Le curieux des fouilles 5
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le curieux des fouilles 5
5 / ENCULEZ-MOI... S'IL VOUS PLAIT...
Un an plus tard...
- Non ! Pas lui... Faites-moi ce que vous voulez, mais laissez mon apprenti tranquille !
Il a la voix grave. Il est beau. Il défait sa ceinture et ouvre le premier bouton de sa braguette. Il commence carrément à se désaper et il nous supplie... J'adore !
Les flics en civils tu les reconnais facilement : blouson, baskets, jean clair, usé à l'entrejambe, une sorte d'assurance dans le regard, un côté désabusé... et toujours la bite à droite pour qu'on voit bien leur gros gland moulé... Ben si... à droite on voit mieux la bite vu qu'à gauche y a la couture de la braguette... Putain vous savez pas ça ?!...
En tous cas les flics en civil on doit leur apprendre ça à l'école de Police parce qu'ils ont tous la teub bien à droite (et pas que la teub, à ce qu'on dit) pour qu'on voie bien la marque de leur gros gland, et puis le jean bien remonté pour qu'on puisse leur compter les couilles (des fois qu'ils en aient trois). En tous cas, les flics en civil, moi c'est comme ça que je les reconnais.
Grand, brun, sourcils épais, visage fin, rasé de près, dents blanches, une gueule d'acteur... de tombeur, cheveux courts, un peu décoiffés... regard sombre, un peu triste, fossette (une seule, à gauche)... et puis deux couilles, une de chaque côté de la couture, et son gros gland à droite... genre tu le regardes tu bandes !
Le flic continue à ouvrir consciencieusement ses boutons de braguette. Et arrivé au dernier, il baisse son jean.
- Tiens ! Ils ont des slips blancs, chez les condés ? C'est nouveau, ça...
On voyait bien qu'il avait un gros bazar, mais là... en slip... ben putain !!
Il a un côté ténébreux, latin, sec, très viril... et ce regard franc, bandant... très franc, très bandant... un peu ébouriffé... ébouriffant... décalottant !
Le policier tire sur son slip, machinalement. C'est chaud. Le tissu a l'air fin, doux au toucher. Il déboutonne sa chemise. Il est vraiment beau... c'est du lourd... Je ne sais pas si c'est à cause de son torse très sec, fin et musclé, ou si c'est à cause de son bronzage et de ses poils noirs, mais son paquet paraît vraiment énorme... et puis souple... et alors putain... je comprends mieux pourquoi son jean lui faisait deux grosses couilles et la marque du gland...
- Et vous, jeune homme, vous avez aussi un slip blanc comme votre chef ?
- S'il vous plait, foutez-lui la paix... c'est juste un apprenti... il démarre juste dans la police...
- Ben il a quel âge, votre apprenti ?
- J'ai 21 ans et demi, Monsieur le douanier.
- Eh ben alors tu sais ce qu'il te reste à faire, jeune homme !
- Vous êtes vraiment des pourris.
Le flic protège son stagiaire, c'est bien de sa part.
Il jette sa chemise par terre. À présent il est juste en slip. C'est un lieutenant de police, superbe, un vrai mec, une bombe. Il tire encore sur son slip, on lui voit tout... et il nous supplie... Putain moi y a rien de tel pour me mettre la goutte !
- S'il vous plaît, foutez-lui la paix...
- Vous inquiétez pas, mon lieutenant, ça me dérange pas...
Il est bien, ce jeune policier. Chatain clair, bouclettes, moustache clairsemée, regard clair. Il fait tout bien comme on lui dit, alors il commence à immiter son chef et à défaire sa ceinture lui aussi.
- Non... putain Julien... fais pas ça...
- M'enfin, lieutenant, foutez lui la paix à votre apprenti. Si il veut baisser son pantalon, il a le droit enfin !... pas vrai, jeune homme ?
- Vous inquiétez pas, chef, ça me dérange pas, je vous dis... et puis... je veux pas être traité différemment de vous.
- Il a raison, votre stagiaire... faut qu'il apprenne à baisser son froc... ça fait un peu partie de votre métier, non ? Ha ! ha !...
Décidément, il est bien, cet apprenti. Et il baisse son pantalon.
