Le con sert tôt (suite 8 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Le con sert tôt (suite 8 )
<p> Le temps passe, il faut partir. On regagne l’arrêt des bus, prenons place au fond du bus l’un à côté de l’autre. Il est loin d’être plein, tous les passagers sont regroupés à l’avant. Le retour dure plus d’1/2 h à cause des multiples arrêts. Ca fait 5 mn qu’on roule. Mine de rien je mets ma main sur sa cuisse, la plaque sur une bosse significative très visible, serre. Personne ne nous regarde. J’en profite pour ouvrir la braguette et glisser ma main à l’intérieur du slip, sortir la queue. Je le branle doucement, il ne dit rien, me laisse faire, il bande de plus en plus dur. J’astique le gland, titille le méat. Il remue sur son siège, se penche vers moi, glisse sa main derrière la ceinture de mon jean, la rentre dans ma culotte, la descend jusqu’à ma chatte, la voilà sur ma vulve. Je glisse en avant sur le siège, écarte bien les cuisses pour lui faciliter l’accès à mon sexe. Il pétrit ma moule, l’ouvre, agace mon clito, glisse son doigt entre mes nymphes au fond de ma fente, en entre un puis deux dans mon vagin, les active. Je mouille, il s’en aperçoit. Je lui dis :
- Arrête, tu vas me faire jouir !
Il sort sa main de mon jean, je lâche sa queue, il la range dans son pantalon, referme sa braguette.
- Je repars bientôt, demain, si tu veux, trouves un endroit pour qu’on baise ! Tu me dois bien ça !
- Demain je serais au fournil dès 4 h du matin, ma copine sera à la boutique dès l’ouverture jusqu’à 1 h. Ensuite elle reprend à 4 h. À partir de ce moment là, j’aurais du temps libre. Peut être que, si on peut chez toi, j’aimerais. Je dirais que je vais faire un tour chez mon copain !
- C’est pas possible, le samedi mes grands-parents vont au centre commercial faire les courses pour la semaine et reviennent vers 3 ou 4 h. Tant pis, ça sera pour une autre fois. Dommage, tu m’as excité, j’ai très envie que tu me la mettes réel !
On arrive, je me cale au fond du siège, il se lève, se penche, m’embrasse sur la joue
- Regarde elle m’attend. Bye bye !
Il se dirige vers la sortie. Le car s’arrête, il descend, je le regarde rouler un patin à sa petite amie. La pauvre, si elle savait qu’il vient de me tirer ! À son tour d’y avoir droit ! Mais il va devoir se laver la queue pour qu’elle ne s’aperçoive pas qu’il vient de baiser, surtout si elle le suce! Sinon !!!
Le lendemain je suis seule l’après midi, mes grands-parents ont pris la voiture et sont partis faire leurs courses. J’ai vachement envie de lui, mais il ne pense sûrement pas à moi ! Sa copine doit renter chez elle le midi, ce n’est pas loin, environ 500 m, je suppose qu’ il la raccompagne, ils déjeunent, font la sieste. Il seront de retour à 4 h pour l’ouverture de la boulangerie. Bientôt 3 h, je m’ennuie, sorts faire un tour, me dirige doucement vers la place du village. Je suis en jupe et sweet, mis une veste car il ne fait pas très chaud. S’il est libre après 4 h, j’ai plus de d’une heure d’avance, j’espère qu’il n’aura pas tiré son coup et qu’il connaît un endroit pour me sauter. Je vais m’asseoir sur un banc, attends, regarde les gens, personne ne fait attention à moi. Ca fait à peine 5 mn que je suis là, le voilà qui sort et se dirige directement vers la sortie du village. Je n’ai pas eu le temps de lui signaler ma présence. Moi qui croyait le voir revenir avec sa petite amie, je pense qu’au contraire il va la chercher. C’est tant pis, raté pour aujourd’hui, j’y aurais pas droit ! À part le coup qu’on a tiré hier après midi, je ne l’ai pas eu en moi depuis le jour où il est entré dans ma chambre l’année dernière. Il est loin maintenant, je ne le vois plus, il faut que je le rattrape. Je quitte mon banc, m’engage sur une petite route qui rejoint par derrière la voie principale à environ 100 m de la ferme, me dépêche, courre presque, compte le devancer. Arrivée au carrefour je regarde, personne. Il marche plus vite que moi, doit déjà être arrivé. Je reviens sur mes pas, dépitée, passe devant la maison de Franck, continue, décidée à rentrer chez moi ! J’aperçois Franck qui vient vers moi, un pack de bières à la main. Il semble étonné de me voir, me dit :
- Salut, tu te promènes ?
