence une courte et délicate fessée à la main, alternant des claques ‘’douces’’ à proximité de sa chatte et des claques plus appuyées sur son petit cul. Au bout d’un certain temps, je constate qu’elle est trempée, j’attrape alors le gode et lui enfonce alors dans la chatte.
L’instant d’après, la cravache entre en scène, à ce moment-là, la miss n’a plus ni jupe ni débardeur ;Son string git à côté du canapé si bien qu’elle n’a plus que son soutien-gorge pour tout vêtement.
Pendant plusieurs minutes, je claque ses fesses avec la cravache ce qui a tendance à la faire gesticuler. Je la prends dans mes bras et la porte sur le bureau et la place en « diaper-position » (pour celles et ceux qui ne connaissent pas, c’est simplement la position utilisée pour changer la couche d’un bébé), j’ai lâché l’instrument, d’une main je lui claque les fesses avec une certaine force, de l’autre, je joue avec le gode alternant pressions ou mouvements tantôt rapides tantôt lents. Ce mélange plaisir/douleur est imparable et la conduit à l’orgasme.
Elle se redresse et avise la bosse qui s’est formée sous mon pantalon, d’une main, elle dézippe ma braguette et commence à jouer avec ma bite avant de la prendre en bouche, et mon dieu qu’elle est douée avec sa langue, moi qui, un mois plus tôt la prenais pour une coincée, je me sentais con.
Elle me suce pendant un certain temps avant de me faire jouir sur ces seins, elle ne veut pas que mon sperme entre dans sa bouche. Elle revient sur ses jambes et extrait le gode de son antre.
Une fois séchée et rhabillée, je lui explique que la prochaine fois que nous nous verrons, elle répondra à un test qui me permettra d’évaluer ses connaissances d’un point de vue général et qu’en fonction de la ‘’note’’ obtenue, son petit derrière montera en température. Je fixe alors un barême :
Entre 20 et 15 : Je lui promets une séance de jouissance absolueEntre 15 et 10 : Elle passera au martinet sur mes genouxEntre 10 et 5 : Les sandales et le paddle s’abattront sur avec fracas sur son petit culEntre 5 et 1 : Canne, ceinture et fils électriques la remettront sur les rails
(Je précise que je ne l’informe pas du présent barême, c’est juste une échelle pour moi)
Lucie me dit alors qu’une de ses amies, étudiante en BTS Hôtellerie-Restauration se trouve dans une situation approximativement similaire à la sienne, à ceci près que la fille en question est instable dans ses résultats et a des notes plutôt moyennes. Je lui demande de réfléchir à 2 fois avant de l’engager sur le chemin de la fessée, elle me dit alors qu’elle lui a suggéré plusieurs choses pour se maintenir dans ses notes et parmi les méthodes proposées, Lucie a bien évidemment inclue la fessée, idée retenue par son amie. J’ai comme la nette impression que je vais encore avoir du pain sur la planche…