- Ah ben... pourquoi tu n'as pas le même slip que ton lieutenant ?... Ils n'en avaient pas assez, à l'École de Police ? Ha ! ha !
Le policier stagiaire sourit, il porte un boxer noir... très classe... moins rempli mais très classe...
- Allez, jeune homme, le teeshirt...
Alors il soulève son teeshirt. Torse fin, glabre, tétons roses. Gêné d'être à moitié nu, il se tripote à travers le boxer pendant qu'on lui parle... Ils sont trop beaux tous les deux !
- Bilal, tu t'occupes du stagiaire ? Moi je pends le lieutenant.
Bilal me sourit du coin de l'œil. C'est ça qui est bien, quand on travaille en binôme, je connais ses goûts, ha ! ha !... au bout d'un moment on se connaît par cœur.
Faut dire, avec Bilal, maintenant on est comme des frères. Après un an de cours à l'École Nationale des Douanes Terrestres Maritimes et Volantes, on a réussi le concours final de fouille masculine intégrale et rectale, et on a été nommés dans la même brigade volante. Et maintenant on travaille en binôme.
Grâce à la formation qu'on a reçue, grâce aussi à notre super prof (qu'on appelait le proc de fouilles) et grâce surtout aux exercices pratiques de fouille à corps, et ben avec Bilal maintenant, on sait tout l'un de l'autre... tout... absolument tout : À force de lui fouiller son petit cul d'arabe, je le connais par cœur... chacun des poils frisés de son zeb, chacun des plis de son anus... pire, je sais exactement ce qui le fait jouir, je sais même le déclencher... et lui pareil... Et ça, en douane volante, c'est essentiel pour souder un binôme... un vrai binôme.
Avec Bilal, quand on est tous les deux, on se sent forts... très forts. Je ne sais pas si vous voyez, mais c'est presque comme si on avait un pouvoir, tous les deux... on est unis... un pouvoir qui opère uniquement quand on est tous les deux... Tous les deux, on n'a peur de rien, de personne. On se sent tout puissants. À deux, on a quatre couilles, alors rien ne nous arrête, rien ne nous fait peur... On est comme des dieux.
Bilal... c'est un peu moi, je le connais comme ma bite, vous comprenez ?
- Ok ma couille, moi je prends l'apprenti... et toi tu vas bien t'occuper du chef, pas vrai ?
Putain lui aussi il connaît mes goûts, le pédé !
Oui parce que Bilal est pédé comme tout le monde... même si il a toujours un peu de mal à l'admettre. Faut dire, il paraît que sa mère dit qu'il n'y a pas de pédés chez les arabes... que c'est un truc de roumis... d'occidentaux dégénérés... alors avec une éducation pareille, il en a dû en baver, le pauvre... D'après elle, ce serait beaucoup plus humiliant pour un arabe de se faire mettre un doigt dans le cul devant tout le monde que pour les autres... d'après elle... et le pauvre Bilal de ce côté là il n'a pas eu de chance non plus ! (Vous le savez si vous avez lu les premiers épisodes).
Moi c'est différent, j'ai toujours été un vrai pédé, exhibistionniste et obsédé.
Le flic se décompose...
- Putain mais vous êtes pas sérieux ?! Vous allez pas nous faire une fouille rectale, quand même ?!
- Désolé lieutenant mais c'est la procédure.
- Mais puisque je vous dis que c'est une voiture de police banalisée !
- Ouais, dit Bilal, mais les plaques ne sont pas dans ma liste d'immats... alors si vous n'avez pas les papiers du véhicule...
- Mais appelez le commissariat, bordel !!
- Désolé mais ça ne fait pas partie de la procédure. Pour nous, sans papiers vous êtes des civils et nous sommes autorisés à démonter le véhicule et à vous fouiller le rectum...
- ... Mais si vous préférez on peut faire l'inverse...
- L'inverse ?...
- On peut fouiller le véhicule et vous démonter le rectum ! Ha ! ha !... pas vrai Bilal ?
- T'as zonré, putain !
Et Bilal glisse une main dans son pantalon.
Le flic pâlit.
- ... Au fait, toujours d'accord pour ne pas être traité différemment, jeune homme ?