- Je rentre chez moi !
- Viens, mes parents sont partis chez des amis et rentreront tard ce soir.
- Ok, mais tu ne me baises pas, aujourd’hui j’ai pas envie !
- Comme tu veux !
On arrive devant chez lui, il ouvre la porte. J’entre. Il dépose ses bières dans la cuisine.
- Vas au salon, installe-toi, j’arrive !
J’entre dans le salon et là, oh surprise, J.P est installé dans un fauteuil. Je me baisse, l’embrasse sur la joue, lui dis :
- J’t’ai vu sortir, j’étais sur le banc, j’te croyais parti à la ferme.
- On fait c’qu’on a dit hier ?
- T’as un endroit ?
- Non, mais ici c’est bien.
- C’est pas possible, y a ton copain !
- Et alors ! Y peut participer !
- T’es malade ! T’as pas ailleurs ?
- Depuis que je t’ai revu, ton cul me fait bander !
- J’veux pas qu’tu m’sautes ici !
Franck revient avec un plateau sur lequel il y a 3 verres, 2 bières et un coca pour moi. Les deux mecs prennent place chacun dans un fauteuil. Je reste debout, les regarde, leur dis :
- Restez entre mecs, moi j’m’en vais, salut !
D’un pas rapide je me dirige vers la porte. J.P sort de son fauteuil vite fait, m’attrape par un bras :
- Reste ici, on va te baiser !
- Pas question, laisse moi partir !
Il me prend à la taille, me soulève, me ramène devant le canapé, me pose, dégrafe ma jupe, elle tombe à mes pieds. En même temps son copain Franck s’attaque à ma veste, parvient à me la faire glisser des épaules, elle rejoint la jupe. J.P agrippe mon sweet, réussit à le passer par-dessus ma tête, me pousse en arrière, je me retrouve assise sur le canapé.
- Foutez moi la paix !
Je tente de me remettre debout, il m’en empêche, relève mes jambes, je me débats, il attrape ma culotte et malgré moi, la retire. Il me tient toujours les pieds et me dit :
- T’es à poil, t’auras plus envie de partir.
- J’aime pas qu’on m’force, laissez-moi !
- Ecarte tes cuisses que j’te bouffe la moule !
- J’veux pas qu’on m’baise !
- T’inquiètes, t’es là, tu vas y avoir droit !
J’ai le cul à l’air, il me tire au bord du coussin, s’agenouille, écarte mes cuisses brutal, les maintient repliées au dessus de moi et ouvertes en grand. Il plonge sa tête entre elles, sa bouche entre en action, il aspire mon clito, l’enroule de sa langue, la fourre dans mon trou. Et le copain se déshabille, se met à genoux sur le canapé, me prend la tête, m’oblige à gober sa pine. Me voilà avec la langue de J.P dans le trou et la bite de Franck dans la bouche ! J.P se redresse, écarte mes grandes lèvres, sort mon clito de sa gaine, titille le petit bouton que en émerge, m’ouvre le sexe en y enfilant ses doigts au plus profond, les fait tourner dedans. Je remue le bas ventre, cambre les reins, ne tiens plus, gémis de plus en plus fort, ils vont m’avoir. J.P dit à son copain qui est descendu du canapé et le regarde s’occuper de mon sexe :
- A toi, vas-y baise là !
Sans attendre, il remplace J.P, saisie mes jambes, les met sur ses avant bras, s’appuie sur le canapé, me relève le cul à hauteur de sa bite, la glisse entre mes lèvres gonflées de désir, la pointe devant mon orifice, m’embroche d’un coup sec. Je pousse un cri de protestation :
- Aïe non, doucement !
Il me burine lentement, va tout au fond de moi puis accélère la cadence. J’ai terriblement chaud, ma respiration est rapide Pendant ce temps J.P s’est foutu à poil, entretien sa colonne de chair, le regarde me baiser, lui dit :
- À mon tour, laisse-moi la place !
Le copain se retire de moi et J.P s’enfourne aussitôt dans mon vagin et me lime hardiment. Puis ils se succèdent dans moi l’un après l’autre C’est la première fois que deux mecs s’occupent de mon bas ventre de cette façon. Je ferme les yeux, me laisse faire, je ne sais plus qu’elle bite est en moi, tout va trop vite, la tête me tourne, mon cœur s’emballe, j’ai trop chaud, n’en peux plus, ça y est je suis partie, crie ma jouissance.
- Ecoute la jouir, dire qu’elle voulait pas qu’on la baise !
Franck déplace la table, repousse les fauteuils, enlève les coussins, les met sur le tapis, s’allonge dessus, tient son mandrin dressé à la verticale.
- Fais la s’embrocher !
Sans sortir de moi, J.P me prend sous les fesses, me soulève ( je fais 1,60 m et 45 kg, pas grand chose pour lui qui a l’habitude de soulever des sacs de farine). Je me retrouve les cuisses sur ses hanches, je m’accroche à son cou, je suis toujours plantée sur sa bite. Il enjambe Franck, me place au-dessus de son dard. J.P se débranche, me laisse descendre doucement sur la bite de Franck, elle s’enfonce en moi. Je me retrouve à califourchon face à lui, me voilà partie pour un grand galop, monte et descend sur ce pieu. J.P. m’enfile sa queue dans la bouche, m’oblige à la sucer, j’aime pas. Il recule, me regarde, passe derrière moi, m’aplatit sur Franck. Je ne m’y attendais pas, lui demande :
- Oh là, qu’est ce que tu fais ?
- Tiens la comme ça !
Franck passe ses bras sur mon dos pour me bloquer, je suis ancrée par sa bite au fond du vagin, inclinée comme je suis je ne peux plus bouger. J.P se met à genoux, écarte mes fesses, salive sur ma rosette, fait tourner son doigt dessus, le mouille, l’enfonce dans mon trou du cul, le fait tourner.
- Ne bouge pas, j’vais t’enculer !
- Pas question, j’veux pas !
- Avant faut que j’t’ouvre le fion !
- T’es dégueulasse ! Sorts ton doigt de là, tu m’fais mal !
- J’vais t’y rentrer ma bite !
J’essaye de me dégager, mais rien à faire, Franck s’est enfoncé jusqu’aux couilles, me serre sur lui. J.P m’appuie sur le cou, me tient fermement.
- On va te baiser à deux !
- Non non et non, t’as pas compris ?
Il ne tient pas compte de mon refus, suit son idée, remouille mon sphincter, me refourre son doigt dans le cul, le ressort, le remet, le fait tourner, place son gland sur ma rosette. Il pousse, ça s’ouvre, je sens que ça commence à rentrer, ça me fait de plus en plus mal, je crie :
- Aïeiaïeiaïe, pas là, pas ça ! C’est du viol !
Je serre le sphincter, tente de résister, ça rentre malgré moi, je ne veux pas qu’il m’empale !
- Détends-toi, j’ suis presque dedans !
- J’ai dit NON ! Encule ton copain, pas moi !
Il a l’air d’avoir comprit, doit être vexé par ma proposition, renonce à me la rentrer dans le cul, se relève, dit à Franck :
- Je passe dessous ! On va la baiser autrement !
Franck me libère, je me relève vite fait, me précipite pour ramasser mes vêtements qui traînent au sol, il faut que je parte au plus vite, ils me font peur. Les 2 mecs sont debout, bites au garde à vous, l’un m’attrape à bras le corps, l’autre m’oblige à lâcher mes habits, les jette au loin.
- Hep là, tu nous a pas fini !
lire la suite et fin N° 9
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- Arrête, tu vas me faire jouir !
Il sort sa main de mon jean, je lâche sa queue, il la range dans son pantalon, referme sa braguette.
- Je repars bientôt, demain, si tu veux, trouves un endroit pour qu’on baise ! Tu me dois bien ça !
- Demain je serais au fournil dès 4 h du matin, ma copine sera à la boutique dès l’ouverture jusqu’à 1 h. Ensuite elle reprend à 4 h. À partir de ce moment là, j’aurais du temps libre. Peut être que, si on peut chez toi, j’aimerais. Je dirais que je vais faire un tour chez mon copain !
- C’est pas possible, le samedi mes grands-parents vont au centre commercial faire les courses pour la semaine et reviennent vers 3 ou 4 h. Tant pis, ça sera pour une autre fois. Dommage, tu m’as excité, j’ai très envie que tu me la mettes réel !
On arrive, je me cale au fond du siège, il se lève, se penche, m’embrasse sur la joue
- Regarde elle m’attend. Bye bye !
Il se dirige vers la sortie. Le car s’arrête, il descend, je le regarde rouler un patin à sa petite amie. La pauvre, si elle savait qu’il vient de me tirer ! À son tour d’y avoir droit ! Mais il va devoir se laver la queue pour qu’elle ne s’aperçoive pas qu’il vient de baiser, surtout si elle le suce! Sinon !!!