Bilal se caresse. Le policier en herbe le regarde et arrête de se tripoter le bout.
- Euh...
- T'inquiéte pas, mon collègue Bilal est très doux...
Alors je me tourne vers mon beau lieutenant de police à moi :
- Moi je suis moins doux, il paraît...
Mais le flic, à moitié nu, soutient mon regard, ses yeux me troublent. Il pose ses deux mains sur l'élastique lâche de son slip blanc... et d'un seul coup il baisse le slip !!
- Enculez-moi si vous voulez... mais ne faites rien à mon stagiaire... s'il vous plaît !
Je suis impressionné par autant d'abnégation... mais surtout par cet énorme organe bronzé qui a bondi sous nos yeux, soudain libéré :
Ce beau flic avec sa gueule d'acteur et ses cheveux en bataille a déballé son sexe : long, beau, lourd et souple... très lourd, bas, comme suspendu... on dirait un truc animal, ça pend et ça flotte, comme une chose qui ondule dans le va-et-vient de l'océan et du vent... un truc nonchalant... qui balance lentement, sûr de lui, tranquille... un organe superbe, majestueux, animal, lent, sauvage... fascinant, indécent... et puis alors... mâle... tellement mâle... un truc de taureau, quoi... un sexe !
... Un sexe excessif pour ce flic, avec son corps svelte, sa gueule d'acteur, de papa ébouriffé... excessif en tout : trop de peau, trop de couille, trop de veines, trop de désordre dans les poils, trop de plis irréguliers tout autour de la teub, trop de replis partout, le gland est trop gros, trop marqué, le pénis trop large, trop long, trop décalotté, trop ourlé... ça pend, ça bouge, ses grosses boules montent et descendent lentement... c'est vivant... ça continue à bouger, à onduler... terriblement vivant !!
Le policier me toise. Plus que nu, il me laisse mater son énorme grappe qui pendouille et qui ondule, désordonnée, mouvante, fascinante... et il soutient mon regard aussi dignement qu'il peut.
- Enculez-moi... s'il vous plaît...
Un an plus tard...
- Non ! Pas lui... Faites-moi ce que vous voulez, mais laissez mon apprenti tranquille !
Il a la voix grave. Il est beau. Il défait sa ceinture et ouvre le premier bouton de sa braguette. Il commence carrément à se désaper et il nous supplie... J'adore !
Les flics en civils tu les reconnais facilement : blouson, baskets, jean clair, usé à l'entrejambe, une sorte d'assurance dans le regard, un côté désabusé... et toujours la bite à droite pour qu'on voit bien leur gros gland moulé... Ben si... à droite on voit mieux la bite vu qu'à gauche y a la couture de la braguette... Putain vous savez pas ça ?!...
En tous cas les flics en civil on doit leur apprendre ça à l'école de Police parce qu'ils ont tous la teub bien à droite (et pas que la teub, à ce qu'on dit) pour qu'on voie bien la marque de leur gros gland, et puis le jean bien remonté pour qu'on puisse leur compter les couilles (des fois qu'ils en aient trois). En tous cas, les flics en civil, moi c'est comme ça que je les reconnais.
Grand, brun, sourcils épais, visage fin, rasé de près, dents blanches, une gueule d'acteur... de tombeur, cheveux courts, un peu décoiffés... regard sombre, un peu triste, fossette (une seule, à gauche)... et puis deux couilles, une de chaque côté de la couture, et son gros gland à droite... genre tu le regardes tu bandes !
Le flic continue à ouvrir consciencieusement ses boutons de braguette. Et arrivé au dernier, il baisse son jean.
- Tiens ! Ils ont des slips blancs, chez les condés ? C'est nouveau, ça...
On voyait bien qu'il avait un gros bazar, mais là... en slip... ben putain !!
Il a un côté ténébreux, latin, sec, très viril... et ce regard franc, bandant... très franc, très bandant... un peu ébouriffé... ébouriffant... décalottant !
Le policier tire sur son slip, machinalement. C'est chaud. Le tissu a l'air fin, doux au toucher. Il déboutonne sa chemise. Il est vraiment beau... c'est du lourd... Je ne sais pas si c'est à cause de son torse très sec, fin et musclé, ou si c'est à cause de son bronzage et de ses poils noirs, mais son paquet paraît vraiment énorme... et puis souple... et alors putain... je comprends mieux pourquoi son jean lui faisait deux grosses couilles et la marque du gland...
- Et vous, jeune homme, vous avez aussi un slip blanc comme votre chef ?
- S'il vous plait, foutez-lui la paix... c'est juste un apprenti... il démarre juste dans la police...
- Ben il a quel âge, votre apprenti ?
- J'ai 21 ans et demi, Monsieur le douanier.
- Eh ben alors tu sais ce qu'il te reste à faire, jeune homme !
- Vous êtes vraiment des pourris.
Le flic protège son stagiaire, c'est bien de sa part.
Il jette sa chemise par terre. À présent il est juste en slip. C'est un lieutenant de police, superbe, un vrai mec, une bombe. Il tire encore sur son slip, on lui voit tout... et il nous supplie... Putain moi y a rien de tel pour me mettre la goutte !
- S'il vous plaît, foutez-lui la paix...
- Vous inquiétez pas, mon lieutenant, ça me dérange pas...
Il est bien, ce jeune policier. Chatain clair, bouclettes, moustache clairsemée, regard clair. Il fait tout bien comme on lui dit, alors il commence à immiter son chef et à défaire sa ceinture lui aussi.
- Non... putain Julien... fais pas ça...
- M'enfin, lieutenant, foutez lui la paix à votre apprenti. Si il veut baisser son pantalon, il a le droit enfin !... pas vrai, jeune homme ?
- Vous inquiétez pas, chef, ça me dérange pas, je vous dis... et puis... je veux pas être traité différemment de vous.
- Il a raison, votre stagiaire... faut qu'il apprenne à baisser son froc... ça fait un peu partie de votre métier, non ? Ha ! ha !...
Décidément, il est bien, cet apprenti. Et il baisse son pantalon.
- Ah ben... pourquoi tu n'as pas le même slip que ton lieutenant ?... Ils n'en avaient pas assez, à l'École de Police ? Ha ! ha !
Le policier stagiaire sourit, il porte un boxer noir... très classe... moins rempli mais très classe...
- Allez, jeune homme, le teeshirt...
Alors il soulève son teeshirt. Torse fin, glabre, tétons roses. Gêné d'être à moitié nu, il se tripote à travers le boxer pendant qu'on lui parle... Ils sont trop beaux tous les deux !
- Bilal, tu t'occupes du stagiaire ? Moi je pends le lieutenant.
Bilal me sourit du coin de l'œil. C'est ça qui est bien, quand on travaille en binôme, je connais ses goûts, ha ! ha !... au bout d'un moment on se connaît par cœur.
Faut dire, avec Bilal, maintenant on est comme des frères. Après un an de cours à l'École Nationale des Douanes Terrestres Maritimes et Volantes, on a réussi le concours final de fouille masculine intégrale et rectale, et on a été nommés dans la même brigade volante. Et maintenant on travaille en binôme.
Grâce à la formation qu'on a reçue, grâce aussi à notre super prof (qu'on appelait le proc de fouilles) et grâce surtout aux exercices pratiques de fouille à corps, et ben avec Bilal maintenant, on sait tout l'un de l'autre... tout... absolument tout : À force de lui fouiller son petit cul d'arabe, je le connais par cœur... chacun des poils frisés de son zeb, chacun des plis de son anus... pire, je sais exactement ce qui le fait jouir, je sais même le déclencher... et lui pareil... Et ça, en douane volante, c'est essentiel pour souder un binôme... un vrai binôme.
Avec Bilal, quand on est tous les deux, on se sent forts... très forts. Je ne sais pas si vous voyez, mais c'est presque comme si on avait un pouvoir, tous les deux... on est unis... un pouvoir qui opère uniquement quand on est tous les deux... Tous les deux, on n'a peur de rien, de personne. On se sent tout puissants. À deux, on a quatre couilles, alors rien ne nous arrête, rien ne nous fait peur... On est comme des dieux.
Bilal... c'est un peu moi, je le connais comme ma bite, vous comprenez ?
- Ok ma couille, moi je prends l'apprenti... et toi tu vas bien t'occuper du chef, pas vrai ?