Le lendemain je suis seule l’après midi, mes grands-parents ont pris la voiture et sont partis faire leurs courses. J’ai vachement envie de lui, mais il ne pense sûrement pas à moi ! Sa copine doit renter chez elle le midi, ce n’est pas loin, environ 500 m, je suppose qu’ il la raccompagne, ils déjeunent, font la sieste. Il seront de retour à 4 h pour l’ouverture de la boulangerie. Bientôt 3 h, je m’ennuie, sorts faire un tour, me dirige doucement vers la place du village. Je suis en jupe et sweet, mis une veste car il ne fait pas très chaud. S’il est libre après 4 h, j’ai plus de d’une heure d’avance, j’espère qu’il n’aura pas tiré son coup et qu’il connaît un endroit pour me sauter. Je vais m’asseoir sur un banc, attends, regarde les gens, personne ne fait attention à moi. Ca fait à peine 5 mn que je suis là, le voilà qui sort et se dirige directement vers la sortie du village. Je n’ai pas eu le temps de lui signaler ma présence. Moi qui croyait le voir revenir avec sa petite amie, je pense qu’au contraire il va la chercher. C’est tant pis, raté pour aujourd’hui, j’y aurais pas droit ! À part le coup qu’on a tiré hier après midi, je ne l’ai pas eu en moi depuis le jour où il est entré dans ma chambre l’année dernière. Il est loin maintenant, je ne le vois plus, il faut que je le rattrape. Je quitte mon banc, m’engage sur une petite route qui rejoint par derrière la voie principale à environ 100 m de la ferme, me dépêche, courre presque, compte le devancer. Arrivée au carrefour je regarde, personne. Il marche plus vite que moi, doit déjà être arrivé. Je reviens sur mes pas, dépitée, passe devant la maison de Franck, continue, décidée à rentrer chez moi ! J’aperçois Franck qui vient vers moi, un pack de bières à la main. Il semble étonné de me voir, me dit :
- Salut, tu te promènes ?
- Je rentre chez moi !
- Viens, mes parents sont partis chez des amis et rentreront tard ce soir.
- Ok, mais tu ne me baises pas, aujourd’hui j’ai pas envie !
- Comme tu veux !
On arrive devant chez lui, il ouvre la porte. J’entre. Il dépose ses bières dans la cuisine.
- Vas au salon, installe-toi, j’arrive !
J’entre dans le salon et là, oh surprise, J.P est installé dans un fauteuil. Je me baisse, l’embrasse sur la joue, lui dis :
- J’t’ai vu sortir, j’étais sur le banc, j’te croyais parti à la ferme.
- On fait c’qu’on a dit hier ?
- T’as un endroit ?
- Non, mais ici c’est bien.
- C’est pas possible, y a ton copain !
- Et alors ! Y peut participer !
- T’es malade ! T’as pas ailleurs ?
- Depuis que je t’ai revu, ton cul me fait bander !
- J’veux pas qu’tu m’sautes ici !
Franck revient avec un plateau sur lequel il y a 3 verres, 2 bières et un coca pour moi. Les deux mecs prennent place chacun dans un fauteuil. Je reste debout, les regarde, leur dis :
- Restez entre mecs, moi j’m’en vais, salut !
D’un pas rapide je me dirige vers la porte. J.P sort de son fauteuil vite fait, m’attrape par un bras :
- Reste ici, on va te baiser !
- Pas question, laisse moi partir !
Il me prend à la taille, me soulève, me ramène devant le canapé, me pose, dégrafe ma jupe, elle tombe à mes pieds. En même temps son copain Franck s’attaque à ma veste, parvient à me la faire glisser des épaules, elle rejoint la jupe. J.P agrippe mon sweet, réussit à le passer par-dessus ma tête, me pousse en arrière, je me retrouve assise sur le canapé.
- Foutez moi la paix !
Je tente de me remettre debout, il m’en empêche, relève mes jambes, je me débats, il attrape ma culotte et malgré moi, la retire. Il me tient toujours les pieds et me dit :
- T’es à poil, t’auras plus envie de partir.
- J’aime pas qu’on m’force, laissez-moi !
- Ecarte tes cuisses que j’te bouffe la moule !
- J’veux pas qu’on m’baise !
- T’inquiètes, t’es là, tu vas y avoir droit !
J’ai le cul à l’air, il me tire au bord du coussin, s’agenouille, écarte mes cuisses brutal, les maintient repliées au dessus de moi et ouvertes en grand. Il plonge sa tête entre elles, sa bouche entre en action, il aspire mon clito, l’enroule de sa langue, la fourre dans mon trou. Et le copain se déshabille, se met à genoux sur le canapé, me prend la tête, m’oblige à gober sa pine. Me voilà avec la langue de J.P dans le trou et la bite de Franck dans la bouche ! J.P se redresse, écarte mes grandes lèvres, sort mon clito de sa gaine, titille le petit bouton que en émerge, m’ouvre le sexe en y enfilant ses doigts au plus profond, les fait tourner dedans. Je remue le bas ventre, cambre les reins, ne tiens plus, gémis de plus en plus fort, ils vont m’avoir. J.P dit à son copain qui est descendu du canapé et le regarde s’occuper de mon sexe :
- A toi, vas-y baise là !