Putain lui aussi il connaît mes goûts, le pédé !
Oui parce que Bilal est pédé comme tout le monde... même si il a toujours un peu de mal à l'admettre. Faut dire, il paraît que sa mère dit qu'il n'y a pas de pédés chez les arabes... que c'est un truc de roumis... d'occidentaux dégénérés... alors avec une éducation pareille, il en a dû en baver, le pauvre... D'après elle, ce serait beaucoup plus humiliant pour un arabe de se faire mettre un doigt dans le cul devant tout le monde que pour les autres... d'après elle... et le pauvre Bilal de ce côté là il n'a pas eu de chance non plus ! (Vous le savez si vous avez lu les premiers épisodes).
Moi c'est différent, j'ai toujours été un vrai pédé, exhibistionniste et obsédé.
Le flic se décompose...
- Putain mais vous êtes pas sérieux ?! Vous allez pas nous faire une fouille rectale, quand même ?!
- Désolé lieutenant mais c'est la procédure.
- Mais puisque je vous dis que c'est une voiture de police banalisée !
- Ouais, dit Bilal, mais les plaques ne sont pas dans ma liste d'immats... alors si vous n'avez pas les papiers du véhicule...
- Mais appelez le commissariat, bordel !!
- Désolé mais ça ne fait pas partie de la procédure. Pour nous, sans papiers vous êtes des civils et nous sommes autorisés à démonter le véhicule et à vous fouiller le rectum...
- ... Mais si vous préférez on peut faire l'inverse...
- L'inverse ?...
- On peut fouiller le véhicule et vous démonter le rectum ! Ha ! ha !... pas vrai Bilal ?
- T'as zonré, putain !
Et Bilal glisse une main dans son pantalon.
Le flic pâlit.
- ... Au fait, toujours d'accord pour ne pas être traité différemment, jeune homme ?
Bilal se caresse. Le policier en herbe le regarde et arrête de se tripoter le bout.
- Euh...
- T'inquiéte pas, mon collègue Bilal est très doux...
Alors je me tourne vers mon beau lieutenant de police à moi :
- Moi je suis moins doux, il paraît...
Mais le flic, à moitié nu, soutient mon regard, ses yeux me troublent. Il pose ses deux mains sur l'élastique lâche de son slip blanc... et d'un seul coup il baisse le slip !!
- Enculez-moi si vous voulez... mais ne faites rien à mon stagiaire... s'il vous plaît !
Je suis impressionné par autant d'abnégation... mais surtout par cet énorme organe bronzé qui a bondi sous nos yeux, soudain libéré :
Ce beau flic avec sa gueule d'acteur et ses cheveux en bataille a déballé son sexe : long, beau, lourd et souple... très lourd, bas, comme suspendu... on dirait un truc animal, ça pend et ça flotte, comme une chose qui ondule dans le va-et-vient de l'océan et du vent... un truc nonchalant... qui balance lentement, sûr de lui, tranquille... un organe superbe, majestueux, animal, lent, sauvage... fascinant, indécent... et puis alors... mâle... tellement mâle... un truc de taureau, quoi... un sexe !
... Un sexe excessif pour ce flic, avec son corps svelte, sa gueule d'acteur, de papa ébouriffé... excessif en tout : trop de peau, trop de couille, trop de veines, trop de désordre dans les poils, trop de plis irréguliers tout autour de la teub, trop de replis partout, le gland est trop gros, trop marqué, le pénis trop large, trop long, trop décalotté, trop ourlé... ça pend, ça bouge, ses grosses boules montent et descendent lentement... c'est vivant... ça continue à bouger, à onduler... terriblement vivant !!
Le policier me toise. Plus que nu, il me laisse mater son énorme grappe qui pendouille et qui ondule, désordonnée, mouvante, fascinante... et il soutient mon regard aussi dignement qu'il peut.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En fait il y a 2 séries : 1 à 4 et 5 à 8
La 5 n'est qu'un début. Il faut lire la suite... à paraître...
La 5 n'est qu'un début. Il faut lire la suite... à paraître...
pfff ... nul à chier
ça casse totalement le rythme des parties 1 à 4
ça casse totalement le rythme des parties 1 à 4