Sans attendre, il remplace J.P, saisie mes jambes, les met sur ses avant bras, s’appuie sur le canapé, me relève le cul à hauteur de sa bite, la glisse entre mes lèvres gonflées de désir, la pointe devant mon orifice, m’embroche d’un coup sec. Je pousse un cri de protestation :
- Aïe non, doucement !
Il me burine lentement, va tout au fond de moi puis accélère la cadence. J’ai terriblement chaud, ma respiration est rapide Pendant ce temps J.P s’est foutu à poil, entretien sa colonne de chair, le regarde me baiser, lui dit :
- À mon tour, laisse-moi la place !
Le copain se retire de moi et J.P s’enfourne aussitôt dans mon vagin et me lime hardiment. Puis ils se succèdent dans moi l’un après l’autre C’est la première fois que deux mecs s’occupent de mon bas ventre de cette façon. Je ferme les yeux, me laisse faire, je ne sais plus qu’elle bite est en moi, tout va trop vite, la tête me tourne, mon cœur s’emballe, j’ai trop chaud, n’en peux plus, ça y est je suis partie, crie ma jouissance.
- Ecoute la jouir, dire qu’elle voulait pas qu’on la baise !
Franck déplace la table, repousse les fauteuils, enlève les coussins, les met sur le tapis, s’allonge dessus, tient son mandrin dressé à la verticale.
- Fais la s’embrocher !
Sans sortir de moi, J.P me prend sous les fesses, me soulève ( je fais 1,60 m et 45 kg, pas grand chose pour lui qui a l’habitude de soulever des sacs de farine). Je me retrouve les cuisses sur ses hanches, je m’accroche à son cou, je suis toujours plantée sur sa bite. Il enjambe Franck, me place au-dessus de son dard. J.P se débranche, me laisse descendre doucement sur la bite de Franck, elle s’enfonce en moi. Je me retrouve à califourchon face à lui, me voilà partie pour un grand galop, monte et descend sur ce pieu. J.P. m’enfile sa queue dans la bouche, m’oblige à la sucer, j’aime pas. Il recule, me regarde, passe derrière moi, m’aplatit sur Franck. Je ne m’y attendais pas, lui demande :
- Oh là, qu’est ce que tu fais ?
- Tiens la comme ça !
Franck passe ses bras sur mon dos pour me bloquer, je suis ancrée par sa bite au fond du vagin, inclinée comme je suis je ne peux plus bouger. J.P se met à genoux, écarte mes fesses, salive sur ma rosette, fait tourner son doigt dessus, le mouille, l’enfonce dans mon trou du cul, le fait tourner.
- Ne bouge pas, j’vais t’enculer !
- Pas question, j’veux pas !
- Avant faut que j’t’ouvre le fion !
- T’es dégueulasse ! Sorts ton doigt de là, tu m’fais mal !
- J’vais t’y rentrer ma bite !
J’essaye de me dégager, mais rien à faire, Franck s’est enfoncé jusqu’aux couilles, me serre sur lui. J.P m’appuie sur le cou, me tient fermement.
- On va te baiser à deux !
- Non non et non, t’as pas compris ?
Il ne tient pas compte de mon refus, suit son idée, remouille mon sphincter, me refourre son doigt dans le cul, le ressort, le remet, le fait tourner, place son gland sur ma rosette. Il pousse, ça s’ouvre, je sens que ça commence à rentrer, ça me fait de plus en plus mal, je crie :
- Aïeiaïeiaïe, pas là, pas ça ! C’est du viol !
Je serre le sphincter, tente de résister, ça rentre malgré moi, je ne veux pas qu’il m’empale !
- Détends-toi, j’ suis presque dedans !
- J’ai dit NON ! Encule ton copain, pas moi !
Il a l’air d’avoir comprit, doit être vexé par ma proposition, renonce à me la rentrer dans le cul, se relève, dit à Franck :
- Je passe dessous ! On va la baiser autrement !
Franck me libère, je me relève vite fait, me précipite pour ramasser mes vêtements qui traînent au sol, il faut que je parte au plus vite, ils me font peur. Les 2 mecs sont debout, bites au garde à vous, l’un m’attrape à bras le corps, l’autre m’oblige à lâcher mes habits, les jette au loin.
- Hep là, tu nous a pas fini !
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